Salim Halali

shalom salem à tous
samedi dernier(15juillet) et malgré la sensibilité du contexte actuel ,enrico macias a donné un concert exceptionnel à quelque kilométres de sa patrie chérie l'algérie ,le concert a eu lieu à tabarka (à 200kilométres de tunis),ville frontaliére de annaba ,le lieu de naissance de salim halali,c'etait quelque chose les amis ,et j'ai croisé pas mal de cousins lointins les moati ,les adda ,et puis le tout tunis ,mais ce n'etait pas le plus important ,l'important c'était le contenu ,c'est à dire notre homme qui emflammé la foule et avec qui il eu une intense telephatie ...
j'aurais bien voulu m'entretenir avec monsieur à propose de salim halali mais ça ne s'est pas fait et puis j'aurais pu le vexer par ce que monsieur macias ne jure que par tonton reymond , d'ailleurs c'est le seul reproche que je peux faire à enrico
il ya eu un hommage à salim lors d'un festival à essaouira ,pourquoi pas un jour à tunis ou quelque pays dans ce pays qui est le mien j'espére qu'un de ces quatre ce voeu sera exaucé
un jour la paix regnera et salim nous reviendra ,un jour peut être
bien à vous fréres et amis qui que vous soyez et ou que vous soyez !

bonjour freddy ,s'il vous plait je desires me mettre en contact avec vous ,,je vous ecrits de tunis et j'ai l'intention d'aller au maroc dans quelques jours pour tourner un documentaire consacré à salim ,j'irais aussi à annaba et probablement à paris au mois de septembre .salutations sincéres !

Bonjour RIMKA
Lors de vôtre tournage sur l'époque de SALIM HALALI à Casablanca,commencez par vous rendre au Café "LE MONTPARNASSE" rue Allal Ben abdallah (ex-rue de l'horloge) et c'est là que Salim avait fait ses tous débuts avec sa soeur MOUNIRA au sous-sol de ce Cabaret.
puis après il était allé s'installer au COQ D'OR place de Belgique dans le mellah juif de Casablanca.
Je vous souhaite un excellent tournage.

merci infiniment sion pour ce precieux renseignement ,mille mercis et jamais assez .amitiés !

Le troubadour de l’amour (La gazette - MOHAMED AMESKANE)

Salim Halali était d’une élégance inouïe, ce cosmopolite, polyglotte, humaniste et universel qui brassait des fortunes, a fini ses jours dans l’anonymat et la déchéance. " Ya hasra aâla douk liyyam " !

A feuilleter son passeport français, on apprend que Shlomo ou Simon Halali, dit Salim Hilali, est né un 30 juillet 1920 à Bône (Annaba), à la frontière algéro-tunisienne. Issu d’une famille de Souk Ahras, berceau des plus grandes tribus Chaouia, les Hilali, descendants de la Kahéna la magnifique, la prêtresse aurésienne qui régna sur l’Ifriquia (actuel Maghreb) avant la conquête arabe. Son père est d’origine turque et sa mère (Chalbia) une judéo-berbère d’Algèrie. A quatorze ans, il quitte le cocon familial, prend le large et débarque en 1934 à Marseille, éjecté d’un bateau dont la seule cargaison fut un troupeau de moutons.

A l’occasion de l’exposition universelle de 1937, il monte à Paris pour y débuter une carrière de chanteur de charme espagnol. Sa rencontre avec Mohamed El Kamal et Mahieddine Bashtarzi fut décisive. Ils l’initient au chant arabo-oriental, l’intègre à la troupe "Al Moutribia", fondée par le grand Edmond Yafil, pour une grande tournée dans les capitales européennes. C’est à Paris qu’il rencontre Mohammed Iguerbouchen, fondateur du Cabaret Al Jazair, rue de la Huchette, et génie de la musique, qui lui composa des morceaux à sa mesure. Son étoile ne cessa de briller depuis. Ses disques connaissent des ventes record et deviennent, dans l’effervescence des années quarante, "la coqueluche des radios d’Alger, Tunis, Rabat et Tanger qui passaient, en boucle, ses chansons…", se souvient Mme Nina Banon, l’une des premières journalistes marocaines de radio Tanger.

En 1940, il échappe à la déportation grâce à l’intervention de Si Kaddour Benghabrit. Ministre plénipotentiaire au Maroc sous le protectorat et premier recteur de la grande mosquée de Paris, inaugurée en 1926 par Moulay Youssef et dont le premier appel à la prière fut lancé par la voix du ténor Mahieddine Bashtarzi. Il lui délivre une attestation de conversion à l’Islam au nom de son père et fait graver le nom de ce dernier sur une tombe abandonnée du cimetière musulman de Bobigny ! Non seulement le recteur le sauve des fours crématoires nazis, mais l’engage au café maure de la mosquée où il s’est produit en compagnie de grands artistes tels Ali Sriti et Ibrahim Salah ! Kaddour Benghabrit est certes un "Alem", docteur en foi, mais aussi un grand mélomane. En tant que luthiste et violoniste, feu Mohammed V le désigna membre de la délégation marocaine au congrès de la musique arabe du Caire de 1932 ! ca nous change des " figures " actuelles de l’Islam de France et leurs bysantines polémiques sur la viande Halal et autres bandanas et fichus foulards !

En 1947, il crée à Paris le cabaret oriental Ismaïlia Folies dans un hôtel particulier qui appartenait à Ferdinand Lesseps (ingénieur du canal de Suez ), situé dans la prestigieuse avenue Montaigne. Ceux qui l’ont fréquenté se souviennent de ses folles soirées avec une clientèle huppée à l’instar d’un roi Farouk d’Egypte, de sa cour et des stars d’alors, Mohamed Abdelouahab et Oum Keltoum. En 1948 il en crée un autre, rue Colisée , le Sérail.

Au sommet de sa carrière, il choisit de vivre au Maroc où il est accueilli par les grandes familles. Il y installe , en 1949, dans l’ancienne Médina de Casablanca, le fameux Coq d’Or, l’un des plus prestigieux cabarets au monde où se sont produits les plus grands artistes (Fouiteh, Hajja Hamdaouia, Maâti Belkacem, Line Monty, Blond Blond, Lili Bouniche, Safia Rochdi, Latifa Amal, Warda al jazairia, Raoul Journo….). Ce fut l’époque de la convivialité et de la symbiose judéo-arabe, évoquées, avec nostalgie, par Mohamed Maradji dans son livre "Salam Shalom", publié dans les années soixante-dix. En ami, il sauvegarde la mémoire iconographique de l’artiste et possède, comme relique, l’une de ses fameuses " Derbouka ". Salim Halali ne quitte le Maroc qu’au début des années soixante pour s’installer sur la Côte d’Azur. En 1970, il se lance dans une carrière en France, investit dans de ruineux studios faisant venir les meilleurs musiciens du monde arabe, se produit à la salle Pleyel avant de se retirer, une deuxième fois, à Cannes pour se consacrer à sa passion d’antiquaire, de collectionneur de tapis persans, bibelots et autres objets d’art…
Les années marocaines

Au Maroc, bien qu’il ne passait plus à la radio ( les bandes de Salim, de Samy Elmaghribi, de Zohra Elfassia et d’autres se sont évaporées des archives des radios nationales !? ), le souvenir de son séjour reste intact au fin fond de la mémoire de ceux qui l’ont fréquenté, aimé, écouté et Dieu sait s’ils sont nombreux . (les grandes familles, les artistes mais aussi les humbles). Les témoignages sont unanimes. Ils évoquent surtout son grand cœur et sa générosité inouïe. Salim donnait tout ce qu’il possédait jusqu'à, ses vêtements et ses bijoux. Il gâtait ses musiciens et offrait, à chaque fête de l’Aïd el Kebir, un camion de moutons aux pauvres de l’ancienne Médina. Une fois, il anima un gala au cabaret Rissani, actuelle place d’armes , place Mohammed V à Casablanca. Il débarqua avec quelques tableaux de valeurs qu’il mit en vente aux enchères. Un gros bonnet de la place fut le premier à lever la main pour la première toile annonçant le chiffre de cinq millions de centimes. La réplique de Salim, ses colères sont mémorables, fut cinglante. "Que dieu maudisse la religion de ta mère. Toi, fils d’un tel, propriétaire des sociétés X et Y, tu ne donnes que cinq millions ! Tu n’as pas honte ? Pour si B. ça sera vingt-cinq millions. Adjugé !". Il passa ainsi la soirée à plumer les bourgeois de Casa au profit du Croissant Rouge Marocain.

Il parait que le chanteur Khaled est allé le voir, accompagné de son impresario, pour lui acheter les droits de l’une de ses chansons. Il eut cette réponse, " Tu mets le prix que tu veux. Une fois fixé, tu le divises en deux. 50% pour les orphelins des musiciens algériens et le reste pour le centre où je finis mes jours. Moi je ne veux pas d’argent. " Interloqué par une telle seigneuriale offre, à laquelle il ne s’attendait pas, le roi du Raï fut très, très généreux…

Une fois, Albert Kakon, son voisin de l’ancienne Médina et ancien client , devenu par la suite l’un de ses amis intimes, débarqua au Coq d’or vers vingt-trois heures pour s’y retrouver nez à nez avec un seul client ! Une soirée de perdue pour le prestigieux établissement. Salim, en colère, lança au personnel, " fermez la porte et n’ouvrez plus à personne, même pas au Pape. Ces messieurs sont mes invités". Il les rejoint à table et passèrent la nuit à siroter, à l’œil, du bon Whisky et à l’écouter, accompagné du luth, leur chanter " ya lil ya aïn "…
Ainsi fut Salim Halali. Un artiste total, esthète, décalé et hédoniste .

Ce cosmopolite aux identités multiples, a fini ses jours, début juillet 2005, dans l’anonymat et la déchéance, dans un hospice de Vallouris.
Incinéré , suite à son souhait testamentaire, ses cendres seront-elles accueillies, en offrande, par la mer Méditerranée qu’il a tant célébrée et chantée ?

merçi infinement pour cet article qui retrace le parcours oh combien exeptionnel de monsieur salim lahlali...mais je voudrais simplement ajouter que jamais au grand jamais salim n'a connu l anonymat mais seulement l ingratitude humaine...en outre en tant que grand artiste qu il fut ...la decheance n ont plus ne peut etre lui etre attribué...il a vecu en seigneur...seigneur il est mort...(les veritables artistes comprendront)...ses chansons eternelles continueronts a scintiller comme les étoiles dans le vaste ciel...amitiés...kaki...
Pièces jointes:

J'apporte ici des informations sur la derniere tranche de vie de Salim. C'est à dire les dernieres années vecues à la maison de retraite "St Roch" à Vallauris.
L'anonymat, Salim Halali la souhaitait dans sa vie quotidienne.
Il etait sollicité pour aller dejeuner chez un(e) admirateur,a refusé un pont d'Or pour remonter sur scene,ne serait ce que quelques heures par un admirateur fortuné.
Salim a aussi rejeté l'invitation de Frederic Mitterand pour participer à une emission télevisée sur France2.Il avait exigé une somme invraisemblable afin qu'il ne puisse etre invité.
Il refusait toute communication telephonique de tel admirateur ou telle personne voulant l'approcher.
Les rares personnes pouvant acceder jusqu'à lui à St roch etaient son "trabki" et ami Youssef Berrebi a qui Salim a offert sa derniere tarbouka lors d'un recital en decembre 1994.
Il acceptait aussi l'invitation de mon cousin Albert Kakon à aller passer les fêtes de pessah à Casa.
Bref, mis à part quelques rares personnes, Salim Halali ne souhaitait être approché de personne.

Sinon Salim Halali avait de telles exigences afin de dissuader toute personne de l'approcher.(sommes folles, avion privé, tout ce qui lui passait par la tête....)

D'apres moi, Salim voulait être reconnu pour le chanteur exceptionnel qu'il a été et refusait la celebrité qu'entourait l'homme qu'il était.

Mon cousin (Michou suissa -musicien) m'a rapporté les propos suivants qu'il a eu avec Salim lors de 3 jours de studio passées avec Salim.

Salim se disait esclave de la musique qu'il chantait, il donnait tout son soul pour elle , et voulait transmettre au public toutes les subtilitées qu'englobe la musique arabo-andalouse. C est la raison qu'il se produisait tres tard, et lors des mariages il commencait son tour de chant apres dîner afin que les convives puissent avoir une oreille attentive.

Autre anecdote de cet anonymat volontaire voulu par Salim:
De son vivant (en 1999), j'ai emis l'idée de creer un site le concernant ce qu'il a categoriquement refusé au travers de son trabki que j'ai rencontré.

Derniere anectode que m'a raconté son "trabki": Salim sortait d'un hotel. Un admirateur l'a reconnu et souhaitait une photo et lui parler ce à quoi Salim Halali lui repondit qu'il n'était pas Salim mais son frère !!! et de demander à cette personne d'attenre car Salim Halali allait sortir de l'hotel dans quelques instants...


Pour resumer, bien sur Salim a été un grand seigneur et un chanteur rare dont on ne reverra pas de sitot un autre, mais en dehors de la scene il cultivait une vie de reclus.
Ses admirateurs ne lui ont jamais tourné le dos, par contre un festival honorant l'ensemble de sa vie artistique n'a pas eu lieu du vivant de Salim. cqfd

cordialement,

Adriendan

cher adriendan...merçi pour ton article...toutes les precisions que tu apporte au sujet du grand salim me reconforte dans mon analyse personnelle (que j avais emis par forte conviction artistique)...amitiés...kaki...
Pièces jointes:

salam les amoureux de salim...en ce jour de fete...une pensée pour lui a travers le site de dafina est de mise...amitiés...kaki...
Pièces jointes:

...a l aube de l an neuf une pensée artistique pour monsieur"salim lahlali"...amitiés...kaki...
Pièces jointes:

Amis et admirateurs de Salim,

Recherche à entrer en contact avec personnes ayants photos ou enregistrements video de Salim Halali.
Ceci afin de completer la collection personnelle que j'ai de lui et ainsi les mettre en ligne sur le net pour les partager.

Pour information, les archives de la television algerienne ont 4 enregistrements de concerts de Salim Halali. Je suis en contact avec l'administratrice de ces archives qui peut remetre la main sur ces bandes. Je vous tiendrai au courant de cette information.

Cordialement,

Adriendan

qui ne connait pas " YA 9ALBI KHALLI L7AL YEMCHI 3ALA H7ALOU "

J'ai passé mes vacances d'été en 2005 à juan les pins , au pied de

vallauris où salim , allah yrehmou a passé la fin de sa vie.

on savait qu'il voulait pas trop voir les gens et pour ça , je n'ai

pas trop cherché à le contacter......." RIMOUN RAMATNI CHOUGHIFTOU

BIHA , TALLAT MINA LBAB 3ASSA NOURIHA , TENCHED WA TA9OUL FI AWAL

CHI3RIHA AHL AL ANDALOUS YEFHAMOU AL ICHARA HOUM 3ALAMOU AL 7ARB

ILA ANNASSARA.........etc........allah yrehmek ya salim
Pièces jointes:

Vous auriez pu tenter, mais c'en etait presque fini pour lui.
A l'epoque ou vous y etiez, Salim faisait des aller-retour entre Casa et Vallauris

Pendant son (long) séjour à St Roch ( la maison de retraite à Vallauris) Salim ne voulait voir personne comme je l'ai expliqué dans un de mes precedents posts.
Les rares personnes qui pouvaient l'approcher etaient son administratrice ( qui gerait ses revenus servant à payer la maison de retraite et les autres royalties legués à des associations), son musicien, des amis tres proches et de temps en temps il acceptait de recevoir une ancienne connaissance.

Salim passait du temps avec une connaissance pendant quelques jours (ou quelques semaines) et subitement il rompait tous les ponts et ne plus donner signe.

Pour exemple, il est allé dans une maison de disques (connues) avec ses bandes originales, leur a proposé de les exploiter sans signer de contrat ni s'occuper des royalties qui lui revenaient.

Un beau jour,Salim Halali est revenu en demandant qu'on lui restitue les bandes - donc plus moyen pour la maison de disque de les exploiter-
repartir avec, sans donner plus d'explications.

Il etait comme cela Salim, extreme, entier et aussi versatile.

A St Roch, Salim refusait de répondre au telephone à quiconque.
Seul un de ses anciens musiciens avait le privilege de l'avoir au telephone et de pouvoir passer le voir à Vallauris quand il le souhaitait.

Que dire de ce chanteur!!! - qui etait aussi musicien et savait diriger un orchestre du regard -.
Un chanteur de ce niveau, il y en a un par siecle.

Durant son passage sur terre, plusieurs generations de chanteurs l'ont copié, imité, mais Salim Halali ne sera jamais égalé.

Adriendan

Chers amis, amies, et admirateurs de Salim

Bientôt le 25 juin, 2 ans déjà... la discussion autour de Salim dans ce forum semble en hibernation. A vos plumes chers amis. Il y a des personnes qui doivent avoir des photos, anecdotes, ou tout autre temoignage qui nous ferait bien plaisir de lire ou de voir.Cette section manque de photos et je suis sur que bien des amis doivent en avoir à partager.

Quant à moi,je vais demarrer un projet autour de Salim avec la collaboration d'un realisateur de la télevision Algérienne. J'espere qu'il verra le jour. Je vous tiendrai au courant.
Salutations,

Adriendan

...salam cher adriendan...oui notre grand salim merite un peu plus d attention a cet effet je souhaite a ton projet tout le succes possible...une nouvelle station radio de la place de casablanca "casa fm"pour ne pas la citer a fait de monsieur lahlali sa mascotte pour l une de ses emissions "al-wassit"diffuser tous les mardi-soir entre 22h et minuit et animer par le dr.ait belaid et mounir oubri...amitiés...kaki...
Pièces jointes:

A la mémoire du grand Salim, Je voudrais saluer son âme généreuse qui prend plus de plaisir à donner qu'à recevoir. C'est notre fierté.
Il est maintenant temps de lui rendre ce qui lui appartient : la plus belle voix orientale.
Je suis à la recherche de photos de Salim et ma chanson préférer KOFTANEK MAHLOL chanté par Salim.

...salam cher benbouzian oui salim est l une des plus belle voix orienttalo-andalouze...mais qaftanek mehloul c est monsieur samy el maghribi...sans rancune(lol)...amitiés...kaki...
Pièces jointes:

j'ai 3 albums l'un de salim halali et l'autre de sami el maghribi, si vous voulez je peux vous en envoyer par mail, "andaluz07@gmail.com"

c'est parmi les grands auteurs ou c'est l'auteur des plus grands chefs d'oeuvres du répertoire judéo-arabe il était aussi un des meilleurs joueurs de Derbouka de son époque et je me suis pas échappée aussi à sa fièvre mais il est comme tout autres grands artiste du Maghreb à qui on a pas su donné suffisemment de grande valeur qui méritaient tant et on ne pourra que regretter ce grand artiste authentique qu'on en trouve plus son genre de nos jours dans le monde entiers

cherchez si vous voulez bien dans google :telquel et puis N°191 (du mois de septembde) 2005





Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/06/2007 12:27 par clementine.

J
e suis un fa n du grand chanteur MAGHREBIN Salim HALALI.

Je possede presque toutes ses chanssons sur disque 78t'45t'33t.
que d'autre fan non jamais écoutées tel que (la belle de seville'je t'appartiens' houbbak fil kalb..ect)

je possede des photos rares de lui ainssi que j'ai confectionné un recueil de ses chanssons en arabe.

Je voudrais faire partie du club de SALIM HALALI.


SALIM DE BECHAR-ALGERIE