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DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT, discution, photos, temoignages.....etc...
Envoyé par royrol
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 26 mars 2015, 10:04 |
DANIEL BENHARROS. Sa mère est la soeur à mon père Henri.
On est tous nés à Rabat dans le quartier de la tour Hassan, entre le mellah, la rue de Grenoble, la rue Henri Popp,
la rue de Lyon, la rue du Capitaine Petit Jean, rue de Marseille, rue d'Avignon, rue de Bordeaux, rue de Barcelonne, rue de Valence, rue de Madrid, etc...c'était les années jeunesses des années 50 et 60.
Sur cette photo:
Notre cousin Daniel Benharros. Toujours un verre à la main, c'est normal c'est son métier de journaliste.
Mais c’est qui, ce type ?
Un grand professionnel du vin, un homme d’influence.
Son métier ? C'est à Paris.
Régisseur. C’est lui qui apporte un chiffre d’affaire publicitaire au journal qu’il représente, l’obligeant ainsi à créer un environnement rédactionnel. C’est comme ça qu’on dit.
Pour faire vite, il a été le premier à inventer la publicité du vin et les suppléments Vin de la grande presse. Après un début de carrière orienté gastronomie (Gault et Millau, Cuisine et vins de France), il crée en 1986 le Guide des routes du vin où il nomme Antoine Gerbelle à la rédaction en chef. Les grands noms du vin de l’époque s’y succèdent, Michel Smith, Christian Flacelière, Bernard Burtschy et un petit jeune qui fera la carrière qu’on voit, Thierry Desseauve.
BRAVO COUSIN DANIEL.
A l'époque avec ses copains des 400 coups à Rabat.
Michel Benaroche, Daniel Benharros, Albert Ohayon,Marco Benisty, Sydney Benharrosh à Rabat en 1961.
Ceux-ci étaient déja plus grands.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 27 mars 2015, 01:03 |
Je découvre vraiment sa personnalité et sa vie que je vais vous décrire.
ABBA SAMOUN. RABBIN A TROYES.
ABBA SAMOUN. RABBIN A TROYES. (1928-2011)
De son vrai nom Messaouda Bensamoun.
HAÏM BENSAMOUN (mon arrière grand père à Oran) avait 2 frères:
RAPHAEL BENSAMOUN et un autre dont le fils était
MESSAOUDA BENSAMOUN connu sous le nom de:
ABBA BENSAMOUN (Rabbin à Troyes).
Leurs parents étaient: JOSEPH et RACHEL BENSAMOUN.
Abba Samoun quitte Fés au Maroc.
Arrivée à Troyes depuis le Maroc en juillet 1951.
Mariage en 1952 avec Sarah Sellem et on eu 10 enfants.
Hommage:
Le grand Rabbin Abba Samoun (Z’l) était à l’image du Talmud. Il avait choisi la ville de Troyes parce qu’elle était la ville de Rachi.
Né en 1928, il a été élevé selon les valeurs du judaïsme, le respect de la torah et les traditions républicaines. Son grand-père était rabbin et son père avait été combattant volontaire au cours de la guerre 1914-1918.
Arrivé très jeune en France, il continua sa formation à la Yeshiva d’Aix-Les-Bains sous la direction des Ravs Eliovics et Chajkin et au séminaire Rabbinique de Paris sous la direction des Grands Rabbins Henri Schilli et Jacob Kaplan.
Il rencontrera celle qui fut son « Eshet Yahil » et sa future épouse, Sarah Sellem, fille aînée d’une famille nombreuse qu’il épousera à la Yeshiva d’Aix-les-Bains le 13 mars 1952.
Sarah était estimée de tous et admirée pour son humanisme, sa joie de vivre, son dévouement à toutes les causes. Elle a été une mère accomplie et comblée avec dix enfants, de très nombreux petits-enfants et arrière-petits-enfants.
Tous justes mariés, Abba et Sarah relevèrent le défi de s’installer dans la ville de Troyes (France), berceau du Maître du Talmud, Rachi (Rabbi Schlomo Ben Itsraki).
Mal remise des persécutions de la guerre, la communauté israélite troyenne ne comptait plus que trente-cinq familles, les trois-quarts de la communauté d'avant-guerre ayant disparu en déportation.
Malgré leurs faibles moyens, Abba et Sarah œuvrèrent sans relâche afin de faire venir d’autres familles. Avec l’accueil des familles marocaines en 1957 et algériennes en 1962, la communauté compta alors plus de 400 familles.
La communauté juive s’installa dans une vaste maison rue Brunneval et prendra le nom de synagogue Rachi, le 8 novembre 1987. Le Grand rabbin de France, René-Samuel Sirat, intronisera ce même jour, Abba Samoun comme Grand rabbin régional de Champagne-Ardenne.
Cet espace de prière fut réhabilité, agrandi et un mikvé y fût aménagé grâce à sa volonté et celle de son épouse.
Il fût secrétaire de l’assemblée des rabbins du Consistoire israélite de France et poursuivit son action extracommunautaire en assurant par ailleurs l’abattage rituel (la chéhita), l’aumônerie militaire, et au niveau national, il coordonnera l’aumônerie des prisons et des hôpitaux.
Professeur diplômé de l’Université Hébraïque de Jérusalem, il mettra en place les cours d’instruction religieuse, de pensée juive et d’hébreu pour les jeunes des communautés de Champagne-Ardenne.
Pour le 950e anniversaire de la naissance de Rachi en 1989, le Grand Rabbin Samoun participera à la création de l'institut universitaire Rachi avec M. René Samuel Sirat, alors Grand rabbin de France, et les autorités civiles de la ville de Troyes.
Son abnégation, sa gentillesse et sa disponibilité, malgré un emploi du temps chargé, furent reconnus par tous, que ce soient les autorités, civiles, militaires ou religieuses, toutes confessions confondues.
Le Grand Rabbin Samoun fût aussi l'artisan inlassable du rapprochement et du dialogue entre les différentes communautés confessionnelles, mettant toujours au premier plan le respect, la tolérance et la fraternité.
Au regard des actions qu’il a menées à Troyes avec son épouse, et de son parcours exemplaire, le Grand rabbin Abba Samoun reçut la reconnaissance de ses pairs et de nombreuses décorations. Mais ce qui lui tenait à cœur a toujours été d’avoir pu redonner à la ville de Troyes le rayonnement de notre Maître RACHI.
Abba Samoun était un rassembleur, un père, un modèle, un juste, s’il est vrai qu’un juste n’est pas un homme irréprochable mais un homme qui consacre sa vie à a la communauté et à l’élévation du nom de D’.
Toutes ces actions n’auraient pu êtres menées sans le soutient indéfectible de son épouse qui a œuvré sans relâche au bien-être de cette communauté juive de Troyes, malgré ses occupations de mère d’une grande famille.
Dans les rues de Troyes avec sa femme Sarah.
(photo: Le Rabbin Abba Samoun et le Rabbin de France Gilles Bernheim).
Photos de la synagogue Rachi à Troyes où il a exercé.
Un rond point de Troyes en hommage à Abba Samoun. (source:centre culturel de Troyes).
1er janvier 2015. C’est par un arrêté du conseil municipal du 17 décembre dernier que la Ville de Troyes a pris la décision d’honorer de façon exceptionnelle et publique, la mémoire de notre ancien Grand Rabbin régional Abba Samoun.
Dorénavant, le rond point situé à l’intersection de l’avenue Chomedey de Maisonneuve et de la rue du Général Sarrail portera le nom de « Rond-Point Abba Samoun ».
Sarah SAMOUN bat Myriam (Z’l) s’est éteinte le 10 adar 5771 à Ashdod, six mois seulement avant la disparition de son tendre époux Abba ben Mordéhaï (Z’l) décédé à Ashdod le 7 septembre 2011 - 9 Elloul 5771.
C'est sans nul doute leurs actions, la richesse de leurs vies et leurs implications incessantes, qui ont contribué à inscrire, dans le patrimoine culturel troyen, leurs noms aux côtés de celui du talmudiste.
Ce sont des justes qui nous ont quittés, que leurs mémoires soient bénies à jamais et que leurs actions s’inscrivent à l’encre de l’éternité.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 29 mars 2015, 01:48 |
Que faisait-on les dimanches dans les années 50 et 60.
L'été c'était la plage.
L'hiver c'était la forêt.
Croyez-vous aujourd'hui que les gosses suivent leurs parents le dimanche à la plage ou en forêt.
Non c'est les copains, les garçons et les filles de leur âge.Ou alors collé à leurs jeux vidéo.
Moi je me souviens des hivers ou printemps à la forêt du chaperon rouge à Rabat.
Ou la forêt de Bouknadel.
J'ai retrouvé des photos de cette époque en forêt.
Et d'autres photos à la plage de Témara ou des Sables d'Or à Rabat.
ALLEZ, ON VEUT ME POUSSER A L'EAU.
roland benzakenModifié 1 fois. Dernière modification le 29/03/2015 01:50 par royrol.
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 07 avril 2015, 04:05 |
Devant la grande muraille du mellah de Rabat, se tenait l'ELDORADO.
Un café-restaurant que tenait les deux frères: Aaron et Meyer Benchetrit au bas du cercle de l'alliance.
Leur métier était la spécialité des grillades.
On appelait en arabe LE CHOUWAY.
Les deux frères avaient mis des tables couvertes de nappes genre toiles cirées.
Dans ce décor mal entretenu, pas trés chic mais il y régnait une certaine atmosphère.
Ces deux frères, je m'en souviens, j'avais à peu prés 12/13 ans en 1962, étaient trés différents et se ressemblaient physiquement.
Aaron avait un sale caractère et son frère Meyer trés souriant et aimable.
Ils se disputaient pour un rien en s'insultant et ça faisait partie de nos distractions.
Les grillades de keftas, de rates farcies, de brochettes, c'était la fierté des deux frères.
Il se formait des tourbillons de fumées épaisses le long de la rue Henri Popp.
On sentait les odeurs depuis le cinéma Vox là-haut.
C'était nos sorties le samedi soir et le dimanche soir au retour des plages en été.
C'était nos souvenirs de l'enfance de notre merveilleux quartier.(rolbenzaken)
Jacqueline Cohen-Azuèlos une ancienne de Rabat de la rue Henri Popp en parle trés bien dans son livre: FLEUR DE SAFRAN.
Jacqueline et moi lors d'une rencontre de retrouvailles.
" Fleur de Safran "
Jacqueline Cohen-Azuelos replonge dans ses souvenirs de petite fille et au travers d'une série de textes pleins de chaleur, de convivialité et d'humour, invite le lecteur à s'imprégner des ambiances du Maroc d'autrefois : les couleurs et les parfums de la rue, la vie familiale ponctuée par les fêtes, rites et coutumes de l'époque, les personnages hauts en couleurs, qui ont marqué sa mémoire d'enfant, en particulier des figures de femmes, dont elle croque quelques portraits sensibles et émouvants.
Dans la seconde partie de l'ouvrage, l'auteur propose une série de recettes traditionnelles issues de la cuisine juive-marocaine, la plupart faisant appel à cette épice de prédilection subtile et colorée qu'est le safran.
Toutes les préparations ont été puisées au coeur même du patrimoine familial et largement expérimentées de mère en fille depuis plusieurs décennies. Jacqueline Cohen-Azuelos les a remises au goût du jour, en y mêlant sa créativité personnelle. Avec elle, en un tour de main, votre table familiale devient une table de fête.
Anecdotes, conseils et astuces agrémentent les recettes.
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je m'appelle jacqueline azuelos je suis née à Rabat en 1946, et j'ai habité, enfant, Impasse Henri Popp juste à coté des familles: Benzaken , Baruk , Trojman , Assayag , Dahan , Sabah , Benaïm , Chichportiche ,Polatchèque , Méchali , Attias , Aflalo , Mamane , Azuèlos , Abehsséra , et les Autres .
Mon quartier se composait de la rue du Capitaine Petit Jean, avenue du Chellah, rue de Bordeaux, rue de Versailles, rue d’Avignon, rue de Grenoble, rue de Lyon, rue de Perpignan, rue de Rouen, rue de la Marne et rond point du Triangle de Vues.
roland benzaken|
Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 08 avril 2015, 01:52 |
Tout prés de la Tour Hassan.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 08 avril 2015, 01:57 |
1957, Mohammed V assiste à un défilé de mode aux magasins Nieman-Marcus, à Dallas (Etats-Unis), en compagnie de membres de sa cour (au fond, en Fez) et d’hommes politiques américains.
Toute l’assemblée est visiblement séduite par le mannequin en tenue occidentale et manteau de fourrure.
La jeune femme aurait-elle cligné de l’oeil au sultan ? THOMAS D. MCAVOY/TIME LIFE
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 14 avril 2015, 08:10 |
Comme tous les ans, on fête la fin de Pessah par la Mimouna à Nice chez ma mère Alice.
Toute la famille vient célébrer la Mimouna à Nice. Ainsi que les amis.Photo, avec ma mère Alice et ma soeur Michelle venué spécialement de Naharya pour passer Pessah à nice.
La fête de la Mimouna a lieu le dernier jour de Pessah. Le soir, au coucher du soleil, on dresse des tables royales, dégorgeant de gâteaux, confitures, beurre, miel, lait, fèves vertes dans leurs écorces, gerbes de blé, assiette pleine de farine et des dattes.
Dans un grand plateau, sur un lit de verdure, trônait un poisson en signe d’abondance et de bénédiction.
Les mouflétas avaient la place d’honneur:
tartinée de beurre et de miel, c’était le symbole d’une année bénie et heureuse.
Les gens faisaient ' la tournée des grands ducs ' allant d’une maison à l’autre, goutant à la moufléta,
se bénissant mutuellement et se souhaitant
' tarbah '-' chance et bonheur '.
Table de fête de la Mimouna à Nice.
Une légende dit qu'avant la prochaine Mimouna le souhait sera exaucé. A côté sont posés un bol de miel, des pommes pelées, de la laitue, du lait, du petit lait et du beurre. Dans certaines familles, un grand poisson symbolise chance et protection.
Avant de consommer pâtisseries ou mofleta, tremper les cinq doigts de la main droite dans le levain, lécher le cinquième doigt, tremper un morceau de pomme dans le miel, une feuille de laitue dans le beurre et le miel, boire du lait ou du petit lait, faire un voeu et goutter enfin à la mofleta et aux pâtisseries en criant terbhou ! c'est-à-dire gagner, réussir.
Allez je vous donne l'envie de goutter.
A l'époque, je dis c'était autrefois au Maroc, dans les villes, les villages, les bleds,...
Beaucoup de juifs marocains se souviennent des samedis soirs dans les synagogues.
Etaient assis les notables et les habitants, tous chantaient ces magnifiques piyoutims par cœur de leurs belles voix.
Le kiddouch du shabatt était intense et mélodieux, parmi la centaine de fidèles debout à l’intérieur et dans la cour, dans une dance effrénée de réponses chantées de bons souhaits pour la semaine qui débute,
chavoua tov ou mazal tov .
C’était chaud, c'était gai, c’était vibrant,
c’était la communauté juive qui priait, qui chantait et qui se souhaitait mutuellement les meilleurs vœux.
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En se promenant dans ces rues où se situaient toutes ces synagogues des villes et des villages du Maroc, on imagine les mélodies des chants hébraïques traverser les fenêtres.
Il nous paraît essentiel de faire revivre ces juifs à travers leur mémoire et leurs souvenirs.
Tout ça c'était autrefois au Maroc de mon enfance des années 50 et 60.
MAIS ON CONTINUE DE FÊTER LA MIMOUNA DANS LE MONDE.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 28 mai 2015, 01:30 |
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 28 mai 2015, 01:57 |
Ma mère, ma soeur déguisée en indienne et moi.
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 28 mai 2015, 02:02 |
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 28 mai 2015, 02:11 |
En famille. A l'impasse Henri Popp en 1960, on avait une sacrée belle américaine Chevrolet Bel Air verte claire.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 28 mai 2015, 09:23 |
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 28 mai 2015, 09:30 |
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 31 mai 2015, 05:04 |
Comme David Ben Gourion, Golda Meïr, Théodore Hartzl, Moshé Dayan, etc................
Non je ne pense pas du tout.
En voyage à Ashdod en Israel en mai 2015, j'ai découvert vers le bord de plage un jardin.
Pas trop extraordinaire ce parc, mais j'ai été quand même surpris de voir de loin une grande stèle d'au moins
3 mètres de hauteur sur 2 mètres de largeur tout de marbre.
Je m'en approche pour lire les écritures, un peu usées due à l'humidité du sel marin de la méditérranée.
Je lis:
PARC HASSAN II
A LA MEMOIRE
DU ROI HASSAN II
ROI DU MAROC
1929-1999
roland benzakenPièces jointes:
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 31 mai 2015, 05:06 |
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 31 mai 2015, 05:16 |
Allez je me remets au sport.......juste quelques minutes. On a d'autres quartiers de Ashdod à voir.
roland benzakenPièces jointes:
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 02 juin 2015, 08:06 |
Je le hisse, je le promène.Je le dévoile.
Ici derrière moi c'est la Mer Morte.
J'ai visité la Cité de Massada.
Ein Bokek, ses hôtels de luxe et les bains de boue sur la Mer Morte.
Ein gedi, son parc et ses cascades. Etc.....3 semaines de plaisir en mai 2015.
Je compte bien y retourner pour visiter les autres régions.
roland benzakenModifié 1 fois. Dernière modification le 02/06/2015 08:06 par royrol.
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 04 juin 2015, 07:09 |
Que ce passe-t-il avec ma souris?
Elle me joue des tours aujourd'hui.
Elle a l'air endormie?
Je la secoue, elle est complètement paralysée du coté droit.
Je clique du coté droit pour copier-coller une photo, elle ne veut rien savoir.
Je la tapote sur le corps, rien n'y fait.
Je pense lui donner des doliprane, ça va la remettre en état.
J'essaye le clic gauche, impeccable, ça a l'air de marcher.
Donc, si j'ai bien compris pour déposer une photo il faut cliquer sur ""Joindre un fichier au message""
Ensuite chercher la photo, on me dit: la taille d'un fichier ne peut pas excéder 200 KB.
Je réduit ma photo, on me répond la même chose.
Donc conclusion, j'ai fait avaler des antibiotiques à ma souris pour rien!
Le clic droit ne fonctionne pas, uniquement sur le site dafina et ceci depuis quelques jours.
Pourquoi change-t-on nos habitudes, tout allait à merveille jusqu'à présent.
On me répond, c'est pour ne pas qu'on ""vole des photos"".
Oui mais pour voler des photos, il y a plusieurs remèdes.
Il suffit de cliquer gauche de la souris en restant appuyé et de déposer la photo sur le bureau.
Avant on pouvait mettre plusieurs photos sur un article, là on ne peut y mettre qu'une seule photo et d'un format réduit.
Beaucoup de personnes ne sont pas forts en informatique et ne pourront pas joindre de photos, hélas.
roland benzaken
Pièces jointes:
Elle me joue des tours aujourd'hui.
Elle a l'air endormie?
Je la secoue, elle est complètement paralysée du coté droit.
Je la tapote sur le corps, rien n'y fait.
Je pense lui donner des doliprane, ça va la remettre en état.
J'essaye le clic gauche, impeccable, ça a l'air de marcher.
Donc, si j'ai bien compris pour déposer une photo il faut cliquer sur ""Joindre un fichier au message""
Ensuite chercher la photo, on me dit: la taille d'un fichier ne peut pas excéder 200 KB.
Je réduit ma photo, on me répond la même chose.
Donc conclusion, j'ai fait avaler des antibiotiques à ma souris pour rien!
Le clic droit ne fonctionne pas, uniquement sur le site dafina et ceci depuis quelques jours.
Pourquoi change-t-on nos habitudes, tout allait à merveille jusqu'à présent.
On me répond, c'est pour ne pas qu'on ""vole des photos"".
Oui mais pour voler des photos, il y a plusieurs remèdes.
Il suffit de cliquer gauche de la souris en restant appuyé et de déposer la photo sur le bureau.
Avant on pouvait mettre plusieurs photos sur un article, là on ne peut y mettre qu'une seule photo et d'un format réduit.
Beaucoup de personnes ne sont pas forts en informatique et ne pourront pas joindre de photos, hélas.
roland benzakenPièces jointes:
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 14 juin 2015, 10:12 |
le CAFE LE MARIVAUX à Paris.
Retrouvailles pour certains, point de chute pour d'autres.
C'est ici dans ce quartier que certains marocains ont commencé une deuxième vie.
Après le Maroc, c'est ici à Paris que commence l'aventure.
Une nouvelle ville, une nouvelle vie, un nouveau job, une nouvelle conquête...
Nous étions beaux, nous étions jeunes, à nous de croquer la vie à pleine dent.
Certains ont réussi, d'autres non.
Certains sont restés ici à Paris et dans la région, certains ne se sont pas sentis à l'aise dans ce pays.
D'autres sont partis vivre ailleurs, en Israel, au Canada, aux USA, dans d'autres pays.
Il nous reste cette blessure d'être partis du Maroc, mais heureux de vivre autre chose.
Alors ce quartier du métro RICHELIEU DROUOT, on ne l'a pas oublié.
Ce n'était pas notre GOLF DROUOT, mais notre METRO DROUOT.
C'était notre CAFE LE MARIVAUX, lieu de rencontres et de retrouvailles des Marocains, des rabatis échoués à Paris des années 60-70.
OUI, cela fait presque 50 ans, et nos bons souvenirs sont là.
Si toutefois vous passez à Paris arrêtez-vous devant ce CAFE LE MARIVAUX au 11 BD des Italiens 75002 Paris
devant le métro Richelieu Drouot, alors pensez à nous tous qui avons traîné des samedis et des dimanches à causer de notre passé,
c'était dans les années 60 à 70. Il y a presque 50 ans...
le temps passe. Les souvenirs restent.
Nous étions 10, ensuite 100 et 1000. Heureux de se retrouver ici.
Il y avait Sam, Elie, Samuel, Simon, Gaby, Raphy, Marc, Tony, Albert, Jacquy, et d'autres ainsi que leurs soeurs, amies, copines et familles,...
Le clan s'agrandissait de semaines en semaines dès les années 65 pour baisser d'intensité vers les années 70.
Ensuite plus personne, chacun avait retrouvé sa voie, sa ville, son quartier, sa rue.
Certains sont passés devant ce café la gorge serrée dans l'espoir de retrouver d'anciennes connaissances,mais en vain.
Vous connaissez le café LE MARIVAUX à Paris ?
Vous voyez bien, tous, ce café au 11 Bd des Italiens ?
Vous vous y êtes assis au moins une fois !
roland benzakenModifié 1 fois. Dernière modification le 14/06/2015 10:17 par royrol.
Pièces jointes:
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 10 juillet 2015, 04:55 |
roland benzakenPièces jointes:
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