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ECHOS REFLEXIONS PHOTOS DOCUMENTS TRAGEDIES HISTOIRES INCIDENTS ET ANECDOTES DES ANCIENS DE CASABLANCA

– Casablanca au Cœur de l’économie marocaine


Dans les conditions historiques de sa naissance, l’activité industrielle ne pouvait être que littorale et particulièrement casablancaise. Tous les éléments de sa mis en place et de son épanouissement sont exogènes et répondent à une stratégie d’exploitation optimale et sélective de l’espace national.

- Répartition spatiale
Les préfectures Ain Sebâa Hay Mohammadi, Casa-Anfa et Bernoussi-Zénata comptent à elles seules près de 60% des industries implantées à la Wilaya. A ce titre, elles participent à hauteur de 74% de production locale, réalisent près de 76% des investissements au niveau de la Wilaya, créent une valeur ajoutée de 19.5 milliards et emploient près de 157172 personnes soit 68% du total d’effectif travaillant dans l’industrie casablancaise.

L’industrie implantée dans la préfecture Ain chock-Hay Hassani quant à elle, avec 391 établissement personnes, a réalisé une production de 8.5 milliards de Dirhams et a contribué à hauteur de11% dans la valeur ajoutée au niveau de la Wilaya.

- Participation étrangère
La présence de l’investissement étranger dans l’industrie de Casablanca est très significative: 464 établissements sont à participation étrangère ce qui représente 17,75% des unités implantées à Casablanca. Ces établissements participent à hauteur de 3,8% de la production industrielle, de 4,3% des exportations , 4% du chiffre d’affaires au niveau de la Wilaya. Ils investissent à hauteur de 4% du total investi à Casablanca et dégagent une valeur ajoutée de 10 millions de Dirhams soit 3,5% de la valeur ajoutée réalisée au niveau de la Wilaya.

- Perspectives de développement
La qualité de vie et la richesse culturelle de Casablanca influent largement sur les choix de localisation des entreprises.

Capital économique, Casablanca est une ville prospère et vivante, elle incarne le Maroc de la modernité et du dynamisme. De part sa dimension économique, elle constitue un lieu d’innovation, d’échange de transformation sociale ; elle peut être à elle seule considérée comme une métropole conjuguant toutes les autres villes du Maroc.

Son patrimoine architectural « art nouveau » représente un grand potentiel touristique. Une panoplie de projets est en cours, l’élaboration d’un système de transport efficace, des infrastructures modernes. Elle profitera également des réalisations destinées à renforcer son offre en matière de tourisme d’affaires, L’aménagement de la corniche, le réaménagement de l’Avenue Mohamed V sauvegarde et mise en valeur du quartier des Habous.

La création d’un port de plaisance et la nouvelle cité administrative à Mohammedia vont compléter le dispositif de rénovation Urbaine de la région .L’aménagement des jardins de la mosquée ou seront réalisé des espaces verts, des lieux de rencontre, de culture et de déambulation autour de la mosquée donneront une nouvelle forme de vie urbaine permettant à la ville de s’ouvrir sur la mer.

Pour affaires ou tourisme, Casablanca est une destination qui mérite bien d’être .

Soly Anidjar


L’hôtel de ville.

« Al baladiya » ou « Al magana lakbira », c’est comme ça que les bidaouisse convenaient à appeler le siège actuel de la Wilaya de la Région du Grand Casablanca.L’édifice est l’un parmi les plus beaux et anciens bâtiments administratifs qu’abrite actuellement Casablanca. Elevé à côté du palais de justice, l’hôtel des postes, et l’hôtel du commandement militaire, il constitue avec eux la place administrative de la ville, qui fût construite sous l’impulsion du général Lyautey pendant le protectorat Français.Inauguré en 1937, l’hôtel de la ville fut esquissé dans un premier temps par Henri Prost en 1914, remodelé par Joseph Marrast, puis confié à Marius Boyer, à l’issue d’un concours en 1937.De l’intérieur comme de l’extérieur, le monument est un véritable chef-d’œuvre architectural, un mélange harmonieux de cultures ; le thème vénitien de Prost et Marrast étire le bâtiment en profondeur autour d’une courbe unique et l’ouvre par des arcades plus amples. Pour le campanile, il puise son inspiration dans les tours des palais communaux Toscans, alors que Prost évoque la tour Hassan de Rabat. La thématique de Boyer est plus nettement marocaine dans ces grandes lignes comme le montre l’évolution de la façade principale. Le portique au niveau de la place est constitué de colonnes architravées. Au niveau supérieur, Boyer dispose trois doubles fenêtres sculptées. L’ensemble des trois patios qui s’élèvent sur deux niveaux, est le véritable centre d’un bâtiment en définitive très aéré, en dépit de l’image de fermeture qui l’offre à l’extérieur. De part et d’autre de l’escalier principal s’opposent les deux fêtes du Moussem et de L’Houache, grandes compositions peintes par Jacques Majorelle.

Boulevard Mohammed V

Sur plus de deux kilomètres, cette artère commerçante rassemble les plus beaux immeubles de la ville, construits pour la plupart dans les années 30. La rencontre des motifs des arts décoratifs marocains et des configurations Arts déco a produit des décors de façades originaux où les éléments ornés viennent agrémenter les façades blanches et nues caractéristiques de l'époque.



Le nom d’Anfa est utilisé sous les appellations suivantes : Bd d’Anfa, Rue d’Anfa(en Ancienne Médina), Lice d’Anfa, Impasse Lice d’Anfa, Bd Lice d’Anfa, le Val d’Anfa, Anfa Supérieur, les Hauteurs d’Anfa.

A propos d'Anfa Hotel, ci-dessous un article de presse de Raymond Lauriac, publié juste après l’achèvement des travaux de rénovation et d’embellissement de « l’Anfa Hotel » en 1947.



"Anfa est un de ces noms prestigieux qui bravent l’oubli à travers les siècles. Déjà connu des Romains, il n’est pas un habitant du Maroc qui l’ignore, pas plus d’ailleurs que les innombrables touristes ayant parcouru ce beau pays. Car on ne vient pas au Maroc sans voir Casablanca, et toute visite de cette ville comporte Anfa sur son itinéraire.
Dans la douce vie de l’avant -guerre, on allait à Anfa pour jouir de l’incomparable panorama qu’on découvre du haut de sa colline. On embrasse de la l’immense ville blanche qui semble sortir d’un rêve ,le port et sa foret de mats et enfin le magnifique ruban de cote tout empanaché d’écume qui s’étend de la piscine municipale -la plus grande du monde - jusqu’au sanctuaire de Sidi Abderrahman .Entre ces deux points s’égrènent, le long de la route en corniche, nombre de sites réputés : la pointe d’El Hank, avec ses rochers en falaise et son phare, l’arène de sable fin de la nouvelle Plage d’Ain-Diab, ainsi que le beau boisement qui vient mourir sur la ligne de dunes.

Raymond Lauriac


CASABLANCA, D' HIER ET D'AUJOURD'HUI
C'est à Casablanca, ville à forte densité d'européens (40% de la population en 1920), que sont apparus les premiers établissements scolaires français et c'est là que l'histoire du Lycée Lyautey s'est jouée jusqu'à nos jours, au rythme de l'extension spectaculaire de sa ville d'accueil.

"Casa" est tout ensemble ville d'Afrique, d'Europe et d'Amérique.

Il suffit de traverser son centre pour s'en convaincre : d'abord, les immeubles des grandes banques de l'avenue Hassan II à la modernité internationale, puis, la place Mohammed V créée sous le Protectorat dans un style bien particulier sur lequel nous reviendrons, enfin, au bout de l'avenue, derrière la Tour de l'horloge, place des Nations-Unies, l'ancienne médina.

Ce que Casablanca perd en pittoresque, elle le gagne, là, en originalité.

Cette ville n'a pas une histoire aussi prestigieuse que Fès, Meknès ou Marrakech. Ici, pas de joyau almohade ou saadien. On oublie cependant souvent qu'Anfa fut un comptoir phénicien six siècles avant J.C. Il est vrai toutefois que la cité ne prospéra guère avant le XIXE siècle puisqu'en 1830, elle ne compte que 600 habitants. Le véritable essor de la ville date de la deuxième moitié du XIXE siècle, lorsque s'installent des négociants européens afin d'exporter vers l'Europe les richesses céréalières de la plaine de la Chaouia ainsi que les textiles marocains. Au début du XXe siècle, la ville compte déjà 20.000 habitants.

Bientôt, Casablanca supplante Tanger et devient le premier port du Maroc. Mais c'est incontestablement le Maréchal Lyautey qui, engageant un mouvement de grande ampleur, fait de Casablanca la métropole qu'elle est aujourd'hui.

Nous l'avons vu, Lyautey se veut fondateur, Casablanca est un peu son œuvre.
A Casablanca, comme dans les autres villes du Maroc, la politique urbanistique de Lyautey est bien particulière. Il s'agit d'une part de conserver la ville traditionnelle et d'autre part d'expérimenter à côté de celle-ci, une ville nouvelle et d'avant garde. Ainsi, dès novembre 1912, Lyautey crée le Service des Beaux-Arts et des Monuments Historiques afin de protéger, voire de restaurer, ces médinas dont il goûtait intensément la beauté menacée.
Conservateur intégral du cadre de la cité musulmane, l'urbanisme de Lyautey est d'une grande modernité lorsqu'il s'agit de créer une ville nouvelle. Avec l'architecte urbaniste Henri Prost, Lyautey dessine les principales options du développement urbain de Casablanca. Prost dispose autour du noyau constitué par la médina, les nouveaux quartiers en demi-cercle, de manière à éviter le plan en damier, si monotone et cependant de rigueur dans la plupart des villes neuves construites aux XIXE et XXe siècles.

Reste à ériger des bâtiments. A Casablanca, on met fin au temps du "style du vainqueur" pour mettre à l'honneur le "style du protecteur". Le premier avait consisté à transporter en Afrique du Nord tout l'appareil monumental de la ville française et son décor, le second s'inspire de l'art monumental arabo-musulman dans une volonté de composer, de protéger en intégrant.

Donc, après l'exubérance du style "fin de siècle", les architectes du Protectorat adoptent ce style "hispano-mauresque" qu'ils transposent très librement dans les édifices publics et privés et qui se caractérise par la blancheur des bâtiments et la simplicité des formes extérieures auxquelles s'oppose la profusion raffinée de l'intérieur. Les bâtiments administratifs autour de la place Mohammed V, l'Hôtel de Ville, le Palais de justice, la Poste Municipale, en sont les exemples les plus achevés.

Puis, après 1920, l'esthétique Art-déco est utilisée à Casablanca, réutilisant parfois des formes traditionnelles marocaines, composant ainsi l'un des plus beaux ensembles architecturaux de cette époque sans équivalent en Europe même.

Aujourd'hui encore, l'avenue Mohammed V et les rues adjacentes révèlent au promeneur de nombreux exemples de cette architecture reconnue maintenant à sa juste valeur.

On peut déjà parler à Casablanca de course à la hauteur, chaque architecte rivalisant d'audace. Dès 1934, alors que la ville compte 250.000 habitants, on en parle comme du "New-York de l'Afrique du Nord" et son nom, dans l'imaginaire collectif est synonyme de réussite. Le film "Casablanca", tourné en 1942, achève de l'élever au rang des villes mythiques. Elle abrite alors 500.000 habitants. Casablanca doit être aussi, à cette époque, la vitrine du développement économique du Maroc, Rabat étant destinée à devenir une ville-jardin, siège des institutions et administrations du pays.

Le développement économique de la ville, dès lors, ne va plus cesser jusqu'à nos jours.

Il va s'accompagner d'une croissance démographique sans précédent, faisant de Casablanca la première ville du Maroc, mais aussi du Maghreb, l'une des grandes métropoles africaines à l'égal du Caire ou de Lagos. Le "Grand Casa" (c'est-à-dire les 5 préfectures nouvellement créées) compte plus de 3,2 millions d'habitants (chiffres officiels 1993). La population s'accroît d'année en année, alimentée par le double phénomène de la croissance démographique de tout le pays et de l'exode rural, la ville apparaissant comme dans tous les pays en développement comme un exutoire aux difficultés de la campagne.

Premier port d'Afrique du Nord, Casablanca dispose d'industries de transformation des matières premières importées. Elle est aussi le siège des grandes banques, sociétés et offices économiques du pays ainsi que des principales firmes étrangères représentées au Maroc, ce qui entretient l'aspect cosmopolite de la ville avec ses centres culturels français, espagnol, italien, américain,...

Ces dernières années, la plupart des quartiers de la ville se sont également dotés d'un centre culturel (Maarif, Anfa, Sidi Belyout, ... ).

Pôle économique et culturel, Casablanca, principale "porte d'entrée" du pays et porte ouverte sur le monde, doit aujourd'hui réguler sa croissance, donner à tous' ses habitants un cadre de vie agréable, donner à tous, les atouts pour aborder le XXIE siècle.


Christophe Primault
Professeur au Lycée Lyautey


Les Cinemas de Casablanca:

ABC

Adresse : 39, boulevard Mohammed V

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 27 52 04

Anfa

Adresse : 151, boulevard Si Abderrahman

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 36 20 67


Colisée

Adresse : 95, boulevard Onze janvier

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 31 97 14


Dawliz

Adresse : Boulevard de la Corniche

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022.39.69.43


Eden Club

Adresse : 217, rue Mostapha El Maani

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 29 44 93


El Malaki

Adresse : 84, Aït Yafalmane

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 28 12 50

Empire

Adresse : 43, boulevard Mohammed V

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 27 37 10

Le Verdun

Adresse : 24, boulevard Bordeaux

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 27 47 09


Liberté

Adresse : 87, boulevard Rahal El Meskini

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 31 46 66


Lutétia

Adresse : 19, rue Tata

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 27 70 26

Lux

Adresse : 31, avenue Lalla Yacout

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 26 80 68


Lynx

Adresse : 150, avenue Mers Sultan

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 22 02 29


Mamounia

Adresse : 60, Bachir El Ibrahimi

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 30 02 04


Mirage

Adresse : boulevard Grande Ceinture, résid. Alouahidine Aïn Sebâa

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 35 92 31


Monte-Carlo

Adresse : 18, rue Oussama Ibn Zaid

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 25 00 08


Rialto

Adresse : 35, rue Med Qorri

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 26 26 32

Rif

Adresse : 22, avenue Armée Royale

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 27 69 81


Ritz

Adresse : Med Qorri

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 29 48 10


Shahrazad

Adresse : 29, rue Ecole industrielle

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 81 35 36 \ 022 81 59 54


Zahra

Adresse : 100, rue Beni M'Guild

Préfecture/Province : Casablanca

Tél : 022 28 07 73


Soly Anidjar

Casablanca Finance Group

Adresse : 5 rue Ibn Tofail

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 25 01 01


CDMC

Adresse : 201 boulevard Med Zerktouni

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 94 07 44


CIH

Adresse : 187, avenue Hassan II

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 47 90 00


Citibank

Adresse : 52, avenue Hassan II, BP 13362

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 48 96 00


CNCA

Adresse : 44, boulevard My Youssef

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 44, boulevard My Youssef \ 022 26 96 27

Crédit du Maroc

Adresse : 48/58 boulevard Mohamed V

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 47 70 00


Eurobourse

Adresse : rue Med Errachid,Imane Centre

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 54 15 54

GBP

Adresse : Groupe Banques Populaires 101, boulevard Zerktouni

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 20 25 33


Maroc Inter Titres

Adresse : 243 boulevard Med V

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 44 94 60


MSIN

Adresse : route Rabat km 7,500 immeuble Afriquia

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 35 38 83

Safa Bourse

Adresse : 181 boulevard Massira El Khadra

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 23 59 24

SGMB

Adresse : Société Générale Marocaine des Banques 55, boulevard Abdelmoumen

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 20 09 22


Upline Securities

Adresse : 1, boulevard Anfa

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 47 51 24


Soly Anidjar


Quelques Banques


ABN Amro


Adresse : 47, rue Allal Ben Abdallah

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 20 88 00

ABN Amro Securities Morocco

Adresse : 47 rue Allal Ben Abdellah

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 29 59 59


Al Wassit

Adresse : 29 rue Bab Mansour, Espace Porte d'Anfa

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 36 93 83


BCM (c'est ici qu'a travaille mon grand-pere Moise Amsellem comme directeur de la caisse centrale de 1947 a 1966)

Adresse : Banque Commercial du Maroc
rue Gallieni

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 22 41 69 \022 29 88 88


BMAO
Adresse : 1, place Bandoeng

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 30 70 70


BMCE Bank

Adresse : 140, avenue Hassan II

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 26 62 22 \ 022 26 62 69


BMCI Le cousin germain a mon grand-pere travaillait ici il s'apellait Vidal Amsellem

Adresse : Banque Marocaine du Commerce et d’Industrie 26, place des Nations Unies

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 22 41 61


BNDE

Adresse : 181, boulevard Massira El Khadra

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 23 55 88 \ 022 23 55 89


BNSTP

Adresse : 26 rue Avesne

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 40 28 41


Bourse des Valeurs

Adresse : 225 avenue Armée Royale, angle M.Errachid

Préfecture/Province : casablanca

Tél : 022 45 26 26

Soly Anidjar


Casablanca à travers l’histoire :

Les historiens appelaient indifféremment Anfa, Anafa ou Anafi, l’air géographique qu’occupe actuellement Casablanca. Néanmoins, aucun d’entre eux n’a déterminé avec précision le vrai fondateur d’Anfa. Certains, comme Ibnou El Wazzane (Léon l’africain) prétendaient que la cité fut fondée du temps des Romains, d’autres plaidaient plutôt en faveur des phéniciens.
Cependant, la majorité des historiens affirme que se sont les berbères de Zenata qui ont construit Anfa. Celle-ci a été réputée par ses Oulémas, ses soldats et par son commerce florissant.
Sous l’égide de la dynastie Mérinide, Anfa demeure une petite ville ouverte sur les transactions maritimes avec l’étranger notamment avec l’Espagne et le Portugal.

Ses habitants furent des marins et des pirates qui n’hésitaient pas à attaquer les bateaux surtout des portugais. Ces derniers et pour protéger leur commerce envahissaient et détruisaient complètement Anfa vers l’année 1468. En 1515, les Portugais voulaient construire une forteresse mais leur défaite face aux Mérinides les a dissuadés. Puis, la cité sombra dans l’oubli et ne laissant que le mausolée de Sid Allal Quairaouani comme témoin d’une civilisation florissante.

Sous le règne de la dynastie Alaouite au temps du Sultan Sid Mohammed Ben abdellah (1757-1790) la cité renaissait de ses cendres et devenait « Dar Al Baida » (Maison Blanche) ou Casablanca selon la dénomination espagnole. Grâce aux impôts imposés aux tribus de Chaouia, le Sultan Mohammed Ben Abdellah a pu bâtir une forteresse qui servait en premier temps de camp pour les soldats et qui devint ultérieurement une destination privilégiée des tribus de Doukkala et de Chaouia.
Vers 1830, le commerce à Casablanca connaissait un développement certes lent mais régulier. Cette croissance s’est accrue d’une façon significative sous le règne de Moulay Hassan 1er à telle enseigne que Casablanca devenait un point d’attrait pour les commerçants et les artisans du royaume en général et de Fès et Marrakech en particulier.
C’est en 1912, que fut décidée la construction à Casablanca du premier grand port moderne du Royaume. C’était un tournant historique qui affecta le destin de Casablanca. Le développement économique de la Région s’est intensifié par l’activité portuaire et draina les investissements nationaux et étrangers donnant ainsi naissance à une ville moderne devenue aujourd’hui la capitale économique du Royaume.


La Conférence d'Anfa

Du 14 au 24 janvier 1943, se sont tenues à Casablanca, à l'hôtel d'Anfa, plusieurs entrevues qui allèrent changer la face du monde.Préparée dans le plus grand des secrets par les Américains, la rencontre devait réunir le premier ministre britannique Churchill et le président américain Roosevelt afin de discuter des préparatifs d'un débarquement des forces alliées en Europe. Informés par les services secrets espagnols, les Allemands, qui avaient bombardé Casablanca, 15 jours auparavant, se laissèrent abuser par la traduction de Casablanca et en déduisirent que l'entrevue se déroulerait à la Maison Blanche à Washington.
Quartier bouclé, villas réquisitionnées, la colline d'Anfa prit pendant les journées que durèrent les entrevues, communément appelée Conférence d'Anfa, des allures de place forte.

Les principaux autres sites sont :
• LISSASFA dont l’âge est estimé entre cinq et six millions d’années.
• AHLAGHLAM, vieux de 2.500.000 ans et ayant connu l’existence de « L’Heberian » l’ancêtre du cheval.
• OULEDHMIDA, comprenant plusieurs sites dont les plus célèbres sont :
- THOMAS1 : ce site témoigne de la première présence de l’être humain depuis un million d’années.
- Sidi Abderrahmane, appartenant à la fin de l’âge de la pierre. Il a donné son nom à l’homme qui a habité cet endroit pour une longue période.


Dominant Casablanca à l'ouest, la colline d'Anfa avec ses larges avenues fleuries et ses jardins verdoyants, constitue une illustration de l'architecture de 1930 à nos jours. La variété des grandes villas qui s'étagent au-dessus des piscines et cafés de la Corniche, donne au quartier un accent californien.

Mais le nom d'Anfa s'est fait connaître du monde entier par les célèbres rencontres qui s'y déroulèrent. C'est à l'hôtel d'Anfa, aujourd'hui démoli, qu'en janvier 1943 eut lieu l'entrevue historique entre Roosevelt et Churchill, désignée comme la Conférence d'Anfa. Les deux hommes y fixèrent les modalités concernant le débarquement des alliées en Normandie en 1944. Informés de l'événement, les Allemands se laissèrent abuser par la traduction littérale de Casablanca et ne purent empêcher la rencontre qui devait, selon eux, se dérouler à la "Maison Blanche" à Washington !


Les années 20

Style original, caractéristiques des premières années du Protectorat L'image d'une "Ville nouvelle" que véhiculent pionniers et colons du début du siècle, attire à Casablanca de nombreux architectes aux origines les plus diverses. Aux débuts des années 20, on compte 3 fois plus d'architectes à Casablanca qu'à Tunis. D'une manière générale, quelque soit la démarche qu'ils décident d'adopter, tous vont être largement influencés par l'art et artisanat marocain. La modernité architecturale à laquelle ils se sont tous adonnés, va être contrebalancée par l'emploi d'ornementations traditionnelles. L'utilisation des arts décoratifs marocains va se combiner aux motifs Art Nouveau et Art déco donnant ainsi naissance à un style original, caractéristiques des premières années du Protectorat. Dès lors, le pluralisme décoratif des façades des grands immeubles qui voient le jour en centre ville est la règle : les ornementations faites d'angelots, de corbeilles de fruits, ou de têtes de lions se mélangent harmonieusement aux frises en zellige, en stuc ou aux balcons en bois de cèdre comme en témoignent l'hôtel Excelsior, l'immeuble-passage du Glaoui, ou encore les bâtiments administratifs du centre ville. Les grandes villas coloniales, elles, balancent entre l'hôtel particulier parisien et celle de la côte d'azur avec leurs terrasses et leurs vérandas. Mais celles qui retiennent l'attention des critiques, et que l'on verra régulièrement citées dans les magazines d'architecture, sont les villas néo-marocaines, comme la villa el Mokri aujourd'hui démolie, aux éléments décoratifs marocains et à l'agencement rappelant les hôtels particuliers parisiens. L'arrivée d'une nouvelle génération d'architectes, à la fin des années 20, formés à de nouveaux principes, va entraîner l'abandon progressif de l'utilisation des décors appliqués.




Les années 30 :

Avec les années 30, l'heure est au dépouillement : confort et modernité sont les maître mots de la création architecturale balayant ainsi le style néo-mauresque et sa profusion ornementale.La nouvelle génération d'architectes qui débarquent à Casablanca, à la fin des années 20, n'a qu'une obsession : mettre en pratique les théories modernes apprises sur les bancs de l'Ecole des Beaux Arts de Paris.Dès lors, le travail sur les volumes remplace celui sur les décors qui laissent la place aux balcons, aux bow-window faisant gagner de l'espace ; les façades des immeubles, qui ne cessent de prendre de la hauteur, se dénudent. Les immeubles de luxe, ou ceux de production courante, tiennent compte du souci de confort qui anime la bourgeoisie casablancaise et tous sont équipés d'ascenseurs, d'incinérateurs à ordures, de garages et les appartements de salle de bain. Véritables oeuvres d'art, les immeubles de luxe du centre ville vont être baptisés du nom de leur commanditaire, faisant ainsi référence de monuments dans cette "ville nouvelle". Mais ce sont dans les villas que les architectes laissent aller toute leur ingéniosité où ils y expérimentent les dernières découvertes en matière d'habitation et de confort.Fortement impressionnés par la profusion des constructions, les critiques internationaux s'accorderont tous à décrire Casablanca comme la capitale de l'architecture moderne. Immeuble Levy BendayonLa construction de cet immeuble en 1928 par l'architecte Marius Boyer, inaugure le mouvement moderne qui caractérisera les années 30. Perçu comme une tendance forte de l'architecture moderne casablancaise, il reprend le concept du building.



Les années 50

Les années 50 marquent une ère de prospérité économique qui va fortement influer sur la production architecturale de l'époque. Trouvant écho dans la nouvelle génération d'architectes, les choix de la bourgeoisie casablancaise, fortement imprégnée de culture américaine, portent sur des villas aux accents californiens. De style ultra-moderne, les villas des années 50 sont avant tout marquées par la personnalité de leurs architectes.Oeuvres personnelles, elles étonnent par la hardiesse des leurs lignes, et par l'innovation architecturale dont elles font preuve. Mais cette liberté de ton ne fait pas l'unanimité, et les différences de style vont accompagner les différences de classe : si le style ultra-moderne séduit les classes très aisées, la petite bourgeoisie se fait construire, dans les quartiers du CIL, des villas au style métissé reprenant les grandes lignes de l'architecture méridionale. Mais les années 50 vont avant tout être profondément marquées par l'invention de "l'habitat pour le plus grand nombre" mis en place par Ecochard et son équipe en 1950. Le développement des programmes publics de logement donne ainsi naissance à de grands ensembles d'habitations bon marché destinés aux musulmans, aux israélites, et aux européens. Ainsi, par exemple, la cité d'habitation des carrières centrales devait permettre de résorber les bidonvilles tout en offrant aux musulmans des habitations respectant les habitudes traditionnelles ; la cité d'el Hank, prévue pour reloger les 18 000 israélites de l'ancienne médina, ou encore la cité de Bournazel (1954) destinée à une clientèle européenne très modeste.Parallèlement, la multiplication des loisirs de masse entraîne le développement des clubs privés sur la corniche, la construction de nouvelles salles de cinéma, comme le Lutetia en 1950 ou encore le développement des stations services et garages, dont le garage Volvo en 1950 constitue un exemple architectural étonnant.La culture architecturale des années 50 se poursuivra après l'Indépendance jusque dans les années 80, où on verra l'irruption des thèmes post-modernes. Villa Sami SuissaPremière construction du genre, la villa construite par Jean François Zevaco en 1947, a inauguré le style ultra moderne caractéristique des années d'après guerre. Jugée révolutionnaire, la villa, maintes fois citée dans les revues internationales d'architecture, est aujourd'hui devenue l'un des emblèmes de la ville. Aérographe de Tit MellilNul mieux que ce monument illustre la liberté de création dont on fait preuve les architectes d'après guerre. Construit en 1953 par Jean François Zevaco, l'aérogare, avec sa structure en béton brut associé à ses murs blancs, rompt avec la tradition architecturale des édifices publics construits jusqu'alors. Immeuble LibertéAvec ses 17 étages, l'immeuble Liberté, construit en 1949 par Léonard Morandi, était considéré comme "la première expérience africaine à grande hauteur pour immeuble à appartements". Situé sur le boulevard Zerktouni, il est aujourd'hui l'un des symboles de la ville.


Le nom de Casablanca, doit son appellation au fait que jadis, les marins espagnols qui longeaient cet endroit, l'identifiaient par une petite maison blanche juchée sur la colline d'Anfa,"La Casa Bianca". De fil en aiguille et avec les idiomes locaux, cela a fini par donner Casablanca.



Histoire

On retrouve le nom d'Anfa dans des textes du XIe siècle, faisant remonter ainsi sa fondation (par les Zénètes) à cette époque. Léon l'Africain la mentionne également comme une petite ville au XVe siècle. En représailles, les Portugais, à la fin du siècle, décident de l'attaquer, 50 navires et 10 000 hommes à la charge. Les habitants d'Anfa, n'étant pas en mesure de défendre la ville, la désertent définitivement pour Rabat et Salé. La ville sera détruite et restera inhabitée pendant trois siècles. En 1770, le sultan Mohamed Ben Abdallah décide de reconstruire cette place pour la préserver d'un débarquement de Portugais qui venaient de perdre alors la ville de Mazagan (El Jadida). La ville est appelée Dar El Beida (maison blanche ou casa blanca en espagnol). D'emblée, le sultan la dote d'une mosquée, d'une medersa et d'un hammam. À partir du XIXe siècle, la ville se développe grâce au boom de l'industrie du textile où Casablanca devient l'un des grands fournisseurs de laine. En 1860 il y avait 4 000 habitants pour 9 000 habitants à la fin des années 1880. La ville décide donc de se doter d'un port moderne, aidée par la France. La population sera en 1921 de 110 000 dû en grande partie aux bidonvilles. En juin1907, les Français développent le réseau ferroviaire près du port mais celle-ci passait à travers un cimetière, ce qui eu pour conséquence des émeutes entre les travailleurs français et les résidents. La France envoie des troupes pour rétablir l'ordre et prend le contrôle de la ville et commence le processus de colonisation. Durant les années 1940 et les années 1950, de nombreux émeutes anti-occupation ont lieu dont un attentat au marché central de Casablanca le jour de Noël1953 (18 morts). Entre-temps, elle fut un port stratégique durant la Seconde Guerre mondiale pendant laquelle elle accueillit la conférence de Casablanca (sommet anglo-américain de 1943). Le 2 mars1956, la France reconnut l'indépendance du Maroc, la ville développe alors le tourisme et devient le pôle économique du pays (bien que Rabat reste la capitale).


Place Mohammed V et ses abords

A la place de France, rebaptisée place des Nations-Unies, destinée aux activités commerciales, fait pièce la place Administrative, l'actuelle place Mohammed V, aménagée au début des années 20. Entourée de bâtiments de style néo-mauresque, cette place institutionnelle qui symbolisait le pouvoir colonial, reste le centre de représentation officielle de l'actuelle région du Grand Casablanca. Dans le prolongement de la place, l'avenue Hassan II est bordée d'immeuble années 30 et rassemble les principaux sièges d'assurances et de banques.




Le quartier du Parc

Le quartier du Parc, archipel de verdure et de calme, situé à proximité du centre ville, a été relativement préservé. Dans la rue d'Alger, la rue du Parc, et le boulevard Moulay Youssef, bordés de magnifiques palmiers, on peut encore contempler quelques magnifiques villas Art nouveau ou Art déco des années 30, même si la plupart ont laissé la place à des immeubles de construction récente. Certains bâtiments rappellent l'esthétique de la place Administrative, avec les tuiles vertes comme l'Agence Urbaine de Casablanca ou l'école des Beaux Arts située à proximité.


POUR MOI CASABLANCA C'EST:

cette liste a ete faite par moi, en 2006, completer-la

le cinema ABC
Cinema Triumphe
boulevard D'Anfa
boulevard de la Gare
Place de France
cinema l'Arc
Bourgogne
Place de Verdun
Sidy Belyout
Le phare
Bab Marrakech
Rebbi Liao
Derb Ghaleff
Maarif
La grande poste
Le park des jeux
Les Arenes
Le Theatre Municipal
Le D.L.P.derriere les planche la bhira
El balla la friperie
Le restaurant le Nid d'Hirondelles face au College ou j'ai etudie a Bourgogne
La corniche
Les plages et les piscines de Ain-Diab
Taiti, Kontiki, Lido, Miami, Bandol
Les plages de Fedala et Zenata
La foret du mimosa
La cascade
Le Marche Central
Oliveri
La minodiere
La Priciere
Galeries Lafayette
La maison de blanc
Le palais de la lingerie
Patisserie Bennis
Le Mellah
Les Lycees Lyautey
Le port
Les canons
La statue du Marechal Lyautey
Stade Phillips
Stade Marcel Cerdan
Sidi Abdelrahman
La foire Internacionale
La piscine Municipale
Passage Sumica
Passage Glaoui
Passage Tazi
Passage Liberte
Passage Gallinari (boulevard Mohamed V numero 95 c'est ici que vivaient mes grands parents)
clinique Cohen
Clinique Clara
Clinique Val D'anfa
le four de la rue Jacquemin
le four de la rue Karachi angle rue Pierre Parent
Beausejour
Le Zoo de Ain-Sebaa
Cinema Verdun
La Banque Commerciale du Maroc ou mon grand-pere Moise Amsellem etait directeur de la Caisse Centrale.
La compagnie Algerienne
La BMCI
Le cafe de France
Le Rich Bar
Le cafe Des Negociant
Cafe Lafayette rond-point Shell
Cafe Marignan
Le Bar Lyonnais
Brasserie Monparnass
Derb Omar
Cinema Liberte
Quartier Racine
Les Roches Noires
Le 1 bis autobus electrique
la CTM, le Pullman du Sud qui voyageait tous les soir a 21 h a Agadir
La vigie
Le petit Marocain
Igloo
La preferance
Bata
Scali
Le pous pous Parisien
Magasins Eric Landeau
Monoprix
Rond-point Chimicolor
La SMD devenu RAD
Le quartier chaud de BOUSBIR
Le cinema Lynx
Immeuble Ettedgui
Immeuble de l'habitat d'El hank
Immeuble Bessoneau
Hotel El Mansour
Hotel Marhaba
Avenue des Forces Armees Royale
L'OSE
L'ORT
Cinema Lutetia
Hotel Lincoln face au Marche Central
Cabaret Negresco
Cabaret La Puerta Del Sol
Le Cabaret de Salim Lahali Au coq d'Or
La Sirene de Midi
L'horloge en plein Place de France
Le port qu'on voyait depuis notre Terrasse
les motifs des trottoirs de Casa ou les talons aiguilles a maman restaient plantes.
Les immeubles derriere le marche Central avec des pilliers des balcons et des motifs romains.
La Synagogue Bet-El a la Rue Verlet Anus
les photographes de rue
Le Magasin de disque de Samy Elmaghribi Place de Verdun.
Le Trianon
L'eglise Saint Francois (cinema des peres) ou on allait tous les dimanche sur Dupleix
L'immeuble Shell
La Boulangerie Le Lys D'or au rond-point Shell
La station de bus TAC a la Place de France.
le coup de canon pour le Ftor du Rammadan
Derb Lingliz
Derb Sltan
Le cirque Amar
Le theatre a Rita Au Parc Des Jeux
Patoche Le clown du cinema Opera.
La rue du Commandant Provost
Charcuterie Amsellem
Cabaret La Guiguette
les petits taxis
les grands taxis
les porteurs de bab Marrakech
Les cireurs dans les Passages et dans les terrasses de cafe
Le vendeur de journaux qui crie "Lavigie"
Le vieux Habit
Le Stade Lyautey
Banque D'etat du Maroc
La base americaine de Nouasseur
La tour de l'horloge face aux rempats
la grande Mosquee en pleine Medina
Cinema Vox
Cafe Vox
les vins de Sidi Larby face a notre maison rue Pierre Parent
Hotel Anfa
Cafe de Paris
Le roi de la biere
l'entract dans les cinemas
Librairie Simon Krispine au passage Sumica
Le discaire ou on achetait tous nos disques au passage Sumica
Les marchand d'eau de bab Marrakech
Hopital Maurice Gaud
Hopital Colombani
Les couchers du Soleil un soir d'ete sur la corniche (unique au monde)
Les chourros
Les buvards, les bons points, la vache qui rit, les boissons cruch, jus d'or, javel la croix,
moutarde Amora moutarde de Dijon qui nous montaient au nez, aspirine Aspro, pastilles Valda, Eau Oulmes, pates Famo, le flit-tox, levure alsacienne Alsa, la centrale laitiere, mir nettoie tout, le savon de Marseille, les magasins Polichinel qui vendaient des culottes et tricots de peau en gros, mes parents allaient une fois par mois et nous achetaient des tricots de peau et des culottes pour 10 ans jajaja apres 40 ans il y a encore a la maison.
Le Laboratoire de Aboudaram ou on faisait les analyse de sang
Sam Ambulance, Sam etait un ami a mon papa, et sa femme Simy etait la sage-femme a maman, je suis en contact avec ses enfants en Suisse.
Tous les docteurs de casablanca.
Le docteur Leon Benzaquen ministre du roi qui m'a sauve la vie en 1964
Chaussures Bally
Chaussures Scali
Zohra El Fassya (elle avait sa fenetre face a la fenetre a ma cousine Coty Elkharat et on l'entendait chanter toute la journee)
Samy Elmaghribi ma famille achetait les disques dans son magasin de disque et je me souviens lorsque son epouse a accouche les triples (chose rare a la fin des annees 50)
Albert Suissa
Salim Lahlali
Le petit Sami
Ishak el Houel
Photo Pollak
Photo verdun
Cafe Cerdan
Yhia El tabakh le plus grand cuisinier de Casa (j'ai plusieurs photos a lui)
Monsieur Corcos le Mohel dont sa fille est Chelly Corcos.(j'ai plusieurs photos a lui)
La synagogue Ettedgui, dont son fils est notre Albert Ettedgui.
La synagogue Elias Hazan ou maman et papa se sont maries.
La salle des fetes de l'avenue des Forces Armes Royale ou on celebrait les mariages et bar-mitsva


Soly Anidjar


Chers Casablancais racontez nous vos souvenirs,

Chacun de nous va se souvenir d'au moins une ou deux histoires vraies, ou d'un monument, ou d'une rue, ou d'une école, d'un cinéma, d'une place, d'un camarade, d'un saint, d'une fête, d'une rue, d'un boulevard, d'un quartier, d'un voisin, d'un directeur d'école, d'un prof,de bab Marrakech, de la bonne, du porteur, de la CTM, du pullman du sud qui partait tous les soirs vers Agadir et que je voyais stacionner tous les soirs face au marche central, les marches, les chanteurs, les docteurs, les infirmiers, les Galleries Lafayette,l es glaciers,l es cafes, le theatre,l es patisserie,Yhia el tebah, le plus grand cuisinier les mariages,les piscines, les plage, le zoo a Ain-Sebaa,l e parc des jeux, la statue du Marechal Lyautey,l es jeux de notre enfance, les chansons de moustapha, gege l'ecolier et la chanson de la bombe atomique, le scoubidou,l e houla-op, les matinees enfantines au cinema Opera avec le clown Patoche, la dame qui marchait a 4 pattes, la dame qui se maquillait et portait 2 ou 3 chapeau sur sa tete et se promenait au boulevard de la gare, les 3 lepreux qui etaient assis sous l'immeuble Shell et pres d'eux un homme completement paralyse par l'huile frelatée empoisonnée je me souviens tres bien de ce drame, allez bidaouiin, casawouiin, anfawouiin, casablancais, racontez nous vos souvenirs.

Soly Anidjar


mon cousin Marc Anidjar qui vit encore a Casablanca le 2 eme a partir de gauche et le mohel Monsieur Corcos en toque blanche en 1964 a Casablanca, le bebe est mon cousin Gad qui vit a Casablanca

Soly Anidjar



Pièces jointes:
soly 8.jpg
Encore une photo de ma famille en 1966, le bebe est le fils a mes cousin Marc et Celia Anidjar (ils sont tous les 2 mes cousins) qui habitent toujours Casa, ma cousine Celia avec le chignon, tita Rica Anidjar, la soeur a mama Hanna ma grand-mere paternelle est derriere elle, a gauche le frere a Celia Mahe Gabbay, on voit "la y rahmou" le mohel Corcos, c'est lui qui faisait toutes les brit-mila de notre famille, avec les lunettes a droite le frere a mama Hanna ma grand-mere paternelle tito Salomon Gabbay le pere a Mahe et a Celia.

c'est grace a dafina que j'ai retrouve mes cousins Celia et Marc Anidjar il y a 4 ans.


Soly Anidjar



Pièces jointes:
soly 9.jpg
J'ai remarqué sur plusieurs photos et autres sites qu'à l'époque les kipottes n'étaient pas à disposition de tout le monde que ce soit en brith mila, kidouchims divers, dans les cimetières c'étaient toujours des serviettes de table ou des mouchoirs, c'est drôle non?smileys with beer
Bonjour Casaville toi qui connait mes cousins tu a du voir sur la photo du haut mon cousin Marc Anidjar le frere a Leon.
pour les kippotes c'est incroyable les hommes portaient pour se couvrir la tete, un mouchoir plier en 4, un mouchoir noue aux 4 coins ou serviette de table nouee aux 4 coins ou pliee, ou simplement ils se couvraient la tete avec la main droite, c'est une habitude juive marocaine qui est restee jusqu'a aujourd'hui.


papa avait travaille avec Ernest Amoureux au Maarif rue des Alpes 20 et 22, pendant 12 ans, Ernest etait un francais chretien marie a une musulmane il a eu 7 enfants avec elle, chers enfants a Ernest si vous lisez ces quelques lignes je vous embrasse tres fort, je me souviens lorsque vous veniez avec papa a la maison pour les cours de plomberie, mes parents etaient tres lies a votre papa, qui venait prendre tous les dimanche l'aperitif chez nous.
Ernest Amoureux, s'etait ensuite associe a monsieur Jirard, et la compagnie est devenue Amoureux et Jirard,
Monsieur Jirard n'avait pas d'enfant on allait ensemble le dimanche a la plage de Fedala et de Zenata avec mes parents, nous les enfants, monsieur Jirard et son epouse et monsieur Amoureux et quelques un de ses enfants.

papa a travaille dans tout le Maroc avec cette compagnie, surtout des annees a Marrakech, il venait vendredi et repartait le lundi matin.
Soly Anidjar
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Pièces jointes:
soly 7.jpg
Le 2 eme a gauche le plus grand cuisinier de Casablanca et peut-etre de tout le Maroc, Yhia el tebakh, ici a l'occasion du mariage en 1960 a mes cousins Marc et Celia Anidjar, a gauche le frere a Marc, mon cousin Leon Anidjar.
regardez les talons, les coiffures, les robes, et la table ronde.

Soly Anidjar.



Pièces jointes:
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