katrina-une page sombre dans l'histoire americaine

bien que souvent contre la force de la nature, on n'y peut rien faire que prier ou etre mieux prepare. dans le cas de cette catastrophe immense KATRINA vient d'ecrire une page sombre dans l'histoire de mon pays.
rien dans cette tragedie n'etait inattendu,des dizaines d'etudes, d'enquetes et de rapports ont ete poses sur toutes les tables de toutes les autorites locales.ils portaient tous le meme message, que dans le cas d'un ouragon de cette magnitude, new orleans sera noyee et detruite jusqu'a sa base,pour sa situation topographique, etant quelques metres au dessous de niveau de mer, ses nombreuses digues, les fondations de ses batiments et surtout etant sur le chemin de la saison de cyclones. et pourtant rien, absolument rien n'a ete fait.une etude preparee en 2002 a prevu jusqu'au moins detail tous les malheurs que nous voyons, cette etude a aussi prevu que meme dans le cas ou il y aurait assez de temps pour avertir les habitants d'evacuer la ville, il y restera quelques milliers qui ne pouront pas evacuer ou se deplacer.136.000 d'infortunes sont restes coinces et laisses a leur sort, dans la grande majorite des pauvres qui n'ont aucun moyen de transport ou d'argent pour prendre des bus a des prix fous.
que les autorites judiciaires et l'armee elle meme evacuent la ville en laissant ces malheureux a leur sort est une honte et un peche pour lesquels certains vont avoir des comptes a rendre. dans leur fuite impudique,ces affrontes ont envoye 25.000 malheureux trouver un refuge dans un stade sans hygiene, sans clime, sans eau ni nouriture, des femmes, des bebes, des infirmes et des vieux qui n'avaient plus personne pour les proteger. certains d'entre eux racontent que meme au moment ou le deluge se dechainait dehors,il fallait qu'ils fassent la queue dehors car il y avait quelques gardes qui fouillaient les maigres possesions de ces gens avant d'etre permis de rentrer!!
quatre jours apres le deluge,des milliers sont toujours abandonnes sur leur toits ou noyes dans leurs trous sans eau fraiche,sans nourriture et sans loi. il n'ya plus que les pillards , le viol et l'anarchie complete dans une ville sans loi ou ni l'armee ni la police n'osesnt encore mettre le pied. un des rescapes a repondu a la question si la police etait deja la, qu'il croyait voir jesus avant de voir la police....tout a detraque d'un coup et c'est la pagaille complete.
ce n'est pas le pays que je connais, ce n'est pas le pays qui est toujours le premier a travers le monde la ou il ya un desastre pour porter secours a tous les malheureux du monde sans difference de race de couleur ou religion.
il ya certainement de nombreuses raisons pourquoi cette agonie continue, mais il ya une raison pourquoi elle doit s'arreter immediatement, parce que ceux sont des gens pauvres, faibles, sans moyens et sans privilege. et que ce pays porte tous ses citoyens au meme niveau d'egalite et c'est le moment de le demontrer
ca me ramene une douzaine d'annees en arriere, en janvier 1994 j'ai ete moi meme victime du tremblement de terre a los angeles, ma maison a ete completement rasee et pour quelques jours mes enfants et moi sommes devenus des refugiers pour quelques jours dans un park, mais a l'image de ces milliers de tentes qui se dressaient devant nous dans un clin d'oeil et ces centaines de camions de l'armee qui offraient de l'eau fraiche de la nouriture et des couvertures,malgre mon malheur j'etais fier alors de mon pays, je ne le suis pas aujourd'hui.
albert

Cher Albert ,

Je suis très émus de ce déluge qui est tombé sur New- Orléans , cela fait très mal.
Aujourd'hui , nous sommes tous Américains.

Simon S.

Auteur: ness (IP enregistrée)
Date: 2 septembre 2005, 01:34


Bonsoir,

une pensée pour les familles victimes de cette enorme catastrophe
a la Nouvelle Orleans ,la Floride ,nos amis marocains et americains

ben

Auteur: bebert (IP enregistrée)
Date: 2 septembre 2005, 05:23


Une pensee aussi pour ces mille ames perdues en irak pour leur seul crime d'aller prier un jour de fete.
les batiments, les maisons et les business ca se replace,contre les catastrophes de la nature on ne peut rien faire.
mais qui va replacer ces milles ames, femmes et enfants morts pour avoir ete des shyites?
je suis personnellement decu que la presse americaine soit occupee avec la catastrophe locale et que le malheur de ces pauvres innocents en irak est presque inapercu.
albert

Auteur: Rico (IP enregistrée)
Date: 2 septembre 2005, 06:40


A bebert,
chapeau !

A tous les sinistres:
je dois aussi penser a cet homme de N.Orleans avec ces trois petits enfants, qui vient de perdre sa femme dans le deluge. Ils etaient tous sur le toit de la maison quand celle-ci se cassait en 2 et le pauvre a essaye de tenir le bras de sa femme qui etait entrain de se noyer. Ca femme lui a dit:" Tu peux plus me prendre pour longtemps, laches moi et occupes toi des enfants". Depuis, il ne l'a plus revu.

Auteur: ness (IP enregistrée)
Date: 2 septembre 2005, 10:00


Bonjour,

je suis tout a fait d accord avec vous deux,
c est inimaginable ce qu une simple rumeur peut provoquer
des milliers d hommes femmes enfants qui seront marqués pour le restant de leur vie ,et cela tous les jours dans tout les coins du monde,
je trouve que la vie n est pas aussi belle que le pretendent certains ,surtout pour les victimes (leur famille ,leurs proches)des catastrophes ,des attentats epidemies et autre...
mais dit on l espoir fait vivre

ben

il y a deux poids deux mesures pour la couverture médiatique ,quand il s'agit des victimes en irak ,bengladech ,martinique ou niger c'est quelques minutes à la télé ,quand c'est aux usa c'est des semaines de direct reportages..,alors qu'il s'agit des memes etres humaines qui méritent tous le respect ici et ailleurs

Simple question:
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est-ce qu'il y a que des noirs qui habitent New Orleans?
Je sais que c'est la capitale du Jazz, mais en regardant tous ces reportages, c'est la question que je me pose tout le temps.

Please read!! Ythis is not over yet!!


New Orleans Left to the Dead and Dying

By ALLEN G. BREED, Associated Press Writer1 hour, 35 minutes ago

The last bedraggled refugees were rescued from the Superdome on Saturday and the convention center was all but cleared, leaving the heart of New Orleans to the dead and dying, the elderly and frail stranded too many days without food, water or medical care.

No one knows how many were killed by Hurricane Katrina's floods and how many more succumbed waiting to be rescued. But the bodies are everywhere: hidden in attics, floating among the ruined city, crumpled on wheelchairs, abandoned on highways.

The last refugees at the Superdome and the convention center climbed aboard buses Saturday bound for shelters, but the dying goes on.

Gov. Kathleen Blanco said Saturday that she expected the death toll to reach the thousands. And Craig Vanderwagen, rear admiral of the U.S. Public Health Service, said one morgue alone, at a St. Gabriel prison, expected 1,000 to 2,000 bodies.

Touring the airport triage center, Senate Majority Leader Bill Frist, R-Tenn., a physician, said "a lot more than eight to 10 people are dying a day."

Most were those too sick or weak to survive. But not all.

Charles Womack, a 30-year-old roofer, said he saw one man beaten to death and another commit suicide at the Superdome. Womack was beaten with a pipe and being treated at an airport triage center, where bodies were kept in a refrigerated truck.

"One guy jumped off a balcony. I saw him do it. He was talking to a lady about it. He said it reminded him of the war and he couldn't leave," he said.

Three babies died at the convention center from heat exhaustion, said Mark Kyle, a medical relief provider.

But some progress was evident. The last 300 refugees at the Superdome were evacuated Saturday evening, eliciting cheers from members of the Texas National Guard who had been standing watch over the facility for nearly a week as some 20,000 hurricane survivors waited for rescue.

The convention center was "almost empty" after 4,200 people were removed, according to Marty Bahamonde, a spokesman for the Federal Emergency Management Agency.

At the convention center, where earlier estimates of the crowd climbed as high as 25,000, thousands of refugees dragged their meager belongings to buses, the mood more numb than jubilant. Yolando Sanders, who had been stuck at the convention center for five days, was among those who filed past corpses to reach the buses.

"Anyplace is better than here," she said.

"People are dying over there."

Nearby, a woman lay dead in a wheelchair on the front steps. A man was covered in a black drape with a dry line of blood running to the gutter, where it had pooled. Another had lain on a chaise lounge for four days, his stocking feet peeking out from under a quilt.

By mid-afternoon, only pockets of stragglers remained in the streets around the convention center, and New Orleans paramedics began carting away the dead.

A once-vibrant city of 480,000 people, overtaken just days ago by floods, looting, rape and arson, was now an empty, sodden tomb.

The exact number of dead won't be known for some time. Survivors were still being plucked from roofs and shattered highways across the city. President Bush ordered more than 7,000 active duty forces to the Gulf Coast on Saturday.

"There are people in apartments and hotels that you didn't know were there," Army Brig. Gen. Mark Graham said.

The overwhelming majority of those stranded in the post-Katrina chaos were those without the resources to escape — and, overwhelmingly, they were black.

"The first few days were a natural disaster. The last four days were a man-made disaster," said Phillip Holt, 51, who was rescued from his home Saturday with his partner and three of their aging Chihuahuas. They left a fourth behind they couldn't grab in time.

Tens of thousands of people had been evacuated from the city, seeking safety in Texas, Tennessee, Indiana and Arkansas.

Texas Gov. Rick Perry warned Saturday that his enormous state was running out of room, with more than 220,000 hurricane refugees camped out there and more coming.

Emergency workers at the Astrodome were told to expect 10,000 new arrivals daily for the next three days.

In Washington, Transportation Secretary Norman Mineta announced that more than 10,000 people had been flown out of New Orleans in what he called the largest airlift in history on U.S. soil. He said the flights would continue as long as needed.

Thousands of people remained at Louis Armstrong New Orleans International Airport, where officials turned a Delta Blue terminal into a triage unit. Officials said 3,000 to 5,000 people had been treated at the triage unit, but fewer than 200 remain. Others throughout the airport awaited transport out of the city.

"In the beginning it was like trying to lasso an octopus. When we got here it was overwhelming," said Jake Jacoby, a physician helping run the center.

Airport director Roy Williams said about 30 people had died, some of them elderly and ill. The bodies were being kept in refrigerated trucks as a temporary morgue.

At the convention center, people stumbled toward the helicopters, dehydrated and nearly passing out from exhaustion. Many had to be carried by National Guard troops and police on stretchers. And some were being pushed up the street on office chairs and on dollies.

Nita LaGarde, 105, was pushed down the street in her wheelchair as her nurse's 5-year-old granddaughter, Tanisha Blevin, held her hand. The pair spent two days in an attic, two days on an interstate island and the last four days on the pavement in front of the convention center.

"They're good to see," LaGarde said, with remarkable gusto as she waited to be loaded onto a gray Marine helicopter. She said they were sent by God. "Whatever He has for you, He'll take care of you. He'll sure take care of you."

LaGarde's nurse, Ernestine Dangerfield, 60, said LaGarde had not had a clean adult diaper in more than two days. "I just want to get somewhere where I can get her nice and clean," she said.

Around the corner, a motley fleet of luxury tour buses and yellow school buses lined up two deep to pick up some of the healthier refugees. National Guardsmen confiscated a gun, knives and letter openers from people before they got on the buses.

"It's been a long time coming," Derek Dabon, 29, said as he waited to pass through a guard checkpoint. "There's no way I'm coming back. To what? That don't make sense. I'm going to start a new life."

Hillary Snowton, 40, sat on the sidewalk outside with a piece of white sheet tied around his face like a bandanna as he stared at a body that had been lying on a chaise lounge for four days, its stocking feet peeking out from under a quilt.

"It's for the smell of the dead body," he said of the sheet. His brother-in-law, Octave Carter, 42, said it has been "every day, every morning, breakfast lunch and dinner looking at it."

When asked why he didn't move further away from the corpse, Carter replied, "it stinks everywhere, Blood."

Dan Craig, director of recovery at the Federal Emergency Management Agency, said it could take up to six months to get the water out of New Orleans, and the city would then need to dry out, which could take up to three more months.

A Saks Fifth Avenue store billowed smoke Saturday, as did rows of warehouses on the east bank of the Mississippi River, where corrugated roofs buckled and tiny explosions erupted. Gunfire — almost two dozen shots — broke out in the French Quarter overnight.

In the French Quarter, some residents refused or did not know how to get out. Some holed up with guns.

As the warehouse district burned, Ron Seitzer, 61, washed his dirty laundry in the even dirtier waters of the Mississippi River and said he didn't know how much longer he could stay without water or power, surrounded by looters.

"I've never even had a nightmare or a beautiful dream about this," he said as he watched the warehouses burn. "People are just not themselves."

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Associated Press reporters Kevin McGill, Robert Tanner, Melinda Deslatte, Brett Martel and Mary Foster contributed to this report.

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Les inondations du Sud des USA, ont reveillé en moi un souvenir ancien.

J'ai passé mon enfance à Ksar el Kebir (alcazarquivir), ville qui était tous les ans inondée par le Loukos. Ce fleuve capricieux, pouvait déborder plusieurs fois par an, inondant nos maisons d'un mètre ou plus d'au boueuse. Nous étions tous pauvres là bas, parès les inondations, il ne nous restait pas grand-chose.

A chaque fois, apparaissaient des camions pleins de farine, de fromage, de beurre, de lait en poudre, mais aussi des vêtements et des chaussures. Cela tombait bien, les fêtes de Roch_Hachana ou hanouca n'étaient jamais très loin.

Ces sacs portaient tous, des mains qui se serrent. Nos bienfaiteurs étaient la JOINT (American Jewish Joint distribution Committee).

Cette formidable instritution existe encore:

[www.jdc.org]

Elle se mobilise aujourd'hui pour les victimes de Katrina. Si vous voulez aidez, vous pouvez le faire sur le site suivant : [secure.ujcfederations.org]

Soyez généreux avec nos amis americains...


Pour les nostalgiques, une photo des crues d'Alcazquivir....En face EL DIWAN (le quartier juif de l'époque...)


Pièces jointes:

Je suis attristé pour les ravages qu'a causé le cyclone à la nouvelle Orléans en laissant derrière lui beaucoups de victimes et une image de désolation... Il y a des gens qui ont survécu mais ont perdu tout ce qu'ils possédaient je leur souhaite beaucoup de courage .

Bonjour

Je suis aux US dans le Maryland loins de la Louisiane mais la tragedie est presente. Les drapeaux sont en berne partout et la tele ne cesse de diffuser des images en boucle. C est terrible. Des collecte sont organisees partout.

L ouragan a touche les populations qui n avaient pas la possibilite de quitter la ville de la Nouvelle Orleans avant la catastrophe, les plus pauvres et aussi les handicapes et les personnes agees.

Nous ne pouvons que penser a tous ces pauvres gens et les aider dans la mesure de nos posibilites.

JUSTE UNE PENSEE POUR NOTRE AMI ALBERT ABITBOL DU TEXAS

ALBERT NOUS SOMMES AVEC TOI ET NOUS T ADRESSONS NOS PLUS AFFECTUEUSES PENSEES EN CE MOMENT D OURAGAN.

J ESPERE QUE TOI ET TA FAMILLE NE SOUFRIREZ PAS TROP DU PASSAGE DE CET OURAGAN ET QUE TOUT RENTRERA TRES VITE DANS L ORDRE.

MARCELLE

Merci Mes cheres amies!!!!!!

Pour nous ici "In the deep heart of Texas (La Ville de Killeen 81000 habitants et alors que nous esperions avoir un peu de pluie de cette fameuse Rita et afin de nous rafraichir apres plus de 3 semaines de temperatures entre 35 et 40 C.:>{( !!) Nous etions decus!!!! pas une seule goutte de pluie!!!! alors que ceux qui habite la cote du golf ces malheureux ont vraiment souffert!! Mais je peux dire que cette fois-ci l'aide a ete beaucoup plus rapide et bien organize !!
Bien sure nous avons recuent les refugies de la cote du golf et aussi participe benevolement a leurs aide.
Ma ville que j'habite depuis 1980 grace a dieu n'a jamais soufferte d'aucun mauvais element naturel!!! et je ne l'echangerai pour rien au monde!! Pour nous c'est la plus belle ville du monde entier!! cout de vie, achat de maisons pas d'embouteillage ni de pollution!!
Come to Texas!! it feels just like another country!!
Pièces jointes: