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Pourquoi le communisme n'a pas march? ??

Envoyé par slimane 
Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
30 octobre 2005, 08:04
a mon avis il n'a pas marché parceque l'homme est un salo , wld l'7ram
et il ne pense qu'a lui meme * ....

c'est vrai pour moi aussi puisque je suis un homme !!
Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
30 octobre 2005, 09:18
le communisme est contre nature tout simplement
la meilleure illustration du communisme c est le kibbutz et meme ca ca cest casse la figure tout simplement paRce que les hommes ne sont et ne seront jamais egaux
c est contre nature
un proverbe chinois dit: :quand les gros maigrissent, les maigres meurent'
IL FAUT DONC DES RICHES POUR FAIRE VIVRE LES MAIGRES CEST INJUSTE MAIS LE MONDE EST AINSI FAIT.
Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
30 octobre 2005, 10:58
Mariouma,

Ton charme, (du moins sur la photo) est incompatible avec tes idées, comment oses-tu dire ces horreurs ?

Et qui plus est,Tu as une mavaise définition du communisme, pose la question à souiri il se fera un plaisir d'y répondre..

A un de ces jours

larbi
Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
30 octobre 2005, 11:46
sur quelle photo m as tu vue larbi?
tu es communiste?
franchement donne moi un exemple de pays communiste ou le peuple est libre et ou les gens sont egaux! ex urss? cuba? chine?
en tant qu ideologie c est une idee noble ..qui ne souhaite pas plus de justice sociale? mais en realite c est irrealisable parce que contraire a la nature humaine..
Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
30 octobre 2005, 13:33
Mariouma,

Il me semble avoir deviné que c'était toi sur une des photos du séjour des 2 jeunes touristes marocains en Israel (sauf erreur de ma part), ou alors je t'ai tout simplment imaginé ainsi.

Larbi
Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
30 octobre 2005, 18:07
LARBI
le monde n'a pas besoin de communisme, ce dont il a besoin c'est un peu plus de justice et de compassion l'un pour l'autre. si tu veux t'en debarrasser de cette idee une fois pour toute, vas voir les enfants affames de la coree du nord.

bebert
Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
30 octobre 2005, 21:13
pour voir ma tete il vaut mieux vous brancher sur recherche et taper "mariouma album de famille" la vous verrez ma tete d il y a quelques annees et toute ma famille.
Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
31 octobre 2005, 01:31
Avec tous mes rescpects pour Larbi, il n'est pas communiste sinon il n'aurais pas dit a Marrackchi qu'il s'est frotté au plus fort que lui ( Souiri ) ....
Larbi croit en la force donc il est plutot nitzchien comme moi ! zaratoustra a raison dans ce monde seul la PUISSANCE compte, ( la puissance ?! HA HA HA HA ..., finalement tous est a ramener
au ventre et au bas ventre !! et c'est pourquoi le communisme a echoué !! ).

Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
31 octobre 2005, 02:44
Le communisme est une connerie de siecle dernier, l'ultra liberalisme est la connerie de ce siecle.
Les gens ont le droit de gagner leurs vies et de profiter de leurs biens comme ils le souhaitent, sans oublier les pauvres vers qui nous avons un devoir.
Le destin de chaque est peut êre ecrit mais c'est possible de le changer !!

alors ni communisme ni ultra libeartlisme mais un juste milieu.

Quand à toi slimane réflichit à tes phrases, nous sommes la pour construire et non pour s'affronter puisque seuls nos ancetres connaissent la verité.

Un salut de Marrakech où je passe des belles vacances dans mon quartier pas loin de mellah.

par l'occasion passer voir La synague de casbah, elle a été completement refaite , elle est devenue un bijou.
Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
31 octobre 2005, 04:40
Sans rancune, frero : ils t'ont dit de soigner tes phrases et tu m'a
dit de reflechir a mes phrases : rien ne se perd tous se transforme ...
je n'ai jamais vu un travail solide sans douleur ! ... au contraire pour qu'on n'arrive a se comprendre ils font qu'on affronte nos idées, nos mentalités ... et nos egos ! si non il'n y aurait que de l'hypocrisie !
et ca j'en suis allergique comme je le suis des acariens !!!
Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
31 octobre 2005, 05:27
mes phrases sont bien soignées et réflechies , les moralistes je n'aime pas ça.
J'ai le droit de m'exprimer avec respect et je n'ai pas l'habitude de me laisser faire surtout quand je n'ai pas tort alors.
J'ai la chance d'avoir des origines de Ait BA AMRAN , je sais si tu connais sinon renseigne toi, alors quand c'est blanc c'est blanc et non blanc cassé ou peut être blanc.
J'espere que tu as compris et que tu n'as pas besoin de dessin.

Et aussi sans racune.

Aller je vais manger mon poisson sur la place hhhhhhhhhhhmmmm chez KRITA
Re: Pourquoi le communisme n'a pas march? ??
31 octobre 2005, 07:14
Isslmane ! ... Dar krita ? our agh tazomt a yaghioul !!! dounchknk !
la7awlaoula9ouat ...

Frero : bss7a ou era7a bon appetit !
Re: Pourquoi le communisme n'a pas marchי ??
01 novembre 2005, 13:28
A PROPOS DE ROLAND BARTHES

Pour Larbi

Le nom du critique et linguiste Roland Barthes a été évoqué sur Dafina à propos d’un autre sujet de discussion. Si vous avez la patience de me lire, j’aimerais rapporter une anecdote qui a trait à ce grand homme de lettres, un des intellectuels français qui ont le plus influencé la seconde moitié du XXème siècle, avec Louis Altusser, J.P. Sartre, Michel Foucauld, et quelques autres phares de la pensée moderne.

Cela se passait à Marrakech, pendant les vacances d’hiver de l’année 197…Mon ami Abdellah B…avait eu la gentillesse de m’inviter, comme à toutes les vacances, chez sa famille, dans leur merveilleuse maison du quartier Sebtyiène. Abdellah et moi avions été les étudiants de Roland Barthes pendant l’année universitaire 1969-70, et avions été nommés professeurs dans le même lycée de Casablanca. (Abdelalh B… est aujourd’hui “le” specialiste mondial de la linguistique berbère, au sujet de laquelle il a publié des ouvrages érudits qui font référence. Il est actuellement professeur à l’Institut National les Langues et Civilisations Orientales, INALCO Paris). Au fil des années, Roland Barthes nous traitait, Abdellah et moi, plus comme des amis personnels que comme d’anciens étudiants. A chacun de ses séjours au Maroc, nous nous rencontrions soit à Casa, soit à Marrakech, et nous le recevions dans nos familles. Il découvrait ainsi, avec une curiosité pleine de sympathie, la cuisine Chleue et judéo-marocaine ainsi que notre mode de vie. Pour ma part, à chacun de mes séjours à Paris, j’allais lui rendre visite dans son sixième étage de la rue Servandoni où il habitait avec sa mère.

Un jour, Roland Barthes nous invita, Abdellah et moi, à l’accompagner au cinéma Le Régent pour (re) voir le célêbre film de Charlie Chaplin: "Les lumières de la ville".
Après la séance, je ne pus m’empêcher (selon la fâcheuse habitude que j’avais acquise dès cette époque-là) d’exprimer spontanément mon opinion, sans prendre le temps de “tourner sept fois ma langue dans ma bouche”, comme le recommande le dicton populaire.

- Je trouve ce film tout à fait décadent, dis-je à Roland. Une scène surtout m’a choqué. Celle où on voit
Charlot et sa petite amie enfermés accidentellement pendant une nuit entière dans un grand magasin,
(genre Galeries Lafayette). Les deux semis-clochards profitent de leur enfermement pour se promener
à travers les rayons du magasin, pour se vautrer dans des lits de luxe et faire mille facéties avec des
draps en satin, pour jouer avec des patins à roulettes, pour manger tout ce qu’ils peuvent trouver dans
le rayon alimentation…Bref, avais-je conclu, Charlot donne ici un un festival, drôle et lyrique en
même temps, à la gloire de la société de consommation. Au lieu de combattre contre son sort de crève-
la-faim, il se contente de rêver aux merveilles que les riches peuvent se payer (etc…etc…mon
discours très inspiré de Mai 1968 contre “l’aliénation de la société de consommation”).

Alors, pour la première fois depuis que je le connaissais, je vis apparaître sur le visage de Barthes une expression inconnue, très proche de la colère. Je dois tout de suite préciser que si le Maître avait réussi à charmer et à être aimé par tous ceux qui l’approchaient, depuis le plus humble gardien de voitures jusqu’aux écrivains et intellectuels qu’il fréquentait, c’est qu’il se conduisait avec une courtoisie, une politesse naturelle, une générosité de cœur jamais prise en défaut.

(Une seule fois auparavant je l’avais vu être “froid” avec quelqu’un. Je lui avais présenté mon ami d’enfance, Sion A…,qui étudiait les mathématiques à Rabat. Sion avait immédiatement tutoyé Roland Barthes, “par principe”, car c’est ainsi que les étudiants prétendaient alors montrer leur souci d’égalitarisme. C’est justement ce conformisme de la familiarité qui avait agacé Roland. Il avait senti que Sion A…, de par son éducation bourgeoise, aurait eu naturellement tendance à vouvoyer un professeur plus âgé que lui de 30 ans. Mais pour se conformer à son personnage d’étudiant contestataire, il avait adopté ce tutoiement qui sonnait faux).

Mais là, je sentis confusément que j’avais provoqué en Roland un sentiment de désapprobation auquel il lui était difficile de résister.

- Joël, me dit-il calmement, votre petit discours me confirme dans ce que savais déjà. Des personnes très intelligentes comme vous peuvent quelquefois prononcer des paroles très bêtes.

Je vous laisse imaginer dans quel état me mit cette introduction . Me faire traiter par un par un professeur au Collège de France de “très bête” devant mon meilleur ami Abdellah B…J’aurais voulu me trouver à six pieds sous terre ou à mille kilomètres d’ici!..

- Vous déclamez, continua imperturbablement Barthes, des phrases adoptées par les étudiants de Mai 68, par des gens qui n’ont jamais eu faim et qui mythifient la révolution prolétarienne. Moi qui ai connu, sinon la misère, du moins la gêne pendant la guerre, je m’identifie parfaitement avec Charlot. Cette volupté de se vautrer dans des draps de satin quand on dort toutes les nuits sous les ponts, cette façon goûlue d’avaler des gateaux à la crème quand on ne connaît que la faim, je les comprends absolument. Charlot n’est pas un prolétaire qui prépare la Révolution; c’est un Pauvre, qui a trop faim pour penser à demain.

Il continua longtemps à développer cette distinction qui lui était chère entre le Pauvre et le Prolétaire, tandis qu’Abdellah et moi l’écoutions avec une fascination respectueuse. Il suscitait aussi nos commentaires, écoutait attentivement nos remarques, ainsi qu’il le faisait toujours durant nos rencontres, et sa colère initiale disparut peu à peu.

Ce petit incident, auquel j’ai réfléchi souvent, m’a aidé à essayer de penser de façon plus personnelle, sans me soucier des modes intellectuelles.

Certes, la leçon m’a causé également une petite blessure d’amour-propre.

Mais, après tout, me suis-je dit, avant de déclarer que j’avais prononcé des paroles “très bêtes”, Roland Barthes m’avait classé parmi les personnes “très intelligentes”. Devinez quelle partie de sa phrase j’ai retenue?…

Joël BARON




Re: Pourquoi le communisme n'a pas marchי ??
02 novembre 2005, 12:53
Souiri a écrit:
-------------------------------------------------------
> A PROPOS DE ROLAND BARTHES
>
> Pour Larbi
>
> Le nom du critique et linguiste Roland Barthes a
> été évoqué sur Dafina à propos d’un autre sujet de
> discussion. Si vous avez la patience de me lire,
> j’aimerais rapporter une anecdote qui a trait à ce
> grand homme de lettres, un des intellectuels
> français qui ont le plus influencé la seconde
> moitié du XXème siècle, avec Louis Altusser, J.P.
> Sartre, Michel Foucauld, et quelques autres phares
> de la pensée moderne.
>
> Cela se passait à Marrakech, pendant les
> vacances d’hiver de l’année 197…Mon ami Abdellah
> B…avait eu la gentillesse de m’inviter, comme à
> toutes les vacances, chez sa famille, dans leur
> merveilleuse maison du quartier Sebtyiène.
> Abdellah et moi avions été les étudiants de Roland
> Barthes pendant l’année universitaire 1969-70, et
> avions été nommés professeurs dans le même lycée
> de Casablanca. (Abdelalh B… est aujourd’hui “le”
> specialiste mondial de la linguistique berbère, au
> sujet de laquelle il a publié des ouvrages érudits
> qui font référence. Il est actuellement professeur
> à l’Institut National les Langues et Civilisations
> Orientales, INALCO Paris). Au fil des années,
> Roland Barthes nous traitait, Abdellah et moi,
> plus comme des amis personnels que comme d’anciens
> étudiants. A chacun de ses séjours au Maroc, nous
> nous rencontrions soit à Casa, soit à Marrakech,
> et nous le recevions dans nos familles. Il
> découvrait ainsi, avec une curiosité pleine de
> sympathie, la cuisine Chleue et judéo-marocaine
> ainsi que notre mode de vie. Pour ma part, à
> chacun de mes séjours à Paris, j’allais lui
> rendre visite dans son sixième étage de la rue
> Servandoni où il habitait avec sa mère.
>
> Un jour, Roland Barthes nous invita, Abdellah
> et moi, à l’accompagner au cinéma Le Régent pour
> (re) voir le célêbre film de Charlie Chaplin: "Les
> lumières de la ville".
> Après la séance, je ne pus m’empêcher (selon la
> fâcheuse habitude que j’avais acquise dès cette
> époque-là) d’exprimer spontanément mon opinion,
> sans prendre le temps de “tourner sept fois ma
> langue dans ma bouche”, comme le recommande le
> dicton populaire.
>
> - Je trouve ce film tout à fait décadent, dis-je à
> Roland. Une scène surtout m’a choqué. Celle où on
> voit
> Charlot et sa petite amie enfermés
> accidentellement pendant une nuit entière dans un
> grand magasin,
> (genre Galeries Lafayette). Les deux
> semis-clochards profitent de leur enfermement pour
> se promener
> à travers les rayons du magasin, pour se
> vautrer dans des lits de luxe et faire mille
> facéties avec des
> draps en satin, pour jouer avec des patins à
> roulettes, pour manger tout ce qu’ils peuvent
> trouver dans
> le rayon alimentation…Bref, avais-je conclu,
> Charlot donne ici un un festival, drôle et lyrique
> en
> même temps, à la gloire de la société de
> consommation. Au lieu de combattre contre son sort
> de crève-
> la-faim, il se contente de rêver aux
> merveilles que les riches peuvent se payer
> (etc…etc…mon
> discours très inspiré de Mai 1968 contre
> “l’aliénation de la société de consommation”).
>
> Alors, pour la première fois depuis que je le
> connaissais, je vis apparaître sur le visage de
> Barthes une expression inconnue, très proche de la
> colère. Je dois tout de suite préciser que si le
> Maître avait réussi à charmer et à être aimé par
> tous ceux qui l’approchaient, depuis le plus
> humble gardien de voitures jusqu’aux écrivains et
> intellectuels qu’il fréquentait, c’est qu’il se
> conduisait avec une courtoisie, une politesse
> naturelle, une générosité de cœur jamais prise en
> défaut.
>
> (Une seule fois auparavant je l’avais vu être
> “froid” avec quelqu’un. Je lui avais présenté mon
> ami d’enfance, Sion A…,qui étudiait les
> mathématiques à Rabat. Sion avait immédiatement
> tutoyé Roland Barthes, “par principe”, car c’est
> ainsi que les étudiants prétendaient alors montrer
> leur souci d’égalitarisme. C’est justement ce
> conformisme de la familiarité qui avait agacé
> Roland. Il avait senti que Sion A…, de par son
> éducation bourgeoise, aurait eu naturellement
> tendance à vouvoyer un professeur plus âgé que lui
> de 30 ans. Mais pour se conformer à son personnage
> d’étudiant contestataire, il avait adopté ce
> tutoiement qui sonnait faux).
>
> Mais là, je sentis confusément que j’avais
> provoqué en Roland un sentiment de désapprobation
> auquel il lui était difficile de résister.
>
> - Joël, me dit-il calmement, votre petit discours
> me confirme dans ce que savais déjà. Des personnes
> très intelligentes comme vous peuvent quelquefois
> prononcer des paroles très bêtes.
>
> Je vous laisse imaginer dans quel état me mit
> cette introduction . Me faire traiter par un par
> un professeur au Collège de France de “très bête”
> devant mon meilleur ami Abdellah B…J’aurais voulu
> me trouver à six pieds sous terre ou à mille
> kilomètres d’ici!..
>
> - Vous déclamez, continua imperturbablement
> Barthes, des phrases adoptées par les étudiants de
> Mai 68, par des gens qui n’ont jamais eu faim et
> qui mythifient la révolution prolétarienne. Moi
> qui ai connu, sinon la misère, du moins la gêne
> pendant la guerre, je m’identifie parfaitement
> avec Charlot. Cette volupté de se vautrer dans des
> draps de satin quand on dort toutes les nuits sous
> les ponts, cette façon goûlue d’avaler des
> gateaux à la crème quand on ne connaît que la
> faim, je les comprends absolument. Charlot n’est
> pas un prolétaire qui prépare la Révolution; c’est
> un Pauvre, qui a trop faim pour penser à demain.
>
> Il continua longtemps à développer cette
> distinction qui lui était chère entre le Pauvre et
> le Prolétaire, tandis qu’Abdellah et moi
> l’écoutions avec une fascination respectueuse. Il
> suscitait aussi nos commentaires, écoutait
> attentivement nos remarques, ainsi qu’il le
> faisait toujours durant nos rencontres, et sa
> colère initiale disparut peu à peu.
>
> Ce petit incident, auquel j’ai réfléchi
> souvent, m’a aidé à essayer de penser de façon
> plus personnelle, sans me soucier des modes
> intellectuelles.
>
> Certes, la leçon m’a causé également une petite
> blessure d’amour-propre.
>
> Mais, après tout, me suis-je dit, avant de
> déclarer que j’avais prononcé des paroles “très
> bêtes”, Roland Barthes m’avait classé parmi les
> personnes “très intelligentes”. Devinez quelle
> partie de sa phrase j’ai retenue?…
>
> Joël BARON
>
> Joël,
>
> Merci mille fois de m'avoir dédicacé peronnellement ce récit de réflexions spontanées entre toi et Roland Barthes; Je sais qu'il s'était accéssoirement interessé par charly chaplin, notamment dans "les temps modernes".
Tu n'as pas fini de nous étonner.

Larbi
>


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