Infos du Maroc ...akhbar al maghrib ...

lavoyante a écrit:
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> ca aussi c'est le MAROC. mignon ce mouton ...


lavoyante !!
je suis tombe sur cette image !!je suis mort de rire !!mais ou vas tu trouver ces photos !!! ce mouton mignon comme tu dis j'aimerais pas etre a sa place ?

IL NE FAUT PAS COMPTER LES MOTS !! IL FAUT LES PESER !! salomon/LES ROIS

Les footeux parmi vous reconnaitront sûrement Ronaldinho sur la photo. C'est génial Photoshop hein

J'ADOREEEEEEEEEEE LE BALAYAGE !

Le tour en Peugeot 103, c'est le dernier souhait du condamné à mort, c'est ça ?

Pour ceux qui aiment les blagounettes :

Sexualité. Couple cherche capote



90 pharmacies casablancaises
ont déjà installé un distributeur
sur leur façade. (TNIOUNI)


De plus en plus de Marocain(e)s achètent des préservatifs dans les “points prévention” situés à l’extérieur des pharmacies. Une véritable révolution de nos comportements sexuels est en marche, discrète, mais inéluctable.


Ça arrive tous les jours… ou plutôt toutes les nuits. Quelque part à Casablanca, deux personnes ont envie de partager un moment d’intimité, mais sans en subir les éventuelles fâcheuses conséquences. Bref, elles sont à la recherche de préservatifs. Les pharmacies sont
fermées, et le couple accorde peu de confiance à l’état de conservation des “capotes” vendues par les épiciers, les buralistes, ou encore les taxis… Pas de panique, avec un peu de chance, les amoureux passeront devant l’une des 90 pharmacies casablancaises qui ont déjà installé un distributeur sur leur façade. Pour 20 dirhams, ils pourront acquérir discrètement un paquet de cinq capotes, avec en prime un label européen de qualité. Pour cela, ils doivent passer la première épreuve : respecter les instructions de la machine, qui exige deux pièces de 10 dirhams… mais pas n’importe lesquelles. Paradoxalement, la machine rejette les pièces estampillées Mohamed VI, et n’accepte que les anciennes, à l’effigie de Hassan II. Les tenanciers des cafés aux alentours voient ainsi défiler plus d’un numismate nocturne à la recherche de la monnaie adéquate !

Pour les noctambules et les timides
Sur les 350 distributeurs de préservatifs du pays, 330 appartiennent à Soft. Cette entreprise, pionnière sur le marché marocain, étudie soigneusement chaque emplacement potentiel, quartier par quartier, en sondant les chiffres de vente des pharmacies comme ceux des bureaux de tabac. “Pour installer un distributeur, il faut un emplacement stratégique, par exemple à proximité d’une boîte de nuit, d’un restaurant, ou de certains lieux de prostitution”, nous explique Laetitia Dubois, directrice commerciale de Soft.

Et d’ajouter : “Les quartiers populaires périphériques sont aussi des lieux de vente très intéressants”. Car le distributeur public répond à une véritable demande, l’acte d’achat de préservatifs étant encore souvent teinté d’une once de hchouma. Certains timides préfèrent ainsi s’approvisionner en capotes sans avoir à affronter le regard gêné du pharmacien ou des autres clients. “On en voit quelques-uns qui utilisent discrètement le distributeur en pleine journée, généralement des hommes de 50 ans, assure une pharmacienne du centre de Casablanca. Mais les choses ont quand même bien changé depuis quatre ou cinq ans, la plupart des gens ne sont plus gênés de demander une boîte de préservatifs au comptoir, y compris les femmes”.

En pharmacie, mais pas en boîte
Une évolution des mœurs qui se fait aussi sentir dans l’acceptation des distributeurs. “Quand on en installe un, cela surprend un peu dans le quartier, raconte Laetitia Dubois. Au début il y a souvent quelques actes de vandalisme ou des tentatives de vol, puis ça se calme, et après nous n’avons plus aucun problème”. En fait, plus le temps passe, et moins il y a de réactions négatives de la rue. Mais il arrive encore que certains pharmaciens rechignent à installer un distributeur, rarement par conviction religieuse, beaucoup plus souvent par peur des réactions du voisinage. Une pharmacienne installée en face d’une mosquée de Casablanca raconte: “Comme l’imam et d’autres clients qui fréquentent la mosquée m’avaient déjà demandé de retirer certaines publicités médicales représentant le corps humain dénudé, y compris dans l’officine elle-même, j’ai longtemps hésité avant d’installer le distributeur.

Finalement je me suis décidée, et je n’ai eu droit à aucune remarque !” Mais si les Marocains s’habituent peu à peu à voir ce nouvel objet dans le paysage, il doit rester sur le mur de la pharmacie, c’est-à-dire dans un cadre strictement médical. D’ailleurs, la mention “planification familiale” inscrite sur les machines a certainement aidé à faire passer la pilule (pour celles qui ne la prennent pas)… Par contre, à ce jour, la plupart des tentatives de poser un distributeur de préservatifs dans un autre contexte ont échoué. “Il y a six ans, une discothèque avait été la première à installer une machine… Dès le lendemain, la police l’a fait retirer, sous prétexte que cela “inciterait à la débauche””. Deux ans plus tard, l’entreprise décide de faire son propre test et place deux machines dans les toilettes d’une boîte de nuit. “A notre grande surprise, en six mois, nous n’avons enregistré presque aucune vente”, s’étonne la femme d’affaires. Eh oui, c’est une chose d’assumer sa sexualité dans l’anonymat d’une rue obscure, mais c’en est une autre de le faire devant ses pairs, dans un lieu de socialisation.


[www.telquel-online.com]

nostalgie et modernisme
Pièces jointes:

Et le soussi du coin ?ces epiceries existent encore ?
souvenirs ........Il habitait avec toute sa famille a l'arriere boutique.
Pièces jointes:

Le gouvernement a-t-il reloge les pauvres sinistres des dernieres intemperries ?
J'espere que OUI.
en tout cas, je leurs souhaite bon courage !
Pièces jointes:

Lavoyante...ou veux-tu que le gouvernement loge les sinistrés des intempéries? A moins que chaque ministre ne loge chez lui quelques uns des 7 millions de pauvres sous les eaux dans le Gharb...et toute leur récolte qui s'en est allée...

Le Maroc redonne le moral aux Français




› L'office du tourisme du Maroc met en place en campagne sur Internet sur le thème de la Marocothérapie (un séjour au Maroc), destinée à redonner la joie de vivre à tous les Européens déprimés par la morosité ambiante liée à la crise économique.

Cette campagne européenne (France, Allemagne, Grande Bretagne, Belgique, Pays bas, Espagne et Italie) commence le 18 mars, pour s'achever fin avril. Elle a été orchestrée de main de maître par BDDP pour un budget que l'OT n'a pas indiqué. Un site dédié – www.marocotherapie.com – invite sur un ton humoristique l'internautes à un test pour jauger sa dépression. Puis, un "marocothérapeute", le professeur Karam, diagnostique sa pathologie et montre sous forme de vidéo cinq cas de "maladies graves" efficacement soignées par un séjour au Maroc. L'internaute peut ensuite accéder à aux traitements préconisés : Ce sont des forfaits montés "avec nos TO partenaires" précise Salima Haddour, directrice de l'OT à Paris, "des généralistes et aussi des spécialistes (trekking, thalasso, etc.)". Cette opération est relayée par des campagnes presse, radio et affichage métro, et "nous avons prévus une grande tournée européenne Experts du Maroc" (près de 3000 actuellement en France) qui débutera le 8 avril, afin de "sensibiliser les agents de voyages". "Nous n'avons pas d'objectifs chiffrés, mais nous souhaitons maintenir notre taux de croissance" a-t-elle encore indiqué, signalant au passage, avoir "enregistré une progression de 6% en janvier sur le marché français et de 8% au global". Quant aux forfaits, "ils ont progressé de 1%" par rapport à la même époque l'an passé.

[www.quotidiendutourisme.com]

QU'EN EST-IL DU MORAL DES MAROCAINS SINISTRES ?

Bonsoir Lavoyante,

Les Marocain(e)s sinistré(e)s n'ont pas de moral à avoir: ils meurent dans leurs coins, sans bruit.
Le froid de cet hiver, dans les montagnes, a tué, et tue par les maladies pulmonaires, massivement, sans que celà soit relayé médiatiquement.
Des douars (hameaux) ont été décimés, sans mot, sans vague et sans soutien.

Cordialement et tristement

C'EST AUX JEUNES !!!! A PRENDRE LA RELEVE !!!!!!!!

FAUT CROIRE QUE TOUS LES JEUNES ONT QUITTE LE MAROC.
DOMMAGE !!

CA AUSSI C'EST AU MAROC..
QUI PEUT M'EXPLIQUER CES INITIALES SUR LE BRAS DU PRISIONNIER ?
MERCI D'AVANCE .
Pièces jointes:

Mskina tat'hder ghir rassh'a

Morocco fights rising tide of fraud
John Thorne, Foreign Correspondent

LAHRAOUIYINE, Morocco // Three years ago a street vendor named Mohammed built a house in the Casablanca slum of Lahraouiyine, and since then he has not slept easy.

“Like everyone here, I had to pay a bribe to be allowed to build,” said Mohammed, who did not wish to give his surname. “That makes my house illegal, and I’m afraid that sooner or later the government will destroy it.”

Since January, authorities have arrested more than 100 local officials in Lahraouiyine in a campaign against widespread corruption plaguing Morocco. From small banknotes palmed to civil servants to the larger sums that allegedly lubricate some business transactions, corruption makes life a headache and stifles healthy economic growth.

“It’s endemic, and in many cases people are obliged to pay bribes,” said Abdesselam Aboudrar, who heads the Central Agency for the Prevention of Corruption, an oversight body established by the government in December to lead renewed efforts at cleaning house.

Anti-corruption campaigners welcome the move, but say concrete action is needed to win the co-operation of citizens. “The state has promised for years to fight corruption, but people have not seen things change,” said Rachid Meknassi, secretary general of Transparency Maroc, an affiliate of the corruption watchdog Transparency International. “Citizens need to feel that things are evolving.”

According to a report in January by Transparency Maroc, more than two-thirds of Moroccans polled believed that the government is not doing enough to combat corruption.

The report also found that 46 per cent of businessmen polled had bribed officials to cut red tape, and one-third said they had used the influence of family and friends to gain public sector contracts.

Such practices may frighten off the foreign investors who have helped Morocco position itself as a regional hub of business and trade. Last year, the country slipped from 72nd to 80th place in Transparency International’s world corruption ranking.

“Many investors have complained about the situation,” said Taji Eddine el Houssaini, an economics professor at Mohammed V University in Rabat, the capital. “Not only the corruption, but the bureaucracy and the complicated procedures.”

Part of the solution is to trim bureaucracy and strengthen the laws that punish crooked officials, said Mr Aboudrar. Another is to encourage whistle-blowers.

“When people say that corruption is a necessary evil, there’s little we can do,” Mr Aboudrar said. But Moroccans are increasingly willing to break the taboo that has long surrounded corruption.

The government plans to create laws to protect those willing to take specific complaints before a judge. For now, many people are airing their frustration on television, in the press and in demonstrations and in at least one instance, on stage.

Last month, Al Hor bel Ghamza, a play lampooning bureaucracy and petty corruption, opened in Rabat. The title alludes to a Moroccan saying that power lies in the “ghamza” – the wink of an eye.

The opening scene features a buffoonish fonctionnaire (civil servant) more intent on drinking coffee than on doing his job. Later, a woman berates officials who refuse her a passport to visit Mecca on the grounds that records forged during an inheritance dispute list her as officially dead. Finally the show darkens as hospital workers demand bribes to send an ambulance for a girl dying of a scorpion sting.

“We can laugh at corruption, but I also want the audience to understand that it’s a serious issue,” said the playwright, Mohammed el Hor, who based Al Hor bel Ghamza on true stories.

In Lahraouiyine, the Casablanca slum, local officials failed in their duty to provide basic amenities while allegedly profiting from the illegal building of shoddy, sub-standard houses. The corruption in Lahraouiyine is replicated in dozens of similar neighbourhoods that ring Casablanca, said Mohammed Abounasr, the local representative of the Moroccan Association for Human Rights. He estimates that up to one-quarter of the city’s four million people live in illegal housing, prey to unscrupulous officials.

Although he fears that bulldozers will claim his house, the street vendor Mohammed said he was glad that authorities were trying to bring order to the chaos in Lahraouiyine.

“I want good roads, electricity, water and sewers,” he said. “I want gardens.”

[www.thenational.ae]

lavoyante a écrit:
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> CA AUSSI C'EST AU MAROC..
> QUI PEUT M'EXPLIQUER CES INITIALES SUR LE BRAS DU
> PRISIONNIER ?
> MERCI D'AVANCE .

Mouvement Culturel Amazigh au Maroc

Wolf a écrit:
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> Mskina tat'hder ghir rassh'a
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she teleh kapara 3alai !!!!