Quelques mots en arabe d?rivant de l?h?breu.

Pour Ein Guedi.

Encore une fois (et a regret!!) je suis d'accord avec ton analyse.

Mais je voudrais y ajouter une precision de taille. En 1967, au Maroc, l'animosite contre les juifs venait uniquement des Marocains qui se definissaient comme des arabes. Par contre, parmi la population berbere, ce fut une sereine indifference. Voire, dans le secret des maisons, une reelle joie de voir "les arabes" prendre une raclee.

Anecdote personnelle.

En 1967, mon pere qui etait un petit industriel dont la majorite des clients etaient des grossistes de la route de Mediouna a Casablanca, a failli etre ruine par le boycott de ses clients arabes "fassis". Ceux qui l'ont sauve de la faillite, ce furent ses clients berberes (chluehs) qui lui avancerent meme de l'argent sur leurs futures commandes. Il est vrai que mon pere parlait (entre autres) la langue tachelhit.

L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: jero (IP enregistrée)
Date: 1 February 2004, 18:39


Bonjour,



J’ai visité avec plaisir votre site.

Je voudrais vous faire remarquer que Dafina ne viens pas de l’arabe forcément. Pourquoi ? Par ce que l’hébreux est antérieur à l’arabe, et que c’est l’arabe qui beaucoup pris de l’hébreux. Des études ont attesté que 70% du langage coranique était inconnu dans la langue arabe, alors….Cessez de donner a l’arabe ce qu’elle n’a pas. A titre d’exemple ? compter en hébreux et en arabe, dites les noms des jours en hébreux et en arabe et j’en passe. LA langue arabe n’a malheureusement réussi que grâce aux apports des autres langues, surtout l’hébreux, le persan, le turc, l’éthiopien et l’amazigh.

Mustapha, rabat, Maroc


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: Lily (IP enregistrée)
Date: 1 February 2004, 20:49


Shalom a vous, qui que vous soyez...
Je dis cela parce que d'une part vous notez que vous etes Jack Halfon qui a l'air strictement etre un nom juif d'afrique du nord, et de l'autre cote vous signez : Mustapha - qui evidemment est different - mais vous avez vos raisons et je les respecte.

Arabe/hebreux

Je crois plutot que l'arabe a existe bien avant l'hebreux et je dirai que l'hebreux est un developement dialectique de langues semites.
Suivez mon raisonement:
Notre ancetre Abraam a immigre en Canaan venant de mesopotamie: UR KASHDIM - evidemment il ne pouvait pas encore parler l'hebreux qui ne pouvait pas exister a l'epoque...

En s'implantant au pays de Canaan il est probable q'avec le temps, lui et sa famille et ses servants, ont assimile quelque partie du langage des autochtones cananeens...

Plus tard (d'apres la bible) les douze enfants de Jacob, petit fils d'Avraam, se retrouvent en Egypte et echangent naturellement culture et langue avec le peuple Egyptien (400 ans c'est beaucoup...).
Amon avis, les enfants d'israel, a leur exode d'Egypte, ne parlaient qu'Egyptien et peut etre quelques bribes anciens de la langue qu'ils developerent en Canaan...

Les voici donc de nouveau a Cannan ou ils reconquissent presque tout le pays et apres l'poque des juges et des Philistins ils commencent a batir un important empire commencant par leur premier roi Saul ensuite David ensuite salomon, ensuite une descendance problematique qui mene au "schisme" du peuple qui conduira irremediablement a la disparition de pres de dix tribus... ce qu'il en restera c'est le peuple de Juda qui sera plus tard exile d'abord en Perse ensuite en Babylonie.
voyez comme les languages se confondent dans cet imbroglio de dialectes....
Ce malheureux peuple est enfin permi de retourner en Judee (restreinte) ou il commence la construction du deuxiemme temple qui plus tard, sera restore et meme agrandi par Herode, sacre roi par l'empire Romain. A cette epoque, les Israelite ne parlent que l'Arameen importe de babylonie. En Judee les langues couramment parlees, sont l'egyptien, le Greque, le Syrien, Le Romain, et meme le Franc (la guarde personnelle du roi Herode etait essentiellement faite de soldats Gaulois!!!). scientifiquement, nous savons que les lettres hebraiques nous viennent d' ASHOUR (Assyrie donc Babylone).
Evidemment il est fort probable que l'hebreux biblique ait en lui une essence d'hebreux antique a laquelle se joindront plus tard des dialectes de peuples chez lesquels nous "sejournions" parfois bien malgres nous...

Pour qui aimerait l'histoire du peuple juif sans entrer dans les considerations mystiques/religieuses, je recommende chaudement les ecrits de: Josephus flavius qui fut contemporain et meme temoin visuel de la destruction du second temple de Jerusalem.
La guerre des romains contre les juifs
L'histoire des juifs
Contre Apion
Ses ecrits sont etudies et traduits dans de nombreuses langues, donc vous n'aurez pas de dificultes a les retrouver.
Lily




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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: Yassar (IP enregistrée)
Date: 1 February 2004, 23:42


bravo 3ammi lily !!!

tu as raion , les deux langue sémitiques , arabe hébreu ont était une seule langue n la langue que dieu a parlé avec adam et Eve , mais apres la dévison entre les frère , **** , Cain... chaque tribu parlé undailécte de cette langue sémitique divine .

voilà , l'aramien , Am'harique , arabe , et hebreu sont des dialecte de cetet langue morte que personne ne parle maint .

pour l'amazigh !! ( j'en suis sur que tu es un berberiste fanatique extremiste ) , le berber a pris bcp de mots de la langue arabe tu sais pourquoi car les berbers ne savais rien que la lune , la mer , les motagne , ils ont vécu comme des nomade loin de la philosophie et des sciences , j'ai rien contre l'amazighe , mais je veux bien t'eclairer les choses .( aussi l'arabe marocain a pris bcpde mots de la langue berber ) donc il faut pas dire que cette langue ne vaut rien et l'autre c'est le tous ..
l'interculturalisme et la communication et l'echange des civilisation fais de nouveaux bébés.


Yassar



Yassar Ben-Soly


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: esther (IP enregistrée)
Date: 2 February 2004, 00:11


Lily, je voulai te dire que c'est mustapha qui a ecrit a jero pour publier son message , donc c'est pas jero l'auteur mais mustapha.


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: malchar (IP enregistrée)
Date: 2 February 2004, 01:30


ahlan esther
mitztaer she lo yeholty lavo lenahem otah be natania. kol ma she ani yehol leahel lah hayom,rak she lo tidii yoter tzaar, ou beezrat hashem
nifagesh rak be smahot.
charlo


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: pilo elie (IP enregistrée)
Date: 3 February 2004, 00:44


lily
comment peut on dire que l arabe existe avant l hebreu
tant q uil y a des manuscrits qui datent bien avant
que l islam a apparu
bon soir



tbark aallah alikoum


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: Lily (IP enregistrée)
Date: 3 February 2004, 03:46


Salut Elie
Bien sur tu as raison la "religion juive" est apparue sur la scene de l'histoire bien avant la "religion musulmane" (beaucoup avant!) mais les arabes ce sont les peuples qui vivaient en dela du jourdain...qui avaient leur propre langue... mais ils n'etaient pas encore musulmans car Mohamed n'etait pas encore arrive.... Mais l'Arabie dans le monde antique c'est toute la mesopotamie, de la Syrie j'usquaux abords de la turquie et comprend entre autre la langue Ashourit dont l'hebreu descend. Entre temps toutes ces frontieres se sont fondues et confondues et les frontieres physiques, politiques et economiques ont changees maintes fois. J'ai parle du developpement de la langue Ashourit a travers l'histoire qui n'est pas necessairement liee directement a la religion Musulmane qui elle, a son developpement propre, mais bien plus tard...




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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: la fille de la mer et du soleil (IP enregistrée)
Date: 3 February 2004, 14:27


salut tout le monde
et comme vous a dit esther, c'est bien moustapha qui a ecrit et jero qui est jack halfon qui a publie le message du haut .
alors que tout le monde sache que l'hebreux est venu avant l'arabe.
soly


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: Yassar (IP enregistrée)
Date: 4 February 2004, 23:20


mes cher amis , vous avez tors tous :

vous avez condendu entre l'arabe et l'islam !! c'st comme le plus par de mes amis qui disent au chrétiens des juifs !!

l'arabe exisait au meme temps que l'hebreu ou bien bien avant d'apres bcp de recherche archilogiques .

l'hébreu exisait mais elle étiat infulencé bcp le temps de l'exil en babylonie , elle a adapter l'criture aramienne et ...

mais les arabes ont dévolopé leurs propre langue .

j'ai fais la litérature arabe et française et je sais ters bien de quoi je parle cher amis .
l'islam est venu en arabe mais il n'a pas amené l'arabe c'est tous . mais d'apres ce que j'ai lu et d'apres mes etudes biblique , les dix comandemmants ont été donné a Moshé rabbinou en Héroghraphique ( langue des egyptiens ).


Yasar



Yassar Ben-Soly


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: ItrophedEilat (IP enregistrée)
Date: 10 December 2004, 13:24


est ce que l arabe existait avant JC j en doute un peu ... a t on retrouve des documents l attestant ? Par contre on a retrouve des documents en cuneiforme, des documents pheniciens, des documents en demotique. C est d ailleurs le demotique et le grec qui ont permis a CHAMPOLLION de dechiffrer les hyerogliphes.

La langue qui probablemet a donne naissance a toutes les langues semitiques du bassin mediterraneen, derivent du phenicien dont voici un exemple... L Arameen a donne naissance a l hebreu
Quelle langue parlaient les CANANEENS on ne le sait pas avec exactitude


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: Yassar (IP enregistrée)
Date: 14 December 2004, 15:52


l'arabe et l'hebreu et les autres langues sémitique viennent toutes de la meme source , c'est la langue divine , celle de Dieu.

toutes les langues sont sous formes d'un accord entre les gens avec le quel on organise la communication.

par exemple au lieu de Dire Slama en aramien on peut dire un autre mot qui peut etre Popo ( mais le faite de se mettre d'accord) souligne un nouveau mot dans le meme parler des gens , voilà.



yassar



Yassar Ben-Soly


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ch a apprendre une langue
Auteur: metsuyan (IP enregistrée)
Date: 15 December 2004, 20:59


bonsoir tout l monde!!!!!

wow, qu'est ce qu on apprend avec vous!!!!
en passant par la, yaurait pas quelqu un qui sache ce que j dois faire pour apprendre un peu d'hebreu?

lehitra'ot



j vous adore !!!!


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: Yassar (IP enregistrée)
Date: 15 December 2004, 23:27


demande a soly et a shoushana , elle savent bien parler hebreu !! mmmmmmmmmmmmmm



Yassar Ben-Soly


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: omar tounsi (IP enregistrée)
Date: 7 March 2005, 07:11


je reponds en retard... hummm...
moi je ne tiens pas compte de la bible ou de texte religieux...
j'ai cherche dans le domaine de la linguistique et de l'ethnologie depuis plus de 3 ans (depuis le lycee), et je dis moi que l'arabe et l'hebreu devraient etre apparues en meme temps, mais aucune des deux langues sous sa forme actuelle.
au debut, sans doute, il existait une langue semitique unie, qui s'est divisee en 5 branches:
-orientale qui est la langue akkadienne.
-septentrionale qui a donne 3 langues: amorite, ougaritique et eblaite.
-cananeenne qui a donne 3 langues: phenicien, moabite, hebreu.
-arameenne qui a donne plusieurs langues et dont l'arameen est encore parle en syrie, liban et iraq par quelques centaines de milliers de personnes au total.
-meridionale qui a donne 2 (3?) langues: arabe, sud-arabe (assez different de l'arabe) et ancien ethiopien (?)
chacune de ces langues a donne une multitude de dialectes differents les uns des autres.
donc si on emet l'hypothese que les evolutions internes des langues se sont faites a la meme vitesse, l'arabe et l'hebreu devraient etre apparus en meme temps (approx.)
toutefois l'inter-influence entre ces langues par le fait de la proximite et de l'histoire, mais en tenant compte des ressemblances entre les langues sous leur forme actuelle et des influences externes au groupe semitique, l'hypothese se confirme.

->le groupe chamitique (dont est issu l'amazigh) se serait detache du semitique bien avant l'eclatement de ce dernier. ceci repose sur l'hypothese d'une branche commune semite-chamite, sachant qu'une grande part des linguistes refuse l'hypothese de l'origine commune de ces deux branches, soutenant que les berberes sont venus plutot du nord que de l'est.

si quelqu'un est interesse par ce sujet, j'en discuterai volontiers meme en voice-communication. mon mail est sur mon profil.


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Re: L'Hebreu et l'Arabe
Auteur: yolandewizman (IP enregistrée)
Date: 11 October 2008, 08:55


Bonjour,

Dommage que ce forum n'a pas eu suite.
Dernierement sur le forum divers, il y a eu la question de qui a precede quoi l'hebreu ou l'arabe, et puis j'ai souleve le fait que les deux langues proviennent sumerien, et la je trouve qu'effectivemnt omar tunsi a bien elabore sur ce sujet
quote
au debut, sans doute, il existait une langue semitique unie, qui s'est divisee en 5 branches:
-orientale qui est la langue akkadienne.
-septentrionale qui a donne 3 langues: amorite, ougaritique et eblaite.
-cananeenne qui a donne 3 langues: phenicien, moabite, hebreu.
-arameenne qui a donne plusieurs langues et dont l'arameen est encore parle en syrie, liban et iraq par quelques centaines de milliers de personnes au total.
-meridionale qui a donne 2 (3?) langues: arabe, sud-arabe (assez different de l'arabe) et ancien ethiopien (?)
chacune de ces langues a donne une multitude de dialectes differents les uns des autres.
donc si on emet l'hypothese que les evolutions internes des langues se sont faites a la meme vitesse, l'arabe et l'hebreu devraient etre apparus en meme temps (approx.)
toutefois l'inter-influence entre ces langues par le fait de la proximite et de l'histoire, mais en tenant compte des ressemblances entre les langues sous leur forme actuelle et des influences externes au groupe semitique, l'hypothese se confirme
unquote
Pour plus accentuer les propos d' omar tunsi, je mets une etude de langues tiree du google du professeur tibor barath qui m'a ete indique par un ami hongrois qui residait a casablanca et qui etudiait les ecritures anciennes (hieroglyphe)
WAS HUNGARIAN THE LANGUAGE OF
THE ANCIENT EASTERN CULTURES?
by

Dr. Tibor Baráth
The state of the current research.
According to current scientific view, two languages flourished in the Ancient East in the millennia BC. It is believed that one originated somewhere north of the Tigris and Euphrates valley, and came to full bloom in Szemúr Sungod's country (Sumer, Sumir) where it became the literary language. It is also believed that it spread from Sumer toward the southern part of the country and later to the east all the way to the Mediterranean. The other language that flourished at this time, the language of the Ancient Egyptians is believed to not only have been the spoken language of the Nile-region but also the language of southwestern Africa. After the Egyptian kingdom was firmly established (1500 BC), it spread toward the great bend of the Euphrates river and Syria. Both languages are believed to be the world's oldest languages. ("The language of the hieroglyphs is perhaps the oldest in the world." - Brodrick M. Morton A, A Concise Dictionary Of Egyptian Archaeology, London, 1922.)

If we examine the exact position of the places where these two languages flourished, we find that they completely match the territories occupied by the two great branches of the Hungarians: the Hun and the Magyar. These two names are frequent in this territory where the Hungar-Magyar people represented the culture-bearing population. This gives rise to three questions: 1. Did a fatal linguistic misunderstanding or misinterpretation occur when deciphering these languages that prevented proper classification of these two languages. 2. Is it possible that these two languages were in fact the same and 3. If they were in fact the same, were they the Magyar language? Posing these questions is validated by the fact that there is no historical evidence that these ancient eastern languages were called Sumerian or Egyptian by the actual residents of these cultures or the record-keepers of the time. These two names, coined and popularized by the scientists of the 19th c. AD,(1) were used only as geographical markers, but were not used as the names of the people or their languages.

Those texts which we call Sumerian today were written in two different manners: with pictographs and cuneiform writing. The older texts were written with the former method, the younger texts with the latter. Sumerologians have not even touched the pictographs yet; as far as I know none of them have been read. I believe the reason for this is these pictures yield their meaning only in the real Sumerian language, which is the Magyar (Hungarian), and their sound value can be established only according to this language. Consequently if someone does not speak this true "Sumerian" language, that person is unable to decipher them. This remark already lets us get a sense of what follows. All the present views concerning the Sumerian language are based solely upon the cuneiform texts. The cuneiform signs usually mark only the consonants and the reader adds the required nouns. The consonants may be read without really knowing the real Sumerian language, but it does not expose the nouns nor how to break the text into words. And where the Egyptian texts are concerned, they too used simplified pictures drawn close to one another. Later, the simplified version of a type of lettering came into use, hieroglyphs made of these pictures. They too mark only consonants and the vowels have to be added by the reader according to the spirit of the language. The Egyptologists read only the newer, hieroglyphic texts but they are unable to tell for certain what the nature of the accompanying vowels are and how the text should be broken into words. If we add here that the hard and soft consonants were frequently represented with the same sign (T=D, P=B, S=SZ, K=G, R=L) we may form a vague idea of the huge possibility of errors which may be committed while reading or transcribing the Sumerian and Egyptian texts into today's alphabet.

There is no solidly established consensus concerning the use of today's alphabets. Should the English, the French or some other language's alphabet used? They never thought of the Hungarian. If we base our transliterating onto the English spelling-system, how can they mark the Hungarian GY, TY, LY sounds, which have firmly established spelling system in the Hungarian? Out of this dilemma arises the fact that the same word or name varies and is written in five or six different manners according to the nationality of the translator, as we find in the case of the Muger ruins in the city of Ur, or in the case of the Hungar and Magyar names. One can extract useful material from a translator's work only when one knows the translator's nationality, and knows the phonetics and graphics of his/her language. Things become even more complicated when the English scientist believes he knows the proper pronunciation but he is unable to find in the alphabet of his own language the proper symbol for that perceived sound, so he uses just for this sound, a symbol of the Italian alphabet. What will ensue of such a text if, let's say, a German scientist reads it and transliterates the text according to the German alphabet? There will be such a chaos created that it will take a very brave and strong man to attempt to lift out the true Sumerian and Egyptian words from this hodgepodge and even express an opinion about the nature of these languages. (2)

The foremost prerequisite for attaining the proper sounds, transliteration and understanding of these ancient scripts is to be familiar with the language with which the ancient texts were written and is fully familiar with the rules of pronunciation. This knowledge is as yet lacking and consequently today's researchers do not have the magic key with which to open up the secrets of these languages and their efforts have not led to a satisfying conclusion. In lack of such a key, the non-Hungarian scientist - and I am always talking about them in this book - usually resort to a replacement key. The Mesopotamian Sumerian is approached and translated with the help of the Persian, Assyrian and most of all the Hebrew. The Egyptian is translated with the help of the Coptic and Greek languages. Words transliterated in such a manner from the Sumerian and Egyptian may lack vowels at the most critical points or vowels will appear completely unnecessarily, consonants may become scrambled, and words may be shortened or in running texts the words' beginnings and endings will be uncertain or wrong. In other words, the transcribed text will distort the original to an almost unrecognizable form in both the Sumerian and the Egyptian language. Due to these many-layered mistakes of the transliteration-translation process, all of a sudden a language appears, in fact created by the translators, which does not resemble any known language. So we can truly state it is without any relatives and it is extinct. This opinion has to arise by necessity due to the above. If someone is unfamiliar with the sad background of Sumerology and Egyptology will accept this concoction as true "Sumerian" and "Egyptian".

The uncertain sound-values of these two ancient languages, the incorrect transliteration and the complete distortion of the original characteristics was noted by the orientalists themselves. Waddell reproached the linguists a long time ago, saying that they base the transcriptions of Mesopotamian texts upon the Assyrian language. These scientists, says Waddell, "begin their work laden with false racial and religious theories and did not have a key to the sound-values of personal names, which we inherited with Sumerian signs that had several sound-values. (Lloyd Seton: Foundations in the Dust, Bristol 1955, p.121). The destruction of the Sumerian language took on such proportions that the first translations proved useless and had to be laid aside. (Samuel Noah Kramer, Sumerian Mythology, New York 1961 p.22.) Samuel Kramer, an American Sumerologist made this remark, and he himself took extensive liberties in translating the Sumerian texts into English and frequently reads something completely different from what is written. Even with this in mind, he faces problems that are seemingly insurmountable. (Sumerian Mythology pg. 65, 68, 69, 73, 75-77), because very often he only feels the meaning of the words based on the text surrounding it. (S.N.Kramer: Twenty-Five Firsts in Man's Recorded History; From the Tablets of Sumer, Indian Hills, 1956) He does not have a key either and his results are so individualistic, that based on his findings he believes the Sumerian language without a family also, a language without a beginning and without a continuation. He even finds the date of its demise around 2000 BC. We do not fare any better - regrettably - concerning the reading of the Egyptian hieroglyphs as even a beginner of Egyptian studies will notice after studying Sir Wallis Budge's works. He himself states that the pronunciation of a great number of words, mostly verbs, cannot be ascertained and the meaning of symbols given by him is only marginal. (Budge, E.A.W. Egyptian Language. Easy lessons in Egyptian hieroglyphics with sign list. London, 1958, p.146 and passim.) The greatest Egyptologist of all times, the French Maspero admits very honestly: "It is our endeavor that we attempt the pronunciation of the Egyptian words but it may lead only to marginal results because we never know with sufficient certainty how they sounded. Our only recourse is that we establish what sound-values some of the words had in Greek times as far as this is possible." (Maspero G.: History of Egypt, Chaldea, Syria, Babilonia and Assyria. 6.vol. London, s.d. I, VI) "The general pronunciation of the Egyptian names in our days is not so much Egyptian, but Egyptologian; in other words the pronunciation of these words is according to Egyptologists." (Ceram C.W. A Hettiták Regénye, Hungarian translation by Márton Hegyi Budapest, 1964, p.26) "Needless to add, no one supposes that the result of this compromise is anything but a caricature of the ancient Egyptian tongue, but, the circumstances being as they are, it is the best that can be done." (P.E.Cleator Lost languages, New York, 1961, p. 59) The reader should never forget this fact.

At the same time, we have to realize that in certain instances it is truly very difficult, or even impossible to read the written text well and find its true meaning, even if we do have the knowledge of the rules of this writing and reading and also use the only good key leading there, which is the Hungarian language in establishing the sound values. After all, we are dealing with the spiritual heritage of a world of 4-5000 years ago; the workings of the minds of the people then was completely different from ours. This difficulty can be bridged only if we become thoroughly familiar with the belief system, statesmanship of the ages BC. It is for this reason that when we do translate a text we must sometimes add lengthy explanations to a given sentence. The following examples will clarify this statement.

The Egyptian and Sumerian texts frequently use the following names of their Sungod: Égúr, Székúr, Kerek Úr, Napúr, Õsúr, Magúr, Útúr, Honúr, Szemúr, Égetõ Úr, Vörös Szemû and some at least twenty more expressions. Western scholars who are not familiar with the key-language understand only the Úr suffix of these words which they translate as God. They also believe that as many such words with Úr endings exist, that many gods were worshipped by the ancients. For them there is a God An, God Utu, God Sek and so on. Anyone familiar with the key-language and the ancients' religion will recognize these words as the names of the same Sungod; the ancients stressed one of the Sungod's characteristics and function by a given name. We may compare this practice to the Roman Catholic Church's practice to call God the Father in his creative capacity, the Son is his redemptive function and the Holy Spirit as his sanctifying function. We will fully understand the Sungod's many names if we are familiar with the concepts of the ancients concerning the Sungod. According to them, the sun, this heavenly body is God's visible picture. Since this picture appears round, they name him Kerek Úr (Round Lord). Since the Sun brightens everything and sees everything, like a giant eye another name of his is Szemúr (Occulate Lord). Since his eye is pairless, they call him Egyszemû (One Eyed), according to the sun's color Vörös Szemû (Red Eyed) and since the Sun resides in the sky they also called him Égi Szem or Égszem (Eye of Heavens). When they contemplated its immense heat they called him Égetõ Úr (Scorching Lord) and Sütõ Úr (Shining Lord). They also believed that he is the only Lord in his world so they called him Honúr (Lord of his Home) and Égi Király (King of Heavens). As they saw the apparent motion as he rises in the morning his name then was Ra-Kel (Ra rises), the rising on the eastern borders Kel-Út (The Road of Rising/East) where he sits down onto his chair: Szék-Úr (Lord of the Chair or the Seated/Settled Lord), later on he sits into his chariot and travels the shiny roads of the skies: Útúr (Lord of the Road) and when he finished his daily journey and reaches the west: Nyug-Út (Resting/Western Road) and as he sinks below the horizon: Esút, Este (The Falling/Evening Road, Evening). As we clarify this section of their belief everything becomes clearer and also realize that the ancients whose religion was connected with the Sun were never polytheistic, they only had one God.

We can follow the ancients' footsteps and thinking this far and we can also understand the names they used and we are able to explain it to people who are ignorant of the Hungarian language. Things become complicated when the ancient theologians begin to use word-plays and substitute the names of their God using assonance; then they use a symbol, a picture of something that has no internal relationship with God except an assonance exists and so it becomes useful as a symbol that conveys a sound. The sentences, prayers they create with such symbols appear completely incomprehensible. For example when they want to write God's name as Ég-Úr (Lord of Heaven) they draw a mouse (Egér), Székúr's (The Seated/Settled Lord) name is conveyed by a wagon (szekér), the name Kerek-Úr (Round Lord) is represented by a wagon-wheel (kerék), the Úri-Õs (Ancestral Lord) with a giant (óriás) and so on. How could a person unfamiliar with Hungarian find its way among the symbols: when is it proper to talk about the Lord of Heaven (Égúr) and when the animal (egér) that represents his name here on earth? It is believed for exactly this reason that the Babylonians worshipped a mouse. With the above explanations we realize that they have not worshipped idols in any way just as we are not idol-worshippers when we pray in front of statues in the churches but the essence of what they symbolize; or in Egyptian symbology: for whom the symbol stands. We often find in the late Stone and Bronze Ages a tiny bronze-wagon on the altars. In this case they did not worship the wagon but the meaning this artifact conveyed, one of the names of the Sungod: Székúr or Az-Ég-Ur (The Seated/Settled God or The Lord of Heaven). It is of utmost importance for Hungarians to realize this for these facts are the weightiest series of testimonies concerning the true form of the Sumerian and Egyptian languages. In the case of the wordplay egér - Égúr (mouse - Lord of Heaven), szekér - Székúr (wagon - Seated Lord) it is perfectly clear in the Hungarian language, as it is clear in case of Szemúr when his name is written with the image of a donkey (szamár). But how many names of so called "idols" are lost to us! We become helpless when the tracks are lost. It is better to admit this fact freely and not to use some very individualistic explanation and mislead the reader, or to calumniate the ancients. They never worshipped crocodiles, snakes, frogs and insects; the good historians know that all this is only a figment of imagination just as much as the story of a relativeless Sumerian and Egyptian language. (Egyptian Mythology New York s.d. p.10; Hawkes, Jaquette, Wooley Leonard: Prehistory and the beginning of civilization. New York, 1963 p.717; Maspero G.: History of Egypt, Chaldea, Syria, Babilonia and Assyria, 6.vol. London s.d p.III.153)

Since it is so difficult to read the ancient Eastern texts, to transcribe them into today's alphabets and understand them, we are not amazed that only a very few people are willing to tread this very bumpy road. This explains why the study of the near one-hundred-thousand known Sumerian and Egyptian literary texts, which are known to us for 70 or 80 years has hardly progressed (S.N. Kramer Sumerian Mythology New York,1961, VIII). This is the reason that the presently used transcribed texts are unsuitable for linguistic studies and the clarification of the Sumerian and Egyptian languages cannot come about with their help. This situation was already realized by A. Nehring, a German scientist who remarked the following as early as 1936: "Thus far there was no attempt to make use of the grammar, study of sound and structure and the sentences in connection with the problems of the history of the ancients." The person who quoted this sentence in Budapest added the following: "The situation in this respect, as far as I know it has not changed since significantly." (Henning Von Der Osten, Hans: Die Welt der Perser, Stuttgart, 1956).

If one reviews the state of present research it is clear that there is something seriously wrong concerning the two languages that were baptized Sumerian and Egyptian. Even though they are believed without relations and dead, they clearly have a strong affiliation with the present day Hungarian. Considering this the basic accepted tenet of Sumerology and Egyptology is incorrect.

*

1. The first examiners of the Mesopotamian language called it a Scythan language. Today they bring it in relationship clearly with the Magyar, Finno-Ugrian or Ural-Altaic languages but still call this language Sumerian. The Sumerian name was coined in 1869 by Oppert, a French linguist and was picked up in the scientific journals of the day. Oppert arrived to this name by reading about the Lord of Sumer and Agade. He proposed that the named Lord was a king and the two other names are names of countries. The former name was extended and became the name of the country and the people (Samuel Kramer Noah, The Sumerians, Their History, Culture and Character, Chicago, 1964). But Oppert never understood the meaning of Sumer (Szemúr=Occulate Lord) and Agade (Égetõ=the Scorching Lord), both of which names are but two different names of the Sungod, thus the name of the country simple meant: The Country of the Sungod. This name described every country where the supremacy of the Sungod was honored. The above mentioned names can be substituted by any of the other names of the Sungod or territory marking names, such as Hon, Kõ, Ma, Ta. There existed for example a Napotthon (Home of the Sun), a Szemhon (Home of the Occulate Being), Makor-Ta, Hét-Ta, Ég-Ta, Szem-Ta, etc...(The lands of Makar, Hét, Ég, Szem = these are all names of the same Sungod).

2. In the orthography of names complete confusion reigns throughout the scholarly literature. (Ceram C.W. The Secret of the Hittites, V; New York, 1956.) It is hardly necessary to say that differences of opinion exist among scholars as to the method in which hieroglyphic characters should be transcribed into Roman letters, Budge E. Wallis Egyptian language; Easy lessons in Egyptian hieroglyphics with sign list. London, 1958 - p.32). Since in hieroglyphic writing only the consonants and not the vowels are indicated, our reading of Egyptian names is only a compromise and we do not pretend that our form of transcription renders the names as they were pronounced. (Tutankhamun treasures. Trésors de Toutankhamon. Montreal, 1964 - p. 4)



--------------------------------------------------------------------------------


Professor Tibor Baráth was born in Alsólendva Hungary in 1906. He received his Ph.D. in History in Budapest, and continued his postgraduate studies in Vienna, Paris and Montreal. He was professor of history at the University of Kolozsvár, Hungary (1940-45), until the communist takeover of his native country. Prior to his nomination to the teaching post, he was Secretary of the Hungarian Institute in Paris (1932-39) and fulfilled the role of Assistant-Secretary of the International Committee of Historical Sciences at the same time. He moved to Paris with his family in 1945 where he founded a Hungarian newspaper. He left Paris for Montreal, Canada in 1952. Here he continued his research concerning ancient Hungarian history which he began in Kolozsvár. Prof. Baráth was author of over one hundred historical essays and also of several books, the most significant ones being: The Tax-System in Hungary, 1605-1648; History of the Hungarian Historiography, 1867-1935 (in French); A Short History of Hungary; the three-volume Ancient History of the Hungarian Peoples (in Hungarian), and The Early Hungarians (in English).
Desolee que ce soit en anglais, j'espere que c'est OK.

Je me permets aussi de mettre cette page sur le forum divers.

yolande

Souiri
Ton regret incompréhensible montre combien le rejet d'une analyse peut être faussé par l'idéologie.Il est un tant soit peu méprisant pour le soin que j'apporte dans toutes mes interventions à argumenter objectivement,mais qui provoquent une réaction centrée sur l'interprétation hostile a priori et qui dérive sur l'insulte ou la caricature.
Facho,gaucho,religieux,athées,ne font pas avancer les idées,mais gênent le dialogue.

Par exemple si je te rappelais que tes anathèmes populaires contre le politicien autrichien mort sont contraires à la recommandation de pardonner pour pouvoir l'être soi-même,je crains que tu me considères comme un fanatique obscurantiste de droite religieuse,et que tu te précipites pour le clamer très fort.Mais ce n'est que mon opinion,et je ne me permettrais pas de la considérer comme Verité revélée!!!

je partage complètement le point de vue d'ein guedi ..

c'est une invasion ce texte la-haut ! trop long ..

je le lirai un jour, quand j'aurai le temps !

salut, noé

waowwww ! le flood !!!...faut être balaise pour lire ça...

pas confondre Lily citée dans la "tartine"... et Lili!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/10/2008 02:15 par Samuela.

Il est certainement plus interessant d'exposer ses propres idées,que de copier coller des documents connus,ou des jugements à l'emporte-pièce.
Mais s'il y a suffisamment de place dans le site,pourquoi pas ?

" Anecdote personnelle.

En 1967, mon pere qui etait un petit industriel dont la majorite des clients etaient des grossistes de la route de Mediouna a Casablanca, a failli etre ruine par le boycott de ses clients arabes "fassis". Ceux qui l'ont sauve de la faillite, ce furent ses clients berberes (chluehs) qui lui avancerent meme de l'argent sur leurs futures commandes. Il est vrai que mon pere parlait (entre autres) la langue tachelhit. "

en 1963 lors de la guerre des sables , des officiers de genies egyptiens
ont ete pris prisoniers en atlass , on les a ligoté eux et leur helicoptere ( on a avez peur qu'elle s'envole de son propre chef ... ) a l'epoque on avait comme ministre de la defence mahjoubi ahrdane , ce dernier a lancé une boutade qui va devenir memoriable par la suite : si les egyptiens ont laissé leurs chaussures aux juifs ( 1956 ) c'est leurs pantalons qu'ils vont laissé s'ils mettent leurs pieds au maroc

Pourquoi le roi Hassan II a-t-il envoyé des troupes combattre Israel en 1973 ? pourtant il avait besoin du soutien des juifs et du Mossad après 2 attentats manqués.. :

- Il a compris les vraies visées des gouvernements sionistes successifs dans la région : Dominer militairement toute cette région et s'étaler pour créer le Grand Israel (jusqu'a l'Euphrat..).

- Contrairement à des analyses avancées, Israel à toujours pris l'initiative des attaques contre les pays arabes (même la Tunisie !) sauf en 73..

- Hassan II n'est pas le roi abdallah de Jordanie...

- Hassan II aimait les juifs, les protégeait et les respectait : pour se décider à envoyer des troupes en 73 c'est que certains d'Israel ont dépasseé toute limite de la raison et se croyaient déjà les refondateur du Grand Israel..

- Quel visionnaire ! il était plus respécté dans le monde et par les gouvernements israeliens qu'il a combattu... après 1973 !

Maârif a écrit:
-------------------------------------------------------
> Pourquoi le roi Hassan II a-t-il envoyé des
> troupes combattre Israel en 1973 ? pourtant il
> avait besoin du soutien des juifs et du Mossad
> après 2 attentats manqués.. :
>
> - Il a compris les vraies visées des gouvernements
> sionistes successifs dans la région : Dominer
> militairement toute cette région et s'étaler pour
> créer le Grand Israel (jusqu'a l'Euphrat..).
>
> - Contrairement à des analyses avancées, Israel à
> toujours pris l'initiative des attaques contre les
> pays arabes (même la Tunisie !) sauf en 73..
>
> - Hassan II n'est pas le roi abdallah de
> Jordanie...
>
> - Hassan II aimait les juifs, les protégeait et
> les respectait : pour se décider à envoyer des
> troupes en 73 c'est que certains d'Israel ont
> dépasseé toute limite de la raison et se croyaient
> déjà les refondateur du Grand Israel..
>
> - Quel visionnaire ! il était plus respécté dans
> le monde et par les gouvernements israeliens qu'il
> a combattu... après 1973 !



Ecoutez-le!!! Preuve formelle qu'il ne sait absolument rien sur Hassan II ni rien du tout à propos de la guerre de 73.

Haifa
les délires de ce pauvre Maarif,finissent par donner naissance quand ils sont écrits par des personnes béneficiant d'une notoriété médiatique,à d'autre délires que nous avons lu sur le sujet du Mythe du peuple juif.
(les Protocoles,le Lobby,le Grand Israel....)
La verité fille de la Raison est inaudible quand la Foi hurle ses mensonges.

yolandewizman a écrit:
-------------------------------------------------------
> L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: jero (IP enregistrée)
> Date: 1 February 2004, 18:39
>
>
> Bonjour,
>
>
>
> J’ai visité avec plaisir votre site.
>
> Je voudrais vous faire remarquer que Dafina ne
> viens pas de l’arabe forcément. Pourquoi ? Par ce
> que l’hébreux est antérieur à l’arabe, et que
> c’est l’arabe qui beaucoup pris de l’hébreux. Des
> études ont attesté que 70% du langage coranique
> était inconnu dans la langue arabe, alors….Cessez
> de donner a l’arabe ce qu’elle n’a pas. A titre
> d’exemple ? compter en hébreux et en arabe, dites
> les noms des jours en hébreux et en arabe et j’en
> passe. LA langue arabe n’a malheureusement réussi
> que grâce aux apports des autres langues, surtout
> l’hébreux, le persan, le turc, l’éthiopien et
> l’amazigh.
>
> Mustapha, rabat, Maroc
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
> Message Prive•Suivre cette discussion•Signaler ce
> message à un modérateur
> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: Lily (IP enregistrée)
> Date: 1 February 2004, 20:49
>
>
> Shalom a vous, qui que vous soyez...
> Je dis cela parce que d'une part vous notez que
> vous etes Jack Halfon qui a l'air strictement etre
> un nom juif d'afrique du nord, et de l'autre cote
> vous signez : Mustapha - qui evidemment est
> different - mais vous avez vos raisons et je les
> respecte.
>
> Arabe/hebreux
>
> Je crois plutot que l'arabe a existe bien avant
> l'hebreux et je dirai que l'hebreux est un
> developement dialectique de langues semites.
> Suivez mon raisonement:
> Notre ancetre Abraam a immigre en Canaan venant de
> mesopotamie: UR KASHDIM - evidemment il ne pouvait
> pas encore parler l'hebreux qui ne pouvait pas
> exister a l'epoque...
>
> En s'implantant au pays de Canaan il est probable
> q'avec le temps, lui et sa famille et ses
> servants, ont assimile quelque partie du langage
> des autochtones cananeens...
>
> Plus tard (d'apres la bible) les douze enfants de
> Jacob, petit fils d'Avraam, se retrouvent en
> Egypte et echangent naturellement culture et
> langue avec le peuple Egyptien (400 ans c'est
> beaucoup...).
> Amon avis, les enfants d'israel, a leur exode
> d'Egypte, ne parlaient qu'Egyptien et peut etre
> quelques bribes anciens de la langue qu'ils
> developerent en Canaan...
>
> Les voici donc de nouveau a Cannan ou ils
> reconquissent presque tout le pays et apres
> l'poque des juges et des Philistins ils commencent
> a batir un important empire commencant par leur
> premier roi Saul ensuite David ensuite salomon,
> ensuite une descendance problematique qui mene au
> "schisme" du peuple qui conduira irremediablement
> a la disparition de pres de dix tribus... ce qu'il
> en restera c'est le peuple de Juda qui sera plus
> tard exile d'abord en Perse ensuite en Babylonie.
> voyez comme les languages se confondent dans cet
> imbroglio de dialectes....
> Ce malheureux peuple est enfin permi de retourner
> en Judee (restreinte) ou il commence la
> construction du deuxiemme temple qui plus tard,
> sera restore et meme agrandi par Herode, sacre roi
> par l'empire Romain. A cette epoque, les Israelite
> ne parlent que l'Arameen importe de babylonie. En
> Judee les langues couramment parlees, sont
> l'egyptien, le Greque, le Syrien, Le Romain, et
> meme le Franc (la guarde personnelle du roi Herode
> etait essentiellement faite de soldats
> Gaulois!!!). scientifiquement, nous savons que les
> lettres hebraiques nous viennent d' ASHOUR
> (Assyrie donc Babylone).
> Evidemment il est fort probable que l'hebreux
> biblique ait en lui une essence d'hebreux antique
> a laquelle se joindront plus tard des dialectes de
> peuples chez lesquels nous "sejournions" parfois
> bien malgres nous...
>
> Pour qui aimerait l'histoire du peuple juif sans
> entrer dans les considerations
> mystiques/religieuses, je recommende chaudement
> les ecrits de: Josephus flavius qui fut
> contemporain et meme temoin visuel de la
> destruction du second temple de Jerusalem.
> La guerre des romains contre les juifs
> L'histoire des juifs
> Contre Apion
> Ses ecrits sont etudies et traduits dans de
> nombreuses langues, donc vous n'aurez pas de
> dificultes a les retrouver.
> Lily
>
>
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
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> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: Yassar (IP enregistrée)
> Date: 1 February 2004, 23:42
>
>
> bravo 3ammi lily !!!
>
> tu as raion , les deux langue sémitiques , arabe
> hébreu ont était une seule langue n la langue que
> dieu a parlé avec adam et Eve , mais apres la
> dévison entre les frère , **** , Cain... chaque
> tribu parlé undailécte de cette langue sémitique
> divine .
>
> voilà , l'aramien , Am'harique , arabe , et hebreu
> sont des dialecte de cetet langue morte que
> personne ne parle maint .
>
> pour l'amazigh !! ( j'en suis sur que tu es un
> berberiste fanatique extremiste ) , le berber a
> pris bcp de mots de la langue arabe tu sais
> pourquoi car les berbers ne savais rien que la
> lune , la mer , les motagne , ils ont vécu comme
> des nomade loin de la philosophie et des sciences
> , j'ai rien contre l'amazighe , mais je veux bien
> t'eclairer les choses .( aussi l'arabe marocain a
> pris bcpde mots de la langue berber ) donc il faut
> pas dire que cette langue ne vaut rien et l'autre
> c'est le tous ..
> l'interculturalisme et la communication et
> l'echange des civilisation fais de nouveaux
> bébés.
>
>
> Yassar
>
>
>
> Yassar Ben-Soly
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
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> message à un modérateur
> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: esther (IP enregistrée)
> Date: 2 February 2004, 00:11
>
>
> Lily, je voulai te dire que c'est mustapha qui a
> ecrit a jero pour publier son message , donc c'est
> pas jero l'auteur mais mustapha.
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
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> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: malchar (IP enregistrée)
> Date: 2 February 2004, 01:30
>
>
> ahlan esther
> mitztaer she lo yeholty lavo lenahem otah be
> natania. kol ma she ani yehol leahel lah hayom,rak
> she lo tidii yoter tzaar, ou beezrat hashem
> nifagesh rak be smahot.
> charlo
>
>
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> Message Prive•Suivre cette discussion•Signaler ce
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> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: pilo elie (IP enregistrée)
> Date: 3 February 2004, 00:44
>
>
> lily
> comment peut on dire que l arabe existe avant l
> hebreu
> tant q uil y a des manuscrits qui datent bien
> avant
> que l islam a apparu
> bon soir
>
>
>
> tbark aallah alikoum
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
> Message Prive•Suivre cette discussion•Signaler ce
> message à un modérateur
> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: Lily (IP enregistrée)
> Date: 3 February 2004, 03:46
>
>
> Salut Elie
> Bien sur tu as raison la "religion juive" est
> apparue sur la scene de l'histoire bien avant la
> "religion musulmane" (beaucoup avant!) mais les
> arabes ce sont les peuples qui vivaient en dela du
> jourdain...qui avaient leur propre langue... mais
> ils n'etaient pas encore musulmans car Mohamed
> n'etait pas encore arrive.... Mais l'Arabie dans
> le monde antique c'est toute la mesopotamie, de la
> Syrie j'usquaux abords de la turquie et comprend
> entre autre la langue Ashourit dont l'hebreu
> descend. Entre temps toutes ces frontieres se sont
> fondues et confondues et les frontieres physiques,
> politiques et economiques ont changees maintes
> fois. J'ai parle du developpement de la langue
> Ashourit a travers l'histoire qui n'est pas
> necessairement liee directement a la religion
> Musulmane qui elle, a son developpement propre,
> mais bien plus tard...
>
>
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
> Message Prive•Suivre cette discussion•Signaler ce
> message à un modérateur
> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: la fille de la mer et du soleil (IP
> enregistrée)
> Date: 3 February 2004, 14:27
>
>
> salut tout le monde
> et comme vous a dit esther, c'est bien moustapha
> qui a ecrit et jero qui est jack halfon qui a
> publie le message du haut .
> alors que tout le monde sache que l'hebreux est
> venu avant l'arabe.
> soly
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
> Message Prive•Suivre cette discussion•Signaler ce
> message à un modérateur
> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: Yassar (IP enregistrée)
> Date: 4 February 2004, 23:20
>
>
> mes cher amis , vous avez tors tous :
>
> vous avez condendu entre l'arabe et l'islam !!
> c'st comme le plus par de mes amis qui disent au
> chrétiens des juifs !!
>
> l'arabe exisait au meme temps que l'hebreu ou bien
> bien avant d'apres bcp de recherche archilogiques
> .
>
> l'hébreu exisait mais elle étiat infulencé bcp le
> temps de l'exil en babylonie , elle a adapter
> l'criture aramienne et ...
>
> mais les arabes ont dévolopé leurs propre langue
> .
>
> j'ai fais la litérature arabe et française et je
> sais ters bien de quoi je parle cher amis .
> l'islam est venu en arabe mais il n'a pas amené
> l'arabe c'est tous . mais d'apres ce que j'ai lu
> et d'apres mes etudes biblique , les dix
> comandemmants ont été donné a Moshé rabbinou en
> Héroghraphique ( langue des egyptiens ).
>
>
> Yasar
>
>
>
> Yassar Ben-Soly
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
> Message Prive•Suivre cette discussion•Signaler ce
> message à un modérateur
> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: ItrophedEilat (IP enregistrée)
> Date: 10 December 2004, 13:24
>
>
> est ce que l arabe existait avant JC j en doute un
> peu ... a t on retrouve des documents l attestant
> ? Par contre on a retrouve des documents en
> cuneiforme, des documents pheniciens, des
> documents en demotique. C est d ailleurs le
> demotique et le grec qui ont permis a CHAMPOLLION
> de dechiffrer les hyerogliphes.
>
> La langue qui probablemet a donne naissance a
> toutes les langues semitiques du bassin
> mediterraneen, derivent du phenicien dont voici un
> exemple... L Arameen a donne naissance a l hebreu
> Quelle langue parlaient les CANANEENS on ne le
> sait pas avec exactitude
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
> Message Prive•Suivre cette discussion•Signaler ce
> message à un modérateur
> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: Yassar (IP enregistrée)
> Date: 14 December 2004, 15:52
>
>
> l'arabe et l'hebreu et les autres langues
> sémitique viennent toutes de la meme source ,
> c'est la langue divine , celle de Dieu.
>
> toutes les langues sont sous formes d'un accord
> entre les gens avec le quel on organise la
> communication.
>
> par exemple au lieu de Dire Slama en aramien on
> peut dire un autre mot qui peut etre Popo ( mais
> le faite de se mettre d'accord) souligne un
> nouveau mot dans le meme parler des gens , voilà.
>
>
>
> yassar
>
>
>
> Yassar Ben-Soly
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
> Message Prive•Suivre cette discussion•Signaler ce
> message à un modérateur
> ch a apprendre une langue
> Auteur: metsuyan (IP enregistrée)
> Date: 15 December 2004, 20:59
>
>
> bonsoir tout l monde!!!!!
>
> wow, qu'est ce qu on apprend avec vous!!!!
> en passant par la, yaurait pas quelqu un qui sache
> ce que j dois faire pour apprendre un peu
> d'hebreu?
>
> lehitra'ot
>
>
>
> j vous adore !!!!
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
> Message Prive•Suivre cette discussion•Signaler ce
> message à un modérateur
> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: Yassar (IP enregistrée)
> Date: 15 December 2004, 23:27
>
>
> demande a soly et a shoushana , elle savent bien
> parler hebreu !! mmmmmmmmmmmmmm
>
>
>
> Yassar Ben-Soly
>
>
> Options: Répondre•Répondre en citant•Repondre par
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> message à un modérateur
> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: omar tounsi (IP enregistrée)
> Date: 7 March 2005, 07:11
>
>
> je reponds en retard... hummm...
> moi je ne tiens pas compte de la bible ou de texte
> religieux...
> j'ai cherche dans le domaine de la linguistique et
> de l'ethnologie depuis plus de 3 ans (depuis le
> lycee), et je dis moi que l'arabe et l'hebreu
> devraient etre apparues en meme temps, mais aucune
> des deux langues sous sa forme actuelle.
> au debut, sans doute, il existait une langue
> semitique unie, qui s'est divisee en 5 branches:
> -orientale qui est la langue akkadienne.
> -septentrionale qui a donne 3 langues: amorite,
> ougaritique et eblaite.
> -cananeenne qui a donne 3 langues: phenicien,
> moabite, hebreu.
> -arameenne qui a donne plusieurs langues et dont
> l'arameen est encore parle en syrie, liban et iraq
> par quelques centaines de milliers de personnes au
> total.
> -meridionale qui a donne 2 (3?) langues: arabe,
> sud-arabe (assez different de l'arabe) et ancien
> ethiopien (?)
> chacune de ces langues a donne une multitude de
> dialectes differents les uns des autres.
> donc si on emet l'hypothese que les evolutions
> internes des langues se sont faites a la meme
> vitesse, l'arabe et l'hebreu devraient etre
> apparus en meme temps (approx.)
> toutefois l'inter-influence entre ces langues par
> le fait de la proximite et de l'histoire, mais en
> tenant compte des ressemblances entre les langues
> sous leur forme actuelle et des influences
> externes au groupe semitique, l'hypothese se
> confirme.
>
> ->le groupe chamitique (dont est issu l'amazigh)
> se serait detache du semitique bien avant
> l'eclatement de ce dernier. ceci repose sur
> l'hypothese d'une branche commune semite-chamite,
> sachant qu'une grande part des linguistes refuse
> l'hypothese de l'origine commune de ces deux
> branches, soutenant que les berberes sont venus
> plutot du nord que de l'est.
>
> si quelqu'un est interesse par ce sujet, j'en
> discuterai volontiers meme en voice-communication.
> mon mail est sur mon profil.
>
>
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> Message Prive•Suivre cette discussion•Signaler ce
> message à un modérateur
> Re: L'Hebreu et l'Arabe
> Auteur: yolandewizman (IP enregistrée)
> Date: 11 October 2008, 08:55
>
>
> Bonjour,
>
> Dommage que ce forum n'a pas eu suite.
> Dernierement sur le forum divers, il y a eu la
> question de qui a precede quoi l'hebreu ou
> l'arabe, et puis j'ai souleve le fait que les deux
> langues proviennent sumerien, et la je trouve
> qu'effectivemnt omar tunsi a bien elabore sur ce
> sujet
> quote
> au debut, sans doute, il existait une langue
> semitique unie, qui s'est divisee en 5 branches:
> -orientale qui est la langue akkadienne.
> -septentrionale qui a donne 3 langues: amorite,
> ougaritique et eblaite.
> -cananeenne qui a donne 3 langues: phenicien,
> moabite, hebreu.
> -arameenne qui a donne plusieurs langues et dont
> l'arameen est encore parle en syrie, liban et iraq
> par quelques centaines de milliers de personnes au
> total.
> -meridionale qui a donne 2 (3?) langues: arabe,
> sud-arabe (assez different de l'arabe) et ancien
> ethiopien (?)
> chacune de ces langues a donne une multitude de
> dialectes differents les uns des autres.
> donc si on emet l'hypothese que les evolutions
> internes des langues se sont faites a la meme
> vitesse, l'arabe et l'hebreu devraient etre
> apparus en meme temps (approx.)
> toutefois l'inter-influence entre ces langues par
> le fait de la proximite et de l'histoire, mais en
> tenant compte des ressemblances entre les langues
> sous leur forme actuelle et des influences
> externes au groupe semitique, l'hypothese se
> confirme
> unquote
> Pour plus accentuer les propos d' omar tunsi, je
> mets une etude de langues tiree du google du
> professeur tibor barath qui m'a ete indique par un
> ami hongrois qui residait a casablanca et qui
> etudiait les ecritures anciennes (hieroglyphe)
> WAS HUNGARIAN THE LANGUAGE OF
> THE ANCIENT EASTERN CULTURES?
> by
>
> Dr. Tibor Baráth
> The state of the current research.
> According to current scientific view, two
> languages flourished in the Ancient East in the
> millennia BC. It is believed that one originated
> somewhere north of the Tigris and Euphrates
> valley, and came to full bloom in Szemúr Sungod's
> country (Sumer, Sumir) where it became the
> literary language. It is also believed that it
> spread from Sumer toward the southern part of the
> country and later to the east all the way to the
> Mediterranean. The other language that flourished
> at this time, the language of the Ancient
> Egyptians is believed to not only have been the
> spoken language of the Nile-region but also the
> language of southwestern Africa. After the
> Egyptian kingdom was firmly established (1500 BC),
> it spread toward the great bend of the Euphrates
> river and Syria. Both languages are believed to be
> the world's oldest languages. ("The language of
> the hieroglyphs is perhaps the oldest in the
> world." - Brodrick M. Morton A, A Concise
> Dictionary Of Egyptian Archaeology, London, 1922.)
>
>
> If we examine the exact position of the places
> where these two languages flourished, we find that
> they completely match the territories occupied by
> the two great branches of the Hungarians: the Hun
> and the Magyar. These two names are frequent in
> this territory where the Hungar-Magyar people
> represented the culture-bearing population. This
> gives rise to three questions: 1. Did a fatal
> linguistic misunderstanding or misinterpretation
> occur when deciphering these languages that
> prevented proper classification of these two
> languages. 2. Is it possible that these two
> languages were in fact the same and 3. If they
> were in fact the same, were they the Magyar
> language? Posing these questions is validated by
> the fact that there is no historical evidence that
> these ancient eastern languages were called
> Sumerian or Egyptian by the actual residents of
> these cultures or the record-keepers of the time.
> These two names, coined and popularized by the
> scientists of the 19th c. AD,(1) were used only as
> geographical markers, but were not used as the
> names of the people or their languages.
>
> Those texts which we call Sumerian today were
> written in two different manners: with pictographs
> and cuneiform writing. The older texts were
> written with the former method, the younger texts
> with the latter. Sumerologians have not even
> touched the pictographs yet; as far as I know none
> of them have been read. I believe the reason for
> this is these pictures yield their meaning only in
> the real Sumerian language, which is the Magyar
> (Hungarian), and their sound value can be
> established only according to this language.
> Consequently if someone does not speak this true
> "Sumerian" language, that person is unable to
> decipher them. This remark already lets us get a
> sense of what follows. All the present views
> concerning the Sumerian language are based solely
> upon the cuneiform texts. The cuneiform signs
> usually mark only the consonants and the reader
> adds the required nouns. The consonants may be
> read without really knowing the real Sumerian
> language, but it does not expose the nouns nor how
> to break the text into words. And where the
> Egyptian texts are concerned, they too used
> simplified pictures drawn close to one another.
> Later, the simplified version of a type of
> lettering came into use, hieroglyphs made of these
> pictures. They too mark only consonants and the
> vowels have to be added by the reader according to
> the spirit of the language. The Egyptologists read
> only the newer, hieroglyphic texts but they are
> unable to tell for certain what the nature of the
> accompanying vowels are and how the text should be
> broken into words. If we add here that the hard
> and soft consonants were frequently represented
> with the same sign (T=D, P=B, S=SZ, K=G, R=L) we
> may form a vague idea of the huge possibility of
> errors which may be committed while reading or
> transcribing the Sumerian and Egyptian texts into
> today's alphabet.
>
> There is no solidly established consensus
> concerning the use of today's alphabets. Should
> the English, the French or some other language's
> alphabet used? They never thought of the
> Hungarian. If we base our transliterating onto the
> English spelling-system, how can they mark the
> Hungarian GY, TY, LY sounds, which have firmly
> established spelling system in the Hungarian? Out
> of this dilemma arises the fact that the same word
> or name varies and is written in five or six
> different manners according to the nationality of
> the translator, as we find in the case of the
> Muger ruins in the city of Ur, or in the case of
> the Hungar and Magyar names. One can extract
> useful material from a translator's work only when
> one knows the translator's nationality, and knows
> the phonetics and graphics of his/her language.
> Things become even more complicated when the
> English scientist believes he knows the proper
> pronunciation but he is unable to find in the
> alphabet of his own language the proper symbol for
> that perceived sound, so he uses just for this
> sound, a symbol of the Italian alphabet. What will
> ensue of such a text if, let's say, a German
> scientist reads it and transliterates the text
> according to the German alphabet? There will be
> such a chaos created that it will take a very
> brave and strong man to attempt to lift out the
> true Sumerian and Egyptian words from this
> hodgepodge and even express an opinion about the
> nature of these languages. (2)
>
> The foremost prerequisite for attaining the proper
> sounds, transliteration and understanding of these
> ancient scripts is to be familiar with the
> language with which the ancient texts were written
> and is fully familiar with the rules of
> pronunciation. This knowledge is as yet lacking
> and consequently today's researchers do not have
> the magic key with which to open up the secrets of
> these languages and their efforts have not led to
> a satisfying conclusion. In lack of such a key,
> the non-Hungarian scientist - and I am always
> talking about them in this book - usually resort
> to a replacement key. The Mesopotamian Sumerian is
> approached and translated with the help of the
> Persian, Assyrian and most of all the Hebrew. The
> Egyptian is translated with the help of the Coptic
> and Greek languages. Words transliterated in such
> a manner from the Sumerian and Egyptian may lack
> vowels at the most critical points or vowels will
> appear completely unnecessarily, consonants may
> become scrambled, and words may be shortened or in
> running texts the words' beginnings and endings
> will be uncertain or wrong. In other words, the
> transcribed text will distort the original to an
> almost unrecognizable form in both the Sumerian
> and the Egyptian language. Due to these
> many-layered mistakes of the
> transliteration-translation process, all of a
> sudden a language appears, in fact created by the
> translators, which does not resemble any known
> language. So we can truly state it is without any
> relatives and it is extinct. This opinion has to
> arise by necessity due to the above. If someone is
> unfamiliar with the sad background of Sumerology
> and Egyptology will accept this concoction as true
> "Sumerian" and "Egyptian".
>
> The uncertain sound-values of these two ancient
> languages, the incorrect transliteration and the
> complete distortion of the original
> characteristics was noted by the orientalists
> themselves. Waddell reproached the linguists a
> long time ago, saying that they base the
> transcriptions of Mesopotamian texts upon the
> Assyrian language. These scientists, says Waddell,
> "begin their work laden with false racial and
> religious theories and did not have a key to the
> sound-values of personal names, which we inherited
> with Sumerian signs that had several sound-values.
> (Lloyd Seton: Foundations in the Dust, Bristol
> 1955, p.121). The destruction of the Sumerian
> language took on such proportions that the first
> translations proved useless and had to be laid
> aside. (Samuel Noah Kramer, Sumerian Mythology,
> New York 1961 p.22.) Samuel Kramer, an American
> Sumerologist made this remark, and he himself took
> extensive liberties in translating the Sumerian
> texts into English and frequently reads something
> completely different from what is written. Even
> with this in mind, he faces problems that are
> seemingly insurmountable. (Sumerian Mythology pg.
> 65, 68, 69, 73, 75-77), because very often he only
> feels the meaning of the words based on the text
> surrounding it. (S.N.Kramer: Twenty-Five Firsts in
> Man's Recorded History; From the Tablets of Sumer,
> Indian Hills, 1956) He does not have a key either
> and his results are so individualistic, that based
> on his findings he believes the Sumerian language
> without a family also, a language without a
> beginning and without a continuation. He even
> finds the date of its demise around 2000 BC. We do
> not fare any better - regrettably - concerning the
> reading of the Egyptian hieroglyphs as even a
> beginner of Egyptian studies will notice after
> studying Sir Wallis Budge's works. He himself
> states that the pronunciation of a great number of
> words, mostly verbs, cannot be ascertained and the
> meaning of symbols given by him is only marginal.
> (Budge, E.A.W. Egyptian Language. Easy lessons in
> Egyptian hieroglyphics with sign list. London,
> 1958, p.146 and passim.) The greatest Egyptologist
> of all times, the French Maspero admits very
> honestly: "It is our endeavor that we attempt the
> pronunciation of the Egyptian words but it may
> lead only to marginal results because we never
> know with sufficient certainty how they sounded.
> Our only recourse is that we establish what
> sound-values some of the words had in Greek times
> as far as this is possible." (Maspero G.: History
> of Egypt, Chaldea, Syria, Babilonia and Assyria.
> 6.vol. London, s.d. I, VI) "The general
> pronunciation of the Egyptian names in our days is
> not so much Egyptian, but Egyptologian; in other
> words the pronunciation of these words is
> according to Egyptologists." (Ceram C.W. A
> Hettiták Regénye, Hungarian translation by Márton
> Hegyi Budapest, 1964, p.26) "Needless to add, no
> one supposes that the result of this compromise is
> anything but a caricature of the ancient Egyptian
> tongue, but, the circumstances being as they are,
> it is the best that can be done." (P.E.Cleator
> Lost languages, New York, 1961, p. 59) The reader
> should never forget this fact.
>
> At the same time, we have to realize that in
> certain instances it is truly very difficult, or
> even impossible to read the written text well and
> find its true meaning, even if we do have the
> knowledge of the rules of this writing and reading
> and also use the only good key leading there,
> which is the Hungarian language in establishing
> the sound values. After all, we are dealing with
> the spiritual heritage of a world of 4-5000 years
> ago; the workings of the minds of the people then
> was completely different from ours. This
> difficulty can be bridged only if we become
> thoroughly familiar with the belief system,
> statesmanship of the ages BC. It is for this
> reason that when we do translate a text we must
> sometimes add lengthy explanations to a given
> sentence. The following examples will clarify this
> statement.
>
> The Egyptian and Sumerian texts frequently use the
> following names of their Sungod: Égúr, Székúr,
> Kerek Úr, Napúr, Õsúr, Magúr, Útúr, Honúr, Szemúr,
> Égetõ Úr, Vörös Szemû and some at least twenty
> more expressions. Western scholars who are not
> familiar with the key-language understand only the
> Úr suffix of these words which they translate as
> God. They also believe that as many such words
> with Úr endings exist, that many gods were
> worshipped by the ancients. For them there is a
> God An, God Utu, God Sek and so on. Anyone
> familiar with the key-language and the ancients'
> religion will recognize these words as the names
> of the same Sungod; the ancients stressed one of
> the Sungod's characteristics and function by a
> given name. We may compare this practice to the
> Roman Catholic Church's practice to call God the
> Father in his creative capacity, the Son is his
> redemptive function and the Holy Spirit as his
> sanctifying function. We will fully understand the
> Sungod's many names if we are familiar with the
> concepts of the ancients concerning the Sungod.
> According to them, the sun, this heavenly body is
> God's visible picture. Since this picture appears
> round, they name him Kerek Úr (Round Lord). Since
> the Sun brightens everything and sees everything,
> like a giant eye another name of his is Szemúr
> (Occulate Lord). Since his eye is pairless, they
> call him Egyszemû (One Eyed), according to the
> sun's color Vörös Szemû (Red Eyed) and since the
> Sun resides in the sky they also called him Égi
> Szem or Égszem (Eye of Heavens). When they
> contemplated its immense heat they called him
> Égetõ Úr (Scorching Lord) and Sütõ Úr (Shining
> Lord). They also believed that he is the only Lord
> in his world so they called him Honúr (Lord of his
> Home) and Égi Király (King of Heavens). As they
> saw the apparent motion as he rises in the morning
> his name then was Ra-Kel (Ra rises), the rising on
> the eastern borders Kel-Út (The Road of
> Rising/East) where he sits down onto his chair:
> Szék-Úr (Lord of the Chair or the Seated/Settled
> Lord), later on he sits into his chariot and
> travels the shiny roads of the skies: Útúr (Lord
> of the Road) and when he finished his daily
> journey and reaches the west: Nyug-Út
> (Resting/Western Road) and as he sinks below the
> horizon: Esút, Este (The Falling/Evening Road,
> Evening). As we clarify this section of their
> belief everything becomes clearer and also realize
> that the ancients whose religion was connected
> with the Sun were never polytheistic, they only
> had one God.
>
> We can follow the ancients' footsteps and thinking
> this far and we can also understand the names they
> used and we are able to explain it to people who
> are ignorant of the Hungarian language. Things
> become complicated when the ancient theologians
> begin to use word-plays and substitute the names
> of their God using assonance; then they use a
> symbol, a picture of something that has no
> internal relationship with God except an assonance
> exists and so it becomes useful as a symbol that
> conveys a sound. The sentences, prayers they
> create with such symbols appear completely
> incomprehensible. For example when they want to
> write God's name as Ég-Úr (Lord of Heaven) they
> draw a mouse (Egér), Székúr's (The Seated/Settled
> Lord) name is conveyed by a wagon (szekér), the
> name Kerek-Úr (Round Lord) is represented by a
> wagon-wheel (kerék), the Úri-Õs (Ancestral Lord)
> with a giant (óriás) and so on. How could a person
> unfamiliar with Hungarian find its way among the
> symbols: when is it proper to talk about the Lord
> of Heaven (Égúr) and when the animal (egér) that
> represents his name here on earth? It is believed
> for exactly this reason that the Babylonians
> worshipped a mouse. With the above explanations we
> realize that they have not worshipped idols in any
> way just as we are not idol-worshippers when we
> pray in front of statues in the churches but the
> essence of what they symbolize; or in Egyptian
> symbology: for whom the symbol stands. We often
> find in the late Stone and Bronze Ages a tiny
> bronze-wagon on the altars. In this case they did
> not worship the wagon but the meaning this
> artifact conveyed, one of the names of the Sungod:
> Székúr or Az-Ég-Ur (The Seated/Settled God or The
> Lord of Heaven). It is of utmost importance for
> Hungarians to realize this for these facts are the
> weightiest series of testimonies concerning the
> true form of the Sumerian and Egyptian languages.
> In the case of the wordplay egér - Égúr (mouse -
> Lord of Heaven), szekér - Székúr (wagon - Seated
> Lord) it is perfectly clear in the Hungarian
> language, as it is clear in case of Szemúr when
> his name is written with the image of a donkey
> (szamár). But how many names of so called "idols"
> are lost to us! We become helpless when the tracks
> are lost. It is better to admit this fact freely
> and not to use some very individualistic
> explanation and mislead the reader, or to
> calumniate the ancients. They never worshipped
> crocodiles, snakes, frogs and insects; the good
> historians know that all this is only a figment of
> imagination just as much as the story of a
> relativeless Sumerian and Egyptian language.
> (Egyptian Mythology New York s.d. p.10; Hawkes,
> Jaquette, Wooley Leonard: Prehistory and the
> beginning of civilization. New York, 1963 p.717;
> Maspero G.: History of Egypt, Chaldea, Syria,
> Babilonia and Assyria, 6.vol. London s.d
> p.III.153)
>
> Since it is so difficult to read the ancient
> Eastern texts, to transcribe them into today's
> alphabets and understand them, we are not amazed
> that only a very few people are willing to tread
> this very bumpy road. This explains why the study
> of the near one-hundred-thousand known Sumerian
> and Egyptian literary texts, which are known to us
> for 70 or 80 years has hardly progressed (S.N.
> Kramer Sumerian Mythology New York,1961, VIII).
> This is the reason that the presently used
> transcribed texts are unsuitable for linguistic
> studies and the clarification of the Sumerian and
> Egyptian languages cannot come about with their
> help. This situation was already realized by A.
> Nehring, a German scientist who remarked the
> following as early as 1936: "Thus far there was no
> attempt to make use of the grammar, study of sound
> and structure and the sentences in connection with
> the problems of the history of the ancients." The
> person who quoted this sentence in Budapest added
> the following: "The situation in this respect, as
> far as I know it has not changed since
> significantly." (Henning Von Der Osten, Hans: Die
> Welt der Perser, Stuttgart, 1956).
>
> If one reviews the state of present research it is
> clear that there is something seriously wrong
> concerning the two languages that were baptized
> Sumerian and Egyptian. Even though they are
> believed without relations and dead, they clearly
> have a strong affiliation with the present day
> Hungarian. Considering this the basic accepted
> tenet of Sumerology and Egyptology is incorrect.
>
> *
>
> 1. The first examiners of the Mesopotamian
> language called it a Scythan language. Today they
> bring it in relationship clearly with the Magyar,
> Finno-Ugrian or Ural-Altaic languages but still
> call this language Sumerian. The Sumerian name was
> coined in 1869 by Oppert, a French linguist and
> was picked up in the scientific journals of the
> day. Oppert arrived to this name by reading about
> the Lord of Sumer and Agade. He proposed that the
> named Lord was a king and the two other names are
> names of countries. The former name was extended
> and became the name of the country and the people
> (Samuel Kramer Noah, The Sumerians, Their History,
> Culture and Character, Chicago, 1964). But Oppert
> never understood the meaning of Sumer
> (Szemúr=Occulate Lord) and Agade (Égetõ=the
> Scorching Lord), both of which names are but two
> different names of the Sungod, thus the name of
> the country simple meant: The Country of the
> Sungod. This name described every country where
> the supremacy of the Sungod was honored. The above
> mentioned names can be substituted by any of the
> other names of the Sungod or territory marking
> names, such as Hon, Kõ, Ma, Ta. There existed for
> example a Napotthon (Home of the Sun), a Szemhon
> (Home of the Occulate Being), Makor-Ta, Hét-Ta,
> Ég-Ta, Szem-Ta, etc...(The lands of Makar, Hét,
> Ég, Szem = these are all names of the same
> Sungod).
>
> 2. In the orthography of names complete confusion
> reigns throughout the scholarly literature. (Ceram
> C.W. The Secret of the Hittites, V; New York,
> 1956.) It is hardly necessary to say that
> differences of opinion exist among scholars as to
> the method in which hieroglyphic characters should
> be transcribed into Roman letters, Budge E. Wallis
> Egyptian language; Easy lessons in Egyptian
> hieroglyphics with sign list. London, 1958 -
> p.32). Since in hieroglyphic writing only the
> consonants and not the vowels are indicated, our
> reading of Egyptian names is only a compromise and
> we do not pretend that our form of transcription
> renders the names as they were pronounced.
> (Tutankhamun treasures. Trésors de Toutankhamon.
> Montreal, 1964 - p. 4)
>
>
>
> --------------------------------------------------
> ------------------------------
>
>
> Professor Tibor Baráth was born in Alsólendva
> Hungary in 1906. He received his Ph.D. in History
> in Budapest, and continued his postgraduate
> studies in Vienna, Paris and Montreal. He was
> professor of history at the University of
> Kolozsvár, Hungary (1940-45), until the communist
> takeover of his native country. Prior to his
> nomination to the teaching post, he was Secretary
> of the Hungarian Institute in Paris (1932-39) and
> fulfilled the role of Assistant-Secretary of the
> International Committee of Historical Sciences at
> the same time. He moved to Paris with his family
> in 1945 where he founded a Hungarian newspaper. He
> left Paris for Montreal, Canada in 1952. Here he
> continued his research concerning ancient
> Hungarian history which he began in Kolozsvár.
> Prof. Baráth was author of over one hundred
> historical essays and also of several books, the
> most significant ones being: The Tax-System in
> Hungary, 1605-1648; History of the Hungarian
> Historiography, 1867-1935 (in French); A Short
> History of Hungary; the three-volume Ancient
> History of the Hungarian Peoples (in Hungarian),
> and The Early Hungarians (in English).
> Desolee que ce soit en anglais, j'espere que c'est
> OK.
>
> Je me permets aussi de mettre cette page sur le
> forum divers.




Ah!Ah! Je n'ai relevé qu'une chose: "cessez de donner à l'arabe ce qu'elle n'a pas.70% de la langue coranique était inconnue des arabes..."

Qui donc à pris de l'autre??

Le fait que tu ne relèves que cette phrase est assez symptomatique de ta pathologie!

Dis toujours.

Tu oublies la grave maladie dont tu es atteint toi et ton ami Maârif.

Libre à toi de me considérer comme tel.
J'aimerai mnt que tu arrêtes de polluer les différents threads et me pousser à mordre à l'hameçon de tes trolls.
J'espère que les sages du forum ne manqueront pas de me le rappeler quand la bêtise de certains m'y contraint!
Bonne nuit à tous. Et qu'elle porte conseil aux sots!
Tchus.

Je ne me suis jamais adressé à toi. Les types comme toi,je n'en ai que faire. Et mon ami Yossi a parfaitement raison.Il y a des types qui parraissent brillants avec leur bla-bla,mais en réalité,ce ne sont que des cons.

y a t'il des mots en hébreu dérivant de l'arabe..??. .hahaha!!

........./........tiens prenons l'exemple de l'histoire du
Pièces jointes:

Quand haifa, ein guedi et yossi se reconnaissent des points communs... !

Le premier a déjà affirmé qu'il est "ceinture noire de judo et.."deuxième d'âne !"

Le pauvre ein guedi..emmêlé dans ses contradictions... et yossi, qui veut créer une Western Union pour le "transfert" des arabes d'Israel...

oui ! parlons du zéro ! vous avez dit zéro ?!

De quelle fosse septique sort ce Maarif ?