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Joseph Amar, Marocain de confession juive, a ?t? sauvagement assassin? ? Casablanca.

Envoyé par Nemesis 
Joseph Amar, Marocain de confession juive, a ?t? sauvagement assassin? ? Casablanca.
21 avril 2009, 01:09
Panique chez nos juifs.



Cette année, Pessah a un goût amer pour la communauté juive marocaine. Particulièrement pour la famille Amar. Elle pour qui cette fête de la Pâque juive était une double célébration. Celle de voir leur fille unique, Nathalia, 26 ans, endosser la toge d’avocat après de longues et brillantes années d’études en Droit à Paris, mais aussi celle d’être, enfin, réunie autour du couscous de la Maïmouna. Sauf que le destin en a voulu autrement.
Nathalia Amar et sa mère sont arrivées à Casablanca par le premier vol, mais leurs coeurs étaient loin d’être à la fête. Leur cher père et époux, Joseph Amar, est mort. Et de quelle manière. Des plus cruelles. Pour une poignée de dirhams, un loubard des bas-fonds de l’ancienne médina lui a pris la vie.
Casablanca, la nuit du 3 au 4 avril 2009. Ce soir-là, ce bijoutier à la retraite, 68 ans, est invité à dîner chez une connaissance habitant le boulevard El Massira. Sa femme, Hannah, étant à Paris pour se soigner d’une fracture de l’épaule, Joseph en profite pour rendre visite à ses amis. Histoire d’échapper à la solitude. Après avoir partagé avec ses hôtes leur repas et évoqué les bons vieux souvenirs, Joseph décide de rentrer à pied. Il est 1 h10. L’heure tardive ne le décourage pas. Joseph Amar est un habitué de la marche nocturne. Les 20 minutes qui le séparent de chez lui, il les attaquerait bon pied bon oeil. Ne craint-il pas pour sa sécurité? Nullement. Pour être né et avoir vécu à Casablanca, l’homme croit avoir apprivoisé la ville ogresse.
Joseph Amar a, en effet, vu le jour au mellah, quartier juif de l’ancienne médina. Il passe là-bas la plus grande partie de sa jeunesse avant de déménager dans un petit appartement sur le boulevard Bordeaux, au ciquième étage d’un immeuble au-dessus du cinéma Verdun. Un quartier qui jadis abritait la plupart des Juifs casablancais. En attestent les cinq synagogues et le Cercle de l’Alliance Israélite, centre culturel juif, qui s’y trouvent toujours. D’ailleurs, ce quartier était surnommé, à l’époque coloniale française, la petite Tel Aviv, en référence à la capitale de l’Etat hébreu.
Le commerce de bijoux de Joseph Amar, par contre, se trouvait à l’ancienne médina, sur la rue de Rabat. Il était fermé depuis quelques années déjà, l’orfèvre n’ayant pas réussi à faire face à la concurrence féroce de ses jeunes rivaux installés eux aussi dans ce quartier de bijoutiers.

Réseau
Jusqu’à sa mort brutale, Joseph Amar gagnait sa vie en achetant des lots d’occasion de montres, de bijoux et d’objets d’antiquité dans les marchés informels, qu’il écoulait ensuite dans son réseau relationnel constitué essentiellement de Marocains de confession juive.
De l’avis de tous ses compagnons, Amar n’a jamais réussi à faire fortune. Il vivait modestement et bouclait difficilement ses fins de mois. Autant d’épreuves à surmonter qui ont marqué son visage et forgé son caractère. Introverti et peu loquace, Joseph Amar souriait rarement. Mais, tous s’accordent à dire qu’il ne reculait devant rien et ne se laissait pas impressionner. Dans sa jeunesse, il avait pratiqué plusieurs sports de combat, en particulier, le catch. Sa corpulence visible le prouve.
Cette nuit-là, son audace le trahit.
Sur le chemin de retour, à quelques pas de sa maison, il s’arrête au niveau d’une cabine téléphonique au coin d’une ruelle donnant sur le boulevard de Bordeaux pour téléphoner à son frère résidant aux Etats-Unis. De l’autre côté de l’Atlantique, le soleil venait de se coucher.
À peine le temps de décrocher le combiné que le sexagénaire sent un souffle dans son dos. Il se retourne et se retrouve nez-à-nez avec un jeune homme plutôt menu, au visage long et aux joues creuses. Il porte un survêtement rouge et chausse des espadrilles.
Sous la menace d’un couteau de cuisine d’une lame de trente centimètres, il ordonne à Joseph Amar de lui remettre son portefeuille.
Il en faut plus pour intimider le vieil homme. Lui qui s’est mesuré à la star du catch dans les années soixante et soixante-dix, en l’occurrence Haj Fennane, une légende urbaine, ne se laissera pas faire. Surtout pas par un petit voyou et de surcroît dans son fief, Verdun. Autrefois commerçant et bien paisible, ce quartier s’est transformé en un véritable coupe-gorge, comme tout le centre historique de Casablanca.
Mais Joseph Amar y habite depuis une quarantaine d’années. Tout le monde ici le connaît. De l’épicier, qui le salue tous les matins, au cafetier, qui lui sert son petit noir quotidien, en passant par le marchand de fruits du coin. Jamais il n’aurait cru qu’il serait attaqué dans des lieux aussi familiers.

Indice
Joseph Amar tente de dissuader son agresseur. Peine perdue. Le délinquant au regard fuyant ne veut rien savoir. Il s’approche dangereusement du vieil homme et le somme de donner son portefeuille. Ce dernier refuse d’obtempérer.
«Jamais je n’aurais cédé!», s’était exclamé Joseph Amar apprenant que son ami Robert E., victime d’une agression quelques semaines plus tôt devant chez lui, au quartier Gauthier, avait abandonné bijoux et argent à ses assaillants. Et, pourtant...
Le jeune adolescent, les nerfs à vif, perd patience et porte deux coups à Joseph Amar. L’un au coeur et le second au dos, au niveau du rein.
Avant de s’écrouler par terre, Joseph Amar pousse trois cris stridents. Alertée, une voisine ouvre la fenêtre, mais ne voit rien de la scène. C’est un gardien de voiture qui découvrira son corps peu de temps après, baignant dans une mare de sang, la tête contre la roue d’une voiture et les jambes sous un camion. Il appelle les secours. Menés par le commissaire Mounir, les policiers de 2ème arrondissement, en permanence cette nuit-là, arrivent aussitôt avertis. L’enquête commence. L’identité de la victime n’est pas connue. Il ne portait sur lui aucune pièce d’identité. Les premiers éléments d’enquête montrent que c’est un Marocain de confession juive, Joseph Amar était coiffé d’un béret comme le veut la tradition hébraïque.
Cet indice change la donne. L’alerte générale est déclenchée. Et si ce fait-divers cachait un crime antisémite ou un attentat terroriste? La machine sécuritaire s’ébranle. Le mobile de cet assassinat doit être élucidé dans les plus brefs délais pour couper court à toute spéculation. D’autant plus que le Bureau de lutte anti-terroriste israélien a diffusé, à la mi-mars juste avant Pessah, une liste noire des pays représentant un risque potentiel pour les touristes israéliens désirant s’y rendre. Et le Maroc y figurait en bonne place. De quoi décourager les 800.000 Juifs marocains que compte l’Etat hébreu et ceux de la diaspora qui viennent, chaque année, célébrer la Maïmouna, et à l’occasion, pour beaucoup, se recueillir sur les tombes de leurs ancêtres et de leurs saints.

Alerte
D’aucuns doutent que cette alerte émise par les services israéliens à la veille de chaque grande fête juive n’est qu’une machination destinée à briser une double allégeance dérangeante pour l’Etat hébreu.
Quoiqu’il en soit, les autorités marocaines ne veulent pas que les rumeurs sur le meurtre de Joseph Amar s’amplifient. Surtout que l’assassinat d’Albert Rebibo par des mains obscures islamistes est toujours dans les esprits.
Ce commerçant de 55 ans a été tué le 11 septembre 2003, par balles à bout portant, par deux individus cagoulés, appartenant au mouvement intégriste de la Salafia Jihadiya, alors qu’il fermait son magasin dans le souk populaire El Korea. C’était le jour anniversaire des attentats du 11 septembre aux Etats-Unis.
Plus loin encore. La tentative d’assassinat de l’homme d’affaires également de confession juive Baby Azencott, en juin 1996 au quartier Belvédère à Casablanca, et qui avait été touché par une balle à l’épaule. Douze ans après, l’affaire n’a toujours pas été élucidée, malgré la découverte en mars 2008 de l’arme du crime à Nador dans le cadre du démantèlement du réseau islamiste Belliraj. C’est dire combien il est urgent pour la police casablancaise d’élucider les circonstances de l’assassinat de Joseph Amar.
L’affaire a été confiée aux fins limiers de la sixième brigade de la Police judiciaire de la préfecture Casa-Anfa, conduite par le commissaire Chabab, dont on vante volontiers les compétences.

Psychose
Le 6 avril 2009 à 17 h, moins de vingt-quatre heures après la mort de Joseph Amar, un suspect est identifié. Il s’agit de Mourad Jaâfari, 24 ans, un récidiviste fiché par les services de police pour des délits mineurs.
Des témoins l’ont vu traîner sur le boulevard de Bordeaux la nuit du crime. Il est aussi connu dans le quartier pour sa passion pour le football. Il entraîne même les enfants du voisinage moyennant une petite somme d’argent.
Des informations parvenues aux enquêteurs révèlent qu’il se trouve chez sa grand-mère, à la rue Goulmima, dans l’ancienne médina, non loin de l’endroit de l’homicide. Celle-ci les informe que son petit-fils est, en effet, passé la voir, mais qu’il est reparti après avoir changé ses vêtements. La vieille dame n’a rien remarqué d’inhabituel chez son rejeton.
Les policiers se rendent alors dans la maison de ses parents à la rue Lehjajma, dans le même quartier. Ils y trouvent sa mère et son oncle, qui les informent que Mourad ne tardera pas à venir. En effet, celui-ci arrive, quelques instants plus tard, vêtu d’une tenue de sport grise. Emmené dans les locaux de la PJ, il avoue son délit sans grande difficulté.
Mourad a tué Joseph Amar avant de lui prendre les 400 dirhams qu’il avait en poche. L’assassin reconnaît qu’il a également déposé son survêtement rouge taché de sang chez le teinturier pour effacer les traces de son forfait.
Malgré l’arrestation du coupable et la découverte du mobile du meurtre, la communauté juive marocaine n’est pas rassurée pour autant. Des questions subsistent . Un scepticisme non sans fondement. Ce n’est pas la première fois qu’un crime crapuleux sème la panique parmi les Marocains israélites.
L’assassinat du Rabbin Elie Aferyat, 75 ans, le 13 septembre 2003 à Meknès, par deux individus après lui avoir volé 150 dirhams, a autant secoué les juifs marocains.
Depuis les attentats du 16 mai 2003 de Casablanca, qui ont visé le Cercle de l’Alliance Israélite et l’ancien cimetière juif de Méhara aux abords de l’ancienne Médina, un climat de psychose s’est installé. Les citoyens marocains de confession juive, qui ne sont plus que 2.500, se sentent menacés malgré le renforcement de la sécurité devant les lieux de culte et les établissements scolaires et culturels hébraïques.
Sauf que Joseph Amar ne s’est jamais senti concerné par ces combats politiques ou ces idéologies extrémistes. Pour lui, le conflit israélo-palestinien ou la menace terroriste étaient bien loin. Avant tout, le Maroc était son pays. C’est là qu’il a vu le jour, vécu et fondé une famille. Et c’est là qu’il aurait voulu mourir. Mais certainement pas de cette manière atrocement tragique qui a plongé tout le Maroc en émoi.


[www.maroc-hebdo.press.ma]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/04/2009 05:03 par Arielle.
que Dieu ait son ame , amen .

mes sinceres condolenaces a la famille de notre frere Joseph Amar.
MEUTRE DE JOSEPH AMAR ZAL A CASABLANCA
20 avril 2009, 09:49
BONSOIR
info sur la personne de Joseph Amar et B"H la police marocaine a mis le paquet pour le trouver en moins de 24 heures .c'est dire combien la tranquillite des juifs au Maroc est importante .
Tarbhou Outsaahdou



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/04/2009 05:02 par Arielle.
Re: MEUTRE DE JOSEPH AMAR ZAL A CASABLANCA
21 avril 2009, 10:17
EN CETTE JOURNEE DE LA SHOAH ON SE POSE LA QUESTION QUE FONT ENCORE LES JUIFS DANS LES PAYS ARABES..........??
Re: MEUTRE DE JOSEPH AMAR ZAL A CASABLANCA
24 avril 2009, 01:30
Bonjour,

Je suis très étonné de la phrase de MIMICH concernant la présence des juifs dans les pays arabes.

Doivent ils tous vivre en Israël, les juifs ?

La vision de l'acceptation de l'intolérance comme un fait acquis est une régression des communautés humaines.

J'espère que sont nombreux encore ceux qui pensent que la séparation par religion ou la ségrégation est inacceptable, partout.

Bonne journée.

Jean-François
bonjour,

On réagit comme si la judéité du défunt était de facon affirmative le ou faisait partie du mobile du drame.

il n’ empêche de dire que malheureusement - et c est bien malheureux - il existe un risque reel pour un juif qui vit ou met les pieds sur une terre arabe;
c’est dire aussi combien la paix au proche orient est importante.
Re: MEUTRE DE JOSEPH AMAR ZAL A CASABLANCA
24 avril 2009, 09:34
jean-francoisRABATI a écrit:
-------------------------------------------------------
>
> Doivent ils tous vivre en Israël, les juifs ?

Ma reponse, et celle de millions de sionistes qui vivent en Israel (ou qui n'ont pas encore eu la chance de venir nous y rejoindre) est OUI.

Que veux-tu, cher Jean-Francois, cela nous pris 1900 ans pour apprendre la lecon, mais maintenant elle est tres clairement interiorisee par (presque) tous les Juifs de par le monde. Nous n'avons rien a faire parmi les Nations du monde, dont quasiment aucune n'est exempte du virus de l'anti-semitisme.

Cela nous a pris 1900 ans de pogroms, de vexations, d'assassinats, de viols, de depouillements, d'expulsions, de statut de "dhimmis", de tolerance feinte ou presque sincere. Mais a partir des annees 1890, avec la creation du Mouvement sioniste par Theodore-Binyamin HERTZL, nous avons lentement compris que notre place, a nous Juifs de toutes tendances religieuses, de toutes couleurs politiques, de toutes sensibilites universalistes ou nationalistes, notre place est uniquement dans NOTRE Etat national souverain et independant.

Aujourd'hui, la moitie du Peuple juif vit en Israel. Demain, nous serons plus nombreux ici, CHEZ NOUS.
daccord avec souiri bien sur... quoique l absence de juifs ds un pays n a pas rendu les habitants de ces meme pays moins antisemites...ils ont transpose leur antisemitisme en anti sionisme ou anti israelisme. ce qui est pareil. le mot sioniste est devenu pour certains synonyme de pestifere ..
D'apres le texte du debut cela semble etre un crime crapuleux, cela peut arriver nimporte ou dans le monde.
Toutes mes condoleances a la famille de Joseph Amar.
Qu'il repose en paix, amen.
Cette dramatique affaire a été évoquée dés le 7 avril par Yossi1 puis par Elomar le 9 avril dans le sujet "Infos du Maroc..."
Je note d'importantes différences entre le récit de l'article de presse retranscrit,en ouverture de ce sujet, par Nemesis et les récits précedemment cités...qui parlent d'un "témoin"..."suivi jusqu'à chez lui ...de l'arrière il l'a étranglé de son bras droit"...ils tombent à terre...il lui plante un couteau dans le dos...
Ici l'assassin tient à la main un couteau avec une lame de trente centimètres dés le début de l'agression...c'est devant une cabine téléphonique...apparemment pas de témoin,deux coups de couteau l'un au coeur ,l'autre dans le dos au niveau du rein...
Pourquoi ces versions différentes?...n'est ce pas troublant?...
A priori tout le monde semble d'accord pour affirmer que c'est un acte purement crapuleux...et d'aprés l'article transmis par Nemesis la victime,âgée de plus de 65 ans, est,en quelque sorte, fautive car "son audace le trahit"...c'était un ancien "catcheur"...
Circulez il n'y a plus rien à voir...
bonjour,

Pourquoi se tourner toute de suite vers l antisémitisme, et en faire un appui du sionisme ?
Comme si le sionisme était la baquette magique du policier capable d éradiquer définitivement la délinquance et les crimes de l histoire.
Dire ça au monde, on pensera tout de suite a moshe kartsav;
qui apparemment son sionisme dont il etait officiellement en tête,
ne l avait pas empêche de commettre ce qui pourrait être commis dans n importe quelle société civile;

il est vrai que la police marocaine est intraitable, et a toujours démontre son maximum pour assurer la sécurité de les ressortissants juifs;
Mais la communauté juive au Maroc se trouve prise dans l engrenage de cette situation géopolitique actuelle;
et est dans le collimateur du terrorisme international;
le numéro deux d alqaida avait décrete dans un de ses enregistrements de s attaquer a tout juif au monde;
dans les rues arabes, les gens savent qui sont ces gens la, et n en veulent pas chez eux,
mais tout de même s alignent de façon officieuse avec eux sur qui est ou qui pourrait ressembler a toute forme de lutte anti israélienne;
noter aussi que suite aux opérations militaires- on va dire, osées vues du cote arabe- a gaza, le sentiment anti israélien a monte d un cran;
de la, il va sans dire que le risque encouru du fait de se trouver dans un pays arabe est de bien réel; et l on s y considère potentiellement otage;

ceci étant, je me répète, sans faire de l amalgame avec ce crime bien sur,
qui est d après ce qui nous est rapporte, purement crapuleux.
JE PENSE QUE SORTIR SEUL A UNE HEURE TARDIVE :1H 30, N'EST PAS RECOMMENDE ET SURTOUT PAS A CASABLANCA, C'EST PRENDRE DES GRANDS RISQUES.AUSSI, RESISTER A L'AGRESSEUR EST UNE AUTRE GRAVE ERREUR.
C'EST UNE TRISTE NOUVELLE!

TOUTES MES CONDOLEANCES A LA FAMILLE AMAR,QUE D'IEU VOUS VIENNE EN AIDE!
Comment savez vous que l'innocente victime a résisté?
Qu'a t elle fait exactement comme acte de résistance qui lui a valu un coup de couteau dans le coeur et un autre dans le dos?
A lire certains messages j'ai l'impression que ce pauvre monsieur Joseph Amar est le coupable...ce qui est arrivé semble être de sa faute...l'heure,sa résistance "supposée"...
C'est quand même le monde à l'envers!!!
Si cela continue ce monstrueux assassin qui s'est cruellement acharné à coups de couteau(lame de 30 centimètres!!!)sur cette innocente victime va demander des excuses et des dommages-intérêts...
Re: Joseph Amar, Marocain de confession juive, a ?t? sauvagement assassin? ? Casablanca.
29 avril 2009, 14:00
Ma theorie est tres proche de celle de Cigalou.
Si vous lisez l'article en entier en cliquqnt sur le lien poste par NEMESIS vous verrez bien que ce n'est pas un acte isole.
Re: Joseph Amar, Marocain de confession juive, a ?t? sauvagement assassin? ? Casablanca.
29 avril 2009, 14:10
Pourquoi vous tenez tant à faire passer ce crime crapuleux pour un acte antisémite ? Vous en avez autant besoin ?
Bonsoir à tous,
J'ai habité 22 ans à casablanca,j'ai travaillé 15 ans de nuits dans un complexe touristique,je commencais le travail à 22h et je finissais à 4h du matin,j'ai échappé à 2 agressions,la premiere quand je revenais en moto chez chez moi,on m'a barré la route,j'ai fais demi tour et j'ai échappé belle,la deuxieme fois c'est devant chez moi,à 4h30 du matin je suis sortis faire un petit tour avec mon chien,les 2 agraisseurs n'ont pas vus le chien qui etait derriere les voitures et venaient directement chez moi,vite j'ai compris et j'ai appelé le chien,ils ont pris la fuite et je les ai pourssuivit jusqu'au bout de la rue et je suis revenus chez moi.se balader la nuit dans les rues de casablanca est risqué.les agraisseurs cherche l'argent,ils n'ont rien a voir avec la relion.des fois meme ils évitent les juifs et les étrangers pour ne pas se faire vite attrapper.
Pardon,je corrige l'avant derniere phrase(ils n'ont rien à voir avec la religion).
Pourquoi tant d'insistance à décréter le simple fait divers(deux coups de couteau dont un en plein coeur) qui peut arriver à tout le monde?...ce voleur récidiviste n'avait jamais tué auparavant...
Les récits sont trés contradictoires...pourquoi?...
Pourquoi avoir voulu faire croire que l'agresseur avait étranglé Joseph Amar avec le bras droit et que c'est en tombant tous les deux au sol que la victime a reçu un coup de couteau dans le dos?...alors que l'assassin avait dés le début un couteau à la main et l'a planté en plein coeur et dans le dos,au niveau du rein,de Joseph Amar...
Pourquoi dire d'abord qu'il y avait un "témoin"...puis dire qu'il n'y en avait pas...
Pourquoi cette lourde insistance à suggérer que la victime âgé de 68 ans "aurait refusé d'obtempérer"...comment peut on le savoir?(surtout s'il n'y a pas eu de témoin!)...simplement parce que c'était un ancien "catcheur"...parce qu'il aurait dit un jour que si...etc...mais là nous ne sommes plus dans une enquête scientifique de Police ...nous sommes dans le domaine du ragot et de l'imaginaire...
Franchement au vu des récits mis en ligne sur Dafina quelque chose ne colle pas...
Re: Joseph Amar, Marocain de confession juive, a ?t? sauvagement assassin? ? Casablanca.
30 avril 2009, 00:18
Si tu commentais avec autant de véhémence tous les faits divers au Maroc, ta vie ne te suffirait pas à le faire.
Bref, bon courage pour tes investigations, pour appeler la police marocaine et leur demander des explications, c'est le 19 à partir du Maroc ...
Tchus
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