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Obama

Envoyé par felixabenhaim 
Re: Obama
13 juillet 2010, 01:37
ESPERONS QU'ON INFLIGERA à hussein obababouche

la déculottée qu'il mérite vu les piètres résultats de sa

politique tant intérieure qu'extérieure !!!




60% des Américains ne font pas confiance à Obama


Selon un sondage du Washington Post et de la chaîne ABC, près de 60% des électeurs

américains ont exprimé un quelconque manque de confiance dans le président

Barack Obama, alors qu'à son arrivée au pouvoir il y a un an et demi,

60% lui faisaient confiance les yeux fermés.
GUEMATRIA : baraq hussein obama=isma?lites= 10 plaies=501
20 juillet 2010, 15:29
baraq hussein obama qui est une plaie à lui tout seul ..

tout s'explique , la suite est intéressante ....



Guématria : Baraq 'Hussein Obama = Ismaélites =
10 plaies = 501



Chaque jour se lève un Amalék, plus ou moins habile, plus ou moins déterminé à nuire à Israël. Il arrive que le soir, il se couche et ne se relève plus, ou, qu’à son réveil, ses pulsions haineuses se soient atténuées; mais à chaque époque, surgit un Amalék, dont la puissance de nuisance est considérable. Notre époque a clairement trouvé le sien, il s’agit d’Obama.

Voilà un Monsieur né dans l’Islam, et qui va, pendant sa vie d’adulte fréquenter la paroisse de Jeremiah Wright. Obama a rencontré ce pasteur avant de rentrer à Harvard. Le pasteur l’a marié, a baptisé ses filles, lui a soufflé le titre de son bouquin « The Audacity of Hope », « l’Audace d’espérer », et même, prétendent certains qui les connaissent bien, son style et son verbe.

Wright, bien que Baptiste, entretient des liens étroits avec « Nation of Islam » et célèbre Farakhan comme « la parfaite illustration de la splendeur » et « l’un des géants de l’expérience religieuse des Afro-Américains ». Il voue par ailleurs une vénération sans borne à Malcom X.

Wright est un antisémite patenté et vomit l’Amérique blanche. « Que Dieu maudisse l’Amérique » revient comme un leitmotiv dans ses prêches. » « God Bless America! ‘ No, no, no, God damn America, that’s in the Bible for killing innocent people, God damn America for treating our citizens as less than human. God damn America for as long as she acts like she is God and she is supreme. » Pour ce qui est d’Israël, il a inventé une expression lapidaire : « Israël est un mot sale », « a dirty word ».

C’est dans cet environnement tonique, fait d’Islamistes fanatiques et de Baptistes antisémites, qui vomissent Israël et les Américains blancs, que se meut Obama depuis plus de vingt ans, et, c’est ce Monsieur, hissé notamment grâce aux voix des Juifs américains, aveugles et sourds, genre J Street, qu’il débarque à la Maison Blanche.

La dernière visite de Netanyahou à Washington a permis de sceller définitivement les relations entre Obama et Israël, et que l’on ne me dise pas, que si Tsipi Livni et Kadima venaient à rentrer au Gouvernement, cela changerait quoi que ce soit.

Je ne suis pas un inconditionnel des Guematriot et ne m’y livre qu’en dernière extrémité, lorsque j’ai épuisé les analyses rationnelles. Il me semble que le moment est venu d’y avoir recours, pour montrer ce qu’est Obama, et le mal qu’il a, et va, causer à Israël.

J’ai fait – attentivement – le calcul de la valeur numérique de « Baraq Hussein Obama » (soit 15 lettres), en hébreu; elle équivaut à 501. Vérifiez par vous mêmes si vous avez un doute, et j’ai trouvé deux équivalences en hébreu. Bien entendu, il y en a d’autres; alors, au boulot.

La première se réfère à la vente de Joseph par ses frères à une caravanes composée d’Ismaélites, Ishmaélim. Dans le texte biblique, on se réfère aux descendants d’Ismaël, fils d’Abraham et d’Agar, mais en langage moderne, il s’agit bien de tous ceux qui se réclament de l’Islam, qu’ils soient Sunnites ou Chiites ou autres. Ishmaélim, valeur 501.

Une autre équivalence, moins évidente à trouver et plus surprenante que la précédente, qui en définitive ne nous apprend pas grand chose, se trouve dans la Haggadah de Pessah.

Quand on cite les Dix plaies que Hachém a apporté sur les Egyptiens, Rabbi Yéhouda donne un abrégé mnémotechnique, qui, en français, donne à peu près cela DeTSaKH AdaCH BeA’HaB. Il est destiné à nous permettre de remémorer plus facilement l’ordre des Plaies. Chaque lettre en hébreu est la première lettre de la plaie. Ainsi le « D » renvoie sur Dam ou sang, TS sur Tsfardéa ou grenouilles, etc…

la somme de ces 10 lettres a la valeur numérique, vous l’avez deviné , de 501. Sans doute pour attirer notre attention sur Baraq Hussein Obama, qui est une plaie, à lui tout seul, à la puissance 10. Ou alors, pour nous, ou, lui dire, qu’il devrait se méfier, parce que s’il continue à tourmenter ainsi Israël, Dix plaies bien gratinées l’attendent au tournant.

J’ai écrit à dessein Baraq avec un « Q » à la fin, bien que les conventions linguistiques veulent qu’il s’écrive Barack. Obama, l’Ismaélite doit s’écrire selon les conventions linguistiques arabes:Baraqa, Buraq ( la jument qui emporta Mahomet au ciel, rendre visite à l’ange Gabriel), la Burqa, prochainement interdite en France, ne s’écrivent pas, il me semble, avec
« ck » à la fin; il n’y aucune raison de faire exception pour le sieur Obama.
Re: Obama
20 juillet 2010, 15:32
Et ben, j'en ai lu des conneries, mais celle-là, "dans le top 50" comme dirait Gad ...
Re: Obama
20 juillet 2010, 15:53
Citation
L'exilée
J’ai fait – attentivement – le calcul de la valeur numérique de « Baraq Hussein Obama » (soit 15 lettres), en hébreu; elle équivaut à 501.

...

Citation
L'exilée
qu’ils soient Sunnites ou Chiites ou autres. Ishmaélim, valeur 501.


Le jean Levi's 501, c'est donc une mystérieuse conspiration islamo-fasciste visant à détruire Israël ? grinning smiley
Re: Obama
21 juillet 2010, 02:27
grinning smiley

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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
hussein obama TRAHIT LES JUIFS , IL EST DE CULTURE MUSULMANE !!!
25 juillet 2010, 13:07
J.T. Kuhner du Washington Times : “Obama trahit les juifs, il est de culture musulmane”
OPINION


Jeffrey T. Kuhner anime aux Etats-unis une émission de radio et il est éditorialiste au Washington Times le Week-end. Il est également président du Edmund Burke Institute for American Renewal, un think tank dont le but est le ralliement des minorités au courant conservateur.

Nous avons traduit un extrait de son éditorial du 8 juillet 2010.

Article du Washington Times

Le président Obama trahit les Juifs. Il est issu de culture musulmane et ses sympathies vont au monde islamique dans sa lutte à mort contre Israël. A moins que les Juifs américains se réveillent et dénoncent la politique pro-arabe et anti-Israël de M. Obama, l’Etat juif devra faire face à une éventuelle guerre nucléaire - voir même à son anéantissement.

M. Obama a rencontré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu cette semaine. Le but de cette rencontre : réparer la fissure publique dans les relations entre Washington et Jérusalem.

“Le lien entre les États-Unis et Israël est incassable“, a déclaré M. Obama. “Il englobe nos intérêts de sécurité nationale, nos intérêts stratégiques, mais surtout le lien entre deux démocraties qui partagent un ensemble de valeurs communent et dont les peuples se sont rapprochés de plus en plus au fil du temps.”

Ne le croyez pas. Devant des journalistes, M. Obama peut louanger l’Etat juif. Mais dans les coulisses, il vend les Juifs pour [les mettre à] la rivière.

Selon un article récent dans le Wold Tribune qui est un site Internet d’information important sur le renseignement stratégique, des responsables de l’administration ont assuré à la famille royale saoudienne que M. Obama est déterminé à faire pression sur M. Netanyahou pour lui faire accepter un Etat palestinien indépendant englobant la Cisjordanie et Gaza avec Jérusalem-Est comme capital.

M. Obama - comme beaucoup dans le monde arabe - est d’avis que la clé de la paix au Moyen-Orient est la résolution du problème israélo-palestinien.

Il n’en est rien. Au contraire, un État Palestinien indépendant sera un atout islamique au cœur de l’Etat juif. Le retrait d’Israël jusqu’aux frontières d’avant 1967 rendra Jérusalem vulnérable à une attaque militaire tous azimuts. Les Arabes auront les moyens stratégiques de mettre en œuvre leur ambition première depuis la création d’Israël en 1948: anéantir les Juifs.

Le régime démocratiquement élu du Hamas qui dirige la bande de Gaza appelle ouvertement à la destruction des Juifs. L’Autorité palestinienne en Cisjordanie dirigée par le président Mahmoud Abbas endoctrine systématiquement les Palestiniens en diabolisant l’”Etat sioniste”. la télévision palestinienne, les écoles et les médias contrôlés par l’État, tous prêchent qu’Israël est intrinsèquement «illégitime» et doit être «éliminé». L’écrasante majorité des Palestiniens (et des Arabes) ne veulent pas la paix. Ce qu’ils souhaitent c’est la conquête.

La notion de deux Etats, dans lesquels Juifs et Palestiniens coexisteraient côte à côte dans une entente mutuelle, est une illusion. Si les Palestiniens abandonnaient leurs armes, il y aurait la paix, mais si les Israéliens déposaient les leurs, il y aurait un génocide.

La cause profonde de la violence au Moyen-Orient n’a rien à voir avec le conflit israélo-palestinien. Il s’agit d’une diversion, d’un prétexte bien commode, constamment utilisé par les tyrans arabes pour couvrir la véritable maladie dont souffre la région : l’islam radical.

Depuis sa création, la civilisation islamique a été en guerre avec ses voisins. La foi musulmane s’est propagée au travers des siècles par l’épée et le djihad violent. C’est pourquoi les chrétiens et les juifs ont été massacrés et expulsés des pays arabes au Moyen Age. C’est pourquoi les Ottomans ont envahi et conquis l’Espagne, le Portugal, les Balkans et des parties de France et d’Italie, atteignant même les portes de Vienne.

C’est pourquoi aujourd’hui, les Saoudiens continuent à dépenser des milliards de dollars pour le financement de madrassa extrémistes dans le monde entier. C’est pourquoi les islamofascistes, tels que les talibans et Al-Qaïda, espèrent établir un califat mondial basé sur la charia. C’est pourquoi les mollah chiites en Iran font la course pour la bombe nucléaire.

Depuis sa naissance, l’islam politique a été en guerre contre l’Occident - tout d’abord avec la chrétienté, et maintenant, avec la démocratie libérale laïque et moderne. Il n’y a pas d’issue pour Israël ou l’Amérique. Les Islamistes haïssent l’Etat juif, car il est le rempart stratégique de l’Occident au Moyen-Orient - un avant-poste démocratique dans une région marquée par le retard économique, l’autoritarisme et le fanatisme religieux. Les États-Unis est le bastion du monde libre, la dernière grande puissance de l’Occident.

Ainsi, pour les islamistes radicaux, ces deux nations doivent être brisées. Il s’agit d’une lutte totale - et cela veut dire qu’il ne peut y a qu’un seul camp qui s’en sortira victorieux.

Malgrè tous ses défauts (et il y en avait beaucoup), l’ancien président George W. Bush avait compris cette réalité de base. C’est pourquoi il a mené la guerre contre le terrorisme islamique. C’est aussi pourquoi il était le président le plus pro-israélien dans l’histoire des États-Unis. Il a compris une vérité simple: la lutte d’Israël est la lutte de l’Occident.

M. Obama est l’anti-Bush. Il est violemment anti-israélien et le champion de l’apaisement envers l’islam radical. Et l’explication de son attitude réside dans l’éducation de M. Obama et sa vision du monde - qui font de lui [le leader] le moins qualifié pour poursuivre la guerre contre le terrorisme.

[…]

L’explication de la sympathie de M. Obama pour la culture islamique ne réside pas uniquement dans sa jeunesse. Dans une interview avec le New York Times, M. Obama a décrit l’appel à la prière musulmane comme “l’un des plus beaux sons sur Terre au coucher du soleil.”

Le Times a également noté que M. Obama avait récité, “avec un accent [arabe] de première classe ” les premières phrase de l’appel à la prière musulmane.

Allah est grand !
Allah est grand ! Allah est grand !
Je témoigne qu’il n’y a de dieu qu’Allah
et Muhammad est son messager

M. Obama dit qu’il est un chrétien pratiquant. Pourtant, il ne peut nier que son héritage musulman et son éducation islamique imprègnent sa pensée et ses actes.

Culturellement, il est le premier président améracain musulman. Il refuse d’admettre qu’il y a une guerre contre le terrorisme islamiste.

Son conseiller en lutte contre le terrorisme, John Brennan, nie même que le djihad est le mobile qui anime les extrémistes musulmans.

Il excorie publiquement Israël pour la construction d’appartements “juifs” à Jérusalem-Est, mais appelle à un «engagement au dialogue» avec l’Iran. Il cherche un rapprochement avec la Syrie, en minimisant ses liens avec Téhéran et son soutien au Hezbollah.

Il retire prématurément des troupes américaines d’Irak. Il impose à l’armée des règles invalidantes qui rendent la victoire presque impossible en Afghanistan - de peur de tuer des civils et de “fâcher” les populations musulmanes. Il demande la fermeture de Guantanamo.

Il fait en sorte que les terroristes comme Khalid Sheikh Mohammed, le cerveau du 11 septembre soit jugés devant un tribunal civil. Il ordonne que mission première de la Nasa soit «le rapprochement» du monde islamique - au lieu de l’exploration de l’espace. Et il est catégoriquement en faveur d’un Etat palestinien, même si cela pose un risque mortel pour Israël.

En bref, M. Obama cherche à cajoler le monde islamique. Le résultat est que l’Iran est sur le point d’avoir la bombe. Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad - comme tous les fanatiques - est un homme à prendre au sérieux. Il jure de tuer les Juifs d’Israël une fois pour toute. M. Obama n’est pas un grand faiseur de paix. Au contraire, il est naïf, follement de gauche - aveuglé par ses œillères idéologiques et culturelles - et il fait directement le jeu des ennemis de l’Amérique aux mains sanglantes.

Source : Washington Times
Re: Obama
25 juillet 2010, 13:30
C'est bizarre... Il n'y pas trace de ton article sur le site du Washington post.

C'est un vrai torchon!

En revanche, on le trouve sur Bivouac Id, le site de référence de l'extreme droite française.

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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
25 juillet 2010, 15:55
Merci pour cet article très lucide, l'exilée.

Juste une erreur de traduction : il ne s'agit pas de vendre les Juifs pour les mettre à la rivière, ce qui ne veut rien dire, mais de les trahir, tout simplement.
Re: Obama
26 juillet 2010, 02:45
Bonjour Surfeuse,

bien entendu, il fallait le comprendre ainsi , ce sont les aléas des traductions,

mais la "noirceur" du personnage est bien établie , espérons que la majorité

des AMERICAINS de souche mettra fin à ses desseins diaboliques en novembre,

car sa haine n'est pas uniquement dirigée contre les JUIFS mais également

contre cette AMERIQUE qu'il veut détruire .
IRAN , LE POINT DE NON-RETOUR !
24 août 2010, 04:31
COMMENT LE PEUPLE AMERICAIN A-T-IL PU ELIRE hussein baraq obama

APRES LE DRAMATIQUE 11 SEPTEMBRE , CELA RESTERA UNE DES GRANDES

ENIGMES DE L'HISTOIRE !!!!

NOUS ESPERONS UN REVEIL RAPIDE DE L'AMERIQUE ET QU'ELLE RECTIFIERA

LA PLUS GRANDE ERREUR QUELLE AIT COMMISE !!!!







Iran : le point de non-retour (info # 012408/10) [Analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency

« Le point de non retour » : tel est le titre d’un important article publié dans le dernier numéro de The Atlantic Monthly sous la signature de Jeffrey Goldberg, analyste du magazine pour le Proche-Orient.

Goldberg traite de la question majeure de ces derniers mois et, sans aucun doute, des mois prochains ; celle qui devrait retenir l’attention de tous : la nucléarisation de l’Iran.

Non seulement Goldberg aborde-t-il tous les scénarios possibles, mais il donne la parole à de nombreux dirigeants concernés : Binyamin Netanyahu, des ministres des émirats du Golfe, des diplomates du reste du monde arabe, des membres de l’administration Obama, ainsi qu’à des chercheurs de divers think tanks.

Tout en énonçant son espoir que la politique suivie par l’administration Obama puisse déboucher sur des résultats positifs - Goldberg, je le précise, se situe plutôt au centre gauche -, il ne peut s’empêcher de douter que son espoir soit valide.

Il note que les dirigeants israéliens, tout en pensant que ça n’est pas une bonne solution, mais la moins mauvaise de toutes celles qui risquent de se présenter, se résoudront vraisemblablement à agir, tôt ou tard.

Il note aussi que les dirigeants arabes du monde sunnite sont très anxieux et inquiets, se sentent lâchés par Obama, et en viennent eux-mêmes à considérer qu’une action israélienne serait pour eux appréciable, même s’ils se garderont de le dire tout haut devant une caméra de télévision.

Il note, enfin, que de nombreux spécialistes américains s’attendent eux-mêmes à une action israélienne, tout comme les états-majors des armées américaines.

Les conclusions de Jeffrey Goldberg me semblent pertinentes. Elles sont, surtout, fondées, puisqu’elles s’appuient sur une longue et minutieuse enquête. Elles appellent diverses remarques.

Celles-ci concernent d’abord Israël : j’imagine fort bien ce qui hante les dirigeants du pays. Un Iran doté de l’arme nucléaire serait, pour Israël, une menace absolument intolérable et insupportable.

Ce serait, au minimum, la sanctuarisation d’un pays dirigé par des gens aux intentions génocidaires explicites, la dissémination de matériaux « sales » vers toutes les organisations terroristes islamiques, et l’enclenchement d’une course régionale à la nucléarisation, qui, au delà de l’Iran, concernerait la Turquie, l’Arabie Saoudite, l’Egypte, et, sans doute, la Jordanie.

Cela pourrait également conduire à l’utilisation de l’arme elle-même, dès lors qu’Ahmadinejad ne se contente pas de proclamer ses intentions génocidaires, mais y ajoute des propos apocalyptiques. Propos qui, s’ils étaient prononcés dans une institution psychiatrique impliqueraient le recours à la camisole de force, mais qui, dès lors qu’ils sont émis par un clone oriental d’Hitler, sont bien plus inquiétants.

J’imagine aussi que les dirigeants israéliens mesurent le poids et les conséquences des décisions qu’ils devront prendre, car sitôt une action enclenchée, il faudra qu’elle soit décisive, et il faudra s’attendre aux effets immédiats (énumérés à satiété par Goldberg) : ripostes iraniennes à l’encontre d’Israël, activation du Hezbollah et du Hamas, tentatives de blocage du détroit d’Ormuz, hausse du prix du pétrole, réprobations unanimes, menaces de sanctions anti-israéliennes, etc.

Je ne doute pas que les dirigeants israéliens ont un avis très précis sur Barack Obama et son entourage, avis que je n’ai nul besoin d’expliciter derechef, car je rechigne à utiliser un vocabulaire qui serait insultant pour l’actuel occupant de la Maison Blanche ; un avis que je partage toutefois entièrement.

Les remarques qu’on peut faire concernent aussi les dirigeants iraniens. Nul besoin, là, de recourir à son imagination pour savoir ce qui trotte dans leurs neurones.

Ils multiplient les proclamations antisémites, négationnistes, exterminationnistes, et ils s’en sortent indemnes. Ils tirent sur leur propre population et le reste du monde ne dit rien. Ils avancent vers l’arme atomique, et ils ne trouvent, en face d’eux, que des Européens impuissants, des Russes et des Chinois complices, des Arabes qui tremblent, et un Président américain prêt à se faire cracher au visage et à demander encore davantage de crachats, comme pour expier le fait qu’il est américain, ou pour détruire la puissance américaine de l’intérieur.


L’un construit systématiquement un projet apocalyptique, l’autre rêve

Comment ne pourraient-ils pas être euphoriques dans leurs délires et ne pas se dire que le douzième imam, Muhammad al Mahdi, caché par Allah depuis onze siècles, va bientôt revenir dans une apocalypse sanglante ?

Peut-être même souhaitent-ils l’attaque israélienne. Ils s’y préparent certainement. Les dirigeants iraniens ont, eux aussi, nul ne doit en douter, un avis très précis sur Barack Obama. Et, bien que cet avis soit assez différent de celui des dirigeants israéliens, je ne suis pas persuadé qu’il soit très positif.

Quant aux dirigeants du monde sunnite : la Syrie a choisi son camp depuis des années (elle est dirigée par un dictateur alaouite, courant chiite, bien que la population soit sunnite à plus de soixante pour cent) ; la Turquie a fait son choix plus récemment. Les dirigeants saoudiens, égyptiens, jordaniens, comme ceux des émirats, selon toute vraisemblance, se sentent non seulement inquiets, comme l’écrit Goldberg, mais résignés à ce que la tempête vienne, imprégnés du souhait qu’Israël agisse, humiliés sans aucun doute à l’idée qu’ils doivent attendre une action israélienne ; prêts à laver l’humiliation en fustigeant Israël après coup, mais prêts aussi, s’il le faut, à emprunter le chemin qu’a suivi la Turquie, si Israël devait ne pas agir.

Selon toute vraisemblance, ils se sentent non pas lâchés, Goldberg est là encore très feutré, mais trahis. Et leur avis sur Barack Obama ne doit absolument pas être positif non plus.

Obama a beau se répandre en louanges sur l’islam, je vois peu de dirigeants sunnites qui soient prêts à lui dire merci. Et si les crachats au visage que lui envoie virtuellement Ahmadinejad – mais avec la ponctualité d’un TGV - ne lui suffisaient pas, je suis sûr que s’il prenait l’avion pour Le Caire ou Ryad, Obama y trouverait de quoi se voir comblé en la matière.

On doit également parler de la posture de l’Europe face aux menaces persanes : les dirigeants européens, la presse européenne, font comme si les sanctions prises contre l’Iran s’apprêtaient, à tout moment, à donner des résultats.

Ils font comme si la nucléarisation de l’Iran ne les inquiétait pas outre mesure, et comme si c’était une action israélienne qui les alarmait beaucoup plus.

S’il fallait une preuve supplémentaire de l’impuissance et du déclin européens, elle est là, flagrante, à ce point flagrante, que c’en est presque à pleurer.

Je ne pense pas que les dirigeants européens aient la moindre estime pour Barack Obama, mais je pense qu’ils vont continuer à faire semblant, et qu’en cas d’action israélienne, ils seront les premiers, avant même le monde sunnite, à pousser des hauts cris de vierges effarouchées.

Une nucléarisation de l’Iran, pourtant, parachèverait la soumission de l’Europe, la placerait davantage encore à la merci du monde musulman, augmenterait fortement sa facture énergétique, accroîtrait l’emprise sur elle de la Russie et de la Chine. L’Europe, de fait, admet sa propre soumission et préfère regarder ailleurs. Consternant.

Il faut observer, enfin, la position des Etats-Unis : dans un livre paru voici deux mois, Aaron Klein parlait d’Obama comme du « Manchurian President » (le président de la Manchourie), et le décrivait comme un islamo-gauchiste en mission.

Dans un livre plus récent, Pamela Geller et Robert Spencer en parlent comme du « Président post-américain » et le décrivent, en fait, comme le premier Président anti-américain des Etats-Unis. Dans mon propre livre, bientôt en librairies, « La résistible ascension de Barack Obama », j’abonde dans la même direction et apporte divers éléments accablants.

Dans un article récemment publié par Frontpage magazine, le grand poète canadien David Solway posait la question qui vient tout résumer : « Comment le peuple américain a-t-il pu commettre une erreur pareille en un moment pareil ? ».

Obama commet des dégâts considérables dans l’économie américaine et l’économie mondiale, et j’y reviendrai. Mais les dégâts économiques qu’il provoque ne sont rien en comparaison des dégâts géopolitiques qu’il est en train de susciter sur les cinq continents.

Avoir permis à l’Iran d’atteindre quasiment le point de non retour vers l’arme nucléaire, alors qu’il est patent qu’un Iran nucléarisé aurait des conséquences incalculables, allant bien au delà de la survie d’Israël, constitue un crime imprescriptible.

Placer Israël le dos au mur face à une situation où agir aura des répercussions très graves, mais où ne pas agir aurait des conséquences plus graves encore, est un crime tout aussi injustifiable.

D’autres crimes sous-tendent ces deux crimes :

Avoir abandonné la population iranienne aux mains de ses bourreaux, alors que le régime chancelait est un délit grave, car une révolution en Iran aurait changé la donne, et, comme l’explique sans cesse Michael Ledeen, qui connaît bien la région, cette révolution eut été possible

Abandonner l’Irak et transformer une victoire en ce qui pourrait vite devenir une défaite est un autre forfait grave.

Replacer au centre des débats le « processus de paix », destiné à contraindre Israël à faire des concessions unilatérales et à détourner l’attention du problème iranien, participe d’un crime majeur, car cela contraint Israël à s’occuper d’un dossier sans issue en un moment où un dossier existentiel demeure en suspens.

Parler, comme le fait l’administration Obama, de la possibilité de l’endiguement d’un Iran nucléaire, ou évoquer un recours à l’idée de destruction mutuelle assurée est, en soi, un crime stratégique inexpiable : l’Iran ne peut être endigué, et la destruction mutuelle assurée, si elle peut être envisagée face à des acteurs rationnels, ne peut être assumée contre des fanatiques au bord de la maladie mentale.

Et Ahmadinejad est un fanatique au bord de la maladie mentale, comme l’a souligné, voici quelques mois, le plus grand islamologue de ce temps, Bernard Lewis. Je cite : « A la fin des temps, il y aura, en tous les cas, une destruction généralisée. Ce qui importera sera la destination finale, l’enfer pour les infidèles et le paradis pour les croyants.

Pour des gens ayant cet état d’esprit, la destruction mutuelle assurée n’est pas un motif pour se retenir, mais une incitation ».

Je cite aussi Reza Kahlili, agent de la CIA infiltré chez les Pasdaran, lors d’une conférence de presse à Washington le 9 juin dernier : « C’est un régime messianique, ils se préparent à commettre le plus important attentat suicide de l’histoire de l’humanité. Ils attaqueront le moment venu, s’ils le peuvent, Israël, les capitales occidentales, la région du Golfe, et se cacheront dans un bunker pour attendre la venue du Mahdi ».

Etant plutôt proche des positions d’une partie de l’administration Obama, Jeffrey Goldberg insiste, je l’ai signalé, sur les retombées qu’aurait une action israélienne, et ce n’est pas ce qu’il fait de plus productif. Il donne des détails et des précisions dont il aurait pu faire l’économie. Il n’empêche : l’essentiel est dit.

Comment le peuple américain a-t-il pu commettre une erreur pareille en un moment pareil, oui. Israël se trouve placé dans la position la plus difficile que le pays ait connu depuis 1948 : et c’est à cause d’un président américain. C’est terrible à dire.

L’équilibre de la planète et l’avenir de la liberté sont gravement remis en question : et c’est, là aussi, à cause d’un président américain. Pour quelqu’un qui, comme moi, aime les Etats-Unis, c’est terrible à écrire.

Il faudra vraiment un président digne de ce nom et d’une trempe hors du commun pour gérer l’après Obama, car je veux espérer qu’il y aura un après Obama, rapidement.

Faute d’un président digne de ce nom, rapidement, on peut envisager, au mieux, une prolifération nucléaire, une mainmise sur la planète d’un cartel allant de Pékin à Téhéran, et de Moscou à Caracas.

On peut envisager, au pire, une déflagration sans précédent, celle dont rêve Ahmadinejad. On ne peut uniquement envisager, même pas pour éviter le pire, mais pour le retarder un peu, une action israélienne avec, effectivement, les prises de risques qui en découlent.

Un autre livre, paru en 2008, s’appelait « Obama Nation » (La nation Obama), ce qui, en anglais, impliquait une prononciation proche du mot « Abomination ». Ce titre, à l’époque, pouvait sembler excessif. Il ne l’était pas. Obama se révèle vraiment être une abomination.



Note :

Je n’ai pas traité ici de la mise en route de la centrale nucléaire de Bushehr, avec l’aide de la Russie : celle-ci ne constitue qu’un pas de plus dans la nucléarisation de l’Iran.

Ca n’est cependant pas l’acte le plus grave que l’on peut craindre de la part de Poutine, qui serait la livraison par la Russie de missiles anti-missiles et antiaériens S300 à l’Iran. Cette livraison est programmée : oui mais pour quand ?
Re: Obama
24 août 2010, 08:54
Interview qui reprend beaucoup de points que l'Exilée ne cesse de marteler ici en croyant trouver lecteurs à ses balivernes.

Obama musulman : dernier avatar de la théorie du complot

[lci.tf1.fr]
Re: Obama
24 août 2010, 11:20
Citation
l'exilée
Bonjour Surfeuse,
espérons que la majorité

des AMERICAINS de souche mettra fin à ses desseins diaboliques en novembre,

Et si tu nous disais, TOI, un jour, franchement, a haute voix, comme nous le faisons tous sur ce forum, de quelle "souche" tu es?
Car enfin, jusqu'a present, tu n'arretes pas de denigrer Hobama pour sa "noirceur", et de glorifier les americains de souche.
Quel rapport avec ce site de juifs-marocains et leurs amis?
Re: Obama
24 août 2010, 13:18
Souiri-Geek,

Le sujet est "OBAMA"...donc soit tu considères que le sujet n'a rien à voir avec ce site et tu fais une réclamation auprés du Webmaster pour le faire effacer...soit tu l'acceptes comme partie intégrante de la rubrique "DIVERS" sachant que de nombreux sujets de cette rubrique n'ont rien à voir avec les les "Juifs-Marocains"...

En ce qui concerne les américains de souche il faut demander aux indiens...qui eux mêmes doivent demander aux inuits...qui eux mêmes doivent demander aux...confused smiley...peut être aux Imazighenwinking smiley
Re: Obama
05 septembre 2010, 02:39
AU MOINS LES CHOSES SERONT CLAIRES !




Un ministre pakistanais demande à Obama de se proclamer chef de tous les musulmans le 11 septembre

Cela ressemble à un poisson d’avril mais nous sommes en septembre et la source est considérée comme sérieuse: MSN news.

Islamabad, Sep 2 (PTI) : Un ministre pakistanais souhaite que le président américain Barack Obama officie les prières de l’Aïd à Ground Zero à New York le 11 septembre prochain et qu’il se proclame l’ “Amir-el-Mominin» ou le calife des musulmans à cette occasion.

Le Ministre d’État de l’industrie Ayatollah Durrani, qui appartient au parti “Pakistan People’’s Party” actuellement au pouvoir, a déclaré que les prochaines célébrations de l’Aid-el-Fitr, qui doivent avoir lieu le 11 Septembre, serait une “occasion en or” pour Obama de diriger les prières de l’Eid et de se déclarer le chef de tous les musulmans.

“De cette façon, tous les problèmes du monde musulman seraient résolus”, dit Durrani dans le journal The Nation.

Durrani, un ancien membre du Conseil idéologique du Pakistan, a soutenu que le monde musulman est en “besoin urgent” d’un calife et remplir cette fonction permettrait à Obama d’avoir des ”titres prestigieux” comme “Mullah Barack Obama Hussein” ou “Allama Obama”.

Il a dit: “Le temps approche rapidement. Barack Obama Hussein doit agir maintenant. Il s’agit d’une occasion en or, et les musulmans en ont vraiment besoin.”
La déclaration d’un califat islamique (mondial) serait la “clé de la réussite” a-t-il ajouté, mais n’a fourni aucune explication pour ses remarques.

”Ground Zero”est l’ancien site des tours jumelles du World Trade Center à New York.
Re: Obama
05 septembre 2010, 08:54
Ce matin,je suis tombée par hazard sur une émission de France2, Thé ou Café, l'invité Elie Wiesel, que j'admire beaucoup, j'ai souvent été à ses conférences et présentations de bouquins, cette émission était bien faite,
Je ne me souviens plus du nom de l'animatrice,"Catherine Seylac'' je pense, elle lui a posé des questions sur tout les sujets d'actualité, Obama, la Mosquée au Gound Zero, les otages, Israel, Jerusalem, j'ai écouté tres attentivement, il a parlé d'Obama comme d'un président qui faisait de son mieu, qu'il était intègre, sur la Mosquée, il dit que l'Imam n'a pas mesuré les sensibilités de l'Amérique, qu'il avait une solution, pourquoi une Mosquée ? un grand centre écuménique, où toutes les religions seraient représentées, et les fonds viendraient de toutes les sources. si j'ai bien compris. - il a évoqué longuement Guilad Shalit, alors que l'animatrice n'a mentionné que les deux journalistes français.

Dès lors que la question sur Madoff, le grand escroc du siècle, son visage s'est complètement transformé, il a utilisé des épithètes de haine, comme "salaud" abject, ect.-

il a quand même accepté des critiques sans trop se justifier, par une jeune femme qui a fait une thèse sur son personnage et son travail.

je pense qu'il faut écouter ces hommes et femmes qui sont dans les grands cercles humanitaire et politique - son point de vue était important.
Re: Obama
15 septembre 2010, 02:43
LE VENT TOURNE POUR OBLABLA ......QUI A "TIRè" L'ESSENTIEL

DE SON SUCCES D'UNE MAUVAISE RAISON (LA COULEUR DE SA PEAU) ,

LA LECTURE DE CE QUI SUIT EST EDIFIANTE !!!!





Nous avons le premier Afro-américain qui est cohérent, intelligent, propre et, en plus, beau garçon. Joe Biden (fev. 2007)

Le pays est prêt à soutenir un candidat présidentiel, particulièrement un candidat comme Obama – un African-Americain à la peau claire qui n’utilise pas le dialecte nègre, sauf quand il souhaite. Harry Reid (2008)

Si Obama était blanc, il ne serait pas dans cette position. Et s’il était une femme, il ne serait pas dans cette position. Il a beaucoup de chance d’être ce qu’il est. Geraldine Ferraro (mars 2008)

Le Président semble du reste sincèrement surpris par le changement d’état d’esprit des Américains à son égard. Rien de tel, après tout, ne lui était jamais arrivé. Barack Obama était devenu président de la revue juridique d’Harvard sans avoir publié un seul article de droit. Il fut élu à Chicago, en 1995, dans une élection rendue plus facile par le fait que tous ses opposants sérieux avaient été disqualifiés par des arguties juridiques. Son autobiographie trouva un éditeur avant d’avoir été écrite, malgré l’obscurité qui était alors la sienne. Il déclara sa candidature à la présidence après moins de deux ans de travail au Sénat, sans y avoir rédigé aucune législation mémorable.Toute la vie adulte du Président a ainsi été marquée par des succès faciles, dans lesquelles l’histoire de sa vie et sa personnalité emportaient l’adhésion sans qu’il ait à prouver le moindre résultat concret. Pour la première fois, depuis son élection, Obama est tenu pour responsable par le peuple américain des résultats de son action. Il ne parvient pas à faire oublier, par le charme et la rhétorique, que ces résultats sont execrables. En conséquence, ce charme lui-même commence visiblement à s’estomper. Blessé de ne plus trouver l’adulation inconditionnelle à laquelle il s’était habitué, le Président devient sec, irritable et souvent mesquin. Sébastien Castellion

Pour ceux qui, a l’heure ou un president Obama au plus bas dans lessondages semble accepter de plus en plus difficilement les critiques, ne verraient toujours pas le probleme que peut poser un chef d’Etat americain elu sur sa seule (belle) gueule, couleur de peau ou rhetorique …

Autrement dit, mis a part 2 ou 3 livres ecrits a sa seule propre gloire, sur un bilan universitaire et legislatif quasi vide mais une serie d’elections a coup de fuites suspectes contre l’adversaire et un bilan de votes, en un demi-mandat, les plus a gauche du Senat …

Et qui, pour tout bilan de milieu de mandat a la veille d’elections annoncees catastrophiques pour son propre parti, ne semble offrir, en matiere de politique etrangere, que toujours plus de belles phrases ou d’autoflagellation pour masquer la continuation de la politique de son predecesseur comme, en politique interieure a coup de milliers de milliards, que le creusement des deficits et l’interventionnisme toujours plus grand de l’Etat …
LE FBI , SOUS OBAMA FAIT VISITER UN CENTRE TOP SECRET AUX AGENTS DU HAMAS
04 octobre 2010, 12:14
ON AURA TOUT VU SOUS OBLABLA !!!!

LE DOUTE N'EST PLUS PERMIS , hussein obama est inféodé à l'IDEOLOGIE ISLAMISTE !

LE FBI SOUS OBAMA FAIT VISITER SON CENTRE DE FORMATION AUX AGENTS DU HAMAS




[www.bivouac-id.com]
Re: Obama
10 octobre 2010, 09:55
Chantage d'Obama et "Carottes américaines" -


Michael OREN confirme

« Maintenant, vous ne pourrez plus construire dans les zones que vous avez accordées aux Palestiniens »

par Shraga Blum

Après des « révélations » suivies de « démentis », et vice-versa, la question des « incitations » américaines envers Israël a trouvé son épilogue: l’ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis, Michael Oren, confirme officiellement dans une interview accordée au « Washington Post » que l’Administration Obama a proposé à Binyamin Netanyahou toute une série d’ « avantages » en contrepartie d’un prolongement du gel de la construction durant 2 à 3 mois.

Le scénario imaginé par le suzerain américain – s’il se réalise – est limpide : arracher de Netanyahou un prolongement du gel, exercer durant cette courte période d’énormes pressions sur Israël pour la fixation de frontières selon les exigences palestiniennes, et dire ensuite aux Israéliens : « Maintenant, vous ne pourrez plus construire dans les zones que vous avez accordées aux Palestiniens ». Un piège bien monté.

Dès lors, en cas d’acceptation israélienne, une promesse simultanée de Netanyahou à son parti, sa coalition et ses électeurs « qu’il s’agirait de la dernière période de gel », n’aurait plus aucune valeur. Mais pour le moment, Ehoud Barak et Itsh’ak Molkho n’ont pas réussi à trouver avec Washington une formule qui puisse convaincre le Premier ministre israélien de présenter au cabiner une proposition de poursuite du gel.

Netanyahou exige notamment que Barack Obama s’engage qu’en cas de retard dans les négociations sur le dossier des frontières, qui se dérouleraient pendant la 2e période de gel, le Président américain ne remette pas sur le métier un nouveau prolongement, sous le chantage perpétuel des Palestiniens. Or, il y très peu de chances pour que Barack Obama accède à cette demande, puisque les Américains veulent au bout du compte obtenir d’Israël un arrêt total et définitif de la construction juive en Judée-Samarie.

A droite on montre du doigt avec colère le ministère de la Défense qui œuvre sans relâche pour obtenir un nouveau délai de gel contre les intérêts d’Israël : « Barak sait qu’il joue son avenir politique. S’il n’obtient pas gain de cause, il sera poussé par son parti à quitter la coalition, et dès lors, il ne sera plus ministre de la Défense, peut-être plus chef du parti travailliste, et sa vie politique risque de prendre fin ».
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Re: Obama
11 octobre 2010, 11:47
ESPERONS QUE LE 2 NOVEMBRE SERA LE DEBUT DE LA FIN DE CET IMPOSTEUR !



USA : la France voit ce qu’elle veut voir (info # 011110/10) [Analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency

Je viens de séjourner en Californie du Sud. C’était très loin d’être la première fois. Au cours des trente dernières années, le nombre de mes séjours dans cette région du monde ne se compte plus.

Mais c’était, cette fois, un séjour particulier. J’étais invité à parler par diverses organisations : Act for America (Agissez pour l’Amérique), fondée par Brigitte Gabriel pour combattre l’infiltration de l’islam radical aux Etats-Unis ; le David Horowitz Freedom Center (le Centre de liberté), fondé par David Horowitz lui-même aux fins de défendre la liberté de parole, les valeurs américaines et l’Etat d’Israël, les Tea Parties de Californie du Sud, en lutte contre les projets délétères de l’administration Obama, et le Lincoln Club de l’Orange County.

Mon objectif se trouvait défini par le titre d’ensemble que j’ai donné à mes conférences : « Pourquoi l’Europe est morte, et ce que cela signifie pour l’Amérique et pour le monde ».

Mon objectif était aussi d’être su place, à quelques semaines d’une échéance cruciale, les élections du 2 novembre prochain.

Ce que je pourrais dire au titre d’analyse d’ensemble pourrait se réduire à peu de mots, et serait susceptible de faire l’objet d’une énumération rapide :

Une part très importante du peuple américain est en colère et ressent un sentiment profond d’outrage et de danger. Ceux qui ont assisté aux réunions devant lesquelles j’ai parlé étaient, très largement, des conservateurs, mais il y avait aussi parmi eux des Démocrates et des gens qui avaient voté pour Obama aux présidentielles.

Ceux qui avaient voté pour Obama étaient parmi les plus mobilisés, parce qu’ils avaient le sentiment évident d’avoir été trompés : ils ne se contentaient pas de jurer qu’on ne les y reprendrait plus, mais ils voulaient agir pour que nul ne se laisse plus prendre dans le futur proche.

Même dans les commerces, dans les cafés, les restaurants, je n’ai pas entendu une seule parole favorable à Barack Obama. Les journaux les plus favorables à Obama se montrent très modérés et feutrés dans leurs arguments, et ils ne cachent pas la déception qui imprègne le pays.

Obama a réussi la prouesse de décevoir l’aile gauche du parti Démocrate, d’éloigner de lui les centristes et les indépendants et de susciter l’hostilité des conservateurs. Le départ de ses principaux conseillers et aides est interprété de tout côtés comme le signe que le navire subit une avarie sérieuse. C’est uniquement en consultant par Internet la presse française que j’ai pu retrouver des textes rédigés par des vecteurs d’un inconditionnel soutien à Obama.

Les reproches adressés à Obama par une grande majorité des Américains tiennent à ses décisions de politique intérieure, mais aussi à ses décisions de politique étrangère.

Les immenses gaspillages découlant d’un plan de stimulation, qui n’a rien stimulé du tout, sinon l’ardeur des bureaucrates et les chiffres du chômage, qui se situent toujours aux alentours de dix pourcent, sont incriminés largement. Tout comme l’est le plan de réforme de la santé, qui ne satisfait personne, et entraîne des surcoûts pour les assurés et pour les entreprises.

La perspective d’une hausse des impôts, qui surviendra fin décembre, est presque unanimement considérée d’un œil sombre : les entrepreneurs, s’attendant à des jours plus difficiles encore, n’embauchent pas.

Les plus pauvres savent que si les entrepreneurs ne peuvent embaucher, ils resteront dans la pauvreté. La politique d’Obama face à l’Iran est considérée de divers côtés comme gravement irresponsable. Son attitude vis-à-vis d’Israël est perçue comme celle d’un homme hostile à la survie même de l’Etat hébreu.

L’idée qu’Obama est un musulman qui n’avoue pas ce qu’il est circule toujours. Même la presse favorable à Obama est porteuse de suggestions censées inciter la Maison Blanche à infléchir et à clarifier son discours. Là encore, c’est uniquement en lisant la presse française que j’ai pu trouver des textes très favorables à la politique d’Obama dans ces divers domaines.

Les Etats-Unis me semblent, dans ces conditions, à la veille d’un changement de cap très profond. Il existe une attente évidente au sein du peuple américain concernant ce changement de direction.

Le mouvement des Tea parties ne s’essouffle pas du tout, contrairement à ce qui se dit ici ou là : il se structure, reste mobilisé et déterminé. Ceux qu’on y trouve peuvent être riches ou pauvres, entrepreneurs ou simples employés, blancs ou noirs, Juifs ou chrétiens. On y trouve des Républicains, mais aussi des Démocrates déçus et des indépendants.

Les attentes sont exprimées très clairement et se situent à l’inverse de ce qui est reproché à Obama. Elles sont : la fin des gaspillages et des dépenses inconsidérées par le gouvernement fédéral, une abolition du plan de réforme de la santé, un maintien des impôts et taxes à leur niveau actuel - voire des baisses supplémentaires -, mais aussi une attitude plus déterminée face à l’Iran et un retour à un soutien clair d’Israël.


Lame duck ?
Bientôt un « canard boiteux » ?

Là, toujours, il m’a fallu à nouveau me tourner vers la presse française pour rencontrer une incapacité totale à déchiffrer ce qui se dessine, qui n’est pas du tout une réaction épidermique, mais une lame de fond bien plus étayée intellectuellement qu’il ne le semble.

Le Congrès qui sortira des urnes dans quatre semaines n’aura pas le droit à l’erreur. Les attentes à son égard seront immenses. Ses pouvoirs seront limités par le fait que le pouvoir exécutif sera encore aux mains d’Obama.

La déception, si le prochain Congrès ne se montre pas à la hauteur, sera intense et pourra conduire à une situation imprévisible. Jamais, depuis plus de trente ans, je n’avais vu le peuple américain mobilisé au degré où il l’est aujourd’hui. Qu’on ne comprenne pas la situation en Europe, et en France en particulier, ne me surprend pas : jamais les différences qui séparent le peuple américain des peuples européens n’ont été plus évidentes.

Pour le gouvernement israélien, agir comme si l’administration Obama appartenait déjà presque au passé fait, en ces conditions, pleinement sens. Le gouvernement israélien ne peut pas ignorer qu’Obama sera bientôt un « canard boiteux ».

Israël ne doit pas avoir pour interlocuteur l’administration Obama, mais le prochain Congrès, et, surtout, le peuple américain. Le prochain Congrès pourra d’autant mieux répondre aux attentes du peuple américain, qu’Obama apparaîtra en position d’échec.

A mes yeux, Netanyahu a, jusqu’à présent, très bien manœuvré Obama et ses comparses. Je ne puis que l’encourager à persévérer. « Obama is a dummy », me disait mon ami David Horowitz voici trois jours : Obama est un pantin de tissu. Il faut aider le peuple américain à ranger le pantin de tissu au rayon des accessoires dont l’utilisation est nocive pour la santé du monde.

Je terminerai en disant que mon message est bien passé auprès de ceux à qui je me suis adressé, et j’ai pu voir ses échos bien au delà de la Californie : le peuple américain a majoritairement conscience que l’Europe est morte et ne compte plus. Des dizaines de millions de ses membres n’entendent, dans tous les cas, pas laisser leur pays suivre le chemin de l’Europe.



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Re: Obama
11 octobre 2010, 12:02
Appeler le President des Etats-Unis democratiquement elu un "imposteur", c'est un comble!

Et si l'imposteur/euse etait celu/celle qui mne veut rien devoiler de son identite, en se faisant passer pour juive-marocaine, alors que....
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