Dafina.net Le Net des Juifs du Maroc




Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

Obama

Envoyé par felixabenhaim 
Re: Obama
13 octobre 2010, 01:21
Pervenche et Exilée, c'est la même personne.

Surement une militante islamophobe des fameux Tea Party, véritable cancer politique anti fiscal et raciste américain.

-----
"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
13 octobre 2010, 02:34
POUR CE "MONSIEUR JE SAIS TOUT" BIEN PRETENTIEUX , il a tout faux ,

je voudrais toutefois ajouter qu'il m'a fait grand plaisir , car j'aime la perspicacité

des interventions de Pervenche et il serait bien inspiré de suivre la même voie

au lieu de SAUTILLER SUR CHAQUE VIRGULE QUI MET à MAL SA FAçON

TRONQUEE DE REVISITER L'HISTOIRE et qu'on en a marre de cette

BIEN-PENSANCE REGNANTE ERIGEE EN DOGME ET QUI CRIE AU

RACISME dés lors que l'on refuse le DIKTAT DE L'IDEOLOGIE TOTALITAIRE !!
Re: Obama
13 octobre 2010, 02:35
Moi je pense que c'est des bots !

Pour les non-initiés : Un bot informatique, ou robogiciel, est un agent logiciel automatique ou semi-automatique qui interagit avec des serveurs informatiques. Un bot se connecte et interagit avec le serveur comme un programme client utilisé par un humain, d'où le terme « bot », qui est la contraction (par aphérèse) de « robot ».

On les utilise principalement pour effectuer des tâches répétitives que l'automatisation permet d'effectuer rapidement. Ils sont également utiles lorsque la rapidité d'action est un critère important, avec par exemple les robots de jeu ou les robots d'enchères, mais aussi pour simuler des réactions humaines, comme avec les bots de messagerie instantanée.

Je trouve que cette définition leur colle impeccablement !
Re: Obama
13 octobre 2010, 10:26
rali,


Je crois que l'exilée a bien résumé la valeur à accorder à votre prétendu don de "divination"
il n' y a rien d'autre à ajouter et je la remercie au passage pour son appréciation à mon égard, si mes
articles ne trouvent pas l'écoute qu'ils meritent auprés de certaines personnes ayant des à prioris ,
croyez -bien que j'en suis désolée , mais il y a certaines vérités qui ne peuvent être niées indéfiniment .
Re: Obama
16 octobre 2010, 04:02
le demi frere d obama a pris pour troisieme epouse une jeune fille de 30 ans plus jeune que lui. quoi de plus naturel en afrique musulmane me direz vous ?
michelle obamma n a qu a bien se tenir...
voici le frere en question avec barak..
Pièces jointes:
LON112_wa.jpg
Re: Obama
24 octobre 2010, 12:38
PRIONS QUE SA CHUTE SOIT FULGURANTE !!!



La chute de la maison Obama

Milliere Guy -

Je n’ai, depuis plusieurs semaines, pas traité ici de la présidence Obama. J’y reviendrai lorsque sortira,
dans peu de temps, mon prochain livre, « La résistible ascension de Barack Obama ».

En attendant, il m’arriverait presque d’éprouver de la compassion pour cet homme s’il ne s’était avéré aussi
nuisible, et s’il ne pouvait encore nuire.

Certes, Obama est un agitateur d’extrême-gauche allié de l’islam radical ; certes, c’est un être sans scrupule,
sans éthique et sans honneur ; certes les ravages qu’il a infligés à l’économie américaine ne seront cautérisés
que des années après lui.

Certes encore, il a rapproché considérablement le monde d’une déflagration guerrière au Proche-Orient en
s’ingéniant à déstabiliser les régimes modérés et amis de l’Occident et en encourageant les régimes les plus
fanatiques, à commencer par la dictature d’Ahmadinejad en Iran.

Certes aussi, il a flirté de près avec le gangstérisme à Chicago.

Mais je pense plus que jamais qu’en arrivant à la Maison Blan che, il a crevé le plafond de son seuil
d’incompétence d’une manière qui n’a pas de précédent, pas même Jimmy Carter.

Je pense aussi de plus en plus qu’il est ou bien bête, ou bien aveuglé par le dogme à un degré tel qu’il a
perdu depuis longtemps le contact avec la réalité.

De surcroît, il est tellement bouffi de vanité qu’il n’y a en lui aucune place pour la remise en question.

C’est le genre de type qui, lorsqu’il fonce dans le mur et que le mur se rapproche, continue à penser
qu’il a raison, que c’est le mur qui a tort.

Je pense qu’il y aussi chez lui de la panique et du désarroi. Le monde lui semblait tourner autour de lui.
Et voilà qu’on le trouve ridicule et que même les humoristes qui l’adulaient se gaussent de lui.

Les foules se pâmaient en l’écoutant déclamer les discours qu’il lisait sur les téléprompteurs avec la
prestance d’un brillant élève de l’Actors Studio

. Et voilà qu’on l’écoute en somnolant ou en attendant que cela finisse, avec l’air navré que peuvent avoir
les spectateurs qui connaissent la chanson et la trouvent lassante.

Les techniques de prestidigitation qui le faisaient, voici deux ans, passer pour un magicien virtuose n’ont plus
d’emprise.

Les politiciens démocrates qui se bousculaient pour être pris en photo avec lui l’évitent, comme s’il avait une
maladie contagieuse. On pourrait presque penser qu’ils lui en veulent un peu.

Entre lui, Harry Reid, Nancy Pelosi et quelques autres, il a pu sembler pendant des mois qu’il y avait une
griserie idéologique telle que le moment de la gueule de bois ne viendrait jamais. Dès lors que le moment de
la gueule de bois semble se rapprocher, c’est vers le commandant en chef que les reproches pourraient se tourner.

C’est lui, après tout, qui est au sommet de la pyramide et c’est de lui que les signaux de modération auraient pu
venir. Si, au moins, il essayait de remettre les pieds sur terre, mais non :

il se montre en train de jouer au golf plus souvent qu’aucun Prési dent avant lui. Il prend des vacances ostensiblement
très loin du golfe du Mexique touché par une marée noire après y avoir fait un séjour de deux heures et être allé dire
aux habitants consternés qu’il ne « pouvait aspirer le pétrole avec une paille »

. Il laisse son épouse partir en Espagne avec quarante invités, vingt-huit gardes du corps et deux Boeing dans
un palace qu’elle loue en son intégralité à hauteur de deux mille euros la chambre chaque nuit, quand le chômage
frappe des millions d’Américains.

Après plus d’une année et demie de décisions dont une grande majorité d’Américains voit que ce sont les siennes
et qu’elles sont calamiteuses, il annonce le thème qu’il va développer au cours des semaines à venir :
c’est la faute de George Bush.

Il semble étonné que certains lui disent qu’il serait temps qu’il assume ses responsabilités.

Il a appris à faire bien des choses dans son très sombre passé, mais assumer ses responsabilités, cela, il ne
sait pas faire.

L’ascension de Barack Obama a été vertigineuse. Elle commence, décidément, à se montrer résistible et semble
conduire à une redescente tout aussi vertigineuse.

J’avais, en parlant de mon livre avec un ami, envisagé un autre titre : « La chute de la maison Obama ».

Un tel titre aurait été prématuré. Mais il pourrait s’avérer adéquat bien plus vite que nombre d’obamalâtres niais l’auraient imaginé…
Re: Obama
27 octobre 2010, 05:29
Obama incarne pour moi l'intelligence américaine. Ce qui a manqué sous Bush.

Extrait d'un blog : [clesnes.blog.lemonde.fr]

Obama et le “slurpee” des républicains

Qui a dit qu’il avait des problèmes de communication ?
Barack Obama a retrouvé une “story” et il s’y accroche. L’histoire ne cesse de prendre de nouveaux éléments. On en trouve une première trace en mai 2010. Ces dernières semaines, elle revient dans tous ses speeches.

C’est l’histoire d’une voiture (une métaphore pour l’économie). Les républicains étaient au volant. Ils ont conduit la voiture dans le fossé.
Les démocrates essaient de la sortir de l’ornière. Ils mettent leurs bottes, descendent dans le fossé. Il fait chaud. “On transpire”, raconte Obama (Dans un discours dans le Marlyand, il a ajouté des “bugs everywhere” -des mouches- au tableau).

Et pendant ce temps-là, les républicains restent sur le bord à siroter un slurpee…

-”Come on down”, appelle le président. Venez aider !

Les républicains ne bougent pas. Mais une fois que la voiture est sortie, ils réclament les clefs …
- “No !”, déclame le président qui -enfin- a l’air de s’amuser. ”Vous ne savez pas conduire”!
Barack Obama veut bien que les républicains montent dans la voiture.
Mais alors à l’arrière….





L’histoire a encore embelli hier, dans le Rhode Island. Non seulement les républicains sirotent leur boisson en se tournant les pouces, mais ils lancent de la boue au visage des gens qui essaient de sortir la voiture de l’ornière…
Obama embarque vendredi pour une dernière tournée (Pennsylvanie, Connecticut, Ohio, Illinois). D’après Robert Gibbs, on devrait voir de nouvelles enjolivures à l’histoire sinon à la voiture…

-----
"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
27 octobre 2010, 06:35
ESPERONS QUE LE 2 NOVEMBRE SONNERA LE GLAS POUR CE DICTATEUR !!!!!





Vers la fin de la toute puissance de l’administration Obama (info # 012710/10) [Analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency

Les élections du 2 novembre prochain seront désastreuses, voir apocalyptiques, pour le parti Démocrate. La Chambre des représentants va basculer du côté Républicain, cela procède d’une telle évidence, qu’aucun politologue sérieux n’oserait la discuter.

Le Sénat pourrait demeurer Démocrate, dans la mesure où un tiers des sièges seulement est à renouveler. Mais une majorité d’un ou deux sièges est une majorité précaire : les sénateurs qui devront se présenter, à leur tour, devant les électeurs, dans deux ans, lorsqu’un autre tiers du Sénat sera proposé au vote, prêteront davantage attention à leurs chances d’être réélus qu’aux exigences de l’administration Obama.

Une administration, qui même avec une nette majorité de 59 sièges ces deux dernières années, a eu les plus grandes difficultés à faire adopter plusieurs de ses projets. La plupart, pour ne pas dire la totalité, de ces projets de l’administration Obama ont toutes les chances d’être prochainement déclarés nuls et non avenus.

L’administration Obama va donc, en toute logique, faire porter ses efforts sur la politique étrangère, et tout particulièrement sur le Proche-Orient. Pour savoir ce que seront ces efforts, il importe de situer les choses dans le cadre de la « doctrine Obama », dont les paramètres essentiels sont :

a) un repli des Etats-Unis sur leur propre territoire et une diminution de leur puissance,
b) un rôle accru accordé aux Nations Unies et autres instances internationales,
c) une conception de la stabilité du monde reposant sur l’émergence d’un cartel de dictatures et de régimes autoritaires,
d) une réduction d’Israël à un Etat minimum, suivi de la disparition graduelle de ce pays.

Au cours des deux dernières années, le repli des Etats-Unis a été largement amorcé : retrait des troupes d’Irak et promesses d’un retrait rapide d’Afghanistan, acceptation du glissement de la Turquie dans une direction islamique, accords de désarmement avec la Russie, favorisant cette dernière au détriment des Etats-Unis.

Les Etats-Unis se sont rapprochés de diverses instances de l’ONU, et ont, entre autres, réintégré le Conseil des Droits de l’homme et mis en place un grand projet de désarmement nucléaire, dans le cadre duquel, a précisé Obama, les Etats-Unis « donneront l’exemple ».

Le cartel de dictatures s’est constitué, et a pris consistance avec des accords de partenariat liant Moscou, Pékin, Téhéran, Caracas, et quelques acteurs mineurs tels Pyongyang et Damas.

Les pressions sur Israël se sont intensifiées, quand bien même elles n’ont pas débouché sur tous les résultats qu’Obama espérait.

Il s’agissait, pour Obama, de faire tomber le gouvernement Netanyahu : le gouvernement Netanyahu est toujours là, plus solide que jamais. L’échec d’Obama sur ce point est flagrant.

Il s’agissait aussi d’isoler Israël et de faire porter au pays la responsabilité de l’échec de toute avancée vers la « paix ». L’isolement d’Israël s’est effectivement accru, et Israël est effectivement placé en position d’accusé, à un degré qui a peu de précédents. Sur ce point, Obama est parvenu pour partie à ses fins.

Il s’agissait de permettre à l’Iran d’avancer vers l’hégémonie régionale, sans paraître abandonner les régimes sunnites (Arabie Saoudite, Egypte, Etats du Golfe essentiellement). L’Iran a incontestablement avancé vers l’hégémonie régionale, et le contrat massif de vente d’armement des Etats-Unis aux Saoudiens a permis au monde sunnite de se trouver conforté. Là encore, Obama est parvenu à ses fins.


Vers des lendemains qui déchantent ?

La relance du « processus de paix » au cours des deux derniers mois n’ayant été qu’un élément dans la panoplie électorale d’Obama, destinée uniquement à faire que l’électorat juif américain et, au delà, l’électorat américain tout court, ne se détournent pas trop des Démocrates pour leur trahison d’Israël, on peut considérer qu’elle appartient au passé, et regarder vers le futur.

Obama n’a, c’est une certitude, renoncé à aucun de ses objectifs. Il n’a cessé de prendre pour base le plan de paix saoudien. Il continuera.

Il a « promis » la création d’un Etat palestinien dans le cours de l’année 2011. Il fera tout ce qui est en son pouvoir pour que cela devienne une réalité ou, à défaut, pour que les accusations contre Israël redoublent de violence et d’intensité.

Il poursuivra, au sein de son projet de désarmement, sa volonté d’incriminer le nucléaire israélien, comme l’Iran et les pays sunnites le demandent depuis des années. Barack Obama le fera dans le cadre d’un projet de « dénucléarisation régionale », par le biais duquel l’Iran accepterait d’arrêter ses avancées vers l’arme nucléaire, à condition qu’Israël reconnaisse disposer de l’arme nucléaire et, dans le même mouvement, promette de s’en défaire, sous le contrôle d’inspecteurs des Nations Unies.

Les obstacles, cela dit, sont nombreux. L’objectif de l’Autorité Palestinienne n’a jamais été de créer un Etat palestinien à côté d’Israël et de signer un traité de paix : Mahmoud Abbas et sa cohorte, trouveront sans aucun doute des prétextes pour ne pas signer quoi que ce soit.

Ils chercheront vraisemblablement à obtenir un vote de reconnaissance d’un Etat palestinien en assemblée générale de l’ONU. Cela préservera leur position et n’équivaudra en rien à la « paix ». Cela ne changera pas quoi que ce soit à la situation sur place. Obama voudrait plus. Il n’obtiendra pas plus. Il pourra toujours tenter de sauver la face, en avançant qu’il y aura eu la reconnaissance d’un Etat palestinien par les Nations Unies.

Les incriminations d’Israël par le Conseil des droits de l’homme et par l’intermédiaire de rapports aussi biaisés que le rapport Goldstone vont se poursuivre. Et les représentants des Nations Unies, comme ceux des principaux pays européens, n’émettront pas d’objection.

Mais on peut compter sur les Républicains et les gens venus des Tea Parties, élus sous étiquette Républicaine, pour dire ce qui doit l’être, et faire qu’aucune conséquence concrète ne se réalise côté américain. La situation sur place demeurera inchangée. Obama pourra « déplorer » l’attitude des Républicains mais ne pourra pas davantage.

Ce que je viens d’évoquer vaudra aussi pour les questions nucléaires. Le risque, très net, est que l’Iran avance jusqu’à la capacité de se doter de l’arme atomique, malgré des virus tels que Stuxnet et des sabotages ciblés.

Mais qu’Obama réussisse à empêtrer Israël dans un projet de dénucléarisation régionale semble, par contre, assez impensable. Les Républicains et les gens venus des Tea Parties feront, là encore, entendre leur voix. Et Obama pourra « déplorer » éventuellement : tout juste déplorer.

L’administration Obama, et Obama lui-même, sont déjà allés, au cours des deux années qui viennent de s’écouler, aussi loin qu’ils le pouvaient. Et ils ont suscité l’immense vague de révolte et de défense des principes fondateurs des Etats-Unis qu’a été le soulèvement des Tea Parties, qui, j’en atteste pour avoir eu l’honneur de m’adresser à des assemblées de Tea Parties, fait que se retrouvent des Américains de toute race et de tout milieu, unis par les mêmes convictions.

Quoi qu’ils fassent et quoi qu’ils tentent, l’administration Obama et Obama lui-même pourront aller moins loin encore entre la fin de 2010 et l’automne 2012.

Ce qui se préparera, et ce qui est, en fait, déjà en train de se préparer, c’est l’étape d’après. La prochaine échéance présidentielle.

Obama n’a renoncé à aucun de ses objectifs, certes. Mais l’un de ses objectifs, celui qui va primer sur tous les autres, y compris ses objectifs en politique étrangère, sera sa réélection.

Un Obama réélu serait très dangereux pour Israël et pour la liberté sur Terre, car, ne pouvant postuler pour un troisième mandat, il pourrait alors agir alors sans se préoccuper d’horizons électoraux.

Un Obama battu laisserait dans l’histoire la trace d’un extrémiste qui a voulu briser l’Amérique, mais n’est parvenu qu’à se briser lui-même, et qu’à apparaître comme celui qui a accompli la prouesse, impensable jusque là, de faire pire que Jimmy Carter.

Les Républicains et les Tea Parties sont déjà tournés vers ce qui permettra qu’Obama soit battu en novembre 2012.

L’objectif du gouvernement israélien ne peut être que d’obtenir que l’étreinte exercée par l’administration Obama se relâche, ce qui implique qu’il doive œuvrer pour que ce que souhaitent les Républicains et les Tea Parties devienne une réalité. Le gouvernement Netanyahu est fort bien placé pour opérer dans ce sens.

Les Etats-Unis sont l’allié naturel et logique d’Israël. Ils le redeviendront quand la terrible parenthèse d’aujourd’hui sera pleinement refermée. Si les Démocrates, une fois retournés dans l’opposition, pouvaient en profiter pour réfléchir aux conséquences qui ont découlé du fait de s’être laissé entraîner toujours plus à gauche et vers des positions toujours plus antiaméricaines et antisionistes, ce serait un grand bien. Les Démocrates n’ont pas toujours été ce qu’ils sont aujourd’hui. Rien ne les condamne à rester ce qu’ils sont devenus.
Re: Obama
01 novembre 2010, 03:32
Des centaines de milliers de personnes raillent les tea parties à DC !!
[www.lemonde.fr]

Ou encore comment les Tea Parties ont revigoré les Démocrates dans le Delaware !
[video.ft.com]
Re: Obama
01 novembre 2010, 08:22
C'est tea party témoigne du déclin des USA.

C'est quand même incroyable! Alors que la dette américaine explose et qu'il va falloir préparer les américains à payer plus d'impôts, ceux ci prônent la baisse des impôts!

-----
"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
02 novembre 2010, 03:53
TOUT à FAIT EDIFIANT, DEPUIS QUE CET IMPOSTEUR PRESIDE

à LA MAISON BLANCHE qui essaie vainement de brider la GRANDE

DEMOCRATIE AMERICAINE , MAIS L'AMERIQUE , CONTRAIREMENT

à L'EUROPE SOUMISE ET DEMISSIONNAIRE NE S'EN LAISSE PAS

"CONTER" PAR CE PREDATEUR .

GOD SAVE AMERICA !!!!

GOD BLESS AMERICA !!!!





MEDIA IGNORES YUSUF ISLAM'S APPEARANCE AT STEWART'S RALLY !!!!

Related: Left Nearly Silent on Fatwa-Endorsing Singer‘s ’Sanity’ Rally Performance




GLENN: Now, there is something that the media missed over the weekend that I find fascinating.

PAT: What? The media missed something?

GLENN: The media missed something.

PAT: Hard to believe.

GLENN: On the Jon Stewart rally which, by the way, I thought was an absolute I mean, it was a high school production. It was a high school production, the comedy. And even Jon Stewart. I mean, he said it from stage several times. This didn't work. I mean, it was really bad. Colbert, I thought there were a couple of things

PAT: When he was off stage

GLENN: It was good.

PAT: Everything went pretty well.

GLENN: Yeah. When Jon Stewart was just talking, I thought, okay, this is going to go into you know, this will be good. And then Colbert would come out and it was awful. It was embarrassing.

PAT: It was.

GLENN: I was embarrassed not for Colbert.

PAT: Train wreck.

GLENN: It was beyond it. I was embarrassed for Jon Stewart because he's better than that. And the music was great. I mean, they had really great musical guests and everything else. And the message that Jon Stewart had after the concert was good. I mean, it was very similar to what I said. Just in different, you know, obviously different language. I framed mine in God, but we're better people than what we're allowing ourselves to become. Let's stop being used by, you know, red and blue. And so that was, you know, basically his message. And I think it was a success for him. I think if he wouldn't have given that message, it would have been jump the shark. I think it was jump the shark for Colbert. I don't think Colbert ever recovers from that. Just awful. No, it really was.

STU: It was that bad? I mean

PAT: It really was.

GLENN: You didn't see it?

STU: No.

PAT: Stu, you've got to watch it. It was really

GLENN: Awful.

PAT: It was painful to watch at times.

GLENN: It was awful.

Insider Extreme is the ONLY place Glenn, Stu and Pat will be on Election Night! Complete details...
STU: It was interesting because when we were at the rally, there was a couple of times he said some sort of you know, there wasn't much comedy in our rally obviously but you said a couple of things that were funny and I remember thinking this is a tough convenient now oar comedy. It takes a long time for the voice to get there, it takes

PAT: It wasn't that, though.

GLENN: No, it wasn't that.

PAT: Because it translated fine on TV. You know, good comedy translates on TV.

STU: Sure, yeah, yeah.

PAT: It doesn't at the venue necessarily very but on TV if you are watching it

GLENN: It was awful.

PAT: There was nothing anywhere near approaching anything funny.

GLENN: It was awful.

STU: By Colbert?

GLENN: I really was no, by both of them. When they were both on stage.

PAT: When they were together, it was just a train wreck.

GLENN: They did a song that was, you know, I'm more American than you.

PAT: It was horrible.

GLENN: I mean it was high school I'm not kidding you, it was high school talent show stuff. It was awful.

PAT: We're like, these guys have like 70 writers between them?

GLENN: Yeah.

PAT: This is what you got?

GLENN: It's really I mean, look, I can give somebody kudos. When they do a good job, they do a good job. Jon Stewart, you know, I could nitpick and say he doesn't notice the division that he causes. He just gets away, he gets a pass because he's doing COM did I and yet everybody takes my comedy out of context?

STU: Yeah.

GLENN: It's the same stuff. I could nitpick. But his message was good in the end. And he was good. And the musical guests were good. The production value was good. That thing cost him $5 million had to cost them $5 million. If it cost them a dime, it cost them $5 million, you know, so it was good. The comedy, the actual show was awful. I was praying

PAT: It was.

GLENN: I was praying for the second coming of Christ. I'm like, look, this must be the Tribulation; Christ is coming. Because it was awful.

STU: But the message was good.

GLENN: The message was good. The message and Jon Stewart, much to in his defense, he knew it. He said it on stage.

PAT: Any good comedian would know that.

GLENN: Yeah, we felt bad for him because we're like, he knows. You could tell he knows. It's not working. He just wants to stop right now. Let's stop doing so much damage to our careers.

PAT: He did.

GLENN: He did.

PAT: You could tell. Seriously, yeah.

GLENN: But, you know, his message was good. However, with that being said, one of the things that they did was

PAT: What did you think of the message?

GLENN: It was good.

PAT: It was good? Okay.

GLENN: What they did that the media missed was they brought Yusuf Islam on stage. Now, do you know what that is?

STU: It's Cat Stevens?

GLENN: Cat Stevens. Cat Stevens did Peace Train. And then he went Muslim. Which, I don't have a problem, you go Muslim. But they brought on Yusuf Islam. Now, you'll notice here in the introduction, something is missing in the introduction. Here it is.

VOICE: We'll do the trick that could express some emotions that are difficult for us to express with words. Ladies and gentlemen, there's a very special person that I have asked to come here today and he has traveled an awfully long way to sing a song especially for you. You knew him as Cat Stevens.

GLENN: Okay, nobody in the audience knows Cat Stevens.

VOICE: His melodies have inspired millions of us to be better people. Ladies and gentlemen, Joseph, or as it is also pronounced, Yusuf.

GLENN: Yusuf what, Yusuf who? He's not Madonna.

PAT: Not anymore, that's for sure.

GLENN: He's Yusuf Islam. Okay. And that is just and maybe he just got I don't know. Maybe he forgot that his last name was Islam and he thought he was Madonna, or Elvis. I don't know. But that was a little odd. But here's the problem with Yusuf Islam. He's been on a no fly list. Now, you can say that it was for this or for that. But here's the truth in Yusuf Islam's own words: When Salman Rushdie had a fatwa on him because he wrote the Satanic Verses, a book, Yusuf Islam wanted him killed. In his own words this is from the BBC if I'm not mistaken, back in the day. Listen to Yusuf Islam.

(Audio playing).

GLENN: This is the interviewer.

(Audio playing)

VOICE: by taking their food between sunrise and sunset.

PAT: Now, he's setting up the question he's about to ask to Yusuf Islam who's part of this panel.

(Audio playing).

VOICE: You've completed your fourth prayer of the day. Time for supper? You go to eat at a little hallow restaurant near your Islamic center in Islington. As you're halfway through your meal, you suddenly recognize a man at a nearby table. He is an author. His name is Salman Rushdie. What do you do?

STEVENS: Depends on my mood that evening. I may concentrate more on my meal, I may concentrate on them. I can't answer that very clearly.

VOICE: You don't think that this man deserves to die?

STEVENS: Who? Salman Rushdie? Yes, yes.

PAT: Yes, he does.

VOICE: And do you have a duty to be his executioner?

STEVENS: No, not necessarily, unless we were in an Islamic state and I was ordered, say, by the judge or by the authority to carry out such an act, yes.

GLENN: Fatwa.

VOICE: Yes. Gets on the front page of the Independent. Weeks later nothing has happened. The book is still in stock. Behold, come to you and say we want to hold another demonstration, march to the town hall. This time we're going to burn an effigy. An effigy of the author. Is that all right?

STEVENS: We are going to be questioning the motives because it

PAT: This is a police officer now in England answering this question.

GLENN: But listen to Yusuf's answer about burning an effigy.

VOICE: We're going to peacefully club the effigy to death?

STEVENS: I would be looking at the demonstrations itself. I would be looking what a position has been

GLENN: So now we're going to burn it or club it.

VOICE: Would you go to a demonstration where you knew that an effigy was going to be burned?

VOICE: I would have hoped it would be the real thing but, actually, no, if it's just an effigy, I don't think I would be that moved to go.

PAT: Wow.

GLENN: So there's your Peace Train, holy roller.
gyl
Re: Obama
02 novembre 2010, 04:02
L'objectif de l'intervention de ce converti ,prêt à mettre en application la fatwa de Khomeiny en assassinant salman rushdie est de rallier les musulmans americains à la politique d'Obama : Promouvoir l'apprentissage de l'Islam le plus rapidement possible.
Re: Obama
02 novembre 2010, 04:23
GYL,

Leurs projets funestes seront réduits à néant avec le rejet , par le grand peuple AMERICAIN , de

ce président dont la principale stratégie depuis son élection , a été , de manoeuvrer au plus vite ,

pour islamiser l'AMERIQUE ,

N'a t-il pas eu l'impudence de déclarer dans son discours au Caire que :

"L 'AMERIQUE ETAIT LE PAYS MUSULMAN LE PLUS GRAND DE LA PLANETE"

ou encore que :

" L'AMERIQUE N'ETAIT PLUS UN PAYS CHRETIEN "

Mais , ce grand menteur égocentique a sous-estimé le patriotisme de ce peuple exemplaire ,

attaché à l'esprit et à l'idéologie de ses PERES FONDATEURS et qui va lui infliger une

déculottée bien méritée .
Re: Obama
02 novembre 2010, 04:37
Ces posts ressemblent à des mauvaises parodies de films d'horreur grinning smiley

Voici une chronique intéressante de JM Vittori sur les Echos. Bon on connait les français, ils aiment s'identifier aux autres et qu'on s'identifie à eux mais cette chronique mérite tout de même d'être lue (par des esprits analytiques bien entendu, et non par les conteurs de fables) :

Les démons français de l'Amérique

L'Amérique souffre, et cette souffrance va bien s'exprimer aujourd'hui dans les urnes. Le président Barack Obama va y perdre sa majorité parlementaire. Ce n'est pas très difficile de savoir pourquoi : il n'a pas réussi à faire repartir l'emploi.

Depuis l'été 2009, un actif sur dix est au chômage, un taux qui n'a jamais été aussi élevé aussi longtemps depuis les années 1930. Or, l'Amérique est accro à la « job creation », la création d'emploi. C'est l'objectif premier de la politique économique, bien plus qu'en Europe. Il figure même parmi les missions de la banque centrale, aux côtés des taux d'intérêt bas et de la stabilité des prix.

Barack Obama ne saurait être accusé d'avoir causé le chômage. Sa responsabilité ici se limite à avoir répété aux Américains, en 2008, que « yes we can », oui nous pouvons sortir vite de cette ornière. Le mal est plus profond. Il y a quelque chose de cassé dans la « job machine », au-delà du scénario de la reprise sans emploi (déjà vu au début des années 2000). Quitte à passer pour un noircisseur de tableau, n'hésitons pas à le dire : en la matière, l'Amérique commence à ressembler à la France. Pas seulement parce que la proportion de sans-emploi y est aussi élevée pour la première fois depuis plus d'un quart de siècle. Mais aussi parce que le chômage y devient structurel.

Plus de 6 millions d'Américains sont sans emploi depuis plus de six mois, soit 42 % du total. Alors que la moyenne de la dernière décennie se situait entre 15 et 20 %, le poids actuel se rapproche de celui de la France, qui est de 60 %. Autre signe : le nombre de salariés travaillant moins qu'ils le souhaiteraient a doublé en deux ans pour dépasser les 9 millions -soit une proportion plus forte qu'en France, où cette situation concerne uniquement 1,3 million d'actifs.

Le bouleversement du marché américain du travail vient de la crise financière, qui en a brisé un ressort essentiel : la mobilité, considérée jusqu'à présent comme une grande supériorité de l'Amérique sur l'Europe. C'était « l'effet baluchon » : quand la crise touchait une ville, ses habitants mis sur le carreau partaient s'installer ailleurs, là où il y avait de l'embauche. Cette tradition d'un pays de migrants a perduré au fil des décennies, le baluchon devenant camion de déménagement. Mais, aujourd'hui, le candidat au départ a un problème majeur : il ne peut plus vendre sa maison. Il ne peut donc pas plus en racheter une autre ailleurs. Il est « collé », comme on dit en Bourse.

Du coup, la mobilité est entravée, comme elle l'est à l'intérieur de la France (avec notamment des droits de mutation qui font plus de 5 % du prix d'une maison, rendant coûteux le déménagement) ou de l'Europe (avec la barrière des langues). D'où un résultat spectaculaire : les taux de chômage deviennent très différents d'un Etat à l'autre. Le Nevada (où est Las Vegas) compte 14 % de chômeurs, le Michigan 13 %, la Floride et la Californie 12 %, tandis que les deux Dakotas et le Nebraska sont au plein-emploi, à moins de 5 %. Un écart bien plus grand qu'en France, où les taux vont de 8 % dans l'Ile-de-France et le Limousin à 13 % dans le Nord - Pas-de-Calais.

L'emploi n'est pas le seul domaine où l'Amérique semble copier les travers français. Il se passe exactement la même chose… dans le crédit aux PME. Antan, les banquiers américains établissaient les taux d'intérêt des prêts aux entreprises en fonction de leur qualité de crédit, tandis que les Français les fixaient en fonction de la taille de l'entreprise.

Des études très précises avaient mis en évidence cet écart. Mais les banquiers américains ont perdu ce savoir-faire. Etranglés par leurs folies passées, ils ont drastiquement réduit leurs engagements. Depuis début 2009, l'encours de leurs crédits aux entreprises a baissé de 400 milliards de dollars ! Les grandes entreprises comme Microsoft ou Goldman Sachs vont lever des fonds directement sur les marchés. Le petit labo pharmaceutique de Carson City, lui, est menacé d'asphyxie financière. Comme la PME de mécanique de Bourg-en-Bresse.

Bien sûr, l'Amérique garde d'autres atouts -des universités puissantes, l'émission de la monnaie mondiale, une démographie tonique, une énorme capacité d'innovation et surtout un formidable esprit entrepreneurial. Mais la crise montre que ses atouts sont fragiles. Elle pourrait bien finir par souffrir des mêmes maux que l'Europe. Catastrophe !

[www.lesechos.fr]
gyl
Re: Obama
02 novembre 2010, 06:07
Exilée
Les université americaines,vivier de l'innovation et de la recherche,sont gangrenéees par les organisations islamiques,qui sont obnubilées par leur combat ideologique.Combat qui entraine la disparition du dialogue constructif axé sur sur le developpement industriel et commercial commun,et se focalise sur l'opposition systematique à Israel et l'expression de slogans et de discours reducteurs.Il ne s'agit d'une lutte contre le delabrement de l'economie,mais pour la victoire de l'Islamisme sur la democratie americaine,mise à mal par l'ambiguité du programme politique d'Obama.

Si le pronostic d'une reprise en main republicaine se confirme,il faudra commencer par juguler cette guerilla pour remettre la jeunesse americaine à sa place,celle du renouveau et du travail.Mais l'obssession capitularde d'Obama
sa difficile à combattre.Elle s'appuie sur des forces occultes etrangères qui ne sont pas disposées à lâcher cette proie.
Surtout que nombre de secteurs strategiques sont déjà entre leurs mains.
Re: Obama
02 novembre 2010, 06:11
J'ai passé quelques temps dans une université américaine, et j'ai des amis à Harvard, Columbia, Berkeley, MIT, UCLA, NYU et j'en passe. On ne m'a jamais fait écho de gangrène. Sûrement qu'elle existe seulement dans le bulbe atrophié de certains intervenants qui n'y ont jamais posé les pieds et qui bavent sur ce qu'ils n'ont jamais eu les moyens d'approcher.
Re: Obama
02 novembre 2010, 06:37
Wolf,

L'age apporte la sagesse, la pensée et l'érudition chez certains.

Chez d'autres, l'aigreur, le repli intellectuel et moral, et l'ignorance émerge et finit par tuer la pensée et annihile la sagesse.

-----
"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
gyl
Re: Obama
02 novembre 2010, 07:53
Les vidéos des manifestations racistes anti-israeliennes à la limite de l'anti-judaisme sont assez instructives sans qu'il soit necessaire d'être présent dans les universités americaines.Mais si mon propos permet à des fanfarons de faire état d'une formation universitaire,leurs reponses prouve que cette formation n'a pas reussi à les faire evoluer vers une attitude civilisée et polie .Dommage mais normal dans leur cas.
Re: Obama
02 novembre 2010, 08:00
GYL,

Cette gangrène islamique s'est infiltrée dans tous les campus universitaires aussi bien

américains que prés de chez nous, il est vrai que ce phénomène en Amérique a été

OURDI et PROPULSE par baraq hussein obababouche , président , venu de nulle part,

qui a financé cette machination afin de faciliter son plan de désagrégation de la société

AMERICAINE .

Le retour des REPUBLICAINS METTRA FIN à SON PLAN DIABOLIQUE



Une analyse d'un journaliste arabe dénonce courageusement cette catastrophe !

A DIFFUSER LARGEMENT











l’ambiance pro-palestinienne des campus américains

Un journaliste arabe dénonce l’ambiance pro-palestinienne des campus américains

L’auteur est un journaliste arabe israélien de haut niveau, attaché au "Jérusalem Post». Il ne fait pas mystère de son appréciation de la démocratie israélienne ce qui lui vaut souvent d’être perçu comme un traître, par les Palestiniens irrédentistes. A propos de son texte publié sur le site Hudson New York, on lira, avec intérêt, que dans son article dont nous indiquons le lien, ci-après (1), que Khaled Abu Toameh dénonce le véritable ordre du jour pro palestinien sur certains campus américains.

"A l’occasion de quelques récentes visites de campus universitaires des Etats-Unis, j’ai découvert qu’on y trouve davantage de sympathie pour le Hamas qu’à Ramallah.

En écoutant certains étudiants et professeurs sur ces campus, j’ai eu un moment l’impression que j’étais face à des porte-parole du Hamas ou à des candidats à l’attentat suicide.

On m’a dit, par exemple,

· Qu’Israël n’a pas le droit d’exister ;
· Que le "régime d’apartheid" d’Israël est pire que celui qui a sévi en Afrique du Sud ;

· Et que l’Opération "Plomb Fondu" a été lancée parce que le Hamas commençait à montrer des signes d’intérêt pour l’instauration de la paix, et non [comme le prétend Israël] à cause des missiles que le mouvement islamique lançait sur les communautés israéliennes.


On m’a dit également que le haut dirigeant du Fatah, Marwan Barghouti, qui purge cinq peines de prison à vie pour avoir conçu et organisé des attentas terroristes contre des civils israéliens, a été mis derrière les barreaux uniquement parce qu’il s’efforçait de promouvoir la paix entre les Israéliens et les Palestiniens.

De plus, on m’a dit que tout ce que l’on raconte sur la corruption financière de l’Autorité Palestinienne est de la "propagande sioniste", et que Yasser Arafat a fait des choses magnifiques pour son peuple, dont la création d’écoles, d’hôpitaux et d’universités.

La bonne nouvelle, c’est que ces remarques n’étaient le fait que d’une minorité de gens sur les campus, qui se définissaient eux-mêmes comme "pro Palestiniens", quoique l’écrasante majorité d’entre eux n’étaient ni Palestiniens, ni même Arabes, ou musulmans.

La mauvaise nouvelle, c’est que ces groupes d’activistes/voyous intransigeants tentent d’intimider quiconque ose dire des choses qu’ils n’aiment pas entendre.

Les lobbyistes "pro Palestiniens" autoproclamés étant incapables de contester les faits présentés par un orateur, ils recourent au harcèlement verbal.

Par exemple, j’ai été traité d’"idiot" sur un campus pour avoir dit qu’une majorité de Palestiniens avaient voté pour le Hamas aux élections de janvier 2006, parce qu’ils en avaient soupé de la corruption financière de l’Autorité Palestinienne.

Sur un autre campus, j’ai été baptisé de "porte-parole des sionistes" pour avoir dit qu’Israël a une presse libre. Et dans un autre, quelqu’un m’a dit que j’étais un "menteur" parce que j’avais affirmé que Barghouti avait été condamné à cinq peines de prison à vie en raison de son rôle dans le terrorisme.

Et puis, il y a eu le campus (de Chicago), où j’ai été accueilli avec des croix gammées peintes sur des posters qui annonçaient ma conférence. Bien entendu, ceux qui avaient fait cela se sont bien gardés d’assister à ma causerie, incapables qu’ils étaient de contredire quelqu’un [comme moi] qui travaille cette question depuis près de 30 ans.

Ce qui m’a le plus frappé est le fait que beaucoup de ceux que j’ai rencontrés sur le campus soutenaient le Hamas et croyaient en son droit de "résistance à l’occupation", même si cela impliquait de déchiqueter des enfants et des femmes dans un bus au centre de Jérusalem.

Je n’avais jamais imaginé que j’aurais besoin de protection policière pour parler dans une université américaine. Je suis allé sur de nombreux campus palestiniens, en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza, et je ne me souviens pas d’un seul cas d’intimidation ou de harcèlement verbal à mon encontre.

Ironie de l’affaire, les nombreux Arabes et musulmans que j’ai rencontrés sur les campus faisaient preuve de beaucoup plus de compréhension de mes "analyses impartiales", auxquelles ils faisaient même bon accueil. Après tout, les vues que j’exprimais n’étaient pas très différentes de celles des dirigeants tant d’Israël que de l’Autorité Palestinienne. Ces vues incluent le soutien à une solution à deux Etats et l’idée de coexistence entre Juifs et Arabes dans cette partie du monde.

Ce qu’on appelle la "junte" pro-palestinienne sur les campus, n’a rien d’autre à offrir que la haine et le dénigrement de la légitimité d’Israël. Si ces gens se souciaient vraiment des Palestiniens, ils feraient campagne pour une bonne gouvernance et pour la promotion des valeurs de la démocratie et de la liberté en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.

Leur haine d’Israël et de ce qu’il défend les a aveuglés au point qu’ils ne se préoccupent plus des véritables intérêts des Palestiniens, à savoir : la nécessité de mettre fin à l’anarchie et à l’illégalité, et de démanteler toutes les bandes armées qui sont responsables de la mort de centaines de Palestiniens innocents, au cours des quelques années écoulées.

La majeure partie de ces militants admettent ouvertement qu’ils n’ont jamais visité Israël ni les territoires palestiniens. Ils ne savent pas – et ne veulent pas savoir – qu’ici, Juifs et Arabes commercent, étudient ensemble, et se rencontrent chaque jour, parce qu’ils sont destinés à vivre ensemble dans cette partie du monde. [Ces gens] ne veulent pas entendre dire que, malgré tous les problèmes, la vie continue et que des parents arabes et juifs ordinaires qui se lèvent le matin, veulent seulement envoyer leurs enfants à l’école et aller au travail, puis revenir chez eux en toute sécurité et pacifiquement.

Ce qui se passe sur les campus américains n’a pas pour but de soutenir les Palestiniens, mais bien plutôt de susciter la haine envers l’Etat juif. Il ne s’agit pas du tout de mettre fin à l’"occupation", mais bien plutôt de mettre fin à l’existence d’Israël.

De nombreux dirigeants de l’Autorité Palestinienne et du Hamas, avec lesquels je me suis entretenu dans le cadre de mon travail de journaliste, donnent l’impression d’être beaucoup plus pragmatiques que la plupart des anti-Israéliens et pro Palestiniens des campus [américains].

Au long des 15 années écoulées, on a beaucoup écrit et dit à propos du fait que les manuels scolaires palestiniens ne promeuvent ni la paix ni la coexistence, et que les médias palestiniens publient souvent du matériau hostile à Israël.

Bien que cela soit vrai, il ne faut pas ignorer le fait que les campagnes anti-Israël, qui ont lieu dans les campus américains, ne sont pas moins dangereuses. Ce qui s’y passe n’entre pas dans le cadre de la liberté d’expression. Il s’agit plutôt de la liberté de semer la haine et la violence. Aussi, nous ne devrons pas être surpris que la prochaine génération de djihadistes soit issue non de la bande de Gaza, ou des montagnes et des mosquées du Pakistan et de l’Afghanistan, mais des campus universitaires de tous les Etats-Unis.


Khaled Abu Toameh
Re: Obama
02 novembre 2010, 08:15
Sauf surprise, les candidats Tea party devraient remporter les élections.

Ca va ralentir considérablement les réformes nécessaires aux USA, puisque l'opposition républicaine est incapable d'avoir des idées et axe tout sur la baisse des impôts!

Extrêmement inquiétant.

-----
"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






DAFINA


Copyright 2000-2024 - DAFINA - All Rights Reserved