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Obama

Envoyé par felixabenhaim 
gyl
Re: Obama
02 novembre 2010, 08:16
Exilée,
J'anticipe les réponses des jeunes et talentueux islamistes:

Ce Khaled abu toameh est un debile mental,traitre ,ignorant,menteur,vendu,incompétent !!!!!!
Re: Obama
02 novembre 2010, 08:39
Ça fait un moment que je ne lis plus les logorrhées démentielles de certain(e)s intervenant(e)s. Anticipation ratée smiling smiley
Re: Obama
02 novembre 2010, 09:17
Je trouve même très bien qu'il y ait des personnalités comme lui qui prenne la position qu'ils veullent smiling smiley

Quand on est démocrate, on pense que chacun a le droit d'avoir des positions politiques libres et de pouvoir les exprimer.

-----
"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
02 novembre 2010, 09:30
GYL,

Nous sommes accoutumés à ces "péroraisons" , ils ont l'indignation sélective ,

et toujours , dirigée contre notre cher pays ISRAEL.

Ils devraient commencer par balayer devant leurs portes , il y a beaucoup à faire

dans tous ces régimes totalitaires , avant de pouvoir se comparer à la

GRANDE DEMOCRATIE ISRAELIENNE.
Re: Obama
03 novembre 2010, 02:21
La Bérézina annoncée des démocrates est finalement relative smiling smiley
Ils perdent la chambre des représentants, plusieurs gouverneurs mais maintiennent une majorité au Sénat.
Ils arrivent même à prendre aux républicains la place de gouverneur de Californie, plus grand Etat américain smiling smiley

Le nouveau majority leader républicain semble être quelqu'un d'ouvert.

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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
gyl
Re: Obama
03 novembre 2010, 10:03
Le representant de la Floride,ami inconditionnel d'Israel



"

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Re: Obama
05 novembre 2010, 23:57
Steve Bridges imitated George Bush on the Jay Leno Show during the entire eight years he was president. He was made up to look and act almost exactly like Bush. He has now started imitating Obama and REALLY does it right. The Administration has tried to put a stop to Bridges' act because Obama has made it known that he is deeply offended. Obama is the thinnest skinned President to ever hold the office. It won't be long until he starts personally attacking Bridges, just like he has attacked everybody else that dares to disagree with him.



There are many other clips provided here.

Funny! Funny!


Click [www.stevebridges.com] [www.stevebridges.com]
Re: Obama
06 novembre 2010, 13:40
Palestine : le plan de paix secret d’Obama
vendredi 5 novembre 2010, par Obama, par Plan De Paix

Le président des Etats-Unis veut imposer à Jérusalem les futures frontières de l’Etat palestinien et négocier avec Netanyahou au nom des Palestiniens.

Le parti conservateur américain devrait remporter haut la main les élections de mi-mandat. Les Israéliens peuvent-ils s’en réjouir ? Ils n’ont pas une affection particulière pour Barack Obama qu’ils accusent de favoritisme à l’égard des Arabes. La propension de certains commentateurs politiques de l’affubler de son deuxième prénom, Hussein, en dit long sur le niveau des arguments employés. En Israël, on lui reproche, en vrac, d’être allié des islamistes, de s’acharner sur le gouvernement Netanyahou pour le faire tomber, de prendre position contre les implantations de Cisjordanie, de se prêter au jeu de l’Iran et, enfin, de laisser la Turquie tomber vers l’islamisme.



Plus grave encore, Jérusalem reproche au président américain d’avoir cherché une nouvelle doctrine au Proche-Orient et de vouloir faire bouger des lignes politiques figées depuis 60 ans. Sa politique prudente à l’égard de l’Iran n’est pas comprise car, de délais en reports de décision, le programme d’armement nucléaire iranien poursuit son chemin. Les nationalistes le suspectent de bloquer les décisions militaires du gouvernement israélien et l’état-major est accusé de mollesse par tous ceux qui veulent en découdre avec les mollahs. Les faucons estiment d’ailleurs que le nouveau chef de Tsahal, qui prendra ses fonctions en février 2011, a été choisi pour satisfaire l’aile dure de la coalition au pouvoir.

Mais les Israéliens s’inquiètent encore plus du « plan secret » qu’Obama aurait l’intention d’imposer dans la région. Les grandes lignes de ce schéma de paix commencent à être connues. L’idée principale est d’imposer aux Israéliens les futures frontières de l’Etat palestinien. Pour parvenir à ses fins, Obama veut sortir de son rôle d’intermédiaire pour se transformer, auprès des Israéliens, en négociateur direct mandaté par l’Autorité palestinienne.

Solution imposée

Ce plan a été dévoilé par le vice-président Joe Biden lors de sa visite en Israël en mars 2010 et confirmé depuis à plusieurs reprises par l’envoyé spécial de la Maison Blanche au Proche-Orient Georges Mitchell à chacune de ses rencontres avec les dirigeants israéliens. Officiellement, Joe Biden était venu transmettre le veto américain à une aventure militaire israélienne contre l’Iran. Il avait été chargé également d’exposer un projet qui n’avait d’avenir que dans une région pacifiée, sous-entendu sans guerre. Le problème des constructions en Cisjordanie a certes été abordé, mais il n’est pas la cause principale de l’inquiétude du gouvernement israélien. En revanche, le plan très élaboré d’Obama a plongé dans la stupeur les dirigeants israéliens qui n’avaient alors trouvé comme seule parade que d’humilier le vice-président.

Le projet a été présenté au président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, qui ne s’y est pas opposé. Il est de toute façon trop affaibli politiquement et trop isolé pour rejeter une telle opportunité. Les Américains l’ont convaincu qu’un accord sur des frontières définitives est primordial pour débloquer les autres problèmes épineux, à savoir la question des réfugiés palestiniens et celle de Jérusalem. Mahmoud Abbas a aussi obtenu des assurances américaines qu’Israël ne pourrait pas refuser la proposition sans mettre en danger son économie et sa sécurité. Barack Obama est décidé, en cas de refus, à prendre des mesures coercitives telles que la suppression de garanties financières américaines, la fermeture du marché américain et l’embargo sur la fourniture d’armement.

Ce plan a aussi été exposé à Nicolas Sarkozy lors de sa visite à Washington en mars 2010 et il semble qu’il l’ait approuvé. La chancelière allemande, Angela Merkel, et le Premier ministre espagnol, Jose Luis Rodriguez Zapatero, ont été aussi mis dans la confidence.

Un plan en plusieurs phases rapprochées

Israël se retirerait sur les frontières de 1967, corrigées par la cession par les Palestiniens de 4% de leur territoire en Cisjordanie. Les contours de cette cession ne sont pas précisés, mais ils feraient l’objet d’une négociation tripartite. Les Américains se sont inspirés des négociations engagées entre Mahmoud Abbas et Ehud Olmert lorsque ce dernier était Premier ministre. Ehud Olmert s’était engagé à un accord sur la base du maintien de 6% de la Cisjordanie dans le giron israélien. Ce pourcentage incluait les parties juives de Jérusalem-est et plusieurs implantations importantes. Cette proposition avait été repoussée par les Palestiniens qui n’acceptaient de ne céder que 2%.

Jérusalem-est reviendrait au nouvel Etat palestinien à l’exception des quartiers juifs qui resteraient sous contrôle israélien. Les Palestiniens et les Israéliens partageraient la souveraineté du Mont du Temple sous l’égide d’un comité chapeauté par le Vatican. Le président américain veut imposer un délai de quatre mois pour la fixation définitive des frontières qui donnera le signal à la création d’un Etat palestinien indépendant.

La conséquence immédiate serait alors l’évacuation de 140.000 habitants israéliens de Cisjordanie, la moitié de ceux qui y résident. L’évacuation complète de l’implantation d’Ariel a été exigée par Mahmoud Abbas qui a prévenu le vice-président américain qu’aucun accord ne pourra être signé sans le transfert à l’Etat de Palestine de cette ville nouvelle de 20.000 habitants qui vient de se doter d’une université. Le choix d’une autre ville à évacuer, Maale Adoumim ou Efrat, est laissé à l’appréciation du gouvernement israélien.

Restructuration de l’Etat d’Israël

Le projet prévoit l’évacuation des juifs de Cisjordanie dans un délai de quatre mois. Cela s’annonce particulièrement compliqué. L’évacuation de Gaza a pris quelques jours, mais il ne s’agissait à l’époque que de 8.500 colons et cela ne s’était pas fait sans heurts.

Le président américain n’a pas l’intention de s’arrêter en chemin puisque, aussitôt ce plan mis en application, il a l’intention de résoudre dans la foulée le problème du Golan qui devrait être restitué pour satisfaire les demandes syriennes. Reste encore à faire venir les deux parties à la table des négociations.

Benjamin Netanyahou ne va pas se faire forcer la main comme cela. Il défend bec et ongles ses principes de sécurité qui ne sont pas pris en considération par le plan d’Obama. La stratégie de défense du ventre mou du pays, large d’une quinzaine de kilomètres au centre d’Israël, est articulée autour de trois villes (voir la carte ci-jointe) : Ariel, Maaleh Adoumim près de Jérusalem et Efrat au sud de la Cisjordanie. L’évacuation imposée de deux d’entre elles nécessiterait une réorganisation militaire presque impossible dans un délai aussi court. La ville d’Ariel a été conçue pour prévenir une attaque de Tel-Aviv par l’est. Maale Adoumim est le bouclier de Jérusalem tandis qu’Efrat, la capitale du Gush-Etsion, protège la région sud du pays.

D’autres implantations importantes pour la sécurité devront être évacuées : Elkana (4.000 habitants) au nord d’Ariel, Alfé Ménaché (7.000) au sud de Qalquilya, Emmanuel (3.000) au centre, et Modiin-Ilit (10.000) à quelques encablures de l’aéroport Ben Gourion.



Ce plan très ambitieux manque de réalisme quand il prévoit des déplacements de populations en quatre mois et une réorganisation militaire en moins de deux ans. Mais compte tenu de l’élection présidentielle américaine, Obama veut imposer la date butoir de fin 2011 pour la réalisation de son projet.

Il est clair que Jérusalem freinera avec le souvenir douloureux des conséquences de l’évacuation de Gaza de 8.500 personnes qui ont créé une scission au sein du gouvernement israélien et des partis politiques et ont grevé le budget de l’Etat pour un montant de 13 milliards de dollars.

Le gouvernement israélien compte sur ses alliés aux Etats-Unis pour convaincre Obama de faire marche arrière. Certains conseillers à la Maison-Blanche sont convaincus de la dangerosité d’un tel projet. Le conseiller de Barack Obama pour la Sécurité nationale, le général James Jones, a démissionné car il a pris ombrage de ne pas avoir été consulté. Il se dit également que la démission du secrétaire de la Maison Blanche, Rahm Emanuel, d’origine israélienne, officiellement pour briguer la mairie de Chicago, serait liée à ce plan. Dennis Ross, conseiller du président pour le Proche-Orient, opposé à une solution aussi rapide et contraignante, a été la cible du site Politico qui l’a accusé de double allégeance : « Il semble très sensible à la politique de la coalition de Netanyahou. »

Les Israéliens misent sur la défaite d’Obama aux élections de midterm pour l’affaiblir suffisamment pour qu’il soit contraint de renoncer à un projet qu’ils jugent irréaliste et dangereux. Les révélations distillées sur l’existence plan au moment même des élections américaines visent clairement à le torpiller en mobilisant les alliés traditionnels de Jérusalem.
Re: Obama
11 novembre 2010, 14:53
L'échec d'Obama et la Gauche "de droit divin"

Par Raphaël DRAI

La défaite de Barack Obama lors des élections dites de « mi- mandat » est certainement imputable à ses échecs en politique intérieure, au décalage de plus en plus criant entre son image et ses messages de la fin 2008, d’une part, et les réalités économiques de l’année 2010 d’autre part. Cette défaite marque également le désaveu de sa politique au Moyen Orient et du choix fait, il y a deux ans, d’une stratégie de pression contre l’Etat d’Israël.

Après un moment d’incrédulité et une phase de flottement, le gouvernement légitime de Benjamin Netanyahou ne s’est pas laissé impressionner. Il y a résisté, ayant compris que le danger venait de la vision purement idéologique nourrie par le président américain fraîchement élu au regard d’autres réalités, celles complexes et virulentes de cette partie du monde.

Pareille cuisante défaite signe également l’échec de la tentative de division des organisations juives américaines, tentative à l’enseigne de J- Street avec sa succursale européenne à l’enseigne de J- Call.

Il s’agit d’en tirer les leçons, au lieu de s’acharner au soviétisme terminologique, si ce n’est au ressentiment, comme vient de s’y exposer une nouvelle fois l’ancien Ambassadeur d’Israël à Paris, Elie Barnavi.

Dans une contribution à l’édition du 1er novembre de Marianne, reprise sur le site du CRIF – dont on se demande si c’est bien sa mission de se prêter à cette guerre verbale –il croit devoir lier ses considérations sur le sort des chrétiens d’Orient à l’action de ce qu’il nomme les colons fanatisés, à Jérusalem et ailleurs.

Au fond, l’ancien ambassadeur de l’Etat d’Israël en France est capable de dénoncer tous les fanatismes sauf celui dont il ne cesse de faire preuve.

Ce fanatisme, heureusement verbal, est celui d’une « gauche », imaginaire ou présumée, dont la représentativité électorale se réduit de plus en plus.

Cette gauche-là qui appelle, avec David Grossman, à fronts renversés, au boycott de citoyens israéliens et dans laquelle il n’est pas sûr que ni Léon Blum ni Aaron David Gordon se reconnaîtraient, est incapable d’admettre ses excès, ses échecs et de se déjuger.

Elle bénéficie de l’écho disproportionné qui est le sien dans de nombreux médias pour une seule raison, hautement problématique :

elle parle comme souhaitent qu’elle parle ceux pour qui le sionisme confine à l’Apartheid, et qui rêvent de déposséder le peuple juif de sa capitale.

Il faut en même temps reconnaître que cette gauche n’est pas la seule en Europe à nourrir ce désir politico – théologique d’un autre âge :

le gouvernement britannique du conservateur et rétrograde David Cameron, avec son impayable ministre des Affaires étrangères, n’est pas en reste.

L’Histoire juive en a vu et en a entendu d’autres.

Pas plus que l’idée de socialisme n’est le monopole d’une telle gauche, le sens de cette Histoire ne sera dicté par l’antisionisme, ni par le post-sionisme.

Et, comme à Rome, il y a quelques semaines, ils seront de plus en plus nombreux , Juifs ou non, à le faire savoir
Re: Obama
11 novembre 2010, 14:53
L'échec d'Obama et la Gauche "de droit divin"

Par Raphaël DRAI

La défaite de Barack Obama lors des élections dites de « mi- mandat » est certainement imputable à ses échecs en politique intérieure, au décalage de plus en plus criant entre son image et ses messages de la fin 2008, d’une part, et les réalités économiques de l’année 2010 d’autre part. Cette défaite marque également le désaveu de sa politique au Moyen Orient et du choix fait, il y a deux ans, d’une stratégie de pression contre l’Etat d’Israël.

Après un moment d’incrédulité et une phase de flottement, le gouvernement légitime de Benjamin Netanyahou ne s’est pas laissé impressionner. Il y a résisté, ayant compris que le danger venait de la vision purement idéologique nourrie par le président américain fraîchement élu au regard d’autres réalités, celles complexes et virulentes de cette partie du monde.

Pareille cuisante défaite signe également l’échec de la tentative de division des organisations juives américaines, tentative à l’enseigne de J- Street avec sa succursale européenne à l’enseigne de J- Call.

Il s’agit d’en tirer les leçons, au lieu de s’acharner au soviétisme terminologique, si ce n’est au ressentiment, comme vient de s’y exposer une nouvelle fois l’ancien Ambassadeur d’Israël à Paris, Elie Barnavi.

Dans une contribution à l’édition du 1er novembre de Marianne, reprise sur le site du CRIF – dont on se demande si c’est bien sa mission de se prêter à cette guerre verbale –il croit devoir lier ses considérations sur le sort des chrétiens d’Orient à l’action de ce qu’il nomme les colons fanatisés, à Jérusalem et ailleurs.

Au fond, l’ancien ambassadeur de l’Etat d’Israël en France est capable de dénoncer tous les fanatismes sauf celui dont il ne cesse de faire preuve.

Ce fanatisme, heureusement verbal, est celui d’une « gauche », imaginaire ou présumée, dont la représentativité électorale se réduit de plus en plus.

Cette gauche-là qui appelle, avec David Grossman, à fronts renversés, au boycott de citoyens israéliens et dans laquelle il n’est pas sûr que ni Léon Blum ni Aaron David Gordon se reconnaîtraient, est incapable d’admettre ses excès, ses échecs et de se déjuger.

Elle bénéficie de l’écho disproportionné qui est le sien dans de nombreux médias pour une seule raison, hautement problématique :

elle parle comme souhaitent qu’elle parle ceux pour qui le sionisme confine à l’Apartheid, et qui rêvent de déposséder le peuple juif de sa capitale.

Il faut en même temps reconnaître que cette gauche n’est pas la seule en Europe à nourrir ce désir politico – théologique d’un autre âge :

le gouvernement britannique du conservateur et rétrograde David Cameron, avec son impayable ministre des Affaires étrangères, n’est pas en reste.

L’Histoire juive en a vu et en a entendu d’autres.

Pas plus que l’idée de socialisme n’est le monopole d’une telle gauche, le sens de cette Histoire ne sera dicté par l’antisionisme, ni par le post-sionisme.

Et, comme à Rome, il y a quelques semaines, ils seront de plus en plus nombreux , Juifs ou non, à le faire savoir
Re: Obama
16 novembre 2010, 07:24
DESAVEU CUISANT ET SANS APPEL DE LA POLITIQUE du

PIRE PRESIDENT DES USA

hussein baraq obama !!!





Paysage après la bataille électorale (info # 011611/10) [Analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency

Deux semaines se sont écoulées depuis les élections de mi-mandat aux Etats-Unis. Les derniers bulletins ont été comptés. Le moment d’une analyse à même de prendre en compte l’ensemble des facteurs impliqués est arrivé, avec lui, celui des explications.

Le premier point devant être souligné est qu’il y a eu un rejet sans appel de la gestion menée par le Congrès sortant, par l’administration Obama, et, surtout, par Barack Obama lui-même.

Toute tentative d’exonérer Obama et de dire qu’il s’est agi uniquement d’un désaveu de la Chambre des Représentants ou du Sénat serait hors sujet. Obama a disposé, depuis janvier 2009, des pleins pouvoirs. Le peuple américain le sait, et a voté en le sachant.

La défaite a bel et bien été celle d’Obama, et toutes les enquêtes d’opinion l’indiquent. Elle a incarné un refus de ce qui a été fait sous l’égide d’Obama depuis qu’il est Président, et un refus aussi des projets qu’Obama pouvait entendre mettre en œuvre dans les mois et les années à venir. Là encore, les enquêtes d’opinion sont claires et sans ambiguïté :

Le plan de stimulation de l’économie a été perçu, d’emblée, comme délétère, et il s’est révélé n’avoir stimulé que la montée du chômage, la création de bureaucraties parasitaires, les réticences des investisseurs et l’endettement du pays.

Le peuple américain, dans sa grande majorité, ne voulait pas de ce plan. Le plan a néanmoins été voté et mis en œuvre. La volonté désormais très largement manifestée est celle de voir s’opérer au plus vite un changement de cap profond.

La loi de réforme du système de santé est apparue à la population, avant même d’être adoptée, comme le vecteur d’une tentative de mainmise du gouvernement sur le secteur de la médecine et de la pharmacie ; d’une remise en cause de la liberté de choix par les patients, et de la création d’un monstre administratif, porteur de perspectives de rationnement et d’une multitude de surcoûts.

Le peuple américain, très majoritairement, a fait savoir qu’il ne voulait pas de cette loi. Il veut à présent, tout aussi majoritairement, qu’elle soit abolie, et que des réformes très différentes s’opèrent dans ce secteur.

La loi de réforme de la finance est apparue elle-même à la population comme une loi venant assurer des rentes de situation aux grandes institutions financières en place, créer un autre monstre administratif, remettre eu cause les principes de la concurrence et de la liberté de passer contrat dans le secteur de la banque et des placements.

Le peuple américain ne voulait pas non plus de cette loi. Il veut la voir abolie elle-même au plus tôt, et souhaite un assainissement sur ce plan : mais à condition que celui-ci soit basé sur les règles qui ont traditionnellement prévalu aux Etats-Unis jusque-là.

Les volontés exprimées de taxer les activités productrices de carbone (système « cap and trade ») sont perçues comme synonymes potentiels de prélèvements supplémentaires et de surcroîts d’asphyxie économique, en un temps où les prélèvements semblent déjà trop lourds et où la croissance est déjà asthénique. Le désir exprimé que ces volontés soient réduites à néant est net, tranché, sans appel.

La gestion de la politique étrangère, enfin, a été jugée catastrophique, marquée par une volonté d’affaiblir le pays, par une prise de distance inquiétante vis-à-vis des principaux alliés des Etats-Unis, et par une attitude de faiblesse vis-à-vis de leurs multiples rivaux ou ennemis.

Le peuple américain n’a jamais apprécié dans le passé ce qui pouvait ressembler à une volonté d’affaiblir le pays : il ne l’apprécie pas davantage aujourd’hui. Il n’a jamais apprécié non plus ce genre de comportement vis-à-vis des alliés, des rivaux ou des ennemis des Etats-Unis : il ne l’apprécie pas davantage aujourd’hui non plus. Le souhait d’un changement net d’orientation en ce secteur est, lui aussi, immense.


Les lendemains qui déchantent

Le second point qui doit être souligné est que le rejet de ce qui a été fait par Obama, et de ce qu’Obama pouvait vouloir entreprendre dans le temps qui lui reste avant la fin de son mandat, n’est pas le corollaire d’une confiance illimitée accordée au Parti Républicain en tant que tel.

Le camp Républicain a été choisi faute de mieux : la grande majorité des électeurs discerne que, sous George Bush, les Républicains ont laissé s’accroître les dépenses publiques et ont compté dans leurs rangs des gens qu’aux Etats-Unis on appelle les RINO, "Republicans in Name Only" (Républicains uniquement par le nom).

Ils n’entendent clairement pas voir le pays repris en main par des RINO : ils l’ont dit et ils le répètent. Ils donnent une opportunité aux Républicains, qui disposent désormais de deux ans pour montrer qu’ils sont à même de faire mieux que les Démocrates.

C’est dans ce contexte et sous cet angle que doit être compris ce qu’a été et ce qu’est toujours le mouvement des tea parties.

Les tea parties participent d’un soulèvement spontané de la population américaine (les structures d’organisation et des appuis financiers et médiatiques sont venus ensuite, au fur et à mesure) : des gens de toutes les couches de la société, constatant les orientations suivies par Obama, ont décidé de faire entendre leur voix et d’exercer le droit du peuple de se soulever contre un gouvernement semblant glisser vers la tyrannie.

Le droit de se soulever en pareil cas est protégé par les institutions américaines. Les idées et les idéaux invoqués à cette occasion viennent en droite ligne des textes fondateurs du pays : Déclaration d’indépendance, Constitution et "Bill of Rights" (déclaration des droits). Les tea parties sont une réaffirmation de ces idées et idéaux et l’expression d’une exigence.

Le nouveau Congrès tout entier sera soumis à cette exigence et placé sous le regard vigilant des tea parties. Celles-ci ne disparaîtront pas ; parce que la vigilance qu’elles expriment paraît toujours nécessaire, et parce que le risque de glissement vers la tyrannie n’apparaît pas écarté aux yeux des membres des tea parties. La confiance accordée aux Républicains est très conditionnelle.

La majorité des Américains pense que l’élection d’Obama a été une erreur grave, que l’erreur ne se serait pas produite si les Républicains, lorsqu’ils détenaient la majorité, avaient été à la hauteur de la situation. Ils entendent voir l’erreur rectifiée. Ils disent aux Républicains qu’ils sont sous observation, pour une période probatoire.

La majorité des Américains place sa confiance dans ce qui a fait des Etats-Unis ce qu’ils sont, et uniquement en cela : liberté d’entreprendre, de choisir et de gérer sa propre vie ; appareil d’Etat essentiellement limité au rôle de gardien du droit et de la liberté.

Ce qu’on peut ajouter sur ces bases, et ce sera mon troisième point, est que toute comparaison entre la situation présente et la situation de cohabitation entre Bill Clinton et un Congrès Républicain, à partir de 1994, ou d’autres situations de ce genre, n’a pas lieu d’être.

D’une part, jamais dans le passé, depuis le temps de la Révolution américaine, ne s’est produit un soulèvement du type et de l’ampleur de celui auquel on assiste.

D’autre part, et c’est ce qui explique ce soulèvement : jamais un Président n’avait paru à une majorité d’Américains aussi dangereusement éloigné des idées et idéaux américains eux-mêmes que Barack Obama.

Quelques jours avant l’élection, en octobre 2008, Obama avait déclaré que, dans les jours qui suivraient, se trouverait enclenché un changement radical des Etats-Unis. Beaucoup d’Américains n’ont pas pris ses mots au sérieux.

Ils ont vu, depuis, qu’ils auraient dû mieux écouter ce qu’Obama disait. Ils ne veulent pas de ce changement radical et viennent de le faire savoir. Ils veulent un retour aux idées et aux idéaux fondateurs. Simplement. Strictement.

Les deux années à venir seront rudes et passionnantes. Tout indique qu’Obama n’aura pas la flexibilité ondoyante d’un Clinton, car c’est un idéologue, un dogmatique. Il ne reculera pas, et s’il feint de reculer un instant, ce sera pour mieux bondir sitôt il sentira une faille à exploiter. Les Républicains savent, de leur côté, qu’ils n’ont pas la moindre marge d’erreur, et que rien ne leur sera pardonné par les électeurs.

Obama est d’ores et déjà tout entier tourné vers l’échéance de 2012, et espère pouvoir reprendre à ce moment la mise en œuvre de son programme. Les Républicains sont eux aussi tournés vers la même échéance, et savent que l’intégralité de ce qu’ils feront sera, en sous-jacence, une préparation de l’échéance.

Deux Amériques s’affrontent en réalité : l’Amérique profonde, celle des idées et des idéaux, celle qui a porté au pouvoir Ronald Reagan et George W. Bush, et celle des bobos, des intellectuels de gauche.

La première est majoritaire dans le pays. La seconde a eu le pouvoir sous Jimmy Carter. Elle l’a repris en 2008, plus déterminée qu’elle ne l’était en 1976. Comme en 1976, elle est parvenue à ses fins grâce à un contexte de crise, propice à la dissolution des repères.

La logique, les résultats électoraux du 2 novembre, les courants d’opinion tels qu’ils surviennent, impliqueraient qu’elle perde dans deux ans. Mais personne ne peut écrire l’histoire à l’avance.

La seule chose qui soit prévisible, ce sont les commentaires qui se feront entendre dans le monde francophone en général, et en France en particulier.

Ce qui s’est dit dans le monde francophone et en France depuis le 2 novembre concernant Obama, les tea parties, les Républicains, les élections, leurs résultats, a été pathétique et pitoyable ; imprégné d’un mépris insupportable pour le peuple américain et son intelligence, et pour les idées et les idéaux américains.

Ce mépris reflète celui qu’on trouve dans l’Amérique des bobos et des intellectuels de gauche. Il reflète celui qu’on trouve chez Obama et chez les dirigeants du Congrès sortant, mais aussi chez les RINO.

Il ne date pas d’hier : il ressemble fort à celui qui, au temps de la Révolution américaine, dans les cours des monarques européens, s’appliquait à cette « populace » qui, dans ce qui était alors les « colonies anglaises d’Amérique du Nord », prétendait se gouverner elle-même, et semblait ne pas admettre que le gouvernement doit être toujours et partout l’apanage des monarques et des esprits aristocratiques et éclairés.

Il me semble terriblement significatif que le seul livre édité en langue française à dire sur Obama ce que des millions d’Américains savent aujourd’hui soit mon dernier livre, La résistible ascension de Barack Obama, et que ce livre soit boycotté.

Nous sommes, dans le monde francophone, quelques-uns à connaître les Etats-Unis de l’intérieur en ne nous contentant pas de fréquenter les quartiers branchés de Washington, New York et San Francisco.

Nous avons le désavantage de ne pas, ou peu, nous tromper et de savoir de quoi nous parlons. Ce qui, j’en conviens avec incrédulité, constitue un immense désavantage, en France, par les temps qui courent.
Re: Obama
17 novembre 2010, 12:34
Obama vous est resté comme une arête en travers de la gorge.

Obama est Président des Etats-Unis, il ne l'a pas volé, il a été démocratiquement élu par le peuple américain.
Pour l' HISTOIRE il est et restera LE 44è PRESIDENT DES ETATS-UNIS, à côté d'Abraham Lincoln et de Franklin Delano Roosevelt.

Pour nous, Obama Hassan ou Houssaine , on s'en fout ! Il n'a rien fait pour nous et ne fera rien !
Pièces jointes:
moscaldaf.jpg
gyl
Re: Obama
19 novembre 2010, 00:08
Obama est Président des Etats-Unis, il ne l'a pas volé, il a été démocratiquement élu par le peuple américain.


Est-ce qu'être élu est suffisant pour être capable de gérer un pays d'abord dans l'intérêt de ses citoyens ensuite de renforcer so influence internationales ? Il semble qu'Obama a reussi à battre le record d'incompétence du sinistre Carter
Re: Obama
19 novembre 2010, 01:22
Citation
gyl
Obama est Président des Etats-Unis, il ne l'a pas volé, il a été démocratiquement élu par le peuple américain.


Est-ce qu'être élu est suffisant pour être capable de gérer un pays d'abord dans l'intérêt de ses citoyens ensuite de renforcer so influence internationales ? Il semble qu'Obama BUSH a reussi à battre le record d'incompétence du sinistre Carter

Voila, c'est corrigé =)

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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
gyl
Re: Obama
23 novembre 2010, 04:48
Non,c'est ben d'Obama qu'il est question,la preuve !!!
Pièces jointes:
obama.JPG
gyl
Re: Obama
25 novembre 2010, 03:53
La grand-mère d'Obama a été l'invitée de Saoud,pendant son pélerinage à la Mecque.Elle lui a déclaré prier quotidienement pour le retour visible à l'islam de son petit-fils,dont elle ne croit pas qu'il l'ait sincèrement renié.
Pour le plus grand bien de l'amérique,a-t-elle precisé !!!
Re: Obama
27 novembre 2010, 01:31
" Barack Obama a reçu un coup de coude à la lèvre "

Douze points de suture !
Alleluia !
Beaucoup vont se réjouir et croire à une punition divine.
Mais de quelle divinité s'agit-il ?
YHWH ? DIEU ? ALLAH ?
" Chacun voit midi à sa porte. "

Pièces jointes:
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Re: Obama
28 novembre 2010, 06:20
Moscal,

Tu deviens vraiment lourd.
Re: Obama
28 novembre 2010, 09:22
" Moscal,

Tu deviens vraiment lourd. "

Cher ami, descends-moi, je ne veux pas que tu te casses les reins.

"Lâ yukallifu Llâho nafsan illâ was3ahâ : Cor.65.7)…"
Explication : Dieu n'impose jamais à l'homme une charge qui excède ses moyens, mais fait plutôt succéder l'aisance à la gêne.
Re: Obama
08 décembre 2010, 07:13
Clin d'oeil - Douze points de suture , sur la lèvre inférieure du Président Obama




Petit clin d'oeil !!

Si ça pouvait le museler durablement !!!!!



Il est écrit dans Proverbes 8-7 « Ma bouche proclame la vérité, et mes lèvres ont le mensonge en horreur » ?????????? ???????? ?????? ?????????? ???????? ??????.

Voilà un proverbe qu’Obama devrait méditer jour et nuit. Or, pour l’avoir quelque peu oublié, il s’est fait exploser la lèvre en jouant au basket.

Et ce pendant le week-end du Thaksgiving, où l’on doit en principe remercier le Seigneur pour toutes les bontés qu’il a accordé à Amérique.

Rien que de très banal de se faire exploser les lèvres, au Basket ou dans d’autres sports.

Ce qui l’est moins c’est c’est le nombre de points de suture qu’on a dû lui poser: 12, comme les douze tribus d’Israël. 12 points de suture pour une lèvre, c’est pas banal.

Le D. des Armées lui a envoyé un message, qu’il ne saura pas, j’en suis certain, interpréter correctement, à moins que quelqu’un de son entourage ne lui révèle la signification du chiffre 12 et le danger encouru à nuire sans relache à Israël; voir Pharaon et consorts.

La désinformation, si ce n’est le mensonge continue, car le porte-parole de la Maison Blanche nous informe que c’est la lèvre supérieure qui a été suturée alors que le président tient un mouchoir sur la lèvre inférieure.

Esotériquement parlant, ainsi que nous l’explique rav Ashlag, ce n’est pas la même chose. Il est inutile d’épiloguer tant que la vérité n’éclatera pas au grand jour.

En attendant, il devra réduire son rythme verbal, ce qui est tout bénéfice pour Israël.
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