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Obama

Envoyé par felixabenhaim 
Re: Obama
08 décembre 2010, 07:30
Obama est incontestablement un sportif.

et tous les sportif qui s'entrainnent regulierement enregistrent un historique medical ; c'est sur !
ca part du banal, du petit bobo jusqu'a des blessures plus serieures

Heureusement que ce nest pas au genoux, ou autres articulations, que ca lui est arrive ; la convalescence prendrait encore plus de temps'
beaucoup plus de temps , certains sportifs en savent quelques choses !!





hein ! ce n'est pas le jogging de Sarko. du bling bling
Re: Obama
16 janvier 2011, 07:39
Le nouveau visage des médias américains qui se dévoient en tronquant les faits pour "sauver"

la politique désastreuse des gauchistes de la MB et manifester leur allégeance au "gauchiste"en chef

hussein oblabla.

Rien n'y fera , la voix du peuple Américain continuera à se faire entendre.

Leurs méthodes ne sont qu'une propagande honteuse pour inverser la réalité.





Le tueur de Tucson n’était pas Républicain (info # 011201/11) [Analyse]

Par Guy Millière



On en sait désormais beaucoup sur l’homme qui a tiré sur la représentante Démocrate Gabrielle Giffords, et tué plusieurs personnes présentes autour d’elle, dont un juge et une petite fille de neuf ans, née le 11 septembre 2001.

On sait à peu près tout de ses lectures, qui allaient du Manifeste du Parti Communiste de Marx et Engels à Mein Kampf d’Adolf Hitler, en passant par Vol au dessus d’un nid de coucou de Ken Kesey.

On sait qu’il avait voulu s’engager dans l’armée, mais qu’il avait été refusé parce que des traces de produits stupéfiants avaient été trouvées dans ses analyses médicales.

On sait qu’il avait été exclu de l’université où il s’était inscrit, parce qu’il y avait tenu des propos obscènes et projeté en public une vidéo pornographique et sanglante.

On sait qu’on lui avait vivement conseillé de consulter un psychiatre et de se faire soigner, ce qu’il n’a pas fait.

On sait qu’il a mis sur Youtube des vidéos incohérentes, dévoilant un dérangement mental sérieux : la plupart sont des textes délirants en banc-titre, l’une d’elles le montre en train de s’en prendre au drapeau américain.

On sait, par divers témoignages, qu’outre le dérangement mental qui le frappait, et que le recours aux drogues ne devait pas arranger, il se définissait comme très à gauche, avec de nettes propensions à l’antisémitisme, ce qui n’est pas du tout incompatible. Il faut savoir que la représentante Démocrate Gabrielle Giffords est une Israélite pratiquante, membre de la congrégation des Khaverim (amis), à Tucson.


Gabrielle Giffords
D’abord annoncée morte, elle est au bénéfice d’un pronostic médical favorable

Ce qu’on ne sait pas encore, c’est comment Jared Lee Loughner, l’individu suspecté du meurtre de six personnes et d’en avoir blessées quatorze autres, s’est procuré l’arme qu’il a utilisée. Mais on le saura bientôt.

Ce qui a été remarquablement répugnant, fut la façon dont toute une frange de la gauche et de l’extrême-gauche américaines ont, dès l’annonce du drame, commencé à accuser les Tea Parties, sans la moindre preuve.

C’est aussi la façon dont les mêmes intervenants ont commencé à montrer du doigt Sarah Palin, en jurant leurs grands dieux qu’il y avait sans aucun doute une connexion, alors qu’il n’y en avait aucune.

C’est, en outre, la façon dont lesdits, toujours, ont incriminé la chaîne de télévision conservatrice Fox news, et son principal commentateur politique, Glenn Beck, alors que tout porte à penser que le tueur ne regardait pas Fox news, et moins encore Glenn Beck.

Ces gens n’ont ni décence ni pudeur. Ils ne montrent pas le moindre respect pour les morts ni pour la vérité. Sont-ils à ce point frustrés par le fait d’avoir perdu les élections de novembre dernier ? Craignent-ils tant que cette défaite en annonce une autre en 2012 ?

S’imaginent-ils que, faute de convaincre les électeurs américains par des arguments rationnels, ils les persuaderont de se rallier à eux en diffamant, en mentant, en écumant de rage de manière incohérente ?

Se doutaient-ils que le tueur se prétendait plutôt de leur bord politique, et tentaient-ils de faire écran à des découvertes qui pourraient les embarrasser ?

La gauche américaine, en tout cas, ne sortira pas grandie de ce tragique épisode. Les journalistes appartenant à cette gauche devraient perdre davantage de leur crédibilité, déjà bien altérée, depuis qu’ils ont, à l’automne 2008, renoncé à faire leur métier pour devenir le fan club officiel de Barack Obama.

Dans la presse française, toutes les nuances de la détestation de l’Amérique, et tout particulièrement de l’Amérique conservatrice, se sont évidemment exprimées.

On a incriminé le droit de porter des armes aux Etats-Unis, et l’"extrême violence" qui imprègne la société américaine. Je n’ai pas le souvenir qu’après une tuerie s’étant déroulée voici quelques mois en Allemagne, on ait évoqué l’"extrême violence" de la société allemande ; ou qu’après une tuerie en Finlande, on ait évoqué l’"extrême violence" de la société finlandaise.

Je n’avais pas vu non plus quiconque recourir aux statistiques : s’il y a effectivement, en moyenne, environ quatre fois plus d’homicides par armes à feu aux Etats-Unis qu’en France, nul ne dira qu’en Pologne, qui se situe également en Europe, les chiffres sont proportionnellement trois fois supérieurs à ce qu’ils sont aux Etats-Unis.

On a évoqué la "véhémence" des campagnes contre Obama. Le fait qu’il vienne effectivement de l’extrême-gauche, qu’il ait un passé musulman et qu’il ait menacé la Constitution des Etats-Unis, peut effectivement inciter ses contempteurs à exprimer les sérieux motifs de leur opposition au pensionnaire de la Maison Blanche.

Ceux qui évoquent la tonitruance des anti-Obama auraient également pu se souvenir du temps de George W. Bush, où eux-mêmes affirmaient qu’un fasciste et un taré se trouvait à la Maison Blanche ; mais, cela va de soi, dire qu’un fasciste et un taré demeure à la Maison Blanche n’avait rien de véhément dès lors qu’il s’agissait de George W. Bush. C’était normal et légitime, et presque "nécessaire".

On a parlé d’une "extrême-droite" qui fait peur et qui est en train de "monter en puissance" aux Etats-Unis. Si lire la Constitution américaine, Thomas Jefferson, Abraham Lincoln et quelques autres, c’est être d’extrême-droite, quel espace politique reste-t-il pour situer le nazisme ou le fascisme, le vrai ?

Si défendre la liberté de choisir, de parler et d’entreprendre, implique qu’on se situe à l’extrême-droite, où doit-on placer exactement sur l’échiquier politique ceux qui rêvent de dictature militaire et de censure ?

Je n’ai pu, devant tout cela, m’empêcher de penser à une autre tuerie, survenue il y a un peu plus d’un an, sur la base militaire de Fort Hood, au Texas. Le tueur, en cette occurrence, était un psychiatre, membre de l’armée américaine.

C’était aussi et surtout un islamiste djihadiste qui, au moment de tirer, avait hurlé Allahou Akbar ! ("Dieu est le plus grand", formule consacrée dans l’islam, où elle est appelée takbîr. Ndlr.).

A l’époque, la gauche américaine avait appelé à la retenue et averti, sans cesse, qu’il ne fallait pas tirer de conclusions hâtives.

Les journalistes de la gauche américains avaient employé le même ton.

On avait très peu parlé de l’appartenance du tueur à l’islamisme djihadiste. On a même évoqué plusieurs fois l’hypothèse qu’il souffrait d’une forme de dépression nerveuse.

La presse française à l’époque avait, elle aussi, fait preuve d’une prodigieuse discrétion.

C’est vrai : dans le cas de Fort Hood, il aurait été objectivement difficile de s’en prendre à un courant anti-Obama et à une supposée "extrême-droite".

Et critiquer un islamiste djihadiste ? Vous n’y pensez pas ? Ce serait - comment disent-ils déjà ? -, de l’islamophobie !

J’en suis venu à me dire que si le tueur de Tucson s’était converti à l’islam avant de commettre son odieux forfait, s’il avait montré des attirances pour l’islam radical, on aurait bien moins parlé de son crime.

Mais j’oubliais, alors que c’est une évidence absolue : le principal danger sur la planète, aujourd’hui, n’est pas l’islam radical ou le djihad, non, qu’allez-vous chercher ?

C’est le conservatisme américain !

Et il est tellement dangereux que, lorsqu’un malade mental s’affirmant gauchiste antisémite tue des gens, il est de bon ton d’affirmer que c’est la faute au conservatisme américain.
Re: Obama
16 janvier 2011, 22:29
Il faudrait qu'on fasse un best of de guy millière... avec à chaque fin d'année une sorte de Gérard de Guy Millière.

Il a le mérite de s'auto caricaturer, ce qui est bien drôle smiling smiley

-----
"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: LA POLITIQUE DE hussein obamao VA DROIT DANS LE MUR !!!
30 janvier 2011, 08:38
Le manque de support de Barak a Moubarak n’est pas etonnant et prouve de nouveau que Obama est hostile a tous ceux qui n’attaquent pas Israel.
Au lieu d’influencer les pays arabes a choisir la democratie comme mode de vie,il encourage tous les dictateurs fanatiques a poursuivre leur assauts sur Israel et a exploiter les citoyens de leurs pays.
Gog ou Magog ou demagogue ? ou les deux ?
Re: Obama
14 février 2011, 03:10
hussein baraq ob , président " MANDCHOURIAN" ???

Une analyse de fond éclairante sur le pire président des USA qui "tombe le masque" ,

n'oublions pas sa déclaration , il n' y a pas si longtemps que:

"LES USA N'AVAIENT PAS VOCATION DE RESTER CHRETIENS "




De Carter à Obama, des administrations
Par Michel Gurfinkiel,



En Égypte, le pouvoir semble encore tenir face à la rue. En dépit des graves erreurs de calcul américaines.
Certaines révolutions réussissent, d’autres échouent…

Tout dépend de la réaction, face aux premiers désordres, des dirigeants en place. S’ils se divisent, si une partie d’entre eux faiblit et se rallie à la contestation, le régime tombe ; s’ils restent unis, s’ils font face, le régime survit.

La chute du chah d’Iran en 1979 est une illustration du premier cas ; le maintien de la dictature communiste en Chine, après les événements de Tien Anmen en 1989, illustre le second.

En Tunisie, le régime Ben-Ali n’est pas tombé seulement sous la pression de la rue, comme on le prétend, mais à la suite d’un coup d’État mené tambour battant, le 13 janvier, par le général Rachid Ammar, chef d’état-major général des forces armées tunisiennes.

En Égypte, le régime Moubarak tient toujours, après quinze jours de manifestations et de scènes de violence. Parce qu’il s’est assuré la fidélité de l’armée et des services secrets. Ceux-ci ont méthodiquement repris en main la situation au Caire et dans les grandes villes.

Certes, des opposants se sont retranchés sur la place Tahrir, au cœur de la capitale, mais l’armée les encercle, tout comme voilà 22 ans, l’armée chinoise avait pris au piège les dissidents de la place Tien Anmen.

Omar Suleiman, l’ancien chef des services secrets dont Hosni Moubarak a fait dès le 29 janvier son vice-président et donc son héritier présomptif, préfère sans doute obtenir une reddition en douceur. Mais il ne reculera pas, si nécessaire, devant la manière forte.

Mais l’inconnue, c’est l’Amérique…

L’ambassade américaine à Tunis semble avoir poussé Rachid Ammar à renverser Ben-Ali.

En Égypte, des contacts analogues ont échoué.

Ce qui n'a pas empêché l’administration Obama de revenir à la charge : en prenant position publiquement pour une « transition démocratique », elle tente de semer le doute chez les militaires et dans les services secrets.

Il y a en effet deux menaces implicites dans de telles déclarations : ne plus coopérer avec le régime s’il procède à une répression trop brutale ; et ne pas accorder d’asile à ses dirigeants si la révolution l’emporte…

Pourquoi l’Amérique adopte-t-elle une politique si manifestement contraire à ses intérêts nationaux ?

Renverser le régime Ben-Ali, quelles qu’aient été ses carences, c’était déstabiliser les autres pays arabes pro-occidentaux.

Renverser le régime Moubarak, quels que soient ses défauts, ce serait accélérer le mouvement et abandonner en fait l’ensemble du Proche et du Moyen-Orient à l’Iran et à ses alliés.

Les États-Unis perdraient alors l’un de leurs principaux atouts géopolitiques : le contrôle des plus grandes réserves mondiales d’hydrocarbures !

Cette situation absurde relance un débat sur Barack Hussein Obama.

Serait-il véritablement, comme beaucoup d’Américains le pensent, un « président mandchourien » ?

Cette expression, qui fait partie aujourd’hui du vocabulaire politique américain, renvoie à un roman de politique-fiction de Richard Condon, " The Manchurian Candidate " (Le Candidat de Mandchourie), paru en 1959. Puis à deux films portant le même titre : d'abord celui de John Frankenheimer en 1962 et celui de John Demme en 2004.

Leur thème commun : la manipulation du système démocratique par des ennemis de la démocratie.

Dans le roman de Condon et le premier film, il est question de soldats américains capturés par les " Rouges " pendant la guerre de Corée, qui se font robotiser à travers un « lavage de cerveau » puis renvoyer aux États-Unis pour y participer à un coup d’État prosoviétique.

Dans le second film, les événements se déroulent sur fond de guerre d’Irak : les manipulateurs ne sont plus les communistes, mais une société d’armement américaine qui entend instaurer une dictature d’extrême droite aux USA...

Or, deux présidents américains ont été élus, au cours des quarante dernières années, dans des conditions rappelant le roman de Condon.

D'abord Jimmy Carter : président de 1977 à 1981, il était un médiocre gouverneur d’un État du Sud pris en main à la Maison Blanche par un universitaire ambitieux d’origine est-européenne, Zbigniew Brzezinski, lui-même lié à un cartel d’hommes d’affaires et de politiques américains, européens et japonais.

On sait quel a été son bilan : il a perdu l’Iran, et il s’est laissé surprendre par les Soviétiques dans la corne de l’Afrique, puis dans les Caraïbes, en Afghanistan, en Pologne et dans les négociations stratégiques Est-Ouest. De plus, c'est sous son administration que l’économie américaine a connu la plus longue récession de la deuxième partie du XXe siècle.

Le second « président mandchourien », c’est Barack Obama ! Un homme politique jeune, sans fortune, au profil personnel ambigu - avec des incertitudes sur les circonstances exactes de sa naissance, sur sa nationalité et sur son identité religieuse -, lié à l’extrême gauche, mis en orbite dès 2004 en tant que sénateur de l’Illinois (l’un des États les plus corrompus des États-Unis). Puis lancé, avec un soutien médiatique immédiat et massif, en tant que candidat aux primaires démocrates de 2008. Et finalement élu à la présidence au terme de la campagne la plus chère de l’histoire américaine !

Or, sur deux ans à peine, son bilan est déjà fort préoccupant, ce qui lui a valu une sévère défaite aux élections de la mi-mandat, en novembre dernier.

Ses maladresses actuelles dans le monde arabe pourraient faire de lui un président plus calamiteux encore que Carter ?

Bien entendu, pour ces deux chefs de l’exécutif, on peut invoquer la simple " incompétence " - « ce facteur sous-estimé des affaires humaines », comme disait Churchill.

Mais on ne peut écarter l’hypothèse de manipulations.

Par des agents d’influence soviétiques dans le cas de Carter et de Brzezinski.

Et dans le cas d’Obama par l’islamisme et d’autres puissances ou " mouvements " qui ont intérêt à un déclin irrémédiable des États-Unis et du monde occidental…

Les faits sont les faits : le moment vient où ils parlent d’eux-mêmes !
Re: Obama
14 février 2011, 03:10
hussein baraq ob , président " MANDCHOURIAN" ???

Une analyse de fond éclairante sur le pire président des USA qui "tombe le masque" ,

n'oublions pas sa déclaration , il n' y a pas si longtemps que:

"LES USA N'AVAIENT PAS VOCATION DE RESTER CHRETIENS "




De Carter à Obama, des administrations
Par Michel Gurfinkiel,



En Égypte, le pouvoir semble encore tenir face à la rue. En dépit des graves erreurs de calcul américaines.
Certaines révolutions réussissent, d’autres échouent…

Tout dépend de la réaction, face aux premiers désordres, des dirigeants en place. S’ils se divisent, si une partie d’entre eux faiblit et se rallie à la contestation, le régime tombe ; s’ils restent unis, s’ils font face, le régime survit.

La chute du chah d’Iran en 1979 est une illustration du premier cas ; le maintien de la dictature communiste en Chine, après les événements de Tien Anmen en 1989, illustre le second.

En Tunisie, le régime Ben-Ali n’est pas tombé seulement sous la pression de la rue, comme on le prétend, mais à la suite d’un coup d’État mené tambour battant, le 13 janvier, par le général Rachid Ammar, chef d’état-major général des forces armées tunisiennes.

En Égypte, le régime Moubarak tient toujours, après quinze jours de manifestations et de scènes de violence. Parce qu’il s’est assuré la fidélité de l’armée et des services secrets. Ceux-ci ont méthodiquement repris en main la situation au Caire et dans les grandes villes.

Certes, des opposants se sont retranchés sur la place Tahrir, au cœur de la capitale, mais l’armée les encercle, tout comme voilà 22 ans, l’armée chinoise avait pris au piège les dissidents de la place Tien Anmen.

Omar Suleiman, l’ancien chef des services secrets dont Hosni Moubarak a fait dès le 29 janvier son vice-président et donc son héritier présomptif, préfère sans doute obtenir une reddition en douceur. Mais il ne reculera pas, si nécessaire, devant la manière forte.

Mais l’inconnue, c’est l’Amérique…

L’ambassade américaine à Tunis semble avoir poussé Rachid Ammar à renverser Ben-Ali.

En Égypte, des contacts analogues ont échoué.

Ce qui n'a pas empêché l’administration Obama de revenir à la charge : en prenant position publiquement pour une « transition démocratique », elle tente de semer le doute chez les militaires et dans les services secrets.

Il y a en effet deux menaces implicites dans de telles déclarations : ne plus coopérer avec le régime s’il procède à une répression trop brutale ; et ne pas accorder d’asile à ses dirigeants si la révolution l’emporte…

Pourquoi l’Amérique adopte-t-elle une politique si manifestement contraire à ses intérêts nationaux ?

Renverser le régime Ben-Ali, quelles qu’aient été ses carences, c’était déstabiliser les autres pays arabes pro-occidentaux.

Renverser le régime Moubarak, quels que soient ses défauts, ce serait accélérer le mouvement et abandonner en fait l’ensemble du Proche et du Moyen-Orient à l’Iran et à ses alliés.

Les États-Unis perdraient alors l’un de leurs principaux atouts géopolitiques : le contrôle des plus grandes réserves mondiales d’hydrocarbures !

Cette situation absurde relance un débat sur Barack Hussein Obama.

Serait-il véritablement, comme beaucoup d’Américains le pensent, un « président mandchourien » ?

Cette expression, qui fait partie aujourd’hui du vocabulaire politique américain, renvoie à un roman de politique-fiction de Richard Condon, " The Manchurian Candidate " (Le Candidat de Mandchourie), paru en 1959. Puis à deux films portant le même titre : d'abord celui de John Frankenheimer en 1962 et celui de John Demme en 2004.

Leur thème commun : la manipulation du système démocratique par des ennemis de la démocratie.

Dans le roman de Condon et le premier film, il est question de soldats américains capturés par les " Rouges " pendant la guerre de Corée, qui se font robotiser à travers un « lavage de cerveau » puis renvoyer aux États-Unis pour y participer à un coup d’État prosoviétique.

Dans le second film, les événements se déroulent sur fond de guerre d’Irak : les manipulateurs ne sont plus les communistes, mais une société d’armement américaine qui entend instaurer une dictature d’extrême droite aux USA...

Or, deux présidents américains ont été élus, au cours des quarante dernières années, dans des conditions rappelant le roman de Condon.

D'abord Jimmy Carter : président de 1977 à 1981, il était un médiocre gouverneur d’un État du Sud pris en main à la Maison Blanche par un universitaire ambitieux d’origine est-européenne, Zbigniew Brzezinski, lui-même lié à un cartel d’hommes d’affaires et de politiques américains, européens et japonais.

On sait quel a été son bilan : il a perdu l’Iran, et il s’est laissé surprendre par les Soviétiques dans la corne de l’Afrique, puis dans les Caraïbes, en Afghanistan, en Pologne et dans les négociations stratégiques Est-Ouest. De plus, c'est sous son administration que l’économie américaine a connu la plus longue récession de la deuxième partie du XXe siècle.

Le second « président mandchourien », c’est Barack Obama ! Un homme politique jeune, sans fortune, au profil personnel ambigu - avec des incertitudes sur les circonstances exactes de sa naissance, sur sa nationalité et sur son identité religieuse -, lié à l’extrême gauche, mis en orbite dès 2004 en tant que sénateur de l’Illinois (l’un des États les plus corrompus des États-Unis). Puis lancé, avec un soutien médiatique immédiat et massif, en tant que candidat aux primaires démocrates de 2008. Et finalement élu à la présidence au terme de la campagne la plus chère de l’histoire américaine !

Or, sur deux ans à peine, son bilan est déjà fort préoccupant, ce qui lui a valu une sévère défaite aux élections de la mi-mandat, en novembre dernier.

Ses maladresses actuelles dans le monde arabe pourraient faire de lui un président plus calamiteux encore que Carter ?

Bien entendu, pour ces deux chefs de l’exécutif, on peut invoquer la simple " incompétence " - « ce facteur sous-estimé des affaires humaines », comme disait Churchill.

Mais on ne peut écarter l’hypothèse de manipulations.

Par des agents d’influence soviétiques dans le cas de Carter et de Brzezinski.

Et dans le cas d’Obama par l’islamisme et d’autres puissances ou " mouvements " qui ont intérêt à un déclin irrémédiable des États-Unis et du monde occidental…

Les faits sont les faits : le moment vient où ils parlent d’eux-mêmes !
Re: Obama
14 février 2011, 08:44
Obama dans la gestion de la crise Égyptienne obtient sa première victoire diplomatique importante.

Nul ne peut le nier.

Il faudra encore un peu de temps pour le démontrer mais la première phase a été un succès absolu.

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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
14 février 2011, 08:46
Forced to choose between national interests and national ideals, the Obama administration, and many of its fiercest domestic critics, chose ideals. That’s a remarkable achievement, writes Peter Beinart. Plus, Mike Giglio on Egypt's Facebook freedom fighter.

Ever since the financial crisis hit, Americans have been feeling bad about ourselves. Our infrastructure is moldering; we owe everyone money; barely anyone thinks we’re the future anymore. All that may be true. But now and then an episode comes along that reveals what an unusual, and impressive, great power the United States still is. That’s what the Egyptian revolution has done.

Yes, of course, the Egyptians made their own revolution; America played a bit role. And yes, we guiltlessly buttressed Mubarak’s tyranny for decades. But in the last three weeks, America has nonetheless vindicated George W. Bush’s 2004 pledge to the oppressed peoples of the world: “when you stand for your liberty, we will stand with you.” Forced to choose between national interests and national ideals, the Obama administration—after a little stammering—chose the latter, and so did many of its fiercest domestic critics. That’s a pretty remarkable thing.

Since World War II, after all, international-relations theory has been dominated by “realism,” a doctrine that sees ideology as a thin veneer covering national interest, which is to say: a nation’s effort to maximize its power. International theory has also been influenced by Marxism, and while Marxists do believe that ideology influences American foreign policy, they mostly define that ideology as capitalism, and generally consider the U.S. downright hostile to global democracy. Since January, both those theories have been tested, and found wanting. Hosni Mubarak’s regime was the foundation stone—along with Israel and Saudi Arabia—of American power in the Middle East. It tortured suspected Al Qaeda terrorists for us, pressured the Palestinians for us, and did its best to contain Iran. And it sat atop a population eager—secular and Islamist alike--not only to reverse those policies, but to rid the middle east of American power. And yet we cast our lot with that population, not their ruler.

Cynics might argue that the U.S. only helped show Mubarak the door when it became clear he was headed in that direction anyway, and that doing so was simply an effort to curry favor with his likely successors. But ask yourself this: what would China have done? If Beijing had been Mubarak’s prime patron rather than Washington, it’s a good bet that Mubarak would still be in power, and thousands of corpses would litter Tahrir Square.

When nations rise up nonviolently against their pro-American tyrants, Americans across the political spectrum grow ashamed, and that shame can be the difference between a peaceful revolution and Tiananmen Square.



As remarkable as Obama’s behavior has been by the standards of international-relations theory, what’s just as remarkable is that most of his domestic political opponents agree with him. Some on the right have tried to shoehorn Obama’s refusal to stand by Mubarak into the “Democrats are soft radical Islam” meme. But Republican Party foreign policy remains dominated by intellectuals who believe in the possibility, and necessity, of democracy’s spread. In recent days we’ve been hearing a lot about Jimmy Carter’s refusal to back the Shah of Iran, yet that trauma, which exercised such power over Jeane Kirkpatrick and an earlier cohort of neoconservatives, means little to a newer generation, composed of people like Elliot Abrams, Paul Wolfowitz and Robert Kagan, who came of age watching Ronald Reagan help usher out pro-American dictatorships from the Philippines to El Salvador.

• Niall Ferguson Blasts Obama’s Egypt Debacle

• Christopher Dickey: Hosni Mubarak’s Final Tragedy

• Mike Giglio: Egypt’s Facebook Freedom FighterWhen it came to Egypt, in fact, the relevant divide wasn’t between neoconservatives and liberals, both of whom generally supported the folks in Tahrir square. It was between neoconservatives and Islamophobes, the kind of folks who think the real problem with the Middle East is the Koran itself. The other divide was between the neoconservatives and Benjamin Netanyahu, whose government yearned for Mubarak to stay. The parting of ways between the American and Israeli right over the past few weeks should end once and for all the canard that neoconservatism is a creed hatched in the Knesset. For all its flaws, contemporary neoconservatism is a deeply American doctrine, very different from the more pessimistic worldview that dominates Likud.

The point isn’t that America is always a force for democracy. Far from it. But when nations rise up nonviolently against their pro-American tyrants, Americans across the political spectrum grow ashamed, and that shame can be the difference between a peaceful revolution and Tiananmen Square. These days, amidst our national self-flagellation and our anxieties about decline, that’s something worth savoring. In 2009, Barack Obama told an audience in Cairo that “America is not the crude stereotype of a self-interested empire.” Now, in 2011, he—and we—have proved it. It’s a proud moment for Egypt, and for America too.

Peter Beinart, senior political writer for The Daily Beast, is associate professor of journalism and political science at City University of New York and a senior fellow at the New America Foundation. His new book, The Icarus Syndrome: A History of American Hubris, is now available from HarperCollins. Follow him on Twitter and Facebook.

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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
21 février 2011, 01:28
j'étais mort de rire hier car on a reparlé de la liste des invités du mariage du prince william... Et il semblerait effectivement qu'Obama soit pas invité ... Mais il n'est pas le seul à ne pas être invité puisque les chefs d'Etat élu ne seront pas invité non plus smiling smiley

Donc aucune chance non plus de voir des sarkozy et autres président!

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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
26 février 2011, 08:22
Gaddafi: Notre frere Obama.



<iframe title="YouTube video player" width="480" height="390" src="[www.youtube.com]; frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Re: Obama
26 février 2011, 11:56




cette vidéo est activée

E
Re: Obama
26 février 2011, 11:56
le message se repete plusieurs fois j'essaie de l'annuler.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 26/02/2011 12:07 par Lison2.
Re: Obama
26 février 2011, 11:56
comment supprimer un post svp !!! j'édite, je supprime, rien à faire, faut écrire qq chose!!! c'est dommage, ça prends de la place pour rien.
E



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/02/2011 12:13 par Lison2.
Re: Obama
26 février 2011, 11:56
ditto -



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/02/2011 12:09 par Lison2.
Re: Obama
26 février 2011, 15:14
Obama notre frere: Gaddafi



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Re: Obama
27 février 2011, 07:41
Ah ben, si kaddhafi le dit, c'est que pour le coup c'est vrai! En fait Obama est musulman.

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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Re: Obama
27 février 2011, 07:51
l'election d'Obama a remplit d'espoir tous les fous furieux et les imbéciles de toutes nationalités, tous les pauvres cons aussi.
E
Re: Obama
27 février 2011, 19:56
Obama's mystery links to Gadhafi uncovered ( les liens mysterieux entre Obama et Gaddafi enfin devoiles )


Aaron Klein - WorldNetDaily, February 23rd, 2011

JERUSALEM – As pressure mounts on the White House to intervene to stop Moammar Gadhafi's bloody crackdown in Libya, many commentators have been wondering why Barack Obama has been cautious in his criticism of the dictator after the U.S. president so fervently supported the removal from office of U.S. ally Hosni Mubarak of Egypt.
But Gadhafi has been tied to Rev. Jeremiah Wright, Obama's spiritual adviser for more than 23 years.
The Libyan dictator also has financed and strongly supported the Nation of Islam and its leader, Louis Farrakhan. Obama has ties to Farrakhan and his controversial group

Tout l'article ici

[www.wnd.com]
Re: Obama
27 février 2011, 20:33
Gaddafi : Star de youtube


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Re: Obama
28 février 2011, 15:47
Ah mais oui mais il faut savoir : Est il le disciple d'un protestant fou furieux et extrémiste chrétien (Jeremiah machin) ou un musulman?

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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
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