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Obama

Envoyé par felixabenhaim 
Re: NOUVELLE ATTITUDE ABJECTE DE HUSSEIN ? L'ENCONTRE D'ISRAEL..
09 avril 2010, 07:03
Pour les pays arabes ISRAEL est un "corps étranger enfoncé dans leur chair" ,

donc quelles que soient les concessions que fera ISRAEL , elles ne changeront en

rien leurs funestes projets de détruire à terme ce pays .

Ces barbares ne se transformeront pas en "brebis" , leurs soit-disants "modérés" sont

plus rusés ,ce sont tout simplement les mêmes, mais avançant à VISAGE MASQUé .

Mais qu'ils ne se trompent pas , la longue histoire de notre peuple en est une preuve

éclatante , se dévoilera la SURNATURE D'ISRAEL AUX YEUX DU MONDE , et tous

les haman et les pharaons tels que hussein obama et autres... seront une parenthése

de l'histoire .

SHABBATH SHALOM
Re: Obama
09 avril 2010, 09:50
C'est curieux qu'en proportion je trouve une sureprésentation de personnes d'extrême droite chez les dafinistes.

A part Souiri qui était de gauche et Marylou de droite démocratique, je retrouve un tropisme très proches des blog d'extremes droites anti arabe francophone.On y retrouve la même corpus idéologique, dénué de tout recul.

Ce que je trouve dommage, c'est qu'au final certain devienne pire que des harkis.
Re: Obama
09 avril 2010, 11:44
Avec nos deux islamistes,nous sommes saturés de bêtise abysmale:Ils passent leur temps à accoler des étiquettes politiques à leurs contradicteurs quand ils ne trouvent pas d'arguments pour défendre leurs convictions.Et comme sous toutes les latitudes,en toutes circonstance,même ultra-minoritaires,ils veulent toujours avoir raison,nous seulement contre la majorité mais contre toute logique factuelle et historique.Heureusement qu'içi ils n'ont pas la possibilité d'utiliser
la violence habituelle pour convaincre.
Re: Obama
09 avril 2010, 12:29
La majorité ? drinking smiley





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Re: Obama
10 avril 2010, 07:44
Citation
gil009
Avec nos deux islamistes,nous sommes saturés de bêtise abysmale:Ils passent leur temps à accoler des étiquettes politiques à leurs contradicteurs quand ils ne trouvent pas d'arguments pour défendre leurs convictions.Et comme sous toutes les latitudes,en toutes circonstance,même ultra-minoritaires,ils veulent toujours avoir raison,nous seulement contre la majorité mais contre toute logique factuelle et historique.Heureusement qu'içi ils n'ont pas la possibilité d'utiliser
la violence habituelle pour convaincre.

J'aurais tant aimé trouver une caractérisation plus intelligente.

Heureusement que des hommes comme toi ne constituent justement pas la majorité smiling smiley.

Les gens comme ça sont heureusement en age suffisamment avancé pour ne plus présenter de menace majeure pour les prochaines générations qui elles ont tout compris smiling smiley
Re: Obama
10 avril 2010, 08:19
Rali, quel pretention mal placée de te comparer et oser avancer les propos contre Gil, quand tu atteindras son niveau de connaissances, peut être qu'à ce moment là, tu aura un brin de maturité. tu n'es là que pour provoquer. t'as pas honte !

la cinquantaine arrive sans se faire attendre, je te souhaite de vivre jusqu'à ces années et au delà pour que le regret de toutes les bêtises que tu nous infliges de temps en temps te fassent rougir de honte ! et crois moi, Rali. c'est là que tu auras acquis un peu plus d'intelligence, may be..................

Lison
Re: Obama
10 avril 2010, 12:07
Je ne savais pas que plus on se rapprochait de votre point de vue, plus on était intelligent ! Et c'est vous qui parlez de prétention !! God isn't it funny !
Re: Obama
10 avril 2010, 13:54
Merçi,Lison
Mais il ne pourra jamais avoir d'autres regrets ,que celui de ne pas avoir pu reussir à nous ramener au statut de dhimmis.
Son commentaire justifie pleinement mon jugement sur le vide sidérale de leurs interventions.Et celui de son congénère
n'a pas plus de consistance .Ils ne savent que déblatérer sur les personnes parce qu'ils ne peuvent pas se résoudre à avoir tort.L'un parle pour faire du bruit,le second est un specialiste du copié-collé d'articles selectionnés pour leur anti-israelisme bêlant et bétifiant.
Et eux,oui,ils représentent bien la majorité de la masse fanatique abreuvée de haine et de rancoeur,que nous affrontons quotidiennement.
hussein obama AVANCE D?MASQU? DANS SON PROJET DIABOLIQUE ..
12 avril 2010, 00:38
ESPERONS TRES TRES VITE UN REVEIL DE L'AMERIQUE PROFONDE ,

CE PAYS NE MERITE PAS avoir à SA TÊTE UN TEL INDIVIDU , DONT LE

PROJET POUR "AFFAIBLIR" LES USA NE FAIT PLUS AUCUN DOUTE .


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Obama, Président « bizarre » ? (info # 011204/10) [Analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency


Cela fait moins d’un an et demi qu’Obama est à la Maison Blanche. Je m’attendais à ce qu’il soit un homme dangereux et destructeur. J’ai expliqué longuement pourquoi. J’ai retracé son passé, décrit ses fréquentations douteuses, où les escrocs voisinent avec les terroristes, les islamistes avec les antisémites.

Je prévoyais qu’il se conduise très mal avec Israël et qu’il tienne des propos injustifiés tels ceux qu’il a tenus dans son discours du Caire.

Je prévoyais aussi qu’il dilapiderait des milliards de dollars et endette le pays. Je m’inquiétais de l’idolâtrie aveugle de ceux qui le traitaient comme une réincarnation de Jésus ou d’Elvis Presley, alors qu’il n’était, évidemment, ni l’un ni l’autre.

Je ne m’attendais pas, je l’ai dit, et je le redis ici, à ce qu’il se révèle dangereux et destructeur à ce point. Je comptais sur la solidité des institutions américaines, sur les principes de « surveillance et d’équilibre » qui, en général, permettent qu’un pouvoir en tempère et en modère un autre.

Dans une situation où deux pouvoirs sur trois, l’exécutif et le législatif, sont aux mains de gens qui ne sont pas hantés par les scrupules, les institutions sont fragilisées : on l’a vu de manière très claire lors des manœuvres, contorsions et contournements de procédure, qui ont précédé le vote de la loi de « réforme du système de santé », qui n’a de « réforme du système de santé » que le nom.

Je comptais sur un minimum d’éthique chez un certain nombre de représentants et de sénateurs Démocrates pour s’opposer à des nominations trop marquées idéologiquement, ou pour s’inquiéter de la façon dont le Président monopolise des dossiers, sans même consulter le Congrès. Il y parvient en nommant des « tsars », chargés de tous les dossiers possibles et imaginables, qui vont du « dialogue entre les religions » (confié à une musulmane proche d’une organisation wahhabite, bien entendu), aux relations avec les syndicats.

Il n’y a eu, pour l’heure, ni opposition ni inquiétude, et, outre quarante tsars, Obama a pu nommer des gens aux attaches islamiques prononcées à des postes importants, touchant la sécurité nationale : Arif Alikhan et Kareem Shora.


Obama pense que nous pouvons tous nous tenir par la main béatement, chanter des chansons et brandir des symboles pacifistes (Rudy Giuliani)

Il vient de nommer Rashad Hussain - l’un des avocats de Sami al Arian, convaincu d’avoir organisé le financement, depuis les Etats-Unis, de fonds pour le « Djihad islamique palestinien » - envoyé spécial des Etats-Unis auprès de l’Organisation de la Conférence Islamique, avec rang de ministre plénipotentiaire.

Je comptais sur un réveil de la presse et des grands médias : celui-ci tarde à venir. Le seul bon signe de ce côté est que les ventes des grands magazines d’actualité, Newsweek et Time sont en chute libre, comme celles du New York Times.

Du côté des télévisions, ce qui reste une autre bonne nouvelle, Fox news est désormais, de très loin, la première chaîne du câble.

Mais des nouvelles sont déformées outrageusement : des Tea Parties qui attirent trente mille personnes sont décrites comme ayant « quelques dizaines de participants ». Ou, plus grave, les Tea Parties sont présentées comme « racistes », quitte à ce que soient utilisés à cette fin de faux témoignages. Je ne parlerai pas, pour l’heure, de manipulation de l’opinion, mais je ne suis plus très loin de penser que ces mots seraient adéquats.

Je ne m’étais pas penché de manière détaillée sur le profil psychologique d’Obama, ce qui était une erreur de ma part. Je n’étais pas le seul, il est vrai, à ne pas l’avoir fait.

Je constate que, depuis quelques jours, des commentateurs se posent des questions à ce sujet. Anne Kornblut, dans le Washington Post, relate une récente rencontre avec des électeurs Démocrates et explique, d’une manière très détaillée, l’inaptitude d’Obama à répondre à des questions simples, dès lors qu’il ne dispose pas de son téléprompteur.

Mais aussi, son aptitude à dire une chose et son contraire à quelques minutes d’intervalle. L’article du Washington Post en a suscité un autre, dans le San Francisco Chronicle, un troisième dans le Wall Street Journal.

Sur le site Pajamas media, dans un texte appelé « President Weirdo » (Président bizarre), Roger Simon élargit la perspective, note d’autres incidents, et manifeste une profonde anxiété : Obama est sans doute un socialiste, dit-il, mais le problème est plus complexe. « Cet homme a une inaptitude psychologique à gouverner ». « Il a été élu par des gens qui ne savaient presque rien de lui. Il est maintenant notre président jusqu’en 2012 au moins. Je dois nous souhaiter bonne chance ».

Je partage l’anxiété de Roger Simon. J’aimerais pouvoir me dire que ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Mais cela devient vraiment un très mauvais moment.

Parce que j’aime les Etats-Unis, je ressens ce moment avec douleur. Parce que je sais que la puissance américaine est tout ce qui nous sépare, sur terre, du règne des barbares, je crains plus qu’il y a quelques mois que cette plaisanterie ne s’achève tragiquement.

Parce que je vois le traitement subi par Israël de la part d’Obama, et que je vois que les gouvernements européens en profitent pour en rajouter, je suis partagé entre l’indignation et le dégoût.

Le grand poète et écrivain canadien David Solway a publié, il y a quelques jours, une lettre ouverte au peuple américain intitulée : « Qu’avez-vous fait ? ». Et le texte explique : comment avez-vous pu élire ce personnage et lui confier de telles responsabilités ? « Vous allez en payer le prix. Mais vous ne serez pas seuls à payer, Et nous avons, en ces conditions, le droit de vous le dire, oui : qu’avez-vous fait ? ».

Alors que j’achevais cet article, Obama a pris une décision qui a suscité l’extase dans toutes les rédactions européennes, mais qui a montré la justesse de l’interpellation de David Solway : un renoncement à la dissuasion nucléaire.

Je cite le document officiel : « Les Etats-Unis renoncent à utiliser l’arme nucléaire contre des pays ne disposant pas officiellement d’armes nucléaires, même en cas d’attaque venant de l’un de ces pays ».

Je citerai là le commentaire à chaud de Rudy Giuliani : « Obama pense que nous pouvons tous nous tenir par la main béatement, chanter des chansons et brandir des symboles pacifistes. Il devrait s’apercevoir que la Corée du Nord et l’Iran ne sont pas prêtes à chanter avec lui ».

Celui de Charles Krauthammer : « une décision ridicule ou relevant de la maladie mentale ». Quelle sera la décision suivante ? J’ai renoncé à tenter d’imaginer.

Tandis que je rajoutais ce dernier paragraphe, j’ai appris une nouvelle décision : les scientifiques israéliens travaillant à la centrale de Dimona se voient désormais refuser tout visa d’entrée aux Etats-Unis. Voici quelques jours, Tariq Ramadan, lui, recevait un visa qui lui avait longtemps été refusé….


Metula
Re: Obama
13 avril 2010, 04:59
Ce qui me gene beaucoup dans les attaques contre Obama c'est qu'elles sont le plus souvent de nature raciste. Les tea party sont l'expression de cela... Mais pas que. On a aussi des médias comme les émissions de Rush Lumbaugh ou encore Fox News.

Vue qu'on ose pas s'attaquer au fait qu'il soit noir - ça ferait too much - on l'accuse d'être un "musulman caché" et qu'il favoriserait le monde musulman.

Obama est l'un des président qui s'est le moins préoccupé sérieusement du conflit israelo palestinien. Meme Bush avec Anapolis était plus actif. Il n'a même pas envie de faire pression sur Israel... Quand Clinton y arrivait très bien.

Obama regarde vers l'Asie et défend de manière intelligente à la fois les intérêts des USA et l'image à l'international qui était très difficile sous Bush.
Re: Obama
15 avril 2010, 23:07
Cela a toujours été mon avis...Mais que vaut mon avis ?
UN DANGEUREUX SILENCE..... ORCHESTR? PAR hussein obama
16 avril 2010, 01:22
Un dangereux silence !

Par Ed Koch

Je pleure en tant que témoin des monstrueuses attaques verbales contre Israël.

Ce qui rend ces agressions verbales et ces distorsions d'autant plus pénibles, c'est qu'elles sont orchestrées par le président Obama.

Pour moi, la situation actuelle rappelle ce qui s'est passé quand l'empereur romain Vespasien a lancé une campagne militaire contre

le peuple juif et son antique capitale de Jérusalem. En fin de compte, Masada, un plateau rocheux dans le désert de Judée est devenu

le dernier refuge du peuple juif contre les assauts romains. Je suis allé à Jérusalem et à Massada. Du haut de Masada, vous pouvez

encore voir les vestiges des fortifications romaines et des garnisons, la rampe de pierres et de terre utilisée pour parvenir à Masada

lors du siège romain. Les Juifs de Massada se suicidèrent plutôt que de se laisser prendre en captivité par les Romains.

A Rome même, j'ai vu l'Arc de Titus avec la sculpture montrant les juifs réduits à l’esclavage et les trésors du Temple juif de

Salomon dont la Menorah, symbole de l'Etat juif, transportée au loin comme un butin lors du pillage de Jérusalem.

Oh, vous pourriez dire, que c’est de très loin une analogie rapportée . Alors , ecoutez donc !

Le pillage le plus récent de la vieille ville de Jérusalem – son quartier juif - a eu lieu sous les Jordaniens en 1948 lors

de la première guerre entre Juifs et Arabes, dont au moins cinq Etats musulmans - Egypte, Jordanie, Liban,

Syrie et l'Irak – qui cherchèrent à détruire l'Etat juif.

A cette époque, la Jordanie conquit Jérusalem-Est et la Cisjordanie et expulsa tout Juif vivant dans le quartier juif

de la vieille ville, détruisant tous les bâtiments, y compris les synagogues du vieux quartier et chassant de toute part

de la Judée et de la Samarie chaque Juif y vivant, ceci pour la première fois depuis des milliers d'années, rendant

la vieille ville fortifiée de Jérusalem et la Cisjordanie adjacente "Judenrein" - un terme utilisé par les nazis pour

désigner le déplacement forcé ou l’extermination des Juifs.

Les juifs vécurent pendant des siècles à Hébron, la ville où Abraham, le premier juif, implanta sa tente et où l’on

suppose par ailleurs qu’il y est enterré, avec son épouse, Sarah, ainsi que d'autres des anciens patriarches

et des matriarches juifs .

J'ai visité ce tombeau et à un moment j’ai demandé à un soldat israélien qui le gardait – il est ouvert aujourd’hui

à tous les pèlerins, chrétiens, musulmans et juifs - "Où se trouvait donc la septième étape conduisant à la tombe

d'Abraham et de Sarah, et qui était alors l’entrée la plus éloignée pour les Juifs quand les autorités musulmanes

contrôlaient ce lieu saint? Il répondit: "Quand nous avons repris et réuni toute la ville de Jérusalem et conquis

la Cisjordanie en 1967, nous avons supprimé les étapes, maintenant tout le monde peut entrer", alors que lorsque

les musulmans contrôlaient le tombeau , aucun Juif ne pouvait y entrer. C’est ce que je fis.


Je ne suis pas une personne religieuse. Je me sens à l'aise dans une synagogue ou en général, je m’y

rends seulement deux fois dans l’année au moment des grandes fêtes. Lorsque je suis entré dans le tombeau

d'Abraham et de Sarah, si je me souviens, j’ai ressenti un lien avec mon passé et les traditions de mon peuple.

On est juif par la naissance d'abord, puis par la religion. Ceux des juifs qui quittent leur religion, le restent toujours

en vertu de leur naissance. S’ils ne le croient pas, qu'ils demandent à leurs voisins, qui seront toujours là pour le

leur rappeler. Je me rappelle les mots de l'éditorialiste Robert Novak, qui fut presque tout au long de sa vie hostile

à l'Etat juif d'Israël, lors d’une interview donne à un journaliste, il déclara que, bien que converti au catholicisme,

il était encore un Juif par sa culture. "Je reste avec fierté un Juif à la fois par la religion et la culture."

Mon soutien à l'Etat juif est de longue date et constant. Jamais je n'ai pensé que je pourrais quitter le pays pour

aller vivre en Israël. Ma loyauté et mon amour sont d'abord pour les États-Unis qui ont tellement donné à ce fils

d'immigrants juifs polonais que je suis. Mais, je suis depuis longtemps conscient du fait que tous les soirs alors

que je m’endors dans la paix et la sécurité, il y a des communautés juives dans le monde entier en danger.

Et, qu’il existe un seul pays, Israël, prêt à leur donner un asile et à envoyer ses soldats se battre pour eux

et les délivrer du mal, tout comme Israël l'a fait à Entebbe en 1976.

Je pleure aujourd'hui parce que mon président, Barack Obama, a , en quelques semaines , transformé les

relations entre les États-Unis et Israël , de celles de plus proches alliés, à celles dans lesquelles il y a une absence

de confiance des deux côtés. Le contraste dans la façon dont le président et son administration traite Israël et la façon

dont il a décidé de traiter avec l'administration Karzaï en Afghanistan est frappante.

L'administration Karzaï, qui fonctionne comme un état de corruption et de producteur d'opium, refuse de changer ses

méthodes déliquescentes - le propre frère du président est considéré par beaucoup comme meneur du traffic de

drogues qui se déroule en Afghanistan - et bien que manifestant le plus grand mépris pour les États-Unis, est salué

par l'administration Obama comme un allié et est traité publiquement avec dignité. Karzai a même récemment menacé

de rejoindre les talibans, si nous n'arrêtions pas de lui formuler des exigences. Néanmoins, Karzaï a reçu une gracieuse

lettre de remerciement du président Obama.

Le New York Times du 10 avril annonçait que "... que M. Obama avait envoyé à M. Karzai un billet de remerciement

exprimant au leader afghan toute sa gratitude pour le dîner à Kaboul ." C'était une lettre respectueuse ",

a déclaré le général Jones."


D’un autre côte, notre allié le plus proche - celui qui a les meilleures relations avec les États-Unis, a été humilié

et calomnié, tenu pour responsable par l'administration de nos problèmes en Afghanistan et en Irak et ailleurs

au Moyen-Orient. Le dessein que je soupçonne est, d’ainsi affaiblir les résolutions de l'Etat juif et de ses dirigeants

auxquels il sera beaucoup plus facile d'imposer un plan américain pour résoudre le conflit israélo-palestinien,

tout en laissant vaciller les besoins de sécurité d'Israël et ses frontières défendables.

Je crois que la politique du président Obama est de créer une relation nouvelle avec les Etats arabes

de l'Arabie saoudite , avec la Jordanie et l'Egypte et l'Irak comme pion à l'encontre de l'Iran -

Le Tyrannosaure Rex du monde musulman que nous sommes prépares à voir en possession de l’arme nucléaire.

S’il s’avère presque nécessaire de jeter Israël sous le bus pour parvenir à cette alliance , ainsi le sera-t-il !

Je suis choqué par le manque d'indignation de la part des plus ardents partisans d'Israël. Les membres de l'AIPAC,

à la direction du lobby pro-israélien à Washington, se sont levés pour applaudir la secrétaire d'État Hillary Clinton

qui n’a fait que transmettre les directives du Président Obama et, qui lors d’un appel téléphonique de 43 minutes,

a sermonné le Premier ministre Benjamin Netanyahu .

Les membres du Congrès à la Chambre et au Sénat ont fait des déclarations d’une faiblesse pitoyable contre

la maltraitance d’Israël par Obama, comme s’ils n’en avaient pas fait . Les membres démocratiques, en particulier,

sont faibles. Ils ont tout simplement, peur de critiquer le président Obama.

Ce qui me dérange le plus, c'est le silence honteux et l'absence d'action des dirigeants de la communauté -

les Juifs et les chrétiens. Où sont-ils?

S'il s'agissait d'une question de droits civiques, les Juifs seraient dans les rues de Washington protestant avec

et au nom de nos concitoyens américains.

J'ai demandé à un éminent dirigeant juif pourquoi on ne préparerait pas une manifestation à Washington semblable

à celle de 1963, laquelle j’y étais et où fut prononcé le mémorable discours de Martin Luther King? Sa réponse a été :

"Cinquante personnes pourraient venir." Rappelez-vous les années 1930? Peu se levèrent. Ils se turent.

Rappelez-vous la déclaration la plus perspicace de l'un de nos plus grands maîtres, Rabbi Hillel:

"Si je ne suis pas pour moi, qui est pour moi? Et si je ne suis que pour moi, qui suis-je?

Et si pas maintenant, quand?"
Re: Obama
29 avril 2010, 00:46
UNE ANALYSE DE FOND QUI EXPLIQUE LE MONTAGE DIABOLIQUE

DU PIRE PRESIDENT DES USA nommé hussein obama pour déligitimer

ISRAEL , et où nous voyons se profiler son plan d'instaurer un califat mondial,

espérons un réveil trés rapide de l'AMERIQUE DES PERES FONDATEURS

AINSI QUE DE LA COMMUNAUTE JUIVE AMERICAINE , ET QU'ILS

FERONT BARRAGE à SES PROJETS MONSTRUEUX EN ENVOYANT

à CETTE ADMINISTRATION UN MESSAGE CLAIR à LA MI-NOVEMBRE.









Le Président américain Barack Obama se prétend attaché à dire toujours la vérité. Dans les interviews qui ont précédé son voyage en Arabie Saoudite et en Egypte et dans son long discours prononcé jeudi au Caire, il a affirmé que la pièce maîtresse de sa politique proche-orientale était sa volonté de dire aux gens les vérités les plus dures. Dans sa prétendue allocution au monde musulman, Obama a même fait référence, à trois reprises, à la nécessité de dire la vérité.

Malheureusement, pour un discours annoncé comme une manifestation de franchise, cette allocution d’Obama n’aura pas été à la hauteur. Loin d’exprimer des vérités crues, Obama n’a fait preuve que de convenance politique.

Les prétendues vérités adressées par Obama au monde musulman ont pris la forme de déclarations concernant la nécessité de combattre ce que l’on appelle les extrémistes, d’accorder aux femmes l’égalité en droit, d’assurer la liberté de religion et de promouvoir la démocratie. Malheureusement, dans tout ce qu’il a pu dire sur ces questions, il n’y a rien eu de plus que des déclarations abstraites et théoriques, sans application politique.

Obama a parlé de la nécessité de combattre les terroristes musulmans, sans mentionner le fait que leurs infrastructures et leurs soutiens intellectuels, politiques et monétaires provenaient de ces mêmes mosquées, de ces mêmes dirigeants politiques et de ces mêmes régimes saoudien et égyptien, dont il vante la modération et le sens des responsabilités.

Il a parlé de la nécessité d’accorder l’égalité aux femmes, sans faire mention de ces pratiques musulmanes courantes que sont les "crimes d’honneur" et les mutilations génitales féminines. Il a ignoré le fait que partout en terre d’islam, les droits fondamentaux et les droits de l’homme étaient refusés aux femmes. Enfin, il a pondéré ses déclarations en ajoutant, de façon fallacieuse, qu’aux États-Unis, les femmes étaient victimes du même manque d’égalité. En traitant le sujet de la sorte, Obama a fait savoir qu’il se souciait comme d’une guigne de l’oppression des femmes dans le monde musulman.

De même, Obama a parlé de liberté religieuse, tout en fermant les yeux sur l’apartheid religieux en Arabie Saoudite. Il a évoqué les bienfaits de la démocratie, tout en faisant abstraction des problèmes qu’engendre la dictature.

En résumé, Dans son "parler vrai" à l’adresse du monde arabe, après avoir commencé par prétendre mensongèrement que, comme l’Amérique, l’islam cultivait "la justice et le progrès, la tolérance et la dignité de tout être humain", Obama a été sciemment et fondamentalement malhonnête. Par cette malhonnêteté, il a entrepris de placer le monde musulman sur un pied d’égalité morale avec le monde libre.

De manière analogue, dans ses "vérités" crues à propos d’Israël, Obama a usé de malhonnêteté factuelle et morale pour servir des objectifs politiques.

Au premier abord, Obama a paru reprocher au monde musulman son négationnisme généralisé et son antisémitisme veule. En condamnant le négationnisme et l’antisémitisme, il a semblé confirmer sa déclaration antérieure, selon laquelle les liens de l’Amérique avec Israël étaient "inaltérables".

Malheureusement, une analyse attentive de ses déclarations montre qu’Obama adopte bel et bien le point de vue des Arabes, selon lequel Israël serait un élément étranger — et donc injustifiable — dans le monde arabe. En réalité, loin de dénoncer leur refus d’accepter Israël, Obama le légitime.

L’argument fondamental que les Arabes utilisent contre Israël est que la seule raison de sa création aurait été d’apaiser la mauvaise conscience des Européens après la Shoah. Selon leurs dires, les Juifs n’auraient aucun droit sur la Terre d’Israël du point de vue légal, historique et moral.

Or, cet argument est complètement faux. La communauté internationale a reconnu les droits légaux, historiques et moraux du peuple juif sur la Terre d’Israël bien avant que quiconque ait jamais entendu parler d’Adolf Hitler. En 1922, la Société des Nations avait mandaté la "reconstitution" – et non la création – du foyer national juif sur la Terre d’Israël dans ses frontières historiques sur les deux rives du Jourdain.

Cependant, dans ce qu’il présentait lui-même comme un exemple de parler-vrai, Obama a ignoré cette vérité fondamentale au profit du mensonge arabe. Il a donné du crédit à son mensonge en déclarant, hors de propos, que "l’aspiration à un territoire juif est ancrée dans un passé tragique". Il a ensuite lié de façon explicite la création de l’État d’Israël à la Shoah, en formulant une leçon d’histoire intéressée sur le génocide des Juifs d’Europe.

Pire encore que son aveuglement délibéré vis-à-vis des justifications historiques, légales et morales de la renaissance d’Israël, il y a la manière dont Obama a évoqué Israël même. De façon odieuse et mensongère, Obama a allègrement comparé la manière dont Israël traite les Palestiniens à celle dont les esclavagistes blancs, en Amérique, traitaient leurs esclaves noirs. De même, il a assimilé les terroristes palestiniens à la catégorie, moralement pure, des esclaves. De façon plus ignoble encore, en utilisant le terme de "résistance", euphémisme arabe pour désigner le terrorisme palestinien, Obama a conféré à celui-ci la grandeur morale des révoltes des esclaves et du mouvement des droits civiques.

Cependant, aussi décevante et franchement obscène qu’ait pu être la rhétorique d’Obama, les orientations politiques qu’il a définies sont bien pires encore. Tout en bavassant sur l’idée que l’islam et l’Amérique seraient les deux faces d’une même pièce, Obama a annoncé deux mesures. Tout d’abord, il a déclaré qu’il allait obliger Israël à cesser complètement toute construction pour les Juifs en Judée, en Samarie et dans les parties est, nord-est et sud-est de Jérusalem. Ensuite, il a déclaré qu’il allait s’efforcer de convaincre l’Iran d’échanger son programme d’armement atomique contre un programme d’énergie nucléaire.

Obama a affirmé que la première de ces deux mesures allait permettre la paix et que la seconde allait empêcher l’Iran d’acquérir des armes atomiques. Néanmoins, si l’on y réfléchit, il est clair qu’aucune de ces mesures ne saurait aboutir à l’objectif évoqué. En fait, l’impossibilité d’atteindre, par ces mesures, les objectifs au nom desquels il prétend les avoir adoptées est tellement évidente, qu’il convient de chercher à comprendre quelles peuvent être les véritables raisons de leur adoption.

La politique de l’administration américaine vis-à-vis des constructions juives au cœur d’Israël et dans sa capitale reflète une hostilité considérable à l’égard d’Israël. Non seulement elle fait fi des engagements explicites pris par l’administration Bush vis-à-vis d’Israël, mais elle est en contradiction avec un accord de longue date entre les gouvernements israéliens et américains successifs, consistant à s’abstenir mutuellement de causer du tort à l’autre partie.

Qui plus est, le fait que l’administration américaine ne puisse pas s’empêcher d’attaquer Israël sur les constructions juives à Jérusalem, en Judée et en Samarie tout en ne trouvant rien à redire au projet du Hezbollah de prendre le pouvoir au Liban la semaine prochaine, ni au consensus génocidaire du Hamas, ni à l’implication du Fatah dans le terrorisme, ni aux liens entre la Corée du Nord, l’Iran et la Syrie, ne peut qu’être lourd de conséquences pour les perspectives de paix dans la région.

Comme l’a exprimé clairement Mahmoud Abbas, le chef du Fatah, dans une interview accordée au Washington Post la semaine dernière, à la lumière de l’hostilité de l’administration américaine envers Israël, l’Autorité palestinienne n’estime plus nécessaire de faire la moindre concession d’aucune sorte à Israël.

Elle n’a nul besoin d’accepter de reconnaître Israël comme un État juif.
Elle n’a nul besoin de revenir sur son exigence de voir Israël commettre un suicide démographique en acceptant d’accorder la pleine citoyenneté à des millions d’Arabes étrangers et hostiles.
Elle n’a pas besoin non plus de réduire ses exigences territoriales, selon lesquelles Israël devrait être contenu dans des frontières indéfendables.
En résumé, en s’en prenant à Israël et en prétendant qu’Israël est responsable de l’absence de paix, l’administration américaine encourage les Palestiniens et l’ensemble du monde arabe à continuer de rejeter Israël et de refuser de faire la paix avec l’État juif.

Il semble que le gouvernement de Netanyahu craigne qu’Obama et ses conseillers n’aient monté en épingle la question des implantations que pour chercher à le renverser, afin de le remplacer par le parti Kadima, plus malléable. Des sources gouvernementales font remarquer que le chef de cabinet de la Maison Blanche, Rahm Emmanuel, lorsqu’il était conseiller du président Bill Clinton, avait joué un rôle de premier plan dans la déstabilisation du premier gouvernement de Netanyahu en 1999. Elles font remarquer également que Rahm Emmanuel s’efforce actuellement, conjointement avec des Israéliens de gauche, liés au parti Kadima, et des Juifs américains liés au parti démocrate, de discréditer le gouvernement israélien.

S’il ne fait aucun doute que l’administration Obama préférerait voir un gouvernement de gauche à Jérusalem, il est cependant peu probable que ce soit là le principal objectif des attaques de la Maison blanche contre Israël. C’est en premier lieu parce qu’aujourd’hui, il y a peu de risque que les partenaires de la coalition abandonnent Netanyahu.

Par ailleurs, les Américains n’ont aucune raison de croire que les perspectives d’un accord de paix s’amélioreraient avec un gouvernement de gauche à Jérusalem. En effet, malgré tous ses efforts, le gouvernement Kadima n’a pas été capable de faire la paix avec les Palestiniens, pas davantage que le gouvernement travailliste qui l’avait précédé. Ce que les Palestiniens n’ont jamais cessé de montrer depuis l’échec du sommet de Camp David en 2000, c’est qu’ils n’accepteront jamais aucune offre qu’Israël pourrait leur proposer.

L’objectif de l’administration américaine, en s’en prenant à Israël, n’est donc ni d’avancer vers la paix, ni de faire tomber le gouvernement Netanyahu. Mais alors, comment expliquer une telle attitude ?

La seule explication vraisemblable, c’est que l’administration américaine compte abandonner l’État juif, jusqu’ici son allié, au profit de liens plus chaleureux avec les Arabes. Elle a choisi d’attaquer Israël sur la question des constructions juives parce qu’elle considère qu’en se focalisant sur cette question, elle minimisera le prix qu’elle sera obligée de payer chez elle pour avoir brisé l’alliance entre les États-Unis et Israël. En faisant croire qu’il ne fait pression sur Israël que pour permettre une solution pacifique, la "solution des deux États", Obama escompte parvenir à conserver sa base électorale chez les Juifs américains, qui ne s’apercevront pas de l’hostilité que dissimule sa position "pro-paix".

La politique d’Obama vis-à-vis de l’Iran est le complément logique de sa politique à l’égard d’Israël. De même qu’il n’a aucune chance de faire progresser la paix au Proche-Orient en s’attaquant à Israël, ce n’est pas en proposant l’énergie nucléaire aux mollahs qu’il empêchera l’Iran d’acquérir un armement atomique. Le marché qu’Obama propose aujourd’hui à l’Iran est déjà sur la table depuis 2003, quand le programme nucléaire iranien a été dévoilé pour la première fois. Depuis six ans, les Iraniens l’ont toujours rejeté. La semaine dernière encore, ils ont annoncé une nouvelle fois qu’ils le rejetaient.

Là encore, pour comprendre quel est le véritable objectif du président américain, c’est du côté des États-Unis qu’il faut chercher les réponses. Sachant qu’avec une telle politique, Obama n’a aucune chance d’empêcher l’Iran de se doter de l’arme atomique, il est évident qu’en réalité, il a accepté la perspective d’un Iran nucléarisé. Sous cet éclairage, l’explication la plus cohérente de sa politique de dialogue avec l’Iran est qu’il désire éviter d’être critiqué lorsque ce pays fera son apparition comme puissance nucléaire dans les mois à venir.

Pour savoir à quoi s’en tenir avec l’administration Obama, il est impératif que le gouvernement Netanyahu et le public comprennent quels sont les véritables objectifs de sa politique actuelle. Heureusement, comme les sondages le montrent encore et toujours, dans leur écrasante majorité, les Israéliens se rendent compte que la Maison blanche est profondément hostile à Israël. Les statistiques montrent aussi que l’opinion publique approuve la façon dont Netanyahu gère les relations avec Washington.

Pour aller de l’avant, le gouvernement [israélien] doit entretenir cette prise de conscience et ce soutien du public. Par ses discours comme par ses actes, Obama n’a pas seulement montré qu’il n’était pas un ami d’Israël. Il a aussi montré que rien de ce qu’Israël pourrait faire ne le ferait jamais changer d’avis.
Re: Obama
29 avril 2010, 02:02
Exilée, bien dommage que vous soyez raciste et islamophobe. Vous faites encore un dérapage.

L'utilisation de "Hussein" vous trahit.

Quant au texte que vous publiez est traduit d'article du site d'extreme droite juif Jewish world Review qui est un rejeton idéologique de ce qu'il y a de pire dans le judaisme récent: des gens comme Meir Kahane.

Tu devrais de désolidariser de tout ça.
Re: Obama
29 avril 2010, 02:54
Mon article ne s'adresse pas à des obscurantistes tels que vous et aux

PREDATEURS tels que ceux qui pullulent en ce moment .

Les ANALYSTES ECLAIRES qui dérogent au climat détestable de désinformation

finiront par faire TRIOMPHER LA VERITE.


Cette mascarade "d'information" que les islamistes veulent imposer à notre

civilisation sera SANCTIONEE EN SON TEMPS .


Pour les ennemis de la démocratie , nous leur disons que :

LA VERITE EST TÊTUE !!


je voudrais citer à l'intention de hussein oblabla -obamao qui se

"réfère ", le pauvre , d'un grand président de L'AMERIQUE DES PERES FONDATEURS ,

dont il n'a NI LE PATRIOTISME AMERICAIN NI LA STATURE ceci ;


Citation du président AMERICAIN ABRAHAM LINCOLN :


<< ON PEUT ABUSER TOUT LE MONDE UN CERTAIN TEMPS,

ON PEUT ABUSER QUELQUES UNS TOUT LE TEMPS ,

MAIS ON NE PEUT PAS ABUSER TOUT LE MONDE , TOUT LE TEMPS >>>

Il y a déjà beaucoup d'AMERICAINS qui l'ont déjà DEMASQUE., nous assistons

à la multiplication des manifestations telles que les "TEA-PARTY" .


Ce pire président des USA a beaucoup de coins d'ombre dans sa vie , il a

même refusé de fournir son "acte de naissance" , ce qui en dit long sur

sur ses "DESSEINS" machiavéliques , mais au contraire des européens

je fais confiance à la COMBATTIVITE DES AMERICAINS qui le sanctionneront .



Il a beau gesticulé pour masquer ses ECHECS , essayé de se FAIRE LES CROCS SUR

LE DOS D'ISRAEL , il ne réussira pas trés longtemps encore !


Quant à votre charabia qui ne convainc que vous , sachez que vos "appréciations"

sur l'origine des "articles "qui vous dérangent , puisqu'ils vont à l'encontre de cette

BIEN-PENSANCE REGNANTE, j'en suis tout à fait IMPERMEABLE , ET SOUFFREZ

DE LIRE ENCORE DE L'INFORMATION ET NON DES" OPINIONS" COMME NOUS

LES FOURNISSENT LES MEDIAS DESINFORMATEURS !!!

ceci clôt mon intervention à vos délires
Re: Obama
29 avril 2010, 10:16
Par Dan Calic

Lisez cette lettre, elle est juste et directe.

Le reel problem n’est pas la construction de logements mais bien la volonté des palestiniens de détruire Israël. Mr. President: Il semble que vous voyez en Israël l’obstacle principal à la poursuite du processus de « paix » avec la construction de logements à Jérusalem-Est.

Si vous me permettez, je voudrais respectueusement suggérer quelques sujets sur lesquels vous pourriez concentrer votre attention. Par exemple, lorsque le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a demandé qu’Israël soit accepté comme un Etat juif, le président palestinien
Mahmoud Abbas a répondu en disant: «Je ne l’accepte pas. » Gardez à l’esprit, Monsieur le Président, que seulement 76% de la population d’Israël est juif. 20% de 7,5 millions d’habitants du pays sont les Arabes qui jouissent de tous les avantages de la citoyenneté. En revanche, il n’y a même pas 1% de citoyens juifs dans aucun pays arabe. Le Moyen-Orient arabe se compose de 22 pays couvrant cinq millions de miles carrés avec une population de plus de 325 millions d’habitants, plus de 90% d’entre eux sont musulmans. Israël a un peu plus de 5,5 millions de Juifs et est à peu près la taille de l’État du New Jersey (qui se classe 47e sur 50 États des États-Unis dans lataille.) Israël est le seul pays sur terre où les Juifs sont en majorité, pourtant, s’il désire maintenir cela, il est étiqueté comme «raciste». M. Abbas a exigé le droit d’exiger le retour pour tous les « réfugiés »palestiniens, en disant « je ne vais pas renoncer à cette demande. » L’accomplissement de cette exigence permettrait d’éliminer la majorité juive en Israël, et ainsi transformer le seul pays où les Juifs de la Terre ont une maison en un état dominé par les Arabes. Les Juifs seraient relégués au statut de minorité dans ce qui était leur propre pays. Avec une majorité arabe, les lois anti-juives seraient vraisemblablement passées. Les Juifs n’auraient plus leurs propres forces militaires, de sécurité ou de police pour les protéger contre une majorité arabe hostile. Ils se verraient refuser l’accès aux lieux saints comme le Mur des Lamentations. Leurs autres lieux saints seraient probablement profanés comme ils étaient avant qu’Israël ne gagne Jérusalem-Est dans la guerre des Six Jours. Ils auraient à chercher refuge au-delà des frontières de ce qui doit être leur patrie, commençant ainsi la création d’une nouvelle tragique diaspora. M. Abbas a été défini par vous-même et beaucoup d’autres comme un «modéré» par rapport à la direction plus radicale du Hamas. Vous, comme beaucoup d’autres, semblent croire que les mesures à prendre pour résoudre le conflit soient la Terre pour la Paix sous la forme d’une «solution à deux Etats ». Dans ce scénario, Israël
devra faire des « sacrifices douloureux » en abandonnant son cœur biblique afin d’obtenir «la paix». Monsieur le Président, savez-vous que les
deux précédents Premiers ministres israéliens avaient offert aux Arabes au moins 95% des terres qu’ils demandent, y compris les échanges de terres et la division de Jérusalem? À la lumière de l’offre du Premier Ministre Nétanyahou de 60% de la Judée / Samarie, celles des précédents dirigeants semblent assez incroyables. Pourtant, ces deux offres exceptionnelles ont été rejetées. Savez-vous pourquoi elles ont été rejetées? La raison est consignée par écrit, il vous est possible à vous ou à toute personne intéressée de le lire, dans l’article 12 de la charte du Fatah, où les «modéré» comme Abbas font part de leur objectif de «libération totale de la Palestine, et l’éradication économique, politique, militaire et culturelle de l’existence sioniste. L’article 19 stipule: « …. cette lutte ne cessera pas tant que l’Etat sioniste ne sera pas démoli et la Palestine est complètement libérée. » En anglais clair, (ou en français) cela signifie qu’ils dénient le droit d’Israël à exister, point final, peu importe ce que les frontières seront. Il convient de le remplacer par un Etat dominé par les Arabes de Palestine, éliminant ainsi tout à fait la seule patrie souveraine pour le peuple juif. Sont-ce là les objectifs d’un « modéré »? Récemment, le vice-président Biden a suggéré qu’Israël était « une atteinte à la confiance dont nous avons besoin en ce moment …. » Faisant référence à l’annonce de la construction de maisons à Jérusalem-Est tandis que Biden était là. Pourtant, avec Biden, vous restez silencieux lorsque Mahmoud Abbas assiste régulièrement des événements avec le drapeau palestinien couvrant non seulement la Judée et la Samarie, mais l’ensemble du pays d’Israël. Et vous ne le condamnez pas pour nommer une rue à Ramallah du nom d’un terroriste qui a tué 37 civils israéliens en 1978. Un sondage vient de sortir, il indique qu’une majorité d’Américains désapprouve votre attitude envers Israël. En outre, 75% des membres du Congrès américain ont récemment pris la mesure sans précédent de la signature d’une lettre vous demandant de traiter Israël de manière plus équitable. Êcoutez -vous, Monsieur le Président? Si c’est le cas avec tout le respect, où est votre sens de l’équité? En résumé, il semble que le respect des points susmentionnés, dont le nombre vise individuellement et collectivement la destruction d’Israël, constituent un obstacle bien plus grand à la paix que la construction de maisons à Jérusalem-Est. Si vous êtes intéressés à discuter de ces questions plus en détail, peut-être nous pourrions organiser un « sommet de la bière » si votre emploi du temps le permet. Je me réjouis, par avance, de pouvoir vous entendre à votre convenance. S’il en est de même pour vous, je tiens à apporter une bouteille de vin Mogen David afin de la partager avec vous. Sincèrement Dan Calic
Re: Obama
29 avril 2010, 11:19
Citation
l'exilée
Mon article ne s'adresse pas à des obscurantistes tels que vous et aux
PREDATEURS tels que ceux qui pullulent en ce moment .

Lorsque vous participez à un forum, cela s'adresse à tout le monde. Nous étions inscrit ici avant que vous veniez. Ca nous donne pas plus de légitimité ni moins que vous donc.

Citation
l'exilée
Les ANALYSTES ECLAIRES qui dérogent au climat détestable de désinformation

finiront par faire TRIOMPHER LA VERITE.


Cette mascarade "d'information" que les islamistes veulent imposer à notre

civilisation sera SANCTIONEE EN SON TEMPS .

De quoi parlez vous précisément?


Citation
l'exilée
je voudrais citer à l'intention de hussein oblabla -obamao qui se

"réfère ", le pauvre , d'un grand président de L'AMERIQUE DES PERES FONDATEURS ,

Vous êtes insultante et raciste. Il manquerait plus que vous le traitiez de singe et de bamboula? Vous faites encore une dérapage.

Citation
l'exilée
dont il n'a NI LE PATRIOTISME AMERICAIN NI LA STATURE ceci ;


Citation du président AMERICAIN ABRAHAM LINCOLN :


<< ON PEUT ABUSER TOUT LE MONDE UN CERTAIN TEMPS,

ON PEUT ABUSER QUELQUES UNS TOUT LE TEMPS ,

MAIS ON NE PEUT PAS ABUSER TOUT LE MONDE , TOUT LE TEMPS >>>

Il y a déjà beaucoup d'AMERICAINS qui l'ont déjà DEMASQUE., nous assistons

à la multiplication des manifestations telles que les "TEA-PARTY" .

Ces Tea party sont organisées par les républicains et par les partisans de Sarah Palin. C'est de la politique politicienne américaine classique.

Citation
l'exilée
Ce pire président des USA a beaucoup de coins d'ombre dans sa vie , il a

même refusé de fournir son "acte de naissance" , ce qui en dit long sur

sur ses "DESSEINS" machiavéliques , mais au contraire des européens

je fais confiance à la COMBATTIVITE DES AMERICAINS qui le sanctionneront .

Vous dites n'importe quoi! Vous répétez texto les mensonges qui ont été proférés par l'extrême droite américaine.


Citation
l'exilée
Il a beau gesticulé pour masquer ses ECHECS , essayé de se FAIRE LES CROCS SUR

LE DOS D'ISRAEL , il ne réussira pas trés longtemps encore !


Quant à votre charabia qui ne convainc que vous , sachez que vos "appréciations"

sur l'origine des "articles "qui vous dérangent , puisqu'ils vont à l'encontre de cette

BIEN-PENSANCE REGNANTE, j'en suis tout à fait IMPERMEABLE , ET SOUFFREZ

DE LIRE ENCORE DE L'INFORMATION ET NON DES" OPINIONS" COMME NOUS

LES FOURNISSENT LES MEDIAS DESINFORMATEURS !!!

ceci clôt mon intervention à vos délires

Essayez des articles plus neutres, plus intelligibles, plus intelligents.

S'abreuver d'article kahaniste ou du front national, je trouve pas ça très intelligent.
Re: Obama
30 avril 2010, 01:57
LISON,

Le doute n'est plus permis dans la démarche du pire président que

les AMERICAINS ont élu.

Il suffit de relire son parcours , dont d'ailleurs beaucoup de points

restent nébuleux, de voir ses fréquentations , ses mentors, tels que les

grands antisémites déclarés jeremy wright et les blacks muslims , à cela,

il faudrait ajouter les "sponsors" de certains pays arabes qui ont "payé"

ses études , devant lesquels il ne cesse de se prosterner .

Cette "musulmanité" qu'il a, tout au long de sa campagne caché , est devenue

son "cheval de bataille" .

Sa "mission" est d'imposer l'islam aux Américains allant jusqu'à oser

prétendre que l'islam a "contribué" à la civilisation AMERICAINE ,

je crois que dans les annales des faussaires, on pourrait lui attribuer

le prix du plus grand fabulateur .

Espèrons que les élections de novembre lui signifieront un coup d'arrêt

à cette politique dévastatrice .

Ce qui est trés grave , c'est que sa nuisance n'est pas seulement dirigée contre

notre cher ETAT, mais son objectif est également d'affaiblir L'AMERIQUE .
LE "FATAL" hussein obama "RATTRAP?" PAR UN SCANDALE SEXUEL !!!
03 mai 2010, 06:43
Obama au coeur d'un scandale sexuel


L'info lâchée par le magazine allemand Globe fait l'effet d'une bombe.

Obama aurait eu une aventure avec une des ses assistantes.

Si cette rumeur se précise, elle pourrait coûter très cher au président américain

Après l'affaire "Monica Lewinski" qui avait frappé de plein fouet le démocrate Bill Clinton,

il se pourrait bien que l'on assiste à un "Veragate" qui pourrait faire très mal à Barack Obama.

En effet, selon le magazine allemand "Globe", le président américain aurait eu une liaison avec Vera Baker.

Cette femme, âgée de 35 ans, était l'assistante d'Obama lors de la campagne du candidat au siège de

sénateur de l'Illinois en 2004.

C'est à cette période qu'ils auraient partagé la même chambre dans un hôtel après un meeting politique.

C'est le chauffeur qui les a conduits à l'hôtel qui a contacté le magazine allemand.

Difficile évidemment de vérifier cette rumeur. Mais le magazine allemand a fait des recherches et a

trouvé les images d'une caméra de surveillance qui aurait filmé toute la scène.

En outre, ils auraient réussi à mettre la main sur des mails "particulièrement tendancieux

" que se seraient échangés Vera Baker et Barack Obama.

D'après d'autres sources, Michelle Obama aurait interdit à son mari de fréquenter son ex-assistante...

Entretemps hussein obama aurait trouvé un job en or à son ex assistante .... en Martinique
Re: Obama
03 mai 2010, 08:21
Elle a pas fini de fantasmer elle !!
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