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INFOS D'ISRAEL 6
Envoyé par marylou
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 02:03 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 1 044 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 06:59 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 1 176 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 07:04 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 1 757 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 09:59 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 10:26 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 1 739 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 11:10 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 1 966 |
mossad a écrit:
-------------------------------------------------------
> Rali est vraiment un admirateur des
> dictateurs...
> Normal, il est de chez eux...
Jusqu'a preuve du contraire, Rali est du Maroc, et le roi Mohamed VI n'est pas un dictateur, loin de la. On l'accuse au contraire de faiblesse politique.
(Voila que tu m'accules a me faire le defenseur de la monarchie marocaine! C'est un comble!)
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> Rali est vraiment un admirateur des
> dictateurs...
> Normal, il est de chez eux...
Jusqu'a preuve du contraire, Rali est du Maroc, et le roi Mohamed VI n'est pas un dictateur, loin de la. On l'accuse au contraire de faiblesse politique.
(Voila que tu m'accules a me faire le defenseur de la monarchie marocaine! C'est un comble!)
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 15:10 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 304 |
Foreign Minister Avigdor Lieberman lashed out against Sweden Thursday night for failing to condemn the article in the mass circulation Aftonbladet alleging that IDF Soldiers abducted Palestinians to harvest their organs, saying Stockholm's refusal to take a stand on this was reminiscent of the Swedish refusal to get involved during World War II.
Swedish Embassy "shares Israel's dismay" over report IDF abducts Palestinians to steal organs.
"It is a shame that the Swedish Foreign Ministry does not get involved when speaking about BLOOD LIBEL against Jews, something that is reminiscent of Sweden's position during World War II when it also did NOT intervene," he said in a sharply worded statement.
[www.jpost.com]
Swedish Embassy "shares Israel's dismay" over report IDF abducts Palestinians to steal organs.
"It is a shame that the Swedish Foreign Ministry does not get involved when speaking about BLOOD LIBEL against Jews, something that is reminiscent of Sweden's position during World War II when it also did NOT intervene," he said in a sharply worded statement.
[www.jpost.com]
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 15:11 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 1 044 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 17:26 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 3 208 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 22:19 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 1 739 |
liberman a en effet proteste violemment contre la suede. le ministere des aff etrangeres suedois au lieu de soutenir son ambassadrice en israel qui condamnait les propos du fameux journal s et entendue dire qu elle nne representait que sa personne...
" vous agissez comme vous avez agi pendant la seconde guerre mondiale"... a dit liberman.
des sanctions seront prises en israel contre le correspondant du torchon suedois au service de je ne sais quel organisation palestinienne...
le mal est fait malheureusement et dieu merci nous ne sommes pas a la merci des europeens qui auraient vite fait de prendre pretexte pour nous accuser de la peste de la grippe porcine et de la fonte des glaciers...
en lybie accueil triomphal pour le terroriste qui est tenu responsable d avoir fait exploser en vol un avion au dessus de lockerby en ecosse.. il a ete relache pour raisons humanitaires ( tu parles )... cette ordure est recu comme un roi... faut qu on m explique pourquoi personne ne condamne encore une fois... seules les familles des victimes qui ne comprennent pas encore...il y avait eu plus de 250 mortts et c etait en 1988.
photo: la terreur recompensee:
Pièces jointes:
" vous agissez comme vous avez agi pendant la seconde guerre mondiale"... a dit liberman.
des sanctions seront prises en israel contre le correspondant du torchon suedois au service de je ne sais quel organisation palestinienne...
le mal est fait malheureusement et dieu merci nous ne sommes pas a la merci des europeens qui auraient vite fait de prendre pretexte pour nous accuser de la peste de la grippe porcine et de la fonte des glaciers...
en lybie accueil triomphal pour le terroriste qui est tenu responsable d avoir fait exploser en vol un avion au dessus de lockerby en ecosse.. il a ete relache pour raisons humanitaires ( tu parles )... cette ordure est recu comme un roi... faut qu on m explique pourquoi personne ne condamne encore une fois... seules les familles des victimes qui ne comprennent pas encore...il y avait eu plus de 250 mortts et c etait en 1988.
photo: la terreur recompensee:
Pièces jointes:
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 23:06 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 1 739 |
ismail hanye qui s est octroye le titre de docteur ( dr en quoi ?) va distribue 400 dollars a 12 mille familles de gaza pour le ramadan. de plus d autres familles se verront octroyer 50 dollars en nourriture..
le taux de chomage ateint 50 % a gaza. c est la faute d israel dit hanye.. ben voyons..
en arabie saoudite a cause notamment de la grippe porcine on prevoit une baise de 35 % au moins du nombre de pelerins de la mecque.. les affaires vont mal... la vengeance des cochons...
le taux de chomage ateint 50 % a gaza. c est la faute d israel dit hanye.. ben voyons..
en arabie saoudite a cause notamment de la grippe porcine on prevoit une baise de 35 % au moins du nombre de pelerins de la mecque.. les affaires vont mal... la vengeance des cochons...
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 août 2009, 23:54 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 3 208 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 21 août 2009, 00:37 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 1 757 |
Les raisons qui ont poussé les Ecossais à relacher le terroriste ne sont pas "humanitaires" mais simplement un cancer de la prostate en stade terminal. Obama a d'ailleurs critiqué cette décision estimant que Megrahi devrait être assigné à résidence. Les journaux londoniens eux parlent de déni de justice !
Sinon pour Lieberman, toujours égal à lui même quand il s'agit de choquer. Comme il y a le fou du village, Lieberman est le fou de son gouvernement ...
Sinon pour Lieberman, toujours égal à lui même quand il s'agit de choquer. Comme il y a le fou du village, Lieberman est le fou de son gouvernement ...
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 21 août 2009, 00:38 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 1 757 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 21 août 2009, 00:50 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 1 757 |
Mais quelles sont les intentions de Benyamin Netanyahou ?
Par Julien Bahloul pour Guysen International News
[www.guysen.com]
Leader de la droite, à la tête d’un gouvernement d’union nationale, soumis à des pressions internationales, on lui prête aujourd’hui des intentions jugées de gauche.
Durant la campagne électorale et les semaines qui ont suivi, Benyamin Netanyahou a volontairement entretenu le flou sur son plan de paix.Aujourd’hui les informations commencent à paraitre, les contours d’une politique diplomatique voient le jour et la vision d’Israël du processus de paix se clarifie.
Alors, que cherche le Premier ministre israélien ?
L’information est quasiment officielle : le Premier ministre israélien a accepté de geler jusqu’au début de l’année 2010 les nouveaux projets de constructions en territoires disputés.
La nouvelle, qui serait passée inaperçue sous le mandat d’Ehoud Olmert tant son revirement à gauche était clair, a fait l’effet d’une bombe en Israël.
Après l’acceptation d’un Etat palestinien démilitarisé, l’annonce du gel des projets de construction a du mal à passer à droite. Il faut dire que ce camp est encore sous le traumatisme de deux « trahisons politiques».
La première s’est produite en 1998. Le gouvernement est alors de droite et déjà à l’époque dirigé par Benyamin Netanyahou. Ce dernier, élu deux ans avant (de justesse) sur fond d’attentats suicide en cascade, revendique son opposition aux accords de paix d’Oslo qu’il accuse d’avoir conduit le pays à cette situation.
Malgré cela, le 23 octobre, il ratifie les accords de Wye Plantation et accepte donc d’évacuer 13% supplémentaires de la Judée-Samarie. Une décision qui entraine plus tard l’éclatement de la coalition gouvernementale et la convocation d’élections législatives anticipées, perdues par B. Netanyahou au profit de son rival de gauche Ehoud Barak.
La seconde « trahison » date de 2005 lorsque le Premier ministre Ariel Sharon, pourtant ancien leader charismatique du mouvement des implantations, ordonne le désengagement total de celles situées dans la Bande de Gaza et de quatre autres dans le nord de la Samarie. Un choix qui là encore provoque des élections anticipées et même la scission du Likoud (les partisans du retrait rejoignant les rangs de Kadima créé juste avant le scrutin).
Ces deux événements hantent encore les militants de la droite israélienne. Trahis coup sur coup par les élus du Likoud qui se sont mis selon eux à « pratiquer une politique de gauche alors qu’ils ont été élus sur un programme de droite », ils essaient aujourd’hui de se convaincre que Benyamin Netanyahou ne renouvellera pas « l’erreur de 1998 ».
« Je me demande si finalement, quel que soit le Premier ministre, le résultat ne sera pas le même : il se pliera aux ordres de Washington », confie l’un d’entre eux.
Les exigences du grand frère américain pour justifier les décisions du Premier ministre israélien ? Possible. Il faut dire que depuis l’accession au pouvoir de Barak Obama, réconciliation avec le monde arabo-musulman oblige, la Maison Blanche est nettement moins clémente à l’égard de Jérusalem.
Cette fois, la position de Washington est claire : un Etat palestinien doit voir le jour et Israël doit cesser toutes ses constructions en Judée Samarie mais également à Jérusalem Est, reconnaissant ainsi implicitement la souveraineté palestinienne sur ces zones. Un avis ouvertement partagé par l’Union européenne.
En échange, Etats-Unis et Egypte s’engagent à faire pression sur les pays arabes pour qu’ils normalisent leurs relations avec Israël. Même si l’exigence est difficile à accepter par Jérusalem, Netanyahou pourrait s’y être résolu en l’échange d’un soutien américain dans la lutte contre le programme nucléaire iranien.
Mais le seul argument des Etats-Unis ne peut pas suffire à lui seul pour expliquer la politique de Jérusalem. Un autre élément d’explication est à chercher au sein même de sa coalition. En effet, si les Travaillistes ne sont pas les plus importants en nombre de sièges, leur chef, Ehoud Barak fait, à bien des égards, figure de Premier ministre bis.
C’est lui, par exemple, qui avait annoncé, (avant le discours du principal intéressé à l’université de Bar-Ilan !), que Benyamin Netanyahou acceptait l’idée d’un Etat palestinien. C’est lui aussi qui a rencontré le plus souvent l’émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell. Et c’est lui enfin qui permet sans hésitation à la communauté internationale de considérer comme « fréquentable » le gouvernement israélien.
Or, Ehoud Barak se trouve dans une situation délicate. A la tête d’un parti relégué au second plan, divisé, vidé de son idéologie par des années d’Intifada et par Kadima, aux structures archaïques, il doit reconquérir le cœur des électeurs de gauche et la jeune garde de son parti, qui dénonce l’entrée de la formation politique au sein du gouvernement. Mais pour Ehoud Barak, le choix était limité : ou bien il conservait son poste au ministère de la Défense, ou bien il aurait perdu sa légitimité pour rester à la tête de son parti.
Si les militants de droite commencent à avoir l’habitude des trahisons, ceux de gauche connaissent depuis bien longtemps la déception liée à la promesse, tant de fois formulée, d’un avenir de paix. Aux débuts des années 90, les parents de gauche rêvaient de l’époque où ils n’auraient pas à voir leurs enfants enfiler un treillis militaire pour partir au front. Aujourd’hui ces mêmes parents déchantent.
Pour faire accepter son choix aux électeurs, Ehoud Barak s’est engagé à œuvrer en faveur du processus de paix et à quitter le gouvernement si la politique de Benyamin Netanyahou ne va pas dans le bon sens. L’heure serait venue de mettre en pratique ces engagements.
La nécessité du maintien de la présence d’Ehoud Barak dans le gouvernement pour le Premier ministre expliquerait donc en partie ses dernières décisions. Mais avec trente ministres dont certains sont issus des rangs les plus à droite de la politique israélienne, sa marge de manœuvre est limitée. Les premiers susceptibles de quitter le navire sont les partis religieux, principaux représentants des habitants de Judée-Samarie, et le parti Israël Beitenou, mené par le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman. Il se murmure depuis quelque temps que ce dernier serait très frustré de se voir mis à l’écart de toutes les initiatives diplomatiques et agacé du rôle joué par le chef des Travaillistes…
D’après certaines informations, Benyamin Netanyahou devrait clarifier sa position dimanche 23 août en Conseil des ministres, soit quelques jours avant sa rencontre avec l’émissaire américain à Londres. 23 août : une nouvelle date historique dans le conflit israélo-arabe ?
Aux yeux de nombreux observateurs, la décision de geler les appels d’offre pour les constructions en Judée-Samarie ne devrait pas entrainer trop de remous au Likoud, plutôt situé au centre droit. En revanche, elle pourrait permettre au Premier ministre de gagner du temps, de tester la sincérité des pays arabes dans leurs intentions de normalisation diplomatique, mais surtout, de renvoyer la balle dans le camp palestinien. Une manière de dire : « à votre tour d’agir pour la paix ».
Par Julien Bahloul pour Guysen International News
[www.guysen.com]
Leader de la droite, à la tête d’un gouvernement d’union nationale, soumis à des pressions internationales, on lui prête aujourd’hui des intentions jugées de gauche.
Durant la campagne électorale et les semaines qui ont suivi, Benyamin Netanyahou a volontairement entretenu le flou sur son plan de paix.Aujourd’hui les informations commencent à paraitre, les contours d’une politique diplomatique voient le jour et la vision d’Israël du processus de paix se clarifie.
Alors, que cherche le Premier ministre israélien ?
L’information est quasiment officielle : le Premier ministre israélien a accepté de geler jusqu’au début de l’année 2010 les nouveaux projets de constructions en territoires disputés.
La nouvelle, qui serait passée inaperçue sous le mandat d’Ehoud Olmert tant son revirement à gauche était clair, a fait l’effet d’une bombe en Israël.
Après l’acceptation d’un Etat palestinien démilitarisé, l’annonce du gel des projets de construction a du mal à passer à droite. Il faut dire que ce camp est encore sous le traumatisme de deux « trahisons politiques».
La première s’est produite en 1998. Le gouvernement est alors de droite et déjà à l’époque dirigé par Benyamin Netanyahou. Ce dernier, élu deux ans avant (de justesse) sur fond d’attentats suicide en cascade, revendique son opposition aux accords de paix d’Oslo qu’il accuse d’avoir conduit le pays à cette situation.
Malgré cela, le 23 octobre, il ratifie les accords de Wye Plantation et accepte donc d’évacuer 13% supplémentaires de la Judée-Samarie. Une décision qui entraine plus tard l’éclatement de la coalition gouvernementale et la convocation d’élections législatives anticipées, perdues par B. Netanyahou au profit de son rival de gauche Ehoud Barak.
La seconde « trahison » date de 2005 lorsque le Premier ministre Ariel Sharon, pourtant ancien leader charismatique du mouvement des implantations, ordonne le désengagement total de celles situées dans la Bande de Gaza et de quatre autres dans le nord de la Samarie. Un choix qui là encore provoque des élections anticipées et même la scission du Likoud (les partisans du retrait rejoignant les rangs de Kadima créé juste avant le scrutin).
Ces deux événements hantent encore les militants de la droite israélienne. Trahis coup sur coup par les élus du Likoud qui se sont mis selon eux à « pratiquer une politique de gauche alors qu’ils ont été élus sur un programme de droite », ils essaient aujourd’hui de se convaincre que Benyamin Netanyahou ne renouvellera pas « l’erreur de 1998 ».
« Je me demande si finalement, quel que soit le Premier ministre, le résultat ne sera pas le même : il se pliera aux ordres de Washington », confie l’un d’entre eux.
Les exigences du grand frère américain pour justifier les décisions du Premier ministre israélien ? Possible. Il faut dire que depuis l’accession au pouvoir de Barak Obama, réconciliation avec le monde arabo-musulman oblige, la Maison Blanche est nettement moins clémente à l’égard de Jérusalem.
Cette fois, la position de Washington est claire : un Etat palestinien doit voir le jour et Israël doit cesser toutes ses constructions en Judée Samarie mais également à Jérusalem Est, reconnaissant ainsi implicitement la souveraineté palestinienne sur ces zones. Un avis ouvertement partagé par l’Union européenne.
En échange, Etats-Unis et Egypte s’engagent à faire pression sur les pays arabes pour qu’ils normalisent leurs relations avec Israël. Même si l’exigence est difficile à accepter par Jérusalem, Netanyahou pourrait s’y être résolu en l’échange d’un soutien américain dans la lutte contre le programme nucléaire iranien.
Mais le seul argument des Etats-Unis ne peut pas suffire à lui seul pour expliquer la politique de Jérusalem. Un autre élément d’explication est à chercher au sein même de sa coalition. En effet, si les Travaillistes ne sont pas les plus importants en nombre de sièges, leur chef, Ehoud Barak fait, à bien des égards, figure de Premier ministre bis.
C’est lui, par exemple, qui avait annoncé, (avant le discours du principal intéressé à l’université de Bar-Ilan !), que Benyamin Netanyahou acceptait l’idée d’un Etat palestinien. C’est lui aussi qui a rencontré le plus souvent l’émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell. Et c’est lui enfin qui permet sans hésitation à la communauté internationale de considérer comme « fréquentable » le gouvernement israélien.
Or, Ehoud Barak se trouve dans une situation délicate. A la tête d’un parti relégué au second plan, divisé, vidé de son idéologie par des années d’Intifada et par Kadima, aux structures archaïques, il doit reconquérir le cœur des électeurs de gauche et la jeune garde de son parti, qui dénonce l’entrée de la formation politique au sein du gouvernement. Mais pour Ehoud Barak, le choix était limité : ou bien il conservait son poste au ministère de la Défense, ou bien il aurait perdu sa légitimité pour rester à la tête de son parti.
Si les militants de droite commencent à avoir l’habitude des trahisons, ceux de gauche connaissent depuis bien longtemps la déception liée à la promesse, tant de fois formulée, d’un avenir de paix. Aux débuts des années 90, les parents de gauche rêvaient de l’époque où ils n’auraient pas à voir leurs enfants enfiler un treillis militaire pour partir au front. Aujourd’hui ces mêmes parents déchantent.
Pour faire accepter son choix aux électeurs, Ehoud Barak s’est engagé à œuvrer en faveur du processus de paix et à quitter le gouvernement si la politique de Benyamin Netanyahou ne va pas dans le bon sens. L’heure serait venue de mettre en pratique ces engagements.
La nécessité du maintien de la présence d’Ehoud Barak dans le gouvernement pour le Premier ministre expliquerait donc en partie ses dernières décisions. Mais avec trente ministres dont certains sont issus des rangs les plus à droite de la politique israélienne, sa marge de manœuvre est limitée. Les premiers susceptibles de quitter le navire sont les partis religieux, principaux représentants des habitants de Judée-Samarie, et le parti Israël Beitenou, mené par le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman. Il se murmure depuis quelque temps que ce dernier serait très frustré de se voir mis à l’écart de toutes les initiatives diplomatiques et agacé du rôle joué par le chef des Travaillistes…
D’après certaines informations, Benyamin Netanyahou devrait clarifier sa position dimanche 23 août en Conseil des ministres, soit quelques jours avant sa rencontre avec l’émissaire américain à Londres. 23 août : une nouvelle date historique dans le conflit israélo-arabe ?
Aux yeux de nombreux observateurs, la décision de geler les appels d’offre pour les constructions en Judée-Samarie ne devrait pas entrainer trop de remous au Likoud, plutôt situé au centre droit. En revanche, elle pourrait permettre au Premier ministre de gagner du temps, de tester la sincérité des pays arabes dans leurs intentions de normalisation diplomatique, mais surtout, de renvoyer la balle dans le camp palestinien. Une manière de dire : « à votre tour d’agir pour la paix ».
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 21 août 2009, 04:40 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 1 757 |
Violations israéliennes contre la mosquée Al-Aqsa
La Ligue arabe a exhorté, mardi, la communauté internationale à intervenir pour mettre un terme aux violations israéliennes contre la mosquée Al-Aqsa.
«Les violations contre la mosquée Al-Aqsa et la politique israélienne pour la judaïsation de la ville sainte se poursuivent encore selon un programme bien planifié», a déploré le secrétaire général adjoint de la Ligue Arabe pour les affaires palestiniennes, Mohamed Sbih dans des déclarations à la presse à l'occasion du 40è anniversaire de l'incendie de la mosquée d'Al-Aqsa.
Il a précisé que 40 ans après, Al-Aqsa est de plus en plus la cible de graves violations, a-t-il dit, mettant en garde contre la poursuite des fouilles sous l'esplanade de la Mosquée qui risquent de provoquer l'effondrement total de l'édifice sacré.
Le responsable a, par ailleurs, indiqué que depuis l'incendie en août 1969 de la mosquée Al-Aqsa, la ville sainte fait face à plusieurs dangers, rappelant les réseaux israéliens spécialisés dans la falsification de titres de propriété pour s'emparer des biens des familles palestiniennes.
M. Sbih a souligné la nécessité pour la communauté internationale et les Etats-Unis d'intervenir pour stopper les violations d'Israël et mettre fin à sa «politique dangereuse» d'implantation de colonies.
Par MAP
[www.lematin.ma]
La Ligue arabe a exhorté, mardi, la communauté internationale à intervenir pour mettre un terme aux violations israéliennes contre la mosquée Al-Aqsa.
«Les violations contre la mosquée Al-Aqsa et la politique israélienne pour la judaïsation de la ville sainte se poursuivent encore selon un programme bien planifié», a déploré le secrétaire général adjoint de la Ligue Arabe pour les affaires palestiniennes, Mohamed Sbih dans des déclarations à la presse à l'occasion du 40è anniversaire de l'incendie de la mosquée d'Al-Aqsa.
Il a précisé que 40 ans après, Al-Aqsa est de plus en plus la cible de graves violations, a-t-il dit, mettant en garde contre la poursuite des fouilles sous l'esplanade de la Mosquée qui risquent de provoquer l'effondrement total de l'édifice sacré.
Le responsable a, par ailleurs, indiqué que depuis l'incendie en août 1969 de la mosquée Al-Aqsa, la ville sainte fait face à plusieurs dangers, rappelant les réseaux israéliens spécialisés dans la falsification de titres de propriété pour s'emparer des biens des familles palestiniennes.
M. Sbih a souligné la nécessité pour la communauté internationale et les Etats-Unis d'intervenir pour stopper les violations d'Israël et mettre fin à sa «politique dangereuse» d'implantation de colonies.
Par MAP
[www.lematin.ma]
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 21 août 2009, 08:55 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 1 739 |
Liberman contre la Suède : Durant la Seconde Guerre mondiale non plus vous n’êtes pas intervenus / Maya Bengal – Maariv
Le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Liberman, s’en est violemment pris hier au ministère suédois des Affaires étrangères suite à la décision du gouvernement suédois de ne pas condamner l’article publié par le journal Aftonbladet dans lequel le journal affirmait que des soldats de Tsahal avaient vendu des organes prélevés sur les corps de Palestiniens.
M. Liberman s’entretiendra ce matin avec son homologue suédois, Carl Bildt, pour lui adresser la protestation officielle d’Israël. « Il est regrettable que le ministère suédois des Affaires étrangères n’intervienne pas quand on a affaire à des accusations de meurtre rituel portées contre des Juifs. Cela rappelle la position de la Suède durant la Seconde Guerre mondiale, là non plus elle n’était pas intervenue », a-t-il déclaré hier. Pour le ministre des Affaires étrangères, « l’article publié cette semaine est un prolongement naturel des Protocoles des Sages de Sion et des accusations selon lesquelles les Juifs ajoutaient du sang d’enfants chrétiens au pain azyme de Pâque ».
Ces propos du ministre des Affaires étrangères viennent en réaction à la déclaration du gouvernement suédois selon laquelle l’ambassadrice en Israël, Elisabet Borsiin Bonnier, qui a choisi de condamner l’article, l’a fait de sa propre initiative et ne s’exprimait pas au nom du pays scandinave. « L’ambassade à Tel-Aviv a réagi en fonction de l’opinion publique israélienne », a fait savoir hier la porte-parole du ministère des Affaires étrangères à Stockholm.
Au ministère israélien des Affaires étrangères on estime que, malgré la protestation officielle d’Israël, le gouvernement suédois ne publiera pas de condamnation. Par conséquent, le ministère israélien envisage, en signe de protestation, de reporter la visite en Israël du ministre suédois des Affaires étrangères, prévue pour la semaine prochaine. En outre, le ministre des Affaires étrangères a demandé que soit étudiée la possibilité de retirer au correspondant de l’Aftonbladet en Israël sa carte de presse gouvernementale.
« Il est regrettable, alors que l’ambassadrice de Suède a agi comme il se doit et a condamné l’article, que le ministère des Affaires étrangères de son pays ait choisi de tourner le dos à son ambassadrice plutôt que de la soutenir. La liberté de la presse signifie la liberté de dire la vérité, pas celle de mentir et de calomnier », a ajouté Avigdor Liberman.
Une délégation d’anciens dirigeants internationaux essaiera de promouvoir le plan Obama auprès des deux peuples / Akiva Eldar – Haaretz
Une délégation d’anciens dirigeants de premier plan, parmi lesquels l’ancien président américain Jimmy Carter et l’archevêque sud-africain Desmond Tutu, se rendra lundi en Israël et dans les territoires palestiniens afin d’obtenir le soutien de l’opinion publique à un plan de paix entre Israël et ses voisins.
Du fait de la situation sécuritaire, le
s membres de la délégation ont dû annuler leur visite dans la bande de Gaza dans le but de constater la situation difficile qui y règne et appeler à la levée du blocus israélien. Les anciens dirigeants ont exprimé l’espoir de pouvoir se rendre dans la bande de Gaza lors de leur prochaine visite dans la région.
Cette délégation représente l’organisation The Elders (Les Anciens), créée en 2007 par l’ancien président sud-africain Nelson Mandela, à l’occasion de son quatre-vingt-neuvième anniversaire. L’objectif de cette organisation est d’utiliser l’expérience acquise par ces dirigeants internationaux pour mobiliser l’opinion en faveur de la paix et faire face à des problèmes humanitaires et à la souffrance dans des zones de conflit.
La délégation sera menée par l’ancien président brésilien, Fernando Henrique Cardoso, avec à ses côtés l’ancien président américain, Jimmy Carter ; l’archevêque sud-africain et Prix Nobel, Desmond Tutu ; l’ancien Premier ministre norvégien, Gro Brundtland ; l’ancienne présidente irlandaise et haut-commissaire des Nations-Unies aux droits de l’homme, Mary Robinson ; et la militante indienne pour les droits de l’homme, Ela Bhatt.
Ils seront accompagnés par les hommes d’affaires Richard Branson et Jeff Skoll qui ont contribué à la création de l’organisation et soutiennent ses activités.
La délégation rencontrera le président Shimon Pérès, le Premier ministre palestinien, Salam Fayyad, des militants pour la paix et des personnalités publiques./.v
Le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Liberman, s’en est violemment pris hier au ministère suédois des Affaires étrangères suite à la décision du gouvernement suédois de ne pas condamner l’article publié par le journal Aftonbladet dans lequel le journal affirmait que des soldats de Tsahal avaient vendu des organes prélevés sur les corps de Palestiniens.
M. Liberman s’entretiendra ce matin avec son homologue suédois, Carl Bildt, pour lui adresser la protestation officielle d’Israël. « Il est regrettable que le ministère suédois des Affaires étrangères n’intervienne pas quand on a affaire à des accusations de meurtre rituel portées contre des Juifs. Cela rappelle la position de la Suède durant la Seconde Guerre mondiale, là non plus elle n’était pas intervenue », a-t-il déclaré hier. Pour le ministre des Affaires étrangères, « l’article publié cette semaine est un prolongement naturel des Protocoles des Sages de Sion et des accusations selon lesquelles les Juifs ajoutaient du sang d’enfants chrétiens au pain azyme de Pâque ».
Ces propos du ministre des Affaires étrangères viennent en réaction à la déclaration du gouvernement suédois selon laquelle l’ambassadrice en Israël, Elisabet Borsiin Bonnier, qui a choisi de condamner l’article, l’a fait de sa propre initiative et ne s’exprimait pas au nom du pays scandinave. « L’ambassade à Tel-Aviv a réagi en fonction de l’opinion publique israélienne », a fait savoir hier la porte-parole du ministère des Affaires étrangères à Stockholm.
Au ministère israélien des Affaires étrangères on estime que, malgré la protestation officielle d’Israël, le gouvernement suédois ne publiera pas de condamnation. Par conséquent, le ministère israélien envisage, en signe de protestation, de reporter la visite en Israël du ministre suédois des Affaires étrangères, prévue pour la semaine prochaine. En outre, le ministre des Affaires étrangères a demandé que soit étudiée la possibilité de retirer au correspondant de l’Aftonbladet en Israël sa carte de presse gouvernementale.
« Il est regrettable, alors que l’ambassadrice de Suède a agi comme il se doit et a condamné l’article, que le ministère des Affaires étrangères de son pays ait choisi de tourner le dos à son ambassadrice plutôt que de la soutenir. La liberté de la presse signifie la liberté de dire la vérité, pas celle de mentir et de calomnier », a ajouté Avigdor Liberman.
Une délégation d’anciens dirigeants internationaux essaiera de promouvoir le plan Obama auprès des deux peuples / Akiva Eldar – Haaretz
Une délégation d’anciens dirigeants de premier plan, parmi lesquels l’ancien président américain Jimmy Carter et l’archevêque sud-africain Desmond Tutu, se rendra lundi en Israël et dans les territoires palestiniens afin d’obtenir le soutien de l’opinion publique à un plan de paix entre Israël et ses voisins.
Du fait de la situation sécuritaire, le
s membres de la délégation ont dû annuler leur visite dans la bande de Gaza dans le but de constater la situation difficile qui y règne et appeler à la levée du blocus israélien. Les anciens dirigeants ont exprimé l’espoir de pouvoir se rendre dans la bande de Gaza lors de leur prochaine visite dans la région.
Cette délégation représente l’organisation The Elders (Les Anciens), créée en 2007 par l’ancien président sud-africain Nelson Mandela, à l’occasion de son quatre-vingt-neuvième anniversaire. L’objectif de cette organisation est d’utiliser l’expérience acquise par ces dirigeants internationaux pour mobiliser l’opinion en faveur de la paix et faire face à des problèmes humanitaires et à la souffrance dans des zones de conflit.
La délégation sera menée par l’ancien président brésilien, Fernando Henrique Cardoso, avec à ses côtés l’ancien président américain, Jimmy Carter ; l’archevêque sud-africain et Prix Nobel, Desmond Tutu ; l’ancien Premier ministre norvégien, Gro Brundtland ; l’ancienne présidente irlandaise et haut-commissaire des Nations-Unies aux droits de l’homme, Mary Robinson ; et la militante indienne pour les droits de l’homme, Ela Bhatt.
Ils seront accompagnés par les hommes d’affaires Richard Branson et Jeff Skoll qui ont contribué à la création de l’organisation et soutiennent ses activités.
La délégation rencontrera le président Shimon Pérès, le Premier ministre palestinien, Salam Fayyad, des militants pour la paix et des personnalités publiques./.v
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 21 août 2009, 12:17 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 745 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 21 août 2009, 13:28 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 304 |
Ahmad Vahidi, le ministre de la défense iranien désigné par le président Ahmadinejad, est recherché par Interpol pour son implication présumée dans l'attentat de la mutuelle juive AMIA, qui avait fait quatre-vingt-cinq morts et trois cents blessés, en 1994 en Argentine. C'est ce qu'a annoncé, vendredi 21 août, un procureur argentin, Alberto Nisman.
Mir Hossein Moussavi , a accusé "des agents du régime" d'avoir violé des détenus incarcérés après les manifestations post-électorales.
Les faits Moussavi dénonce les viols de prisonniers en Iran
Mehdi Karoubi, ancien candidat à la présidentielle iranienne.
Les faits Iran : le journal du réformateur Karoubi interdit de publication
"Vahidi est non seulement sous le coup d'un mandat d'arrêt de la justice argentine, mais il est aussi l'une de ces personnes dont la recherche fait l'objet d'une priorité maximale, approuvée par Interpol lors d'un vote à la majorité de ses membres en assemblée générale au Maroc en novembre 2007", a dit à la presse M. Nisman. "Une telle nomination serait extrêmement grave, vu qu'Ahmad Vahidi est (...) très impliqué dans l'attentat contre le siège de l'AMIA", a ajouté le procureur.
[www.lemonde.fr]
Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/08/2009 13:30 par anidavid.
Mir Hossein Moussavi , a accusé "des agents du régime" d'avoir violé des détenus incarcérés après les manifestations post-électorales.
Les faits Moussavi dénonce les viols de prisonniers en Iran
Mehdi Karoubi, ancien candidat à la présidentielle iranienne.
Les faits Iran : le journal du réformateur Karoubi interdit de publication
"Vahidi est non seulement sous le coup d'un mandat d'arrêt de la justice argentine, mais il est aussi l'une de ces personnes dont la recherche fait l'objet d'une priorité maximale, approuvée par Interpol lors d'un vote à la majorité de ses membres en assemblée générale au Maroc en novembre 2007", a dit à la presse M. Nisman. "Une telle nomination serait extrêmement grave, vu qu'Ahmad Vahidi est (...) très impliqué dans l'attentat contre le siège de l'AMIA", a ajouté le procureur.
[www.lemonde.fr]
Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/08/2009 13:30 par anidavid.
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 22 août 2009, 00:39 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 1 739 |
j ai recu cette video par mail.. c est a diffuser largement..
je ne m etonne pas de la manif mais du laisser faire de carrefour.. et de la police..
ceci dit s il faut boycotter israel ils n ont pas fini.. il faudra qu ils se privent d un tas de produits comme leur telephone ou ;leur ordinateur jusqu a ce que les musulmans du monde se mettent a produire au lieu de detruire..
je ne m etonne pas de la manif mais du laisser faire de carrefour.. et de la police..
ceci dit s il faut boycotter israel ils n ont pas fini.. il faudra qu ils se privent d un tas de produits comme leur telephone ou ;leur ordinateur jusqu a ce que les musulmans du monde se mettent a produire au lieu de detruire..
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