Point de vue, humeur, debat, articles.....

La pire des humiliations est celle provoquée par ces egarés gauchistes qui manifestent avec ceux dont la seule
raison de vivre est de nous exterminer,et qui diffusent leurs provocations dans les medias internationaux .Je pense que le pretexte de racisme fut evoqué pour justifier les difficultés socio-culturelles rencontrées par les premiers immigrants sepharades peu qualifiés ,confrontés à une population achkenaze qui avait paratiquement seule pris en charge la refondation du pays.Aujourd'hui le phenomène planétaire de la recherche frenetique des "racines",suscite des clivages
chez les Israeliens revenus de toutes les parties du monde.Et la consequence est un repli identitaire qui derive vers la xenophobie .La chance que nous avons est d'avoir gardé plus de 2000 ans dans les recoins perdus de la planète cet unique au monde denominateur commun absent dans toutes les civilisations:
le sionisme.

Une musulmane raconte sa naissance à Auschwitz-

Protégée par un médecin du camp, Leïla Jabbarine, née de parents juifs, avait pu immigrer en Israël avant de se convertir à l'islam. Elle a attendu aujourd'hui pour dévoiler son lourd secret.

Alors qu'Israël commémorait jeudi le souvenir des victimes de l'Holocauste, un témoignage inédit et plein d'espoir d'une rescapée refait surface. L'Agence France Presse a recueilli les confidences de Leïla Jabbarine. La vie de cette Israélienne de 70 ans est digne d'un roman. Née à Auschwitz, protégée par un médecin du camp, elle a immigré en Palestine où elle a épousé un Arabe israélien avant d'embrasser l'islam. Si ses huit enfants et trente et un petits-enfants savaient qu'elle était d'origine juive et s'était convertie, ils ignoraient que Leila avait connu la Shoah et y avait survécu. La veille dame a tu jusqu'à cette semaine le secret de ses origines. S'il sort au grand jour, c'est grâce à un employé des services sociaux israéliens qui rendant visite à Leïla lui a posé des questions sur son passé.

LIRE LA SUITE :

[www.lefigaro.fr]

Maroc : Le film sur les juifs de Tinghir récompensé au Festival de Tanger .

Le réalisateur franco-marocain Kamal Hachkar s’est vu attribuer, samedi, le prix de la première œuvre au Festival national du film de Tanger pour son film-documentaire « Tinghir-Jérusalem, les échos du Mellah ». Une belle récompense pour Kamal Hachkar qui, toutefois, intervient la veille d’une triste nouvelle pour lui. Son grand-père, Baha, qui apparait dans le film, est, en effet, décédé dimanche matin, apprend-t-on.
Egalement récompensés, « Zéro » de Nour-Eddine Lakhmari ayant remporté le Grand prix du festival ou encore « Malak » d’Abdeslam Kelai qui a, lui, hérité du Prix spécial du jury ainsi que celui du meilleur scénario. Quant aux « Chevaux de dieu » de Nabil Ayouch, il a été récompensé pour sa musique ainsi que son image.

Alerte : Benkirane envoie un signe fort aux juifs Marocains.

- Le chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, a présidé en personne, aujourd'hui à Fès, la cérémonie d'inauguration, après restauration, de la synagogue "Slat Alfassiyine". Cette cérémonie, placée sous le haut patronage du Roi Mohammed VI, a réuni plusieurs personnalités marocaines et allemandes, des dignitaires religieux musulmans et juifs, des élus et des intellectuels. La restauration de la synagogue "Slat Alfassiyine" a été réalisée par des dons notamment de la République fédérale d'Allemagne, de la communauté juive de Fès, de la Fondation Jacques Toledano, de Serge et Jacques Berdugo et de la famille Simon Levy. Ce haut lieu de la culture juive, qui date du 17ème siècle, est un important monument de la médina de Fès, classée patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO. La synagogue est située dans le célèbre quartier El Mellah et est adossée à l'enceinte mérinide dont elle occupe une de ses tours. A noter que la cérémonie d'inauguration s'est déroulée en présence du conseiller du Roi, André Azoulay, du ministre de l'Intérieur, Mohand Laenser, du ministre de la Culture, Mohammed Amine Sbihi, de l'ambassadeur itinérant du Roi, Serge Berdugo, président du conseil d'administration de la Fondation du patrimoine culturelle judéo-marocain et du président du Conseil national des droits de l'Homme, Driss El Yazami.

[www.infomediaire.ma]

Ces gestes respectables de rappel de la presence des Juifs depuis des siècles,bien avant l'immigration des expulsés d'Espagne,me semblent être plutôt une recherche archeologique qu'une volonté royale de preparer une coexistence pacifique entre Israel et le monde arabo-musulman.Le roi,est ne l'oublions pas le responsable d'une organisation qui
milite pour la "liberation" d'Al Quds,sous couvert de la protection physique des Moquées erigées sur les ruines du Temple
il y a douze siècles.
Les emigrés juifs marocains et leurs descendants montrent regulièrement leur attachement à la famille royale de leur ancienne patrie.Ce sont les seuls en Israel qui le font.Je crois que le Roi devrait le remarquer et comme Sadate avoir l'intelligence et le courage de venir les remercier en Israel.Je suis sûr que ce geste serait perçu comme la premier pas vers l'apaisement.

Un film israélien tourné au Maroc et subventionné par le CCM


Le tournage au Maroc de plusieurs séquences du film israélien "Orange People", avec le soutien du Centre Cinématographique Marocain (CCM), suscite une forte polémique dans le Royaume, où le CCM est accusé de normalisation avec Israël.

Les séquences du film de la réalisatrice juive marocaine Hana Azoulay Hasfari, tournées au Maroc, racontent l’enfance de la mère d’une famille juive marocaine installée depuis longtemps en Israël.

Au Maroc, le tournage qui a duré cinq jours, a eu lieu à Marrakech, Ouarzazate et Essaouira, indique le CCM dans une mise au point adressée à la MAP. L’autorisation de tournage avait été accordée à "Kasbah Film", une boîte de production marocaine connue pour accompagner les sociétés étrangères lors de tournages au Maroc.

Le CCM, qui a accordé des subventions à 25 longs métrages étrangers en 2012, a également octroyé 460.000 dirhams au film israélien "Orange People".

Dans une déclaration à Al Arabia, le critique de cinéma marocain Hassan Benchlikha, a qualifié d’étrange l’autorisation et la subvention accordée par le CCM à un film israélien, alors qu’il interdit à l’Iran, pays musulman, de tourner des films au Maroc.