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Point de vue, humeur, debat, articles.....
Envoyé par mossad
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Re: LETTRE OUVERTE A jamel debbouze et ? ses amis acteurs et cin?astes! 15 juin 2010, 14:17 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 1 757 |
J'en profite aussi pour interpeler la modération du forum, même si celle-ci n'aime pas être apostrophée de la sorte, et l'invite à prendre un rôle plus actif dans la gestion du contenu de cette section, et à réprimer les incitations à la haine raciale et religieuse, conformément aux lois informatiques en rigueur ...
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Re: LETTRE OUVERTE A jamel debbouze et ? ses amis acteurs et cin?astes! 16 juin 2010, 00:42 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 526 |
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Re: LETTRE OUVERTE A jamel debbouze et ? ses amis acteurs et cin?astes! 16 juin 2010, 00:54 |
Membre depuis : 14 ans Messages: 661 |
Ce texte m'a inspire une idee ( oui, vous pouvez la qualifier de GENIALE
).
Il faudrait suggerer que le roi Mohamed VI fasse declarer par son Parlement la criminalisation des 54 annees de domination francaise au Maroc.
Si le Protectorat n'avait pas ete impose a l'Empire Cherifien, qui sait ou en serait le Maroc aujourd'hui? Peut-etre que, comme le Japon qui n'a jamais ete colonise, le Maroc serait a la tete des pays developpes. Avec ses richesses agricoles, minieres, halieutiques, humaines, il aurait suivi son propre chemin vers le bien etre et l'abondance. Il aurait puise dans ses traditions Berberes et Arabes (avec notre petit grain de sel Juif) les energies necessaires.
).
Il faudrait suggerer que le roi Mohamed VI fasse declarer par son Parlement la criminalisation des 54 annees de domination francaise au Maroc.
Si le Protectorat n'avait pas ete impose a l'Empire Cherifien, qui sait ou en serait le Maroc aujourd'hui? Peut-etre que, comme le Japon qui n'a jamais ete colonise, le Maroc serait a la tete des pays developpes. Avec ses richesses agricoles, minieres, halieutiques, humaines, il aurait suivi son propre chemin vers le bien etre et l'abondance. Il aurait puise dans ses traditions Berberes et Arabes (avec notre petit grain de sel Juif) les energies necessaires.
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Re: LETTRE OUVERTE A jamel debbouze et ? ses amis acteurs et cin?astes! 16 juin 2010, 05:20 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 3 208 |
Citation
de thaey elie
la verite fait mal
Pour un arrière grand père, je vous aurais imaginé plus respectueux que cela.
Décevant.
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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
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Re: LETTRE OUVERTE A jamel debbouze et ? ses amis acteurs et cin?astes! 16 juin 2010, 05:23 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 3 208 |
Citation
Wolf
J'en profite aussi pour interpeler la modération du forum, même si celle-ci n'aime pas être apostrophée de la sorte, et l'invite à prendre un rôle plus actif dans la gestion du contenu de cette section, et à réprimer les incitations à la haine raciale et religieuse, conformément aux lois informatiques en rigueur ...
tu as tout à fait raison.
Mais, de toute façon, dans les pays européen tu as toujours une part de faschos (15 à 20%) en général.
Y a rien à faire à part ne pas en tenir compte et les laisser s'exprimer dans leur bétise...
De toute façon, ils ne prendront pas le pouvoir... Enfin du moins je l'espère.
On a déja eu Mussolini et Hitler... ça nous suffit!
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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
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LA GUERRE CIVILE ENTRE MUSULMANS et EUROPEENS de SOUCHE EST POUR DEMAIN !!! 15 juin 2010, 13:59 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 852 |
Niall Ferguson
la guerre civile entre Musulmans et "Européens de souche" est pour demain
Niall Ferguson, Professeur d'Histoire à Oxford
Contraire à la pensée unique !
Selon Niall Ferguson, une guerre civile opposera prochainement en Europe les
immigrés musulmans aux populations de souche.
La question de l'Islam est maintenant abordée un peu partout y
compris publiquement dans les hautes sphères du pouvoir économique...
Un exemple avec Niall Ferguson... :
Au cours d'un briefing réservé aux cadres supérieurs d'une grande banque d'affaires internationale,
Niall Ferguson, historien très en vogue dans les pays anglo-saxons, a parlé de la quasi-colonisation
de l'Europe par les populations immigrées.
Il a prédit qu' une guerre civile opposera prochainement en Europe les immigrés musulmans
aux populations de souche vieillissantes.
Selon lui, le résultat sera exactement le même que si les Maures avaient battu Charles Martel à la
bataille de Poitiers en l' an de grâce 732.
Niall Ferguson est un historien britannique de 43 ans diplômé d' Oxford et titulaire d' une chaire
de professeur à Harvard.
Il a acquis une très grande notoriété auprès du public anglo-saxon grâce à ses livres et ses documentaires
télévisés, et a été classé par le magazine Time parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde.
Ce n'est ni un fou, ni un imbécile, ni un extrémiste.
C'est un type qui s'est taillé une réputation en béton grâce à son intelligence, sa puissance de travail, et sa capacité
à replacer les interrogations contemporaines dans une perspective historique longue.
Le 30 juin 2005 – il y a quatre ans - , il avait été invité par la prestigieuse banque d'affaires américaine
Merrill Lynch à donner une séminaire privé afin de donner aux analystes de cette banque un temps d'avance
sur leurs concurrents, de raffiner leur grille de lecture pour décrypter le monde et les marchés financiers,
et de proposer de nouveaux thèmes d'investissement susceptibles d'impressionner leurs clients les plus sophistiqués.
Un tel “cours particulier” de quelques heures rapporte plusieurs milliers d'euros à un intellectuel en vue tel que
Niall Ferguson, et ce qui s'y dit ne sort pas du cercle des initiés.
Dans la haute finance internationale, contrairement à la fonction publique, la moindre erreur de jugement
se paie comptant et peut aisément sonner le glas de la carrière la plus prometteuse, donc on préfère
se payer l'assistance des esprits les plus fins pour ne pas rater le coche.
> La présentation de Niall Ferguson développa l'idée que la situation internationale actuelle
ressemblait étrangement à celle de 1913.
Il a été très surpris de voir que les marchés financiers de 1913 s'étaient montrés incapables
d'anticiper le déclenchement de la Première Guerre Mondiale en août 1914.
Cette myopie avait coûté très cher aux banquiers parce que leS bourses internationales étaient
restées fermées jusqu'en 1915, et quand elles ont réouvert, les actions et les obligations avaient
perdu énormément de valeur.
Mais le plus intéressant, c'est ce qui s'est dit après que Niall Ferguson eut terminé la présentation
qu'il avait préparée, quand il s'est soumis à une séance de questions/réponses à bâtons rompus
avec l'assistance. Ce fut un débat de haute volée. :
Un banquier de Merrill a demandé de but en blanc s'il allait y avoir une guerre en Europe.
Je vous livre la traduction de la réponse de Niall Ferguson :
«Je ne crois pas qu'on puisse imaginer un scénario de guerre européenne au sens classique
de l'éclatement de l'Union Européenne et de la réémergence des états-nations.-comme en
1914 ou 1939.
L'instabilité de l'Europe est plus à même de provenir de cette autre tendance démographique
qui est la quasi-colonisation de l'Europe par des populations immigrées qui sont
culturellement très différentes et dans certains cas hostiles ou résistantes à l'intégration
et à l'assimilation.
Si on regarde dans le futur à l'échelle de décennies plutôt que de mois, ça me semble être une
source de conflit beaucoup plus probable.
Mais ce serait un conflit de type civil interne, un conflit entre les immigrants - en particulier
musulmans - et les peuples indigènes vieillissants.
En d'autres mots, ce qui rend notre période différente de tous les autres siècles depuis la Peste Noire,
c'est que les populations européennes se réduisent.
Dans le passé, la croissance des populations indigènes européennes a été le moteur du
changement historique pendant la plus grande partie de l'histoire moderne, parce que c'est
l'excédent de population qui a causé les grandes migrations parties d'Europe qui ont transformé
le monde après 1500.
Ça ne s'est arrêté que récemment, et c'est seulement au milieu des années 1980 que les taux de
fertilité en Europe sont tombés en dessous du taux de remplacement, et que la migration a
commencé à être une source plus importante de la croissance de la population.
L'Europe a changé fondamentalement, ça ne va plus être, comme ça l'était avant, un endroit
rempli de populations européennes, principalement chrétiennes, se reproduisant rapidement.
C'est en train de changer radicalement.
Ça nous ramène encore plus en arrière que je ne l'ai fait dans ma présentation.
Ça nous ramène au temps de l'Alhambra de Grenade à l'époque mauresque.
Si vous voulez comprendre le destin de l'Europe, il faut revenir énormément en arrière et
lire la fantastique prophétie involontaire de Gibbon dans Décadence et Chute, quand il imagine
ce qui se serait passé si les Maures avaient gagné la bataille de Poitiers et avaient dépassé
l'Espagne pour aller en France et au-delà :
« Peut-être y aurait-il des mosquées à Oxford ??? »
Eh bien, maintenant il y a des mosquées à Oxford !!!, mais je ne crois pas que Gibbon l'aurait anticipé…
C'est cette Europe qui commence à émerger graduellement, mais ce n'est pas une Europe capable de
produire une conflagration entre grandes puissances.»
Pour la bonne bouche, Niall Ferguson faisait allusion à un passage du chapitre 52 du livre
« Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire Romain » publié par Edward Gibbon en 1788 :
“Les Sarrasins s'étaient avancés en triomphe l'espace de plus d'un millier de milles, depuis
le rocher de Gibraltar jusqu'aux bords de la Loire; encore autant, et ils seraient arrivés aux
confins de la Pologne et aux montagnes de l'Ecosse :
le passage du Rhin n'est pas plus difficile que celui du Nil et de l'Euphrate, et d'un autre côté
la flotte arabe aurait pu pénétrer dans la Tamise sans livrer un combat naval.
Les écoles d'Oxford expliqueraient peut-être aujourd'hui le Coran, et du haut de ses chaires
on démontrerait à un peuple circoncis la sainteté et la vérité de la révélation de Mahomet.”
C'est ce qu'on appelle l'humour british...
Ce qui frappe le plus, c'est le fatalisme avec lequel Niall Ferguson décrit le destin immédiat de
l'Europe.
Lui, le penseur à la mode, distillant ses perles intellectuelles les plus précieuses aux virtuoses
de la finance qui veulent anticiper les tendances de fond des marchés, ne pense pas que
la conquête imminente de l'Europe par les immigrés originaires des pays musulmans soit un
“tuyau”, un “scoop” justifiant son généreux cachet :
pour lui c'est d'une telle évidence, c'est tellement inéluctable et déjà si visible dans les faits,
que ça ne mérite même pas de faire “la une” de sa présentation.
Ça mérite peut-être sa place dans la session questions-réponses, mais ça n'étonnera personne.
Non que ça le laisse indifférent.
Il a étudié au Magdalen Collège d'Oxford, et sa référence affectueuse à Gibbon (historien
illustre sorti lui aussi du Magdalen Collège deux siècles auparavant) prouve bien qu'il en a
gros sur la patate d'y voir une mosquée.
Mais pour lui l'élimination des peuples indigènes d'Europe est tellement inévitable qu'elle
est déjà pratiquement inscrite dans l'histoire.
A moins d'une surprise... ?
Olivier RICHARD (ces perspectives ne devraient pas inciter les investisseurs américains à se
risquer dans cette pétaudière, et cela explique en partie pourquoi les fortunes et les capitaux
européens se réfugient en dehors de l'Europe, laissant la place aux Chinois et Indiens, sans
oublier les rois du pétrole !)
la guerre civile entre Musulmans et "Européens de souche" est pour demain
Niall Ferguson, Professeur d'Histoire à Oxford
Contraire à la pensée unique !
Selon Niall Ferguson, une guerre civile opposera prochainement en Europe les
immigrés musulmans aux populations de souche.
La question de l'Islam est maintenant abordée un peu partout y
compris publiquement dans les hautes sphères du pouvoir économique...
Un exemple avec Niall Ferguson... :
Au cours d'un briefing réservé aux cadres supérieurs d'une grande banque d'affaires internationale,
Niall Ferguson, historien très en vogue dans les pays anglo-saxons, a parlé de la quasi-colonisation
de l'Europe par les populations immigrées.
Il a prédit qu' une guerre civile opposera prochainement en Europe les immigrés musulmans
aux populations de souche vieillissantes.
Selon lui, le résultat sera exactement le même que si les Maures avaient battu Charles Martel à la
bataille de Poitiers en l' an de grâce 732.
Niall Ferguson est un historien britannique de 43 ans diplômé d' Oxford et titulaire d' une chaire
de professeur à Harvard.
Il a acquis une très grande notoriété auprès du public anglo-saxon grâce à ses livres et ses documentaires
télévisés, et a été classé par le magazine Time parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde.
Ce n'est ni un fou, ni un imbécile, ni un extrémiste.
C'est un type qui s'est taillé une réputation en béton grâce à son intelligence, sa puissance de travail, et sa capacité
à replacer les interrogations contemporaines dans une perspective historique longue.
Le 30 juin 2005 – il y a quatre ans - , il avait été invité par la prestigieuse banque d'affaires américaine
Merrill Lynch à donner une séminaire privé afin de donner aux analystes de cette banque un temps d'avance
sur leurs concurrents, de raffiner leur grille de lecture pour décrypter le monde et les marchés financiers,
et de proposer de nouveaux thèmes d'investissement susceptibles d'impressionner leurs clients les plus sophistiqués.
Un tel “cours particulier” de quelques heures rapporte plusieurs milliers d'euros à un intellectuel en vue tel que
Niall Ferguson, et ce qui s'y dit ne sort pas du cercle des initiés.
Dans la haute finance internationale, contrairement à la fonction publique, la moindre erreur de jugement
se paie comptant et peut aisément sonner le glas de la carrière la plus prometteuse, donc on préfère
se payer l'assistance des esprits les plus fins pour ne pas rater le coche.
> La présentation de Niall Ferguson développa l'idée que la situation internationale actuelle
ressemblait étrangement à celle de 1913.
Il a été très surpris de voir que les marchés financiers de 1913 s'étaient montrés incapables
d'anticiper le déclenchement de la Première Guerre Mondiale en août 1914.
Cette myopie avait coûté très cher aux banquiers parce que leS bourses internationales étaient
restées fermées jusqu'en 1915, et quand elles ont réouvert, les actions et les obligations avaient
perdu énormément de valeur.
Mais le plus intéressant, c'est ce qui s'est dit après que Niall Ferguson eut terminé la présentation
qu'il avait préparée, quand il s'est soumis à une séance de questions/réponses à bâtons rompus
avec l'assistance. Ce fut un débat de haute volée. :
Un banquier de Merrill a demandé de but en blanc s'il allait y avoir une guerre en Europe.
Je vous livre la traduction de la réponse de Niall Ferguson :
«Je ne crois pas qu'on puisse imaginer un scénario de guerre européenne au sens classique
de l'éclatement de l'Union Européenne et de la réémergence des états-nations.-comme en
1914 ou 1939.
L'instabilité de l'Europe est plus à même de provenir de cette autre tendance démographique
qui est la quasi-colonisation de l'Europe par des populations immigrées qui sont
culturellement très différentes et dans certains cas hostiles ou résistantes à l'intégration
et à l'assimilation.
Si on regarde dans le futur à l'échelle de décennies plutôt que de mois, ça me semble être une
source de conflit beaucoup plus probable.
Mais ce serait un conflit de type civil interne, un conflit entre les immigrants - en particulier
musulmans - et les peuples indigènes vieillissants.
En d'autres mots, ce qui rend notre période différente de tous les autres siècles depuis la Peste Noire,
c'est que les populations européennes se réduisent.
Dans le passé, la croissance des populations indigènes européennes a été le moteur du
changement historique pendant la plus grande partie de l'histoire moderne, parce que c'est
l'excédent de population qui a causé les grandes migrations parties d'Europe qui ont transformé
le monde après 1500.
Ça ne s'est arrêté que récemment, et c'est seulement au milieu des années 1980 que les taux de
fertilité en Europe sont tombés en dessous du taux de remplacement, et que la migration a
commencé à être une source plus importante de la croissance de la population.
L'Europe a changé fondamentalement, ça ne va plus être, comme ça l'était avant, un endroit
rempli de populations européennes, principalement chrétiennes, se reproduisant rapidement.
C'est en train de changer radicalement.
Ça nous ramène encore plus en arrière que je ne l'ai fait dans ma présentation.
Ça nous ramène au temps de l'Alhambra de Grenade à l'époque mauresque.
Si vous voulez comprendre le destin de l'Europe, il faut revenir énormément en arrière et
lire la fantastique prophétie involontaire de Gibbon dans Décadence et Chute, quand il imagine
ce qui se serait passé si les Maures avaient gagné la bataille de Poitiers et avaient dépassé
l'Espagne pour aller en France et au-delà :
« Peut-être y aurait-il des mosquées à Oxford ??? »
Eh bien, maintenant il y a des mosquées à Oxford !!!, mais je ne crois pas que Gibbon l'aurait anticipé…
C'est cette Europe qui commence à émerger graduellement, mais ce n'est pas une Europe capable de
produire une conflagration entre grandes puissances.»
Pour la bonne bouche, Niall Ferguson faisait allusion à un passage du chapitre 52 du livre
« Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire Romain » publié par Edward Gibbon en 1788 :
“Les Sarrasins s'étaient avancés en triomphe l'espace de plus d'un millier de milles, depuis
le rocher de Gibraltar jusqu'aux bords de la Loire; encore autant, et ils seraient arrivés aux
confins de la Pologne et aux montagnes de l'Ecosse :
le passage du Rhin n'est pas plus difficile que celui du Nil et de l'Euphrate, et d'un autre côté
la flotte arabe aurait pu pénétrer dans la Tamise sans livrer un combat naval.
Les écoles d'Oxford expliqueraient peut-être aujourd'hui le Coran, et du haut de ses chaires
on démontrerait à un peuple circoncis la sainteté et la vérité de la révélation de Mahomet.”
C'est ce qu'on appelle l'humour british...
Ce qui frappe le plus, c'est le fatalisme avec lequel Niall Ferguson décrit le destin immédiat de
l'Europe.
Lui, le penseur à la mode, distillant ses perles intellectuelles les plus précieuses aux virtuoses
de la finance qui veulent anticiper les tendances de fond des marchés, ne pense pas que
la conquête imminente de l'Europe par les immigrés originaires des pays musulmans soit un
“tuyau”, un “scoop” justifiant son généreux cachet :
pour lui c'est d'une telle évidence, c'est tellement inéluctable et déjà si visible dans les faits,
que ça ne mérite même pas de faire “la une” de sa présentation.
Ça mérite peut-être sa place dans la session questions-réponses, mais ça n'étonnera personne.
Non que ça le laisse indifférent.
Il a étudié au Magdalen Collège d'Oxford, et sa référence affectueuse à Gibbon (historien
illustre sorti lui aussi du Magdalen Collège deux siècles auparavant) prouve bien qu'il en a
gros sur la patate d'y voir une mosquée.
Mais pour lui l'élimination des peuples indigènes d'Europe est tellement inévitable qu'elle
est déjà pratiquement inscrite dans l'histoire.
A moins d'une surprise... ?
Olivier RICHARD (ces perspectives ne devraient pas inciter les investisseurs américains à se
risquer dans cette pétaudière, et cela explique en partie pourquoi les fortunes et les capitaux
européens se réfugient en dehors de l'Europe, laissant la place aux Chinois et Indiens, sans
oublier les rois du pétrole !)
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Re: LA GUERRE CIVILE ENTRE MUSULMANS et EUROPEENS de SOUCHE EST POUR DEMAIN !!! 15 juin 2010, 14:06 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 1 757 |
Discours datant de 2004 ! Remontons de 6 ans encore, en 1998, quand le même Ferguson analysait les faits de la 1ère guerre mondiale. En effet, selon Wiki :
Dans son ouvrage The Pity of War, qui le rendit célèbre en 1998, il présente ce qu’il considère comme les dix grands mythes de la Première Guerre mondiale. En se basant sur une histoire contrefactuelle, il affirme que l’Europe aurait beaucoup eu à gagner à ce que le Royaume-Uni en restant en dehors du conflit laisse l’Allemagne l’emporter.
Dans son ouvrage The Pity of War, qui le rendit célèbre en 1998, il présente ce qu’il considère comme les dix grands mythes de la Première Guerre mondiale. En se basant sur une histoire contrefactuelle, il affirme que l’Europe aurait beaucoup eu à gagner à ce que le Royaume-Uni en restant en dehors du conflit laisse l’Allemagne l’emporter.
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Re: LA GUERRE CIVILE ENTRE MUSULMANS et EUROPEENS de SOUCHE EST POUR DEMAIN !!! 16 juin 2010, 05:31 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 3 208 |
lol arrête tu vas rendre exilée intelligente! C'est tellement plus drôle de lire ses sources bidonnées 
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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
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Re: LA GUERRE CIVILE ENTRE MUSULMANS et EUROPEENS de SOUCHE EST POUR DEMAIN !!! 16 juin 2010, 09:25 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 604 |
Exilée
pour que nos lecteurs attentifs et polyglottes comprennent nos interventions,il faudra les publier en mandarin,langue qu'ils traduisent avec la compétence des commentateurs internationaux.Celle qui est à sens unique,qui fait l'éloge et la reproduction d'images truquées et de documents falsifiés condamnant sans vergogne Israel.
Yitzhak Rabin déclare à la Knesset : « Nous imposerons la loi et l'ordre dans les territoires occupés, même si cela doit se faire dans la douleur» . Il ajoute « S'il le faut, brisez-leur les bras et les jambes »,Dommage qu'il soit mort.
pour que nos lecteurs attentifs et polyglottes comprennent nos interventions,il faudra les publier en mandarin,langue qu'ils traduisent avec la compétence des commentateurs internationaux.Celle qui est à sens unique,qui fait l'éloge et la reproduction d'images truquées et de documents falsifiés condamnant sans vergogne Israel.
Yitzhak Rabin déclare à la Knesset : « Nous imposerons la loi et l'ordre dans les territoires occupés, même si cela doit se faire dans la douleur» . Il ajoute « S'il le faut, brisez-leur les bras et les jambes »,Dommage qu'il soit mort.
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Re: Point de vue, humeur, debat, articles..... 16 juin 2010, 09:35 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 3 208 |
Gil,
Encore une fois tu cries ton arabophobie la plus haineuse... c'est pas une première.
Il est évident que si tu récupère du Sadate de 1973 ou du Rabin en plein dépatouillage de la première intifada, tu trouveras beaucoup de perles violente. C'est normal !
Un peu comme Sadate, ce qui est passionnant c'est justement leur maturité et leur avant gardisme après avoir TOUT essayé, ils ont compris que seule la paix par la preuve était un avenir possible et sécurisant.
Toi qui habite la gola, tu n'es pas concerné par ceux que peuvent vivre les gens en Israël.
Sadate, Rabin, ce sont de grands hommes ... malheureusement partis trop tôt
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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
Encore une fois tu cries ton arabophobie la plus haineuse... c'est pas une première.
Il est évident que si tu récupère du Sadate de 1973 ou du Rabin en plein dépatouillage de la première intifada, tu trouveras beaucoup de perles violente. C'est normal !
Un peu comme Sadate, ce qui est passionnant c'est justement leur maturité et leur avant gardisme après avoir TOUT essayé, ils ont compris que seule la paix par la preuve était un avenir possible et sécurisant.
Toi qui habite la gola, tu n'es pas concerné par ceux que peuvent vivre les gens en Israël.
Sadate, Rabin, ce sont de grands hommes ... malheureusement partis trop tôt
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"Ne nous y trompons pas : ceux qui parlent de l'islamisation de la France sont guidés par la même obsession xénophobe que ceux qui dénonçaient la judaïsation de notre pays dans les années 1930. L'étranger, quel que soit son visage, reste responsable pour l'extrême droite des maux de notre -société." Richard Prasquier, Président du CRIF
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Re: LE DECLIN DE L'EUROPE ANALYS? PAR UN ECONOMISTE CHINOIS ! 18 juin 2010, 12:27 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 1 298 |
Citation
slimane
quant la chine s'éveillera la terre tremblera , il avait raison napoléon ! ...
mais je crois que les sous titrés sont trafiqués ! un chinois et un sage en plus ne dira jamais a haute voie le fond de sa pensée ! ...
Slimane, mon ami, mayn zakine ?
Je peux te dire que les sous-titres représentent ce qu'il dit, pas dans les détails, mais c'est ça. Le problème des sous-titres, c'est que la place est limitée : en largeur, par la largeur de l'écran, en hauteur, deux lignes maximum. Les traducteurs sont souvent obligés de faire des choix difficiles.
L'exilée, je vois très bien les sous-titres, ils sont très lisibles sur mon écran aussi. Les sous-titres en français sont un résumé des sous-titres chinois, encore un problème du passage des idéogrammes à un alphabet occidental.
Allez, shabat shalom à mes amis.
Surfeuse
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Re: LE DECLIN DE L'EUROPE ANALYS? PAR UN ECONOMISTE CHINOIS ! 20 juin 2010, 05:14 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 604 |
Les dirigeants actuels espagnols,intoxiqués par l'islamophilie de leurs ministre des AE,Moratinos,ami intime d'Arafat avec qui il partagea en que representant de l'europe son isolement de la moukata,se livrent à une demonisation d'Israel et une attaque insensée contre les Juifs.Mais ils decouvrent soudain que Franco,a fiché 6000 Juifs d'espagne et tentent par cette decouverte miraculeuse du journal gauchiste EL PAIS de détourner l'attention du peuple.
Omettant de dire que grâce à la duplicité - interessée - de Franco,aucun Juif espagnol,pas plus que ceux qui transitaient clandestinement ne fut livré aux nazis.
Mais Franco a su manifester sa reconnaissance envers l'aide apportée par des armateurs juifs du maroc qui ont mis a sa disposition des navires pour transporter ses troupes en protégeant tous les Juifs,malgré son aversion - courante chez les chrétiens de l'époque -pour eux.
Mais Zapatero lui manifeste sa reconnaissance envers l'Islam ( qui lui a permis de prendre le pouvoir en tuant 140 personnes dans l'attentat de la gare de Madrid ) en fomentant un anti-judaisme quotidien.
Omettant de dire que grâce à la duplicité - interessée - de Franco,aucun Juif espagnol,pas plus que ceux qui transitaient clandestinement ne fut livré aux nazis.
Mais Franco a su manifester sa reconnaissance envers l'aide apportée par des armateurs juifs du maroc qui ont mis a sa disposition des navires pour transporter ses troupes en protégeant tous les Juifs,malgré son aversion - courante chez les chrétiens de l'époque -pour eux.
Mais Zapatero lui manifeste sa reconnaissance envers l'Islam ( qui lui a permis de prendre le pouvoir en tuant 140 personnes dans l'attentat de la gare de Madrid ) en fomentant un anti-judaisme quotidien.
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VIVONS HEUREUX , VIVONS CACH?S !!!! 20 juin 2010, 00:16 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 852 |
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Re: VIVONS HEUREUX , VIVONS CACH?S !!!! 20 juin 2010, 05:11 |
Membre depuis : 19 ans Messages: 119 |
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INFOS D'EUROPE : L'EUROPE EST AUJOURD'HUI MENACEE PAR DES CENTAINES DE MISSILES IRANIENS 20 juin 2010, 08:38 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 852 |
L’Europe est aujourd’hui menacée par des centaines de missiles iraniens (info # 012006/10) [Analyse]
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Nous avons mis nos lecteurs en garde depuis près de deux ans ; ça n’est toutefois que maintenant que les Etats-Unis s’apprêtent à prendre des mesures : Téhéran pointe en permanence des dizaines, voir des centaines de missiles balistiques sur les capitales européennes.
Jeudi dernier, le Secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, a admis que l’Iran était actuellement capable de lancer une attaque contre l’Europe au moyen de "dizaines ou même de centaines de missiles".
La "République" Islamique a aussi tôt démenti cette information, mais elle l’a fait de façon révélatrice et pour tout dire inquiétante ; le régime théocratique en question n’a en effet pas infirmé le fait qu’il disposait et construisait de tels missiles, mais il a affirmé qu’ils ne lui servaient qu’à des fins défensives.
La formule mérite de retenir notre attention, car un missile balistique ne peut en aucun cas servir d’arme défensive. Il est incapable d’intercepter un projectile entrant, de chasser un intrus, pas plus qu’il ne peut quoi que ce soit contre une armée en marche.
En revanche, il peut parfaitement servir d’arme de dissuasion, et c’est la seule chose cohérente qu’aurait pu indiquer le communiqué de Téhéran.
Cela signifie, par exemple, que les missiles balistiques produits par les Perses pourraient être envoyés sur l’Europe en cas d’opération israélienne contre leurs installations impliquées dans la fabrication de leur bombe atomique.
En ce cas, ils pourraient infliger quelques milliers de morts à Bruxelles, Paris, Rome ou Berlin, car ni l’Union Européenne ni l’OTAN ne disposent de la moindre parade contre ces fusées ; ce faisant cependant, les ayatollahs s’exposeraient à des représailles radicales.
Dans cette dynamique de destruction et de mort, il ressort que les missiles dont parle Robert Gates sont surtout destinés à transporter l’arme atomique lorsqu’elle sera prête. Dès ce moment, ils permettront à la dictature islamique d’établir avec l’Occident un équilibre de moyens de destruction totale, ce qui soutiendra la théocratie chiite dans ses revendications politiques globales.
Cet "équilibre" servira également à "protéger" les activités terroristes et expansionnistes des Iraniens au Proche-Orient (Hamas, Hezbollah, Syrie), dans la péninsule arabique et au Maghreb.
Rien ne pourra alors empêcher Téhéran de se servir du Liban comme d’une base avancée contre l’Europe pour y déployer ses missiles. Rien ne les en empêche déjà aujourd’hui, devant l’apathie suicidaire de l’Ouest face au putsch rampant qu’organise l’Iran au pays des cèdres.
Dans l’attente de sa bombe atomique, la Révolution Islamique possède tout de même des ogives chimiques et bactériologiques à profusion pour équiper les missiles dont elle dispose.
Téhéran peut lancer des centaines de ces missiles
simultanément sur l’Europe
Ahmadinejad pourrait être tenté de les utiliser dans des situations extrêmes, dans lesquelles son régime n’aurait plus rien à perdre, par exemple s’il se trouvait acculé militairement, ou s’il venait à perdre pied devant la révolte de ses habitants.
L’annonce de Robert Gates démontre au moins deux choses : que la cible véritable de Téhéran est l’Europe [1] – pas Israël que la RII considère n’être que sa tête de pont en Orient - et, plus tard, les Etats-Unis. Et que l’Union Européenne s’est fait surprendre avec les pantalons sur les chaussettes, exposant dangereusement ses citoyens à une bande d’illuminés relativement imprévisibles.
Ce qui n’est pas le cas d’Israël, qui développe, depuis des années, avec des moyens financiers extraordinairement plus minces que ceux dont dispose l’UE, un missile antimissile, le Khetz (Flèche), théoriquement capable d’intercepter des engins balistiques iraniens, même si ceux-ci sont dotés de têtes multiples.
L’Europe, quant à elle, dépend du bon vouloir étasunien et de la perspicacité stratégique des preneurs de décisions du Pentagone puis de la Maison Blanche.
Certes, l’Amérique dispose de la technologie nécessaire pour construire des missiles antimissiles – ce qu’elle doit largement à la technologie du Khetz, à laquelle elle a accès pour en avoir financé les cinq sixièmes.
Mais Washington reconnait elle-même que ses armes ne pourraient être prêtes à déployer pour protéger le Vieux continent qu’à l’horizon de 2018-2020 ; tandis que la menace chiite existe dès maintenant, et qu’elle deviendra politiquement et sécuritairement insupportable, si personne n’empêche sérieusement Téhéran d’accéder à l’arme suprême, dans un délai maximal (et je suis très optimiste écrivant cela) de deux ans.
Cela signifie, pour l’Europe, se trouver exposée, sans aucune défense, durant au moins six ans à une menace tangible et mortelle !
Et cela dépend aussi, comme je l’ai mentionné un peu plus haut, des prises de décisions adéquates de l’autre côté de l’Atlantique. A ce sujet, l’intervention de Robert Gates jeudi était moins destinée à effrayer les Européens, qu’à informer l’opinion de l’erreur d’appréciation réalisée par les USA au niveau de la parade à opposer à la menace perse.
En septembre dernier, en effet, le Pentagone s’est aperçu que le bouclier antimissiles qu’il avait préparé pour l’Europe était inadapté. Les missiles intercepteurs étaient, en principe, capables d’arrêter un, voir deux missiles balistiques de longue portée à la fois, mais ils seraient débordés face à une rafale (Gates a utilisé le mot salve) de missiles de courte à moyenne portée.
C’est pour cela qu’il faut maintenant développer – il n’existe pas encore ! - et déployer un nouveau type de bouclier pour protéger l’Europe. Oui, mais au rythme de Washington, et en suivant ses priorités ; ce qui signifie une immense dépendance de Bruxelles envers les Etats-Unis, avec tout ce que cela implique pour l’autonomie politique de l’UE.
Et les leaders et les diplomates des pays amis de Washington le savent pertinemment : l’Amérique ne fait jamais de cadeaux ; ils savent donc à quoi s’attendre.
Dans l’entre-temps, Catherine Ashton et ses copines européennes auraient tout intérêt à cesser leurs attaques diplomatiques déplacées contre l’Etat hébreu – déplacées car elles s’inscrivent directement dans la stratégie de Téhéran et qu’elles sont ainsi suicidaires du point de vue stratégique – et à s’intéresser à l’achat de Khetz.
Et j’écris cela le plus sérieusement du monde : le Khetz III, en phase de développement avancé, est capable d’intercepter les fusées chiites en phase ascendante (plus loin de leur objectif, plus près de l’Iran) et il conviendrait, au moins temporairement, à l’Union Européenne.
De plus, le Khetz possède l’immense avantage d’être déjà opérationnel et déjà déployé dans les unités de Tsahal, ce qui en fait un atout vainqueur.
On ne peut pas dire que les Européens demeurent totalement inactifs ; au plan politique s’entend. C’est ainsi qu’ils ont adopté, la semaine dernière, à la suite des USA, une résolution renforçant la 1929 passée préalablement au Conseil de Sécurité.
En fait non. Ca n’est pas exact : les Européens ont pris la résolution de prendre une résolution en juillet prochain. Une résolution intéressante, puisque, contournant l’opposition de la Chine et de la Russie, elle interdira (aux pays qui l’adopteront) de fournir tout équipement destiné à l’industrie iranienne du gaz et du pétrole.
Lorsque l’on sait que Téhéran se montre incapable de produire plus de 20% de ses besoins en pétrole raffiné, on se dit que la décision pourrait avoir "un certain impact" sur les ayatollahs. Mais de là à les faire abandonner leur projet atomique... il est préférable de conserver son sérieux dans ce genre de discussion.
Nul doute que la "décision de décider en juillet" est censée causer un effet didactique sur Ahmadinejad et Khameneï. Un effet que l’Europe voudrait mettre à profit pour arracher un renoncement de Téhéran à son programme nucléaire ; voir l’offre de nouvelles négociations que vient de lui lancer Nicolas Sarkozy.
Il me semble toutefois que les Européens ont quelques trains de retard ; qu’ils ne réalisent pas qu’ils ont des missiles pointés sur leurs populations, et que les Iraniens mènent, depuis longtemps, une authentique guerre contre leurs intérêts, partout où ils le peuvent sur la Planète.
Dans la grille de lecture des analystes stratégiques, y compris de certains européens, on pourrait dire que le degré d’incompréhension et d’impréparation des leaders européens sur ce dossier confine au pathétique.
Car, dans le même temps, les Etats-Unis et Israël appréhendent – heureusement pour les habitants de l’Europe – correctement le danger militaire perse. Ils mènent des efforts diplomatiques, certes, mais ils ne négligent pas l’option guerrière d’ultime recours. Option absolument nécessaire lorsque l’on subit une agression comme le monde libre est en train d’en subir une de la part de la "République" Islamique.
Et ce ne sont pas les huit Rafales basés à Abu-Dhabi que je qualifierai d’option crédible en ce sens. Mais plutôt les douze navires de guerre américains – dont un porte-avions - et les deux bâtiments israéliens qui viennent de franchir le Canal de Suez, afin d’aller renforcer l’escadre d’attaque déjà en place dans l’Océan indien.
De mémoire fellah, on n’avait jamais vu pareille armada emprunter la voie d’eau creusée par de Lesseps en un seul voyage.
Mais parce que le soutien de Moubarak à l’effort de guerre contre Téhéran ne plaît pas aux alliés circonstanciels des ayatollahs de l’université islamique d’Al-Azar au Caire, le gouvernement égyptien s’est vu contraint de disposer des milliers de soldats le long du canal afin de sécuriser le convoi.
Reste que la force aéronavale réunie dans le Golfe persique et à l’orée de celui-ci est maintenant suffisante pour parer à toute éventualité. Elle parle la langue que Khameneï comprend et permet d’espérer encore un peu l’arrêt du programme nucléaire chiite par des voies non-violentes. Quoique...
Note :
[1] Les missiles dirigés contre l’Europe, développés à coups de dizaines de milliards de dollars, ont une portée trop longue pour être utilisés sur Israël. Les centaines d’unités de ce type que les Iraniens ont fabriquées ne peuvent êtres utilisées que contre des cibles européennes.
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Nous avons mis nos lecteurs en garde depuis près de deux ans ; ça n’est toutefois que maintenant que les Etats-Unis s’apprêtent à prendre des mesures : Téhéran pointe en permanence des dizaines, voir des centaines de missiles balistiques sur les capitales européennes.
Jeudi dernier, le Secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, a admis que l’Iran était actuellement capable de lancer une attaque contre l’Europe au moyen de "dizaines ou même de centaines de missiles".
La "République" Islamique a aussi tôt démenti cette information, mais elle l’a fait de façon révélatrice et pour tout dire inquiétante ; le régime théocratique en question n’a en effet pas infirmé le fait qu’il disposait et construisait de tels missiles, mais il a affirmé qu’ils ne lui servaient qu’à des fins défensives.
La formule mérite de retenir notre attention, car un missile balistique ne peut en aucun cas servir d’arme défensive. Il est incapable d’intercepter un projectile entrant, de chasser un intrus, pas plus qu’il ne peut quoi que ce soit contre une armée en marche.
En revanche, il peut parfaitement servir d’arme de dissuasion, et c’est la seule chose cohérente qu’aurait pu indiquer le communiqué de Téhéran.
Cela signifie, par exemple, que les missiles balistiques produits par les Perses pourraient être envoyés sur l’Europe en cas d’opération israélienne contre leurs installations impliquées dans la fabrication de leur bombe atomique.
En ce cas, ils pourraient infliger quelques milliers de morts à Bruxelles, Paris, Rome ou Berlin, car ni l’Union Européenne ni l’OTAN ne disposent de la moindre parade contre ces fusées ; ce faisant cependant, les ayatollahs s’exposeraient à des représailles radicales.
Dans cette dynamique de destruction et de mort, il ressort que les missiles dont parle Robert Gates sont surtout destinés à transporter l’arme atomique lorsqu’elle sera prête. Dès ce moment, ils permettront à la dictature islamique d’établir avec l’Occident un équilibre de moyens de destruction totale, ce qui soutiendra la théocratie chiite dans ses revendications politiques globales.
Cet "équilibre" servira également à "protéger" les activités terroristes et expansionnistes des Iraniens au Proche-Orient (Hamas, Hezbollah, Syrie), dans la péninsule arabique et au Maghreb.
Rien ne pourra alors empêcher Téhéran de se servir du Liban comme d’une base avancée contre l’Europe pour y déployer ses missiles. Rien ne les en empêche déjà aujourd’hui, devant l’apathie suicidaire de l’Ouest face au putsch rampant qu’organise l’Iran au pays des cèdres.
Dans l’attente de sa bombe atomique, la Révolution Islamique possède tout de même des ogives chimiques et bactériologiques à profusion pour équiper les missiles dont elle dispose.
Téhéran peut lancer des centaines de ces missiles
simultanément sur l’Europe
Ahmadinejad pourrait être tenté de les utiliser dans des situations extrêmes, dans lesquelles son régime n’aurait plus rien à perdre, par exemple s’il se trouvait acculé militairement, ou s’il venait à perdre pied devant la révolte de ses habitants.
L’annonce de Robert Gates démontre au moins deux choses : que la cible véritable de Téhéran est l’Europe [1] – pas Israël que la RII considère n’être que sa tête de pont en Orient - et, plus tard, les Etats-Unis. Et que l’Union Européenne s’est fait surprendre avec les pantalons sur les chaussettes, exposant dangereusement ses citoyens à une bande d’illuminés relativement imprévisibles.
Ce qui n’est pas le cas d’Israël, qui développe, depuis des années, avec des moyens financiers extraordinairement plus minces que ceux dont dispose l’UE, un missile antimissile, le Khetz (Flèche), théoriquement capable d’intercepter des engins balistiques iraniens, même si ceux-ci sont dotés de têtes multiples.
L’Europe, quant à elle, dépend du bon vouloir étasunien et de la perspicacité stratégique des preneurs de décisions du Pentagone puis de la Maison Blanche.
Certes, l’Amérique dispose de la technologie nécessaire pour construire des missiles antimissiles – ce qu’elle doit largement à la technologie du Khetz, à laquelle elle a accès pour en avoir financé les cinq sixièmes.
Mais Washington reconnait elle-même que ses armes ne pourraient être prêtes à déployer pour protéger le Vieux continent qu’à l’horizon de 2018-2020 ; tandis que la menace chiite existe dès maintenant, et qu’elle deviendra politiquement et sécuritairement insupportable, si personne n’empêche sérieusement Téhéran d’accéder à l’arme suprême, dans un délai maximal (et je suis très optimiste écrivant cela) de deux ans.
Cela signifie, pour l’Europe, se trouver exposée, sans aucune défense, durant au moins six ans à une menace tangible et mortelle !
Et cela dépend aussi, comme je l’ai mentionné un peu plus haut, des prises de décisions adéquates de l’autre côté de l’Atlantique. A ce sujet, l’intervention de Robert Gates jeudi était moins destinée à effrayer les Européens, qu’à informer l’opinion de l’erreur d’appréciation réalisée par les USA au niveau de la parade à opposer à la menace perse.
En septembre dernier, en effet, le Pentagone s’est aperçu que le bouclier antimissiles qu’il avait préparé pour l’Europe était inadapté. Les missiles intercepteurs étaient, en principe, capables d’arrêter un, voir deux missiles balistiques de longue portée à la fois, mais ils seraient débordés face à une rafale (Gates a utilisé le mot salve) de missiles de courte à moyenne portée.
C’est pour cela qu’il faut maintenant développer – il n’existe pas encore ! - et déployer un nouveau type de bouclier pour protéger l’Europe. Oui, mais au rythme de Washington, et en suivant ses priorités ; ce qui signifie une immense dépendance de Bruxelles envers les Etats-Unis, avec tout ce que cela implique pour l’autonomie politique de l’UE.
Et les leaders et les diplomates des pays amis de Washington le savent pertinemment : l’Amérique ne fait jamais de cadeaux ; ils savent donc à quoi s’attendre.
Dans l’entre-temps, Catherine Ashton et ses copines européennes auraient tout intérêt à cesser leurs attaques diplomatiques déplacées contre l’Etat hébreu – déplacées car elles s’inscrivent directement dans la stratégie de Téhéran et qu’elles sont ainsi suicidaires du point de vue stratégique – et à s’intéresser à l’achat de Khetz.
Et j’écris cela le plus sérieusement du monde : le Khetz III, en phase de développement avancé, est capable d’intercepter les fusées chiites en phase ascendante (plus loin de leur objectif, plus près de l’Iran) et il conviendrait, au moins temporairement, à l’Union Européenne.
De plus, le Khetz possède l’immense avantage d’être déjà opérationnel et déjà déployé dans les unités de Tsahal, ce qui en fait un atout vainqueur.
On ne peut pas dire que les Européens demeurent totalement inactifs ; au plan politique s’entend. C’est ainsi qu’ils ont adopté, la semaine dernière, à la suite des USA, une résolution renforçant la 1929 passée préalablement au Conseil de Sécurité.
En fait non. Ca n’est pas exact : les Européens ont pris la résolution de prendre une résolution en juillet prochain. Une résolution intéressante, puisque, contournant l’opposition de la Chine et de la Russie, elle interdira (aux pays qui l’adopteront) de fournir tout équipement destiné à l’industrie iranienne du gaz et du pétrole.
Lorsque l’on sait que Téhéran se montre incapable de produire plus de 20% de ses besoins en pétrole raffiné, on se dit que la décision pourrait avoir "un certain impact" sur les ayatollahs. Mais de là à les faire abandonner leur projet atomique... il est préférable de conserver son sérieux dans ce genre de discussion.
Nul doute que la "décision de décider en juillet" est censée causer un effet didactique sur Ahmadinejad et Khameneï. Un effet que l’Europe voudrait mettre à profit pour arracher un renoncement de Téhéran à son programme nucléaire ; voir l’offre de nouvelles négociations que vient de lui lancer Nicolas Sarkozy.
Il me semble toutefois que les Européens ont quelques trains de retard ; qu’ils ne réalisent pas qu’ils ont des missiles pointés sur leurs populations, et que les Iraniens mènent, depuis longtemps, une authentique guerre contre leurs intérêts, partout où ils le peuvent sur la Planète.
Dans la grille de lecture des analystes stratégiques, y compris de certains européens, on pourrait dire que le degré d’incompréhension et d’impréparation des leaders européens sur ce dossier confine au pathétique.
Car, dans le même temps, les Etats-Unis et Israël appréhendent – heureusement pour les habitants de l’Europe – correctement le danger militaire perse. Ils mènent des efforts diplomatiques, certes, mais ils ne négligent pas l’option guerrière d’ultime recours. Option absolument nécessaire lorsque l’on subit une agression comme le monde libre est en train d’en subir une de la part de la "République" Islamique.
Et ce ne sont pas les huit Rafales basés à Abu-Dhabi que je qualifierai d’option crédible en ce sens. Mais plutôt les douze navires de guerre américains – dont un porte-avions - et les deux bâtiments israéliens qui viennent de franchir le Canal de Suez, afin d’aller renforcer l’escadre d’attaque déjà en place dans l’Océan indien.
De mémoire fellah, on n’avait jamais vu pareille armada emprunter la voie d’eau creusée par de Lesseps en un seul voyage.
Mais parce que le soutien de Moubarak à l’effort de guerre contre Téhéran ne plaît pas aux alliés circonstanciels des ayatollahs de l’université islamique d’Al-Azar au Caire, le gouvernement égyptien s’est vu contraint de disposer des milliers de soldats le long du canal afin de sécuriser le convoi.
Reste que la force aéronavale réunie dans le Golfe persique et à l’orée de celui-ci est maintenant suffisante pour parer à toute éventualité. Elle parle la langue que Khameneï comprend et permet d’espérer encore un peu l’arrêt du programme nucléaire chiite par des voies non-violentes. Quoique...
Note :
[1] Les missiles dirigés contre l’Europe, développés à coups de dizaines de milliards de dollars, ont une portée trop longue pour être utilisés sur Israël. Les centaines d’unités de ce type que les Iraniens ont fabriquées ne peuvent êtres utilisées que contre des cibles européennes.
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NOUVELLES D'ALGERIE !! 20 juin 2010, 01:24 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 852 |
Vous allez rire, elle est bien bonne....!!!!!
LES ARROSEURS .... ARROSES !!!!
Depuis plusieurs semaines, la presse algérienne se fait l’'écho de tensions entre la communauté chinoise installée
en Algérie et la population locale.
Tensions qui ont donné lieu cet été à de graves agressions à l’'encontre de ces immigrés asiatiques et dont la
violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur
demander de mettre fin à ces pugilats....
« Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens.
On les a accepté malgré leurs défauts, aujourd'hui ils nous agressent chez nous », a déclaré Mounir à l’ A.F.P.
« Ils boivent de l'’alcool devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s'’exhibent parfois en short dans
le quartier.
Ce sont des comportements contraires à notre religion et notre culture », a précisé Abdellah, un autre habitant du quartier.
Des critiques que Song explique par:
« un sentiment de concurrence et de jalousie ».
A Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois.
« Leurs produits sont vendus à des prix très compétitifs, ils sont ouverts tous les jours, donc ils gagnent de l’argent.
Ce qui déplaît aux Algériens », observe-t-il....
Etonnant, non ?
Ces mêmes chinois sont implantés en France depuis des lustres mais n’'ont que rarement attisé le ressentiment des
Français, contrairement à d'autres communautés....
Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés chinois ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue,
n'’imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles, n'exigent pas la construction de grands temples
bouddhistes ou taoïstes, ne réclament pas d'’horaires de piscine aménagés, ne contredisent pas l’'enseignement
des sciences, se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses, ne profitent pas indûment des aides sociales etc…
LES ARROSEURS .... ARROSES !!!!
Depuis plusieurs semaines, la presse algérienne se fait l’'écho de tensions entre la communauté chinoise installée
en Algérie et la population locale.
Tensions qui ont donné lieu cet été à de graves agressions à l’'encontre de ces immigrés asiatiques et dont la
violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur
demander de mettre fin à ces pugilats....
« Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens.
On les a accepté malgré leurs défauts, aujourd'hui ils nous agressent chez nous », a déclaré Mounir à l’ A.F.P.
« Ils boivent de l'’alcool devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s'’exhibent parfois en short dans
le quartier.
Ce sont des comportements contraires à notre religion et notre culture », a précisé Abdellah, un autre habitant du quartier.
Des critiques que Song explique par:
« un sentiment de concurrence et de jalousie ».
A Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces appartiennent à des Chinois.
« Leurs produits sont vendus à des prix très compétitifs, ils sont ouverts tous les jours, donc ils gagnent de l’argent.
Ce qui déplaît aux Algériens », observe-t-il....
Etonnant, non ?
Ces mêmes chinois sont implantés en France depuis des lustres mais n’'ont que rarement attisé le ressentiment des
Français, contrairement à d'autres communautés....
Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés chinois ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue,
n'’imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles, n'exigent pas la construction de grands temples
bouddhistes ou taoïstes, ne réclament pas d'’horaires de piscine aménagés, ne contredisent pas l’'enseignement
des sciences, se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses, ne profitent pas indûment des aides sociales etc…
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Re: NOUVELLES D'ALGERIE !! 22 juin 2010, 01:04 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 401 |
Les chinois font ce que nous ne faisions pas au Maroc ou ailleurs.
Nous ne sifflons jamais l'hymne national du pays qui nous accueille.
Nous ne cambriolons pas les magasins et bijouteries pendant les manifestations.
Nous n'envoyons pas des pierres et des machines à laver depuis le 6ème étage sur des C.R.S.
Nous ne nous torchons pas le derrière avec le drapeau national.
la liste est longue;
Nous les avons respecté à même reecevoir des coups et insultes de jiffa lihoudi.
Leur meilleure défense était de nous accuser d'avoir dit : DINE.
Nous ne sifflons jamais l'hymne national du pays qui nous accueille.
Nous ne cambriolons pas les magasins et bijouteries pendant les manifestations.
Nous n'envoyons pas des pierres et des machines à laver depuis le 6ème étage sur des C.R.S.
Nous ne nous torchons pas le derrière avec le drapeau national.
la liste est longue;
Nous les avons respecté à même reecevoir des coups et insultes de jiffa lihoudi.
Leur meilleure défense était de nous accuser d'avoir dit : DINE.
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LA NOUVELLE PROPAGANDE ANTI-JUIVE !!! 23 juin 2010, 04:53 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 852 |
"La nouvelle propagande anti-juive" (info # 012306/10) [Analyse d’une œuvre]
Par Guy Millière © Metula News Agency
Pierre-André Taguieff fait, depuis des années, un travail courageux, salubre et indispensable. Ses écrits sur ce qu’il nomme la « judéophobie », sur le terrorisme intellectuel, sur les manuels scolaires palestiniens et sur les nouveaux visages de l’antisémitisme constituent des références et des classiques.
Son dernier livre, La nouvelle propagande anti-juive (PUF éditeur, € 27.55) apporte une pierre supplémentaire à un édifice qui restera. Il lui permet de franchir une étape supplémentaire dans ses réflexions.
Il offre l’opportunité de pointer du doigt un problème d’une actualité plus que jamais brûlante aujourd’hui : le rôle des media dans les incitations à une haine qu’on présente comme dirigées essentiellement contre l’Etat d’Israël, mais qui ne peuvent être distinguées de l’antisémitisme.
Il s’opère, montre Taguieff, une diabolisation de la victime, typique des haines antijuives du passé, et, aux fins que cette diabolisation opère, un « retournement » de celle-ci de façon à dépeindre la victime en « bourreau ».
Dès lors que les Juifs disposent aujourd’hui d’un Etat, et dès lors que cet Etat est doté d’une armée à même de le défendre, ce « retournement » peut aller jusqu’à la description du Juif comme « nazi » et des soldats de l’armée de l’Etat juif comme de SS.
Alors que le peuple juif n’a cessé d’être victime de racisme, on l’accuse aussi, désormais, d’être « raciste », ce qui a commencé avec la tristement célèbre motion votée à l’ONU en 1975, assimilant le sionisme à un racisme.
Alors qu’il a subi la Shoah, on accuse le peuple juif d’avoir commis et de continuer de commettre un « génocide » à l’encontre du peuple palestinien, ce qui permet, tout à la fois, de relativiser et banaliser la Shoah, et d‘accuser ceux qui ont été victimes du crime suprême de commettre, à leur tour, l’équivalent du crime suprême.
Ce qui les rend absolument exécrables et justifie, par avance, toutes les exactions commises à leur dépens. Alors que des enfants israéliens ont été victimes d’attentats terroristes commis dans des magasins de jouets, dans des restaurants ou dans des écoles, on accuse Israël de commettre des meurtres d’enfants.
Et l’affaire A-Dura a joué sur ce plan un rôle négatif effroyable, dont la responsabilité morale pèsera à jamais sur la conscience de Charles Enderlin.
Brûlant d’actualité
Alors que les liens qui unissent Israël et les Etats-Unis relèvent essentiellement de l’existence de valeurs communes et sont de nature éthique davantage encore que de nature politique - les adeptes de la realpolitik et les personnages sans scrupules tels Obama sont prêts à passer Israël par pertes et profits -, on les présente comme relevant d’actions de lobbying occultes, sombres, censées incarner la toute puissance manipulatrice du « pouvoir juif ».
Et on parle de « complots américano-sionistes » pour expliquer, par exemple, les attentats du Onze septembre ou le changement de régime en Irak.
Les adeptes de l’antisémitisme européen des années 1930 se situaient très largement à l’extrême-droite, et ils avaient bonne conscience, puisqu’ils prétendaient sauver l’Europe et les valeurs de sa civilisation ; on ne sait que trop bien comment cela s’est achevé.
Les adeptes du nouvel antisémitisme, revêtu des défroques de l’antisionisme, qui permet de garder tous les atours de l’antisémitisme à l’ancienne sans subir le moindre anathème, se situent plutôt à gauche et à l’extrême-gauche.
Ils ont bonne conscience, au sens où ils prétendent incarner toutes les vertus de la civilisation européenne : ils sont « antiracistes », bien sûr, défenseurs des « peuples opprimés », cela va de soi, « pacifistes », « anti-impérialistes », et adeptes de la « justice sociale ».
Si vous leur dites qu’ils sont antisémites, ils seront choqués et vous contrediront vivement. On compte dans leurs rangs un certain nombre de Juifs pratiquant, sous diverses formes et diverses modalités, la haine de soi, de manière consciente ou inconsciente.
Le livre de Pierre-André Taguieff est d’une actualité brûlante, disais-je : nous sommes à un moment où la haine antisémite présentée comme strictement « antisioniste » atteint son plus haut point d’intensité depuis longtemps.
La responsabilité des media est immense : par une forme d’omerta digne de la mafia, les media français, tout particulièrement, préservent l’honneur perdu de Charles Enderlin, et continuent à débiter des mensonges sur Israël et le Proche-Orient par tombereaux entiers.
Des ouvrages qui entretiennent un flirt très avancé avec l’antisémitisme sont en vente dans toutes les librairies et se retrouvent sur la liste des best sellers, comme ce fut le cas, autrefois, pour les œuvres d’Edouard Drumont, de Léon Daudet, de Louis-Ferdinand Céline ou d’Adolf Hitler.
Il s’agit, note Taguieff, de créer les conditions de « l’acceptabilité d’un programme d’éradication de l’État d’Israël », et ce programme est désormais « commun » aux « nationalistes palestiniens, et plus largement arabes », aux « islamistes de toutes obédiences », à « la plupart des mouvances néo-gauchistes, néo-communistes et altermondialistes ». « La majorité des extrémistes de droite dans les pays occidentaux » s’y reconnaissent, comme on pouvait s’y attendre.
Dans un contexte pareil, La nouvelle propagande anti-juive ne peut qu’être passé sous silence, faire l’objet d’un boycott, valoir à ceux qui osent en parler, comme récemment Robert Redeker, des sanctions et des actes de censure.
Evoquer largement un pareil livre impliquerait que ceux qui prétendent faire profession d’informer quittent l’univers de la propagande, qui est l’objet du livre, et recommencent à faire correctement leur métier, ce qui me semble être de l’ordre de l’impossible. Cela supposerait, de leur part, d’aller contre un courant qu’ils ne cessent d’alimenter, et dont ils sont à la fois les prisonniers et les geôliers.
L’Europe a glissé vers le gouffre et l’ignominie voici sept décennies. Il m’arrive de penser qu’elle retourne présentement vers le gouffre et l’ignominie. Les modalités sont différentes, le résultat, en termes d’effets de horde et de conditionnement mental, est le même ou presque. Ceux qui sont désignés à la vindicte sont essentiellement les mêmes.
A la différence des modalités s’ajoute une autre différence : l’existence d’Israël, précisément.
Quand des historiens du futur se pencheront sur l’époque dans laquelle nous vivons, ils noteront sans doute l’effroyable inaptitude des intellectuels et journalistes européens à échapper à des démons qui n’ont cessé de les entraîner vers le pire.
Ils noteront aussi, dans les ténèbres, lorsqu’elles s’installaient, quelques esprits qui ont incarné le courage, le scrupule intellectuel, l’honneur et la dignité. Pierre-André Taguieff, d’entre ces esprits, sera au premier rang.
Par Guy Millière © Metula News Agency
Pierre-André Taguieff fait, depuis des années, un travail courageux, salubre et indispensable. Ses écrits sur ce qu’il nomme la « judéophobie », sur le terrorisme intellectuel, sur les manuels scolaires palestiniens et sur les nouveaux visages de l’antisémitisme constituent des références et des classiques.
Son dernier livre, La nouvelle propagande anti-juive (PUF éditeur, € 27.55) apporte une pierre supplémentaire à un édifice qui restera. Il lui permet de franchir une étape supplémentaire dans ses réflexions.
Il offre l’opportunité de pointer du doigt un problème d’une actualité plus que jamais brûlante aujourd’hui : le rôle des media dans les incitations à une haine qu’on présente comme dirigées essentiellement contre l’Etat d’Israël, mais qui ne peuvent être distinguées de l’antisémitisme.
Il s’opère, montre Taguieff, une diabolisation de la victime, typique des haines antijuives du passé, et, aux fins que cette diabolisation opère, un « retournement » de celle-ci de façon à dépeindre la victime en « bourreau ».
Dès lors que les Juifs disposent aujourd’hui d’un Etat, et dès lors que cet Etat est doté d’une armée à même de le défendre, ce « retournement » peut aller jusqu’à la description du Juif comme « nazi » et des soldats de l’armée de l’Etat juif comme de SS.
Alors que le peuple juif n’a cessé d’être victime de racisme, on l’accuse aussi, désormais, d’être « raciste », ce qui a commencé avec la tristement célèbre motion votée à l’ONU en 1975, assimilant le sionisme à un racisme.
Alors qu’il a subi la Shoah, on accuse le peuple juif d’avoir commis et de continuer de commettre un « génocide » à l’encontre du peuple palestinien, ce qui permet, tout à la fois, de relativiser et banaliser la Shoah, et d‘accuser ceux qui ont été victimes du crime suprême de commettre, à leur tour, l’équivalent du crime suprême.
Ce qui les rend absolument exécrables et justifie, par avance, toutes les exactions commises à leur dépens. Alors que des enfants israéliens ont été victimes d’attentats terroristes commis dans des magasins de jouets, dans des restaurants ou dans des écoles, on accuse Israël de commettre des meurtres d’enfants.
Et l’affaire A-Dura a joué sur ce plan un rôle négatif effroyable, dont la responsabilité morale pèsera à jamais sur la conscience de Charles Enderlin.
Brûlant d’actualité
Alors que les liens qui unissent Israël et les Etats-Unis relèvent essentiellement de l’existence de valeurs communes et sont de nature éthique davantage encore que de nature politique - les adeptes de la realpolitik et les personnages sans scrupules tels Obama sont prêts à passer Israël par pertes et profits -, on les présente comme relevant d’actions de lobbying occultes, sombres, censées incarner la toute puissance manipulatrice du « pouvoir juif ».
Et on parle de « complots américano-sionistes » pour expliquer, par exemple, les attentats du Onze septembre ou le changement de régime en Irak.
Les adeptes de l’antisémitisme européen des années 1930 se situaient très largement à l’extrême-droite, et ils avaient bonne conscience, puisqu’ils prétendaient sauver l’Europe et les valeurs de sa civilisation ; on ne sait que trop bien comment cela s’est achevé.
Les adeptes du nouvel antisémitisme, revêtu des défroques de l’antisionisme, qui permet de garder tous les atours de l’antisémitisme à l’ancienne sans subir le moindre anathème, se situent plutôt à gauche et à l’extrême-gauche.
Ils ont bonne conscience, au sens où ils prétendent incarner toutes les vertus de la civilisation européenne : ils sont « antiracistes », bien sûr, défenseurs des « peuples opprimés », cela va de soi, « pacifistes », « anti-impérialistes », et adeptes de la « justice sociale ».
Si vous leur dites qu’ils sont antisémites, ils seront choqués et vous contrediront vivement. On compte dans leurs rangs un certain nombre de Juifs pratiquant, sous diverses formes et diverses modalités, la haine de soi, de manière consciente ou inconsciente.
Le livre de Pierre-André Taguieff est d’une actualité brûlante, disais-je : nous sommes à un moment où la haine antisémite présentée comme strictement « antisioniste » atteint son plus haut point d’intensité depuis longtemps.
La responsabilité des media est immense : par une forme d’omerta digne de la mafia, les media français, tout particulièrement, préservent l’honneur perdu de Charles Enderlin, et continuent à débiter des mensonges sur Israël et le Proche-Orient par tombereaux entiers.
Des ouvrages qui entretiennent un flirt très avancé avec l’antisémitisme sont en vente dans toutes les librairies et se retrouvent sur la liste des best sellers, comme ce fut le cas, autrefois, pour les œuvres d’Edouard Drumont, de Léon Daudet, de Louis-Ferdinand Céline ou d’Adolf Hitler.
Il s’agit, note Taguieff, de créer les conditions de « l’acceptabilité d’un programme d’éradication de l’État d’Israël », et ce programme est désormais « commun » aux « nationalistes palestiniens, et plus largement arabes », aux « islamistes de toutes obédiences », à « la plupart des mouvances néo-gauchistes, néo-communistes et altermondialistes ». « La majorité des extrémistes de droite dans les pays occidentaux » s’y reconnaissent, comme on pouvait s’y attendre.
Dans un contexte pareil, La nouvelle propagande anti-juive ne peut qu’être passé sous silence, faire l’objet d’un boycott, valoir à ceux qui osent en parler, comme récemment Robert Redeker, des sanctions et des actes de censure.
Evoquer largement un pareil livre impliquerait que ceux qui prétendent faire profession d’informer quittent l’univers de la propagande, qui est l’objet du livre, et recommencent à faire correctement leur métier, ce qui me semble être de l’ordre de l’impossible. Cela supposerait, de leur part, d’aller contre un courant qu’ils ne cessent d’alimenter, et dont ils sont à la fois les prisonniers et les geôliers.
L’Europe a glissé vers le gouffre et l’ignominie voici sept décennies. Il m’arrive de penser qu’elle retourne présentement vers le gouffre et l’ignominie. Les modalités sont différentes, le résultat, en termes d’effets de horde et de conditionnement mental, est le même ou presque. Ceux qui sont désignés à la vindicte sont essentiellement les mêmes.
A la différence des modalités s’ajoute une autre différence : l’existence d’Israël, précisément.
Quand des historiens du futur se pencheront sur l’époque dans laquelle nous vivons, ils noteront sans doute l’effroyable inaptitude des intellectuels et journalistes européens à échapper à des démons qui n’ont cessé de les entraîner vers le pire.
Ils noteront aussi, dans les ténèbres, lorsqu’elles s’installaient, quelques esprits qui ont incarné le courage, le scrupule intellectuel, l’honneur et la dignité. Pierre-André Taguieff, d’entre ces esprits, sera au premier rang.
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UN NOUVEAU MOUVEMENT EST N? lanc? par JOSE MARIA AZNAR : "LES AMIS D'ISRAEL" 24 juin 2010, 00:16 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 852 |
"LES AMIS D'ISRAEL "
C'EST LE LE NOM DU MOUVEMENT LANCé PAR L'EX PREMIER MINISTRE ESPAGNOL
JOSE MARIA AZNAR , ET AUQUEL SE SONT JOINTS PLUSIEURS PERSONNALITéS DE
TOUS BORDS !!!
C'EST REJOUISSANT ET ESPERONS QUE D'AUTRES VOIX S'ELEVERONT POUR
S'INDIGNER DE LA "DIABOLISATION" orchestrée D'ISRAEL !
A DIFFUSER MASSIVEMENT !!
juin
Il faut soutenir Israel : un appel de José-Maria Aznar
Source : The Times – Londres – 17/06/10 – Traduction Albert Soued
La colère à propos de Gaza est une diversion. Nous ne pouvons pas oublier qu’Israël est le meilleur allié de l’Occident dans une région turbulente.
Cela fait trop longtemps maintenant qu’il n’est plus « à la mode » de défendre Israël.
A la suite du récent incident de la flottille remplie d’activistes anti-israéliens en Méditerranée, il est difficile de trouver une cause aussi impopulaire à défendre.
Dans un monde idéal, l’assaut des commandos israéliens sur le Mavi Marmara ne
se serait pas terminé par 9 morts et des douzaines de blessés.
Dans un monde idéal, les soldats auraient été accueillis paisiblement à bord.
Dans un monde idéal, aucun état, notamment un allié récent d’Israël comme la Turquie,
n’aurait promu et organisé une flottille dont le seul but était de créer une situation
impossible pour Israël, c’est-à-dire choisir entre l’abandon de sa politique de sécurité
et le blocus naval, ou risquer la colère du monde.
Dans nos relations avec Israël, il faut dissiper les brumes rousses de la colère qui trop
souvent brouillent notre jugement.
Une approche équilibrée et raisonnable devrait inclure les réalités suivantes.
D’abord l’état d’Israël a été créé par une décision de l’Onu.
Par conséquent, sa légitimité ne peut pas être mise en question.
Israël est une nation qui a des institutions profondément ancrées dans la démocratie.
C’est une société ouverte et dynamique qui ne cesse d’exceller dans la culture, la science
et la technologie.
Ensuite, grâce à ses racines, son histoire et ses valeurs, Israël est une nation occidentale
à part entière.
En effet, c’est une nation occidentale normale, mais qui est confrontée à des situations anormales.
Unique en Occident, c’est la seule démocratie dont l’existence est menacée depuis sa création.
Elle a d’abord été attaquée par ses voisins, avec des armes conventionnelles.
Puis elle a fait face au terrorisme culminant, vague après vague, dans des attentats-suicide.
Aujourd’hui sous l’instigation d’islamistes radicaux et de leurs sympathisants, elle affronte
une campagne de dénigrement à travers la loi internationale et la diplomatie.
62 ans après sa création, Israël se bat encore pour sa survie.
Puni par des missiles qui pleuvent du nord comme du sud, menacée de destruction par
un Iran qui cherche à acquérir des bombes nucléaires et pressé par les amis comme les ennemis,
il semble qu’Israël n’ait aucun moment de répit.
Pendant des années, l’Occident a concentré son attention sur le processus de paix entre
Israéliens et Palestiniens, et on peut le comprendre.
Mais si Israël est en danger aujourd’hui et si toute la région est en train de glisser vers un avenir
très préoccupant, ce n’est pas du tout parce que les parties ne s’entendent pas sur les moyens
de résoudre le conflit.
Les paramètres de tout accord de paix futur sont clairs, même si pour chaque partie,
le processus final à atteindre est difficile et douloureux.
Les menaces réelles à la stabilité régionale se trouvent, cependant, dans la montée d’un islamisme
radical qui voit la destruction d’Israël comme l’accomplissement d’un destin religieux et,
simultanément, dans le cas de l’Iran, comme une expression de ses ambitions pour une
hégémonie régionale.
Les 2 phénomènes sont des menaces qui affectent non seulement Israël,
mais aussi tout l’Occident et le monde entier.
Le cœur du problème se trouve dans la manière ambiguë et souvent erronée avec laquelle de
nombreux pays occidentaux réagissent à la situation.
Il est facile de blâmer Israël pour tous les maux du Moyen Orient.
Certains agissent et parlent comme si on pouvait parvenir à une nouvelle entente avec le
monde musulman, à condition de sacrifier l’état d’Israël sur l’autel de cette entente.
Ce serait une folie.
Israël est notre première ligne de défense dans une région turbulente qui risque à tout moment
de sombrer dans le chaos, une région vitale pour notre sécurité énergétique, du fait de notre
surdépendance du pétrole du Moyen Orient,
une région qui constitue une frontière dans le combat contre l’extrémisme.
Si Israël sombre, nous tous nous sombrerons.
Pour défendre le droit d’Israël à exister en paix et dans des frontières sûres, il faut un degré
de clarté morale et stratégique qui trop souvent semble avoir disparu en Europe.
Les États-Unis montrent des signes inquiétants car ils empruntent la même voie.
L’Occident traverse une période de confusion quant à l’avenir du monde.
Dans une large mesure, cette confusion vient d’une sorte de doute de soi masochiste
qui concerne notre propre identité, du fait du politiquement correct et du multiculturalisme qui
nous forcent à nous mettre à genoux devant les autres,
et d’une laïcité qui, ironie du sort,
nous aveugle,
même lorsque nous sommes confrontés à des djihadistes qui font la promotion
d’une foi fanatique.
Abandonner Israël à son sort, en ce moment critique, ne servirait qu’à illustrer combien
nous avons sombré et combien notre déclin semble désormais inexorable.
On ne peut pas laisser faire.
Motivé par le besoin de reconstruire nos propres valeurs occidentales, exprimant une profonde
inquiétude au sujet de la vague d’agression contre Israël,
et conscient que la force d’Israël, est notre force,
et que la faiblesse d’Israël, est notre faiblesse,
j’ai décidé de promouvoir une nouvelle initiative d’ »Amis d’Israël » avec l’aide de quelques personnalités
, dont David Trimble [ex-Premier ministre d'Irlande du Nord],
Andrew Roberts [historien anglais],
John Bolton [ex-ambassadeur américain aux Nations unies],
Alejandro Toledo (ancien président du Pérou),
Marcello Pera (philosophe et ancien président du Sénat italien),
Fiamma Nirenstein (auteure et politicienne italienne),
le financier Robert Agostinelli ,
et l’intellectuel catholique George Weigel.
Nous n’avons pas l’intention de défendre une politique spécifique ou un gouvernement israélien particulier.
Les auteurs de cette initiative sont certains d’être parfois en désaccord avec certaines des décisions
prises par Jérusalem.
Nous sommes des démocrates et nous croyons en la diversité.
Ce qui nous lie, toutefois, est notre soutien indéfectible à Israël et à son droit à exister et à se défendre.
Que des pays occidentaux se rangent du côté de ceux qui remettent en question la légitimité d’Israël,
jouent avec des questions de sécurité vitales pour Israël au sein des instances internationales, ou
apaisent ceux qui s’opposent aux valeurs occidentales plutôt que de s’élever vigoureusement pour
la défense de ces valeurs, n’est pas seulement une grave erreur morale, mais une erreur stratégique
de premier ordre.
Israël est une partie essentielle de l’Occident.
L’Occident est ce qu’il est, grâce à ses racines judéo-chrétiennes.
Si l’élément juif de ces racines est déterré et Israël perdu, alors nous sommes perdus aussi.
Que cela nous plaise ou non, nos destins sont inextricablement liés.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/06/2010 01:37 par Dafouineuse.
C'EST LE LE NOM DU MOUVEMENT LANCé PAR L'EX PREMIER MINISTRE ESPAGNOL
JOSE MARIA AZNAR , ET AUQUEL SE SONT JOINTS PLUSIEURS PERSONNALITéS DE
TOUS BORDS !!!
C'EST REJOUISSANT ET ESPERONS QUE D'AUTRES VOIX S'ELEVERONT POUR
S'INDIGNER DE LA "DIABOLISATION" orchestrée D'ISRAEL !
A DIFFUSER MASSIVEMENT !!
juin
Il faut soutenir Israel : un appel de José-Maria Aznar
Source : The Times – Londres – 17/06/10 – Traduction Albert Soued
La colère à propos de Gaza est une diversion. Nous ne pouvons pas oublier qu’Israël est le meilleur allié de l’Occident dans une région turbulente.
Cela fait trop longtemps maintenant qu’il n’est plus « à la mode » de défendre Israël.
A la suite du récent incident de la flottille remplie d’activistes anti-israéliens en Méditerranée, il est difficile de trouver une cause aussi impopulaire à défendre.
Dans un monde idéal, l’assaut des commandos israéliens sur le Mavi Marmara ne
se serait pas terminé par 9 morts et des douzaines de blessés.
Dans un monde idéal, les soldats auraient été accueillis paisiblement à bord.
Dans un monde idéal, aucun état, notamment un allié récent d’Israël comme la Turquie,
n’aurait promu et organisé une flottille dont le seul but était de créer une situation
impossible pour Israël, c’est-à-dire choisir entre l’abandon de sa politique de sécurité
et le blocus naval, ou risquer la colère du monde.
Dans nos relations avec Israël, il faut dissiper les brumes rousses de la colère qui trop
souvent brouillent notre jugement.
Une approche équilibrée et raisonnable devrait inclure les réalités suivantes.
D’abord l’état d’Israël a été créé par une décision de l’Onu.
Par conséquent, sa légitimité ne peut pas être mise en question.
Israël est une nation qui a des institutions profondément ancrées dans la démocratie.
C’est une société ouverte et dynamique qui ne cesse d’exceller dans la culture, la science
et la technologie.
Ensuite, grâce à ses racines, son histoire et ses valeurs, Israël est une nation occidentale
à part entière.
En effet, c’est une nation occidentale normale, mais qui est confrontée à des situations anormales.
Unique en Occident, c’est la seule démocratie dont l’existence est menacée depuis sa création.
Elle a d’abord été attaquée par ses voisins, avec des armes conventionnelles.
Puis elle a fait face au terrorisme culminant, vague après vague, dans des attentats-suicide.
Aujourd’hui sous l’instigation d’islamistes radicaux et de leurs sympathisants, elle affronte
une campagne de dénigrement à travers la loi internationale et la diplomatie.
62 ans après sa création, Israël se bat encore pour sa survie.
Puni par des missiles qui pleuvent du nord comme du sud, menacée de destruction par
un Iran qui cherche à acquérir des bombes nucléaires et pressé par les amis comme les ennemis,
il semble qu’Israël n’ait aucun moment de répit.
Pendant des années, l’Occident a concentré son attention sur le processus de paix entre
Israéliens et Palestiniens, et on peut le comprendre.
Mais si Israël est en danger aujourd’hui et si toute la région est en train de glisser vers un avenir
très préoccupant, ce n’est pas du tout parce que les parties ne s’entendent pas sur les moyens
de résoudre le conflit.
Les paramètres de tout accord de paix futur sont clairs, même si pour chaque partie,
le processus final à atteindre est difficile et douloureux.
Les menaces réelles à la stabilité régionale se trouvent, cependant, dans la montée d’un islamisme
radical qui voit la destruction d’Israël comme l’accomplissement d’un destin religieux et,
simultanément, dans le cas de l’Iran, comme une expression de ses ambitions pour une
hégémonie régionale.
Les 2 phénomènes sont des menaces qui affectent non seulement Israël,
mais aussi tout l’Occident et le monde entier.
Le cœur du problème se trouve dans la manière ambiguë et souvent erronée avec laquelle de
nombreux pays occidentaux réagissent à la situation.
Il est facile de blâmer Israël pour tous les maux du Moyen Orient.
Certains agissent et parlent comme si on pouvait parvenir à une nouvelle entente avec le
monde musulman, à condition de sacrifier l’état d’Israël sur l’autel de cette entente.
Ce serait une folie.
Israël est notre première ligne de défense dans une région turbulente qui risque à tout moment
de sombrer dans le chaos, une région vitale pour notre sécurité énergétique, du fait de notre
surdépendance du pétrole du Moyen Orient,
une région qui constitue une frontière dans le combat contre l’extrémisme.
Si Israël sombre, nous tous nous sombrerons.
Pour défendre le droit d’Israël à exister en paix et dans des frontières sûres, il faut un degré
de clarté morale et stratégique qui trop souvent semble avoir disparu en Europe.
Les États-Unis montrent des signes inquiétants car ils empruntent la même voie.
L’Occident traverse une période de confusion quant à l’avenir du monde.
Dans une large mesure, cette confusion vient d’une sorte de doute de soi masochiste
qui concerne notre propre identité, du fait du politiquement correct et du multiculturalisme qui
nous forcent à nous mettre à genoux devant les autres,
et d’une laïcité qui, ironie du sort,
nous aveugle,
même lorsque nous sommes confrontés à des djihadistes qui font la promotion
d’une foi fanatique.
Abandonner Israël à son sort, en ce moment critique, ne servirait qu’à illustrer combien
nous avons sombré et combien notre déclin semble désormais inexorable.
On ne peut pas laisser faire.
Motivé par le besoin de reconstruire nos propres valeurs occidentales, exprimant une profonde
inquiétude au sujet de la vague d’agression contre Israël,
et conscient que la force d’Israël, est notre force,
et que la faiblesse d’Israël, est notre faiblesse,
j’ai décidé de promouvoir une nouvelle initiative d’ »Amis d’Israël » avec l’aide de quelques personnalités
, dont David Trimble [ex-Premier ministre d'Irlande du Nord],
Andrew Roberts [historien anglais],
John Bolton [ex-ambassadeur américain aux Nations unies],
Alejandro Toledo (ancien président du Pérou),
Marcello Pera (philosophe et ancien président du Sénat italien),
Fiamma Nirenstein (auteure et politicienne italienne),
le financier Robert Agostinelli ,
et l’intellectuel catholique George Weigel.
Nous n’avons pas l’intention de défendre une politique spécifique ou un gouvernement israélien particulier.
Les auteurs de cette initiative sont certains d’être parfois en désaccord avec certaines des décisions
prises par Jérusalem.
Nous sommes des démocrates et nous croyons en la diversité.
Ce qui nous lie, toutefois, est notre soutien indéfectible à Israël et à son droit à exister et à se défendre.
Que des pays occidentaux se rangent du côté de ceux qui remettent en question la légitimité d’Israël,
jouent avec des questions de sécurité vitales pour Israël au sein des instances internationales, ou
apaisent ceux qui s’opposent aux valeurs occidentales plutôt que de s’élever vigoureusement pour
la défense de ces valeurs, n’est pas seulement une grave erreur morale, mais une erreur stratégique
de premier ordre.
Israël est une partie essentielle de l’Occident.
L’Occident est ce qu’il est, grâce à ses racines judéo-chrétiennes.
Si l’élément juif de ces racines est déterré et Israël perdu, alors nous sommes perdus aussi.
Que cela nous plaise ou non, nos destins sont inextricablement liés.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/06/2010 01:37 par Dafouineuse.
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LETTRE OUVERTE QUE JON VOIGT VIENT DE PUBLIER DANS LA PRESSE AMERICAINE !!! 25 juin 2010, 02:10 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 852 |
REMARQUABLE JON VOIGT, QUI MENE UNE LUTTE INLASSABLE CONTRE
LE PIRE PRESIDENT que l' 'AMERIQUE ait jamais eu , hussein obamao ,
pour sa diabolisation d'ISRAEL et son projet CRIMINEL de transformer
l'AMERIQUE .
L'AMERIQUE DES "PERES FONDATEURS" EST EN MARCHE , la sanction
contre cet ennemi sera exemplaire .
Objet : Lettre ouverte que Jon Voight (père de angelina jolie) vient de publier dans la presse américaine.
Sujet : Lettre ouverte que Jon Voight (père de angelina jolie) vient de publier dans la presse américaine.
Cher Président Obama,
Vous serez le premier président des Etats-Unis d’Amérique à avoir menti au peuple juif, et au peuple
américain également, lorsque vous avez dit que vous défendrez Israël, le seul état démocratique du
Moyen-Orient, contre ses ennemis.
Jusqu’à présent, vous avez fait tout le contraire.
Vous avez mis en place vous-même la propagande anti-Israël, jusqu’à ce qu’ils apparaissent (ndlr: les israéliens)
aux yeux du monde, comme l’ennemi de tous…
Et votre appel à eu de l’écho.
Vous mettez en Israël en danger, et ainsi vous favorisez l’antisémitisme à travers le monde.
Vous faites le mal à un peuple qui a donné au monde les Dix Commandements et la plupart des lois qui régissent
nos vies aujourd’hui.
Le peuple juif a donné au monde nos plus grands savants et philosophes
. Le peuple juif est celui qui a inventé des remèdes pour guérir de nombreuses maladies.
Et maintenant, vous jouez un jeu très dangereux qui devrait vous permettre de ressembler à un vrai martyr aux
yeux de ceux qui vous défendent.
Mais ceux qui vous défendent, ce sont des assassins et des criminels.
Et eux souhaitent la destruction d’Israël.
Vous avez apporté une guerre civile en Arizona, une fois de plus pour défendre les criminels et illégaux, soutenir
l’effondrement du bien, du loyal, et des citoyens respectueux des lois
. Votre destruction de ce pays ne pourra t-elle un jour être remédié ?
Pourrions-nous ne jamais récupérer notre Amérique?
Je prie Dieu pour qu’il vous arrête et j’espère que les gens dans ce grand pays réalisent que votre programme
politique n’est pas un combat pour le bien de l’humanité mais un combat pour votre carrière politique.
Avec l’émotion profonde de mon cœur et la préoccupation l’Amérique et Israël,
Jon Voight
Pièces jointes:
LE PIRE PRESIDENT que l' 'AMERIQUE ait jamais eu , hussein obamao ,
pour sa diabolisation d'ISRAEL et son projet CRIMINEL de transformer
l'AMERIQUE .
L'AMERIQUE DES "PERES FONDATEURS" EST EN MARCHE , la sanction
contre cet ennemi sera exemplaire .
Objet : Lettre ouverte que Jon Voight (père de angelina jolie) vient de publier dans la presse américaine.
Sujet : Lettre ouverte que Jon Voight (père de angelina jolie) vient de publier dans la presse américaine.
Cher Président Obama,
Vous serez le premier président des Etats-Unis d’Amérique à avoir menti au peuple juif, et au peuple
américain également, lorsque vous avez dit que vous défendrez Israël, le seul état démocratique du
Moyen-Orient, contre ses ennemis.
Jusqu’à présent, vous avez fait tout le contraire.
Vous avez mis en place vous-même la propagande anti-Israël, jusqu’à ce qu’ils apparaissent (ndlr: les israéliens)
aux yeux du monde, comme l’ennemi de tous…
Et votre appel à eu de l’écho.
Vous mettez en Israël en danger, et ainsi vous favorisez l’antisémitisme à travers le monde.
Vous faites le mal à un peuple qui a donné au monde les Dix Commandements et la plupart des lois qui régissent
nos vies aujourd’hui.
Le peuple juif a donné au monde nos plus grands savants et philosophes
. Le peuple juif est celui qui a inventé des remèdes pour guérir de nombreuses maladies.
Et maintenant, vous jouez un jeu très dangereux qui devrait vous permettre de ressembler à un vrai martyr aux
yeux de ceux qui vous défendent.
Mais ceux qui vous défendent, ce sont des assassins et des criminels.
Et eux souhaitent la destruction d’Israël.
Vous avez apporté une guerre civile en Arizona, une fois de plus pour défendre les criminels et illégaux, soutenir
l’effondrement du bien, du loyal, et des citoyens respectueux des lois
. Votre destruction de ce pays ne pourra t-elle un jour être remédié ?
Pourrions-nous ne jamais récupérer notre Amérique?
Je prie Dieu pour qu’il vous arrête et j’espère que les gens dans ce grand pays réalisent que votre programme
politique n’est pas un combat pour le bien de l’humanité mais un combat pour votre carrière politique.
Avec l’émotion profonde de mon cœur et la préoccupation l’Amérique et Israël,
Jon Voight
Pièces jointes:
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