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Envoyé par mossad 
CARREFOUR PORTE PLAINTE CONTRE LES ANTISEMITES PRO-PALESTINIENS !!!!
20 janvier 2010, 09:06
Carrefour porte plainte contre les antisémites pro-palestiniens


La grande distribution s’organise contre ces trublions pro-palestiniens qui par leurs antisionisme, montrent leur anti-judaïsme primaire. C’est le cas d’Arnaud Sakina, une jeune femme très active dans le soutient au terrorisme du Hamas et du Fatah.

Sakina Arnaud, militante pro-palestinienne anti-juive et antisémite est poursuivie en justice à Bordeaux pour avoir mené des actions de boycott dans le magasin Carrefour de sa région. Lequel magasin l’attaque pour avoir collé des autocollants qui prônant l’apartheid palestinien (autorisant les arabes à vivre en Israël mais prônant l’interdiction des juifs à vivre dans les territoires disputés) à l’intérieur du supermarché.

Cette plainte pour “dégradation” a été requalifiée par le parquet, en “incitation à la haine raciale“, en raison d’une “discrimination à l’encontre d’un pays“. Ceci à la demande du Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme, de son Président Samy Ghozlan, et du brillant avocat Gilles William Goldnadel, qui se sont portés parties civiles.

Le procès de Sakina Arnaud aura lieu la semaine prochaine, le mercredi 13 janvier à 14 H au Palais de Justice de Bordeaux. Ce procès est d’autant plus important que c’est le premier du genre. Tous les combattants des droits de l’homme doivent soutenir la justice française face à ce nouvel antisémitisme. JSSNews appel toutes les personnes de la région à venir soutenir Carrefour dans ce combat contre les antisémites de tous bords.

A noter que Sakina Arnaud était la semaine dernière en Egypte pour soutenir les terroristes du Hamas et leurs missiles envoyés aveuglément contre les enfants d’Israël. C’est un procès de soutient au terrorisme qui devrait plutôt avoir lieu à Bordeaux!
BEN BERNANKE .... PERSONNALITE DE L'ANNEE 2009 ....
21 janvier 2010, 03:32
> > Time: Ben Bernanke, Personnalité de l’année 2009 [Mercredi 16/12/2009 22:18]

Qui est Ben Bernanke ?

C’est le Président de la prestigieuse et puissance « Federal Reserve of America », la Banque Fédérale des Etats-Unis. Il occupe le poste équivalent à celui de Stanley Fischer en Israël. Le magazine « Time » vient de lui réserver sa couverture et l’a déclaré « Personnalité de l’année 2009 », justifiant sa décision entre autres ainsi : « Il faut être reconnaissant à cet homme,

Ben Bernanke, grâce auquel l’économie américaine n’a pas plongé dans les abysses comme il était à craindre suite à la crise ». « Cet homme n’a pas un charisme extraordinaire, ce n’est ni un orateur ni un homme qui se met en avant comme c’est si souvent le cas dans ce genre de postes, mais c’est l’homme le plus sérieux du monde », écrit le rédacteur en chef de « Time ».

Effectivement, Ben Bernanke est un homme timide et effacé, mais Barack Obama a choisi de le propulser à la tête de la « Fed » car:


> > c’est un universitaire réputé doublé d’un spécialiste de la Grande Crise des années 1930. Il soutient entre autres « que la Crise de 1929 a été amplifiée par toute une série d’erreurs de la Banque Fédérale de l’époque ».

Le magazine détaille les raisons de son choix :

« Il est l’acteur principal qui dirige la plus grande économie du monde, et sa manière créative d’agir a fait que 2009 a vu un léger rétablissement de l’économie et non la catastrophe que tout le monde annonçait ».

Le Rédacteur en Chef de « Time », Richard Stengel, ne tarit pas d’éloges sur le patron de la Banque Fédérale : « Bernanke a non seulement tiré les leçons de l’Histoire, mais il l’a écrite lui-même et la empêché de se répéter ».

Ben (Shalom) Bernanke, âgé de 56 ans, est né dans l’Etat de Géorgie dans une famille juive traditionnelle, connue et engagée.

Durant sa jeunesse, il a étudié l’hébreu à la synagogue de son quartier, « Ohev Shalom », avec son grand-père qui y était H’azan et enseignant de matières juives. Il a fréquenté des « Summer Camps » juifs réputés pour leur atmosphère sioniste. Mais depuis qu’il est entré dans le monde de la Finance, Bernanke tient à ne pas mettre son Judaïsme en avant et ne participe pas souvent aux grandes manifestations des communautés juives américaines. Bernanke a également été déclaré par la revue « Foreign Policy » comme « penseur le plus influent du monde pour l’année 2009, pour avoir empêché une nouvelle Grande Dépression ».

Cela rappelle étrangement un personnage biblique dont nous parlons en ces temps, et qui sauva jadis la puissante Egypte de la disette… par Shraga Blum
> >
- DES PALESTINIENS D'ORIGINE JUIVE -
22 janvier 2010, 03:41
Dossier : Des Palestiniens d’origine juive ?
mercredi 20 janvier 2010, par Myriam Ambroselli



Des études scientifiques récentes s’appuyant sur des éléments historiques se penchent avec attention sur le cas des Palestiniens d’origine juive. Il apparaît que si l’on scrute bien les différentes étapes de l’histoire de la Terre d’Israël, de la période du Second Temple jusqu’à aujourd’hui, nombreux sont les Palestiniens qui ont des antécédents juifs. Mieux encore, il apparait que dans certains villages arabes d’Israël, des traditions juives sont observées comme la mezouza, les tefillins, la circoncision le 8ème jour et la fabrication du vin (interdit par l’Islam). Autant d’éléments sur l’identité palestinienne qui invitent à reconsidérer le problème israélo-palestinien à sa source. C’est la thèse de Tsvi Misinai, scientifique renommé en Israël, physicien et informaticien, développée notamment dans son livre « Un frère ne doit pas lever l’épée contre un frère ».

Au-delà du « conflit israélo-palestinien » : retour aux sources

L’origine juive de la majorité des Palestiniens d’Israël n’est pas une idée nouvelle, ni une idéologie révolutionnaire. David Ben Gourion et Itzhak Ben-Zvi (second Président de l’Etat d’Israël) en parlaient bien avant 1948, dans les années 20. Ils publièrent un article commun intitulé « La Terre d’Israël au passé et au présent », article qui exprimait l’idée d’intégrer les Palestiniens parmi le peuple d’Israël. En 1917, Ben Gourion avait même publié une « Enquête sur les origines des Fellahin », analysant leurs ancêtres et rappelant que « coule encore dans leurs veines du sang juif, le sang de ces agriculteurs juifs, de ces masses, qui pendant des périodes troubles de l’histoire, ont choisi de renier leur foi pour ne pas être déracinés de leur terre ». Ben-Zvi quant à lui, mena une longue enquête en Terre d’Israël pour collecter des témoignages dans un livre intitulé « Populations de notre Terre » mais l’envenimement de la situation entre les arabes et les juifs contraint Ben-Zvi à abandonner son travail.

Les premiers Sionistes avaient bien vu la nécessité de revisiter les origines de la population non-juive d’Eretz Israël. En effet, suivant la thèse la plus répandue, après la destruction du Second Temple et la révolte de Bar Kohva, les Juifs auraient été dispersés de la Terre d’Israël. Cela signifierait que par la suite, cette terre fut peuplée majoritairement par des étrangers, et ce, jusqu’à la création de l’Etat d’Israël. C’est brosser l’histoire à gros traits : la « disparition » des Juifs en Terre d’Israël est toujours restée mystérieuse. Les communautés juives se sont en fait beaucoup développée en dehors de Jérusalem, en Galilée notamment, à l’époque byzantine.

En scrutant l’histoire et en analysant les témoignages, on découvre que le peuple de la Terre d’Israël serait composé de deux groupes principaux : Le premier, exilé de la Terre d’Israël après la destruction du Temple, a réussi à préserver son identité et sa religion à travers le temps jusqu’au retour et à la création de l’Etat. Le second groupe est constitué de ceux qui sont restés à travers les siècles en Terre d’Israël, même lorsqu’ils ont été forcés d’abandonner leur religion et qu’ils ont même fini pour certains par perdre leur identité originelle. Après que la Judée ait pris le nom de « Palestine » par la volonté de l’Empereur Romain Hadrien en 135, les descendants de ces convertis de force, mélangés aux autres nationalités présentes, en vinrent à s’appeler « Palestiniens ».

La première révélation concernant l’identité des Palestiniens a été publiée par des chercheurs allemands en 1860 qui découvrirent que des juifs cachés, comme les Marranes (Juifs cachés au temps de l’Espagne musulmane et chrétienne, convertis de force mais pratiquant le Judaïsme en secret), existaient au temps des Templiers. Le colonel Condor de l’Institut de Recherche en Israël découvrit des traces d’araméen et d’hébreu dans la langue des Fellahin de la Terre d’Israël.

Ceux qui sont restés à travers les siècles…

Les révoltes juives contre les Romains (en 70 puis en 135) ont été la cause d’un grave amoindrissement de la présence juive en Terre d’Israël. Mais certains sont restés, même lorsque la Judée reçut pour nom « Palestine », et que les Judéens devinrent « Palestiniens ». La conquête de la Terre d’Israël par les arabes en 640, conduisit à l’expansion de l’Islam par la force. Au 8ème siècle, certains se convertissent en raison d’une sérieuse discrimination économique à l’encontre des non-musulmans. Mais ces conversions ne concernaient encore que la minorité des Juifs et des Chrétiens qui restèrent fidèles à leur identité. Au 11ème siècle cependant, en 1012, les califes Fatimides dirigés par les Musulmans Shiites du Caire, décrètent que tous les résidents de Terre Sainte qui ne sont pas musulmans ont l’obligation de se convertir à l’Islam ou doivent quitter le pays. La majorité des Chrétiens partent, mais nombre de Juifs, attachés à leur terre, préfèrent rester quel qu’en soit le prix.

Ces conversions forcées conduisent à l’islamisation de 90% de la population. Mais pour la majorité de ces « convertis », à l’ouest du Jourdain, l’Islam n’est qu’une couverture. Chez eux, dans leurs maisons, ils continuent d’observer leurs traditions juives. On les nomme les Musta ‘arbim, ce qui signifie « cachés comme arabes ». Lorsqu’en 1044, un autre calife lève le décret des conversions forcées, un quart seulement des Musta’arbim retournent ouvertement au Judaïsme, les autres préfèrent rester apparemment musulmans pour ne pas souffrir des discriminations économiques. Certains Juifs même se font délibérément Musta’arbim pour cette raison. Et les différentes persécutions durant les Epoques Croisée et Mameluk conduiront également à une forte augmentation des Juifs cachés.

A partir de 1840, les descendants des Musta’arbim se mélangèrent à divers migrants dans le pays. Ainsi, lorsque arrivèrent les premiers colons sionistes, confrontés à des habitants parlant l’arabe, ils ne réalisèrent pas que nombre d’entre eux étaient les descendants de ces Musta’arbim, que certains connaissaient même leur identité originelle cachée, et même qu’une partie de ces « Palestiniens » avaient réussi à préserver à travers les siècles quelques traditions juives. Des recherches démographico-historiques basées sur l’analyse des dynasties palestiniennes à travers les siècles, révèlent qu’à l’ouest du Jourdain, entre 82% et 89.5% de ces dynasties ont des origines juives anciennes, connues ou non.

Témoignages : des traditions au-delà des lignes de séparation

Dans le village de Yutta en Cisjordanie, jusqu’en 1989, la femme la plus âgée du village allumait les bougies du shabbat au pied d’un arbre qui avait grandi sur une roche, devant tous les habitants. Cette pratique cessa suite aux pressions des jeunes générations après la première Intifada.
Dans ce village qui correspond à la ville biblique de Yatta, vit le clan des « Makhamara » à traduire littéralement par « fabricants de vins ou vignerons ». La consommation d’alcool et par conséquent la fabrication du vin étaient interdites par l’Islam. Les « Makhamara » étaient ces Juifs apparemment musulmans qui, en vérité, n’observaient pas la loi islamique. Des « vignerons ». S’ils n’avaient pas le droit de faire du vin, ils en buvaient, entre eux, dans des lieux cachés.

Dans le village de Samoa (Eshtamoah biblique) trois familles issues des « Makhamara » ont entamé le processus de conversion au Judaïsme, et ceci en dépit des menaces terroristes qui ont été dirigées contre eux. Une des femmes les plus âgées allume méticuleusement les lumières de shabbat et jeûne pour la commémoration de la destruction du Temple. Elle raconte aussi la succession des mères juives préservée dans sa famille, expliquant par là même que ses propres fils sont légitimement juifs. A Samoa, il y a toujours la synagogue encore en bon état et des perforations sur certaines portes rappellent l’usage de la mezuzah. On retrouve les mêmes perforations sur les maisons au nord d’Hébron dans la localité de Sa’ir, par exemple. A Samoa, plus de 40% de la population observaient les traditions juives et reconnaissaient leurs origines juives il y a moins de cent ans. Ils ne se mariaient qu’entre membre d’une même tribu et donnaient à leurs enfants des noms juifs. Aujourd’hui beaucoup d’entre eux refusent de révéler leurs origines et se déclarent désormais musulmans. Au sud d’Hébron, dans le village de Dura (l’Adora’yim biblique), les pratiques funèbres mais aussi agricoles observées correspondent à la loi juive et non pas à celle de l’Islam. Il semblerait, selon l’hypothèse de Ben-Zvi et d’Israël Belkind, que l’Islam s’est difficilement enraciné en Terre d’Israël, contrairement aux autres pays arabes, à cause des la solidité des traditions ancestrales qui l’ont précédé dans l’histoire dans cette Terre Sainte.

Les exemples sont nombreux et il ne s’agit pas seulement d’exceptions. A Khirbat Anim Al Fawka (situé juste au nord de la Ligne Verte), à Soussia, à Kiryat Arba, à Tekoa (au nord de Bethléem), à Shfar’ham et à Damun (près de Nazareth), à Ma’aleh Amos (à l’est d’Hébron), à Awarta (au sud de Naplouse), à Bid’yah (à l’ouest d’Ariel), à Katana (près d’Abu Gosh), et dans beaucoup d’autres villes arabes de la Terre d’Israël on retrouve les pratiques juives matrimoniales, funéraires, religieuses mais aussi de cacherout, de shabbat, de règles de pureté, de circoncision au huitième jour, ainsi que le calendrier juif… Les témoignages sont souvent recueillis à mi-voix : dans une ville arabe-israélienne située à l’est de Sharon, un Sheikh reconnait être un descendant des Juifs du Maghreb, il prie avec les livres de prières juives, et en secret, raconte la conversion forcée de ses ancêtres. A Bid’yah, on sait qu’il y a encore quelques années, au moins un patriarche d’une famille continuait l’étude des Ecritures saintes du Judaïsme et que les hommes se réunissaient secrètement pour prier dans une cave.

Des ancêtres communs ?

Dans son article « les Arabes qui sont en Terre d’Israël », Belkind souligne que « partout en Israël, on trouve des tombes de saints ou de prophètes devant lesquelles les Arabes vont se prosterner et faire des vœux. Nombre d’entre elles sont aussi des lieux saints pour le peuple d’Israël ». Par exemple, à côté de la localité de Nes Tsiona, la tombe de Nabi Rubin le prophète est celle de Ruben, le fils de Jacob. A côté de Kfar Sava, la tombe de Nabi Benjamin est vénérée, comme celle non loin, de Nabi Sham’un (Simon).

Depuis les années 90, de sérieuses études génétiques sont menées et révèlent des troublantes ressemblances entre les Palestiniens et les Juifs. Autre élément exprimant cette continuité ancestrale : l’actuelle prononciation de l’hébreu par les Palestiniens, de même que l’usage d’expressions et de maximes dérivées de l’hébreu ancien par les « Arabes » des villages de Galilée, comme par exemple à Sakhnin et Arabeh. En outre, les noms de lieu en général sont restés bibliques, seulement légèrement modifiés : Safad pour Safed, Akka pour Akko, Beitlahem pour Bethléem, Khalil pour Hevron et beaucoup d’autres. On entend aussi parmi les habitants et on peut lire sur les tombes, des noms bibliques hébreux ou araméens qui n’apparaissent pas dans le Coran ni dans la langue arabe parlée ou littéraire.

Des études géographiques et démographiques s’attachent également à montrer que dans les régions montagneuses de la Terre d’Israël, en Galilée, en Samarie et en Judée, la majorité de la population n’a pas abandonné ses lieux de résidence depuis des milliers d’années. Toutes les nations qui ont voulu conquérir la Terre d’Israël à travers l’histoire, les Assyriens, les Babyloniens, les Perses, les Grecs, les Romains, les Arabes, les Turcs, les Britanniques, en sont restés aux basses régions. Ainsi, au XIXème siècle, entre 70 et 75% des habitants des montagnes d’Israël étaient des descendants des Juifs (contre entre 10 et 25% dans les basses régions).

Parmi les Bédouins, au sein des tribus du Néguev et du Sinaï, nombreux sont ceux qui suivent les pratiques juives. Il y en a aussi qui reconnaissent ouvertement leurs origines juives. En octobre 2009, dans le cadre d’une rencontre destinée au rapprochement entre Juifs et Bédouins à Rahat, le sheikh Salam s’est exprimé en ces termes « Je suis un descendant des Juifs ». Il n’a pas dit s’il envisageait une reconversion au judaïsme. Cependant, c’est un élément de plus apporté à la thèse du docteur Tsvi Misinai selon laquelle « la guerre entre Israël et les Arabes est une véritable guerre fratricide ». Il faut revenir à nos racines…

MOLLY
Re: - DES PALESTINIENS D'ORIGINE JUIVE -
23 janvier 2010, 05:00
Personne ne lit les longs messages allez faites court si possible !
Re: - DES PALESTINIENS D'ORIGINE JUIVE -
23 janvier 2010, 13:19
court et concis
Merci !

Fitavaliz
ISRAEL ... AFFAME GAZA .... LA PREUVE EN IMAGES !!!!!
01 février 2010, 12:09
Objet : ISRAEL AFFAME GAZ ; LA PREUVE EN IMAGES !!!!!!!



MARRE DE LA VICTIMISATION MENSONGERE !!!!


Vous croyez qu’on vous a tout dit sur Gaza ? Regardez les photos les plus récentes sur le site PalToday (Filastin Alyaoum) :

cliquez sur ce site pour avoir plus de preuves de la désinformation que subit ISRAEL !

[www.paltoday.com]
Re: ISRAEL ... AFFAME GAZA .... LA PREUVE EN IMAGES !!!!!
01 février 2010, 22:43
Re: ISRAEL ... AFFAME GAZA .... LA PREUVE EN IMAGES !!!!!
02 février 2010, 03:25
wolf,

welcome back - Tu as pu remarquer que le hamas envoit les femmes pour ennuyer les soldats. Quant à ce groupe de terroristes il s'occupe d'envoyer des obus sur les civils israéliens.
Re: ISRAEL ... AFFAME GAZA .... LA PREUVE EN IMAGES !!!!!
02 février 2010, 15:00
Thanks rivou !
Oui, j'ai remarqué comment ces femmes sont allées chercher ces soldats de Tel Aviv juste pour les ennuyer !
: Un auteur irakien : Les Juifs ont été expulsés sous la direction de l allié des nazis, le mufti de Jérusalem


MEMRI Middle East Media Research Institute
Dépêche spéciale n° 2750


L´auteur irakien Rashid Al-Khayoun : les Juifs irakiens ont été expulsés par des extrémistes panarabes, sous la direction de l´allié des nazis, le mufti Haj Amin Al-Husseini

Voir les extraits vidéo sous-titrés en anglais : [www.memritv.org]

Ci-dessous des extraits d´une interview de l´auteur irakien Rashid Al-Khayoun, diffusée sur Al-Arabiya le 4 décembre 2009. Dr Al-Khayoun est un chercheur et écrivain irakien, ainsi que chroniqueur pour Al-Sharq Al-Awsat.

"Le premier à envisager l´expulsion des Juifs d´Irak fut le ´Grand Mufti de Jérusalem´"

Dr Rachid Al-Khayoun : Quand vous rencontrez un Juif irakien aujourd´hui dans les rues d´Europe ou d´ailleurs, il se souvient de la coexistence avec son voisin musulman ou chrétien.

Interviewer : Quand les Juifs irakiens ont-ils commencé à perdre ce sentiment de sécurité et de tolérance?

Dr Rachid Al-Khayoun : Avec le renforcement du nationalisme panarabe en Irak, dès la fin des années 1940 et au début des années 1950. Le Juif est devenu la cible d´affronts délibérés. Les Juifs irakiens sont connus pour leur patriotisme. Ils n´ont rien à voir avec Israël. La question d´Israël et du sionisme...

Interviewer : Mais beaucoup de Juifs sont partis pour Israël.

Dr Rachid Al-Khayoun : Ils ont été contraints de partir.

Interviewer : Par qui ?

Dr Rachid Al-Khayoun : Par la vague de nationalisme panarabe en Irak.

Interviewer : Et ils ont cru qu´Israël serait mieux pour eux que l´Irak ?

Dr Rachid Al-Khayoun : Ils ne sont pas allés [directement] en Israël. Ils ont fait escale en Europe, en Iran... Ils ont essayé de trouver un lieu provisoire d´où ils pourraient ensuite retourner en Irak. Vous ne serez pas surpris si je vous dis que le premier à envisager l´expulsion des Juifs d´Irak fut le "Grand Mufti de Jérusalem", Amin Al-Husseini.

Interviewer : Comment ? Amin Al-Husseini a expulsé les Juifs d´Irak en Palestine ?

Dr Rachid Al-Khayoun : Oui, Amin Al-Husseini a joué un rôle important, tout comme le nazisme allemand, en faisant sortir les Juifs d´Irak.

Interviewer : Comment ?

"Je n´accuse pas ces gens de collaboration avec Israël, mais je les accuse de stupidité politique."

Dr Rachid Al-Khayoun : À l´époque des pogroms du Farhoud, fin mai et début juin 1941 - appelés Révolution de Rachid Ali Al-Kilani... C´est bien connu. Les "héros" du Farhoud étaient Amin Al-Husseini et certains enseignants syriens et palestiniens. Je n´accuse pas ces gens de collaboration avec Israël, mais je les accuse de stupidité politique. Chasser un groupe constitué de médecins, de forgerons...

Interviewer : Comment est-ce arrivé ? Comment ont-ils poussé les Juifs irakiens à aller en Israël ?

Dr Rachid Al-Khayoun : En organisant le Farhoud. Cela a été déterminé par des enquêtes gouvernementales...

Interviewer : Racontez-nous l´histoire.

Dr Rachid Al-Khayoun : Amin Al-Husseini se trouvait alors en Irak, ainsi que des professeurs de Palestine et de Syrie. Ils croyaient que tout Juif est sioniste, sans comprendre la mentalité des Juifs irakiens.

Les Juifs irakiens vivaient en Irak il y a 3500 ans. Quand Cyrus, le roi de Perse qui a envahi et occupé la Babylone, a publié un décret sur un cylindre d´argile - qui se trouve au British Muséum. Le décret précisait que tout Juif qui souhaite retourner dans son pays, à Jérusalem, peut le faire. Très peu d´entre eux y sont retournés. Ils ont dit : C´est ici notre pays.

Aux débuts de l´Etat irakien moderne, le commandant français s´est entretenu avec les dignitaires de la communauté juive irakienne - le commandant anglais, pardonnez-moi - et a discuté avec eux de la déclaration Balfour. Ils ont dit catégoriquement : "Ceci est notre pays, alors que Jérusalem et la Palestine sont des lieux saints où nous nous rendons en pèlerinage, comme les musulmans vont à La Mecque." Telle était la position des Juifs.

Interviewer : Pour en revenir au Farhoud, comment pouvez-vous accuser Amin Al-Husseini et le nazisme allemand?

Dr Rachid Al-Khayoun : Ce n´est pas moi qui accuse. Il s´agit d´enquêtes judiciaires gouvernementales. Les nationalistes panarabes ont incité la foule à attaquer les Juifs pendant deux jours.

"Certains languissent les Juifs d´Irak"

Interviewer : En juin 1941?

Dr Rachid Al-Khayoun : Début mai 1941 et début juin. Plus tard, la décision a été prise d´expulser Al-Husseini d´Irak à cause de cela.

[...]

Certains languissent encore les Juifs d´Irak et sont affligés par le départ des chrétiens et les Sabéens. Mais ce n´est pas la faute de la population. C´est celle des gangs, d´Al-Qaïda ou des milices sectaires, dont le programme est d´expulser les Irakiens non musulmans du pays.
L'EXISTENCE D'ISRAEL EST UN DECRET DIVIN INSCRIT DANS LA SOURA.....
31 janvier 2010, 14:24
L'EXISTENCE D'ISRAEL EST UN DECRET DIVIN INSCRIT DANS LA SOURA !!


Sheikh AbdelHadi Palazzi, érudit musulman, président de l’Assemblée Italo-musulmane de Rome,

refait surface.Il vient de passer 3 semaines en Israël où il n’a pas mâché ses mots.

Pour lui ,et selon le Coran, l’existence d’Israël est un décret divin inscrit dans la Soura 5/21.

Le retour des enfants d’Israël sur leur terre est inscrit dans la Soura 17/104. Par conséquent,

la souveraineté d’Israël sur toute sa terre est pleine et entière et Benjamin Netanyahou n’a pas

à concéder de moratoire en Judée-Samarie.

Bien au contraire, comme le temps joue en faveur d’Israël, le gouvernement israélien devrait affirmer

ses droits et notamment reconquérir le mont du Temple abandonné aux Waqf (institution musulmane

gérant les terres du clergé). Israël devrait choisir et former ses propres imams, notamment le Moufti

de Jérusalem.

Palazzi prédit la fin prochaine des wahabites d’Arabie saoudite et des ayatollahs shiites d’Iran, au profit

d’un Islam authentique, fraternel et non conquérant.
Re: L'EXISTENCE D'ISRAEL EST UN DECRET DIVIN INSCRIT DANS LA SOURA.....
31 janvier 2010, 22:27
Re: L'EXISTENCE D'ISRAEL EST UN DECRET DIVIN INSCRIT DANS LA SOURA.....
02 février 2010, 15:01
Ah ... la Delcambre smiling smiley
Re: L'EXISTENCE D'ISRAEL EST UN DECRET DIVIN INSCRIT DANS LA SOURA.....
04 février 2010, 17:58
L'exilée..chère amie..pas besoin de Coran ou de moufti pour affirmer que Dieu veille sur le peuple juif et le protège.Si ce n'est "la main de Dieu",comment, après des siècles et des siècles d'injustice,de tueries,de massacres,ce petit peuple ait survécu et retrouvé enfin sa patrie ancestrale..?
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
07 février 2010, 14:32
MERCI HAIFA ,

Si beaucoup de vos coreligionnaires voulaient admettre ce fait , que de guerres évitées ,

que de vies préservées dans les deux camps !!!

C'est un grand plaisir de dialoguer avec un homme éclairé et de bonne volonté tel que vous !!!

Peut-être un jour ..... espérons pas trés lointain , la paix , enfin , régnera !!!

amicalement
JAMES NELSON DU BUENOS AIRES HERALD JOURNAL .... MET EN GARDE L'EUROPE !!!!!
09 février 2010, 10:30
Immigration musulmane et multiculturalisme, quand un journal argentin met l’Europe en garde.



[lessakele.over-blog.fr]


08-02-2010

Quel éditorial ! Un constat implacable et sans concession qui fait fi de la langue de bois et du politiquement correct. C’est le Buenos Aires Herald, journal argentin d’expression anglophone, qui ose ce que la presse européenne n’ose plus depuis longtemps.

Ce journal et son auteur ne sont pas n’importe qui. James Neilson n’est pas un de nos journalistes de salon qui excommunient les esprits libres à grands coups d’accusations de racisme ou de fascisme, un de nos lâches plumitifs qui gravissent les échelons de la hiérarchie à force de courbettes à la bienpensance officielle, une de nos énièmes bonnes consciences qui auraient été promises à une éclatante carrière au Quotidien du Peuple, un de nos moralisateurs d’opérette qui entendent dicter au bon peuple ce qu’il convient de penser. Non.

Un petit retour en arrière.

1976. Un coup d’État dirigé par une junte de militaires renverse le gouvernement argentin. La chape de plomb de la dictature s’abat sur le pays pendant 7 ans. Les centres clandestins de torture et de détention se multiplient dans le pays, 30 000 personnes « disparaissent » corps et âmes pour ne jamais revenir. Un climat de peur s’empare de l’Argentine, terre d’Europe en Amérique du sud (90% environ de la population argentine est d’origine européenne). La presse se met aux ordres des nouveaux maîtres du pays et se tait.

Mais un petit journal fait de la résistance : le Buenos Aires Herald, journal d’expression anglophone à destination de la communauté anglophone vivant en Argentine. Il compte parmi sa petite équipe de collaborateurs Robert Cox comme directeur, et James Neilson qui est l’un de ses éditorialistes.

Au grand dam des militaires au pouvoir, le Buenos Aires Herald brise la loi du silence, et publie les noms des « disparus », leurs photographies, leurs histoires. Il dénonce les enlèvements d’État, la torture institutionnalisée, les exécutions sommaires, les adoptions clandestines des enfants des « disparus ». Le directeur du Buenos Aires Herald, Robert Cox fait plus encore. Il tisse des liens étroits avec la presse internationale et la communauté diplomatique, en particulier celle des Etats-Unis, publie des articles sur la dictature argentine dans la presse américaine et européenne, et appelle à ce que la pression internationale s’exerce sur la dictature argentine.

Les généraux au pouvoir tentent d’empêcher Robert Cox pour faire taire le Buenos Aires Herald. Ils le font arrêter, mais sous la pression internationale, doivent le relâcher. Les menaces et intimidations continuent, on tente de l’assassiner, sa femme est l’objet d’une tentative d’enlèvement. Il tient bon. Mais lorsque son fils de 9 ans reçoit une lettre lui conseillant de convaincre son père de quitter l’Argentine s’il veut le garder vivant, Cox donne la priorité à la sécurité de sa famille. Lui et sa famille s’exilent en 1979. Et c’est James Neilson qui prend sa suite à la tête du Buenos Aires Herald.

Malgré les menaces qui perdureront, le Buenos Aires Herald sous la houlette de James Neilson va continuer jusqu’à la fin de la dictature à braver la chape de plomb et faire entendre une voix discordante.

C’est de ce même Buenos Aires Herald et de ce même James Neilson que nous parvient aujourd’hui cette voix, une fois encore discordante et courageuse, sur le multiculturalisme et l’immigration musulmane en Europe.

Quand d’authentiques antifascistes font la leçon aux antifascistes de salon. À lire !

L’éditorial de James Neilson

La Suisse contre les baïonnettes de l’islam
De James Neilson pour le Herald

Au grand dam de tous les bien-pensants européens, ces arriérés de Suisses tiennent encore à cette coutume démodée de laisser les gens ordinaires influer sur la politique de leur gouvernement.
Au grand dam de tous les bien-pensants européens, ces arriérés de Suisses tiennent encore à cette coutume démodée de laisser les gens ordinaires influer sur la politique de leur gouvernement. Les fruits d’une telle irresponsabilité sont apparus en pleine lumière le 29 novembre 2009 lorsqu’une majorité a décidé, par voie de référendum, d’interdire la construction de nouveaux minarets en Suisse. Leurs objections n’avaient rien à voir avec des questions d’architecture. En effet, comme le leur a obligeamment expliqué le Premier Ministre islamiste de Turquie, Recep Erdogan, « les minarets sont nos baïonnettes, les dômes nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats ». Étant donné que la majorité des suisses ne goûte pas trop l’idée de se faire ouvrir les tripes par les soldats de ce qui est pour eux une croyance étrangère, le désir de 57 % des électeurs de tenir les baïonnettes d’Erdogan hors de leur vue n’était pas vraiment une surprise.

Les musulmans en Europe semblent bien déterminés à imposer leurs croyances et leurs normes culturelles aux indigènes européens, dont beaucoup se sentent trahis par leurs propres gouvernements.
Pas surprenant non plus, qu’une série de sondages improvisés par les médias européens le lendemain du vote ait montré qu’une majorité encore plus grande d’Européens souhaite bannir les minarets. « L’islamisation » est maintenant une question brûlante partout en Europe, du grand nord de la Norvège aux côtes de la Crète. Cela n’a rien à voir avec du racisme, comme les apologistes du statu quo essaient de le faire croire : personne en effet ne s’offusque de la présence de Chinois, d’Hindous ou de Sikhs. Au contraire, on voit en eux des immigrés modèles. En revanche, cela a tout à voir avec le refus hostile de s’intégrer d’un grand nombre d’adeptes d’une certaine religion. Comme les colons européens d’hier, les musulmans en Europe semblent bien déterminés à imposer leurs croyances et leurs normes culturelles aux indigènes européens, dont beaucoup se sentent trahis par leurs propres gouvernements.

Ces grandes communautés musulmanes qui se sont formées se sont révélées poser de gros problèmes d’ordre public, et être extrêmement coûteuses en matière de prestations sociales.
Paradoxalement, la principale raison pour laquelle les gouvernants européens ont choisi d’ouvrir grandes les portes à une immigration massive non soumise à conditions, c’était l’horreur et la honte ressenties par beaucoup à la suite de l’holocauste. Ils se persuadèrent que les préjugés religieux et raciaux conduisaient inévitablement à des génocides et qu’il ne fallait pas sélectionner les immigrés, admettre ceux qui seraient susceptibles de s’intégrer, et refuser ceux qui, selon toute vraisemblance, n’y consentirait pas. C’est ainsi qu’une minorité incroyablement créative a été remplacée par une autre dont la contribution à la société a été, selon la formule consacrée, mitigée. Certes, nombre d’individus de confession musulmane sont de bons citoyens. Mais dans l’ensemble, ces grandes communautés musulmanes qui se sont formées se sont révélées poser de gros problèmes d’ordre public, et être extrêmement coûteuses en matière de prestations sociales. Interrogés par des journalistes sur leurs raisons pour interdire les minarets, nombre de Suisses ont répondu qu’ils n’avaient aucune envie de voir leur pays suivre l’exemple de la France, l’Angleterre, la Belgique, la Hollande où émeutes urbaines, menaces terroristes, et crimes d’honneur alimentent la rubrique des faits divers.

Comme l’on pouvait s’y attendre, les porte-parole gouvernementaux de ces bastions de la liberté religieuse que sont la Turquie, l’Arabie Saoudite, la Libye, etc. ont durement condamné la Suisse. Dans la plupart des pays musulmans, si quelqu’un d’assez audacieux pour tenter de construire une église ou une synagogue réussissait à surmonter les multiples obstacles administratifs et légaux, il se ferait probablement lyncher par une foule vocifératrice. Mais tout convaincus qu’ils sont de posséder la seule vraie foi, ces gens ne s’embarrassent pas le moins du monde de ce genre d’infimes détails. Leurs sympathisants occidentaux pourraient de leur côté faire valoir que, chacun se devant d’être fidèle à ses propres principes, on devrait tolérer en Europe et en Amérique mosquées, minarets, burqas, et autres intentions de décapiter quiconque ose critiquer le prophète Mahomet et son héritage, mais qu’il serait tout à fait déraisonnable d’exiger que les pays musulmans traitent les chrétiens, les hindous ou les juifs avec un respect similaire. Pour le moment du moins, il ne semble pas que l’Europe aille interdire la construction de mosquées dans l’attente que l’Arabie Saoudite autorise enfin la construction d’églises et de synagogues sur son territoire, y compris dans les villes « saintes » comme la Mecque.

Le multiculturalisme - ce concept qui veut que tous les styles de vie et tous les systèmes de croyances se valent, et qu’à condition que les européens se repentent de leur passé criminel, on pourrait enfin vivre tous ensemble et heureux - était une grave erreur
Il est maintenant communément admis que le multiculturalisme - ce concept qui veut que tous les styles de vie et tous les systèmes de croyances se valent, et qu’à condition que les européens se repentent de leur passé criminel, on pourrait enfin vivre tous ensemble et heureux - était une grave erreur. En effet, sans une nécessaire fierté pour leurs accomplissements et ceux de leurs ancêtres, les sociétés ne sont pas en mesure d’intégrer des nouveaux venus qui rejettent par définition les dogmes du multiculturalisme, tant ils sont persuadés que leurs propres traditions sont supérieures à toutes les autres. Hélas, il a fallu plusieurs décennies pour que la conscience de cette vérité dérangeante fasse son chemin dans les esprits, des décennies pendant lesquelles l’Union européenne a laissé entrer une minorité intolérante qui est déjà forte de 20 millions d’individus, 50 millions dans toute l’Europe, et qui bénéficient du soutien enthousiaste des monarchies pétrolières et des pays d’Afrique du Nord, lesquels n’ont aucun scrupule à faire des chantages économiques. Déjà en 1974, le dirigeant algérien Hari Boumedienne se flattait que l’islam allait conquérir l’Europe «par le ventre de nos femmes », une menace souvent reprise depuis par son voisin libyen, le Colonel Khadafi.

Actuellement l’issue du drame en cours est imprévisible, mais si l’on en juge par l’Histoire et ce qui est advenu dans le passé en Inde, en Europe et ailleurs, les conflits à venir entre les peuples d’origine et les nouveaux venus qui aspirent ouvertement à les remplacer ne seront vraiment pas beaux à voir.

Par Yann le 8 février 2010
Traduction d’Aurélie bivouac-id
eric besson
10 février 2010, 09:14


A ma grande stupéfaction, je viens de lire dans la presse que la compagne
du Ministre Eric Besson s'appellerait yasmine tordjman.

Or, au maroc, pays de ma naissance, les tordjman n'étaient pas musulmans.
IGNORANCE HAINE ET BETISE ENCORE DE CE MONDE
10 février 2010, 08:10
Ci-dessous des extraits d´un débat télévisé sur le prétendu trafic d´organes humains par Israël en Haïti, diffusé sur la télévision syrienne le 27 janvier 2010.

"La délégation israélienne, arrivée en Haïti sous prétexte d´aider ces gens frappés par le destin, a exploité la tragédie et la souffrance des Haïtiens en volant leurs organes"


Reporter : Israël aide la population frappée par le tremblement de terre en Haïti. Voilà qui est extraordinaire. Mais la véritable raison est de voler les organes de cadavres haïtiens, victimes de la plus grande catastrophe que ce pays pauvre ait jamais connue. Une fois que l´on connaît leurs motivations réelles, il n´y a plus de quoi s´étonner : la délégation israélienne, arrivée en Haïti sous prétexte d´aider ces gens frappés par le destin, a exploité la tragédie et la souffrance des Haïtiens en volant leurs organes pour les besoins du trafic.

Cela a été confirmé par le militant américain T. West, qui a documenté ce crime odieux et mis en ligne le film sur Youtube. Le film montre les Israéliens volant des organes des victimes du séisme. Il semble que l´entité du meurtre, de la destruction et du terrorisme [Israël], qui a acquis un grand savoir faire en matière d´assassinats de femmes et d´enfants de sang-froid glacé, est à présent experte en vol et trafic d´organes humains.

Depuis des années, le trafic d´organes humains se développe en Israël. C´est devenu un commerce international, avec des bureaux en Europe et en Afrique. Israël arrive en troisième position mondiale pour le trafic d´organes.
"Les autorités israéliennes forcent les Palestiniens condamnés à mort à signer des documents où ils consentent à faire don de leurs organes"


Donald Boström, journaliste suédois qui s´est rendu dans les territoires occupés, a confirmé, dans un rapport publié par le journal suédois Aftonbladet, que les soldats de l´occupation enlevaient de jeunes Palestiniens en Cisjordanie et à Gaza, et les restituaient à leurs familles raides morts, après ayant arraché leurs organes. En outre, les autorités israéliennes forcent les Palestiniens condamnés à mort à signer des documents où ils consentent à faire don de leurs organes après pendaison.
Le rapport suédois a lié ces actes au réseau juif qui a été découvert en juillet dans la ville américaine du New Jersey, et aux rabbins qui ont été accusés de trafic d´organes humains, en Israël et ailleurs.
[...]

Modérateur : Dr Jassem, la question se pose d´elle-même.



Dr Jassem Zakariya, professeur de relations internationales à l´Université de Damas : Evidemment, quand on regarde les scènes de ce bon reportage, c´est Shakespeare qui nous vient à l´esprit…



Modérateur : Shylock…



"On voit que le Juif n´a pas changé"



Dr Jassem Zakariya : Shylock, oui. On voit que le Juif n´a pas changé – notamment les Juifs sionistes, aujourd´hui rassemblés dans le prétendu "Israël", qui représente la plus forte concentration historique de criminels de guerre ayant commis des crimes contre l´humanité. C´est ainsi qu´on se souviendra d´eux s´ils persistent.



Le fait que la tragédie du peuple haïtien leur profite représente incontestablement la preuve de l´extinction imminente de cette entité, parce que c´est là le crime ultime.



"L´image immonde du Juif, du sioniste, de l´étranger qui est venu en envahisseur, en occupant, fait une autre apparition, cette fois en Haïti"



Ils ont commencé avec les nôtres en Palestine – les prisonniers, les blessés et les martyrs. Ils ont commencé avec des crimes terribles, par lesquels ils ont créé leur entité. Aujourd´hui encore, ils persistent dans leurs crimes, tandis que l´image immonde du Juif, du sioniste, de l´étranger qui est venu en envahisseur, en occupant, fait une autre apparition, cette fois en Haïti, pas en Palestine, de sorte que le monde entier… Quiconque a un coeur, des oreilles, des yeux et de la perspicacité peut comprendre que ces gens sont les ennemis de l´humanité tout entière, et pas seulement des Palestiniens, des Arabes et des musulmans.

C´est un point essentiel. Alors même que nous pouvons témoigner de la dignité, du courage et de l´humanité de la population assiégée de Gaza, qui envoie des dons à Haïti... C´est cela, la civilisation, c´est cela, l´identité arabe, c´est l´histoire, alors que ces [Israéliens] ne sont qu´une bande d´assassins et de criminels. Ils n´ont jamais été autre chose et par conséquent, ils en payeront le prix tôt ou tard.

Modérateur : Dr Mustafa, Israël a-t-il réellement besoin de ces organes, ou est-ce un signe de leur mépris total pour l´âme humaine? Avant l´émission, vous avez mentionné Abou Ghraib, et je vous ai demandé de le garder pour l´émission.

Dr Muhammad Mustafa Al-Habash, département des greffes d´organes, hôpital de l´université Al-Mouassat : Israël est un pays dépourvu de valeurs morales et de principes.Alors qu´il prélève des organes un peu partout dans le monde… J´ai lu de nombreux rapports, sur plusieurs années, rapportant comment ils ont prélevé des organes en Croatie. J´ai récemment lu sur Internet que selon un militant américain, Israël avait prélevé des organes sur des prisonniers à Abou Ghraib, en Irak.

Face à une telle situation, je dis : Comment les médecins israéliens peuvent-ils agir de cette manière? Après tout, ils font partie de ce système. La médecine est comme la musique. C´est un langage universel de l´éthique ...

Modérateur : Elle n´interdit pas officiellement le vol d´organes humains...

Dr Muhammad Mustafa Al-Habash : C´est vrai. Pareille abomination ne dissuade pas Isr
aël.
Re: IGNORANCE HAINE ET BETISE ENCORE DE CE MONDE
10 février 2010, 11:47
pfttt. La jalousie.

Certains nous narguent en nous decernant la médaille de la modestie. D'autres pourraient facilement recevoir le prix nobel du mensonge, faute d'avoir mieux.
Re: IGNORANCE HAINE ET BETISE ENCORE DE CE MONDE
11 février 2010, 04:22
le prix nobel des monsange et de conneri
la peine capital n'exste pas en israel
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