Point de vue, humeur, debat, articles.....

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Bonjour,Exilée
c'est dans toute les villes occidentales,USA et Amérique latine inclus que ces manifestations sont organisées pour imposer l'Islam dans l'espace publique ,non pas pour le partager,mais pour en exclure ceux qui s'y opposent !!! Ils sèment les germes d'une guerre qui tôt ou tard aura pour les musulmans les mêmes conséquences que la Reconquista .
.

Gil009,

Salut GIL,

Nous assistons à une macabre répétition de l'histoire . L'ESPRIT MUNICHOIS REGNE à NOUVEAU!!

Par leur apathie et leur laisser-faire, les démocraties occidentales sont prêtes à acheter LES CORDES

AVEC LESQUELLES LEURS TORTIONNAIRES VONT LES PENDRE HAUT ET COURT !!!

Ce qui est plus inquiétant , c'est que les USA , qui , par essence , étaient un rempart à ces barbarismes qui

étaient à nos portes ne sont plus qu'un pâle reflet depuis l'arrivée D'OBLA-BLA , le pire est à craindre .

Nous voyons avec quelle "énergie" il réagit aux voeux de destruction D'ISRAEL, par ce sanguinaire iranien

qui n'est rien d'autre qu'une réplique monstrueuse d'hitler .

Je reprends à mon compte une citation de l'écrivain américain JAMES ELLROY qui dit ceci:


<< NOTRE PAYS EST MOINS RACISTE QU'AVANT, MAIS çA NE FAIT PAS D'OBAMA UN

BON DIRIGEANT. IL EST FAIBLE, PEU APTE à LA FONCTION ET JE PENSE QUE C'EST

NOTRE PIRE PRESIDENT DEPUIS JIMMY CARTER >>



Espérons que des voix s'élèveront trés vite pour arrêter la catastrophe à venir avec OBLA-BLA !!!

Madame,

Pouvez vous arrêter de submerger ce forum de document issus de site islamophobe, raciste et d'extreme droite.

Merci.

On a du et sans doute constate qu’il est dans ma possession une signature fatale; et qui
s’affiche en bas de l’écran comme un rayon de laser ultra puissant.
J’espère ne pas être oblige a nouveau d’avoir recours a cette mesure extrême ;
et que l’on va rapidement redresser le débat. Merci !

Ils devraient aller prier devant le Palais de l'Élysée au moins c'est propre pas de crottes de chiens, pas de poubelles, et puis Nicolas pourra aussi sortir son tapis de prière

mar
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La Turquie en crise par Daniel Pipes

Source : [fr.danielpipes.org] – Adaptation française: Johan Bourlard


L’arrestation et l’inculpation, la semaine dernière, en Turquie, de hauts responsables de l’armée ont virtuellement précipité le pays dans sa crise la plus grave depuis la fondation de la république par Atatürk en 1923.

Les semaines qui viennent indiqueront probablement si le pays poursuivra sa dérive vers l’islamisme ou s’il retournera à sa laïcité traditionnelle. Le dénouement aura des implications majeures pour les musulmans du monde entier.

Le 22 janvier 2010, Taraf révèle le projet de coup d’État appelé « Balyoz ».

Pendant longtemps, l’armée turque a été à la fois l’institution la plus fiable et le garant de l’héritage d’Atatürk, particulièrement de la laïcité. La dévotion au fondateur n’est pas une simple vue de l’esprit mais bien un élément concret et central de la vie de tout officier turc : comme l’a montré, documents à l’appui, le journaliste Mehmet Ali Birand, les élèves officiers ne passent pas une heure sans entendre l’invocation du nom d’Atatürk.

À quatre reprises, entre 1960 et 1997, l’armée est intervenue pour rétablir le cours normal de la vie politique. La dernière fois, elle a forcé le gouvernement islamiste de Necmettin Erbakan à démissionner.

Échaudés par cette expérience, certains membres de l’équipe d’Erbakan ont eux-mêmes réorganisé un parti, plus prudent : le Parti de la Justice et du Développement (AKP). Lors des élections déterminantes de 2002, ils sont arrivés en tête, devant les partis du centre discrédités et divisés, avec une majorité simple de 34 pour cent des suffrages.

La loi électorale a transformé cette majorité simple en une majorité absolue de 66 pour cent des sièges au parlement et en un cas rare de gouvernement homogène. Non seulement l’AKP a tiré habilement profit de cette situation avantageuse pour poser les fondations d’un ordre islamique mais en plus, aucun autre parti ou leader n’a émergé pour le contrecarrer. En conséquence, l’AKP a augmenté sa part de suffrages aux élections de 2007 pour atteindre un retentissant 47 pour cent et obtenir le contrôle de 62 pour cent des sièges au parlement.

Les succès électoraux répétés de l’AKP l’ont encouragé à abandonner sa prudence initiale pour hâter l’avancée du pays vers son rêve d’une République islamique de Turquie. Le parti a placé des partisans à la présidence et au sein du pouvoir judiciaire pendant qu’il prenait un contrôle grandissant sur l’éducation, l’économie, les médias et d’autres institutions importantes. Il a même défié la mainmise laïque sur ce que les Turcs appellent « l’État profond » – les institutions non électives comme les agences de renseignement, les services de sécurité et le pouvoir judiciaire. Seule l’armée, arbitre suprême dans l’orientation du pays, est restée hors du contrôle de l’AKP.
Le général Ibrahim Firtina, ancien chef de l’armée de l’air, a été entendu par la Justice au sujet d’un complot visant à renverser le gouvernement.

Plusieurs facteurs ont alors poussé l’AKP à affronter l’armée : le contrôle de l’armée par le civil, exigé pour entrer dans l’Union européenne ; une procédure en 2008 qui a failli conduire à la dissolution de l’AKP ; l’importance grandissante de son allié islamiste, le Mouvement Gülen.

L’érosion de la popularité de l’AKP (de 47 pour cent en 2007 à 29 pour cent actuellement) n’a fait que précipiter cette confrontation car cela laisse supposer la fin du gouvernement homogène de l’AKP aux prochaines élections.

En 2007, l’AKP a imaginé une théorie du complot, qu’il a appelée Ergenekon, dans le but d’arrêter environ 200 opposants au parti, parmi lesquels des officiers de l’armée, sous l’accusation de complot visant à renverser le gouvernement élu. L’armée a réagi passivement si bien que l’AKP a élevé les enjeux le 22 janvier dernier en échafaudant une seconde théorie du complot, appelée Balyoz (« massue ») et dirigée exclusivement contre l’armée.

L’armée a nié toute activité illégale et le chef d’état-major, le général ?lker Ba?bu?, a déclaré sous forme d’avertissement : « notre patience a des limites ». Cependant, le gouvernement a procédé, à partir du 22 février, à l’arrestation de 67 officiers en exercice et à la retraite, dont les anciens chefs des forces aérienne et navale. Jusqu’à présent, 35 officiers ont été inculpés.

L’AKP a donc jeté le gant, laissant le commandement militaire face à deux options peu attrayantes : (1) continuer bon gré mal gré à accepter l’AKP dans l’espoir que des élections régulières dès 2011 viendront mettre fin à cette situation et renverseront la vapeur ou (2) organiser un coup d’État en risquant un retour de manivelle dans les urnes et le renforcement du poids électoral des islamistes.

Rencontre, le 25 février, entre le Premier ministre Recep Tayyip Erdo?an, le Président Abdullah Gül et le chef d’état-major des Forces armées, le général ?lker Ba?bu?.
L’enjeu est de savoir si les offensives que sont Ergenekon et Balyoz vont réussir à transformer l’armée kémaliste en institution güleniste, ou si le coup monté flagrant de l’AKP et sa supercherie vont piquer les laïques au vif et leur faire retrouver de la voix et de l’assurance. En fin de compte, la question est de savoir si la charia (la loi islamique) va gouverner la Turquie ou si le pays va retourner à la laïcité.

L’importance de la Turquie sur le plan islamique laisse supposer que l’issue de la crise aura des conséquences pour les musulmans du monde entier. La domination de l’AKP sur l’armée signifiera que les islamistes contrôleront l’institution laïque la plus puissante de l’oumma (la communauté musulmane), prouvant par-là que, pour l’instant, rien ne peut les arrêter. Mais si l’armée conserve son indépendance, la ligne tracée par Atatürk subsistera en Turquie et offrira au monde musulman une alternative au rouleau compresseur islamiste.

Le crash du Boeing d’Ethiopian Airlines serait dû au matériel de brouillage électronique du Hezbollah

Le Hezbollah tente d’étouffer cette information pour éviter une crise financière et une rupture avec sa propre communauté chiite
jeudi 18 février 2010 - 17h16, par Mediarabe.info

Le quotidien koweïtien "Al Seyassah" révèle, dans son édition du 18 février, que le crash du Boeing 737-800 d’Ethiopian Airlines, le 25 janvier, a coïncidé avec des tests effectués par le Hezbollah sur son matériel de brouillage électronique fourni par l’Iran.

« MediArabe.info » tournera au ralenti jusqu’à la fin février. Nous nous accordons en effet quelques jours de repos mérité après des mois de travail acharné qui a permis à 2500 lecteurs de nous consulter tous les jours, en moyenne.

Mais avant de donner rendez-vous à nos lecteurs, début mars prochain, nous leur laissons avec cette révélation du quotidien koweïtien « Al Seyassah » selon laquelle l’avion de la compagnie éthiopienne, avec 90 passagers à bord, s’est écrasé le 25 janvier alors que le Hezbollah testait ses équipements de brouillage électronique reçus d’Iran depuis deux ans. Ce matériel sophistiqué, aux côtés des missiles de longue portée, et des armes chimiques probablement fournies au parti de Hassan Nasrallah par l’Iran et la Syrie, constitue l’un des points forts du Hezbollah lui permettant de menacer Israël, comme l’a fait Nasrallah, le 16 février, lors de la commémoration de ses martyrs.

Le secrétaire général a en effet semblé sûr de ses capacités à infliger une défaite à l’armée israélienne grâce à cet équilibre de la terreur, un équilibre stratégique qui empêcherait désormais Tsahal de songer à attaquer le Liban, la Syrie, l’Iran ou Gaza. Car Nasrallah a promis de riposter douloureusement.

Or, ce matériel sophistiqué aurait déjà causé, selon « Al Seyassah », la perte de l’avion éthiopien, le 25 janvier dernier.

La question est de savoir si le parti testait sciemment ses équipements sur l’avion, brouillant son système électronique et provoquant son explosion ?

Dans ce cas, il s’agira d’un attentat, d’autant plus que les membres du parti qui devaient prendre ce vol ont annulé leur voyage à la dernière minute.

Ce qui pourrait renforcer cette hypothèse est la présence de l’épouse de l’ambassadeur de France à Beyrouth parmi les passagers. Ou au contraire, s’agit-il d’une pure coïncidence entre les tests électroniques et le passage de l’avion ? Dans ce cas, le crash relèvera des dégâts collatéraux.

En tout état de cause, le parti chiite aurait insisté auprès du ministre des Transports, Ghazi Al-Aridi, et de la direction de l’aviation civile, pour étouffer ce volet de l’enquête.

L’objectif est de maintenir les armes sophistiquées du Hezbollah secrètes. Mais aussi, pour ne pas avoir à assumer la responsabilité morale et financière de la catastrophe

. Car, si sa culpabilité est attestée, le parti aura à rembourser les familles des victimes et la compagnie aérienne. Il aura également à affronter la colère de la communauté chiite à laquelle appartenait la majorité des victimes.

MediArabe.info

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Journée de la femme : de la Kahena à Katia Bengana (info # 010503/10) [Analyse]


Par Maryline Medioni © Metula News AgencY

Apres une formation universitaire en philosophie, lettres modernes et psychologie appliquée à Toulouse, Maryline Medioni émigre en Israël, il y a une vingtaine d’années. D’abord journaliste indépendante, elle écrit pour la presse francophone, avant de créer un magazine culturel francophone israélien, Vision d’Israël.



La « Journée de la femme » a été créée le 8 mars 1910 à Copenhague, par une confédération internationale de femmes socialistes. Leur combat : de meilleures conditions de travail et l’accès au droit de vote. Officialisée par les Nations Unies en 1977, cette journée est aujourd’hui célébrée dans le monde entier.

Les Etats du Maghreb la célèbrent également, alors même que, quotidiennement, les femmes y subissent les affres de la dictature patriarcale au nom de lois coraniques des plus machistes…


Première révolte féminine contre la colonisation musulmane

Au VIIème siècle, La Kahena, de son prénom, Dihya, « la belle », en amazigh, fille de Matya, chef des Djerawa, une tribu berbère zénète juive de Numidie, organisa les premiers combats contre l’invasion des armées musulmanes omeyyades en Afrique du Nord.

Population agricole ou pastorale, le peuple berbère est composé de nombreuses ethnies et tribus, dont certaines sont juives, depuis l’arrivée au Maghreb des Juifs de Syrie, particulièrement en Ifriqiya, au Maghreb-el-Acsa, ainsi que la tribu dont est issue Dihya, établie dans l’Aurès.

Fille unique du roi de Tabet, Dihya était dotée de pouvoirs surnaturels, elle prédisait l'avenir et guérissait les malades, ce qui lui valut le nom de la Kahena (Cohen-a), la prêtresse, la divine, la prophétesse.

Elue démocratiquement par les tribus nomades, elle devint leur reine, leur chef guerrier, et excella tout autant par ses qualités de chef politique.

Intelligente, sage, et généreuse, selon la légende, elle gouverna la Berbérie - laquelle, d’après l’historien arabe Ibn Kaldoun, s’étendait de Gabes à Tanger - avec l’approbation de tous les peuples qui la composaient.

Cependant, à partir du VIIème siècle, les Arabes musulmans envahissent l’Ifriqiya, convertissent à la pointe de l’épée les populations locales à la parole du Prophète, et détruisent Carthage sur leur passage. Reste un dernier bastion, et de taille, celui de la Kahena.

La Kahena refuse de renier sa foi, sa culture et ses croyances ; elle entend être et rester une femme libre, libre de ses choix et de sa vie.

La première grande bataille livrée contre les Berbères est celle de la Meskiana, qu'on appellera « La bataille des chameaux », car les archers berbères attaquèrent les Arabes en se protégeant sous des chameaux ; les troupes omeyades sont emmenées au combat par le général Hassan Ibn Nu ‘man. La Kahena organise les armées, élabore les plans d’attaque et prend la tête de ses troupes, montée sur un cheval.




Buste contemporain de la Kahena
La reine de l’Aurès

Le combat est acharné et les musulmans sont mis en déroute et repoussés jusqu’en Tripolitaine (Libye), notamment grâce à l'intervention des cavaliers des Banou Ifren. Nombreux sont les captifs, mais Dihya, refusant de faire des prisonniers, les relâche tous, sauf un, Khaled, avec lequel elle vivra une grande passion amoureuse.

Au bout de cinq ans de résistance et d’une seconde bataille majeure, remportée par la Kahena et son armée, en 695 près de Tabarka, Hassan reçoit d’importants renforts et finit par vaincre et tuer au combat la Kahena.

La Kahena s’éteint en 702 à Tabarka. D’après la tradition amazighe, elle doit sa défaite à la trahison de Khaled, l’Arabe qu’elle avait épargné en vertu de la coutume de l'anaïa (protection), qui était en vigueur chez les anciens Berbères.

Décapitée après avoir été capturée près d'El-Djem, sa tête fut remise au calife omeyade comme preuve de son décès.

La Kahena morte, l’Afrique du Nord, devient alors, dans sa grande majorité, musulmane.

Cependant son souvenir demeure très présent, tant dans certaines tribus, que sur le plan symbolique national algérien.

De toutes les tribus, c’est cependant chez celle des Chaouis de l’Aurès que l’héritage de Dihya demeure le plus vivace. Pour les Chaouis, qui se réclament de sa descendance, la Kahena est toujours la reine vénérée. De nombreuses filles chaouies sont encore prénommées Dihya.

Plus étonnant encore, les Chaouis prétendent avoir hérité du nez particulier de la Kahena, qu’ils appellent « khanchouch », et qui signifie littéralement « fierté » [Elie Haoues, le collaborateur de la Ména d’origine chaouie, est doté du « khanchouch » d’aspect très reconnaissable. Ndlr.].

La Kahena est, à l’instar de ses ancêtres, Deborah et Judith, la figure emblématique de ces femmes, dirigeantes politiques et fameuses guerrières, qui ont traversé les époques, se rebellant contre un pouvoir despotique voulant les assujettir.

Dans les Aurès et bien au-delà, la Kahena représente cette femme insoumise, éprise de liberté, celle qui ne recule devant rien pour défendre son peuple, sa terre, et ses convictions. Gisèle Halimi dira, parlant de la Kahena : « elle fait partie de celles qui nous ont montré, des siècles à l’avance, le chemin de l’émancipation, de la lucidité, et de la responsabilité ».


Révolte d’une jeune algérienne contre l’idéologie musulmane

Nous sommes en 1994, Katia Bengana vit à Meftah, petite ville d’Algérie, appelée Rivet (ou Charrier) à l'époque de la colonisation française, et située à 26 kilomètres d'Alger et à une quarantaine de kilomètres de la ville de Blida.

Katia, brillante lycéenne de 17 ans, refuse de se soumettre à l’Islam et de porter le voile. Elle reçoit fréquemment des menaces de mort, mais décide volontairement de défier le pouvoir religieux, clamant haut et fort les valeurs laïques qui l’animent.

L’Algérie est à feu et a sang depuis deux ans, dévastée par une guerre civile. Le pouvoir en place chancelle.

En effet, suite aux élections de 1992, où le Front Islamique du Salut (FIS) remporte le premier tour aux législatives, le gouvernement en place annule le résultat. Cette décision et la chienlit qu’elle génère, aboutissent à un coup d'État de l'armée, qui empêche la tenue d'un second tour.

La suspension du Parlement, de la Constitution et la dissolution du FIS entraînent les représailles des islamistes. Le Groupe Islamique Armé (GIA) se lance alors dans l’action violente. Ses activités se caractérisent par des attentats, dont, notamment, l’assassinat du Président Mohamed Boudiaf en juin 1992 et par des actes d’une redoutable atrocité pour imposer un Etat islamique en Algérie.

Les victimes de ce carnage islamiste sont en grande majorité les femmes. Des milliers d’entre elles sont violées, assassinées, kidnappées, d’autres réduites à l’état d’esclaves.

Le GIA leur impose le port du voile, les menaçant de les exécuter si elles n’obéissent pas.

Le 28 février 1994, résistante, déterminée, Katia se rend à l’école la tête nue. Sur le chemin de son lycée, des intégristes religieux l’interpellent.

Elle veut être et rester une femme libre, libre de ses choix et de sa vie.

Fière, la tête haute, elle continue son chemin sans les regarder, elle ne se retourne pas et se fait assassiner.

Son père a écrit, le 28 février 2010, une lettre intitulée : « J’accuse » dont voici un extrait : « J’accuse tous ceux qui instrumentalisent la religion pour se maintenir au pouvoir en sacrifiant des civils et autres. J’accuse tous ceux qui utilisent la religion pour y accéder en assassinant des innocents. J’accuse tous ceux qui utilisent la religion pour nous détourner de nos racines, de nos coutumes et de notre langue historique et ancestrale… ».

Aujourd’hui encore, dans les pays gouvernés par l’Islam, des femmes payent de leur vie ce combat pour la liberté. La journée de la femme, fêtée le 8 mars de chaque année, est en voie de devenir une lutte quotidienne et incessante de toutes les femmes afin de les rétablir dans leurs droits d’êtres humains à part entière et indiscutables.

mar
3
L’espagne perd son âme


Israël a protesté auprès de l’ambassadeur d’Espagne contre l’envoi de centaines de lettres anti-israéliennes d’élèves espagnols adressées à l’ambassade de l’Etat hébreu à Madrid.

Le directeur général adjoint chargé de l’Europe Naor Gilon a téléphoné à l’ambassadeur d’Espagne pour protester contre l’envoi de ces lettres écrites par des enfants de cinq à dix ans. Dans ces lettres, les enfants demandent à l’ambassadeur israélien à Madrid « combien d’enfants palestiniens as-tu tués aujourd’hui’ » ou affirment: « arrête de tuer pour de l’argent ». L’ambassadeur d’Espagne a répondu que le ministère espagnol de l’Education n’avait rien à voir avec l’envoi de ces lettres d’enfants.

L’Espagne, ses corridas avec toréadors sapés en moule-burnes et paillettes, ses taureaux choyés jusqu’au moment fatal où on ira le titiller pour lui piquer ses roubignoles et sa queue, ses lâchers de vachettes, ses batailles d’oranges dans la tronche, son chorizo et son Zapatéro.

Viva Espagna y Conchita dans la cagetta. Cherchez pas, je parle pas l’espinguoin. J’y ai renoncé sauf pour chanter de vieux airs cubains de Celia Cruz.

Il souffle un drôle d’air dans cette Espagne socialiste. Les vieux démons réapparaissent et les enseignants n’ayant pas de repoussoir franquiste à donner à leurs petits écoliers, les voilà barrés dans l’antisionisme primaire.

Des gosses…entre 5 et 10 ans qui auraient envoyé des cartes et des lettres à l’ambassade d’Israel à Madrid…Tout seuls ? Que nada mamasita ! Ce sont leurs maîtres qui leur ont tenu la plume.

Vous imaginez le tableau : “Aujourd’hui les niños et les niñas, on va écrire aux méchants israéliens que cé des muchos bandidas et qué ils touent les petits niños palestiniens expressss !”

Décidément, faut les laisser dans un enclos à bête ces cons ! Ils sont plus en phase avec les taureaux qu’avec les enfants.

Tout cela est fort ressemblant avec l’endoctrinement des enfants chez les musulmans. Au fond, je dirais qu’ils sont aussi cons que la plupart des maîtres d’écoles du Hamas qui endoctrinent leurs élèves dans la haine des juifs. C’est du même tonneau.

On apprend dès le plus jeune âge aux enfants, incapables de situer géographiquement quelques villes d’Espagne mais sachant tout de ce qui est supposé se passer à 5000 bornes de chez eux. Cela nous rappelle précisément les émissions pour enfants sur les téloches palestiniennes.

Sauf que là…nous sommes en Espagne, en Europe et que ces mouflets peuvent développer des sentiments antisémites irréversibles.

Cela est si grave que cela mériterait ni plus ni moins qu’un blâme au niveau de l’Union Européenne.

Mettre les enfants devant des problèmes politiques c’est quelque chose que nous connaissons. Ils deviennent à Gaza par exemple, des boucliers humains, ils vont devenir en Europe des sortes de paravents pour gauchistes décérébrés.

Je m’en prends à Zapatero mais au fond, le pauvre homme est totalement dépassé par le IAGO local, j’ai nommé : Miguel Angel Moratinos. Et Iago fait le Maure.

Alors celui là, les aminches, c’est du Humberto Vedrinos (Hubert Védrine dès fois que vous n’auriez pas pigé l’espingouin).

Le vieux roublard qui est à la tête du Ministère des affaires étrangères espagnoles est celui qui mène la danse en Espagne.

Moratinos est un fou de culture musulmane. Né à Madrid, sa famille est originaire de Cordoue. Ambassadeur au Maroc puis Sous-Directeur pour l’Afrique du Nord, un tout petit passage à l’ambassade d’Espagne en Israel, son truc c’est de défendre la culture musulmane et les palestiniens.

Ah ça ! Il est fidèle M’sieur Moratinos ! C’est son combat les palestiniens.

C’est son combat et celui de sa chère épouse.

Et pourquoi que je vous raconte ça au fait ? Ah ouiche…Les enfants, l’endoctrinement à l’école contre Israel et par conséquent antisémite.

Vlà-t-y pas qu’il y a 2 ans, au Lycée Français de Madrid, une prof (non juive) a voulu présenter un programme pédagogique parlant de la shoah. Au lycée, c’est normal, ça fait partie du programme.

Cette brave prof invite des rescapés des camps pour parler aux élèves.

Certains manquent à l’appel parce qu’ils préfèrent ne pas louper une heure de maths ou d’autre chose. La prof va donc voir ses collègues et demandent s’il ne serait pas possible de décaler pour que le maximum d’élèves puissent suivre la journée qu’elle a préparée sur la shoah.

Levée de boucliers de la part des collègues, prises de becs, échanges dégueulasses et à la finale, une cabale de tous les profs (ou presque) contre cette enseignante.

Peu de temps après, le Président du CRIF arrive au lycée français de Madrid et tout se passe froidement mais de façon courtoise, jusqu’au moment où Richard Prasquier (le Président) prononce le mot Israel et tente de donner son point de vue sur la question.

Ça gueule dans tous les coins ! Bravo les enseignants ! et ça se barre en eau de boudin.

Le moins qu’on puisse dire c’est que nos profs sont peu respectueux du débat et préfèrent nettement militer et enseigner un antisionisme primaire parce que ce sont les orientations de leurs syndicats respectifs.
Ou veux-je en venir ?

A rien…Ah si ! J’allais oublier…La femme du Ministre espagnol, Dona Moratinos ENSEIGNE AU LYCEE FRANCAIS DE MADRID !

PS : Moratinos commença sa carrière en étant Député de Cordoue. Aujourd’hui, bastion communiste, j’attire votre attention sur le jumelage de cette belle andalouse avec en France : Bourg-en-Bresse Département de l’Ain, au Maroc :

Fès, au Pakistan : Lahore, en ‘Syrian Arab Republic’ : Damas, en Tunisie : Kairouan, au Royaume-Uni : Manchester.

De tous temps l'Espagne a été antisémite.
Franco le dictateur avait bien collaboré avec hitler.
Les réfugiés espagnols au maroc et surtout à Casablanca, étaient de grands antisémites.

L'attitude de Franco à cette époque , a été assez ambigüe , il n'a pas livré les Juifs aux nazis .

il leur a également fourni des passeports espagnols .

Le gouvernement zapatéro est catastrophique à l'encontre d'Israel

le plus grotesque dans son cas , c'est que de son propre aveu , il serait

descendant des marranes,

Shalom Mossad,

Ce n'est pas nous qui avons assassiné Isaac Rabin, Que Dieu est son âme, si mes souvenirs sont bons.

Salam,
Mustapha.

Shalom Korine15,

Si Francois Fillon ne s'est pas inquiété des musulmans analphabètes qui faisaient leur prière dans des caves d'HLM dans les années 60-70 après des journées pénibles de dur labeur dans des mines de charbon (après avoir valider les gros bras dans un bureau à Agadir ou Oujda) ou encore pour fabriquer de belles peugeot 205 à Boulogne-Billancourt et qui égorgeaient le mouton de l'aid el kebir dans le jardin sans problème, alors il n'a pas besoin de s'en inquiéter aujourd'hui.

C'est le même Islam, la prière se fait toujours sur un tapis avec le chauffage en plus, c'est le même mouton acheté dans la ferme agricole chez le paysan.

La France n'avait pas le temps de s'en inquiéter donc pas inquiétant d'un point de vue religieux et économique (les immigrés étaient gentils,ne savaient pas lire,payaient des agios sans rien comprendre,signaient des contrats sans savoir ce qu'est une prime de rendement,etc...).

Aujourd'hui, que les Jamel Debouzze (un des artistes les mieux payés), Zinedine Zidane (élu meilleur joueur de la planète) Jamel Bouras (médaille d'or aux JO) passent à la télevision et qu'ils comprennent un peu mieux le français, on leur demande de croire au Dieu chrétien parce que sinon vous pouvez rentrer chez vous car soit disant pas intégrer.

Soyons raisonnable, les français qui partent vivre à Marrakech, on leur demande pas d'apprendre le darija ou de mettre le tarbouch. Ils font leurs affaires et basta. Et le jour où il n'y aura plus de pain, ils rentreront chez eux parce qu'ils sont d'abord bretons,basques ou normands.

Ce Dieu chrétien dont il parle n'était pas là dans les années 60-70. Il a réapparu de nos jours parce que les temps économiquement parlant sont un peu difficiles pour le gouvernement Fillon(les concessions de pétrole et de gaz d'Afrique peuvent désormais être cédées à des chinois,à des Malaisiens, à des asiatiques,etc... Et Mr Sarkozy, obligé d'accueillir un Mr Kadafi,soi disant trésorier du terrorisme et lui mettre une tente à disposition au palais de l'Elysée (quelle honte pour les vrais français) ou encore imposer des avions rafales en vain à sa Majesté Mohamed VI, prouve encore une fois que l'economie française dépend encore des pays colonisés, d'où l'intérêt de mettre ces pays sous les pieds.

Il dit, nous ne vous avons pas obligé à venir, nous aussi nous n'avons pas demandé au Général De Gaulle de venir piller le Maghreb et de le diviser. Nos parents sont partis en France après des négociations et des intérêts bien précis.

Le premier contrat que mon père a signé était un contrat de 18 mois.

Si les étrangers doivent rentrer chez eux alors je suis d'accord à une condition, que les français qui s'enrichissent en dehors de la France rentre chez eux aussi.

Chère Korine15,avant de dire bien dit,il faut réfléchir et savoir que sans la colonisation, la France ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui. Si produire des baguettes pour les British et Hollandais qui ne rêvent que de voir la Tour Eiffel.

Nabe face à Klugman : le fielleux contre le mielleux (info # 010903/10) [Analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency



Mon attention a, voici peu, été attirée sur la sortie d’un nouveau livre d’Alain Zannini, alias Marc-Edouard Nabe. Je n’ai, je dois le dire, qu’une sympathie extrêmement limitée pour le personnage, ce qui est pour moi une façon polie de dire que je le trouve méphitique. Je pense que c’est un être retors, qui prend plaisir à être détesté, et qui fait tout, en conséquence, pour se rendre détestable.

Je n’ai jamais cherché à savoir s’il avait ou non un talent de plume car, à mes yeux, le talent n’excuse rien. Je n’ai jamais cherché à discerner s’il pouvait être sincère, ou s’il y avait, derrière ses postures et ses formules de bas étages, une manière pour lui de prendre la pose et de s’imaginer en successeur de ses écrivains préférés, qui, et je ne crois pas du tout que ce soit fortuit, sont presque tous antisémites. Les principaux d’entre eux collaboré activement avec le nazisme au temps d’Auschwitz.

Je n’ai lu ses ouvrages précédents que jusqu’au moment où l’envie de vomir prenait le dessus, et cela se passait, en général, assez vite.

J’imaginais que le personnage avait arrêté l’écriture. J’imaginais aussi que s’il devait publier à nouveau, ses textes feraient, si des articles devaient leur être consacrés, l’objet de critiques rédigées par des gens qui auraient de la mémoire.

J’ai dû constater que je me trompais. Le livre que vient de faire paraître Nabe a, dans les principaux magazines d’actualité français, dont Le Nouvel Observateur, l’hebdomadaire de la gauche bien pensante et Valeurs Actuelles, été couvert d’éloges : et aucun des articles que j’ai lu ne rappelle qui est vraiment Nabe. Aucun, non plus, ne semble considérer qu’avoir écrit certaines phrases vaut disqualification.

J’ai dû me résoudre à voir qu’aucun journaliste ne paraissait se souvenir ou ne donnait l’apparence de trouver quoi que ce soit inexcusable. Et j’ai dû en venir à considérer que décrire les attentats du onze septembre comme une « lueur d’espoir », et déclarer que les « Hébreux israéliens » méritent d’être « dégueulés » et « collés contre leur ignoble mur croulant de larmes », ou que les attentats antisémites ne sont que des « rots bruyants », était désormais acceptable et accepté.

J’ai réfléchi, et j’en suis venu à trouver deux explications à cet état de fait : d’une part, le temps passant, il existe chez un nombre croissant d’Européens un refus de plus en plus net de se voir rappeler les crimes du passé, et, surtout, Le Crime commis en commun par des multitudes en tous les pays d’Europe, la Shoah.

D’autre part, l’antisémitisme, après s’être confectionné des habits neufs pendant des années, les porte désormais avec une ostentation croissante. Et ses adeptes comprennent pleinement aujourd’hui que, si parler comme Hitler reste difficile, tenir un discours hitlérien revu et corrigé par les adeptes du palestinisme est beaucoup plus facile, quasi consensuel.

Lorsque Nabe a commencé sa carrière, il écrivait comme un antisémite juste sorti de séances masturbatoires sur les pages de Bagatelles pour un massacre de Céline ou sur celles des Décombres de Lucien Rebatet. Cela lui valait protestations et dépôts de plaintes de la Licra, qu’il qualifiait à l’époque d’organisation se servant « du monceau de cadavres d'Auschwitz comme du fumier pour faire fructifier (sa) fortune ».

Cela lui valait d’être traité d’individu « abject et même totalement dégueulasse » par Frédéric Ferney, qui use rarement de formules aussi acerbes. Nabe a, ces dernières années, écrit comme un « antisioniste », ce qui lui a permis une réhabilitation, sans qu’il n’ait eu besoin, pour cela, de changer le fond de ses propos.




Nabe en milicien :
les Hébreux méritent d’être « collés contre leur ignoble mur croulant de larmes »

Au début de sa carrière, Nabe posait ses mots sur le papier ou dans sa bouche comme un être d’extrême-droite, et se donnait même l’apparence physique requise. Il use, présentement, des mêmes mots en leur ajoutant un vernis de gauche, mais sans renoncer à l’essentiel, au venin et à la fange, dans laquelle ils n’ont jamais cessé de se vautrer.

Nous en sommes là. Dans peu de temps, j’en suis sûr, tout le monde ou presque, en France, pourra dire, comme Nabe, « c’est pas parce que Hitler était contre les Juifs que je dois être forcément pour ».

Et je crains qu’on n’ajoute alors, comme lui, « pourquoi est-on gêné d’admettre que tout goy est plus ou moins antisémite ? ». Dès ce début d’année 2010, traiter Israël d’Etat nazi, et clamer que les Juifs entendent pratiquer la « solution finale » vis-à-vis des Arabes palestiniens ne choque plus du tout et peut valoir de figurer dans les pages d’opinion d’un grand journal de référence.

Dans une émission de télévision appelée Vous aurez le dernier mot [Fr2. Ndlr.], que j’ai visionnée sur le Net, Nabe a, récemment, été invité à parler un peu de son livre et de son statut d’ « écrivain maudit » et de génie incompris.

Le sujet du débat était le racisme et de récents propos, jugés douteux, de Georges Frêche. Comme par hasard, Nabe a fait glisser le débat vers Israël et le sionisme. Et, après avoir traité Frêche de « gros con socialiste raciste », il a ajouté que ce qu’il y avait de plus « ignoble » chez l’ancien maire de Montpellier était son « sionisme invraisemblable ».

Il a précisé que les discours que Frêche avait tenus pour se « moquer des Palestiniens» et pour justifier le « mur de séparation » lui vaudraient l’absolution générale. Ceux qui, voyant l’émission, auront perçu un accolement sémantique entre les mots « gros », « con », « socialiste », « raciste », et « sioniste » n’auront fait que suivre le droit fil des phrases.

Ceux qui auront pu avoir le sentiment d’une allusion à l’existence d’un pouvoir juif, prêt à excuser le racisme et l’ignominie, pourvu que l’un et l’autre soient « sionistes », auront eu le même sentiment que moi.

Nabe a ajouté l’éloge de quiconque serait comme lui un « antisioniste viscéral et anticolonialiste ».

Un adversaire résolu de l’antisémitisme et un défenseur d’Israël, s’il y en avait eu un sur le plateau, aurait eu amplement matière à répliquer. Malheureusement, il n’y avait personne pour jouer ce rôle.
Ce ne fut pas la faute du présentateur, toutefois, qui s’imaginait sans doute qu’il comptait parmi ses invités quelqu’un de tout désigné pour cela. Ce qu’il ne savait pas est que ce quelqu’un, en réalité, n’était personne. Un figurant. Un être insipide qui ne prend pas la parole même quand on la lui donne.

Je n’ai, en l’apercevant, eu aucun mal à reconnaître le figurant en question, puisque je l’ai croisé dans le passé et que je l’ai connu plus agressif : il s’en prenait, il est vrai, alors, à un ami d’Israël. Il a un nom : Patrick Klugman. Une profession : avocat. Il a des responsabilités dans le CRIF, le Conseil représentatif des Institutions juives de France.

Si un responsable du CRIF ne peut pas répliquer à des diatribes qui frôlent l’antisémitisme et qui caricaturent ignominieusement Israël, je ne vois vraiment pas à quoi cela sert d’être responsable du CRIF.

L’insignifiant Klugman s’est contenté de bredouiller qu’il était « sioniste et pro-palestinien », a justifié l’existence d’Israël en ânonnant que c’était un Etat fondé par une « décision de droit » des Nations Unies : la belle référence ! Et il a même trouvé le moyen de se découvrir des points d’accord avec Nabe. Il ne s’est pas excusé d’être sioniste, mais il aurait, j’en ai eu la sensation fugitive, suffi de peu pour qu’il le fasse.

J’ai rêvé un instant à ce qu’aurait pu dire à sa place un être pourvu de davantage de consistance et d’armature intellectuelle : Richard Prasquier, Stéphane Juffa, Armand Laferrère ou Gilles-William Goldnadel, par exemple.

En ces temps nauséabonds, il faut que chaque occasion de prendre la parole pour défendre le peuple juif, le judaïsme et Israël contre la haine et la calomnie soit utilisée efficacement.

Je suis, en tant que libéral et qu’intellectuel profondément attaché à la liberté de parole, pour que des individus tels que Nabe soient invités à la télévision et puissent s’exprimer : à la stricte condition que des gens à même de leur répliquer soient invités aussi. Avec quelqu’un comme Patrick Klugman, on a l’impression que le siège d’en face reste vide, voire bien plus que vide, mal occupé.

TRISTE DECHEANCE DE LA DEMOCRATIE !!!!

Pauvre FRANCE

Que devons- nous penser de ces forces de sécurité qui assistent

sans réagir à ces débordements de haine contre un pays démocratique "ami"? ,

On ne peut pas tout accepter au nom de la liberté d'expression..

Cet usage de la liberté excessive finira par se retourner contre nous , et

tous ces barbares se servent de notre systéme démocratique pour imposer

leur radicalisme.

OUI! VRAIMENT UNE HONTE DE LA PART DE CETTE JEUNESSE, alors qu ils ne defendent jamais les algeriens irak et iran
PAUVRE FRANCE DE DEMAIN,,,,

ils n'ont ont que faire de la solidarité avec leurs fréres , leur obsession est , et ,reste

ISRAEL . Pour eux le prix de la vie humaine ne correspond pas à l'amour , le respect

et la compassion que nous portons aux nôtres .