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RUBRIQUE - SANTE -

Envoyé par korine15 
RUBRIQUE - SANTE -
23 janvier 2010, 12:03
Arrêter de fumer à un stade précoce de cancer du poumon pourrait doubler les chances de survie


Les patients atteints d'un cancer du poumon à un stade précoce pourraient doubler leurs chances de survie en arrêtant de fumer, selon une étude rendue publique vendredi dans la revue médicale "BMJ", nouveau nom du "British Medical Journal". Lire la suite de l'article.

Jusqu'à présent, rien ne prouvait 'arrêter de fumer dès le début d'un cancer pouvait faire une différence.

Des chercheurs britanniques ont analysé les données de dix études examinant l'espérance de vie des fumeurs atteints d'un cancer du poumon. Ceux qui avaient continué à fumer avaient 29 à 33% de chances de survivre cinq ans. Mais les patients ayant arrêté la cigarette avaient un taux de survie à cinq ans de 63 à 70%.

Seules 7% des personnes atteintes d'un cancer du poumon survivent plus de cinq ans, bien qu'environ 20% des patients soient dépistés suffisamment tôt pour être traités.

"Le message, c'est qu'il n'est jamais trop tard pour arrêter de fumer", observe Amanda Parsons, du Centre pour les études sur le contrôle du tabac à l'université de Birmingham, qui a dirigé l'étude. "Si vous arrêtez de fumer, votre corps peut encore s'en remettre partiellement et les risques sont diminués".

Si certains médecins recommandent à leurs patients d'arrêter de fumer, tous ne le font pas. Pour certains docteurs et infirmiers, "il est inhumain de s'attarder sur cette question" car ils considèrent que cela renforce le sentiment de culpabilité et prive le patient d'un réconfort de longue date, observent Tom Treasure et Janet Treasure, tous deux professeurs à Londres. AP

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
23 janvier 2010, 12:08
Un médicament contre l'obésité suspendu


Nouveau coup dur pour les personnes souffrant d'obésité. Jeudi soir, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a demandé aux médecins de ne plus prescrire de sibutramine , l'un des derniers médicaments contre l'obésité encore disponible dans notre pays. Le tout dans l'attente d'une décision de la Commission européenne après l'avis défavorable rendu le même jour par l'Agence européenne du médicament (EMA), qui recommande de suspendre l'autorisation de mise sur le marché (AMM) de toutes les spécialités contenant de la sibutramine (Sibutral, Reductil, Reduxade et Zelium). «Les risques dépassent les bénéfices», estime l'EMA, ajoutant que la perte de poids est «modeste» et s'estompe vite après l'arrêt du traitement. Lire la suite l'article
Photos/Vidéos liées Agrandir la photo Commercialisée en France depuis juin 2001 sous le nom de Sibutral, cette molécule coupe-faim, qui agit en inhibant la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline, à l'instar de certains antidépresseurs, est prescrite comme «traitement d'appoint dans le cadre d'un pro­gramme visant à contrôler le poids de patients présentant une obésité nutritionnelle et un indice de masse corporelle (IMC) supérieur ou égal à 30*», rappelle l'Afssaps.

Depuis 2001, une soixantaine de signalements d'effets indésirables impliquant ce médicament ont été recensés dans notre pays, dont le décès d'une femme. «Moins de la moitié des cas concernaient des effets indésirables cardio-vasculaires, dont cinq cas graves (troubles du rythme, hypertension, tachycardie)», précise l'Afssaps, qui estime qu'en 2009 environ 5 500 personnes prenaient du Sibutral en France. Mais c'est après avoir pris connaissance des résultats d'une étude menée pendant cinq ans sur 9 805 patients que l'EMA a décidé de réagir. Ces résultats font état d'une augmentation du risque de complications cardio-vasculaires (accident vasculaire cé­rébral ou crise cardiaque) chez les personnes traitées par sibutramine.

Pas question pour autant de céder à la panique

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
30 janvier 2010, 12:53
L’ARMEE DES MICROBES A L’OEUVRE

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Le Monde entier déploie d’énormes efforts pour endiguer les diverses pandémies qui le menacent, en particulier « la grippe Mexicaine ». Nul doute que c’est ce qui doit etre fait. Mais n’oublions pas pour autant la Mission de Ces Microbes… C’est ce que vient nous rappeler l’éditorialiste du Yated Neeman, au nom du Rav Yerou’ham Levovitch zatsal, Machgiah de la Yechivath Mir en Lituanie (in Da’ath Tor, par Michpatim).

… « « Nous pensions aux maladies en général : proviennent-elles de l’Homme lui-même, a la suite d’un défaut dans sa nature, qui engendrerait la maladie ? Il est plus probable de dire que la maladie s’attaque à l’Homme dans le cadre de la « Mission qu’elle a remplir ».

En fait, nous sommes emmenés a constater des phénomènes extraordinaires a propos des maladies : elles fonctionnent selon les lois fixes qu’elles suivent fidèlement. Elles obéissent a une certaine périodicité, qui permet de savoir combien de temps elles seront présentes, et quand elles commenceront a se relâcher et a abandonner leur proie. Contre certaines d’entre elles, on ne peut rien faire avant la fin de leur action, et aucun médicament n’aura de prise sur elles. D’autres sont sans espoir de guérison. Chaque maladie a déjà eu droit a son nom particulier, ce qui prouve que chacune fonctionne selon sa propre nature, différente de l’autre, ainsi que le prouve la dénomination particulière de chaque maladie.

« « Tout ceci nous montre que les maladies ne sont pas dues au hasard, mais elles œuvrent toujours dans la plus grande fidélité (cf.Or ha’Hayim Devarim 28.52sur le verset

: « L’Eternel donnera une gravite insigne a tes plaies intenses et tenaces, maladies cruelles et fideles » » .Bien que l’on utilisera des moyens naturels pour les guérir, les maladies resteront fideles a Leur Mission, et ne lâcheront prise que lorsque l’Eternel le leur indiquera », troupes d’émissaires, chacune avec sa tache spécifique, « Effectuant avec Crainte la Volontés de leur Créateur « (prière du matin)

Sont dans l’erreur les gens qui, constatant que la maladie qui les frappe ne s’affaiblit pas, accusent leur médecin de ne pas avoir trouve le bon diagnostic (NDLR : ce qui peut etre vrai malgré tout, mais bien entendu, ce que dit le Rav Yerou’ham est valable quand le médecin est réputé comme étant de haut niveau, et qu’il a fait tout ce qu’il pouvait pour soigner la personne…) ce qu’ils ne comprennent pas, c’est que la maladie ne lâcherai pas avant d’avoir effectue Sa Mission. Car la maladie accomplit sa tache avec une fidélité totale, et rien n’aura de pouvoir contre elle.


Cette même idée est présente dans la Tora, qui l’exprime en ces termes ; » » Car pour le coup, je déléguerai tous mes fléaux contre toi-même… » » (Chemoth 1 Exode 9-14). Ces fléaux ce sont effectivement les envoyés du Créateur, de même « « A mon tour, voici ce que je vous ferai : je mettrai en place contre vous d’effrayants fléaux.. » » (Wayiqra ! Lévitique 26-16), ils sont nommes pour cela, et ont un rôle a remplir… » ».

Le Rav Lebovitch rapporte par la suite le verset (Chemoth /Exode 23.28) » »J’enverrai le frelon, qui chassera le Heveen, le Cananéen et le Hetheen de devant toi « « , sur lequel Rachi écrit : » » Le frelon- sorte d’insecte volant qui les frappait a l’œil et y injectait un venin mortel. Le frelon n’a pas traverse le Jourdain….

Nos Maitres ont enseigne dans le traite Sota(36a) que le frelon se tenait au bord du Jourdain d’ou il lançait son venin « le Rav : « « Les scientifiques, de nos jours parleraient d’injection de bacilles, et lui donneraient un nom selon la nature de cette plaie..

Mais il en est de même pour les coups qui menacent notre sante, que la Tora appelle « Envoyés «, ce qu’ils sont de manière certaine, a savoir des messagers en provenance de l’Eternel. Il se pourrait également que l’on démontre que les maladies ont des limites géographiques, et dans ce domaine également, les scientifiques diront de nos jours, que le climat son influence sur elles. Mais, d’une manière ou d’une autre, il faut comprendre et croire de manière certaine quelles sont toutes « Fideles dans leur Mission » et qu’elles Effectuent avec Crainte la Volonté de Leur Créateur « .

« Lorsque l’on prend conscience du fait que les maladies ne sont pas le fait du hasard – Que D.ieu nous préserve d’une telle idée – mais qu’Elles Sont Envoyées par le Créateur, chaque groupe en soi, en de nombreuses troupes, chaque Unité ayant son « Uniforme »,respectant leur Mission sans relâche, et ne l’abandonnant pas avant de l’avoir exécutée, nous pourrons des lors comprendre assez clairement, pourquoi nous avons besoin d’une autorisation pour nous tourner vers des solutions médicales. Car en effet, comment peut-on songer a se défendre avec des médicaments et des conseils contre de tels Envoyés Célestes, doués d’une Volonté d’agir ? » ».

Bien entendu, sur le plan des faits, l’obligation est totale de tout faire sur le plan médical pour entraver tout danger pour soi-même, comme pour notre entourage, ainsi que la Tora le permet (cf. Chemoth ?Exode 21-19), mais le Rav Levovitch vient ajouter qu’il faut savoir que ces troupes de microbes et de bactéries ne sont autre chose que l’Instrument du Créateur sur Terre, et qu’ils ne font que remplir leur mission avec fidélité.

- A nous d’en comprendre le message, et a nous de revenir vers l’Eternel, car ce n’est que dans ce but que Ces Messagers sont envoyés a nous !

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
02 mars 2010, 03:01
DANGERS DES RAYONNEMENTS ELECTROMAGNETIQUES

Téléphone portable, téléphone sans fil, WIFI, FOUR MICRO-ONDES… Nous vivons équipés d’appareils qui nous facilitent la vie, mais dont on ignore l’impact sur notre organisme et notre Sante.

Nous vous proposons ici une synthèse du rapport Initiative, réalisé en Aout 2007. Il s’agit d’une méta-analyse, c’est-a-dire d’une analyse qui regroupe les résultats de nombreuses études faites dans différents pays par des chercheurs indépendants

Vous constaterez a la lecture de ce dossier que la situation est plus préoccupante que ce que l’on nous laisse parfois entendre.

C’est en étant informés, par des sources diverses et indépendantes, que nous pourrons décider s’il convient de changer certains de nos comportements, voir d’agir collectivement pour préserver notre Sante.

LES NORMES DE PROTECTIONS ACTUELLES SONT-ELLES SUFFISANTES ?.

Des normes ont été fixées par l’ICNIRP(International Commission on Non-lonizing Radiations Protection) et le FCC (Fédéral Communications Commission) pour fixer les limites d’exposition aux Champs basses fréquences et aux micro-ondes, tant pour les professionnels que les grand Public.

CES NORMES SUFFISENT-ELLES A PROTEGER NOTRE SANTE ?.

La réponse du Rapport Bioinitiative est non. Selon les chercheurs, il est reconnu que des effets biologiques et des troubles possibles pour la sante causés par une exposition prolongée peuvent survenir a des niveaux d’exposition beaucoup plus faibles que ceux fixés par les normes actuelles.

Ils préconisent que les normes ne se basent plus uniquement sur les effets thermiques (énergie absorbée et réchauffement des tissus) mais tiennent compte des effets non-thermiques (de basse intensité) nocivité en cas d’exposition chronique a été établie..

Diverses études ont démontre que l’exposition chronique a ces rayonnements a des effets sur :

L’ADN,
La communication intra-cellulaire
La Réparation cellulaire et la Cicatrisation des tissus.
Les Cancers
La Système nerveux (sommeil, mémoire, fonctions cognitives)
La Dépression
Le Cœur
La barrière encéphalique
L’Immunité, la Fertilité et la Reproduction.

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
20 mars 2010, 14:19
NUTRITION :

Bien se nourrir est devenu une préoccupation pour beaucoup d’Israéliens. Et c’est normal, puisque l’alimentation joue un rôle primordial pour notre sante.

- Multiplication de produits alimentaires destines aux enfants.
- Promesses des produits vitaminés
- Régimes minceur
- Intolérances alimentaires

Nous sommes confrontés quotidiennement a des choix que la profusion d’informations que nous recevons ne facilite pas toujours.
En théorie, nous devions savoir ce qui est non pour notre santé, et ce qui est dangereux.
Dans la pratique, il n’est pas toujours facile de suivre les règles d’aune alimentation saine.

Ce dossier a pour but de nous rappeler quelques notions essentielles afin que nos repas ne soient synonymes ni de mal nutrition, ni de stress !.

COMMENT LES ISRAELIENS SE NOURISSENT-ILS AUJOURD’HUI !..

De plus en plus mal, semble-t-il !.

NOTRE APPORT NUTRITIONNEL EST LARGEMENT DESEQUILIBRE !

- Trop de sucres simples (aliments au gout sucré) et pas assez de sucres complexes.
- Trop de protéines animales (viandes) et pas assez de protéines végétales (fruits te légumes)
- Trop de graisses

NOS REPAS SONT DESEQUILIBRES ;

- Pas assez variés (seulement deux plats le plus souvent)
- Petits déjeuners insuffisants
- Pas assez de fruits et de légumes frais

NOS APPORTS NUTRITIONNELS NE CORRESPONDENT PLUS A NOS BESOINS.

- Protéines : 14 a 18 %, alors que les besoins d’un adulte sont de 10a15%
- Glucides : 39 a 41% alors que les besoins d’un adulte sont de 50a55%
Lipides : 38 a 40% alors que les besoins d’un adulte sont de 30 a 35%

NOUS NE MANGEAONS PAS ASSEZ DE FRUITS ET LEGUMES, ET TRPO DE PRODUITS INDUSTRIALISES

- Nous manquons de Vitamines A,B1, B2, C et E
- Nous manquons de Fer, de Calcium et de Sélénium

LES MALADIES LIEES A L’ALIMENTATION AUGMENTENT !

- Obésité ( 6% d’obeses de plus dans le pays chaque année)
- - Diabète
- - Ostéoporose
- - Cancers
- - Maladies cardio-vasculaires

LES SOLUTIONS SONT SIMPLES, ET POURTANT NOUS NE LES APLLIQUANT PAS !

- Manger plus de fruits et de légumes, plus de produits apportant du Calcium et des Fibres.\
- Consommer moins de produits sucrés, de graisses et d’alcool
- - Avoir une activité physique régulière

IL Y A PLUSIEURS RAISONS A CELA ;

-Les produits industriels facilitent la vie.
-Il est difficile de résister a notre enfants qui réclame les nouvelles céréales chocolatées pour le petit déjeuner.
-La gamme de produits a grignoter (sucres ou salés) s’élargit sans cesse.
-Le prix des fruits et légumes frais sont parfois prohibitifs.
-L’industrie alimentaire propose une large gamme de plats cuisinés sous toutes formes (conserves, surgelés, traiteur, lyophilisés,..)

BIEN S’ALIMENTER, C’EST D’ABORD PRENDRE CONSCIENCE DES CONSEQUENCES DE L’ALIMENTATION SUR NOTRE SANTE..C’EST A LA FOIS UNE QUESTION DE BONS SENS ET D’EDUCATION.

- Même sans avoir des connaissances particulières, nous devinons que manger trop gras et trop sucré est mauvais pour notre santé.
- - Méfions-nous des modes, des courants et des publicités.
- -Prenons l’habitude de lire les étiquettes avant d’acheter un produit : elles réservent bien des surprises…
- - Donnons, dès le jeune âge , de bonnes habitudes alimentaires a nos enfants, notamment au niveau de la diversité alimentaire et de la consommation de fruits et légumes
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- MAIS LES CONSOMMATEURS NE SONT PAS LES SEULS A DEVOIR AGIR !
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- - Si nous restons seuls responsables du choix de nos aliments, nous ne sommes pas responsables de leur composition : L’industrie agro-alimentaire offre des produits dont la qu’alite nutrionnelle est souvent insuffisante, trop sucrés trop salés. Les pouvoirs publics interviennent afin de remédier a ces problèmes ; ainsi, les potages industriels contiennent aujourd’hui de 10 a 12 % de sel en moins qu’auparavant.
- - Nous ne maitrisons pas toujours ce que mangent nos enfants :

BIEN SE MOURIR EST UN DROIT, SOYONS EXIGEANTS SUR LA QUALITE DE CE QUE NOUS MANGEONS.

- ENFANTS GATES… MAIS MAL NOURRIS..

- Pas ou peu de fruits et de légumes, trop de boissons sucrées et de pâtisserie industrielle.. nos Enfants sont mal nourris !.

Une étude révèle :
- Plus de 12% d’entre-deux ne prennent pas de petit-déjeuner.
- Prés de 70% mangent entre les repas.
- Plus de 65% boivent des boissons sucrées ou des sodas pendants les repas.

Leur faire plaisir sans nuire (gravement) a leur santé : c’est le challenge des parents, qui ont de plus en plus de mal a imposer une nourriture équilibrée, plus « traditionnelle » a des enfants « consommateurs » cibles des publicités et perpétuellement tentés par de nouveaux produits toujours sucrés




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MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
22 mars 2010, 06:52
MAIGRIR : Une question d’équilibre et de patience !

Perdre du poids de façon durable et en respectant les besoins de notre organisme, c’est-a-dire en restant en bonne sante, implique une démarche rationnelle basée sur la compréhension des mécanismes fondamentaux de notre corps, et de la patience !.

Le rêve d’un régime miracle : L’excès de poids s’installe souvent insidieusement. On laisse faire, on fait parfois semblant de ne pas voir…
Jusqu’au jour ou l’on ne supporte plus son corps, et on décide de perdre du poids. Vite !.
Alors, on cherche le régime « miracle » celui qui, aussi dur soit-il, nous fera perdre rapidement tous ces kilos qui nous obsèdent. On se prive de ce qu’on aime le plus, on subit la faim…parce qu’on est convaincu que c’est le prix a payer pour maigrir, et qu’on mérite bien une petite punition pou s’etre laissé allé à prendre autant de poids.

Alors, le plus souvent, on maigrit. Avec des carences, car ces »régimes miracles » sont presque toujours, déséquilibrés. Mais l’objectif est atteint : On a perdu du poids !.

Oui, mais pour combien de temps… Le fameux « effet yoyo », dont on a entendu parler, ne nous épargne pas. En clair, des la reprise d’une alimentation normale, on reprend du poids, souvent plus que ce qu’on avait perdu. Parce que notre organisme, « traumatise » par le manque, a besoin de récupérer et de constituer des réserves.

IL SUFFIT SOUVENT D’AVOIR DU BON SENS !

1) D’abord, prendre conscience de nos habitudes alimentaires.
Qu’est-ce que je prends au petit-déjeuner ? Au déjeuner ? Au gouter ? Au diner
Qu’st-ce que je grignote ? Pourquoi ? Qu’est-ce que j’aime grignoter ?
Est-ce que je mange un peu et fruits et des légumes ?

2) Identifier nos mauvaises habitudes, ou nos maladresses : parfois, ce n’est pas tellement ce que nous mangeons qui pose problème, mais le moment ou nous le mangeons.
Mon petit-déjeuner et mon déjeuner sont-ils suffisants pour me permettre d’attendre le repas suivant ?
Mon repas du soir n’est-il pas trop riche
Est-ce que je ressens systématiquement une 2eme assiette ?
Est-ce que je prends suffisamment de temps pour les repas ?

IL FAUT COMPRENDRE QUE L’ON PEUT MAIGRIR SANS SOUFFRIR !.
Se demander ce que l’on pourrait changer le plus facilement dans nos mauvaises habitudes alimentaires.
Se fixer un objectif en commençant par le plus facile.
Ne pas chercher a se priver de ce que l’on aime (chocolat, biscuits, fromage,..) mais diminuer progressivement les quantités consommées.

IL FAUT SE DONNER DU TEMPS…
Changer des habitudes (alimentaires ou autres) nécessite du temps si l’on veut que le changement soit durable. La patience est la meilleure alliée de qui veut maigrir.
SE FELICITER DE CHAQUE ETAPE QUE L’ON FRANCHIT 1.
Chaque objectif constitue une réussite, une victoire, et doit etre ressenti comme tel.
Il ne faut pas minimiser ces « petits pas »
Voir le chemin parcouru est plus stimulant que penser a ce que l’on a pas encore fait !.
La motivation est un élément-clé de la réussite. Garder le moral et etre optimiste jouent un rôle essentiel.

Bon courage !

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
12 mai 2010, 14:00
Ophtalmoplégie
MenuAnatomie
L'œil possède des muscles extrinsèques (à l'extérieur : muscle releveur de la paupière entre autres) et intrinsèques (à l'intérieur du globe oculaire lui-même : ceux de la pupille et du muscle ciliaire).




Ophtalmoplégie : Définition
Ophtalmoplégie : Anatomie
Questions personnelles, avis de spécialistes, témoignages, aide, parlez-en sur notre forum.
Définition
Anatomie
Ophtalmologie

a Suivre../..

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
12 mai 2010, 14:05
Définition
Le terme ophtalmoplégie a été utilisé par Brunner, pour la première fois, en 1850. En anglais ophthalmoplegia, ce terme signifie paralysie des muscles de l'oeil.
L'ophtalmoplégie double signifie que l'ensemble des muscles du globe oculaire c'est-à-dire intrinsèque et extrinsèque sont paralysés, ce qui survient rarement.


Il s'agit d'un ensemble de maladies rares se caractérisant par une faiblesse des muscles extraoculaires (en périphérie du globe oculaire) et parfois des muscles proximaux (racine) des membres et d'autres symptômes.
Ces patients présentent d'autre part des maladies mitochondriales (maladie des mitochondries) détectables à la biopsie musculaire (prélèvement de parcelles de muscle).


L'ophtalmoplégie nucléaire, appelée également polioencephalitis supérieure, est la paralysie des muscles de l'oeil. Ceci est le résultat de lésion du noyau et des fibres d'origine des nerfs des troisième quatrième et sixième paires crâniennes par atteinte pédonculaire. L'ophtalmoplégie nucléaire entraîne l'apparition de ce que les spécialistes en neurologie appellent le faciès d'Hutchinson survenant au cours de la polioencephalitis.

L'ophtalmoplégie internucléaire est la faiblesse ou la paralysie des mouvements oculaires qui sont le résultat d'une lésion des fibres nerveuses qui se connectent entre les groupes de cellules nerveuses situées dans les centres nucléaires donnant naissance au nerfs crâniens III (nerf oculomoteur) et IV (nerf abducteur).
Autrement dit au cours de l'ophtalmoplégie internucléaire, les fibres nerveuses qui sont utilisées pour contrôler les mouvements oculaires horizontaux et verticaux et celles qui permette deregarder d'un côté ou de l'autre, de haut en bas sont lésés.
La cause est plus fréquente d'ophtalmoplégie internucléaire sont les accidents cérébraux vasculaires chez les personnes âgées et les scléroses multiples chez les individus plus jeunes.
Les mouvements oculaires horizontaux sont compromis mais les mouvements verticaux sont normaux. L'oeil ne peut regarder vers l'intérieur mais regarder vers le côté opposé mais en dehors.
On constate l'apparition d'un nystagmus. Ceci signifie que l'oeil se déplace rapidement dans une direction pour ensuite revenir plus lentement vers la position de départ.
L'accident vasculaire cérébral peut également entraîner des lésions du centre de régulation des mouvements oculaires et plus précisément pour les mouvements horizontaux.
L'oeil du côté affecté est figé en permanence vers le milieu alors que l'oeil du coté opposé peut tourner vers l'extérieur mais pas en dedans.
Le traitement de l'ophtalmoplégie internucléaire dépend de la cause. l'amélioration avec le temps dépend de la pathologie en cause.

L'ophtalmoplégie internucléaire antérieure appelée également anterior internuclearis ophthalmoplegia, paralysie supranucléaire du droit interne, est une variété de paralysie du muscle droit interne de l'oeil aboutissant à une diplopie (dédoublement de la vue) mais ne s'accompagnant pas de d'une altération de la convergence. Cette pathologie ophtalmique est sans doute le résultat d'une une lésion du faisceau longitudinal postérieur entre les noyaux des III eme , et VI eme nerfs crâniens. Le syndrome de Bielschowsky-Lutz-Cogan est proche de l'ophtalmoplégie internucléaire antérieur.

L'ophtalmoplégie internucléaire postérieur, appelée également paralysie supranucléaire du droit externe est une paralysie incomplète des mouvements du globe oculaire dans ces mouvements latéraux et qui se caractérise par une atteinte de l'abduction (regard vers l'extérieur) qui est plus importante que l'atteinte de l'abduction (regard verl'intérieur) de l'autre. L'ophtalmoplégie internucléaire postérieure serait le résultat d'une lésion comparable à celle du noyau du nerf moteur oculaire externe ou abducens. Cette lésion est proche de la précédente (syndrome de Bielschowsky-Lutz-Cogan

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
25 mai 2010, 04:45
Alzheimer (l'essentiel à connaître)

La maladie d'Alzheimer est la forme de démence la plus fréquente. Elle se caractérise par un début insidieux et une évolution progressive
On peut considérer que la maladie d'Alzheimer comprend trois phases. Tout d'abord la phase de début puis la face d'État et enfin la phase terminale.

La phase de début comprend les premières difficultés, peu importantes et dont l'intensité est variable. Parfois rapporté à l'âge du patient ou encore le stress, voire une fatigue passagère. Au début on constate avant tout des troubles de la mémoire (voir la vidéo) concernant les faits récents puis des difficultés, voire même une incapacité pour apprendre de nouvelles choses. Apparaissent ensuite des difficultés pour effectuer certains gestes de la vie courante et des difficultés à assumer de nouvelles situations.
Le début de la maladie d'Alzheimer est d'autant plus difficile à diagnostiquer que la patiente ou le patient est conscient de son état à ce moment-là et a donc tendance à masquer les difficultés à sa famille à son entourage. D'autre part, étant donnée que le patient est conscient de ses troubles, cela aboutit à une forme de dépression que l'on appelle dépression réactionnelle qui elle aussi gêne le plus souvent la mise en place du diagnostic au départ.

La phase d'état apparaît au bout de plusieurs mois, progressivement. Elle comprend des troubles de la mémoire tout d'abord des faits récents, la personne ne retrouve pas les souvenirs proches même si on l'aide, et ensuite des faits anciens. Les souvenirs s'effacent dans l'ordre inverse de l'ordre chronologique. Ceci explique par exemple que les souvenirs concernant l'enfance du patient sont conservés relativement longtemps. Le plus souvent les patients se souviennent des bribes de souvenirs anciens mais le contexte de leurs souvenirs n'est pas bon. Parfois même les patients revivent comme présents des souvenirs anciens.
Le deuxième symptôme de la phase d'état est la désorientation temporospatial c'est-à-dire dans le temps et dans l'espace. Ce symptôme est constant au cours de la deuxième phase, ou phase d'état de la maladie d'Alzheimer.
Apparaissent ensuite des troubles du jugement et du raisonnement avec en particulier des difficultés et ensuite des incapacités à calculer ce qui rend impossible la gestion pécuniaire (de l'argent). L’adaptation et la critique sont absentes, confronté à un danger. Par exemple l'utilisation du gaz ou la traversée des rues etc. est impossible ou très difficile.
Progressivement apparaissent de l'agressivité de l'agitation et des accès de colère. Au contraire certain patient ont une apathie c'est-à-dire une indifférence à toute chose et une inversion de leur cycle veille-sommeil, généralement.
Puis apparaît le syndrome que l'on appelle aphasie-apraxie-agnosie. Ce syndrome est le plus souvent caractéristique de la maladie d'Alzheimer surtout quand il est isolé et qu’il n'existe pas d'autres symptômes neurologiques.

L'aphasie se définit par le manque de mots, au départ, suivi par la diminution progressive du vocabulaire associée ou pas à des troubles de la compréhension, entraînant une pauvreté du discours et une incohérence aboutissant quelquefois à l'absence totale de discours c'est-à-dire que le patient ne parle plus (mutisme total).
L’apraxie désigne les troubles des apraxies c'est-à-dire les difficultés à faire des gestes ce qui a une répercussion en termes d'alimentation, d'habillage, de toilette etc., aboutissant à une dépendance de plus en plus importante du patient vis-à-vis de son entourage.
L'agnosie et la non reconnaissance des lieux et des objets usuels et la non reconnaissance des visages de sa famille voir quelquefois de son propre visage quand le patient se regarde dans un miroir ce qui aboutit évidemment à une certaine forme d'angoisse.

Les derniers symptômes apparaissant à la phase d'état est la perturbation des mouvements qui se caractérise par ce que l'on appelle une hyperactivité c'est-à-dire une accentuation de l'activité aboutissant à des déambulations que l'entourage ne comprend pas et qui sont incessantes avec une démarche hésitante et une coordination diminuée des gestes. Parfois le sujet va jusqu'à perdre la capacité de marcher quand il reste allongé par exemple plusieurs semaines. La rééducation dans ce cas est particulièrement difficile.

La phase terminale se caractérise par une aggravation qui survient progressivement de l'ensemble des troubles décrits précédemment ce qui aboutit à une dépendance totale et surtout à une communication qui est devenue impossible. La dramatisation aboutit à l'apparition de complications qui entraînent quelquefois le décès du patient. Tous les signes dont nous venons de parler sont variables d'un patient à l'autre, il en est de même de l'évolution.

Il est nécessaire d'effectuer un bilan paraclinique c'est-à-dire des examens en dehors de l'interrogatoire et de l'examen du patient lui-même. Il s'agit des tests psychométriques qui vont permettre de mesurer le type et la gravité des troubles cognitifs (concernant le fonctionnement intellectuel du patient). Ces tests ne permettent pas du tout de poser le diagnostic de démence en se fiant uniquement aux résultats. Les résultats des tests vont dépendre beaucoup du niveau scolaire de la personne, de sa langue et éventuellement de la présence de handicaps qui empêchent de voir ou d'écrire. Néanmoins ces tests permettent d'aider le diagnostic et de suivre son évolution, ce qui est très important à savoir. Le test le plus simple et le plus utilisé est le Min-Mental-Test de Folstein. Il est appelé également MMS. On peut dire schématiquement que
Entre 30 et 26 les résultats sont normaux.
Entre 25 et 15 il existe une démence débutante.
Entre 15 et 10 la démence est avérée
En dessous de 10 il s'agit d'une démence sévère.
Les autres examens complémentaires sont particulièrement utilisés quand il s'agit de pseudo démence afin de ne pas passer à côté d'une démence que l'on peut soigner. Il s'agit avant tout de :
L'I.R.M.
Du scanner cérébral.
Du dosage des hormones thyroïdiennes et des hormones hypophysaires concernant la thyroïde.
Du dosage des folates plasmatiques.
Du dosage de la vitamine B12.
Du B. W. VDRL (syphilis).
De la recherche HIV éventuellement.

Ces tests vont permettre de classifier la démence. En effet, ceci est très important car la prise en charge n'est plus du tout la même. Il en est de même pour le soutien surtout quand celui-ci est de nature familiale.

Le traitement a pour but non seulement d'améliorer le bien-être et la qualité de vie des malades en permettant d'atténuer les manifestations difficiles à vivre pour tout le monde et d'autre part de tenter de rendre l'évolution inéluctable vers l'aggravation la plus lente possible.

Les médicaments de la maladie d'Alzheimer sont avant tous les inhibiteurs de la cholinestérase. Ceci est basé sur la théorie cholinergique de la maladie d'Alzheimer. On constate des déficits en acétylcholine au cours de cette maladie. Ces médicaments ont donc pour but d'éviter la destruction de l'acétylcholine.
Actuellement les trois molécules les plus utilisées sur le marché français sont le dolépézil c'est-à-dire Aricept, la rivastigmine c'est-à-dire Exelon et la galantamine c'est-à-dire le Reminyl. Il existe une mauvaise tolérance par le foie d'un autre produit qui est la tacrine c'est-à-dire le Cognex, c'est la raison pour laquelle ce produit n'est plus utilisé ou ne doit plus être utilisé.
Grosso modo les trois molécules dont nous venons de parler ont un effet comparable. Il est nécessaire de savoir qu'aucune permet la guérison de la maladie d'Alzheimer et que l'État d'un malade sur trois est amélioré sur le plan de l'éveil, de la capacité d'attention et du fonctionnement intellectuel. Insistons sur le fait que la mémoire n'est pas très améliorée. Le deuxième tiers des malades se caractérise par une cessation d'aggravation progressive. Et le dernier tiers des patients n'est pas amélioré du tout par ces molécules c'est-à-dire ces médicaments.
D'autre part l'efficacité de ces médicaments s'estompe avec le temps et, même si on constate une phase d'amélioration au début, les patients recommencent à s'aggraver en suivant de façon parallèle la même pente que l'évolution naturelle de la maladie. À plus ou moins long terme les traitements par inhibiteurs de la cholinestérase vont permettre de reculer l'entrée en institution de deux ans à peu près.
Les effets secondaires sont avant tout des troubles digestifs c'est-à-dire des nausées, des vomissements de la diarrhée et des douleurs abdominales. Généralement les effets secondaires sont passagers et quelquefois ils sont plus forts, nécessitant alors une adaptation de la dose ou un arrêt du traitement.
Chez quelques patients on observe également une perte du poids, une certaine fatigue, des vertiges et une agitation.
La prescription de ces médicaments au départ ne peut se faire que par un neurologue, un gériatre, un psychiatre ou un médecin titulaire de la capacité de gériatrie. Le renouvellement tous les trois mois est institué par le médecin traitant cette fois-ci. Pour se procurer ces médicaments la personne doit présenter à la pharmacie les deux ordonnances c'est-à-dire celle du médecin traitant et celle de celui qui a institué le traitement. Le renouvellement de ces molécules peut être obtenu par le prescripteur habilité.

Il existe un autre médicament du nom d’Ebixa qui contient de la Mémantine. Il faut savoir qu'au cours de cette maladie on constate un dysfonctionnement c'est-à-dire un mauvais fonctionnement de la voie glutamatergique. Une trop grande libération de glutamate à l'intérieur de la fente synaptique c'est-à-dire des articulations ou des contacts entre le neurone est une des causes de la dégénérescence neuronale surtout dans certaines zones du cerveau comme l'hippocampe entre autres. Rappelons que l'hippocampe est le support de la mémoire.
La Mémantine va agir en régulant l'excès de glutamate à l'intérieur de ces synapses. La Mémantine est donc indiquée pour les formes modérées de la maladie d'Alzheimer.
La dose quotidienne maximale est de 20 mg par jour. Cette dose doit être atteinte très progressivement en effectuant des paliers de 5 mg par semaine au cours des trois premières semaines. La Mémantine améliore le comportement du patient essentiellement mais pas chez tous les patients. Il existe des précautions d'emploi, ainsi ce produit ne doit pas être utilisé en cas d'épilepsie, d'infarctus du myocarde, d'insuffisance cardiaque et d'hypertension artérielle quand celle-ci n'est pas soignée convenablement.
Quelquefois il est nécessaire d'utiliser surtout au début de la maladie d'Alzheimer des antidépresseurs que l'on appelle psychostimulant (sérotoninergique). Il s'agit du Prozac, du Deroxat ou de Vivalan.
Si l'on constate une errance associée à une anxiété il est quelquefois nécessaire de prescrire par exemple du Xanax ou de la buspirone (Buspar). L'Atarax est quelquefois également utilisé (hydroxyzine).
Quand on constate un délire ou de l'agressivité il est quelquefois possible d'utiliser des neuroleptiques mais à très faible dose. On conseille le Melleril à des doses progressives allant de 15 à 40 mg par jour. Il est préférable de répartir ces médicaments dans la journée afin d'éviter la situation de crise car les médicaments sont habituellement très difficiles à faire prendre.

Pour les spécialistes en neurologie il ne semble pas y avoir davantage à associer des correcteurs qui sont source fréquents de syndrome confusionnel à cause de leur effets anticholinergiques. Toujours dans le même registre le syndrome extrapyramidal est sûrement fréquent et si on arrête progressivement les neuroleptiques dès que l'on est à distance de l'épisode aigu, il disparaît en quelques semaines.
L'agitation peut être soignée par le Tiapridal (tiapride). Il est nécessaire de savoir que ce type de traitement doit être surveillé consciencieusement car il existe un risque d'hypotension orthostatique (chute de l'attention qu'on le patient passe en position debout (avec somnolence prolongée pouvant être à l'origine d'une déshydratation par manque d'apport d'eau). C'est pour cette raison que les benzodiazépines comme le Tranxène par exemple doivent être évités car d'autres par nécessitant de fortes doses pour être efficaces.
Les troubles du sommeil peuvent éventuellement être corrigés par du zopiclone (Imovane) et zolpidem c'est-à-dire le Stilnox. Le plus souvent ces médicaments sont utilisés quand il existe des réveils nocturnes comme cela est fréquent dans la population des patients atteints de maladie d'Alzheimer.

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
29 mai 2010, 11:29
LES ISRAELIENS CARENCES EB VITAMINE D

Le Ministre Israelien de la SANTE a decide de faire rajouter dans les produits laitiers des supplements de vitamine D.
En effet, une enquete menee par le Centre Medical RAMBAM de Haifa a permis de constater que certains Israeliens
souffraient de carences en Vitamine D. Ce resultat a surpris les chercheurs comme les pouvoirs publics compte tenu du taux d'ensoleillement tres eleve en Israel, qui constitue une condition sine qua none de l'absorption de ladite vitamine.

Selon cette Etude, les personnes les plus touchees seraient ; Les employes de la High Tech, en raison de nombreuses heures passees dans les bureaux et la population Orthodoxe.

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
29 mai 2010, 11:30
LES ISRAELIENS CARENCES EN VITAMINE D

Le Ministre Israelien de la SANTE a decide de faire rajouter dans les produits laitiers des supplements de vitamine D.
En effet, une enquete menee par le Centre Medical RAMBAM de Haifa a permis de constater que certains Israeliens
souffraient de carences en Vitamine D. Ce resultat a surpris les chercheurs comme les pouvoirs publics compte tenu du taux d'ensoleillement tres eleve en Israel, qui constitue une condition sine qua none de l'absorption de ladite vitamine.

Selon cette Etude, les personnes les plus touchees seraient ; Les employes de la High Tech, en raison de nombreuses heures passees dans les bureaux et la population Orthodoxe.

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
06 juin 2010, 13:56
Staphylocoque doré
Anglais : staphylococcus.
Terme issu du Grec : staphulê : grain de raisin, et kokkos : graine.
MenuDéfinition
Bactérie appartenant à la famille des Micrococcaceae (les staphylocoques), présentant une forme arrondie (coccus) et mis en évidence par la coloration gram + , nom sporulé.

La staphylococcie est le nom générique des maladies qui sont dues à une infection par staphylocoque.

La staphylococcémie est l'infection générale secondaire à la présence de staphylocoque dans le sang.


Les staphylocoque se présentent comme des germes immobiles, et se caractérisent par leur regroupement rappelant celui des grains d'une grappe de raisins.

Les staphylocoques sont des bactéries qui colonisent très largement la peau et les muqueuses (couche de cellules recouvrant l'intérieur des organes creux).

Ils sont responsables d'infections diverses superficielles ou profondes, mais également d'intoxications et d'infections urinaires.

Tous les staphylocoques ne présentent pas la même virulence.

Staphylococcus epidermidis se fixe facilement au matériel comme les prothèses et de ce fait se rencontre généralement dans les milieux médicaux (hôpital, etc…), provoquant ainsi des infections nosocomiales (de plus en plus fréquentes chez les patients immunodéprimés).

En ce qui concerne staphylocoque aureus, l'être humain constitue le réservoir naturel de cette bactérie. Les endroits de l'organisme où se trouvent ces germes (portage) sont habituellement :

Le nez
Le pharynx
Les aisselles
Le périnée
Le vagin
Le tube digestif (quelquefois)

Le portage est plus fréquent chez les sujets qui présentent des brèches (plaies), des lésions chroniques de la peau ou un affaiblissement de la barrière cutanée. C'est le cas par exemple du personnel soignant, des patients sous dialyse, des toxicomanes, des diabétiques, des malades recevant des perfusions intraveineuses, des patients atteints de maladies dermatologiques. Il est donc important de prévenir une éventuelle infection par staphylocoque doré chez des individus devant subir une opération chirurgicale, en prévoyant une désinfection nasale entre autres.

1 - Syndrome de choc toxique (S. C. T.).
Il s'agit d'une intoxication aiguë et sévère se caractérisant par :<

Une fièvre
Une hypotension (chute de la tension artérielle)
Une éruption cutanée
Une défaillance de nombreux viscères
Une desquamation (chute de particules de peau) lors de la première phase de la convalescence.
Ce syndrome atteint surtout les femmes pendant les règles. Cette pathologie relativement rare semble concerner environ 1 femme sur 100 000, en réalité sûrement plus, car de nombreux cas non pas été signalés. D'autres cas surviennent également chez des individus de sexe masculin.

Le S. C. T. peut se constituer quelques jours à quelques semaines après une intervention chirurgicale. Il n'est pas utile d'avoir eu une infection par staphylococcus aureus clairement diagnostiquée pour développer ce genre de pathologie. En effet, une simple colonisation suffit.


Brûlure chimiques ou thermiques
Piqûres d'insectes
Certaines maladies virales comme la varicelle
Plaies.
Infection des muscles du squelette après une atteinte respiratoire due à staphylocoque aureus à l'occasion d'une septicémie à staphylocoque.





LIRE LA SUITE > Staphylocoque doré : Classification
Staphylocoque doré : Définition
Staphylocoque doré : Classification
Staphylocoque doré : Symptômes
Staphylocoque doré : Analyses médicales
Staphylocoque doré : Evolution de la maladie
Staphylocoque doré : Complications de la maladie
Staphylocoque doré : Traitement
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Définition
Classification
Symptômes
Analyses médicales
Evolution de la maladie
Complications de la maladie
Traitement
Infectieux et parasitologie
Voir les images en rapport avec l'article : Staphylocoque doré




Voir également
Antibiotique (colite après la prise d')
Antibiotique (effets indésirables)
Antibiotique (généralités)
Antibiotique (utilisation chez l'enfant)
Antibiotique naturel
Bactérie
Bactérie opportuniste
Bactériémie
C.P.K
Choc septique
Défaillance multiviscérale (syndrome de la)
Desquamation
Ecosystème bactérien
Fièvre (rôle de la)
Flore bactérienne
Globule blanc
Gram (coloration de)
Hypotension
Septicémie
Staphylococcies exfoliantes
Thrombopénie
Vancomycine
Varicelle
Varicelle chez la femme enceinte

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
09 juin 2010, 08:57
CONSTIPATION DU GRAND ENFANT ;
Définition :
La constipation du grand enfant se définit par l'émission d'une selle tous les deux ou trois jours s'accompagnant de douleurs au moment de la défécation (émission de selles). Il s'agit des constipation qui est quelquefois très ancienne, et ceci apparaît quand on interroge les parents et plus particulièrement la maman. Il existe d'ailleurs, parfois, une obsession des parents, voire une attitude coercitive (contrainte) poussant l'enfant à la propreté ce qui a fini par induire chez celui-ci une constipation. Les parents qui poussent également les enfants de manière inopportune à le faire aller régulièrement la selle aboutissent à l'apparition de la constipation.

Chez quelques enfants la constipation est récente et s'installe de manière inopinée à la suite d'un changement d'habitude de l'enfant. Par exemple dès le début de l'année scolaire on constate, parfois, l'apparition d'une constipation. Ce n'est pas une raison pour considérer celle-ci comme une problématique psychologique mais plutôt comme une perturbation de fonctionnement de l'appareil intestinal. La problématique psychologique est le plus souvent le résultat de moqueries au moment des souillures intermittentes qui surviennent généralement lors de l'oubli chez un enfant alors qu'il joue. Il s'agit dans ce cas d'une constipation réactionnelle pouvant devenir éventuellement involontaire. Ceci s'explique non seulement par une certaine habitude mais également par des phénomènes de type inflammatoire qui finissent par aboutir à la création d'un obstacle à la défécation poussant l'enfant, qui a peur d'avoir mal, à ne pas aller à la selle.

Chez certains patients il faut penser à une maladie du Hirschsprung (rare) ou encore à l'hypothyroïdie (insuffisance de sécrétion d'hormones thyroïdiennes).

L'examen de l'enfant par le médecin ou le gastroentérologue (médecin spécialisé dans le tube digestif) ainsi que l'interrogatoire sur d'éventuels facteurs émotionnels et habitudes alimentaires, va permettre de mettre ou pas en évidence l'absence d'un fécalome (bouchon d'excrément durci) palpable qui nécessite bien entendu une évacuation. L'examen de l'abdomen de l'enfant est également important ainsi que celui de la région de l'anus à la recherche d'éventuelle inflammation locale voire d'une fissure anale.

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
09 juin 2010, 09:05
ARTHRITES INFESTUEUSES :

Des arthrites infectieuses sont le résultat d'une infection des articulations par plusieurs germes dont Staphylococcus aureus, Neisseria gonorrhée et d'autres bactéries. Les mycobactéries, les spirochètes, les champignons et les virus peuvent également concerner les articulations et entraîner une arthrite infectieuse.

Le cartilage de l'articulation est susceptible d'être détruit rapidement c'est la raison pour laquelle toutes les infections inflammatoires doivent dans un premier temps être évaluées sans attendre afin d'éliminer le processus non infectieux et utiliser un traitement pour lutter contre les microbes.

Le plus souvent une arthrite infectieuse est le résultat d'une infection par une bactérie qui concerne une seule articulation ou quelques articulations. Les monoarthrite c'est-à-dire quand une seule articulation est concernée ou les oligoarthrites subaiguës ou chroniques sont plutôt le résultat d'une affection par un champignon ou une mycobactéries.

Au cours de la syphilis, de la maladie de Lyme et des arthrites réactionnelles faisant suite à des affections du tube digestif et des urétrites à Chlamydia aboutissent à des inflammations épisodiques.

Les inflammations concernant plusieurs articulations et ceci de manière aiguë survienne généralement à la suite d'une réaction immunologique c'est-à-dire d'un dérèglement des défauts immunitaires du corps humain comme cela se voit au cours de l'endocardite, du rhumatisme articulaire aigu, des infections disséminées à gonocoque et au cours de l'hépatite B aiguë.

Les bactéries et virus peuvent également affecter un grand nombre d'articulations surtout les individus concernés par la polyarthrite rhumatoïde.

Grâce à l'aspiration du liquide synovial c'est-à-dire du liquide se trouvant à l'intérieur de l'articulation qu'il est possible de réaliser sans difficulté dans la majorité des cas en utilisant une aiguille d'un diamètre suffisant ou en utilisant l'échographie voir la radioscopie pour guider la ponction des épanchements difficiles, le diagnostic infectieux est orienté. Le liquide synovial en question, quand il est normal, contient moins de 180 cellules par microlitre. D'autre part il s'agit essentiellement de cellules mononucléées c'est-à-dire ne contenant qu'un seul noyau. En cas d'infections bactériennes ce chiffre est porté à 100 000 unités par microlitre allant de 25 000 à 250 000 unités par microlitre avec plus de 90 % de polynucléaires neutrophiles.

En cas d'arthrite microcristalline, d'arthrite rhumatoïde et d'autre arthrite inflammatoire non infectieuse le nombre de cellules est généralement plus bas, compris entre 30 000 et 50 000 cellules par microlitre

Le diagnostic d'arthrite infectieuse se fait grâce à l'identification du germe responsable après avoir effectué des frottis colorés du liquide synovial. Il est également possible de pratiquer des cultures du liquide synovial ou des hémocultures. Enfin la détection des acides nucléiques des microbes et des protéines en utilisant la réaction en chaîne de la polymérase c'est-à-dire la PCR ainsi que les techniques immunologiques sont également utilisées pour porter le diagnostique

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
12 juin 2010, 13:57
Vaincre les staphylocoques – sous- cutanées ?

Bactéries résistantes, les staphylocoques se trouvent dans notre organisme et dans notre environnement. La fois passée nous avons expliqué comment l’infection se déclenchait et nous nous sommes intéressés aux différents types de staphylococcies atteignant les couches superficielles de la peau et des muqueuses,

Cette semaine, nous examinerons les catégories de staphylococcies sous- cutanées, situées plus profondément sous la peau.

Apres avoir franchi les couches superficielles de la peau, le germe peut contaminer le tissu sous-cutané. En fonction de l’aspect évolutif et de la localisation de l’infection, un abcès pourra apparaître.

Ainsi, un simple panaris peut se compliquer par une diffusion de l’infection aux tendons qui assurent la mobilité des doigts. D’où le danger de laisser évoluer un panaris sans traitement.

La récidive des infections staphylococciques, appelee furonculose, pose elle aussi, un grand problème thérapeutique. Elle est souvent favorisée par :

- La transpiration et la macération,
- Le surmenage, un mauvais état de santé ou par
- Le diabète.

LES SEPTICEMIES A STAPHYLOCOQUES :

Les septicémies sont les formes les plus graves d’infection.
A partir du point d’entrée, qui n’est retrouvé que dans 2/3 des cas, le germe se dissémine dans l’organisme et peut toucher n’importe quel organe.
Au niveau des os, le staphylocoque est responsable d’ostéomyélites ou d’arthrites septiques, au niveau des reins, des pyélonéphrites ou des phlegmons péri-nephretiques, au niveau des poumons, des abcès ou de pneumonies.

Une septicémie se présente toujours dans un tableau clinique gravissime : Apres un début brutal, l’état général s’altère rapidement et sans une prise en charge médicalisée rapide et énergique, l’évolution peut etre foudroyante en 2 a 5 jours.

LES ENDOCARDITES INFECTUESES STAPHYLOCOCCIQUES :

Elles sont dues a une infection des valves cardiaques par des germes circulant dans le sang. L’endocardite aiguée se manifeste par un début brutal et une fièvre élevée.

Dans l’endocardite subaigüe, la fièvre est souvent inferieur a 39 degrés. Oscillante ou continue.

L’auscultation cardiaque souligne la presence d
Un souffle qui n’existait pas extérieurement.
Il existe d’autres signes cliniques plus ou moins graves qui permettent d’orienter le diagnostic, mais c’est l’échographie cardiaque et l’hémoculture qui le confirmeront définitivement.

L’endocardite survient chez les personnes de plus de 50 ans, et dans plus de la moitié des cas, en cas de pathologie valvulaire préexistante. Le germe responsable est le plus souvent ; Le staphylocoque doré
10 a 20% des endocardites surviennent chez des personnes qui ont été opérées du cœur avec mise en place d’une prothèse valvulaire.

Les endocardites sur prothèse peuvent apparaître rapidement (moins de 2 mois) apres l’intervention chirurgicale ou de façon retardée.

Lorsqu’elles surviennent rapidement, le germe en cause est multi-résistant aux antibiotiques.

A Suivre../..

MOLLY
L'AUTISME EN ISRAEL !
12 juin 2010, 12:48
L’AUTISME EN ISRAEL :

L’Autisme est une pathologie sévère dont l’une des principales caractéristiques repose sur l’incapacité de communiquer avec les autres. Il se manifeste par de grandes difficultés a : parler, a exprimer des gestes d’affection, a saisir les codes sociaux de l’entourage.

On parle ainsi de » cécité sociale », pour décrire la coupure du monde vécue par l’autiste. Les familles religieuses ne sont pas épargnées par ce phénomène.

Alors qu’il y a encore quelques années, les enfants autistes étaient envoyés en hôpital psychiatrique en Israël, ils sont aujourd’hui scolarisés dans des institutions spécialisées, qui dépendent du Ministre de l’Education.

- Quelles sont les dernières méthodes utilisées dans ces Etablissements ?

- Comment les parents arrivent-ils a relever le défi ?

Comment Autisme est-il abordé dans la perspective religieuse ?

Un Jour dans une Maternelle :

Une équipe de Hamodia s’est rendue dans une école religieuse, pres de Jérusalem, accueillant des enfants et des méthodes de communication a la pointe, développées par l’Equipe Pédagogique.

Situées dans la ville de Betar Illit dans la Région du Gouch Etzion, la crèche et la Section maternelle Ramat-David, en éducation spécialisée, accueillent les enfants souffrants de problèmes de développement.

Parmi les classes, plusieurs d’entre elles sont consacrées aux enfants atteints de TED – Troubles Envahissants du Développement- ou Autisme.


La porte de la Crèche s’ouvre sur des éclats de rire. Au centre de la salle, on distingue un bambin enveloppé d’un sac au tissu souple et satiné d’un rouge éclatant, des pieds a la tête. Par instant un visage poupon émerge avec un grand sourire, puis l’enfant replonge avec déclic dans sa cachette, sous l’étroite surveillance du personnel. On ne peut s’empêcher de questionner le personnel :
Il n’étouffe pas ?
Que fait-il ainsi ?
L’équipe sourit habituée aux remarques des néophytes :
Ce sac permet à l’enfant de trouver chaleur et sécurité
Et par son biais, il apprend a mieux communiquer avec son entourage.

La classe a d’ailleurs été nommée « classe de communication » (kitat tikchoret), renvoyant au cœur du problème dont souffrent les autistes.

L’autisme une catégorie unique pour une multitude de formes :

La sévérité et la forme des troubles neurologiques sont extrêmement variables d’un enfant a l’autre, ils sont parfois associés a d’autres handicaps tels une déficience intellectuelle, des troubles sensoriels ou moteurs, une maladie génétique, on parle pour cette raison de spectre autistique. Le terme prend tout son sens lorsqu’on observe sur place les petits élèves de cette maternelle :

- Michael, trois ans, s’approche du groupe timidement. Impossible de discerner chez lui des signes d’autisme, jusqu’au moment ou l’on tente de lui parler, le petit garçon se recroquevillé dans un coin de la salle et commence a se balancer.

Au centre, une jardinière d’enfant berce Gad, trois ans, qui semble réagir comme un bébé de deux mois.

Nir s’avance lui, avec assurance, heureux semble-t-il de recevoir de la visite. Il est connu semble-t-il pour etre un enfant particulièrement intelligent. Rien d’anormal n’a première vue, sauf qu’il ne peut articuler de sons distincts.

Ici, trois adultes sont chargés d’un groupe de cinq enfants.

Expérience, patience, force physique, générosité … autant de qualités nécessaires a l’équipe pour s’occuper de ces enfants pas comme les autres

Ici, le personnel donne « sa nechama », nous répond-on !.

A Suivre../..

MOLLY
Re: RUBRIQUE - SANTE -
02 juillet 2010, 06:23
Bonjour a toua
je voudrai par votre intermediaire souhaiter un prompt retablissement a notre ami Raphy Ruimy
hospitalise depuis une dizaine de jours en service cardiologie.

Tous t aimons tous et te souhaitons une bonne sante
shabbat shalom
Marie Dahah
Re: RUBRIQUE - SANTE -
07 juillet 2010, 00:54
HEMORRAGIE CEREBRALE!

Une seringue, une aiguille à coudre, ou une épingle a nourrice, peuvent sauver la vie de quelqu’un qui subitement vient d’avoir une hémorragie cérébrale !

CECI VAUT LA PEINE D’ETRE LU !:

Ainsi, « une aiguille peut sauver la vie d’un individu avec un début d’hémorragie cérébrale, » cette phrase a été prononcée par un professeur chinois. A cet effet, il est recommandé de réserver une seringue ou une aiguille. C’est une méthode pas conventionnelle pour récupérer quelqu’un d’une hémorragie cérébrale. Mais qui peut lui sauver la vie !

Lorsque vous voyez une victime d’une hémorragie cérébrale, la première des choses qu’il est conseillé de faire est de :
- Garder son sang froid et son calme, ensuite d’agir.
- Ne pas bouger ni déplacer la victime.

Conséquence : Lorsqu’une hémorragie cérébrale se produit, les veines capillaires dans le cerveau vont graduellement se romprent, si l’on bouge la victime, alors les veines capillaires vont se romprent carrément. Et causer des dégâts irréversibles !

Si vous possédez une seringue alors, ça sera le mieux, autrement vous pouvez utiliser une aiguille a coudre ou une épingle a nourrice, préalablement stérilisée (faire bruler la pointe dans une flamme)., ensuite piquez un a un tous les doigts de la main droite, ensuite ceux de la mains gauche, a un centimètre de l’ongle, piquez afin qu’il en sorte une goute de sang de chaque doigt. Si le sang se sort pas de suite, alors pressez sur les doigts un a un et recommencez l’opération

Attendez quelques minutes, puis passez à la deuxième phase,
Frictionnez énergiquement, en douceur les lobe des oreilles, d’abord celle de droite, ensuite celle de gauche, afin que la couleur reprenne normalement rose /rouge. Puis piquez chaque lobe avec l’aiguille, ou la seringue ou l’épingle a nourrice.

Apres quelques minutes, le patient reprendra connaissance, et c’est seulement à ce moment là, que la victime sera transportée à l’hôpital en ambulance. Il est recommandé de faire tres attention au transport de la victime, afin de ne pas permettre aux veines capillaires de se romprent (un voyage turbulent pourrait etre néfaste !).

Melle LIU, raconte :

J’ai appris à sortir des gouttes de sang afin, de sauver des vies, au contact d’un Docteur en médecine traditionnelle en Chine. Il s’appelle Ho.Bu.Ting, qui possédait une tres grande expérience dans ce domaine, ainsi j’ai pu vérifier que cette méthode est 100% efficace !

En 1979 alors, Professeur de l’Université de fung Gaap a Tai-Chungkin en Chine.

Un après-midi, un professeur d’une autre aire de l’Université ou j’exerçais, est venu en courant me trouver dans ma classe, et me priât de venir avec lui, que le Superviseur était en train de faire une hémorragie cérébrale, j’accouru de suite a l’endroit ou se trouvait Mr. Chen FU, qui était tres pale, il n’arrivait pas a parler et sa bouche s’était tordue.(symptômes d’une hémorragie cerebrale).

De suite, j’ai demandais a un des étudiants, de m’apporter une seringue, et j’ai de suite commencé à lui piquer les doigts un a un d’abord la main droite jusqu'à que le sang jaillisse, chaque goutte devait etre de la grandeur d’un petit pois.

De suite, Mr Chen, commençait a récupérer la couleur de sa peau, mais sa bouche restait toujours tordue. Alors, j’ai commençais a frictionner les lobes de oreilles, apres quelques minutes, que je piqué avec la pointe de l’aiguille, de suite nous constatâmes que sa bouche reprit sa place normale, et il a pu articuler des mots.

Il se reposa un peu, et des que l’ambulance arrivât, avec beaucoup de précautions, il fut transporté a l’hôpital, ou il fut en repos toute la nuit, le lendemain il fut libéré.

Tout a fonctionné normalement, et mes premiers soins ne lui apportèrent aucun préjudice, au contraire !

Sachez que les Victimes d’hémorragies cérébrales, au moment des transports à l’hôpital, souffrent des dégâts irréversibles, que parfois, ils ne récupèrent pas complètement !

Sachez aussi :

L’hémorragie cérébrale est la deuxième cause de mortalité dans le monde !

Envoyez cet Email, apres l’avoir lu !

Vous pouvez sauver la vie de quelqu’un qui pourrait avoir une hémorragie cérébrale !


Traduit de l’espagnol. (source –email de Alberto Korkin) - Juillet 2010 -
Molly
Re: RUBRIQUE - SANTE -
07 octobre 2010, 04:44
mais qui et tu ? pour connaitre autant de choses sur tout les sujets que j admire tu sais tout je t admire tu est forte bravo je cherche que tes sujets qque tu ecrits sur ce cite merci jacky
Re: RUBRIQUE - SANTE -
07 octobre 2010, 10:17
Mystère et boule de gomme.

cf chapitre AUTISME
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