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JCall

Envoyé par Wolf 
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 mai 2010, 09:05
ISRAEL est capable du meilleur , comme du pire , et ce pire est illustré par

certaines "elites" irresponsables . les journalistes du quotidien haaretz en sont

un parfait exemple .

Les "petits soldats" de l'extrême gauche du journal haaretz, sont des activistes

qui propagent des actions hostiles à leur propre pays . Cela porte un nom ,

ce sont des traîtres . (on a constaté leur rôle joué dans l'affaire de la traîtresse soldate).

Ils ont perdu la raison ainsi que les signataires de ce calamiteux

"appel" .

Cet "appel" méconnaît les véritables instigateurs de la haine , il omet de

rappeler qui sont les agresseurs et exigent qu'ISRAEL, l'agressé, paie

pour la PRETENDUE HUMILIATION DES ARABES !!

Les racines de ce conflit plongent dans le refus de toute cette clique de

reconnaître à ISRAEL SON DROIT à L'EXISTENCE .

Et toutes ces pantalonnades de la gauche auront le même sort que les

"accords d'oslo , les accords de geneve etc.. , elles iront droit aux

"magasin des accessoires".
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 mai 2010, 09:16
Ca c'est ce que les petits faschos appellent de leurs voeux les plus fous !! Mais il n'en sera rien !! smiling smiley
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 mai 2010, 09:26
les islamistes de service sont de sortie !

que tous les égarés sachent

QU'ISRAEL A TOUJOURS SURVECU AUX EMPIRES QUI

SE SONT CONFRONTES à ELLE , ainsi que tous les imbéciles

qui se succèdent .

c'est à méditer !
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 mai 2010, 09:37
wolfy,

what is in all this for you anyway ??? tu veux la paix avec nous ? on n'est pas en guerre avec toi que je sache, ni avec les marocains?


cet appel à la raison, c'est l'affaire d'Israel, pas des juifs nantis d'Europe. et toi dans cette affaire, ne t'amuses pas à nous provoquer comme ça.

j'étais à Montpellier quand Ehoud Barak a été elu, - rien ne s'est passé - les socialistes étaient contents, et Arafat avait encore loupé toutes les oportunités pour un état palestinien; qu'est ce que tu crois qui va changer? rien du tout.

tu oublies qu'Israel est un pays souverain ? put it in your head !!!
Lison




.
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 mai 2010, 09:48
Lison ,

On aimerait que leur "sens critique" s'exerce sur leurs pays d'origines

qui sont atteints de tous les maux dont ils affublent ISRAEL LA GRANDE

DEMOCRATIE qui servirait de modèle à beaucoup de pays .

Ce qu'ils ne comprennent pas , c'est que notre peuple a la culture

de la liberté de parole , des échanges même houleux , et c'est cela

qui fait notre richesse , et qui nous fait avancer .

Pour moins que ça , on les enverrait croupir dans des geôles , alors ils

viennent "s'époumonner" sur ce site qui leur sert d'exutoire.
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 mai 2010, 09:48
Lison,

Personne n'a jamais remis en question la souveraineté de l'État d'Israël ici, je ne vois donc pas de quoi tu parles !!

Sinon, moi dans tout ça, je soutiens les bonnes volontés, celles qui œuvrent pour la paix, j'ai le droit, non ?
Tu as tout autant le droit de soutenir les extrémistes qui prolifèrent de plus en plus ici, on ne te blâmera pas pour ça !
Mais que Dafina devienne leur tribune exclusive où ils viennent distiller leur poison et leurs idéologies supra-racistes : NO WAY !!
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 mai 2010, 10:01
Citation
Wolf
Lison,

Personne n'a jamais remis en question la souveraineté de l'État d'Israël ici, je ne vois donc pas de quoi tu parles !!

A condition que cet Etat se situe sur une autre planète,c'est ce que souhaitent les musulmans,qui ne supportent même pas de prononcer le nom de «l'Entité sioniste »
Re: INFOS D'ISRAEL 6
02 mai 2010, 10:09
Il faut pas prendre ses fantasmes pour des réalités. Quand bien même ceux-ci vous aideraient à vous complaire dans votre bêtise sans fond !
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
04 mai 2010, 07:48
[INTERVIEW] Leïla Shahid : "A travers JCall il y a un interlocuteur pour les Palestiniens"


La déléguée de la Palestine auprès de l'Union européenne se félicite de l'initiative de juifs de la diaspora européenne de remettre sur le devant de la scène le nécessaire règlement du conflit israélo-palestinien sur la base de deux Etats pour deux peuples.

Vous étiez présente lundi soir au Parlement européen pour le lancement de JCall. Qu'en avez-vous pensé?
- Cette initiative qui a commencé par la publication de l'appel à la raison, est une initiative importante car, depuis 2001, depuis l'échec de Camp David, Ehoud Barack avait en quelque sorte assassiné le camp de la paix israélien en déclarant qu'il n'y avait pas de volonté de faire la paix du côté palestinien, ce qui était une contre-vérité totale. Malheureusement, cette attitude du Premier ministre israélien a entraîné la disparition du camp de la paix israélien. Et cette nouvelle prise de position reflète un changement très profond de position dans la société israélienne ou en tout cas dans la diaspora qui vit, quand même, au rythme de la société israélienne. Pour la patrie palestinienne que je représente, il est essentiel d'avoir dans la diaspora juive des interlocuteurs avec lesquels nous partageons la vision d'une solution car nous voulons vraiment avancer.

La solution au conflit doit être évidemment négociée au plan officiel par les représentants israéliens, palestiniens, arabes, européens, américains, mais elle doit se faire aussi sur le plan non officiel dans les courants de pensée israéliens, palestiniens, arabes, européens, américains et dans la diaspora juive. Il est important d'avoir une diversité d'opinion qui reflète les réalités. Et la réalité reflétée par JCall est restée inaudible durant au moins les sept dernières années. Or c'était un grand manque pour les Palestiniens. Cette position est différente des autres voix de la diaspora qui ont décidé d'adhérer sans sens critique au gouvernement de Benjamin Netanyahou, comme le CRIF en France.

C'est très important que des acteurs communautaires comme La Paix Maintenant ou le CCLJ en Belgique puissent reprendre leur fonction de structure favorisant la reconnaissance mutuelle. A travers JCall il y a un interlocuteur pour les Palestiniens.



Cet accord peut selon vous être entendu par les Israéliens?

- Dans la gauche israélienne, des voix s'expriment depuis longtemps et notamment dans l'extrême gauche qui milite tous les jours sur le terrain, avec les Palestiniens, contre les occupations.

Je crois que cet appel doit plutôt être entendu par la majorité silencieuse qui a été déboussolée après 2001, très influencée par la déclaration d'Ehoud Barack qui est pour moi le premier à avoir délégitimé le camp de la paix en Israël. Je pense qu'il a été responsable de la régression du camp de la paix qui est aujourd'hui réduit à peau de chagrin.

On est passé d'une majorité qui appartenait au camp de la paix à une majorité, pas à droite, mais silencieuse, dans une profonde détresse et qui joue à la politique de l'autruche.

Avec ce courant qui a commencé aux Etats-Unis avec JStreet et se poursuit maintenant en Europe avec JCall, on a une manifestation que la société israélienne est encore en bonne santé!

Pour moi, Palestinienne, on ne peut construire la paix qu'à deux, on ne peut pas construire la paix contre Israël. Mais aujourd'hui nous n'avons pas de partenaires avec le gouvernement israélien actuel, même s'il est évident qu'on va essayer avec la communauté internationale à en trouver un. Et parce qu'il est difficile de trouver un partenaire dans le gouvernement israélien, JCall nous apparaît d'autant plus comme une manifestation d'un renouveau des partenaires.



L'historien Zeev Sternhell affirmait lundi soir au Parlement européen que les Israéliens doivent renoncer aux territoires d'après 1967 tandis que les Palestiniens doivent renoncer au droit au retour. Qu'en pensez-vous?

- C'est là où nous divergeons. Ce n'est pas surprenant. Nous n'avons pas la même position sur cette question du droit au retour mais diverger sur ce point ce n'est pas ne pas se parler. Sur la majorité des points nous pouvons nous retrouver et en particulier sur la solution de deux Etats. Mais je ne partage pas la position de Zeev Sternhell sur la question du droit de retour parce qu'elle est fondatrice de la question palestinienne. Nous pouvons négocier sur l'application du droit au retour mais nous ne pouvons pas renoncer au droit au retour car il fait partie des droits inaliénables.

Il y a des solutions pragmatiques auxquelles nous étions parvenus à Taba sur cette question du droit au retour qui a été instrumentalisée par la droite et l'extrême-droite israélienne pour délégitimer les négociations d'Oslo.



Vous parlez librement de toutes ces questions, les membres de JCall aussi. Cela signifie-t-il que le vent tourne, que des négociations officielles vont pouvoir réellement s'ouvrir?

- Il y a parler au niveau officiel et parler au niveau non officiel. Nous nous pouvons parler sur les deux niveaux. Mais il existe aujourd'hui un gouvernement Netanyahou dont nous sommes tributaires. Il a démontré par la politique qu'il mène qu'il n'est pas intéressé par discuter avec nous. Mais nous avons une nouvelle donne internationale. Il y a un président aux Etats-Unis qui est bien plus intéressé par faire avancer la paix dans le monde, et en particulier au Proche-Orient, que ne l'a été son prédécesseur Georges W. Bush. Ce n'est plus sur le plan bilatéral entre Israéliens et Palestiniens que se passent les négociations, il y a une troisième partie avec le Quartet dirigé par les Américains et il faut voir s'il y a assez de motivation sur le plan international pour faire avancer des pourparlers. Ce qui donne encore plus d'importance à l'initiative de JCall.

Interview de Leila Shahid, déléguée générale de l'Autorité palestinienne auprès de l'Union européenne, par Céline Lussato

(mardi 4 mai 2010)
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
04 mai 2010, 12:15
Si JCall plaît à Leila Shahid, cela ne peut pas plaire aux sionnistes et aux lucides qui soutiennent Israël.
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
04 mai 2010, 13:12
Leila shaid pretend que "Pour la patrie palestinienne que je représente, il est essentiel d'avoir dans la diaspora juive des interlocuteurs avec lesquels nous partageons la vision d'une solution car nous voulons vraiment avancer."

Elle represente parfaitement l'idee que les arabes se font de la démocratie.Le gouvernement élu par la majorité des Israeliens,dont 20% d'arabes,n'est pas à son avis légitimement mandaté pour decider du sort de leur pays.Elle choisit les partenaires qui n'ont de la situation qu'une vague idée,celle qu'ils batissent dans les diners et les colloques d'ahuris
professionnels.Ceux que les médias corrompent intellectuellement par l'audience qu'ils leur accorde.

Je suggère à Madame la déléguée,-de quels Palestiniens ? Hamas,Fatah,lanceurs de Kassams- de consulter la diaspora d'un million de juifs Danites ivoiriens sur le sort qu'elle envisage sur Jerusalem en particulier.Elle serait moins arrogante et sure d'elle même !!!

Rivou,si ces idiots -retribués par Obama et les laquais juifs de son administration-, savaient l'importance que les Israeliens et même les Palestiniens accordent à leurs conciliabules ,ils seraient bien surpris !!!!
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
04 mai 2010, 20:34
Le commentaire d'une dame à la pétition de JCall :

Oui, j’ai besoin de faire entendre une autre expression de ma judeité que celle qui passe par un soutien inconditionnel à une politique que je ne pourrais accepter d’aucun pays

Chapeau bas, Madame thumbs up
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
04 mai 2010, 23:18
Personne et surtout pas les Israeliens n'a demandé à cette illuminée de confondre sa judeité -laquelle ? celle qui se manifeste en cachette une fois par an à Kippour ? celle invoquée par les chrétiens et les musulmans pour humilier,persécuter,voler,assassiner,discriminer les générations exilées ?- avec le sionisme qui l'a libérée .

Si elle vit en Israel,elle a le droit de voter contre les gouvernants présents aux prochaines élections.Sinon ,comme a dit un
ancien intervenant qu'elle ferme sa gueule en tant que Juive et qu'elle s'inscrive au parti de Dieudonné pour manifester.Dans les rues accueillantes de l'occident islamisé.Loin de Tsahal !!!

Et si sa judeité est encore bafouée,la fatiha murmurée une seule fois et vite fait bien fait elle n'en porte plus le fardeau.En lui rappelant que les convertis du siècle dernier n'ont pas sauvé leur peau .
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
04 mai 2010, 23:32
Ces "juifs" honteux qui servent de "garants " à tous les antisémites et qui "réjouissent"

les PLUMITIFS haineux islamistes qui sévissent sur ce site , ne représentent qu'eux-mêmes,

Ce sont les aléas d"une grande DEMOCRATIE et nous l'acceptons .... aussi ,

Nous voudrions des exemples similaires dans les pays islamistes totalitaires !!!!!
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
05 mai 2010, 00:50
"Si les décisions internationales n’ont pas force de loi, alors le Pakistan doit retourner au sein de l’Inde:
il a été créé la même année qu’Israël, sur le seul critère de la religion musulmane.
Et puis la Russie doit rendre l’enclave de Kaliningrad aux Allemands.
Les USA doivent rendre le Texas au Mexique.
La Bessarabie est roumaine, le Banat est hongrois.
La France doit rendre la Savoie, le comté de Nice, la Corse.
Plus loin encore dans l'Histoire, le Maghreb pourrait être rendu aux Berbères et aux Kabyles
."



Modifié 2 fois. Dernière modification le 05/05/2010 07:35 par jero.
Re: Point de vue, humeur, debat, articles.....
05 mai 2010, 01:44
Arrêtez de galvauder la notion de "juif honteux".

Toujours est il que ce mouvement est le seul qui soit utile à long terme et commence le travail nécessaire d'installer une culture de paix.

Vous, c'est un Israël belliciste qui vous plait. Un Israël arrogant qui oublierait ses valeurs morales, l'idéal sioniste et un idéal d'égalité et de liberté.

Ce mouvement donne une claque à tous ces mouvements qui soutiennent inconditionnellement l'extrême droite israélienne.
JCall
03 mai 2010, 03:03
Une réponse claire et qui remet les pendules à l'heure

pour tous ces CONCERTS DE ROQUETS .

HONTE SUR EUX !

Pour moi , ils sont une "PARENTHESE " , nous connaissions

certains qui , par le passé se sont illustrés par leur manque

de DISCERNEMENT , MAIS DOMMAGE POUR CEUX QUI

SE SONT FAIT PIEGER .





JCall : à boire et à manger (info # 010305/10) [Analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



L’initiative intitulée JCall, qui sera lancée ce soir à partir du parlement européen à Bruxelles, appelle un commentaire circonstancié de notre part, car elle est significative.

Elle l’est par la qualité de ses signataires, le contenu de son manifeste et le moment et les circonstances qui président à son lancement.

Dans ces conditions, notre choix s’est focalisé sur ce que disent les pétitionnaires et non sur les procès d’intention à leur encontre, qui font déjà florès sur les pages de leurs détracteurs. A cette fin, j’invite les lectrices et les lecteurs à imprimer le texte officiel de leur initiative et à l’avoir à portée de main en lisant cet article.

Je tiens à préciser, avant de me lancer dans mon commentaire, que les instigateurs de cette démarche ne sont en aucune manière nos ennemis, et que seule une minorité d’entre eux constituent des adversaires politiques extrémistes.

Des personnalités – parmi lesquelles des amis proches et de longue date – tels Bernard Henri Lévy, Vincent Peillon, Alain Finkielkraut, ont pris suffisamment de risques personnels, ont suffisamment servi de cibles aux anti-israéliens de tous poils, pour que l’on prenne le temps d’étudier leur "appel à la raison" avec une humeur égale.

Des Israéliens, comme Elie Barnavi et Avi Primor, qui ont servi leur pays sans faux cols, méritent indéniablement toute notre attention.

En milieu démocratique, chacun est libre d’exprimer publiquement ses sentiments. Plus encore : c’est en prenant le risque individuel de se mêler des débats publics que l’ont fait évoluer les choses. C’est en intervenant dans la discussion que l’on donne un sens à l’échange démocratique et intellectuel.

Entrons maintenant dans le vif du sujet :

" (...) le lien à l’État d’Israël fait partie de notre identité. L’avenir et la sécurité de cet État auquel nous sommes indéfectiblement attachés nous préoccupent".

Voilà qui constitue une excellente entrée en matière. "L’État d’Israël fait partie de notre identité", de même que le caractère "indéfectible" de leur "attachement", présentent un postulat très fort face aux trop nombreux antagonistes qui s’époumonent à écarter les Juifs d’Israël.

Un postulat qui dépasse le simple "intérêt", pour la première fois dans le cas de beaucoup des signataires, pour exprimer l’appartenance (identité) et son état de permanence, quels que soient les événements qui surviennent (indéfectible).

On remarque un bémol ennuyeux, toutefois ; il est d’ordre philologique : si les pétitionnaires déclarent leur lien "identitaire" à l’Etat hébreu, il on a nécessairement affaire à un lien à caractère national, non religieux.

Ce qui nous ramène à l’introduction de l’appel :

Notre objectif est de rendre publiques les positions de juifs européens (...)

Le substantif "juifs", avec une minuscule, définit les adeptes d’une religion, comme "chrétiens" ou "musulmans". Par définition, cependant, un lien à un Etat ne peut concerner qu’une nation ou un peuple, comme pour "Français", "Allemands", "Druzes", Kurdes", "Arméniens", "Juifs", etc.

Venant d’individus baignant dans la langue française et sa sémiologie, on ne peut que s’étonner de cette contradiction, qui jette un premier froid dans leur déclaratif.

Et puis, toujours à propos de l’introduction, dans laquelle ils affirment être demeurés "trop longtemps silencieux", on ne peut que relever que personne ne les empêchait de s’exprimer plus tôt, hormis eux-mêmes.


BHL, aux premières loges de JCall

Et d’ajouter que les plus célèbres d’entre les pétitionnaires disposent d’un accès très large aux media main stream, qui leur permettait d’énoncer ces vérités dès qu’il leur parut urgent qu’elles fussent partagées.

Cette précision – de trop – de leur part fait planer un doute légitime sur le choix du moment politique, où ils ont tous et simultanément, après s’être tus, presque tous, et simultanément, durant des décennies, ressenti le besoin irrésistible de dire la même chose. Hum...

" Loin de sous-estimer la menace de ses ennemis extérieurs (...)"

Si, pourtant ! Ne pas expliciter ces menaces dans leur manifeste coïncide objectivement à les sous-estimer. Clair qu’il faut absolument solutionner – et sans temps morts - notre problème avec les Palestiniens ; mais dans l’ordre des priorités existentielles - l’ordre des dangers pesant sur la pérennité des habitants de l’Etat hébreu -, en termes stratégiques, cette question n’apparaît qu’en quatrième position.

Les signataires de JCall auraient été mieux inspirés s’ils avaient commencé par se mobiliser pour enrayer la menace insupportable pesant sur l’avenir des Israéliens, et qui n’a strictement rien à voir avec la création de l’Etat de Palestine.

Les pétitionnaires auraient fait taire tous les doutes quant à leur synchronisme avec la réalité que nous vivons hic et nunc, s’ils avaient commencé par partager publiquement notre inquiétude relative à l’arme suprême que nous destine la République Islamique d’Iran, et à laquelle ses ingénieurs mettent la dernière main, protégés derrière des tonnes de béton.

Ils auraient témoigné de leur "identité" crédible avec nos préoccupations, s’ils avaient fait l’effort de se mettre un instant dans la peau d’un habitant de Métoula ou d’ailleurs en Galilée, lorsqu’il sait que 40 000 projectiles du Hezbollah sont pointés en permanence sur sa maison et sa famille, dans l’indifférence générale de la communauté des nations. Et de beaucoup de cousins juifs de l’exil.

Le troisième danger, par ordre de proéminence, qu’Israël doit aujourd’hui gérer est l’hostilité affichée à son égard de l’actuel président des Etats-Unis d’Amérique. Car c’est la disposition de Barack Obama à l’égard du régime en place à Téhéran qui déterminera s’il pourra ou non se doter de la Bombe qu’il prépare.

Or c’est Obama qui a décidé de faire un parallèle intégralement artificiel entre le projet militaire des ayatollahs et la question palestinienne. C’est lui qui, au moment où l’existence d’Israël est objectivement en danger, s’emploie activement à nous priver du droit de nous défendre.

C’est Obama, enfin, qui a suscité la création et le financement de J Street, le modèle américain de JCall, afin de mettre en exergue l’urgence de la résolution du problème palestinien et de diluer l’archi-urgence objective qu’il y a à mettre un terme à l’aventure du nucléaire militaire perse.

Si Barack Obama avait bien traité le président de l’Etat d’Israël, M. Shimon Pérès, et fait montre de son impatience à l’encontre de Binyamin Netanyahu uniquement, le doute quant à ses orientations profondes serait encore d’actualité.

Mais faire entrer le Président Pérès, Prix Nobel de la Paix, par la porte cochère de la Maison Blanche, le soustrayant lui aussi aux photographes, n’est ni un acte amical, ni un signe encourageant.

Quant à sa dernière proposition, consistant à déclarer publiquement que si les négociations en cours entre Israéliens et Palestiniens n’aboutissaient pas, Obama convoquerait, à l’automne, une conférence internationale qui établirait, à notre place, un traité de paix entre les deux peuples, on est en présence d’une initiative qui a torpillé lesdites négociations avant même qu’elles ne reprennent.

M. Mahmoud Abbas, en effet, n’a aucune raison de faire des concessions face aux concessions israéliennes, sachant que la communauté internationale le gratifiera sans effort de tout ce qu’il désire, à un taux bien moins élevé que celui – naturellement – que les Hébreux sont prêts à lui concéder.

Dans ces conditions, il est parfaitement légitime de se demander si la création, maintenant, de JCall n’aurait pas pour objectif de doter Barack Obama d’un moyen supplémentaire de sa politique, dangereuse pour la sécurité d’Israël, quoique puissent en dire les signataires de la pétition.

"(...) nous savons que ce danger se trouve aussi dans l’occupation et la poursuite ininterrompue des implantations en Cisjordanie et dans les quartiers arabes de Jérusalem Est, qui sont une erreur politique et une faute morale. Et qui alimentent, en outre, un processus de délégitimation inacceptable d’Israël en tant qu’État.".

Nous – qui croyons comme l’Eglise, qu’au Moyen-Orient, les simples d’esprit arrivent les premiers au paradis, et que ne sommes pas pressés – refusons d’oublier (pour faire "branchés" ?) que le processus de "délégitimation inacceptable d’Israël en tant qu’État" avait commencé bien avant 1967, tandis que la Cisjordanie, Gaza, tout Jérusalem-est (c’étaient les Arabes qui s’étaient, en 48, emparés par les armes du quartier juif de la vieille ville de Jérusalem et qui l’occupaient) n’étaient pas sous contrôle israélien.

Jusqu’en juin 1967, l’esplanade du Temple de Salomon, l’endroit le plus cher aux Juifs du monde entier, était un urinoir public. Il faut avoir ces faits à l’esprit et relativiser le concept d’occupation, si l’on entend réellement "se placer au-dessus des clivages partisans".

" L’avenir d’Israël passe nécessairement par l’établissement d’une paix avec le peuple palestinien selon le principe « deux Peuples, deux États ». Nous le savons tous (...)".

Oui ! Nous le savons tous. Mais nombre de néo-existentialistes français et de pro-palestiniens musulmans ne veulent pas en entendre parler.

"(...) il y a urgence "

Une urgence relative : mieux vaut un Etat palestinien bien pensé, bien préparé, inoffensif, viable, dans deux ans, que tout le contraire dans six mois.

Je suis choqué, quant à moi, de voir que dans cet appel à la raison, les instigateurs font totalement l’impasse sur la négociation, qui avait duré deux ans pleins, entre Jérusalem et Ramallah, à l’époque du gouvernement Olmert, et qui était à deux doigts d’aboutir selon les deux parties engagées dans les discussions intensives.

L’unique appel à la raison qui sonnât juste à mon oreille consistât à faire pression sur Israël et l’Autorité Palestinienne afin qu’elles reprennent sans tarder les pourparlers d’il y a un an et demi, là où ils s’étaient interrompus.

Sans immiscions des Américains ni – horreur ! – des Européens, exactement comme ce fut le cas à l’époque.

Il n’existe aucune raison de recommencer ab initio le processus de paix, façon Pénélope, dès qu’un nouveau 1er ministre est élu en Israël ou qu’un nouveau président fait son entrée à Washington.

De toute façon, quels que soient les pinaillages des uns et des autres, et le plus ou moins d’intérêt qu’ils ont à faire parler d’eux, le processus qui mènera finalement à la paix est celui qui était en cours entre Tzipi Livni, Salam Fayyad et leurs délégations respectives. Parce qu’il n’y a pas trente-six chemins qui mènent à la paix, ni trente-six façons de résoudre les différends archi-connus, formant le cœur de la discorde.

Que les gens de JCall aient ignoré ce processus, lui préférant des principes qui n’engagent qu’eux, des y a qu’à et des autoroutes de négociations à construire, démontre pour le moins une connaissance limitée et égocentrique du dossier.

Faire avancer la paix, c’est s’efforcer de comprendre sa dynamique. La faire trébucher, c’est s’escrimer à ce que les protagonistes fassent attention à vous.

"Bientôt Israël sera confronté à une alternative désastreuse : soit devenir un État où les Juifs seraient minoritaires dans leur propre pays ; soit mettre en place un régime qui déshonorerait Israël et le transformerait en une arène de guerre civile".

C’est populiste, aboyeur et faux : cela fait 43 ans qu’Israël contrôle la Rive Occidentale et Gaza ; quel est donc ce déclencheur mystérieux qui fera que "bientôt", il faudrait choisir entre l’annexion ou l’indépendance palestinienne ?

Pourquoi JCall parle-t-il d’annexion et de déshonneur éventuel, alors qu’un projet de loi dans ce sens ne recueillerait pas vingt pourcent des suffrages à la Knesset ? Qu’est-ce qui se cache derrière cette menace de hâbleurs ? A qui est-elle adressée ? A qui faut-il faire peur, en brossant l’effrayant tableau d’une guerre civile qui n’a strictement aucun risque d’éclater ? Effectivement, des voltiges de ce genre recèlent de relents qui excitent l’inquiétude, non l’empathie des gens sérieux.

"Il importe donc que l’Union Européenne, comme les États-Unis, fasse pression sur les deux parties et les aide à parvenir à un règlement raisonnable et rapide du conflit israélo-palestinien".

J’espère qu’il ne s’agit pas de paraphrase pour parler d’un règlement imposé, comme en devise ouvertement Elie Barnavi avec qui veut bien l’entendre. Toute tentative d’imposer un règlement tournerait à une authentique catastrophe.

"L’Europe, par son histoire, a des responsabilités dans cette région du monde."

Qu’Allah, dans son infinie miséricorde, nous préserve des Européens ! L’Union Européenne, en général, la France, en particulier, ont failli à tous leurs engagements dans la région : la résolution 1701, qui a accru la capacité de nuisance du Hezbollah, placé la région en état de pré-guerre permanent, et scellé la pierre tombale du Liban multiconfessionnel et démocratique ; et l’engagement public de l’Europe de faire cesser la contrebande d’armes entre l’Egypte et Gaza, en échange de l’arrêt de Plomb Fondu et de la préservation de la tête du Hamas.

Depuis cet engagement, les galeries de contrebande à Rafah se comptent en milliers. L’Europe est une grande impotente arrogante, qui n’a fait qu’aggraver les tensions et favoriser les extrémistes dans la région. C’est cela sa tradition récente.

"Si la décision ultime appartient au peuple souverain d’Israël, la solidarité des Juifs de la Diaspora leur impose d’œuvrer pour que cette décision soit la bonne".

Merci. Il est vrai que c’est nous qui sommes menacés par la bombe iranienne, les Scud, les Katiouchas, etc. Vrai que c’est nous qui nous battons durant les guerres, pendant que nos cousins se dorent sur la Côte d’Azur en pensant à nous. Vrai que c’est nous qui avons reconstruit nos maisons après qu’elles furent touchées par les roquettes du Hezbollah. Nous qui fûmes séparés de nos enfants durant la dernière guerre du Liban et qui risquons de l’être encore. Vrai que c’est nous qui sommes appelés, jusqu’à quarante-cinq jours par an, à la réserve militaire (en temps de paix). Vrai, enfin, que c’est nous qui payons plus de cinquante pourcent de nos revenus à l’impôt, en écoutant patiemment les conseils de nos cousins, tout cela pour qu’ils puissent continuer à sentir "qu’Israël fait partie de leur identité".

Il me semble que le fardeau entre cousins est "bien réparti"... Ils nous laissent au moins la "décision ultime" de choisir notre avenir et c’est aimable de leur part.

Pour ce qui est d’œuvrer sur nous afin que nous prenions "la bonne décision", non seulement la formule me paraît un tantinet prétentieuse, mais je crois aussi qu’il n’existe pas, en politique, de bonne et de mauvaise décision. Il en existe seulement qui sont, à un moment donné, meilleures que d’autres.

Il me semble également que les électeurs israéliens ont "déjà" pris la bonne décision, en votant massivement pour les partis centristes. Qu’y pouvons-nous, si la volonté que nous avons exprimée a échappé à nos décideurs ?

Qu’y pouvons-nous s’ils ont construit des coalitions qui vont à l’encontre de la volonté de soixante-dix pourcent des citoyens de ce pays. Ca n’est pas le gouvernement que nous voulions, mais il est légitime, en cela qu’il respecte la constitution non écrite d’Israël.

Ceux qui s’imaginent que les Israéliens prennent du plaisir à être dirigés par des Libermann, des militants des implantations et par des religieux non sionistes, qui construisent des écoles religieuses sur nos deniers et soustraient leurs enfants au service militaire obligatoire sont au mieux des grands naïfs.

Toujours est-il que le respect de la démocratie implique que l’on observe ses règles, mêmes lorsqu’elles bafouent la volonté exprimée du peuple, même si elles débouchent sur des alliances qui nous révulsent parfois. Ceux qui sont incapables de se plier à ces règles ne sont pas des démocrates.

"L’alignement systématique sur la politique du gouvernement israélien est dangereux car il va à l’encontre des intérêts véritables de l’État d’Israël".

Personne, à ma connaissance, que ce soit en Israël ou en diaspora, ne s’est jamais "systématiquement" (c’est le mot-clé de cette phrase) aligné sur la politique du gouvernement israélien.

De là à entrer dans une attitude de rejet "systématique" des décisions d’un gouvernement légitime, le risque est tout aussi grand, au regard de notre situation stratégique, et c’est un risque que je déconseille de prendre.

De plus, s’il est évident, pour la plupart des Israéliens, que la perpétuation de leur existence libre et indépendante dans cette partie du monde passe par un accord avec les Palestiniens, il n’appartient certainement pas aux Juifs par intermittence (lorsqu’ils ont le temps et lorsqu’ils n’oublient pas, des années durant, d’y penser), d’indiquer aux Juifs professionnels que nous sommes ce qui relève ou non de l’intérêt véritable de leur Etat. Mais enfin, pour qui se prennent-ils ?

Pour que la paix soit possible, cependant, il est nécessaire que les Palestiniens acceptent, eux aussi, de faire un certain nombre de concessions majeures. Des concessions dont il n’est nulle part fait la plus fine allusion dans cet étrange appel du JCall.

En dépit de cet "oubli", si cette condition n’est pas remplie, il n’existe aucune chance pour que la paix s’instaure entre nous et nos voisins les plus proches. S’il s’agit d’un appel à effectuer des concessions unilatérales, c’est d’un appel au suicide qu’il est question, auquel aucun Israélien n’a l’intention, bien évidemment, de répondre.

"Nous voulons créer un mouvement européen capable de faire entendre la voix de la raison à tous".

Ca m’a l’air mal parti. Qu’ils commencent par faire entendre simplement leur voix, et à écouter celle des Israéliens me paraît être une meilleure approche. C’est à nous qu’il appartiendra de décider si c’est celle de la raison.

Au vu des inconséquences que j’ai dû relever dans leur manifeste, leur initiative, dans la forme qu’elle arbore actuellement, a déjà du plomb dans l’aile.

"Ce mouvement se veut au-dessus des clivages partisans".

A ce que j’en lis, cela ne me semble pas être le cas.

"Il a pour ambition d’œuvrer à la survie d’Israël en tant qu’État juif et démocratique, laquelle est conditionnée par la création d’un État palestinien souverain et viable".

Que de démagogie de Monoprix... La survie d’Israël, c’est nous qui nous en occupons depuis sa création et qui allons continuer à l’assumer seuls, à en juger par ce qui sort de la bouche de ces conseilleurs bavards. La création d’un Etat palestinien, souverain et viable, dépend autant des Palestiniens que de la volonté, maintes fois affirmée, de la majorité écrasante des citoyens de l’Etat hébreu.

JCall et J Street consomment-t-ils le schisme au sein du judaïsme européen et américain ? Sûr qu’ils défont les rangs, mais est-ce que cela a une si grande importance ?

Certes, à l’instar du regretté Herbert Pagani, on pourrait espérer qu’en cette période où Israël doit, à nouveau, combattre pour sa survie, nos cousins se serrent les coudes et commencent par rectifier le "processus de délégitimation inacceptable d’Israël en tant qu’État", qui fait fureur dans les démocraties occidentales et leurs media.

Qu’ils nous soutiennent et se battent pour leur honneur au lieu de nous donner des conseils dont nous sommes déjà repus.

Mais il ne faut assurément pas leur fermer le micro, ce serait une erreur, une partie de ce qu’ils disent est vrai, et ce qui se déroule ici les concerne aussi quelque part.

Et puis, beaucoup de signataire ont pris un risque en faisant leur coming out. Certaines signatures de ceux qui affirment désormais publiquement que "l’État d’Israël fait partie de leur identité" sont étonnantes ; à l’exemple de celle de Maurice Szafran, président directeur général de Marianne, dont le magazine participe copieusement et depuis des années aux ravages que produit l’Israel Bashing.

Pour nombre des 3356 signataires actuels, l’objectif tenait, sans doute, à se faire accepter par leur entourage ès qualité de "bon Juif mais critique à l’encontre de la politique du gouvernement d’Israël".

Il m’est d’avis, cependant, que ceux-ci ont quelques trains de retard, et que leurs collègues de bureau ne retiendront que le fait qu’ils sont Israélites et qu’ils maintiennent un étroit lien identitaire avec l’Etat hébreu. Car le questionnement qui prime, actuellement en France, dans l’intelligentsia et dans la rue, n’est pas "quelle politique Israël devrait suivre ?", mais "faut-il qu’Israël continue d’exister ?".

Au JCall a répondu une autre pétition, celle du JWorld, dont le slogan est "Raison garder", et qui a recueilli 4030 signatures, jusqu’à hier, dimanche.

Heureusement, l’avenir politique de la région ne se décidera pas à coups de pétitions et de contre-pétitions, qui, en prenant un peu d’altitude, en regard des enjeux de vie et de mort, ont un petit côté pathétique. Est-ce faire insulte aux uns et aux autres que de conclure qu’Israël leur tient au cœur et qu’ils rêvent de la paix et à sa sécurité ? Et si on cesse de rêver, les choses ne changeront jamais, cela, c’est une certitude.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/05/2010 05:08 par Dafouineuse.
Re: QUAND LES ROQUETS SE "FONT" PERROQUETS ...
03 mai 2010, 03:29
bonjour l'Exilee,
Vous avez ete plus rapide que moi , j'ai lu le commentaire de Stephane Juffa et je voulais donner mon opinion sur JCALL.
j'estime que a mon humble avis aucun Juif de la diaspora ne doit critiquer ou emettre son opinion sur la conduite de la politique de l'Etat Souverain et Democratique d'ISRAEL. Les Israeliens qui vivent et subissent le quotidien en Israel sont les SEULS a voter et de ce fait orienter la politique du gouvernement qu'ils ont elus.
si ces personnes qui se disent Juifs, religieux ou pas qui vivent en dehors d'Israel et qui voudrais faire avancer leur idees se doivent de venir vivre et resider en Israel et voter pour le parti de leur choix.
ceci dit tres simplement , j'ai personnellement signe la petition contraire a ce Jcall.
Merci de m'avoir lu.

Robert Elbaz
Re: QUAND LES ROQUETS SE "FONT" PERROQUETS ...
03 mai 2010, 04:28
Signez vous aussi un appel contre l'AIPAC?

Ça m'étonnerait beaucoup.
Re: QUAND LES ROQUETS SE "FONT" PERROQUETS ...
03 mai 2010, 04:31
Bonjour Robert,

Je suis entièrement d'accord avec vous , et je rejoins votre définition

quant à la réserve que doivent respecter ceux qui ne vivent pas le

"quotidien" d'ISRAEL , qui n'est pas facile avec toutes les pressions

que nous subissons.

Ces égarés , qui ont repris les arguments sans fondements ,avancés par

nos détracteurs , sont encore plus dangereux , car ils avancent avec

"l'étiquette" de "JUIFS" , ce qui "légitimise" pour nos ennemis traditionnels

(qui sont légion),la haine et la désinformation dont nous sommes

quotidiennement abreuvés.

Leur "intelligence" ne les a pas "protégés" puisqu'ils sont tombés dans les

piéges tendus par nos ennemis et c'est cela qui est inadmissible.

On peut s'interroger sur l'efficacité de cet appel calamiteux , leur

"démarche" s'aligne sur celle de nos ennemis les plus irréductibles.

Ils dénient à notre cher ETAT ISRAEL SON DROIT à SA SOUVERAINETE !

Ils participent à la "destruction" de l'image d'ISRAEL et cela est impardonnable

et lourd de conséquences , non pas , grâce à D. pour ISRAEL , mais pour

leur crédibilité à venir .

On a vu LA FAILLITE des visions du monde que tous ces PSEUDO EXPERTS

ont voulu nous imposer par le passé, ces obsédés de "popularité" souffrent d'un

EGO SURDIMENTIONNE et ils savent que ce n'est qu'en "ternissant"

ISRAEL qu'ils arriveront à être "VUS ET ENTENDUS ".

Malheureusement, en ISRAEL les mêmes individus contribuent à diaboliser

ISRAEL , je veux citer les pyromanes du torchon haaretz qui sert de

"référence" biblique à nos ennemis .

On ne peut pas , au nom de la démocratie" laisser déraper ces prédateurs

qui vont jusqu'à mettre en danger la sécurité de notre ETAT.

Cette gauche Israélienne irresponsable et non représentative , on a vu la désaffectiion de ce

mouvement lors des dernières élections, est le CHEVAL DE TROIE au sein

de la société ISRAELIENNE , et dont on ne se méfie pas assez , et c'est

une grande erreur .

TROP DE DEMOCRATIE TUE LA DEMOCRATIE , et c'est le grand danger

qui guette tout l'occident , où vont s'engouffrer les islamistes qui "attendent"

patiemment le démembrement de l'occident .

Ces "doux rêveurs" devraient faire un petit stage dans les "paradis" palestiniens

qui sont sous la férule du hamas et du fatah , ils deviendraient , peut-être plus

clairvoyants , et ce n'est même pas sûr , car la gauche ne supporte pas être mise

devant SES ECHECS , on le voit dans toutes nos sociétés !!!


Bien cordialement
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