Les Karaïtes criméens sont de descendence turque et ont adopté le karaïsme (ou caraïsme), une des branches du judaïsme.
Ce mouvement fut lancé par Anan ben David en Mésopotamie au 8ème siècle et pénétra dans le khanat des Khazars au début du 10ème siècle. Les classes dirigeantes et une partie des tribus turques de Crimée et du Caucase, se convertirent à la nouvelle religion qui prônait un retour aux écrits bibliques tout en refusant le Talmud.il se guide d'apres la torah des livres et non comme nous d'apres la torah des livres et la torah orale.
Cette religion est distincte du judaïsme rabbinique, elle n’est jamais devenue un mouvement de masse.
ils celebrent les fetes un jour ou deux avant nous ou apres nous .ils refusaient il y a 20 ans de se marier avec une vrais juive, nous avons eu un cas dans la famille et aujourd'hui peu a peu le caraisme disparait et les juifs et les caraimes se marient et tous croient a la torah orale .
Le prince Bulan qui régnait sur le khant de Khazar fut converti au karaïsme par Isaac Sangari dont la tombe se trouve au cimetière karaïte de Josophate dans la vallée de Chufut-Kale (Qirq Yer), Bakhchisaraï en Crimée. Cependant, seule une partie de la population se convertissa.
Au cours des années, les Turcs caraïtes se sont déplacés et se sont établis en Lithuanie, Pologne, d'autres régions de l'Ukraine, en Russie, en Turquie et plus rescenment en Israël, en France, et aux Etats-Unis.
Les communautés karaïtes d'Europe parlent un dialecte turc, à la seule exeption de la communauté turque qui s'exprime en gréco-caraïte, dialecte grec.
On suppose que le nombre des caraïtes dans le monde est aujourd'hui inférieur à 50 000.
il y a des milliers en israel : ils viennent d'egypte et le maimonide leur a fait enormenent de miseres a cause de leur croyance.et leur noms sont
cohen.
levy.
tahan.................et autre.
la synagogue des caraites:
Ouvert à l’occasion du 500e anniversaire de l’arrivée des juifs d’Espagne dans l’Empire ottoman, ce musée retrace l’histoire de cette communauté qui vécut sans connaître de discrimination dans sa nouvelle patrie. Des cartes, des portraits de gens connus, de précieux documents sont exposés dans cette ancienne synagogue offerte aux séfarades par le comte de Camondo, riche banquier, mais aussi mécène, à la fin du XIXe siècle. L’emplacement du musée est bien choisi. Dans la partie juive de Galata, il est directement sur la place de Karaköy qui tire elle-même son nom d’une communauté juive dissidente mal connue : les karaïtes.
voila un peu sur cette secte qui doucement redevient juive comme nous.
soly