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avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun

Envoyé par ruemozart 
avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
02 août 2006, 03:38
je voudrais ecrire quelques articles sur ces lieux fetiches de casa
qu'etaient la place de verdun , du temps ou a la sortie de chabat , elle s'animait grace aux juifs habitant les quartiers environnants .
Et la rue blaise-rue moulay ben abdallah a present- qu'on traversait , simplement pour etre vus ou etrenner notre bagnole , un peu vaniteux mais marrant a posteriori
si vous voulez m'aider dans ce sens , marhaba et barakala ou fikoum

Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
04 août 2006, 10:32
rue blaise pascal...c etait le passage obligatoir entre 18 & 20 h...surtout au milk bar et chez bebert(khouybia)...amitiés...kaki...
Pièces jointes:
blaise pascal.jpg
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
04 août 2006, 23:23
La rue Blaise Pascal, actuellement rue du Prince Moulay Abdallah, part du café LA CHOPE et se termine sur le bd.Lalla El Yacout (mère de feu SM MOHAMED V) ex-Bd de Marseille.
Au début de cette rue il yavait les vêtements NEHERA dont le slogan était "Dieu a fait l'homme, NEHERA a fait le vêtement" puis le chapelier BOCCARA puis le magasin de tissus BOUCHARA et en fin de rue en traversant le bd Lalla El Yacout il y avait le cinéma LE TRIOMPHE, vous trouverez après ce cinéma un peu plus loin, le consulat de France.
La place de VERDUn actuellement places des 3 Makhazines était réputée par ses merveilleux cafés à kémia (TAPAS) la boule rouge par exemple.
Vous en voulez encore?
Bon week-End
Chalom
A salam 3alayakoum ou rahmat oullah
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
06 août 2006, 01:53
merci kaki
merci sion
la photo est super
ce n'etait pas la boule rouge mais la boule d'or ou beaucoup de nos coreligionnaires jouaient aux cartes
a la place de verdun , les juifs des quartiers environnants dans les annees 60 envahissaient les chouai et les bandes se formaient -surtout le samedi soir-, le niveau social n 'etait pas celui des quartiers d'anfa mais quelle jeunesse dynamique
quant a la rue blaise , on refaisait le tour plusieurs fois pour etre vus
super le slogan
je me rappelle nehera -orthographe exacte?-ou ma mere nous habillait de pied en cape-...- pour les fetes , tous des magasins juifs , je crois
dites moi kaki et sion , vous etes ou a present ?
je commence a avoir de la matiere pour mon article et je pense l'etendre a d autres quartiers -rue jacquemin , rue des anglais ,bd d anfa et ses belles villas ..
la photo de la " blaise" etait un cadeau
chavouah tov
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
07 août 2006, 22:23
Bonjour
Pour pousser le bouchon un peu plus loin, je dirai qu'à la rue Blaise Pascal il y avait 3 commèrces que j'adorais :
studio photo MARTY= disparu et fermé à ce jour
BOUCHARA tissus= disparu et devenu autre commerce
LE CLAVECIN mon marchand de disque préféré = disparu et devenu épicerie je crois!
Il y avait un autre disquaire qui fournissait mes parents en disques de BENSSOUSSAN c'était le MENESTREL rue Nolly et angle Bd Mohamed Vex-bd de la gare.
Seule une spécialiste pour cela: MALIKA
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
18 août 2006, 06:24
merci infiniment sion
un cafe faisait l angle je crois c etait la chope
pour etre encontact avec malika faut faire quoi , elle a une adresse mail?
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
18 août 2006, 06:48

Faut rien faire ruemozart, faut juste demander ce dont tu as besoin.

Le café la Chope exact fait angle avec au début de la rue blaise pascal, en face il y avait les chaussures Eddy, il y avait également le magasin Trait d'Union, la Minaudière au coin en face le marchand des marrons chauds à Noêl,en traversant le bd Idriss Lahrizi, il y avait les vêtements pour hommes Jacques Fath, le Clavecin pour les mélomanes, Marty photographe attitré, en face la bijouterie de la Croix, juste après El Banco Ispano Marroqui après c'était le bd de Marseille, au coin la café Nationale, le bureau de tabacs, en face la pharmacie qui fait coin, après au même niveau que le café Nationale le cinéma Triomphe à toit ouvert, l'immeuble du Ministère de l'Habitat avec Igloo juste en face et la caserne des sapeurs pompiers, si ma mémoire flanche corrigez moi les amis.

Voilà ruemozart ce que je peux te dire aujourd'hui de la rue blaise pascal, d'autres souvenirs ressurgiront et je ne manquerai pas de t'en aviser. Bon courage.

Amitiées

Malika
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
18 août 2006, 11:05
j'habité au dessus du café la chope
marc
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
21 août 2006, 10:26
tu fais partie du service cartographique de casa , dis moi.....
d'ou te viennent ces souvenirs
tu habites encore casa,?
as tu des anecdotes sur cette rue ?
puis je t interroger sur d autres endroits du centre?
cordialement
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
21 août 2006, 11:31


oui ruemozart j'habite toujours casa et je ne l'ai jamais quitté sauf pour les vacances et ca ne dépasse jamais un mois.

Tu peux me poser toutes les questions à propos de casablanca je te répondrai avec plaisir et dans la limite de mes connaissances et mes souvenirs.

La rue blaise pascal de mon enfance c'était Marty le photographe, Trait d'Union pour la tenue de l'aid, celle de mon adolescence alors là ca commence à se corser, d'abord c'est Eddy pour les chaussures, Helmut pour les fringues, Igloo pour la pause café et le m'as-tu vu et la drague du samedi après midi et bien d'autres souvenirs puisque je suis toujours dans les parages.

Amitiées de casablanca

Malika
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
22 août 2006, 18:52
Voici un petit article publie recemment dans un journal marocain et qui parle justement de la rue du Prince Moulay Abdallah ex rue Blaise Pascal. Ca donne froid dans le dos. Bonne lecture.


CASABLANCA : (ni) DAR (ni) BAÏDA Abdessamad Mouhieddine 17 Juillet 2006


C’est à la façon des pleureuses d’antan que Moulay Mustapha Alaoui, l’ex-gouverneur de Casablanca, se grifferait sûrement le visage en revenant voir la rue du Prince My Abdellah. Un espace piétonnier qu’il a mis un soin particulier à édifier et à faire vivre. De son époque, ce fut le premier projet urbain d’aménagement intégré qui bénéficia de l’adhésion de la population et des commerçants, majoritairement hindous. Aujourd’hui, cela est devenu une espèce de capharnaüm (in)humain où les étalages improvisés alternent avec les bébés-alibis sans doute loués, que des professionnelles de la manche « entreposent » à même l’asphalte. Les SDF puant l’alcool à brûler, les filles balafrées, les anesthésiés de la pillule, les fous du canif, les voleurs à la tire, les « francs-cireurs », les dealers et autres traqueurs de portables semblent avoir définitivement conquis la rue piétonnière. S’il n’y avait que cette voie piétonnière à «remettre à niveau»… La métropole économique tout entière souffre d’une «rurbanité » saillante et assaillante. Reportage.
Pas un « mokhazni » ou un agent des fameux GUS à l’horizon. Nous sommes sur une aire de non-droit qui part du rond-point Mers-Sultan à l’avenue des FAR, de la rue de Khouribga à la gare de Casa-Port. «Les délinquants jouent au chat et à la souris avec les forces de l’ordre. Par le biais des médias, ils savent que les quartiers périphériques, longtemps délaissés, mobilisent le gros des troupes policières. Ils se sont alors emparés du centre de la ville», nous dit ce commerçant indien qui vient de remplacer sa vitrine brisée lors d’une bagarre. Car, les bagarres et autres rixes sont monnaie courante dans les six rues perpendiculaires donnant sur la voie piétonnière. «Ici, des bagarres historiques ont eu lieu. J’ai été le témoin d’une véritable guerre de tranchée où deux bandes, l’une venant de Sidi Moumen et l’autre de Bousmara, se sont livrées, armes blanches et par destination à l’appui, durant près d’une demi-journée, à des va-et-vient particulièrement violents. Dès qu’une poignée de voyous est embarquée par les policiers, une autre se met en place, torses nus et poings fermés. Squat de l’espace public Naguère faisant figure d’exception, le squat de l’espace public semble avoir accédé au statut de règle. D’ailleurs, l’historique du fameux Derb Ghallef, qui est connu mondialement pour ses accointances avec la cyberdélinquance et le piratage sud-asiatique et russe, administre la preuve de l’extrême dangerosité du laisser-aller dans ce domaine. On a fermé les yeux sur un minuscule baraquement installé en catimini pour se retrouver quarante ans plus tard avec un gigantesque espace commercial où l’informel véhicule quelques dizaines de milliards chaque année. Les magasins bien verticaux, dûment assujettis à toutes sortes de redevances directes et indirectes, sont de plus en plus étouffés par des «boutiques horizontales» improvisées à même le sol. D’aucuns évoqueront le cas indien où, à Bombay ou même à New Delhi, le viol de l’espace public a atteint des proportions apocalyptiques sans pour autant aliéner les fondamentaux de l’économie du pays de Ghandi. Mais le Maroc, cultuellement et institutionnellement quasi-monolithique, ne peut soutenir la comparaison avec une méganation qui compte plus d’un millier de croyances et près de six cent langues. De plus, le parapluie nucléaire et le poids économique de l’Inde sont là pour prévenir toute fragilité extérieure ou intérieure. «Au Maroc, les comportements moutonniers incitent à la surenchère : «Il l’a fait, je peux donc faire pire que lui ». Cette attitude défiante neutralise peu à peu les garde-fous et les règles de vie en commun. Cela participe d’une posture où la promiscuité galopante incite à la confection de stratagèmes égoïstes apparentés au sauve-qui-peut », me dit Bilal N. un associatif opérant dans les quartiers difficiles. Cette même attitude requiert un mépris pour le sens du compromis. Ce n’est pas pour rien qu’une terminologie nouvelle, estampillée de la négation de l’autre, a pu émerger : les vocables « t’hane » (écraser, moudre), « nik mou » (nique sa mère), « ma naâqalch âlih » (je le zappe), « y âoud l’karrou » (rien à foutre) …et tant d’autres insanités du genre se sont imposées en véhicules de communication prépondérants. Ils sanctionnent les rapports à l’intérieur de toute entité sociale, qu’elle soit clanique, familiale ou entrepreneuriale.
On a même vu des élus casablancais faire appel à des noms d’oiseaux pour provoquer ou répondre aux provocations de leurs collègues. Les lignes rouges de la société seigneuriale ont donc été franchies. La société dite juvénile, dépourvue des valeurs que sont le droit d’aînesse, la pudeur et le sens du sacré, conquiert les esprits sans pour autant se doter des attributs de la modernité que sont le respect de l’autre et le sens de la responsabilité. «Chacun se réclame aujourd’hui de la culture des «droits de l’homme» pour réclamer précisément des droits, mais peu sont ceux qui acceptent d’accomplir un devoir civique de bon cœur», me dit un chauffeur de taxi. Le recours à la violence intervient donc sans graduation aucune. Pensez que le préfet de police lui-même s’est fait arraché le portable de l’oreille par un motocycliste ! La «peur du gendarme» a donc disparu de la capitale économique. Rien ne semble faire peur aux fauteurs de troubles et autres bagarreurs. On a même vu des affrontements musclés au sein des tribunaux de la ville. Quand les avocats en arrivent aux mains, alors le commun des mortels… Violence des rapports sociaux En réalité, hormis quelques havres de paix extrêmement rares et exigus, la ville toute entière baigne dans un climat d’agressivité allant crescendo au fil des années. Les rapports sociaux obéissent de plus en plus à l’outrance du ton et à la vigueur gestuelle. « Même pour exprimer la joie des retrouvailles, un(e) ami(e) peut vous endommager quelque articulation de l’épaule ou du bras. Juste pour vous saluer. Si vous ajoutez à cela la tonitruance et, parfois même, la vulgarité de certains salamaleks voulus zaâma humoristiques, vous mesureriez l’ampleur de l’agressivité qui anime la trame sociétale», me dit Fadel Essaqalli, sociologue ayant travaillé sur le sujet pour une officine de recherche parisienne. Sur les lieux publics, l’égotisme se manifeste d’une manière musclée, en l’absence de cellules de résolution des conflits. A la poste, dans les communes, devant les guichets des gares et partout où le service public est sollicité, l’attroupement génère invariablement, quotidiennement, des tensions que les citoyens finissent souvent par gérer eux-mêmes. «Pourtant, ces services peuvent contenir la tension en mettant en place les outils nécessaires à la régulation des flux et, par conséquent, la gestion des éventuels conflits. La Lydec l’a fait et ça marche», assure Larbi C. agent de l’entreprise concessionnaire. En fait, nous avons longtemps considéré que les dysfonctionnements socio-urbains étaient dus fondamentalement aux indigences financières, logistiques ou infrastructurels. Cette «idéologie» a été ancrée dans l’imaginaire collectif par le biais d’une gauche, aujourd’hui gestionnaire, qui a longtemps pris l’être humain pour un «étant» atone, malléable à loisir par la seule magie des dogmes. Nous nous apercevons aujourd’hui qu’il n’en est rien et que la pédagogie, alliée à l’utilisation adroite des moyens coercitifs, peut bien plus que les normes énoncées ex cathedra de Rabat. Il s’agit donc de braver la paresse intellectuelle procurée par les schémas dogmatiques pour affronter les dysfonctionnements in situ, au cas par cas. Qu’est-ce qui empêche, en effet, les pouvoirs publics de procéder au «nettoyage éthique» nécessaire dans des quartiers devenus invivables tels que Benjdia, l’ancienne médina, Derb Soltane…qui étaient, jusqu’à une date récente, des modèles de coexistence et de bonne entente ? Que s’est-il passé ? Qui sont les fauteurs d’anarchie ? Pourquoi ne pas faire respecter les règles du vivre-ensemble, y compris par la force ? Des artères sont littéralement bloquées par les charrettes ou les vendeurs à la sauvette. A Derb Soltane, du côté du cinéma Malaki, les derbs Aït Yafilmane et Mâaïzi, du côté du mellah, les voies de circulation sont tout bonnement fermées, parce que chaque centimètre carré y est colonisé par les « boutiques roulantes » et les vendeurs au sol. Qui plus est sans patente aucune. «Les forces de l’ordre passent trois fois par jour. A chaque passage, chacun de mes collègues et moi-même devons leur glisser 20 DH», me dit un vendeur. J’ai pu voir moi-même deux estafettes, celle de la police et celle des forces auxiliaires, stationnées côte à côte. Leurs occupants assistaient au spectacle anarchique tout en croquant qui un fruit qui un sandwich. «Nous n’avons pas ordre d’empêcher cela. Ce sont les responsables qui en sont…responsables», me dit un mokhazni. Dans le creux de l’oreille, son collègue me confia : «Tu vois la charrette arrêtée juste devant le vendeur d’olives ? Son propriétaire doit vendre l’équivalent de vingt caisses pour pouvoir gagner 600 DH. Il ne rentrera le soir chez lui qu’avec 250 DH. S’il donne 60 DH à nous autres, il doit remettre le reste aux « maîtres du temps » (mwaline l’waqt) ». La mal-vie est la règle Un exemple précis de l’état délabré du centre ville : naguère haut lieu de la culture, le café « La Comédie » qui a vu se créer des synergies flamboyantes entre le théâtre, la musique et les arts plastiques dans notre pays est devenu un complexe éthylique des plus horribles. Des milliers d’hectolitres y sont consommés par des centaines d’habitués dont certains font figure de véritables épaves humaines. Pas moins de trois bars y ont été édifiés pour servir les piliers de comptoir. Dire que Abdessamad Kenfaoui, Seddiki Saïd et Tayeb, Maâti Bouabid et tant d’autres monuments culturels de notre pays y ont conçu leurs projets de vie. Dire que les Ghiwane et Jilala y sont nés… Par ailleurs, ne nous attardons point sur l’état de santé de nos concitoyens. Elle est mise à mal par un laisser-aller à peine croyable. En amont, des tonnes de fumées toxiques sont éjectées par un parc automobile des plus vétustes. Les bronches sont également « visitées » -un euphémisme- par les odeurs empoisonnées des usines d’Aïn Sebaâ et de Mohammedia. « Le bruit et les odeurs… », disait naguère Chirac. Pour punir sa malencontreuse assertion, il n’est guère besoin de porter plainte pardevant quelque chambre correctionnelle. Il suffirait qu’il soit invité à passer trois mois à Casablanca ! Non, il ne fait plus bon vivre dans cette ville. On devrait doubler le revenu de ceux qui veulent encore bien y contribuer à créer la richesse : Manger en regardant un tel déploiement de misère avérée ou simulée relève de l’exploit. Dormir au milieu de cet environnement visuel et sonore devient un véritable acte d’héroïsme. Que l’on parle des quartiers suburbains longtemps marginalisés, parce que littéralement ignorés durant des décennies, cela peut être intelligible, mais que ce spectacle cochemardesque puisse évoluer impunément au cœur du centre de la Ville, cela dépasse l’entendement. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que les hordes d’aliénés mentaux et autres psychopathes ont augmenté ces dernières années à un rythme effrayant. J’ai, quant à moi, demandé et obtenu de collaborer avec «La Gazette du Maroc» à distance, bien loin de Casablanca, au moyen de l’Internet et du téléphone. Je voudrais, en effet, vivre quelques années supplémentaires pour voir grandir mes petits-enfants. Mes collègues sont sûrement moins «lâches» que ma modeste personne !

Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
24 août 2006, 11:05
merci a malika et a dana pour tant de gentillessel
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
29 août 2006, 17:53
bonsoir a tous
la rue blaise pascal c la ou se trouve le cinema triumph et juste en face mon coiffeur "dominico" est il toujours la ?
bonne soiree
Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
29 octobre 2006, 16:27
malika a écrit:
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> >
> oui ruemozart j'habite toujours casa et je ne l'ai
> jamais quitté sauf pour les vacances et ca ne
> dépasse jamais un mois.
>
> Tu peux me poser toutes les questions à propos de
> casablanca je te répondrai avec plaisir et dans la
> limite de mes connaissances et mes souvenirs.
>
> La rue blaise pascal de mon enfance c'était Marty
> le photographe, Trait d'Union pour la tenue de
> l'aid, celle de mon adolescence alors là ca
> commence à se corser, d'abord c'est Eddy pour les
> chaussures, Helmut pour les fringues, Igloo pour
> la pause café et le m'as-tu vu et la drague du
> samedi après midi et bien d'autres souvenirs
> puisque je suis toujours dans les parages.
>
> Amitiées de casablanca
>
> Malika

Salut MAlika, je suis réalisateur, je fais des docs pour ne pas que la mémoire se perde. Je ne gagne pas d'argent avec , bien qu'étant cinéaste. Mais on se doit de transmettre un souvenir, un passé, une histoire! Tu me filerais des tuyaux ?
Mon mail est dans le site. Je te remercie grandement !
Brahim



Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
30 octobre 2006, 03:09


Salut xénon,

C'est avec un réel plaisir que je te refilerai tous les tuyaux que tu voudras, il suffit juste de me poser des questions, je ne sais pas exactement ton genre de doc. alors n'hésites pas.

Mon e-mail se trouve également dans le site sinon tu peux me contacter par mp.

A très bientôt et bon courage.

Amitiées

Malika

Re: avis de recherche sur la rue blaise et la place de verdun
30 octobre 2006, 03:17


Ma chère dana notre mohieddine pourrait peut être militer pour une association pour le nettoyage de notre dar el baida et lui rendre son prestige d'antan ainsi personne n'aura plus froid au dos.

C'est facile d'écrire un article c'est pas plus difficile d'agir et de sortir sur le terrain, il suffit d'une once de volonté, c'est léger et ça ne coûte rien.

Pas mal d'amis sont venus visiter casablanca, ils se promènent seuls sans guide et personne n'est jamais rentré à l'hotel avec la chair de poule, la nostalgie certes. Casablanca subit le sort de toutes les grandes métropoles avec l'exode rurale, l'expansion démographique, des sdf, des délinquants, des dealers, des filles de joie, il en existe dans toutes les grandes villes pour n'en citer aucune.

Amitiées

Malika
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