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RENCONTRE EN ISRAEL AVEC LA TRIBU DES ANIDJAR D'AMAZONIE
Envoyé par LA HIJA DEL MAR Y DEL SOL
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RENCONTRE EN ISRAEL AVEC LA TRIBU DES ANIDJAR D'AMAZONIE 15 mars 2010, 22:28 |
RENCONTRE EN ISRAEL AVEC LA TRIBU DES ANIDJAR D'AMAZONIE
La communauté de Manaus, en Amazonie est plus éloignée de la tradition que celle de Belém, mais c'est autour de la synagogue que s’organisent des activités culturelles, communautaires et éducatives. Le Comité israélite das Amazonas, fondé en 1929 est l’oeuvre des descendants des premiers immigrés juifs marocains et profite de la prospérité de la ville. La communauté de Rio de Janeiro bénéficie des activités de l’União israelita Chel Gemilout Hassadim, fondée en 1882 et qui poursuit ses activités aujourd'hui.
Parmi les personnalités dont les ancêtres viennent du Maroc, on peut noter les noms de Abraham Ramiro Bentés, un général de l’armée brésilienne, président de la communauté juive marocaine et écrivain, le député M. Ruben Medina, réélu six fois au Congresso Nacional depuis 1967 et président du parti Frente Liberal (PFL).
Ma famille les Anidjar est a sa 5 eme génération deja installée au Brésil, elle s'oriente nettement en faveur des professions libérales (médecins, ingénieurs et avocats ).
C'est à travers les Synagogues et les institutions communautaires que se transmettent un ensemble de traditions judéo-marocaines.
Le Centro Israélita do Pará existe depuis 1918.
Créé par des descendants des premiers pionniers juifs marocains, les familles Roffe, Anidjar et Benarosh. il fédère les communautés du Pará, et comprend une école, deux centres d’activités culturelles et sociales (société d’entraide) et deux synagogues, Echel Abraham et Shaar Hachamaïm dont les membres-fondateurs sont les Bentolila, Benatar, Benzékri, Larédo, Seruya, Azoulay.
Pará la communauté de Belém est particulièrement active, et fait de nombreux efforts pour maintenir ses traditions marocaines, au mois d'aout 2005 a eu lieu une reunion avec des membres de la famille Anidjar qui habitent aux 4 coins du monde j'etais invitee egalement mais malheureusement le Bresil trop loin pour moi.
En avril aura lieu une premiere reunion en Israel avec les Anidjar Bresiliens.
Soly Anidjar
La communauté de Manaus, en Amazonie est plus éloignée de la tradition que celle de Belém, mais c'est autour de la synagogue que s’organisent des activités culturelles, communautaires et éducatives. Le Comité israélite das Amazonas, fondé en 1929 est l’oeuvre des descendants des premiers immigrés juifs marocains et profite de la prospérité de la ville. La communauté de Rio de Janeiro bénéficie des activités de l’União israelita Chel Gemilout Hassadim, fondée en 1882 et qui poursuit ses activités aujourd'hui.
Parmi les personnalités dont les ancêtres viennent du Maroc, on peut noter les noms de Abraham Ramiro Bentés, un général de l’armée brésilienne, président de la communauté juive marocaine et écrivain, le député M. Ruben Medina, réélu six fois au Congresso Nacional depuis 1967 et président du parti Frente Liberal (PFL).
Ma famille les Anidjar est a sa 5 eme génération deja installée au Brésil, elle s'oriente nettement en faveur des professions libérales (médecins, ingénieurs et avocats ).
C'est à travers les Synagogues et les institutions communautaires que se transmettent un ensemble de traditions judéo-marocaines.
Le Centro Israélita do Pará existe depuis 1918.
Créé par des descendants des premiers pionniers juifs marocains, les familles Roffe, Anidjar et Benarosh. il fédère les communautés du Pará, et comprend une école, deux centres d’activités culturelles et sociales (société d’entraide) et deux synagogues, Echel Abraham et Shaar Hachamaïm dont les membres-fondateurs sont les Bentolila, Benatar, Benzékri, Larédo, Seruya, Azoulay.
Pará la communauté de Belém est particulièrement active, et fait de nombreux efforts pour maintenir ses traditions marocaines, au mois d'aout 2005 a eu lieu une reunion avec des membres de la famille Anidjar qui habitent aux 4 coins du monde j'etais invitee egalement mais malheureusement le Bresil trop loin pour moi.
En avril aura lieu une premiere reunion en Israel avec les Anidjar Bresiliens.
Soly Anidjar
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Re: RENCONTRE EN ISRAEL AVEC LA TRIBU DES ANIDJAR D'AMAZONIE 15 mars 2010, 22:41 |
L'attrait pour le Brésil, qui détient le monopole du commerce du caoutchouc, s'exerce au cours du XIXe siècle, sur les Juifs marocains qui veulent échapper aux conditions de pauvreté, aux épidémies et à l'insécurité politique.
L'existence en 1900 d'une ligne maritime régulière entre Tanger et Belém facilite les départs d’une population qui vient surtout de la région du Nord du Maroc (Arzila, Tétouan, Tanger et Larache).
Attirés par Eldorado sud-américain, ils tentent leur fortune dans de petites villes amazoniennes (Garupa, Cameta, Macapa, Breves, Itaituba, Santarem et aussi à Belem et Manaus. Une communauté s’installe également dans la capitale, Rio de Janeiro et, plus récemment, à Sao Paulo.
ma famille s’installe a Belem et Manaus au bord du fleuve Amazonas, en plein jungle.
Soly Anidjar
L'existence en 1900 d'une ligne maritime régulière entre Tanger et Belém facilite les départs d’une population qui vient surtout de la région du Nord du Maroc (Arzila, Tétouan, Tanger et Larache).
Attirés par Eldorado sud-américain, ils tentent leur fortune dans de petites villes amazoniennes (Garupa, Cameta, Macapa, Breves, Itaituba, Santarem et aussi à Belem et Manaus. Une communauté s’installe également dans la capitale, Rio de Janeiro et, plus récemment, à Sao Paulo.
ma famille s’installe a Belem et Manaus au bord du fleuve Amazonas, en plein jungle.
Soly Anidjar
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Re: RENCONTRE EN ISRAEL AVEC LA TRIBU DES ANIDJAR D'AMAZONIE 16 mars 2010, 07:49 |
Il y a 1 siècle qu'on ne met plus de d au milieu du nom Anidjar au Brésil.
Samuel Anijar,est ne a Arcila (entre Larache et Tanger) le 2 février 1888 et il est décèdé le 8 mai 1974 a Belen, Para en Amazonie.
en 1901 Samuel Anidjar le grand oncle a mon papa, vivait une vie tranquille a Arcila au bord de l'océan Atlantique avec ses parents,soeurs et famille, lorsque son oncle maternel Avraham Roif/Roffe est arrive du Brésil pour voir la famille et surtout ses parents, le petit Samuel Anidjar vient de célébrer sa bar-misva il n'a que 13 ans, il ne sait pas qu'en partant du Maroc il ne verra plus son père, sa mère ses soeurs.
Il arrive en bateau a vapeur, il vivra chez son oncle maternel Avraham Roif/Roffe et son épouse Anna ils ont une fille qui a pour nom Sol et a la maison se trouve une petite bonne orpheline de père et de mère du nom de Estrella Benarosh, née a Arcila le 25 janvier 1892, elle décède le 3 septembre 1986 a Belen, Para en Amazonie.
Estrella Benarosh a perdu sa mère a l'âge de 6 ans et son père a l'âge de 9 ans, la famille Roif/Roffe vont l'adopter a Arcila et elle part avec eux au Brésil.
le 3 janvier 1910 a 10h du matin a Macapa, état de Para au Brésil Samuel Anijar (sans le d du milieu) épouse la très jeune Estrella Benarosh, avec Kidouchim et lecture de la Kétouba, comme au Maroc, (j'ai une copie de leur Kétouba, que je mettrais plus tard.
le contrat de mariage légal, ca s'appele les kidouchim, la Ketouba L'acte de mariage juif.
voici la photo du mariage de Samuel Anijar et Estrella Benarosh tous les 2 a gauche assis l'oncle maternel a Samuel Avraham Roif/Roffe et son epouse Anna, et debout leur fille Sol.
Soly Anidjar
Pièces jointes:
Samuel Anijar,est ne a Arcila (entre Larache et Tanger) le 2 février 1888 et il est décèdé le 8 mai 1974 a Belen, Para en Amazonie.
en 1901 Samuel Anidjar le grand oncle a mon papa, vivait une vie tranquille a Arcila au bord de l'océan Atlantique avec ses parents,soeurs et famille, lorsque son oncle maternel Avraham Roif/Roffe est arrive du Brésil pour voir la famille et surtout ses parents, le petit Samuel Anidjar vient de célébrer sa bar-misva il n'a que 13 ans, il ne sait pas qu'en partant du Maroc il ne verra plus son père, sa mère ses soeurs.
Il arrive en bateau a vapeur, il vivra chez son oncle maternel Avraham Roif/Roffe et son épouse Anna ils ont une fille qui a pour nom Sol et a la maison se trouve une petite bonne orpheline de père et de mère du nom de Estrella Benarosh, née a Arcila le 25 janvier 1892, elle décède le 3 septembre 1986 a Belen, Para en Amazonie.
Estrella Benarosh a perdu sa mère a l'âge de 6 ans et son père a l'âge de 9 ans, la famille Roif/Roffe vont l'adopter a Arcila et elle part avec eux au Brésil.
le 3 janvier 1910 a 10h du matin a Macapa, état de Para au Brésil Samuel Anijar (sans le d du milieu) épouse la très jeune Estrella Benarosh, avec Kidouchim et lecture de la Kétouba, comme au Maroc, (j'ai une copie de leur Kétouba, que je mettrais plus tard.
le contrat de mariage légal, ca s'appele les kidouchim, la Ketouba L'acte de mariage juif.
voici la photo du mariage de Samuel Anijar et Estrella Benarosh tous les 2 a gauche assis l'oncle maternel a Samuel Avraham Roif/Roffe et son epouse Anna, et debout leur fille Sol.
Soly Anidjar
Pièces jointes:
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Re: RENCONTRE EN ISRAEL AVEC LA TRIBU DES ANIDJAR D'AMAZONIE 16 mars 2010, 21:57 |
En 1754 déjà un premier groupe de Marocains, des Juifs originaires de Arcila au Maroc, débarquait à Belem Do Pra, dans le nord du Brésil après une longue et périlleuse traversée qui avait duré des semaines, confrontés aux tempêtes et aux intempéries, ils sortaient du port de Tanger.
La communauté juive d'origine marocaine, implantée au Brésil depuis près de trois siècles, fière de ses origines et de ses attaches, active aussi ne cesse de forger cette mémoire que les enfants et les petits enfants reprennent à leur compte au fil du temps, ils celebrent la fete exactement comme nous, avec nos habitudes marocaines.
Les membres de l'Association composés de Samuel Anidjar , chef d'entreprise vice-président et président de la communauté juive marocaine du Brésil, ont exprimé leur souhait d'organiser une Quinzaine du Maroc au Brésil, qui pourrait avoir comme cadre la ville de Rio et Manaus, ville amazonienne qui concentre la plus forte communauté juive marocaine.
Belem et Manaus, sont les 2 premieres villes amazoniennes a avoir recu les pionniers juifs marocains.
Soly Anidjar
La communauté juive d'origine marocaine, implantée au Brésil depuis près de trois siècles, fière de ses origines et de ses attaches, active aussi ne cesse de forger cette mémoire que les enfants et les petits enfants reprennent à leur compte au fil du temps, ils celebrent la fete exactement comme nous, avec nos habitudes marocaines.
Les membres de l'Association composés de Samuel Anidjar , chef d'entreprise vice-président et président de la communauté juive marocaine du Brésil, ont exprimé leur souhait d'organiser une Quinzaine du Maroc au Brésil, qui pourrait avoir comme cadre la ville de Rio et Manaus, ville amazonienne qui concentre la plus forte communauté juive marocaine.
Belem et Manaus, sont les 2 premieres villes amazoniennes a avoir recu les pionniers juifs marocains.
Soly Anidjar
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Re: RENCONTRE EN ISRAEL AVEC LA TRIBU DES ANIDJAR D'AMAZONIE 16 mars 2010, 22:08 |
Tous les Anidjar des 2 villes amazoniennes Belen et Manaus sont les descendants de ce jeune Samuel Anijar parti il y a un siècle de la ville d'Arcila (Asilah) au Maroc, Samuel Anijar et Estrella Bennarosh vont avoir 16 enfants en 19 ans, l'ainé est né en 1910 la benjamine en 1929, je vous mettrais leurs photos.
Soly Anidjar
Soly Anidjar
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