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SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI

SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 02:33
SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI 2008, LE TSADIK ADATI EST ENTERRE A MELILLA OU VIT UNE GRANDE COMMUNAUTE DE JUIFS.
Tout ceux qui veulent participer a cette grande journée qui commencera si D. veut a partir de 16 h dans la plus grande synagogue d'Ashdod, ou il y aura youyous chants et danses avec le Sefer Torah et cocktail.
Le sefer torah sera promené a pied (quelques 2 kilomètres) jusqu'à l'une des salles de fêtes au bord de mer, tout ceux qui voudront participer, s'il vous plaît voici quelques téléphones (pas le shabat)
050-6932140:en espagnol:
052-4451038:en français


Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 02:34
Il existe au Nord du Maroc, dans un angle du littoral situé en face de la côte de Malaga une petite ville espagnole appelée Melilla qui, aux débuts de l'histoire, avec le nom de Rusadir, fut une importante colonie phénicienne et carthaginois. En 142 av. J.-C. elle faisait partie de la Maurétanie Tingitane, et, depuis 70, colonie romaine. Ce fut au VIII siècle, avec l'invasion arabe, que la dite ville adopta le nom de Melilla et, en 1556, fut integrée à la Couronne de Castille, après avoir appartenu depuis 1497 jusqu'alors à la Maison Ducale de Medina Sidonia.
Melilla et Ceuta sont 2 villes espagnoles qui se trouvent au nord du Maroc.

Les Juifs avaient été expulsés d'Angleterre par Edouard I, en 1290, et de France en 1394, en sorte que, au XVème siècles les royaumes d'Espagne étaient les seuls à abriter des Juifs chez eux.
1. Lorsqu'en 1492, les Rois Catholiques ont décrété l'expulsion des juifs, ceux-ci ont été forcés de chercher de nouveaux lieux pour s'installer loin de Sépharad dans d'autres pays, parmi lesquels se trouvaient ceux d'Afrique du Nord, le Maroc étant celui qui reçut le plus d'expulsés via les ports de Arcila, Tétouan, Badis, Larache et Salé. Les malheurs de toutes sortes dont ont pû souffrir les sépharades, ne pouvaient être pires, jusqu'à leur arrivée sur les côtes africaines où ils retrouvèrent des communautés juives organisées depuis longtemps. Les toshavim c'est à dire:les résidents, les juifs autochtones avaient un niveau cultureldifferents de ceux arrivés d'Espagne, qui sont les megourashim (les expulsés) qui emmenèrent au Nord de l'Afrique des connaissances techniques, des moyens économiques et une culture très dèveloppée.

Melilla , située au Nord du Maroc, recevra aussi l'affluence de juifs. les juifs espagnols s'établissent imposant leur langue et leurs coutumes.

De même que les autres villes d'Afrique du Nord, Melilla disposait-elle d'une communauté de toshabim avant l'arrivée des expulsés? Il est prouvé parait-il que les Kabyles, ou les tribus de berbères qui l'entouraient avaient toujours eu des centres juifs, mais il n'y a pas de documentation sur le fait qu'ils résidèrent dans la ville.

Charles III qui reignait à cette époque en Espagne, répondit au sultan lui déclarant la guerre. Melilla appartenait, probablement aux Kabyles de Beni-Sidel ou Beni Bugafar, car jusqu'à présent, il n'y a pas de preuves que des Juifs auraient vécu dans la ville pendant quelques siècles.

Au cours du XVIème siècle les juifs nord-africains exercèrent des professions clés pour le maintien d'une place fortifiée et éminément militaire comme l'était Melilla. Traducteurs en même temps que marchands qui ravitaillaient la ville avec leurs marchandises, ils informaient les gouverneurs sur la politique des royaumes limitrophes, Fès et Tlemcen.. Du XVIIème siècle, il y a très peu de renseignements sur Melilla et encore moins sur les juifs de la région. Il n'existe pas non plus de documentation si ce n'est celle qui fait référence au siège de la place en 1774 et 1775 par le sultan du Maroc Sidi Mohamed ben Abd Allah.

On ne peut pas trouver de documentation importante sur la vie des Juifs de la région durant le XIXème siècle, sauf celle qui correspond à la guerre hispano-marocaine de 1859-60 au cours de laquelle s'est produite la prise de Tétouan par les troupes espagnoles et la découverte de l'existence des sépharades, absolument inconnus jusqu'alors par l'Espagne.
Nous avons la certitude que seulement quelques juifs se déplacèrent en quelques jours de Tétouan jusqu'à Melilla en quète de justice, grâce à la réputation de rectitude des autorités espagnoles. Et ce fut précisément en 1859 (Traité Hipano-Marocain) que la ville, limitée jusqu'alors aux murailles et fortifications des XV et XVIème siècles, appelée "Melilla la Vieja", commença s'étendre sur la plaine environnante, bâtissant de nouveaux quartiers et devenant une cit&ea te; moderne. Ce n'est pas étonnant qu'à partir de 1863 la ville fut déclarée port franc et qu'un nombre indeterminé de juifs marocains qui se consacraient au commerce se sentent attiré par les avantages que Melilla offrait pour leurs activités. Et, comble de bonheur, l'année suivante les Ordres Royaux furent suprimés (ceux-ci exigeant pendant si longtemps un permis spécial à ceux qui désiraient s'établir dans cette ville).


Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 02:36
Suivant les recherches réalisées par le professeur Salafranca, Menahem et Aaron Obadia, de Tetouan, les commerçants, furent en 1864/65 les premiers juifs qui louèrent un logement à Melillan. A partir de ces dates la population sépharade augmenta et nomma un rabbin ce qui signifie qu'il y avait au moins dix mâles, le minián(minimmun indispensable pour le culte public). Ainsi, en 1874, date du premier recensement de la population civile de Melilla, la ville comptait 27 juifs residants à l'intérieur, presque tous de Tétouan et, pour cela, descendants de juifs espagnols de la diaspora. A la fin de 1883, s'est produite, sans que nous sachions encore pourquoi, une émigration en masse de juifs provenant des Kabyles proches vers Melilla et le siècle s'achève avec une considérable augmentation. Il est donc bien clair que l'origine de la communauté juive de Melilla repose sur deux groupes: les sépharad , integrés par ceux qui provenaient des villes marocaines comme Tétouan et Tanger, cultivés et parlant le judéo-espagnol, et les "juifs de la campagne" qui abandonnaient les Kabyles du Rif, fuyant leur misérable situation et leur pauvreté et cherchant un refuge et du travail à Melilla. Avec le temps, ce groupe assimila la culture sépharade et finirent par devenir espagnols.
A partir de 1902, Melilla accueillit à peu près 300 Juifs qui arrivèrent dans la ville fuyant les massacres dans la zone de Taza, à quelques kilomètres de Melilla. Ces réfugiés bénéficièrent de terrains et s'installèrent au début dans des tentes cédées par l'administration militaire. En même temps on leur offrit la possibilité de bâtir, par leurs propres moyens, des logements. Ainsi nacquit le "Barrio Hebreo" (quartier juif).
Ce dernier ne doit pas cependant être considéré comme le mellah marocain ou un ghetto, car les juifs de Melilla ont toujours vecu et vivent aujourd'hui dispersés dans la ville sans aucune sorte d'entrave. Très tôt le quartier améliora ses constructions et cessa d'être habité exclusivement par les Juifs, quelques chrétiens venant s'y installer. Curieusement, ses rues dénomées au début avec des lettres, adoptèrent en 1934, par décision de la mairie conseillée par la Communauté Israélite (ainsi s'appela le collectif juif à partir de 1907) des noms de villes juives comme Hébron, Jérusalem, Jaffa, Haifa, Tel-Aviv, Sion.

Monsieur Yamin A. Benarroch Benzaquen, riche commerçant et notable personage de la ville, membre du Conseil Municipal et de diverses institutions de bienfaisance de Melilla entreprit des actions louables en faveur de la Communauté. Parmi ses initiatives, une yeshibah, un logement spécial pour les rabbins et une auberge pour les Juifs nécessiteux et la construction de la grande synagogue "Or Zaruah", titre pris du Psaume 97, 11: La lumière s'élève pour le juste et pour ceux qui ont le coeur droit la joie" qu'il dedia à la mémoire de son père, Monsieur Aquibá Benarroch.
Monsieur Yamin A. Benarroch Benzaquen choisit pour sa construction le meilleur architecte de la ville, Enrique Nieto (de l'école moderne d'Antonio Gaudí à Barcelone), architecte municipal, installé dès 1909 à Melilla. La construction de style néo-arabe, achevée en septembre 1924, était située dans la rue centrale López Moreno nº8. Il s'agit d'un bâtiment à trois étages dont la plus grande façade se trouve sur la rue principale avec de beaux balcons, tandis que la porte d'entrée est située sur la façade latérale donnant sur une petite ruelle. C'est au troisième étage que se trouve la synagogue proprement dite. Luxueuse, mais rafinée et mesurée dans sa décoration, elle a eté décrite par l'historien A. Bravo Nietos: "Cet architecte dessina un bâtiment fortement structuré La façade principale se termine en un hastial avec une corniche et deux corps géométriques dans les coins. L'intérieur présente une décoration également intéressante avec une fausse voûte surbaissée qui repose sur des impostes de mozárabes.

Cette Communauté, qui en 1929 comptait 3.269 juifs, n'a plus aujourd'hui, en conséquence de l'emigration en Amérique latine,la peninsule ibérique, et Israel que 850 Juifs, en majorité sépharades, qui parlent un castillan très proche de l'andalou et conservant moins de l'ancien judéo-espagnol et encore moins du haketia (la langue que parlaient au Maroc les séphardes).A Ashdod il y a une grande communaute de juifs de Melilla.
Melilla, Cité Autonome espagnole les dernières estimations chiffrent sa population à 72 000 habitants de différentes races et religions, a Melilla on parle l'arabe et l'espagnol.
trente mille marocains franchissent très légalement la frontière tous les jours (achats hors taxe, travail légal ou au noir, commerce plus ou moins licite, etc.) en vertu d’un accord ancien entre l’Espagne et le Maroc.
Les autres étrangers sont officiellement quelques centaines (Français, Belges, Néerlandais, Allemands, Chinois, Britanniques et Canadiens); ce sont généralement des commerçants, des universitaires détachés à l’antenne d’enseignement supérieur de Melilla qui dépend de l’université de Grenade, sinon des retraités. Ils sont peu visibles et sans aucune influence sur la vie politique locale.
il existe a Melilla une petite communauté hindoue originaire de Gibraltar et de Ceuta. Son rôle est surtout anecdotique.


Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 02:37
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 08:11
Prous
Pièces jointes:
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Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 08:14
Existen dos placas de mármol situadas en una pared junto al algarrobo. Una de ellas, la más antigua, dice en hebreo y español: “Las obras de este recinto y de la carretera que hasta aquí conducen fueron hechas por el muy honorable señor D. Isaac Bendayan de Melilla, con residencia actual en Caracas, Venezuela, por su devoción a este sabio y santo Ribbi Saadia Edaty, aquí enterrado, cuya protección le acompañe siempre así como a todos sus familiares. Se terminaron las obras en el mes de Nissan del año 5712, abril de 1952, siendo gran Rebbino de Melilla y Villa Nador RV David Salomón Cohen”.

La segunda dice: “Estas instalaciones así como sus accesos fueron ampliados y remodelados gracias a la generosidad de Don Saadia Cohen Zrihen y su esposa Dª Simi Bendayan, hija de Don Isaac Bendayan Z.L., primer promotor de las obras de este santo lugar. Su reinauguración se efectuó el día 12 de marzo de 1995,10 DE ADAR II 5755, con el beneplácito de S.M. Hassan II Rey de Marruecos”.

Bonjour Hija del Mar
Je suis le neveu de Isaac Bendayan et Cousin de Saadi Cohen
Prous
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 08:17
Rabbi Saa3dia Hadati
Pièces jointes:
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Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 08:23
Saadi Cohen (En chemise bleue) Qui continu a entretenir Le Saint.
Ma mère toujours quand elle jure"7ok rabbi Saa3dia Edati"
Prous
Pièces jointes:
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Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 08:27
La tumba de Rebbi Saadia Edaty Z.L. es, desde hace varios siglos, un lugar de peregrinación para la comunidad israelita de Melilla por la devoción que sus miembros siempre han sentido por este venerado Tzadik, por la cercanía, ya que se encuentra situada a pocos kilómetros de Melilla, y por las historias y milagros que desde siempre hemos oído a nuestros mayores.

Ciertamente existen varias versiones en cuanto a su procedencia, su llegada y su muerte. Pero todas ellas coinciden en lo esencial y realmente varía muy poco el relato que cada una de esas interpretaciones da de los hechos.

En este espacio intentaremos que aparezcan todas las versiones que han llegado hasta nuestros días, tanto las que hemos podido escuchar en el seno de nuestra comunidad, como las que han aparecido publicadas en diferentes medios o los resultados de trabajos realizados por investigadores o periodistas no judíos. Aportaremos también algunas fotos tomadas del lugar para que el lector pueda hacerse una mejor idea.





Según el libro “Imágenes de Melilla y su judaísmo”, editado por la Casa de Melilla en Jerusalém, que dedica un capítulo a la historia sobre el Rabbí Saadia Hadati Z.L. Dice: Al parecer, según la tradición oral, era un “Tzadik”, hombre justo, “enviado de Israel que visitaba las diferentes comunidades de la diáspora recolectando dinero para sus habitantes”. Se dice que viajaba “en un barco junto con otros ‘Jajamin’ (sabios) y debido a un temporal naufragó el barco y de los tripulantes sólo se salvaron varios ‘tzadikim’, hombres santos, entre ellos Rebbi Saadia Hadati, Rebbi Isaac Ben Gualid y Rebbi Rafael Enkauwa. El Rebbi Saadia llegó a Nador y vivió allí varios años”.



También se cuenta que la historia data de la expulsión de los sefardíes de España, “cuando se escaparon los judíos, llegaron tres Rabinos, tres hombres sabios, a esta parte de África y se separaron. Uno de ellos se quedó aquí, en este monte, escondido en una cueva y cuando un Tsadik de tal envergadura, de un calibre tan importante, esta en apuros Dios le ayuda. Creció un árbol, un algarrobo, y del monte, de arriba, empezó a manar un manantial de agua para que él pudiera vivir. Así se mantuvo el tiempo que vivió”. Los habitantes de los alrededores, los vecinos musulmanes, que eran muy pocos entonces, le cuidaban y le llevaban comida.



Según L. Calderón y A. Ponce una leyenda cuenta que debido a los disturbios de 1239 en la judería de Sevilla, en la que hubo una gran matanza de judíos, los denominados “siete santos varones” ante el temor que se volvieran a repetir los sucesos “decidieron abandonar Sefarad, atravesar el mar y llegar a tierras más hospitalarias y seguras”. En este punto la narración coincide con las versiones anteriores ya que vuelve a citar un fuerte temporal que hundió la nave. Salvados de la desgracia los “siete santos” no pudieron formar nunca más su cabalística comunidad, ya que cada uno apareció en una playa distinta, todos en la costa norteafricana, y cada uno tomó un rumbo distinto”. De hecho, según comentan Calderón y Ponce, los “siete santos varones” se encuentran en: Nemours (hoy Gazaouet) y Tlemcén, en Argelia; y, el resto, en Marruecos: Tetuán, Taza, David Do (Debdou), Sidi Yahía (Oujda) y Sidi Yussef (Nador).



Tampoco hay muchos datos sobre la muerte del Rebbi Saadia Z.L. y existen varias adaptaciones.

Una de ellas dice que Rebbi Saadia Z.L. iba acompañado de un musulmán que era su ayudante, y que al acercarse a Melilla se sintió muy débil y supo que iba a morir. Entonces le pidió a su ayudante que cavara un pozo y tras indicarle que iba a bajar le dijo: “cuando veas que ya no respiro, cúbreme con tierra”. Según esta explicación así ocurrió y cuando los habitantes de la zona supieron que allí estaba enterrado el hombre santo quisieron apoderarse de sus pertenencias. Cuando cavaban para desenterrarlo, “una enorme piedra cayó de lo alto de la montaña y se posó exactamente sobre la tumba”.


Otra versión dice que cuando iba a morir pidió a un muchacho musulmán que fuera a Melilla y pidiera a los hebreos de la ciudad que fueran a enterrarlo pero al no conseguir este llegar a la ciudad y solicitar la ayuda, el joven le prometió que él lo enterraría con honor. Como agradecimiento Rebbi Saadia Edaty Z.L. escribió un pergamino en el que rogaba a los judíos que cada año dieran una cantidad de dinero al joven (ver foto en el recuadro). En esta versión también se dice que los lugareños, al conocer la noticia, quisieron matar al muchacho por enterrar al judío, “milagrosamente, en esos momentos bajó una gran roca del cielo pasando por encima de todas las casas de la aldea, hasta posarse sobre la sepultura de R. Saadia Z.L., los aldeanos que quisieron vengarse del ayudante del tzadik quedaron congelados sin poder moverse. El muchacho musulmán rezó por ellos sobre la tumba hasta que pudieron volver a moverse”. Termina la versión con el comentario de que después de “este milagroso acontecimiento, tanto los hebreos como los musulmanes, acostumbran a zorear (peregrinar) la tumba del sagrado R. Saadia, dándose cuenta de la grandeza de este Tzadik”.



En otra adaptación se cuenta que: “le llegó la edad de morir y se supone, y así nos contaron nuestros maestros, que él mismo cavó su tumba en la puerta de la cueva y pidió que la piedra más grande la tapara”. En este punto existen dos transcripciones una versión que dice que es la piedra más grande rodara del monte hacia abajo y le tapara su tumba y otra que dice que la piedra más chica empezó a rodar, y a rodar, y a coger piedras hasta que se formó una piedra grandiosa que tapó la tumba. Y así aconteció porque esa piedra nadie la podría mover y ponerla allí”.


Por su parte Calderón y Ponce señalan que “murió en olor de santidad; fue enterrado en este lugar, entre gran pesar de los judíos y el absoluto respeto y admiración de los musulmanes, pero el Todopoderoso, no queriendo que su tumba fuese jamás profanada arrojó de la montaña una gran roca que cubrió su tumba; ante esto los musulmanes comprendieron rápidamente que este santo judío era un protegido de Alah, por lo que debería ser siempre respetado y venerado”

Bibliografía:

“Imágenes de Melilla y su judaísmo”, editado por la Casa de Melilla en Jerusalém

Artículo publicado el 23/05/2004 en el Diario Melilla Hoy por Miguel Gómez Bernardi
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 08:37
Plaque de remerciement
Pièces jointes:
image014.jpg
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 08:47
J'y allais avec mes parents quand j'etais tout gosse. La fete pendant une semaine avec musique arabo-andalous. Et pour les adultes whisky a gogo.
Ca me chaud au coeur...Presque des larmes. Nous étions heureux.
Prous
Pièces jointes:
image004.jpg
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
08 mai 2008, 08:52
J'avais ces images stockees dans mon PC et je savais qu'un jour on en parlerait.
Pièces jointes:
image008.jpg
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
09 mai 2008, 06:12
Bonjour Prous,le neveu de Isaac Bendayan et Cousin de Saadi Cohen, j'ai eu le bonheur de participer a 2 hilloulotes de ce grand tsadik Saadia Adati de Melilla je suis en contact avec le rabbin Saadia Trouzman de Jerusalem qui organise tout les ans la hiloula, cette annee il a organise un voyage a Melilla il y a 3 mois, pour toi et pour ceux qui voudront voir les photos a Melilla, je vais demander a une amie qui a fait partie de ce pelerinage sur la tombe du tsadik Adati de me permettre de scanner les photos pour que je puisse les placer ici, voici quelques photos prises par moi il y a un an a Lag Ba Omer a Ashdod, a l'occasion de la hiloula du tsadik.


Voici le rabbin Saadia Trouzman de Jerusalem qui organise tout les ans la hiloula





ces femmes sont des amies a moi, elles sont nees a Melilla et habitent Ashdod.



C'etait l'annee derniere:a gauche la rabanite Marcelle Ovadia qui a etudie a l'Ecole cours complementaire et William Walid, moi debout,a droite Simone ma voisine du quartier La fonciere,Simone etait avec moi a l'Ecole d'Anfa aussi.






Modifié 2 fois. Dernière modification le 09/05/2008 06:16 par LA HIJA DEL MAR Y DEL SOL.
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
17 mai 2008, 21:36
N'oubliez pas c'est aujourd'hui le sefer torah si D. veut.
bonne semaine a tous, ceux qui veulent assister telephonez et on vous donnera l'adresse.
bisous Soly


Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
18 mai 2008, 14:36
Bonne semaine a tous, je viens a l'instant de rentrer de la grande hiloula et du Sefer Torah au nom du grand Tsadik de Melilla Saadia Adati be lah ou bee3.
Que son Zekhout et sa saintete nous protege amen.
Ce soir c'est la hiloula egalement de Rabbi Meir Baal A Nes.

la ceremonie de la couture du sefer Torah a commence a 17h a la synagogue marocaine Azriel au mercaz Dalet a Ashdod
a 19h sortie de la synagogue derriere le sefer torah par les rues d'Ashdod jusqu'a la Mamounia.
A partir de 20h 30 reception dans les salons de la Mamounia

bisous Soly



Synagogue Azriel


Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
18 mai 2008, 14:41
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
18 mai 2008, 14:43
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
18 mai 2008, 14:45
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
18 mai 2008, 14:47
Re: SEFER TORAH AU NOM DU TSADIK ADATI A ASHDOD LE 18 MAI
18 mai 2008, 14:50
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