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DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT, discution, photos, temoignages.....etc...
Envoyé par royrol
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 13 février 2014, 06:29 |
Ah...les westerns de notre enfance.
On avait tous 10 ans, 12 ans, 15 ans...et on aimait ça les films de westerns.
Que de suspens et d'émotions pendant 2 heures.
RAPPELEZ-VOUS .....KIRK DOUGLAS, ANTHONY QUINN et les autres.
J'ai revu ce film cette semaine à la télévision et ça ma rappelé beaucoup de souvenirs de notre enfance à Rabat.
Matt Morgan, shérif d'une petite localité de l'Oklahoma, s'est juré de retrouver les deux assassins de sa jeune femme indienne, Catherine. Un des coupables est le fils d'un vieil ami, Craig Belden, devenu tout puissant à Gun Hill. Désormais la guerre est ouverte entre les deux camarades : Morgan fermenent décidé à venger sa femme et Belden qui tente tout pour sauver son fils Rick. Matt capture Rick et l'enferme dans une chambre d'hôtel, attendant le train qui doit l'emmener. Mais au moment de se rendre à la gare, Rick est tué accidentellement par son complice voulant le délivrer. Matt et Craig s'affrontent dans un dernier face à face, et Matt abattra Craig.
Voir un passage du film sur youtube:
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 13 février 2014, 07:32 |
de notre rue de la rue Henri Popp à Rabat, de notre quartier, LE VOX.
Ah...les westerns de notre enfance des années 50 et 60.
Nous y allons surtout en famille le mercredi soir étant donné que le lendemain, c'était le jeudi repos scolaire.
Des familles nombreuses y venaient, même des dames avec leur bébé.
Un bruit infernal envahissait la salle pendant la projection du film.
Déjà le bruit des revolvers des cow-boys, les sabots des chevaux battre la terre, les bébés qui chialent, les cris des spectateurs,
les pépites qui craquaient sous les dents, et certains commentaient le film car ils l'avaient vu plusieurs fois dans la semaine.
Quel bazar dans ce cinéma.
Les gens regardaient le western mais le vivaient aussi.
A la sortie de la salle, mes copains et moi se prenaient pour le héros du film, là c'était John Wayne.
Le lendemain jeudi on avait tous sorti nos revolvers,ceinturons, colts, nos chapeaux et les équipements qui vont avec comme ceux-ci.
Il ne manquait plus que le cheval.
J'ai reçu ce commentaire de jean-pierre B (22/04/2012 12:38) :
Bonjour, j'ai vécu à Rabat de 60 à 66, la dernière année Mr Pagès était parti se faire soigner en France, son fils Bernard le remplaçait. Je lui ai donné plusieurs fois un "coup de main" pour tenir la caisse du Cinéma le Samedi soir. L'ambiance était très populaire, le guichet de vente des billets était installé dans une sorte de "cabane" en bois qui se déplaçait parfois sous la poussée de la foule...
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 13 février 2014, 07:56 |
à Rabat dans les salles tels, le Vox, le Royal, le Colisé, la Renaissance, le Marignan.....
Des paysans mexicains, excédés par les exactions d'une bande de pilleurs conduite par Calvera, un chef cynique et rusé, engagent sept mercenaires pour les défendre après avoir remarqué deux d'entre eux, Chris et Vin, lors d'un enterrement mouvementé. Très vite, des oppositions apparaissent entre paysans et mercenaires. L'un des plus célèbres westerns de toute l'histoire du cinéma, remake des "Sept Samouraïs" d'Akira Kurosawa (1954).
En 1913, au sud du Texas, Pike Bishop et ses hommes s'apprêtent à attaquer les bureaux de la compagnie de chemin de fer. Mais Duke Thornton et ses chasseurs de primes les attendent au tournant. Un bain de sang se prépare...
1877. Un riche éleveur adopte le jeune orphelin, William Bonney, surnommé Billy. Lors d'une embuscade, le fermier est assassiné par quatre hommes. Billy jure de venger son père adoptif et abat deux des hommes. Son ami Pat Garrett tente de le dissuader de continuer sa vengeance. Mais Billy veut retrouver les deux autres hommes...
A la recherche de son père, le candide Tod Lohman quitte l'Iowa pour le Far West. Il provoque accidentellement la mort de l'un des fils de Hunter Boyd, un riche propriétaire. Ce dernier lance à sa poursuite ses autres fils, Otis et Tom, accompagnés de quelques hommes. Tod fait sans vraiment le vouloir une nouvelle victime, Otis. Traqué, le jeune homme s'enfonce à pied dans le désert...
Steve Judd, shérif à la retraite, doit aller chercher l'or d'une communauté de chercheurs et le ramener à la banque qui l'emploie. Il se fait accompagner par son vieil ami Gil Westrum et son jeune protégé Heck. Ceux-ci n'ont accepté le travail que pour s'emparer de l'or.
Dans une petite ville de l'Ouest, Demsey Rae est engagé dans le ranch appartenant à la séduisante Reed Bowman. Mais lorsqu'elle entre en guerre avec son voisin, Demsey s'éloigne...
Cochise, chef Apache, luttant contre l'armée américaine, se lie d'amitié avec un homme blanc, le capitaine Tom Jeffords, qui a épousé une jeune Apache.
Lorsque celle-ci est tuée par des hors-la-loi, les deux hommes scellent à jamais leur fraternité...
Indienne de naissance, mais adoptée en secret par une famille blanche, Rachel Zachary devient la cible de brutalités racistes lorsque ses origines sont découvertes. Les indiens veulent la récupérer, les blancs locaux veulent sa mort et son unique chance de survie est incarnée par un homme. Lequel est sur le point de livrer la plus terrible bataille de sa vie : sauver la femme qu'il aime !
En 1878, refusant de vivre dans une réserve, plusieurs centaines de Cheyennes partent en direction du Dakota où ils espèrent trouver une vie meilleure.
John T. Chance, shérif d'une petite ville du Texas, arrête pour meurtre Joe Burdette. Le frère de Burdette, puissant propriétaire terrien, va tout faire pour sortir son frère de prison. Pour lutter contre Nathan Burdette, le shérif est aidé par Dude, un alcoolique et Stumpfy, un vieil infirme.
A bientot pour la suite.
Mai 2009. Je me trouve à Rabat en visite, la capitale du royaume.
Une envie soudaine me prend d’apprécier un film sur grand écran !
J'étais déçu, car la capitale ne compte plus que DEUX salles de cinéma. Oui, deux salles pour une ville de près de 2 millions d’âmes !
Et pourtant, il fut un temps – pas si lointain – où chaque quartier de la ville avait son cinéma.
Alors, Rabat, où sont donc tes cinémas d’antan ? Démolis, abondonés, fermés, oubliés.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 13 février 2014, 08:57 |
à Rabat dans les salles tels, le Vox, le Royal, le Colisé, la Renaissance, le Marignan.....
VOILA LA SUITE:
Le shérif Rooster, un alcoolique borgne au grand coeur, est engagé par une jeune femme au caractère bien trempé, bien déterminée à retrouver l'homme qui après avoir tué son père, s'est enfui avec leurs économies. Un Texas Ranger assoifé d'argent, participe à la traque pour toucher la prime.
1851. A la recherche d’un endroit où implanter un ranch, Tom Dunson et son vieux compagnon Groot quittent la caravane de pionniers à laquelle ils s’étaient joints pour se diriger vers le Texas. Jugeant le périple trop dangereux, Tom laisse derrière lui sa fiancée, qui trouve la mort, peu après, lors d’une attaque d’Indiens. Tom et Groot recueillent bientôt un jeune garçon, Matt Garth, et s’installent près de la rivière Rouge....
1883, nord des Etats-Unis. Sandy McKenzie (Stewart Granger) était le plus grand chasseur de bisons, mais a décidé de se retirer et d'élever du bétail. Peu après que son troupeau soit piétiné à mort par des bisons il fait la rencontre de Charlie Gibson (Robert Taylor). Les deux hommes s'associent, embauchent deux écorcheurs, un jeune métis et un vieux unijambiste, et partent à la chasse au bison. Rapidement Gibson révèle sa vrai nature de tueur...
La diligence est le lieu de rencontre de neuf personnes qui font route, en Arizona, sur une piste menacée par les Indiens de Geronimo. Dallas, une prostituée, est chassée de la ville, tout comme Josiah Boone, un vieux médecin alcoolique. Mrs Mallory, enceinte, va rejoindre son mari, un officier, tandis que Hatfield, un joueur, décide de l'accompagner par galanterie. Gatewood, le banquier, s'enfuit avec l'or déposé chez lui. Mr Peacok, qui place du whisky dans les saloons, regagne sa famille à Kansas City. Curly Wilcox, le shérif, accompagne le conducteur Buck, sur cette route dangereuse. A la sortie de la ville, ils prennent un autre passager, Ringo Kid, qui souhaite exécuter les trois frères Plummer, assassins de son père et de son frère. Toutes ces personnes font le difficile apprentissage de la cohabitation dans un espace clos. Le voyage se poursuit dans une atmosphère de plus en plus tendue.
Une bande de voleurs fuyant un shérif débarque dans une ville fantôme, seulement habitée par un père et sa fille, tous deux à la recherche d'un gros magot plein d'or...
Dans le Far-West, un inconnu est accueilli par une famille de fermiers dont le fils voue une admiration sans borne au cow-boy solitaire...
Alors qu'il doit combattre un ennemi mortel de longue date, un shérif se rend compte que toute la ville refuse de l'aider...
Après la mort de ses parents, torturés et massacrés par trois hors-la-loi, Nevada Smith décide de se venger. Un armurier ambulant l'initie à la dure loi de l'Ouest. Fort de son habileté à manier le revolver, le jeune homme retrouve le premier des meurtriers dans un saloon et l'abat. Le deuxième est en prison... Nevada Smith doit donc à tout prix se faire arrêter...
1836 : le Texas, alors Province du Mexique, se rebelle et proclame son indépendance. Pendant treize jours, 185 braves, menés entre autres par le légendaire Davy Crockett, enrayent la progression de l'armée mexicaine, forte de 7 000 hommes, depuis une mission en ruines baptisée Alamo. Ils savent que l'assaut final tournera au massacre. Mais ils sont prêts à écrire de leur sang l'une des pages les plus héroïques de l'histoire de leur pays...
Benjamin Trane et Joe Erin sont deux mercenaires en quête d'aventures et d'argent durant la révolution mexicaine de 1866. Mais quand la belle et riche Comtesse Duvarre les engage pour l'escorter, elle et son trésor, jusqu'au régiment de l'Empereur Maximilian à Vera Cruz, Benjamin et Joe vont obtenir beaucoup plus qu'ils n'espèrent...
A bientot pour la suite.
Mai 2009. Je me trouve à Rabat en visite, la capitale du royaume.
Une envie soudaine me prend d’apprécier un film sur grand écran !
J'étais déçu, car la capitale ne compte plus que DEUX salles de cinéma. Oui, deux salles pour une ville de près de 2 millions d’âmes !
Et pourtant, il fut un temps – pas si lointain – où chaque quartier de la ville avait son cinéma.
Alors, Rabat, où sont donc tes cinémas d’antan ? Démolis, abandonnés, fermés, oubliés.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 13 février 2014, 09:18 |
à Rabat dans les salles tels, le Vox, le Royal, le Colisé, la Renaissance, le Marignan.....
VOILA LA SUITE:
Paul Regret, flambeur et escroc, tue un homme en un duel illégal à la Nouvelle Orléans en 1843. Il s'enfuit alors au Texas, où le capitaine Jake Cutter l'arrête. En route pour la prison, Regret parvient à s'échapper. Rentré à sa base sans son prisonnier, Cutter apprend que les 'Comancheros', de dangereux hors-la-loi, ont incité les indiens à attaquer. Cutter va retrouver Regret parmi les 'Comancheros', mais les deux hommes ne vont pas s'affronter, ils vont unir leurs forces.
1862. La guerre de Sécession fait rage. Jeune fantassin nordiste plein d'appréhension et torturé par la peur, Henry Fleming marche pour la première fois au combat. La panique le gagne et, au cours de l'engagement, il s'enfuit et se cache dans les bois. La nuit, il erre dans la forêt et retrouve sa compagnie qui bivouaque après avoir battu en retraite. Fleming invente une histoire pour expliquer sa disparrtion à ses camarades qui le croyaient mort. Mais, honteux, il finit par dire la vérité à son ami. Jim Conklin qui, lui aussi, avoue avoir eu peur. Le lendemain, la compagnie repart à l'attaque. Le général Grant galvanise ses hommes. Une grande bataille a lieu. Cette fois, Henn Fleming a vaincu sa peur: c'est lui qui, s'emparant du drapeau nordiste abandonné par un soldat blessé, harangue les troupes et les conduit à la victoire...
Jake Wade est devenu un shérif respecté dans une petite ville du Nouveau Mexique. Personne ne connaît son passé de bandit, personne ne sait qu'il a grugé ses anciens copains en emportant l'argent d'un hold-up. Il apprend que leur chef, Clint Hollister, qui lui avait sauvé la vie, va être pendu dans une ville des environs.
Précédé de sa réputation de justicier infaillible dans les duels au pistolet, John Bernard Books arrive à Carson City dans le Nevada. Tandis que plusieurs de ses vieux ennemis entendent bien lui faire payer une dette ancienne, Books oublie la menace pour consulter son ami, le Dr. Hostetler. Diagnostic : une longue maladie au stade terminal. Vénéré par le fils de sa logeuse, Books se refuse au désespoir, à la résignation. Quitte à mourir, autant mourir les bottes aux pieds et le colt arraché à son fourreau.
Une bande de hors-la-loi sème la terreur. Les habitants font alors appel à "L'homme aux colts d'or". Celui-ci débarque dans la petite ville, accompagné de son ami et associé, le boiteux Tom Morgan, qui ne tarde pas à ouvrir un rentable saloon.
Le Wyoming en 1865. Sergent-major de l’armée fédérale, Lance Poole, d’origine indienne, revient dans son village. Il découvre que, malgré sa médaille du Congrés, il reste «un sale indien». Il se replie dans sa réserve que «la porte du diable» protège du vent...
Powder Valley, 1880. Jason Sweet doit faire paître un important troupeau de moutons, ce qui est loin de plaire aux éleveurs de bovins. Dès son arrivée, il s'applique à démontrer sa force et se bat avec Jumbo McCall le laissant à terre, ce qui satisfait les habitants. Jason n'est pas homme à se laisser impressionner..
Quand meurent les légendes
A la mort de ses parents, Tom Black Bull, un jeune Indien qui vivait jusque-là dans les montagnes du Colorado, est confié aux autorités de la réserve. Tom finit par s'intégrer au ''monde moderne'', parlant la langue des Blancs et travaillant comme garçon de ferme. Son talent pour dompter les chevaux sauvages le fait remarquer par le propriétaire d'un ranch, spécialiste de rodéo.
Durant la guerre hispano-américaine, en 1892, six fuyards se réfugient avec une cargaison d'or dans la ville natale de leur chef.
Evocation de la vie du célèbre chasseur de bison (et tueur d'indiens), Buffalo Bill...
A bientot pour la suite.
Mai 2009. Je me trouve à Rabat en visite, la capitale du royaume.
Une envie soudaine me prend d’apprécier un film sur grand écran !
J'étais déçu, car la capitale ne compte plus que DEUX salles de cinéma. Oui, deux salles pour une ville de près de 2 millions d’âmes !
Et pourtant, il fut un temps – pas si lointain – où chaque quartier de la ville avait son cinéma.
Alors, Rabat, où sont donc tes cinémas d’antan ? Démolis, abondonés, fermés, oubliés.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 13 février 2014, 09:32 |
à Rabat dans les salles tels, le Vox, le Royal, le Colisé, la Renaissance, le Marignan.....
VOILA LA SUITE:
Le vieil Archie Strobie, propriétaire du plus important ranch de la région, donne la direction de ses affaires à son fils adoptif Owen Daybright. Son propre fils Lee ne s'intéressant qu'aux jeux et aux femmes, Archie décide de l'écarter de la gestion du domaine. Lee, jaloux d'Owen lui tend une embuscade mais ce dernier s'en sort. Une guerre ouverte éclate alors entre les deux hommes....
Le shérif Guthrie McCabe part en compagnie du lieutenant Jim Gary en territoire indien. Ils sont chargés de négocier avec les indiens comanches la restitution des prisonniers blancs qu'ils ont capturés au cours des dix dernières années...
1872. Au bout de la piste poussiéreuse, les ennuis commencent. Assoiffés, prêts à dégainer pour un rien, les cow-boys viennent de mener leur troupeau à Dodge City, là où trop souvent la force fait loi. Il faudrait bien que la loi règne dans cette ville corrompue où les balles sifflent à tout instant. Lorsque Wade Hatton, patron du troupeau, devient shérif, c'est fait...
Un capitaine confédéré est mêlé à une guerre indienne...
Le sergent Trainor escorte les survivants d'un raid lancé contre les Comanches. En chemin, ils croisent une diligence qui va faire route avec eux. A son bord se trouve la jolie Julia. Mais l'eau vient bientôt à manquer et le groupe va devoir subir les attaques des Indiens. Signé par l'un des maîtres du genre, ce western a comme principale originalité d'être centré sur la soif et la recherche de l'eau.
A la suite d'une bagarre dans un saloon, Daniel Chill est mis en prison avec trois étrangers. Ceux-ci proposent au jeune homme de les aider à piller une banque. Le petit frère de Daniel, Billy Joe, est chargé de mettre le feu à une ferme afin de détourner l'attention. Pendant ce temps il délivre les hommes qui pillent la banque en un temps record, donnent le magot à Billy et se 'renferment' en prison. Mais le lendemain, arrive dans la petite ville le Marshall Cahill, très étonné de voir son propre fils en prison...
Alors que la Guerre de Sécession touche à sa fin, un groupe de soldats sudistes attaque une trésorerie Yankee et file avec le butin. Parmi eux, trois frères : Vance, Ray et Brett. Au lieu de remettre l'argent à l'armée sudiste en déroute, ils décident de se le partager. Ce trésor de guerre va attiser bien des convoitises...
1870. La mission du Sergent Vinson est de ramener au fort les survivants d'une colonne de cavalerie qui fut attaquée et décimée par les Indiens. Assoiffé de vengeance, Vinson perd le sens de ses responsabilités et cherche avant tout à satisfaire une vengeance personnelle.
Un ancien mercenaire veut se fixer dans une petite ville frontalière. Il prend la défense d'un jeune Mexicain et se dresse contre un puissant clan familial.
Recherché pour meurtre, Brendan O'Malley trouve asile dans un ranch et se fait engager en tant que convoyeur. Mais il est poursuivi par le shérif Dana Stribling.
Mai 2009. Je me trouve à Rabat en visite, la capitale du royaume.
Une envie soudaine me prend d’apprécier un film sur grand écran !
J'étais déçu, car la capitale ne compte plus que DEUX salles de cinéma. Oui, deux salles pour une ville de près de 2 millions d’âmes !
Et pourtant, il fut un temps – pas si lointain – où chaque quartier de la ville avait son cinéma.
Alors, Rabat, où sont donc tes cinémas d’antan ? Démolis, abandonnés, fermés, oubliés.
FIN DE CETTE SÉRIE DE FILMS DE WESTERNS, JE PARLERAI DES FILMS DE PÉPLUMS DE NOTRE ENFANCE DES CINÉMAS A RABAT DES ANNÉES 50 et 60.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 18 février 2014, 08:46 |
Les principaux Hits français de l'année 1962.
La Boum ou La surprise-partie.
Une boum est une fête musicale et dansante organisée par des adolescents, souvent à l'occasion d'un anniversaire ou de la fin de l'année scolaire.
Elle évoque souvent les premiers émois et l'éveil sexuel des adolescents, à travers leurs premiers slows.
La sublimissime Françoise Hardy chante " Le Temps des copains".
Une table recouverte d'une nappe à carreaux rouge et blanc, des bouteilles de Coca-Cola en verre, de la limonade et des gâteaux faits maison accueillent les premiers invités.
Eddy Mitchell et ses Chaussettes noires font tressauter le Teppaz, et les plus délurés se lancent sur la piste de danse.
Les jupes amples des filles s'envolent sur un twist endiablé.
Un petit malin pose un slow sur le tourne-disque, les garçons réajustent leur fine cravate, se passent la main dans les cheveux, puis se lancent courageusement.
C'était mes amis de jeunesse des années 60 à Rabat.
Et ainsi une page de toute notre histoire et de ces jeunes années passées et vécues à Rabat , les années 1950 et 1960 se ferment pour toujours...
Mais les souvenirs de ces beaux visages, de ces cœurs pleines de vie et de joie de vivre seront toujours dans nos mémoires collectives.
C'était une belle époque, innocente, et les liens communautaires se mélangeaient aux liens d'amitié pure et de fraternité entre voisins, entre amis intimes....nous étions alors une grande famille.
Rabat était depuis très longtemps la capitale royale du Maroc. Ses habitants ont joué un rôle important à la cour du roi comme conseillers mais aussi comme intervenants entre les cultures occidentales et marocaine dont nous sommes issus.
Souvenons nous des grandes familles Aflalo,Alban, Amzallag, Amiel,Amar,Assaraf,Assayag,Amsellem, Attias, Azuelos,Azogui, Assayag, Benaccoun,Benhamron,Benharroch, Benitah,Benizri,Bohbot, Benayoun, Benchetrit, Benegmos, Bouenos,Bendavid,Bellehsen,Benoliel, Benzimra,Bensoussan, Bencheton,Benzaken,Cohen, Chicheportiche,Chriqui, Dahan,
Davila,Darmon,Derhy,Edery,Elmaleh,Elkaim,Elharar,Encaoua,Ettedgui,Halioua,Hassan, Ittah, Kohane,Labouz,Lasry,Levy,Louski,Mechaly,Marciano,Moyal,Melloul,Moryoussef,Ouaknine,Ruimy,Revah, Serezo,Sebon,Sibony,Suissa, Tobelem,Tordjman,Wisman,Zenati...
et beaucoup d'autres noms trés familiers de notre milieu ancestral..
Alors continuons ce que nous avons bien entamé ..notre communauté s'est agrandie au fil des années en diaspora, et ce lien les raméne à leurs antécédents, à leur identité réelle et profonde..
RBATI, RAPPELLE TOI DE RABAT. C’ÉTAIT TA VILLE.
« OUI c'est bien mes yeux qui s’ouvraient pour la première fois sur ce monde, ici, en 1949.
Où étais-je ?
Sur cette planète terre, en Orient, en Afrique du nord, au Maghreb, au Maroc, à Rabat.
Il y avait une maison, un jardin, des insectes microscopiques sous les feuilles de bananiers ainsi que des oranges mûres à terre, que nous écrasions du pied avec nos petites chaussures.
Revenir à l’origine du monde, pour un peintre, c’est du grand luxe.
J'ai été trempé dans le thé à la menthe et tous mes souvenirs se raccrochaient ici, à Rabat.
J’avais aujourd’hui rendez-vous avec cette lumière blanche et aveuglante, responsable de mes rides de mes soixante années. »
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 20 février 2014, 00:26 |
Souvenez-vous les rbatis la rue où se trouvait le lycée professionnel que j'ai fréquenté pendant 3 ans
Il s'appelait Collège At Tadily à Rabat, quartier de l'Océan.
63-64
64-65
65-66
Section électricité.
Dans cette rue se trouve aussi le cimetière israélite où est enterré mon grand père Salomon Benzaken.
Cette rue s'appelait jusqu'en 1975 rue de Poitiers et le lycée aussi s'appelait Ecole rue de Poitiers.
Certains ne connaissent pas cette rue ni le nom de cette rue.
Je vais vous le dire:
Rue JAZIRAT EL ARABE
Vous allez me dire pourquoi ce nouveau nom de rue?
POITIERS-----ARABE
Vous avez trouvé?
Je répète:
POITIERS-----------------------ARABE
Vous avez compris enfin, surtout ceux qui connaissent un peu l'histoire de France.
Charles Martel arrête les arabes à Poitiers.
En l'an 732.
25 octobre Le Duc des Francs, Charles Martel, vient au secours de Eudes, le Duc d'Aquitaine, en arrêtant l'avancée des Sarrasins en France. Partis de Pampelune durant l'été, les arabes emmenés par Abd al-Rahman ont envahi le territoire basque et dévasté Bordeaux en quelques mois. Après avoir rassemblé une armée à la hâte, Charles Martel rejoint les troupes musulmanes à proximité d'une voie romaine reliant Châtellerault à Poitiers et met un terme à leur percée fulgurante. Leur chef est tué pendant la bataille.
Qui a donné ce nouveau nom???manhaf!
Pour ceux qui sont intéressés concernant ce cimetière juif à Rabat voici les coordonnées du gardien:
roland benzakenModifié 1 fois. Dernière modification le 20/02/2014 00:27 par royrol.
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 24 février 2014, 13:01 |
Oum Kalsoum, à Rabat.Lors de son passage au Maroc, une soirée est organisée en son honneur en présence d'Abdel Nasser et de Mohammed V, roi du Maroc. L'"Astre d'Orient", comme elle est surnommée, fut une figure du rêve de l'unité panarabe.
La voix d'Oum Kalsoum, dont Maria Callas avait dit qu'elle était incomparable (14 000 vibrations/seconde), provoque chez son auditoire le tarab, plaisir proche de l'extase. Lors de ses concerts, l'auditoire est emporté par sa voix qui détache chaque mot et redonne toute sa poésie à la langue arabe.
Oum Kalsoum, à Rabat en 1968 avec des chanteurs traditionnels marocains.Dès les années 40, la notoriété d'Oum Kamoul dépasse les frontières de l'Egypte et touche l'ensemble du monde arabe.Elle est surnommée "la Voix des Arabes".
La cantatrice égyptienne a également inspiré des créateurs contemporaines comme en témoigne le Sarah's bag, sac à main de la collection Oum Kalsoum créés par Sarah Baydoun et Sarah Nahhouli.
Musée Oum Kalsoum au Caire. Lorsque la cantatrice s'éteint en 1975, ses funérailles sont dignes de celles d'un chef d'Etat. Près de 5 millions de personnes l'accompagnent vers sa dernière demeure. Aujourd'hui, la musique d'Oum Kalsoum hante encore les rues d'Egypte.
En 1948, Oum Kalsoum rencontre le président égyptien Gamal Abdel Nasser qui lui voue une grande admiration. Dans ces chansons, Oum Kalsoum chante sans cesse son amour pour la nation égyptienne. Elle devient dés les années 60, un des symboles forts de l'unité nationale égyptienne.
Son décès le 21 Janvier 1973 provoque de tels mouvements de foule que les autorités décident de reporter les obsèques de deux jours afin de permettre aux endeuillés du monde entier de rejoindre le Caire. Et, le jour de l'enterrement, des millions d'égyptiens en pleurs arrachent le cercueil du cortège officiel pour le porter pendant plus de trois heures à travers les rues du Caire, marquant des arrêts dans les lieux qu'elle avait particulièrement aimé.
1967, Oum Kalsoum chante à l'Olympia, à Paris.
C'est unique. Le patron, Bruno Coquatrix, incrédule et peu informé, l'a programmée dans un creux, un lundi. C'est l'émeute. Ils sont venus de partout, de Boulogne-Billancourt, de Belgique, d'Allemagne, de Suède en charters, en bus, en voiures.
C'est complet. Un richissime prince arabe braque la caissière, muni à la fois d'une arme et d'une grosse liasse de dollars. Alerté, Coquatrix offre au fan enflammé un tabouret dans une allée.
Et Oum chante, pour l'unité arabe, pour l'Egypte fraîchement mise à mal par la guerre de six jours contre Israël. Dans la salle, il y a des juifs, raconte alors Coquatrix.
Ennuyé par le militantisme de la dame aux lunettes noires, il s'enquiert de l'état psycho-politique d'un de ses amis, qui lui répond : « Ce n'est rien, c'est Oum, c'est tout. »
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 03 avril 2014, 23:01 |
J'en possède un depuis plus de 50 ans.
Petit à Rabat je me rappelle pour Paques je pilais la matsa (galettes de Paques) pour la réduire en poudre et ma mère faisait des pâtisseries.
C'est très lourd au moins 4 kilo.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 04 avril 2014, 23:58 |
Citation
royrol
Vous vous rappelez le PILON en cuivre.
J'en possède un depuis plus de 50 ans.
Petit à Rabat je me rappelle pour Paques je pilais la matsa (galettes de Paques) pour la réduire en poudre et ma mère faisait des pâtisseries.
C'est très lourd au moins 4 kilo.
Salut Roland,
Le pilon est fait en bronze et pas en cuivre.
amitiés
"A"
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 08 avril 2014, 04:19 |
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 08 avril 2014, 04:20 |
NOUS LES ANCIENS DE RABAT.
roland benzaken
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 08 avril 2014, 04:22 |
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 08 avril 2014, 23:43 |
Et il fallait que ça brille, sinon elles recommençaient.
On me pose la question:
Comment faire pour nettoyer un plateau en cuivre qui est en partie fait de vert de gris?
Avec un pinceau, badigeonnez la surface à nettoyer de jus de citron. Rincez rapidement à l'eau tiède et essuyez avec un linge un petit peu chaud. Ce procédé est notamment recommandé pour les cuivres ciselés.
Frottez votre objet avec un mélange de vinaigre, de farine et de sel à parts égales. Frottez ensuite avec un chiffon de laine pour faire briller.
Plus simplement, utilisez un détergent dilué avec de l'eau très chaude.
Allez à votre besogne!
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 20 avril 2014, 09:10 |
Robert Ohayon m'écrit:
Mon père, David Ohayon a travaillé à la Chapellerie Albert sous la direction de Robert Reifstchtek, à gauche sur la photo avec le chapeau gris clair. Mon père est sur la photo au milieu avec le chapeau haut de forme. A sa droite, c'est son frère Prosper avec le chapeau conique. Merci Roland pour la photo qui doit datée du début des années 1930.
A droite sur la photo on voit la bijouterie "au rubis ".
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 20 avril 2014, 09:15 |
Abdelghafour Mouhsine (Vigon) : Chanteur
The soul man
Personne n’aurait cru que ce fils de marchand ambulant de légumes de la médina de Rabat ferait un jour les premières parties de groupes aussi mythiques que les Rolling Stones ou les Who… Pourtant, nourri aux rythmes du rock et du blues des disques des militaires américains présents dans les années 1950-60 au royaume, Vigon a vu les portes de la célébrité s’ouvrir devant lui en gagnant un radio crochet organisé au cinéma Royal de la capitale. Lui qui ne parlait pas un mot d'anglais (ses camarades l’auraient même surnommé Vigon, du fait de sa mauvaise prononciation du mot “wagon” dans la langue de Shakespeare), s’est retrouvé à animer des soirées dans les bases américaines et dans les bars rbatis à la mode. Mais c’est à Paris qu’il enregistre, en 1968, son tube Harlem Shuffle. Aujourd’hui, après une longue absence, le soul man de la médina est de nouveau sur le devant de la scène : une participation retentissante à l'émission de TF1, The Voice, et un concert superbe au dernier Mawazine.
roland benzaken
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 21 avril 2014, 07:24 |
Citation
royrol
Mauvaise nouvelle, ALBERT manque de chapeaux et de casquettes.
Robert Ohayon m'écrit:
Mon père, David Ohayon a travaillé à la Chapellerie Albert sous la direction de Robert Reifstchtek, à gauche sur la photo avec le chapeau gris clair. Mon père est sur la photo au milieu avec le chapeau haut de forme. A sa droite, c'est son frère Prosper avec le chapeau conique. Merci Roland pour la photo qui doit datée du début des années 1930.
A droite sur la photo on voit la bijouterie "au rubis ".
Bonjour,
Elle est belle la photographie transmise par Robert OHAYON
...prise sur l'avenue Dar el Makhzen de RABAT où l'on peut voir la chapellerie "ALBERT" et la bijouterie AU RUBIS DE FEZ...
Ces commerces se trouvaient dans l'immeuble dit "Leroy-Liberge"...La bijouterie "Au Rubis de Fez" a eu pour premier propriétaire le dénommé Pierre NATTEI...c'est en 1927 que ce fond de commerce(bijouterie) a été vendu à Messieurs Jacques COHEN et Elie Scialon...
Au fait n'y avait-il-pas,en 1975,un tailleur dénommé OHAYON dans le quartier POPP?...
Cordialement
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Re: DE TOUT ET DE RIEN UNIQUEMENT DE RABAT,discution,photos,t?moignages.....etc... 04 juin 2014, 00:12 |
Photo unique de la vue depuis le sommet de la tour Hassan à Rabat. Attention imprudence, la petite fille va tomber.
roland benzaken
roland benzaken
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