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51 ANS DEJA LA AZKARA DES NOYES DU BATEAU EGOZ A ASHDOD LE 10 JANVIER 2012

La tragédie du naufrage
Le 10 Tevet 1961 (10 janvier 1961) un bateau appelé "Egoz" s'embarque pour la treizième fois, au départ d'Al-Hoceima au nord du Maroc, vers le port de Gibraltar. A bord, 44 M'aapilim (immigrants clandestins pour Israël) Juifs marocains, des hommes, femmes, enfants et personnes âgées en route pour la Terre Promise. Le bateau échoue avec tous ses passagers. On dénombre seulement à 22 le nombre des corps des passagers retrouvés qui seront enterrés au cimetière juif d'Al-Hoceima. Les autres 22 corps sont descendus dans les abîmes à jamais.

Le rapatriement des ossements
Après des années de négociations et de tractations menées par Sam Benchetrit au nom du gouvernement d'Israël et des personnalités marocaines et internationales ainsi que des organisations internationales; le roi Hassan II autorisa le rapatriement des ossements des naufragés du cimetière d'Al-Hoceima à Jérusalem.

L'enterrement national

Les cercueils des 22 naufragés ont été rapatriés en Israël et eurent droit à des obsèques nationales au Mont Herzl (le 14.12.1992). Suite aux honneurs rendus aux cercueils des naufragés, le Président d'Israël, le Premier Ministre, les ministres du gouvernement, les grands Rabbins d'Israël, le Juge de la Cour Suprême, de hautes personnalités ainsi que les familles des naufragés du "Egoz" ont assistés à la cérémonie.
Ainsi l'Etat d'Israël a rendu hommage et honneur à ses héros. Cet hommage a été rendu à Shimon Pérès, Yitzhak Shamir et au souvenir de Menahem Begin, que son âme repose en paix, qui a répondu à notre demande d'accorder une reconnaissance nationale aux naufragés du "Egoz" (le 28.12.80) ainsi qu'à Yitzhak Rabin, que son âme repose en paix, qui a réalisé une grande mitsva lorsqu'il a fait rapatrier les ossements des victimes du Maroc à Jérusalem.

Perpétuation du souvenir des M'aapile-Egoz

Le conseil national des M'aapilim du "Egoz", s'est engagé à transmettre l'histoire des naufragés du bateau ainsi que l'histoire de l'Alyah des Juifs d'Afrique du Nord, lors de leurs actions pour la sécurité des frontières d'Israël.

Le conseil national poursuivra ses efforts pour chercher les corps des autres 22 M'aapilim pour les sortir des fonds marins, les rapatrier et les enterrer à Jérusalem afin que les familles des défunts aient toujours une tombe sur laquelle ils peuvent se recueillir et exprimer leur peine.

Le serment sur les tombes

Après dix années d'efforts menées par Sam Benchetrit, émissaire du gouvernement d'Israël auprès de personnalités internationales, Sam Benchetrit realise son serment sur les tombes des victimes.
du "Egoz",pour la première fois en Mai 8, au cimetière juif d'Al-Hoceima, une parcelle entre le cimetiere musulman et le cimetiere chretien, sans porte, une parcelle entouree d'une haute muraille, d'environ 2 metres,(Soly possede la k7 ) Sur ce lieu, Sam a allumé sur chaque tombe une bougie et il a déposé une fleur au nom de tout Israël. Et surtout, il a prié et porté le serment suivant: "Et Joseph a fait jurer à ses frères: Dieu se rappellera de vous et vous apporterez mes ossements en Terre Promise" (Béreshit 20/25). Sam s'est promis de faire tout ce qui est en son pouvoir pour le rapatriement des cercueils en Israël. Que le souvenir des M'aapilim "Egoz" soit bénit!

ALLAH YARHAM HOUM :

EGOZ : Le bateau qui a dévoilé le secret de l'exode des juifs marocains
Mohamed SIHADDOU - Un sujet qui reste encore très ambigu dans l'histoire contemporaine marocaine est l'organisation de l'émigration des juifs marocains vers la « Terre Promise » depuis les côtes rifaines (Al-Hoceima, Le Rif).

Cette émigration n'a pas concerné que les juifs de Fès, de Meknès, de Marrakech, de Rabat, ou de Casablanca mais aussi des juifs qui n'ont jamais vécu ailleurs que dans les villages berbères et ne parlaient d'ailleurs que la langue Tamazight. Des populations entières, dont souvent les origines remontent à des millénaires, comme c'est le cas pour les juifs du Haut-Atlas et particulièrement de la région de Tafilalet, ont été empressées de quitter leur terre natale.

Cette émigration était organisée par les puissances occidentales avec la complicité des autorités marocaines de l'époque à l'insu des populations rifaines. Les départs des juifs marocains clandestins étaient massifs et organisés avec une grande discrétion, de préférence le soir vers les côtes européennes pour ne pas attirer l'attention des rifains juste sortis des évènements de 1958.

Pourquoi cette émigration clandestine massive et échelonnée sur plusieurs années reste encore aujourd'hui très ambiguë ?

Comment expliquer ces départ massifs de juifs marocains du pays où ils avaient pourtant des racines très anciennes, au point qu'il n'en reste aujourd'hui que quelques 3000 personnes au Maroc ?

L'explication détaillée se trouve sans doute dans les archives de l'Agence Juive Internationale, l'Alliance Israélite et le Mouvement Sioniste aux ramifications mondiales. Mais pour comprendre le phénomène migratoire des juifs marocains, il faut puiser un peu dans la chronologie des événements qui ont secoué le Monde à partir de la Deuxième Guerre Mondiale et le Maroc pendant la période du protectorat, mais surtout les incertitudes politiques qui ont marqué le pays après son indépendance, et plus précisément les soulèvements populaires.

En 1948, sous le protectorat, le Maroc devait compter entre 220 et 230 000 juifs, représentant le nombre le plus important dans ce pays d'Afrique du Nord. Ce nombre sera divisé par quatre pour enregistrer 60 000 juifs seulement vers 1965 ; cette énorme baisse démographique des juifs marocains sur une courte durée s'explique par de nombreux départs vers Israël, mais aussi vers l'Amérique du Nord et l'Europe. « Sur les 164 000 Juifs que comptait le Maroc en 1960, plus de la moitié, soit 102 157, avaient émigré entre 1961 et 1964 pour Israël ou pour l'Europe et l'Amérique lors du plus grand exode connu par les Juifs marocains au cours de leur histoire millénaire », écrit Robert Assaraf dans son livre « Une certaine histoire des Juifs du Maroc 1860-1999 ». publié récemment.

Le sionisme international s'est développé dans le monde occidental de plus en plus dès 1924. Une conférence du Congrès Juif Mondial s'est tenue à Casablanca en 1930, et quelques années plus tard une émigration juive essentiellement des réfugiés fuyant l'Europe nazie sera organisée depuis l'Europe vers le Maroc. Après l'armistice de 1940, le régime de Vichy instaure les lois d'exception avec « numerus clausus » des juifs dans la fonction publique et d'autres secteurs de la vie politique et économique. Devant cette nouvelle situation, l'action de l'Agence Juive Internationale et l'Alliance Israélite poussera les juifs à émigrer vers l'Amérique du Nord et du Sud.

En novembre 1942, les américains débarquent au Maroc et sont accueillis avec joie par la population juive installée au Maroc et les lois de Vichy sur le statut des juifs seront abrogées quelques mois après. En 1948, l'Etat d'Israël est proclamé et des contestations vigoureuses éclatent au Maroc comme dans tous les pays arabes et qui feront bien évidemment des victimes juives. Ces émeutes provoquent le début de l'émigration vers la Palestine mais elle reste très limitée.

Le protectorat va permettre à cette communauté juive marocaine de prendre une importance considérable dans la vie politique et économique du pays. Elle disposait de plusieurs institutions sociales et économiques et de centres d'influence politique. La communauté juive installée au Maroc constituait à elle seule l'essentiel de la bourgeoisie marocaine de l'époque. Le sultan Mohammed V soutenait vigoureusement la communauté juive marocaine et les considérait comme des citoyens à part entière mais leur interdisait de devenir Israéliens. Cependant en 1953 le sultan est déposé par les autorités coloniales françaises. En 1954, sous l'influence des discours enflammés du Raïs égyptien Gamal Abdel Nasser, de la montée en puissance du panarabisme au Maroc relayé par les nationalistes marocains comme le parti Istiqlal, des émeutes ont éclaté à nouveau dans diverses villes et régions marocaines et des hostilités envers les juifs marocains ont été constatées partout au Maroc. Ces évènements vont favoriser une nouvelle émigration, souvent dans la clandestinité, vers la Palestine, la France, le Canada et les Etats Unis.

Mohammed V revient au Maroc et l'indépendance est proclamée en 1956. Les juifs vont occuper alors des postes clefs et importants dans le Gouvernement et l'administration marocaine malgré le statut de la dhimma (protection religieuse du Makhzen), qui interdisait aux juifs d'occuper des postes dans la fonction publique. Après 1958, le Gouvernement de Balafrej a adhéré à la ligue arabe et la langue Arabe est devenue la langue officielle ou nationale du pays. Le Gouvernement marocain a interdit aux juifs de continuer d'avoir toute relation avec Israël s'ils veulent continuer à être considérer comme des marocains. Les juifs ont été mis dans une situation délicate et surtout très embarrassante vis-à-vis d'Israël. La crainte des juifs de l'assimilation suite à l'intégration de la ligue arabe et les soupçons sur leur patriotisme, en plus de l'interdiction de visiter Israël ont provoqué un mouvement d'émigration clandestine initié et organisé dans la hâte par les différentes organisations israéliennes.

Les conséquences de la Seconde Guerre Mondiale et le nouveau contexte géopolitique international, marqué par la création de l'Etat d'Israël ont bouleversé les structures traditionnelles des diasporas juives dispersées à travers le monde. Désormais, on assiste à l'implantation en Afrique du Nord et surtout au Maroc des organisations juives sionistes qui considéraient le Maroc comme le principal réservoir pour peupler Israël.

Dès le début des années 60, les autorités marocaines et les services secrets israéliens ont tissé des liens très étroits. Sous l'impulsion des stratèges occidentaux qui s'inquiétaient sur le plan des équilibres démographiques vis-à-vis des populations arabes de la Palestine, le jeune Etat hébreu conscient de son avenir sur le plan démographique s'est empressé de conclure un accord avec les autorités marocaines. Il a dépêché des membres de l'Agence Juive et certainement des éléments du Mossad au Maroc pour négocier l'émigration des juifs marocains. Cet accord a été négocié par un collaborateur de Général Oufkir ; en échange, les puissances occidentales offriraient leurs soutien contre le panarabisme et les idéologies progressistes très ferventes à l'époque et hostiles aux régimes monarchiques des pays arabes.

Le choix de l'organisation de cette émigration massive et clandestine s'est fait sur les côtes rifaines et ceci pour plusieurs raisons : d'abord la situation géographique exceptionnelle de la région avec son relief difficile et ses multiples criques à l'abri des regards, ensuite la réputation de la région à l'époque comme zone de tout genre de trafic et de contrebande entre les deux rives de la méditerranée et l'Algérie, enfin la région était bien quadrillée par l'armée marocaine après les évènements de 1958 .

Le mercredi 11 janvier 1961, un bateau appelé Egoz, ancienne vedette de l'armée britannique reconvertie en bateau de contrebande, qui était sur le point de faire pour la treizième fois la traversée clandestine des côtes rifaines vers Gibraltar, a échoué au large d'Al-Hoceima. On dénombre 42 juifs en majorité originaires du Casablanca, dont des membres du réseau du Mossad et trois membres de l'équipage espagnol qui ont péri lors du naufrage.

Les secours vinrent de toute part de la méditerranée (Base Britannique de Gibraltar, la marine française d'Algérie et Port d'Al-Hoceima). Les recherches prirent fin le jeudi 12 janvier 1961 ; vingt deux cadavres furent retrouvés mais on ne récupéra jamais l'épave du bateau ni les corps des 20 passagers restants.

Cet accident vient de confirmer les rumeurs qui circulaient à l'époque selon lesquelles des groupes de juifs marocains partaient à bord de bateaux espagnols pour rejoindre l'Europe, puis Israël. L'événement a ému la communauté juive marocaine et souleva une colère immense dans le monde occidental et surtout en Israël. L'Agence Juive Mondiale et le Congrès Juif crièrent au scandale et au complot. C'est ainsi que le naufrage du bateau Egoz a dévoilé le secret de l'exode des juifs marocains depuis les côtes rifaines.

Le prince héritier Moulay Hassan a reçu en audience une délégation de la communauté juive qui demandait l'autorisation d'enterrer religieusement les morts. A la suite d'une longue négociation extrêmement tendue, le prince accepta à condition que la cérémonie se réduise au strict minimum et qu'aucun officiel israélien et parent ne soient admis. Les 22 corps furent inhumés à la hâte dans un coin reculé du cimetière espagnol de la plage Cebadilla à Al-Hoceima.

Après des années de négociations et de tractations menées par le gouvernement israélien, des associations en Israël et des personnalités marocaines et internationales, le roi Hassan II autorisa le rapatriement des ossements des naufragés. Le 14 décembre 1992, des obsèques nationales furent organisées par l'Etat hébreu au Mont Herzl à Jérusalem en hommage à ces disparus du bateau Egoz.


Le mercedi 11 janvier 1961, le bateau Egoz etait sur le point de faire pour la treizieme fois la traversee clandestine vers Gibraltar. C’etait un tres vieux bateau qui avait servi pendant la 2eme guerre mondiale, une ancienne vedette de l’armee britanique reconvertie en bateau de contrebande.
A son bord 10 familles de juifs marocains, 42 personnes en tout, prets a faire le grand voyage pour « la Terre Promise » . Parmis eux le capitaine Francisco Morilla, 3 hommes d’equipages espagnols, Haim Sarfati, un israelien de 28 ans ne a Fes, delegue du Mossad, charge de la radio, qui effectuait sa derniere mission avant de rentrer se marier en Israel, Jacques et Denise Ben Haroch, maries juste la veille, David Dadoun et ses 2 enfants qui s’etait fait prendre avec un faux passeport à l’aeroport de Casablanca et qui etait heureux de rejoindre sa femme et ses 2 autres garcons deja en Israel, Henri Mamane, barman à Casablanca, et sa mere de quatre vingt ans, Hana Azoulay (veuve)et ses 5 enfants impatiente de retrouver ses 2 filles parties avec un groupe d’enfants 9 jours avant le 2 janvier.(une des fille est mon amie Gila Azoulay, chimiste au tekhnion de Haifa,presidente des familles des victimes noyees du bateau Egoz)
Les passagers etaient epuises apres 600 kilometres de trajet depuis Casablanca. En effet, pour ne pas attirer l’attention le groupe etait sense faire un pelerinage a Ouezzane sur la tombe du Tsadik Rabbi Amram Ben Diwan. En cas de contrôle apres Ouezzane ils devaient pretexter une invitation a un mariage aux environs d’Al Hocema. La traversee de la chaine du Rif avait ete tres difficile a cause de la neige et du brouillard. Vers minuit ils s’etaient arretes pres d’un pont ou 2 silhouettes masquees les avaient guidees sur un chemin rocailleux jusqu'à la plage. La, des hommes armes, membres du reseau du Mossad, le visage recouvert d’une cagoule les avaient aide a embarquer sur les canaux de sauvetage pour rejoindre le bateau.
Mais a mesure que le bateau gagnait la mer, la houle devenait mauvaise. Pourtant tout avait ete verifie et la meteo avait prevu un temps clement. A 3 heure GMT, a dix milles de la cote Marocaine, la coque fatiguee du bateau s’est fendue comme une « coque de noix ». En moins de 5 minutes, l’Egoz (noix)a coule a pic.
Sans doute le reseau du Mossad de Gibraltar parvint a capter les SOS et donnerent ils l’alerte. Le capitaine et deux marins reussirent a s’enfuir a bord de l’unique canot de sauvetage. Un chalutier espagnol, le Cabo de Gata les recueilla au lever du jour et donna egalement l’alerte. Alex Gatmon, le chef du reseau au Maroc, entre en fonction deux mois plus tot, averti au plus vite Ephraim Ronnelle , son superieur qui dirigeait depuis Paris les 3 reseaux d’Afrique du Nord. Les secours vinrent de toute part. Le garde cote Orphee et quatre chalutiers marocains partirent du port d’Al Hoceima. La base britannique de Gibraltar depecha une vedette rapide et un avion. Le commandant de la marine francaise en Algerie ordonna a deux escorteurs proche du lieu de l’accident (le Vendeen et l’Intrepide) de se detourner de leur route. L’attache militaire de l’ambassade d’Israel a Paris , le colonel Ouzi Narkiss, obtint du premier ministre Michel Debre l’aide de la France. Mais les secours arriverent trop tard. Vingt deux cadavres furent retrouves flottant a la surface retenus par une derisoire ceinture de sauvetage. Les recherches prirent fin le jeudi 12 janvier 1961 a 14heures 25. On ne retrouva jamais l’epave du bateau ni les corps de 20 des passagers dont ceux de 16 enfants.
Cet evenement souleva une emotion considerable dans le monde, accentue par une campagne virulente en Israel et au Maroc (campagne de tracts placardes dans les rues des mellahs appelee operation Bazak) suscitant la colere des autorites marocaines. Le prince heritier Moulay Hassan recu en audience une delegation de la communaute juive : le Docteur Leon Benzaken, ancien ministre des postes et ami personnel du roi Mohamed V, David Amar, chef de la communaute juive et le grand rabbin David Massas. Ils demanderent l’autorisation d’enterrer religieusement les morts. A la suite d’une longue negociation extremement tendue, le prince accepta a condition que la ceremonie se reduisit au strict necessaire et qu’aucun parent ne soit admis. Les 22 corps furent inhumes a la hate dans un coin recule du cimetiere espagnol d’Al Hocema.(entre le cimetiere musulman et le cimetiere chretien espagnol) et une muraille de plus de 1.50 metre a ete construite, j'ai la cassette video, qu'a filme Sam Benchetrit president des juifs marocains.
Depuis 1980 le 23 teveth a ete declare jour du souvenir pour le naufrage du bateau Egoz en Israel.
Apres des annes d'efforts et de tractations menees par le gouvernement israelien, des associations en israel et des personnalités internationales, le roi Hassan II autorisa le rapatriement des ossements des naufrages qui eurent droit a des obseques nationales au Mont Herzl a Jerusalem le 14 decembre 1992.

en 1967, 6 ans apres la tragedie du bateau egoz a ete place en plein centre de dimona dans le sud du neguev en israel,un bateau (monument),
et pres du bateau 44 petites fontaines et sur un tableau en marbre les noms de tous les juifs que je viens de citer( au debut) qui sont morts noyes.

il y a egalement un monument a ashdod en plein centre du quartier VAV ou habitent des centaines de juifs marocains.

Soly Anidjar


Re: 51 ANS DEJA LA AZKARA DES NOYES DU BATEAU EGOZ A ASHDOD LE 10 JANVIER 2012
21 octobre 2012, 04:10
en revoyant cette triste liste de personnes cheres qui ont disparus PAR kidouch hachem. je ne peux m'empecher que mon nom et ceux de ma famille auraient pu si ajouter,car nous etions inscrits pour ce malheureux voyage.et nous attendions ce jour la que le challiah vienne nous prendre comme prevu,il est arrive que le lendemain tout pale pour ns annoncer qu' il n'y avais plus de place dans ce cargo l'egoz,et que ce dernier a sombre avec tous les malheureux voyageurs et que nous l'avions echappe belle.les voies de l'Eternel sont impenetrables.j'ai deja raconter mon odyssee dans ce site et d'autres aussi.QUE LEURS AMES REPOSENT EN PAIX AMEN.
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