EBENISTERIE DE LA RUE DU CANIGOU AU MAARIF

Dans les années 1950, rue du Canigou, au MAARIF, à CASABLANCA, mon père et sa nouvelle compagne s'étaient installés dans une mezzanine qui surplombait son ébénisterie. Et comme tous les ans, pour les grandes vacances scolaires, mon oncle, qui était mon tuteur, et qui habitait Casablanca, était venu me récupérer à Rabat et nous partagions le temps entre Casa et la plage de Manesman, et sa belle lagune en face de notre cabanon. Et mon oncle qui bricolait 2 flotteurs d'hydravion Catalina pour en faire un catamaran, m'amena chez mon père chez qui j'allais passer deux jours. J'ai découvert le MAARIF !!!!!
Une ville dans l'immense CASABLANCA, avec ses petites rues, ses commerces, un marché continuel ou l'on trouvait de tout, ses cinémas, et même la salle de boxe ou MARCEL CERDAN, copain de mon père, s'entraînait....parfois avec mon père qui remplaçait le sac de sable !!!! Qui a connu cette rue du CANIGOU ?C'est là, que j'ai participé, aussi, à la réalisation de ce catamaran, que nous avons baptisé " ZITOUN 1 et avec lequel, ensuite j'ai appris à naviguer à la voile, en commençant par être jeté à l'eau par mon oncle, histoire de raccourcir le nombre de leçons de natation afin qu'il me laisse seul à la barre du bateau !!!

Vous écriviez précédemment que votre père avait son atelier d’ébénisterie à Rabat, rue du Capitaine Petitjean.

Quelle est la période pendant laquelle votre père a son activité à Rabat ? Et à Casa ?


La rue du Canigou à Casa sonne à mes oreilles de manière curieuse. Il me semble que ma tante et mon oncle (qui était décorateur et artiste peintre) habitaient cette rue du Maarif. J’ai une sœur aînée que je vais interroger sur ce point.

Actuellement, l’ancienne rue du Canigou s’appelle rue Abou Zaid Dadoussi.

.

Bonjour Jean-François.RABATI,
Et si mon père tenait son ébénisterie de la rue du Capitaine PETIT-JEAN de 1938 à 1950, c'est, ensuite, à CASABLANCA et au quartier du MAARIF et rue du CANIGOU qu'il s'installe avec sa nouvelle compagne, avec laquelle, si mon compte est bon, ils eurent 4 enfants, que je recherche, si vous pouvez donner un coup de main, merci d'avance.
Je sais que dans les années 1960, il va s'installer à Paris, puis retourne au Portugal en sa ville de naissance, Olhào, que lui et ses parents avaient quittés assez précipitamment car très opposés à SALAZAR le dictateur, pour aller s'installer à Port-LYAUTEY, il avait 2 ans . Il a écrit un livre, " FILS DE OLHÄO " en 1982 qui raconte ses activités politiques et l'entre deux guerres.

Bonjour Jean d’A.

Je vais rechercher auprès de ma famille si nous disposons d’informations sur votre père et ses enfants d’un second lit. Sans garantie de réussite.


Intéressant ce que vous racontez à propos du ‘’punching-ball’’ qu’était de temps à autre votre père pour Marcel Cerdán lors de ses entraînements.

A ma connaissance, la femme de Marcel Cerdán n’a jamais quitté le Maroc et à vécu misérablement ses dernières années dans une ‘’bicoque’’ de Fédala.

Je n’ai jamais pu vérifier.

.