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AZROU

Envoyé par MESSAGE DEPLACE 
Re: AZROU
09 janvier 2009, 11:48
Bonjour Mamouchka et les dafinautes,

Mon ami qui m'avait envoye cette photo du Monastere n'avait pas mis de date. Mais quel magnifique batiment, belle construction entouree d'arbres. Je te dirai que je n'avais jamais entendu parle de cet endroit que seulement recemment. Il faut m'excuser, je suis Meknassie! Alors pour etre moins bete j'ai ete faire un tour sur google et j'apprends donc que son nom vient d'une source qui alimentait Azrou et pour le reste je copie/colle:

"C'est le 26 octobre 1952 que Monseigneur Lefèvre, vicaire apostolique de Rabat, a béni le nouveau prieuré de moines bénédictins installé depuis peu au coeur du Moyen Atlas, à Tioumliline, du nom de la source qui alimentait Azrou. C'est la première communauté de religieux qui s'établit au Maroc pour y vivre la vie monastique faite de prière, de travail, de silence et d'austérité. Ce prieuré bénédictin se compose de quinze moines et de cinq frères convers venus de l'abbaye d'Encalcat, dans le tarn. Le prieuré de Tioumliline est situé à 5 kilomètres d'Azrou, dans une magnifique forêt de chênes verts. A 1.500 mètres d'altitude se dressent les bâtiments de l'abbaye qui dominent Azrou, qu'on aperçoit à travers une gorge profonde et boisée.

Le bâtiment central comprend, en étage, les cellules des moines; au rez-de-chaussée, les cuisines et le réfectoire. Un autre bâtiment est réservé au dortoir, à un pensionnat d'enfants et à la bibliothèque. Enfin un toisième bâtiment est la chapelle.

Indépendamment de la vie monastique, les moines de Tioumliline se consacrent à une institution d'enseignement secondaire pour une trentaine d'enfants qui vivent au milieu d'eux. En outre, il y a un home pour accueillir les hôtes, tradition en grand honneur chez les bénédictins, depuis saint Benoît. Mais il faut dire que la plupart sont des prêtres séculiers et des laïcs à la recherche de tranquillité ou avides de goûter les joies profondes de la vie monastique. Ils disposent d'une bibliothèque importante ramenée de France".


Si cela interesse les dafinautes, voici le lien ci-dessous. En tous les cas, ca m'a beaucoup interesse.

[azrou.anciens.free.fr]

Amicalement
Re: AZROU
09 janvier 2009, 11:56
Bonsoir Vancouver. Si je comprends bien tu as eu Rosette au téléphone. Effectivement je suis inscrit sur Dafina. Comme tu dis c'est rigolo. Au plaisir de te lire Au fait j'ai une petite cousine qui habite Philadelphie depuislongtemps elle est de Meknés comme moi sa mére étai infirmiére à la clinique Cornette. Géographiquement elle est plus proche de toi. Amicalement JR76
Re: AZROU
09 janvier 2009, 13:23
Jr76 -

En effet j'ai discute avec Rosette. Philadelphie n'est pas la porte a cote quand meme. C'est tres grand ce continent tu sais. En voila une ville que j'aimerai bien visiter avant de mourir! J'ai surement du connaitre sa mere a la clinique Cornette ou j'ai fait plusieurs sejours pour quelquechose de casse au ski...

Amicalement
Re: AZROU
09 janvier 2009, 13:51
Vancouver. En effet le continent est grand mais je voulais dire que par rapport à la France il n'y a pas de mer à traverser . Pour ce qui est de ma grand tante tu l'a peut-etre connue elle y est restée longtemps à la clinique Cornette et c'etait quelqu'un de disons énergique . Je discute pas mal parfois par msn avec Tarzancasa . Tres interessant . Amicalement JR76.
Re: AZROU
10 janvier 2009, 11:01
Je viens d'avoir Mr Telliez notre instituteur.Il a une mémoire époustouflante.C'était très émouvant de l'entendre après tant d'années.
Re: AZROU
11 janvier 2009, 12:38
Pour faire suite aux photos du Sanatorium Ben Smin mises page 6.

Un article très interessant écrit par le chercheur M.hamed Alaoui Yazidi, du journal Al Bayane.


Histoire du sanatorium (Ben Smin) en décomposition


Connaissez-vous le Sanatorium antituberculeux de Ben-Smim ?

En avez-vous entendu parlé ? Qu'évoque pour vous cet édifice ? S'agit-il d'un monument, d'un site historique? En quoi l'imbrication d'éléments naturels, culturels et architecturaux milite-t-elle en faveur de la réhabilitation du patrimoine historique ? Outre son aspect basique, matériel, portant sur le bâti, la revalorisation d'un site n'a-t-elle pas également une dimension morale, citoyenne? On oublie souvent que le réconciliation de l'homme avec son histoire est une manière aussi de réhabiliter sa mémoire, de conjurer la tentation auto-amnésique.

La citoyennete en verre opaque...
Le complot qui perdure

C'est au coeur du moyen atlas, à dix (10) kilomètres d'Azrou, que fut décidée en 1945, la construction du sanatorium d'altitude de Ben-Smim. D'une capacité hospitalière de quatre cents lits (400). Le bâtiment est d'une longueur de cent quatre vingt cinq mètres (185 m). Les travaux de construction commencèrent en 1946. Pièce maîtresse de l'arsenal antituberculeux de l'époque, son site offrait des conditions climatiques exceptionnelles aux malades. C'est un vaste cirque bien exposé au midi, à l'altitude de 1650 mètres. Les bâtiments sont construits sur la pente à la cote 1520 mètres, dans une petite forêt de chênes verts dominant une vaste prairie. C'est en 1954, que les premiers malades furent reçus à l'hôpital. L'inauguration officielle eut lieu le 18 avril 1955. Comment se présente le polymorphisme du fonctionnement de ce sanatorium ? Au point de vue médical: examens cliniques et radiologiques, laboratoires de chimie et de bactériologie, les antibiotiques, la collapsothérapie et la chirurgie thoracique. Sur le plan social et culturel; les pensionnaires en dehors des heures de cure, pouvaient s'adonner à certaines activités: expositions d'objets et de travaux divers, la lecture, l'audition des disques classiques ou variés, les cours ménagers, les travaux de reliure, organisation des spectacles. Pour les trois religions révélées, on a prévu une synagogue, une chapelle catholique et une mosquée. Ce Sanatorium a été également doté de services généraux et techniques très développés. «Les installations électriques sont celles d'une usine, la chaufferie celle d'un paquebot, la cuisine est un laboratoire». Propos cités par le médecin directeur du sanatorium, Mr. Jacques Cotta. En outre, cette formation hospitalière fonctionnait selon les normes de l'hôtellerie: chambres individuelles par exemple équipées de téléphones.
D'après le procès verbal d'affectation signé au mois de novembre 1947 entre le service affectataire (la direction de la santé publique et de la famille) et le service des domaines de Meknès, le terrain servant d'assise foncière à l'aménagement du Sanatorium est d'une contenance de 34 hectares, 73 ares, soit à peu près 35 ha.
Après avoir rendu d'éminents services et sur le plan des cures sanatoriales et sur celui de la chirurgie thoracique, cette belle réalisation ferma ses portes en 1975.
Le déclin de la mortalité par tuberculose suite au développement des nouvelles thérapeutiques et des soins ambulatoires, le coût du fonctionnement sont généralement les raisons invoquées pour justifier cette fermeture.
Dans son allocution prononcée lors de l'inauguration, Mr. Aujaleu, directeur de l'hygiène sociale au ministère français de la santé publique et de la population a dit sur un ton prémonitoire et non moins testamentaire «... et si un jour, le nombre des tuberculeux pulmonaires baissait au Maroc au point de ne plus justifier l'existence d'un Sanatorium d'altitude nous ne pourrons que nous en réjouir, car cela témoignerait d'une des plus grandes victoires de la santé publique. Le sanatorium pouvait devenir alors l'un des fleurons de la chaîne touristique hôtelière marocaine...» . A l'époque déjà on envisageait sa reconversion.
Dans les années qui ont suivi la fermeture du sanatorium, les logements du personnel (villas, dépendances, pavillons doubles, pavillons des infirmiers) ont servi de colonies de vacances au profit des oeuvres sociales du ministère de la santé.
Pillé, saccagé comme si c'était un butin de guerre, ce bel édifice que le ministère des affaires culturelles aurait du inscrire ou classer comme patrimoine éminemment historique a été transféré au milieu des années quatre vingt et d'une manière informelle au ministère de l'intérieur. Il est gardé actuellement par un détachement des forces auxiliaires.

Cherchons elite regionale... «sesame ouvre-toi»

Un quart de siècle après sa désaffectation, la reconversion se fait lamentablement et désespérément attendre. Si le complot du silence perdure, le sanatorium risque à terme de subir le sort macabre de l'hôtel Abraham Lincoln de Casablanca, patrimoine architectural qui a rendu l'âme. Il est entrain de s'effriter, de se décomposer sous nos yeux récemment - ironie du sort - il a servi au tournage d'un grand film américain sur la guerre civile en Somalie.
Matériellement, la réhabilitation du sanatorium pour en faire un hôpital régional est possible. Et c'est la région Meknès-Tafilalet qui en profitera. L'aménagement hospitalier ne fait-il pas partie de l'aménagement du territoire ?
Actuellement, l'encadrement médical est qualitativement déficitaire. Pour bon nombre de spécialités, la population de la région se déplace à Rabat et à Casablanca pour suivre les soins. Le déséquilibre affecte également la répartition des équipements sanitaires entre la métropole régionale (Meknès) et les autres provinces. Une étude d'impact serait toutefois nécessaire pour ce scénario.
Sur le plan touristique, la reconversion contribuerait grandement au développement de l'écotourisme. Produit prisé mondialement. Compte tenu des opportunités naturelles de la province d'Ifrane (les forêts de cèdre, les sources d'eaux, les paysages montagneux, les sports d'hiver, la neige, les randonnées, les sites archéologiques, le parc naturel en cours d'aménagement) . L'impact économique d'une telle reconversion est indéniable. Son effet d'entraînement toucherait non seulement les villes avoisinantes (Ifrane, Azrou) mais aussi la partie méridionale de la région, connue par ses oasis, ses dunes, ses moussems et ses ksours.
De nos jours, le tourisme dans la région demeure un tourisme de passage avec un nombre de nuités insignifiant. 2,8% des nuités nationales en 1997 et faible taux d'occupation. Un tourisme désarticulé aussi parce que la région est dépourvue d'un circuit touristique intégré, propre à elle.
Quelle stratégie touristique doit-on mettre en place pour atteindre dix millions de touristes en 2010 ? Peut-on concrétiser cette aspiration royale, cet objectif sans penser à la reconversion de certains bâtiments ? On peut donner pour exemple, I'ex-hôpital militaire Marie Feuilly. Peut-il être reconverti ? L'Agence de logements et d'équipements militaires n'est elle pas en mesure d'aider à la formulation d'une stratégie de reconversion ? En procédant par exemple au recensement des immeubles bâtis qui peuvent être reconvertis en hôtels. Le décret-loi du 23 septembre 1994 habilite d'ailleurs cet organisme à «donner en location ou vendre, la cas échéant, les immeubles bâtis ou non bâtis qui ne peuvent plus servir à l'accomplissement de sa mission». Autrement dit, les immeubles qui ne sont plus affectés au service public de l'administration de la défense nationale. A contrario ceci n'empêche pas juridiquement l'agence en tant que gestionnaire du foncier militaire de faire des propositions dans ce sens. Le vœux royal interpelle tous les acteurs.
La reconversion du sanatorium en centre international de concentration pour les athlètes de haut niveau est une proposition à méditer. C'est un levier au moyen duquel on peut développer le tourisme sportif. Le seul centre dont dispose le ministère de la jeunesse et des sports est celui d'Ifrane et dont la capacité d'accueil ne dépasse pas - paraît-il - cent places.
Quelle autorité faut-il interpeller pour redonner vie au sanatorium de Ben Smim ?
- Le 1er ministre ?
- Le ministre de la santé ?
- Le ministre du tourisme ?
- Le ministre de l'intérieur ?
- Le wali de la région Meknès - Tafilalet ? Constitutionnelleme nt représentant de l'Etat et responsable de la gestion des services publics locaux ?
- Le Conseil régional ?
- Les députés régionaux au parlement ?
- Les chambres de commerce, d'industrie et de services de la région ?
- Le Directeur du centre régional d'investissement nouvellement désigné ?
La société civile locale ? Ou bien tous ces acteurs à la fois? Quelle structure faut-il responsabiliser pour amorcer la discussion sur cette question ? Faut-il créer une structure ad-hoc qui aurait pour mission de procéder dans un premier temps au diagnostic du site et de proposer ensuite les scénarios possibles de la sauvegarde. Il ne fait aucun doute que le devenir de ce fleuron du moyen Atlas est une affaire autrement nationale, une responsabilité collective et citoyenne qui interpellent notre conscience, notre civisme. Vouloir éluder cette question, c'est reconnaître notre autoamnésie, c'est perpétuer le complot collectif du silence.
En attendant que notre gouvernement décide de la faisabilité des scénarios de réhabilitation, il est urgent que le Ministère de la Culture et de la Communication entame conformément à la loi n° 22-80 relative à la conservation des monuments et des sites, la procédure du classement du sanatorium même si elle intervient tardivement. Cette décision aurait le mérite de ressusciter ce fleuron Moyen Atlasique et par la même de mobiliser les acteurs institutionnels sur son devenir.

par M'hamed Alaoui Yazidi
Chercheur in Al Bayane
Re: AZROU
12 janvier 2009, 09:03
le berbere

à VANCOUVER

Ton article sur TIOUMLILINE m'a fait bien plaisir.Je l'ai visité en octobre,j'ai été deçu.Mais que de souvenirs pour moi Merci encore

MAMOUCHKA



J'ai eu également le plaisir d'appeller notre instituteur d'AZROU .Mr THELLIER.Malgre sa maladie,bon pied,bon oeil 94 ans!.Il m'a confirmé ,oui la petite Christiane qui copiait sur moi en maths,elle était espiegle avec la Cécile Aller,je plaisante ,mais il y a une bonne partie de vérite....Peut-etre !!

le berbere
Re: AZROU
12 janvier 2009, 09:09
le BERBERE

UNE VUE D'AZROU A TIOUMLILINE
Pièces jointes:
vue d\'azrou de tioumliline.jpg
Re: AZROU
12 janvier 2009, 09:50
LE BERBERE

à VANCOUVER

Peux-tu me dire quel age environ aurait PASCAL PONCE .J'ai connu des PONCE à l'école primaire,et son nom m'interpelle
Re: AZROU
12 janvier 2009, 10:47
Bonjour Le Berbere. Pascal PONCE était mon grand oncle si tu veux des renseignements je peux te renseigner à son sujet . Amicalement JR76. jean-René PONCE
Re: AZROU
12 janvier 2009, 10:58
Le berbère
Ta vue sur Azrou est magnifique! tu l'as prise au dessus de Tioum?
J'ai eu au tel hier Cécile T.Et elle a confirmé qu'elle et moi avions très souvent droit à notre fessée!ça a été sympa de la retrouver et d'évoquer des souvenirs du CM.
Mais je doute que monsieur Thellier t'ait dit que je copiais les maths sur toi!!!!!
Re: AZROU
12 janvier 2009, 14:37
Bonsoir le berbere,
j'ai lu avec attention l'article d'Al Bayane que tu as retranscrit concernant le sanatorium de Ben Smim...selon l'auteur de cet article le sanatorium aurait été construit à partir de 1946 et inauguré 9 ans plus tard en avril 1955...
Selon un intervenant(Suissa) le sanatorium prés d'Azrou se serait appelé autrefois "Baujean"...l'article n'en parle pas...
Par ailleurs dans"La France au Maroc"(1919) Berthe Georges-Caulis évoque la visite de Madame Lyautey en juin 1918 dans la région d'AZROU et en voyant un terrain situé "au sortir d'Azrou à l'entrée de la forêt des cèdres à 1200 mètres d'altitude" elle s'exclama:"voici l'emplacement de mon premier sanatorium" ..."quelques mois aprés la Croix Rouge américaine offrait des dons pour la construction"...(voir en page 2 de cette rubrique le sujet"Photos Moyen Atlas"-page3-)...
Au vu de ces éléments ne peut on penser qu'il y ait eu un sanatorium prés d'Azrou...peut être même à Ben Smim... bien avant 1955?
Cordialement
Re: AZROU
12 janvier 2009, 19:13
Bonjour a toutes et tous,

Ci-dessous une photo, face au paysage ITO qui montre ce qu'il reste des batiments que mon grand-pere, Paul Jousse, avait fait construire pour loger ma grand-mere, mon pere (qui avait quelques mois), lui-meme, ainsi que ses ouvriers pour la construction des routes d'Azrou de 1918 a 1920. Ils avaient ete attaques plusieurs fois par les Rifains qui bien sur ne voulaient pas leur presence et une garnison avait ete placee pour les proteger jusqu'a la fin des travaux.

Pièces jointes:
RUINES.jpg
Re: AZROU
12 janvier 2009, 19:33
Le berbere,

JR76 serait plus precis que moi sur l'age qu'aurait Pascal Ponce puisque c'est son grand oncle, mais etant donne qu'une des filles de Pascal, Rosette a presque 65 ans, et que son autre fille a 70 ans, tu ajoutes une 20taine d'annees.. et tu as au moins 90 ans minimum, s'il etait toujours en vie.
Re: AZROU
13 janvier 2009, 00:19
Le Berbere. Il aurait precisément 115 ans vu qu'il était né en 1894.
Re: AZROU
13 janvier 2009, 01:50
Au sujet de Ben Smim je n'osais pas intervenir pour des raisons personnelles et la date d'ouverture ,ma mère y a était hospitalisé en 1950 ,étant petit ( 5 ans ) j'ai demandé confirmation auprés de mes frères et soeur ainés ,il y avait déja des patients avants ,mon frére ainé se souvient qu'il y avait des travaux d'extension ,j'espère avoir amené ma pierre a l'énigme mais si en ce qui nous concernes cela a était douloureux ,notre chère mère s'en est bien sorti .

Amitiés.
Re: AZROU
13 janvier 2009, 05:16
Rebonjour,

Lussac - Merci de nous donner une autre date quand cet etablisssement etait ouvert et ou ta maman avait ete hospitalisee en 1950. Je peux comprendre la douleur que cela a cause a ses jeunes enfants. Une des mes tantes aussi (rue de Marseille, Meknes) avait ete hospitalisee dans cet etablissment pour quelques mois, mais elle en 1955, avant d'etre envoyee a Bar le Duc (France) dans un autre sanatorium. Elle avait toujours dit que Ben Smin lui avait sauve la vie. Je me rappelle tres bien (j'avais 15 ans) quand elle etait rentree dans cet hopital mais je n'avais aucune idee ou il etait au Maroc. C'est seulement recemment que j'ai appris sa location.

Le berbere - En tous les cas tu n'as pas ete en classe avec Mr.Pascal Ponce.
Re: AZROU
13 janvier 2009, 05:52
Le berbere

Tu as peut etre ete en classe avec Josephine Ponce, la soeur de Rosette et l'ainee de Pascal Ponce. Josephine est de 1938.
Re: AZROU
13 janvier 2009, 10:36
vancouver

Le nom PONCE "me parle " comme on dit dans le midi.Vancouver,si tu les connais demande leur si elle ont frequenté l'école d'Azrou?si elle ont connu l'instituteur Mr thellier,Que nous avions eu avec Mamouchka,si elle ont connu l'abbe Gerard au cathechisme Merci.Là on aura fait un grand pas

LEBERBERE
Re: AZROU
13 janvier 2009, 11:22
le berbere
à LUSSAC

Pardon de t'avoir rappellé de tristes souvenirs.Jeune ,je n'ai pas connu le sanatorium. C'est par la suite ,lorsque l'on a construit l'hotel AZROU sur la route de kenifra que j'ai decouvert Ben Smim Et le sanatorium .En effet ,cet hotel a été construit comme maison de repos pour les malades guéris.Et comme j'habitais derriere cet hotel,ma mere m'interdisait de me promener devant ,elle avait peur que j'attrape la tuberculose
Lorsque j'ai qui tté le Maroc en 1972, je pense que Ben Smin était encore en activité
J'ai une connaissance,son pere a été le premier directeur medecin de ce centre.Il est a la recherche de certains documents,j'espere qu'il nous les devoilera
Excuse moi encore ,et mes amities
le berbere

PS Fait du hasard,en octobre dernier je me suis arreté à l'hotel AZROU,j'ai faitla connaissance du proprietaire .Apres notre entrevu,il m'a fait un cadeau royal.Une photo de collection de 60 cmx 80 cms,sous verre,montrant cette region d'Azrou ,l'hotel Azrou qui n'était pas tout à fait construit;ma maison l'eglise etc datant 1949
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