RABAT - STADE MAROCAIN

PHILLIPE ?

Belle photo,oui c'est bien le frere de GERARD AULONG (fils du premier chirurgien de l'operation à coeur ouvert )

a plus
loulou benaccoun

Ciao Loulou,
Te rappelles-tu de l'accident qu'avait eu Aulong ?
Pendant l'entraînement, en plein milieu du stade, il avait reçu sur le flanc gauche un disque lancé par je ne sais plus qui ?
Son père, chirurgien comme tu viens de le rappeler, heureusement présent sur le stade, l'avait aussitôt embarqué à l'hopital et constatation faite, rate eclatée, avait été obligé de l'opérer dans l'urgence. Il s'en était bien remis. Au fait où est-il en ce moment ?
A+. Philippe SALEMI.

à partir de la droite le deuxième est mon frère Henri-Paul

20/04/19416 cHAMPIONNAT DU MAROC Junior - 1/2 finale O.M - U.S.M
Mon père arbitre de la rencontre (désigné par une croix au-dessus de sa tête) à ses pieds reconnaissez-vous "la Perle noire marocaine"
bonne soirée
Pièces jointes:

PHILIPPE,

LES freres AULONG sont à BORDEAU d'apres mes dernieres info .Je pense qu'ils un bar ou resto ,mais cela fait un bout de temps .

Bien sur que je me rappele de cet accident .CLAUDE VENAIT FAIRE DES STAGES AVEC NOUS A L' I N S .

POUR ANDREE,

La perle noire c'est BEN BAREK et son fils etait avec moi en classe on avait comme prof MONSIEUR AOUAD .

A + LOULOU BENACCOUN

loulou,
Tu parles des stages à l'INS à Paris. Quels souvenirs !!!
Tu te rappelles Des entraînements avec Maigrot qui voulait que je monte sur 400 haies parce que j'étais trop petit pour le 110 haies.
Il me tuait littéralement!! Jusqu'au 300m çà allait et puis les derniers 100m, mortels !!!
Devinette, toi qui a une mémoire à faire palir un éléphant : qui sont sur cette photo prise à l'INS en Août 1960 ???
A presto. Philippe SALEMI.
Pièces jointes:

le 4° en partant de la gauche est mon frère Henri-Paul.
merci( même si vous ne vous en rendez pas compte) vous me permettez de revoir mon frère, hélas mort trop tôt.et donc je n'ai pas de photos sauf petit.
quand à BEN BAREK, qui figure sur la photo que j'ai envoyé hier, j'avais 5 ans à l'époque. et je le voyais(du moins mes parents me l'ont dit) pratiquement tous les jours, il avait un attrait pour quelqu'un de mon entourage, et m'amenait avec cette personne me promenait au square Lyautey à CASABLANCA. je ne suis arrivée à RABAT qu'à l'âge de 7 ans. salutations

Voiçi une photo prise il y a une quelques années déjà des "3 mousquetaires" du SM: Philippe Salémi, Yves Million et Yves Charles Dominique.
Yves M
Pièces jointes:

Ciao Andrée,
Tu sais, je suis arrivé au Stade Marocain en Minimes 2, en 58, (bien que mon père était à l'OM et cela avait fait scandale à l'époque tant la rivalité entre les deux clubs était grande) parce que j'étais rachitique, trop maigre, trop remuant pour mes parents et pour suivre les conseils du toubib (Le Dr Guillemoto à la Tour Hassan). Ton père, dès le début, c'est à dire le jour des tests où l'on faisait 5 ou 6 épreuves, a beaucoup cru en mes possibilités et très rapidement m'a marqué de l'estime. Je voyais bien qu'il m'aimait bien en me pardonnnant mes facéties.Ce n'est que plus tard, plus adulte que le respect que j'avais pour ton père s'est commué en admiration pour ce qu'il faisait pour nous, sa force de caractère, son engagement, son abnégation. Henri-Paul, rival au tout début parce que je venais lui ravir un peu la vedette, et c'est compréhensible, est vite devenu mon ami et mon complice.
Je suis heureux que tu sois avec nous pour évoquer nos souvenirs et nous transmettre ton témoignage sur cette époque dorée, cette époque formidable que nous avons vécu dans l'insouciance de la jeunesse et de l'amitié.Philippe SALEMI.

Saphir, je n'ai pas encore rencontré quelqu'un qui n'ai pas eu une grande admiration pour mon père...et ce que vous écrivez me touche. à la maison il est été très sévère avec nous les 3 filles, mais à toujours pardonné toutesles frasques de mon frère, cela ne lui a pas rendu service, car il n'a pas eu une vie d'adulte des plus agréables, et sa vie a été jalonnée de choses très graves et douloureuses pour nous ses soeurs, mais surtout pour ma maman, nous pensons qu'il a été responsable de la santé de ma maman, qui est morte jeune, usée par tous les coups durs qu'il lui a infligé, paix sur lui...
Quant au Dr GUILLOMOTO, c'était notre Dr, il n'était pas vers la Tour Hassan, mais non loin de chez nous après le lycée de jeunes filles, il a même été le docteur de mes deux garçons né à la clinique du Dr POULAIN.DE mère en fils..

Et voilà les 3 mousquetaires quelques années plus tôt, en 1962, en Sciences Ex au Lycée Gouraud à Rabat, prêts à se lancer dans la carrière de prof d'EPS.Philippe SALEMI.
Pièces jointes:

Merville a écrit:
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> Voiçi une photo prise il y a une quelques années
> déjà des "3 mousquetaires" du SM: Philippe Salémi,
> Yves Million et Yves Charles Dominique.
> Yves M


Magnifique Photo!

Vous avez l'air en forme!l'esprit du Stade Marocain se lit sur vos visages!

Vos histoires sont sublimes et votre audience se passionne de ces epopees sportives personnelles mais toujours en equipe!

Amities aux champions de Rabat.

elie
Pièces jointes:

Bonjour Andrée Toupry

Je dis la même chose que Philippe. Moi aussi, j'ai eu beaucoup d'admiration pour ton père, non seulement pour son dévouement pour le club, son paternalisme pour ses athlètes, mais aussi pour sa façon de raconter les histoires, lorsque nous nous déplacions en train pour aller à Casablanca. J'ai correspondu un moment avec lui, lorsqu'il a pris sa "retraite" au Lyaud, petit village que je connaissais bien pour y avoir passé des vacances, lorsque j'avais 11 ans. Ce n'est que lorsque nous sommes devenus adultes, dans le métier, que nous avons pu mesurer son abdnégation pour le club, avec son complice vacher. Il fallait prendre sur son temps libre pour s'occuper d'un club.
Sportivement
Yves Million

Un anecdote qui aurait pu mal finir lors d'une compétition sur le stade de Rabat, lors du concours du lancer de javelot, auquel je participais. Après avoir lancé, j'étais allé me mettre au niveau des fiches (chose impensable maintenant), avec les 2 préposés aux mesures. Ils discutaient sans regarder un athlète qui lancait. Voyant le javelot arriver sur l'un des 2, je hurlais et le poussais. Le javelot lui arracha l'épaulette de sa veste. Si je ne l'avais pas poussé, il recevait le javelot en pleine poitrine.

Une autre aussi qui aurait pu mal finir pour moi. Je m'entraînais aux haies et des athlètes s'entraînaient au lancer du marteau. Au moment où je venais juste de passer la haie, le marteau tomba sur elle en la faisait éclater. 1/10e avant et c'était moi qui éclatait.

Concernant le père Aulong, le chirurgien et père du lanceur du javelot, ce fût lui qui m'opéra du ménisque en 1960 (opération plus spectaculaire que de nos jours), alors que je débutais ma saison en battant le record de France junior du saut à la perche. Saison terminée. Dommage,car j'aurais pu aller plus haut et c'était l'année des JO de Rome.
Bonne journée à tous
Yves Million

BONS les mousquetaires,

TOUT ça c'etait les années 60 .Donc comme l'a dit YVES MILLION L4ANN2E DES JEUX DE ROME .Date à laquelle moi j'ai rencontré PHILLIPE SALEMI . VOUS ETIEZ DES VEDETTES ET PUIS ZORRO EST ARRIVE !!!!
(rires)

1) ma rencontre avec PHILLIPE ,pres DU MAGASIN DE CHEZ BENABOU qui vendait les HARLEY DAVIDSONS .Alors que j'allais poue acheter une bicyclette de course car j'etais prédéstiné poue le cyclisme ,c'etait le dernier ultimatum de mon perE Z"l:si tu rentres sans la bicyclette ,je ne m'occupe plus de toi .La conversation avec PHILLIPE a durée ,il m'a dit viens dimanche au stade tu verras c'est sympa .

BENABOU avait fermé je suis rentré sans le vélo ,mon pere m'a dit stop

j'ai tout fait pour toi (tennis ,basket ,violon, piano ect ect ) maintenant débrouilles-toi .

DIMANCHE je suis allé voir PHILLIPE , il a couru le 80m d'ailleurs je pense que c'est cette photo avec HENRY (RIPOL )

Jai connu ce jour MESSIEURS TOUPRY , VACHER , CLAVERIE ,EL AOUFIR .


Pour le deuxieme épisode ,ça sera pour la prochaine foi ,mais j'aimerai commenter avec des articles et des photos .


pour PHILLIPE

sur la photo il y a : les deux feres AULONG , TOI,notre ami cet ami merveilleux avec ses bons conseils ALAIN MIMOUN notre champion .

HENRY PAUL, les deux autres je ne vois pas tres bien ça viendra

BONS MES AMIS

A+ LOULOU BENACCOUN

Salut Saphir-Philippe et A. Toupry

Le docteur Guillomoto était mon docteur, habitait en face de chez moi, rue de l'Ourcq (la rue du Lycée de jeunes filles), dans une belle villa, contre une impasse, pas loin de l'hôtel "Chaperon Rouge". C'est d'ailleurs lui qui mesura les griffures que m'avaient faîtes le gardien du matériel du Collège des Orangers, lorsque il m'avait empoigné le pectoral, en voulant "me tuer" avec une barre et que je lui avais cassé le bras.

voici en avril 1963 le bureau de la fédération...bonsoir à tous

ANDREE,

VOICI les noms : mrs TOUPRY, REGRAGUI, benzeroual , DJILALI EL AOUFIR

amities
loulou

excuses pour l'oubli des noms de ma photo, je les avais- merci

PHILLIPE ,YVES,

Vous avez du avoir les oreilles qui sifflaient aujourd'hui,jour de ma sortie apres trois jours resté rester au lit avec un probleme àl'oeil ,bref ça va mieux.

Au café de SARCELLES où tous les r'batis se reunissent ,nous avons évoqués les beaux souvenirs du STADE MAROCAIN .

Pour votre gouverne tout le monde se rappelle de vous .Meme les accidents évoqués sur le stade sont dans leur mémoire .

Les compétitions entre le RUC' L'usms ,le WAC , l'OM et nous stadiste

OMAR qui nous traçait les lignes des couloirs, BA ABDALLAH LE PLUS VIEUX GARDIEN du stade avec ses beaux yeux bleus ,IBRAHIMI le starter

Au fur et à mesure que je citais les noms c'etait: AH OUE TU TE SOUVIENS!!!! et ça reparté avec des commentaires et des souvenirs .

Belle matinée

A+ MES AMIS

LOULOU BENACCOUN