Beni Mellal .......... 2

Une belle balade

Autour du Bin el Ouidane en musique.

radio

les postes à galène, les vrais, ceux dont le détecteur était un bout de galène, ça ressemble au kohl, n'avaient pas besoin d'électricité:il suffisait d'un émetteur puissant: d'une longue antenne pour recevoir les ondes: dans le poste il y avait seulement une ou plusieurs bobines ( selfs), le détecteur ( le bout de galène et une sorte d'aiguille), au moins un condensateur variable avec un bouton et des écouteurs, autant que possibles très sensibles ; Après il fallait pas mal de temps et de subtilité pour accorder le tout ( au "pif" .

Autant dire que c'était pas très utilisable, pour plus de puissance on a employé des tubes (lampes) électriques pour détecter et aussi pour amplifier et donc une alimentation électrique avec un gros transfo qu'on branchait sur la prise de la maison ;
les lampes étaient très grosses, en forme de bulbes, les plus petites cylindriques datent des années 60, utilisées surtout dans les vieilles télés et les premier petits postes portables, juste avant les transistors .

En 65, au souk à BENI , des types essayaient de vendre des vieilles lampes ou des pièces détachées d'anciennes radios .

Dans les années 15 16, les colonnes mobiles dont celles du Tadla étaient équipées de postes émetteurs et récepteurs de TSF, on en voit sur les vieilles cartes postales installées sous des guitounes, c'étaient de véritables meubles, il fallait pas mal de jus pour les faire "chauffer ";, les accus devaient exister mais j'ai bien l'impression qu'il devait y avoir des générateurs ( fonctionnant à quoi ?? Je ne pense pas qu'il s'agissait de machine à vapeur ! ) . Tout le matériel tenait dans deux camions ( il y a des photos ) qui suivaient la colonne quand c'était un peu sécurisé .
il y a eu aussi des postes plus petits qu'on a mis dans les avions, ils avaient des batteries ou plutôt des dynamos entraînées par le moteur .

Les fameux postes alimentés par les gégènes ( qui servaient aussi à d'autres choses), ils étaient portables à dos d'homme, on les voit pendant la guerre d'ALgérie mais ça devait exister avant .

Sur la photo, la gargoulette est marocaine mais le poste date d'avant guerre, il a capté le fameux message de DE GAULLE ! C'est un souvenir d'enfance car mon père me l'avait donné vers 52 55, il fonctionne encore malgré un ronflement assez fort .
Pièces jointes:

J 'aimais bien le cadran avec les nom des villes émettrices, il me semble me souvenir de RABAT PTT ???
Pièces jointes:

un poste familial des années 40 50, il ne fonctionne plus .
Pièces jointes:

mobile?
Pièces jointes:

TAZA
Pièces jointes:

AUTOMOBILE
Pièces jointes:

De plus près

Effectivement, même s'il fallait un brel ou deux pour tirer la charrette, c'était déjà pas mal sophistiqué.

Outre ce qui semble être à droite une lanterne électrique présente dans les "Arsène Lupin" téléchargés sur mon e-reader book, on dirait qu'il y a à gauche sous la pièce circulaire, 3 batteries; le gros solénoïde ressort à boudin n'étant pas bien sûr, un amortisseur..

Il devait falloir souvent resserrer les boulons.
Pièces jointes:

Parenthèse

Laissez vous tenter, l'e-book, c'est super! Pour plusieurs raisons:

1- Le vent: vous n'êtes plus cramponné avec vos 2 mains sur vos pages que le vent s'acharne à tourner.
2- Les mouches: elles savent très bien, les coquines, que vous avez vos deux mains occupées à maintenir les pages et elles en profitent pour vous harceler.
Avec l'e-book vous pouvez avoir une main libre qui vous permet de les chasser. D'ailleurs elles vous embêtent beaucoup moins car elles le savent. Fines mouches.

Sans compter que vous pouvez télécharger gratuitement les milliers de livres libres de droits d'auteurs qui caduquent au bout des 75 ans suivant leur parution, tout ça dans 200g, un bonheur pour les voyages et les déménagements !

il fallait oser !!

par contre, ils devaient connaître le galène puisque c'est du plomb, à force de le gratter, ils devaient être de fameux récepteurs, il fallait lever les bras, en V ? pour faire antenne .

Ce genre de voiture s'appelait chez moi un tombereau, c'est solide mais ça devait secouer l'électronique de l'époque ; l'espèce d'amortisseur peut être une sorte de self ou d'antenne ?

DAF
y a-t-il de nos jours une ou plusieurs radios locales FM basées à BENI ?
Pièces jointes:

Je pense que la grosse bobine servait à créer la bande de fréquence sur laquelle la radio émettait.
J'avais un prof de physique qui pendant nos cours, avec une plus petite que celle du tombereau, se faisait un plaisir accompagné d'un rire sardonique, de brouiller toutes les télés du quartier pendant ses manipulations.

Ton article ne nous dit pas si le rendement des mineurs de Sidi Lhassen en était amélioré.
Tu sais bien que les vaches donnent plus de lait en écoutant du Mozart et les poules andalouses en batterie 2% de plus d'oeufs(aujourd'hui même à la télé).

Quand les premiers téléphones portables sont apparus en Côte d'Ivoire, les ivoiriens commentaient: "Ehhhh....Magie de blancs, y a pas son deux !!! ".
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A la radio en 48, le" bombardier marocain ", on apprend aussi qu'en plus de la fameuse brasserie, il y avait aussi une ferme Cerdan .
Parasites: au début de la télé balbutiante :il suffisait aussi qu'un ou plusieurs "kakou" fasse des tours d'un quartier avec sa mob, en plus du bruit infernal d'origine, se déclenchait dans les télés un éclair assourdissant ! il a fallu des règles strictes d'antiparasitage avec répression de la police pour calmer le jeu !

j'imagine, en 30, les conditions de travail dans les mines de plomb ,je ne sais pas si MOZART était d'un grand secours . Enfin, la" musique " militaire a toujours été utilisée pour galvaniser les troupes ; je ne sais pas si la harka du Pacha de Beni attaquait KSIBA avec les trompettes .

j 'imagine bien les tombereaux ou les camions de la tsf passant à gué l'OUM ER BIA ou l'oued DAI?, les mules ou les chevaux à fond pour échapper aux tirs des partisans de MOHA OU HAMOU ( ou d'un autre chef) .Les roues étaient solides, cerclées de fer, pour les camions , on ne voit pas trop s'il y avait des bandages ou des pneus .

En plus de la tsf, il y avait aussi le téléphone et le télégraphe à fil mais le poteaux des lignes étaient difficiles à garder tous, d'où des" dérangements" fréquents; des gars faisaient des attaques surprises pour les démolir .
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on peut bien dire à quoi servait aussi la tsf pour les militaires !
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Une affaire en or paraît-il

Afourer à l'honneur.

L'arbre, remarqué dans les années 80 dans la vieille collection d'agrumes de la Station Cotonnière à Afourer, produit des mandarines avec encore moins de pépins que la Clémentine qui n'en a déjà presque aucun) et une saveur particulière. Mais, il ne faut pas qu'il soit pollénisé par d'autres variétés plantées trop près.
Il faut donc isoler ses plantations ou les protéger par des filets au moment de la floraison pour ne pas que notre chère Maya l'abeille n'opère un cafouillage indésirable.
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Les produits du terroir Tadla Azilal

Sur ce site

Descendez, descendez avec la roulette de votre souris.

La page précédente m'ayant fait flasher sur le caroube, je me suis intéressé à la question.

Quelque peu grignoté par les hommes je le pensais réservé à la consommation des brels et autres ahmars.
Il semble qu'un avenir prometteur l'attende.
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Quelques renseignements.

On y apprend qu'on fait des plantations,qu'il faut greffer les mâles improductifs(pour les transformer en femelles bonnes pondeuses?), que l'on recherche des greffeurs etc.....
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La bonne et chère poudre

Sans doute l'auteur de la pub ci-dessous se prévaudra-t-il d'études en marketing très poussées, mais son offre est pour moi un puissant répulsif destiné à discréditer le produit.
Si le caroube est bon pour la mémoire, je me souviendrai certainement l'avoir payé 15€ les 100g soit 150€ le kg! aptes à plutôt me donner la colique qu'à la soigner.
A ce prix là, c'est pas demain la veille qu'il va évincer le bon chocolat. Il y a sans doute moins cher pour soigner votre Tourista.
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Je ne savais pas

C'est donc comme les karmouss n'sara.

Je vous fais partager la réponse d'une ancienne mellalia de mes amies.
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Numéro ouahad

De grandes ambitions pour Béni Mellal.

J'espère que pour la diversité des saveurs, les petits producteurs continueront à faire leur huile beldia.
Il est vrai que l'olivier ça ne se repique pas comme un fraisier selon la demande ou la rentabilité du marché.
Sinon nous nous ennuirions à avaler tous la même chose à la même période.
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