LE BARRAGE DE BIN EL OUIDANE

SI , de loin !
en voici une perso ( 65 ou 66 ), on semble bien voir quelque chose , on a peut- être seulement taillé un passage ;au premier plan , en haut : l'école ???
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Observez bien cette photo.
Elle a beaucoup à dire en dehors du batardeau en démolition.
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je t'envoies le plan , un peu avant en état de fonctionnement
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maintenant en photo
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plus petit , c'est plus net
sur ta photo on voit qu'on ouvre une ouverture dans le batardeau et plus loin un passage aménagé dans des dépôts .

il y a déjà un peu d'eau derrière l'usine . quand Ait ouarda va être en état , il y en aura bien plus surtout si le batardeau est démoli .
Où est la moto ?
J e me demande si Michel n'était pas sur la petite esplanade de l'usine pour prendre sa photo ?

sur ma photo, ce n'est peut-être pas l'école, il me me semble que tu disais plus haut et plus loin .

Une petite dernière
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Citation
suchet
SI , de loin !
en voici une perso ( 65 ou 66 ), on semble bien voir quelque chose , on a peut- être seulement taillé un passage ;au premier plan , en haut : l'école ???

Je ne suis pas sûre que ce soit le batardeau. D'autant plus qu'il a été démoli.
Et non ce n'est pas l'école.
Par contre, le plan montre peut-être plusieurs batardeaux ? Et c'est ce que je me suis dit en observant la 2 ème vue plongeante.
STP, peux tu mettre ta photo en entier Merci.
Michel n'était pas sur l'esplanade de l'usine, ce n'est pas assez haut et en plus il n'y avait pas encore d'esplanade.
Mais on m'a rapporté qu'il grimpait tout en haut des pylônes pour faire les photos !

suchet ne cherche pas, j'ai trouvé une photo de Gillot datée du 22 février 1951
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Et agrandissement sur les batardeaux
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IL semble que ce batardeau aval était moins haut que l'amont et plus atypique: pas un simple mur, un peu triangulaire ou double ;

Fin 52 , le bâtiment de la centrale bien entamé, les 3 gros tuyaux des conduites posées depuis longtemps ;ils ont fait des essais ( pour le passage de l'eau) juste après le remplissage du barrage ( il parait qu'il était plein en juin 53 car il y a eu une forte pluviosité l'hiver ) et la premier essai électrique guère plus tard , peut être avec un petit alternateur ou avec le premier des 3 gros ( les turbines ont été livrées progressivement) ,

Donc M ichel avait de quoi prendre une vue en hauteur et si ça ne suffisait pas, il a grimpé sur un pylone , une grue à flanc de la paroi et éventuellement sur le barrage ( pas trop facile car le bout vers le déversoir n'était pas fini, encore un chantier ) . .

je pense que des bétonnières c'était un peu loin et de la Kasbah du père encore plus,

avant la mi 51 , il y avait déjà un bout du bâtiment de l'usine , au moins la base; au fond , avant la passerelle un bon pylône bien apte a prendre des photos surplombantes
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Compliqué le double batardeau , ils pouvaient gérer les 2 sorties de façon indépendante, par ex ils pouvaient mettre au sec une des deux galeries pour entrer dedans .
J'ai grossi le ballet des blondins, on l'avait peut- être déjà fait, on ne s'en lasse pas ; il paraît qu'ils avaient un modèle à la pointe du progrès pour l'époque: en alu spécial et pivotant .
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Maintenant demi tour sur l'amont, avec cette photo de décembre 1951, où l'on peut aperçevoir le batardeau amont.
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Mars 1952. Moins d'un quart du batardeau est visible.
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16 novembre 1952.
Miracle ! Nous avons le batardeau presque en entier.
Mais nous avons de l'eau, qui viens de je ne sais où ? Elle sort d'un tunnel creusé dans la montagne, en aval du batardeau amont, pour atterrir contre le barrage en construction. Et là, je ne comprends pas l'astuce !
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Et apparemment cette photo serai la sortie de ce tunnel. Mais où est l'entrée ?
Ce tunnel n'apparait pas sur le schéma de bléon.
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Mais le bouquin de P Lévêque nous montre une galerie de prospection perpendiculaire aux deux tunnels de dérivation à un niveau supérieur.
Le prof de maths vous dira qu'alors on ne dit plus perpendiculaire mais orthogonale puisqu'il n'y a pas d'intersection (géométrie dans l'espace ici entrailles de la terre- la galerie supérieure ne rencontre pas les 2 tunnels de dérivation du dessous).

Apparemment cette galerie devait drainer de l'eau en permanence? par intermittence?
Il se peut que ce jour là, accidentellement, elle ait fait "péter" le bouchon puisqu'une partie de la cahute à son entrée à été cassée.

Il se peut aussi que le barrage étant en phase de remplissage, on ait décidé de l'y envoyer dedans volontairement pour ne pas la perdre.
Ce qui peut nous inciter à croire qu'elle débitait en permanence.
Les barrages d'altitude des Pyénées sont ainsi truffés de galeries parfois de plusieurs km récupérant l'eau des bassins versants.

Si elle débitait en permanence, la question est: qu'en faisait-on avant le remplissage?
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Ils buvaient



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/10/2013 05:15 par orev.

ils buvaient beaucoup, surtout l'été et cette eau était bien fraîche .
Plus sérieusement, le 16 nov 52 ,date de la photo, la cracheuse dont on sait l'emplacement, crachait dans le trou devant le , barrage ce qui n'avait plus d'importance car on avait décidé de le remplir .
Avant on ne sait pas trop, il ne semble pas voir d'écoulement sur les photos antérieures, il y avait une construction devant la cracheuse, derrière cette construction elle était peut-être obstruée, ou captée pour en faire je ne sais quoi ou encore dérivée pour se perdre dans la grande galerie carrée de reconnaissance ?
Autre question: grande quantité de béton donc besoin de pas mal d'eau ;en haut près des bétonnières on voit un bassin mais d'où venait l'eau ?

Une autre possibilité est que, au passage de cette galerie transversale à la verticale d'un des 2 tunnels de dérivation, une cheminée verticale pouvait bien y envoyer l'eau dedans pour évacuation vers l' aval ????

Bien sûr, une fois les tunnels obstrués en vue du remplissage, il fallait bien que l'eau l'évacuât de cette galerie par sa sortie puisqu'étant cul de sac, elle n'avait pas d'entrée.