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Beni Mellal ........... 1

Envoyé par dafina 
Re: Beni Mellal
07 décembre 2008, 14:45
Tameg'nount

Une partie du parcours de Tameg'nount( ligne noire) dans Béni Mellal des anciens Jardins de Bohbot à sa travesée de la route de Marrakech.
Je crois savoir que les alentours de la source, plus en amont(à droite de la photo), ont été aménagés en jardins publics. Toute photo sera la bienvenue.

Pour ceux qui se souviennent, on voit bien ici l'emplacement de la Station service de la famille Hafota et le cinéma ATLAS.
Re: Beni Mellal
07 décembre 2008, 15:30
21428 visiteurs, on progresse.Mais les mellalis restent discrets.

Parmi les joueurs de cartes qui tous les jours "tapiez le carton" devant l'épicerie de Bohbot, aucun d'entre-vous n'est devenu Dafinaute?
Re: Beni Mellal
08 décembre 2008, 10:00
Tameg'nount l'oubliée

J'ai trouvé quelques photos dont voici 2 postées par abouwana 1 sur les groupes msn. Il s'agit de récents aménagements en jardin public, près de sa source je pense. J'ai choisi les deux où on peut voir un peu le cours d'eau.
Pièces jointes:
Tameg\'nount1.jpg
Re: Beni Mellal
08 décembre 2008, 10:02
Tameg'nount l'oubliée
Pièces jointes:
Tameg\'nount2.jpg
Re: Beni Mellal
08 décembre 2008, 14:34
Bleon bonsoir.

Je ne suis pas de BENI. Mais j' y ai habité pendant plusieurs années
années .Notamment de 1966 à 1971 à BENI et de 1972 à 1974 à FQIH.
Je travaillais à la "STAM" société de travaux agricoles.Société de
défoncement de défrichement et préparation des sols.De la mise en valeur.Nous habitions avec mon épouse et notre bébé , dans le quartier
administratif façe au tribunal.Et plusieurs Noms que tu mentiones me
sont trés familiers.Dans le quartier le Dr VEDRENNES qui nous a tous les trois soignés, ainsi qu aux collègues qui bossaient avec moi, lES familleS: BERTHOME ,DESSAIN ,les frères AFOTAH ,ALI de l' entreprise
CHICHAOUI,GRABARI,RIBEIRO ,le pharmacien qui travaillait chez la phar-
-maçie KABES ,les propriétaires du kiosque tabac sur la plaçe.Et
d 'autres n' habitant pas le quartier : NAVILLE ARNAUD SARAGOZA HAMON .Chez "UCAA" nous nous servions pour du materiel agricole.Et le
carburant à la "SCHELL". Chez "UCAA" Albert Salomon et monsieur
BOURGEOIS.Pour l' épicerie c' était chez GHAZOUANI quelques fois chez
COSTA ou BOHBOT .GHAZOUANI epiçerie ex LAFONT.Au cafè du PACHA nous
y allions pas trés souvent .C' était plutot le l' hotel de PARIS en
hiver et aux beaux jours à la guinguette nous étions trés bien ac_
ceuilli par la patronne et son personnel.Sous les arcades entre COSTA
et GHAZOUANI nous avions le coiffeur et la librairie tenue par un
couple de Français. Il se trouve que certaines années correspondent,
à ce que nous devions etre présent tous le deux à ces dates à BENIMELAL. Le suis de MEKNES .Je suis resté 8 années dans le TADLA et
j 'ai gardé de tres bons souvenirs.
Cordialement à toi et à toutes et tous les MELLALIS.

ROUAMZINE (MATEO Jean)
Re: Beni Mellal
08 décembre 2008, 23:43
Rouamzine

Je ne me souviens pas de toi ? Pourtant il y a des chances qu'on se soit croisés. J'habitais à côté de la famille Hamon(à 2m de leur cuisine) 4 beaux enfants.
Le pharmacien qui travaillait chez Gabès ou Kabès puis son successeur(au féminin)s'appelait Maussan.Il faisait des piqures à l'occasion.
La fille Dessain mariée à Crabarie(ça vient de chèvre en occitan)
Les libraires papetiers Feracci et leur fille Martine.
Mme Berthomé cousine de Mme Zaragoza, pas la femme d'Alain mais de son frère.
Le docteur Védrenne est mort à Bordeaux d'une hémoragie après une bégnine ablation de la vésicule biliaire, mauvaise surveillance pendant un week end.
Peu de français allaient à l'Hôtel du Pacha..........
On dirait que Ghazouani est toujours là, il doit avoir beaucoup de choses à raconter, si on pouvait l'enregistrer!
Amitiés
Re: Beni Mellal
10 décembre 2008, 03:42
Bleon

Bonjour.

Toujour sur BENI. Une fois par mois nous allions nous reunir queques
Europeens dans une salle que nous mettait à disposition le curé de la
paroisse. Chacun d' entre nous amenait un petit quelque chose à grignoter .Cela nous permettait de nous rencontrer avec les coopérants.
Il arrivait que nous faisions queques pas de danse.
Les dates :1967-1968 ,si la mémoire ne flanche pa trop.
J' ai retrouvé un des fils des anciens proriétaires du "PACHA".Le
fils PENELLE .
Nous avons quittés le MAROC pour la FRANCE en 1979 dans le VAR ou
nous y habitons depuis.
Amitiés
ROUAMZINE (MATEO Jean)
Re: Beni Mellal
10 décembre 2008, 07:35
Penelle, Pantoustier, Lechevanton etc...

A la page 2 ou 3 de cette rubrique, il y a Cardenas qui parle de sa famille Penelle propriétaire de LA CIGOGNE sur la place centrale aux arcades face à la fontaine au jet d'eau, de ses amis Pantoustier et Lechevanton.

Je ne sais pas, n'étant pas assez ancien, si l'Hôtel du Pacha a été propriété de la famille Penelle. Il était, dans la rue qui part de chez Ghazouani, passe devant la papèterie Feracci, devant l'épicerie Costa, à gauche après Costa, quand la rue s'élargit et forme à nouveau un semblant de place.

A la page 4 de ce même forum, il y a "ain" lui-même Marc Penelle qui nous parle. Est-ce lui que tu connais Rouamzine?

Dans la maison Pantoustier, en montant vers Aïn Asserdoun, un peu après les Travaux Publics, certains enfants de colons scolarisés à Ibn Sina, peu après l'Indépendance , prenaient leur repas de midi, ne pouvant pas repartir dans leurs fermes un peu éloignées. Je pense aux enfants Compeau dont Didier, entre autres.

Quant au nom Lechevanton, c'est pour moi le transporteur qui avec ses gros camions emportait sur Casa les tonnes d'oranges des fermes Compeau, Gontard des Ouled G'naou

Dans le petit chalet en bois, dans le jardin de l'Eglise, dans les oliviers et lauriers roses, vivait un couple de coopérants Alssssaciens très gentils, avec leur bébé fabriqué à Béni Mellal.

Etait-ce l'époque du père Alphonse, de sa robe de bure et de sa vieille moto, que j'accusais gentilment de faitre creuver les peupliers qui longeaient Foghal,la seguia qui passe près de l'Eglise. Quand on l'invitait à notre"popotte", il portait toujours des pleurotes, ces délicieux champignons qui ne poussent qu'au pied des peupliers mourants.

C'était un grand sourcier, avec sa baguette, il trouvait l'emplacement où il fallait creuser un puits.Le problème,vous allez rire mais c'est vrai, j'ai assisté à une recherche sur la ferme Compeau, c'est que dans le feu de l'action, il avait du mal à contrôler ses flatulences et pan... pan...pan....Comme dirait l'autre,celui qu'on tutoie: Quelle pétulence!!!
Re: Beni Mellal
10 décembre 2008, 07:45
Vraiment , Dafina, réflexion faite , tu me fais raconter des choses pas possibles!!! Mais c'est de ta faute, je les avait presque oubliées.
Re: Beni Mellal
10 décembre 2008, 13:10
Bleon
Je suis très surpris de ta mémoire des lieux et des noms de Béni Mellal. Si Tameg'nount était, on va dire un peu facile retenir, Foghal par contre a complètement disparu de ma mémoire, pourtant autochtone que je suis si j'ose dire.
Foghal, la dernière fois que j'ai entendu ce nom, ça devrait être l'année scolaire 1969. Ma dernière à Béni comme on disait à cet âge là. C'est dans ces endroits là que nous apprenions nos leçons pour l'examen de la 3éme.
Merci pour cet exercice qui permet de secouer quelques zones du cerveau qui n'ont pas bougé depuis un certain temps.

Tameg'nount, pourtant, on est tenté de dire qu'elle n'a rien d'attrayant à priori pour un françaoui dont on connaît la réputation des cours d'eau, des canaux de navigation et des différentes zones humides.
Mais quand le thermomètre frôle les 40° l'été, il est vrai que ses bords doivent ressembler à un petit paradis. Hélas, je n'ai pas connu les étés de Béni Mellal, je me réfugiais dans mon Azilal de village de l'époque.
Re: Beni Mellal
10 décembre 2008, 14:38
Ogzilal
Quand tu dis frôle les 40°, moi je dis les dépasse. Il y avait des semaines à 46° en juin et le chergui et à l'époque point de climatiseurs, un simple ventilateur, une serviette mouillée devant et un seau d'eau sur le carrelage.
Je suppose qu'à ces moments là, tu révisais tes leçons, puis le BEPC sous les réverbères.

Mais Tameg'nount, sur le parcours que j'ai montré sur la photo Google Earth, tu n'as pas idée de ce que c'était avant qu'elle ne soit canalisée, cimentée à la façon blokaus.
Elle était bordée de saules pleureurs de dix mètres de haut et coulait à l'ombre. Des martins pêcheurs aux ailes bleues plongeaient pour attraper les petits poissons, les touterelles et pigeons venaient y boire et des canards y patauger.Il y avait des tortues d'eau, fkrouns. Et dans l'Hôtel des jardins elle était bordée d'arums, de rosiers, de Bougainvillées, de mimosas et encore d'orangers,de citroniers et clémentiniers qu'il fallait arroser avec des "tours d'eau" qui tombaient parfois la nuit. Des fois l'égadier de service s'endormait et l'eau n'allait pas où il fallait.Parfois "l'anich" nous filait entre les pieds et un scorpion noir, l'agreb, se bloquait dans le bac à douche sans plus pouvoir en sortir.
C'est pour ça que j'ai un vocabulaire d'aroubi ! Ah! J'oubliais le chant des jrans et des crapauds et la djeja barbue de mes voisins qui se mettait en colère et comme il n'y en avait pas, jouait le rôle de farouj sur ses copines! Elles pondaient sur le bord des fenêtres ou sur les tonnelles de chèvre-feuille sous lesquelles on abritait du soleil nos voitures. Il fallait une échelle pour aller récupérer les oeufs.
La suite une autre fois. Bonsoir à tous.
Re: Beni Mellal
11 décembre 2008, 03:15
Rouamzine

Tu nous dis que vous vous réunissiez à l'Eglise et qu'il y avait quelques coopérants. Voici une photo du personnel du Lycée Ibn Sina où je me trouve, année scolaire 1967-1968. Il y a 3 visages encadrés. Celui de la rangée du haut, c'est Fanton. En dessous à gauche avec des lunettes François.
Tous les deux étaient très pratiquants( pas comme moi) et fréquentaient beaucoup l'Eglise. Peut-être les reconnaîtras-tu?

Malheureusement François est décédé peu après,les éménations du chauffe-eau à gaz dans sa salle de bain. Il y a eu plusieurs décès dans ces années là pour la même raison.
Pièces jointes:
Ibn Sina 1967-68.jpg
Re: Beni Mellal
11 décembre 2008, 03:30
Bonjour à tous.

bleon, au sujet de l' Hotel du Pacha. Effectivement il appartenait à
la famille PENELLE. Et "ain" sur le site est de cette famille et c'est bien lui que je connais ,que j' ai retrouvé dans le VAR.
Mais depuis 3 ans il a quitté ces lieux et avec son épouse ,ils sont
remonté vers le centre ouest.Nous restons en contact.

Amitiés

ROUAMZINE (MATEO Jean)
Re: Beni Mellal
11 décembre 2008, 05:56
bleon .

Je viens de voir la photo du personnel du lycée Ibn Sina .Et
honnetement je ne recconais pas quelqu'un.Il y a fort longtempts.
Certe 40 ans cela peut paraitre pas enorme.Le problème c' est nous
qui avons changés et peut etre que les neurones ne suivent pas comme
nous aimerions qu' elles devraient le faire.
Amitiés.

ROUAMZINE (MATEO Jean).
Re: Beni Mellal
11 décembre 2008, 13:21
Bleon
Quand j'ai dit 40°, moi j'ai dit ce qu'on entendait à la radio, je ne saavais pas qu'il fallait marchander aussi la température.
Tout un écosystème qu'était cette tameg'nount qui a effectivement disparu, hélas, ce n'est pas le seul. Et dire que je l'enjeambais chaque matin au niveau du stade de foot sur la droite de la photo google-map avant de s'enfoncer dans une forêt d'oliviers d'un certain âge ( tous rasés également ) pour une dizaine de minutes de marche à peu près. On réapparaissait au niveau du virage ( ancienne piscine des français ) pour la montée finale qui tue. Arrivés au collège, les neurones prennent le relais pendant que les muscles se reposent. Rebelotte en descendant à Midi, et on repart à 13h30. Quelle santé, maintenant que j'y pense.
Re: Beni Mellal
12 décembre 2008, 01:40
Moi aussi par une petite porte derrière l'Hôtel des Jardins, je partais à pied au travail à travers les oliviers, passait devant chez le docteur Védrenne, puis le Tribunal, l'Eglise et j'arrivais. Mais c'était plat, pas de côte pour me couper les jarrets comme la tienne. Puis, peu à peu les oliviers ont disparu et les maisons ont poussé. L'eau d'irrigation avait du mal à arriver jusqu'à nos orangers.

Par contre par grosses pluies, l'eau ne sachant plus par où passer à travers les nouvelles constructions venait nous inonder et je me suis retrouvé un jour(plutôt une nuit) dans mon lit, les pieds dans dix centimètres d'eau, je veux dire de boue.

Ogzilal, tu as oublié comment on marchande, là bas ,chez les françaouis?
Et ta petite rue pavée près du marché? Elle ne s'appelait pas ZANKAT BOU DJUJ BIBEN?
Re: Beni Mellal
12 décembre 2008, 02:19
Me voici au grand nettoyage, après la nuit de l'inondation.On voit sur le mur la hauteur à laquelle est montée l'eau.

Et les françaouis de France qui pensent désert,palmiers et sècheresse quand ils entendent: Maroc!
Re: Beni Mellal
12 décembre 2008, 03:38
Parlant de chaud et de froid. BENI est bien servie .En hiver ça

caillé fort et l'été ,ça chauffait dur. Sur les chantiers notament

il nous arrivait de ne faire travailler les gros engins , plutot une

partie de nuit .Car de 12 heures à 16 heures nous ne les faisions pas

tourner. Ils restaientt à l' arret.Les thermomètres de bord montaient

souvent au rouge. C' etait à à Souk el had à Dar Ould Zidouh et à

Souk es Sebt et quelques fois sur Boujad. Hé oui beaucoup de souvenirs.

Qu'il est fait froid ou chaud c'est pour moi trés émouvant d'en parler

ou plutot de l'écrire

Amitiés aux MELALIS

ROUAMZINE (MATEO Jean)
Re: Beni Mellal
12 décembre 2008, 08:02
Chaleur aux Ouled G'naou

Mimi Compeau et Madame commençant à fatiguer un peu, atteignant l'âge que nous avons aujourd'hui, leurs enfants de mon âge, l'un à son travail à Casablanca, l'autre encore à ses études à Toulouse, j'allais souvent leur donner un coup de main avec un plaisir extrême dans leur ferme aux Ouled G'naou.

Rouamzine, pour moissonner, pas question de le faire le matin où l'air est encore trop humide, les trémis les tarares bouraient et le travail était mal fait.
Nous voilà donc à 2 sur la "boiteuse"(moissonneuse en dialectal), en plein cagnard, avec deus "bozoirs"(arrosoirs) remplis pour nous doucher de temps en temps et les fusils. Les cailles, perdreaux et tourterelles, se levaient à l'approche de la machine. Et surtout les vols de moineaux, dans lesquels un coup de calibre 12 laissait un trou de 2m de diamètre.Leurs dégats étaient estimés à 10 , 15% des récoltes.
Avant maturation , les enfants du coin venaient se faire des petits sous à les chasser de leurs gestes, de leurs cris , de leurs lance-pierres et avec les boites de lait en poudre au carbure (celui des lampes à acétylène) qu'on leur préparait et qui explosaient.

Si on dit toujours que les colons ont "fait suer le burnous", il y en a qui ont bien sué eux- mêmes et dès l'âge de 12, 13 ans. Leurs parents oubliaient souvent de les envoyer à l'école, surtout les garçons. Ils apprenaient surtout l'arabe avec leurs ouvriers. Les vieux marocains, leurs copains savent encore cela.

Après, il fallait passer la charrue à disques( ceux qui servaient de gong au collège de Ogzilal) pour enterrer les chaumes.
Alors Bounadem qui avec son troupeau de 2000 moutons n'avait pas besoin de travailler, mais là depuis toujours et attaché à la famille, refusait de débrayer, décidait de travailler la nuit à la fraîche avec son chenillard Massey Ferguson.
" Briti-t-ji f'lil ? Ouagha Bounadem".
Mais ,pour moi, nuit blanche en perspective. IL fallait aller voir toute la nuit si, ayant abandonné son cap, il n'était pas allé se coincer dans quelque fossé , séguia ou haie , car il s'endormait au volant.

A nous les siestes salvatrices, dont on sortait la plupart du temps avec cette chaleur, la bouche passablement pâteuse.

Rouamzine, en allant ou revenant de Souk Sebt des Ouled Nemâa, tu n'allais pas ramasser des champignons près de la forêt de la DEROUA ?
Re: Beni Mellal
13 décembre 2008, 15:30
Surtout n'essayez pas de conserver vos photos dans des albums sous des climats type cocotte minute comme celui d' Abidjan.

Merci ogzilal et Rouamzine de me pousser à les scanner avant qu'elles ne se dissolvent dans la moisissure équatoriale.

Rouamzine, voici les 4 enfants Hamon au dessus de l'Aïn Asserdoun au printemps 71, de l'ainée au benjamin:

Nawel, Marc, Souazic et Yan, bretons made in Morocco.

Papa agriculteur, maman enseignante, et les 4 enfants, tous ouled l'bled, parlaient l'arabe comme n'importe quel marocain.
Moi, quand je parlais on me disait ironiquement: " Enta aroubi"( paysan, pas loin de cul terreux). Mais à moi, le boujadi françaoui, ça me faisait plaisir.

Désolé pour les couleurs de la photo, mais il était temps que je la scanne.
Pièces jointes:
Enfants Hamon, Marc, Nawel , Yan et Souazic..jpg
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