Mazagan El jadida : photos de la ville, histoire

a tous mes amis les mazaganais et surtout a notre ami samanoe donner moi encore des rensegnements au sujet de mr laurent vidal et surtout comment aubtenir son fameux bouquin avec le recit de l.abondant de la cite portugaise au maroc et le deplacement des occupants vers la nouvelle mazagao au bresil merci d,avance momy

SALUT/SALAM/CHALOM à tous:Les villes voyagent aussi



Laurent Vidal raconte l’extraordinaire transfert des habitants portugais de Mazagan la marocaine au cœur de l’Amazonie à la fin du XVIII°siècle.

De 1514 à 1769, Mazagao (actuelle El Jadida) fut, avec sa voisine Mogador (Essaouira), une citadelle avancée de la chrétienté en terre d’Islam. La Couronne portugaise entretint cette enclave puissamment fortifiée qui tournait délibérément le dos à la terre.

Militaires, fonctionnaires, prêtres et colons y vivaient en vase clos, dépendant pour leur ravitaillement de l’arrivée des convois de Lisbonne. Pour imaginer la vie de cette cité, il faut lire Le Désert des Tartares de Dino Duzzati, l’attente interminable de l’arrivée, sans cesse reportée, de l’envahisseur.

Au milieu du XVIII° siècle, le Portugal considérait cette colonie plus comme un fardeau dispendieux que comme une position militaire indispensable. Lorsque le sultan Moulay Mohammed assiégea la ville en 1769, le marquis de Pombal y vit l’occasion propice de se débarrasser de cette vieille citadelle. Ses 2000 habitants furent évacués à la hâte.

Ces « rapatriés » n’avaient pas vocation à s’installer à Lisbonne où ils furent provisoirement hébergés. Pombal leur assigna une nouvelle destination : l’Amazonie brésilienne. C’est là que devait être construite, au nord de Belem, la Nouvelle Mazagan (Nova Mazagao). Ils durent attendre plusieurs années avant de s’installer dans une ville bien différente de celle qu’ils avaient abandonnée.

Maître de conférences à l’Université de la Rochelle, Laurent Vidal retrace, à partir de multiples archives, dont beaucoup étaient demeurées inexploitées, cette extraordinaire migration marquée par la difficulté d’adaptation à un climat équatorial et à la société brésilienne.

A tel point qu’au milieu du XIX° siècle, Nova Mazagao perd son rang de cité avant d’être transférée à Mazagaopolis officiellement fondée en 1915. Quelques irréductibles demeurent à Mazagao Velho où l’on continue à célébrer, au début du XXI° siècle, lors de la Sao Tiago (Saint Jacques) les combats entre les aïeux des habitants et les Maures. Quant à la cité mère, devenue El Jedida, elle a été inscrite au patrimoine mondial de l’Humanité par l’Unesco comme symbolisant la rencontre entre l’Europe et l’Islam. Et elle attire chaque année, tout comme sa voisine Essaouira, des milliers de touristes. Rares sont ceux à savoir que, pour parfaire leur connaissance du passé de cette cité, il leur faudrait traverser l’Océan. Grâce au livre de Laurent Vidal, ils y sont fortement invités.

Laurent Vidal, Mazagao, la ville qui traversa l’Atlantique du Maroc à l’Amazonie (1769-1783), Aubier, 314 p.

Patrick Girard Marianne en ligne le 22-08-2005 :extrait de rusibis.com et du [groups.msn.com]

Un petit souvenir à mes frères/amis(es) de dafina











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BONJOUR /Voilà un site pour ceux qui s'interessent aux anciens timbres du maroc [homir.5u.com] .voilà un petit souvenir sur eljadida de l'ancien marché populaire au centre ville entre mosqeé belhamdonia et cité portugaise(il existe encore) voir : [www.stamps-auction.com] :

SHALOM /POUR recevoir le livre de laurent vidal sur mazagan ; [fnac.com]? Info rapide.A plus


Mazagao, la ville qui traversa l'Atlantique
Laurent Vidal

beau livre (broché). Paru en 08/2005

Expédié sous 4 à 8 jours

22,50 €21,38 €


Pour raconter l'extraordinaire histoire de cette ville déplacée, Laurent Vidal a enquêté au Maroc, au Portugal et au Brésil. Une histoire encore vivante aujourd'hui : chaque année, au Brésil, les " descendants " des Mazaganistes célèbrent les luttes de leurs ancêtres chrétiens contre les Maures.


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En résumé

Mot de l'éditeur
1514 : la Couronne portugaise, dans un grand mouvement de reconquête des terres infidèles, fonde la citadelle de Mazagào, sur la côte marocaine. Les siècles passant, ce joyau colonial sombre dans l'oubli. Quand débute le siège de 1769, les 2000 Portugais de la forteresse ne peuvent faire face aux 120 000 soldats maures et berbères campés au pied des remparts. Alors, la couronne décide de déplacer - corps et biens - la ville de Mazagào. Au même moment, de l'autre côté de l'Atlantique, le Portugal entreprend la colonisation de l'Amazonie, nouvelle perle de l'Empire.
Il faut des hommes pour cela, et voici une ville entière soudain disponible. La destination de Mazagào sera donc le Brésil. Une véritable odyssée commence alors, avec la mise en navires des familles, des objets du culte et des livres de l'administration. Une escale de six mois à Lisbonne précède l'arrivée à Belém, capitale de l'Amazonie portugaise, où une nouvelle attente débute - de plusieurs années cette fois. Au bout du fleuve, la Nouvelle Mazagào tarde à sortir du sol. Dans l'intervalle, des hommes sont morts, des enfants sont nés : la ville nouvelle n'est déjà plus l'ancienne. Au traumatisme du déplacement s'ajoutent la difficile adaptation au climat équatorial et la cohabitation avec les Indiens ou les esclaves africains.

Pour raconter l'extraordinaire histoire de cette ville déplacée, Laurent Vidal a enquêté au Maroc, au Portugal et au Brésil. Une histoire encore vivante aujourd'hui : chaque année, au Brésil, les " descendants " des Mazaganistes célèbrent les luttes de leurs ancêtres chrétiens contre les Maures.





Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/09/2005 03:35 par Dafouineuse.
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voila
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CHALOM/SALUT: voila un ancien timbre de mazagan
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voici unsite sur le festival de musique en juillet 2005d'eljadida
[www.safi-eljadida-festival.com] et une photo de forteresse de cité portugaise :côtè quartier arjilla
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Ce n'est pas vrai, Samnoe, le festival juste en face de chez moi mais le figuier n'y est plus!
Merci Samnoe pour cette belle photo qui m'a fait trés plaisir.


tita

Mazagan Hotel des postes
Une humble participation a ce sujet si riche de la part d'une casablancaise
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Yael, Samnoe merci pour votre gentillesse, ces photos doivent faire plaisir à tous les jdidis qui sont un peu absents en ce moment, vacances, fêtes....
Voici pour vous une photo de tita et sa petite soeur, devant notre maison juste en face du rempart sur la photo de Samnoe

tita
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André a écrit:
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> La chambre de commerce ("Immeuble Consulaire"
> C'est dans cet immeuble que j'ai passé mon enfance, jusqu'en 1959 (connait-on la date de la photo?)
Shalom,salam, la Paix à tous.

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salut/chalom:merci tita;je crois que les vrais mazaganais(es) n'oublient jamais leur ville ; celle de leurs ancêtres ;on garde toujours des bons souvenirs .

voilà une nouvelle photo de mazagan
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salut/chalom: voilà une ancienne photo(début de 20ème siècle) de la cité portugaise la partie qui est en face de la cimetière juive (porte des taureaux appelée par les jdidis bab koweez :la porte est si petite ce qui necessite de se pencher pour entrer)
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Salut les jdidis!
En lisant les derniers messages j'ai retrouve de nouveau mazagao la brezilienne !la soeur jumelle de notre Mazagan!
c'est en 1770 que 340 familles ont quitte la citadelle pour un trajet de 6160 km en direction du Brezil
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salut et bon chebbat; voilà une ancienne photo d'eljadida :
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shalom/salut :la photo précèdante est de la place galeini acteullement la place abdelkarim khattibi dans laquelle se trouve (à gauche du photo) la cinaguogue .la droite de la photo il ya une rue qui mene vers sidi eddaoui et lacimetière juive .
voilà une 2ème photo de la place brudo /devant la cité portugaise

Entree du General d'Amade A Mazagan.
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voilà une photo de place/bd brudo
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voilà une photo du devant la cité portugaise avant la dernière restauration :
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