Casablanca

article du journal "Libération"

[www.libe.ma]

Paru aussi sur Maghreb info au mois de septembre [maghrebinfo.fr] : « Je ne cherche pas des poux dans la tête de nos édiles, loin s'en faut; mes propos découlent d'une réalité que tout un chacun vit au jour le jour. »

Ils ont bel et bien des poux dans leurs têtes.

Principe de l’iceberg : lorsqu’on observe quelque chose, il faut bien garder à l’esprit que ce n’est peut-être que la partie visible de l’iceberg qui, elle, repose sur une masse encore plus géante et invisible.

A mon humble avis, il faut bien chercher les poux dans leurs têtes pour connaitre ce qu’ils ont dans les tripes. Un tramway peut cacher un autre.

..... et pendant ce temps là la spéculation immobiliere va bon train !

destruction en début de semaine de ces magnifiques villas appartenant aux établissements Lafarge
Pièces jointes:

quartier Racine

le banc à gauche est en piteux état.
tiens des poubelles !!
Pièces jointes:

sur la liste des sacrifiés,Le lycée Chawki,(ancien lycée de jeunes filles) l'un des plus vieux et plus prestigieux lycée de Casablanca est victime d'une désertification intentionnelle en vue d'une transaction immobilière. Les inscriptions y sont de plus en plus limitées, des batîments sont fermés et les professeurs mutés vers d'autres établissements. Le peu d'élèves qui restent sont entassés les uns sur les autres dans des classes de plus de 45 élèves.

Le lycée Chawki fait partie de l'histoire de Casablanca

photo prise sur internet
Pièces jointes:

photo d'époque (prise sur le net)

l'entrée du lycée
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Casablanca: Les autorités sur le qui-vive

Par Khadija Skalli le 20/12/2013 à 21h10


Kiosque360. Branle-bas de combat à Casablanca. La mobilisation est à son comble dans la capitale économique qui s’apprête à accueillir le souverain.

Le roi Mohammed VI effectuera bientôt une visite à Casablanca, fait savoir Al Massae dans son édition du week-end. Ce déplacement, qui intervient deux mois après son discours au Parlement, discours dans lequel il avait sévèrement critiqué le déficit de gouvernance de la métropole économique, est sous haute protection. La préfecture de police du Grand Casablanca mobilise tout le corps de la police. "Le dispositif sécuritaire casablancais sera renforcé par l’arrivée des renforts des autres villes du royaume. Des forces supplémentaires viendront conforter l’effectif à Casablanca pour assurer la sécurité de Sa majesté", poursuit le quotidien arabophone, qui précise que les hauts responsables de la police ont reçu des instructions pour élever le degré de vigilance et de veille. Les responsables de la gestion locale de la ville sont également mobilisés. Ils tentent de redorer leur blason terni. Opération de nettoyage des boulevards, amélioration des espaces verts… C’est le branle-bas de combat dans la ville blanche. "Les hauts responsables de Casablanca tremblent de peur avant la visite du roi", titre le quotidien arabophone.

Où en est le plan d'urgence?

Dans son discours au Parlement, à l'occasion de l'ouverture de la nouvelle année législative en octobre dernier, le roi Mohammed VI avait tiré la sonnette d'alarme sur l’état lamentable de la métropole. "Casablanca est la ville des disparités sociales les plus criantes, ville où se côtoient les catégories riches et les classes pauvres et qui est à la fois un centre de la finance et des affaires, mais aussi de la misère, du chômage et d'autres maux". Le message du souverain était on ne peut plus clair. Le mode de gouvernance de la métropole est à revoir. C'est d'ailleurs la première mission du nouveau wali, Khalid Safir, qui a donné le ton dès sa nomination. Casablanca se dote d'un plan d'urgence ambitieux pour pouvoir faire face à la crise et au laisser-aller dont a fait preuve le conseil de la ville.

bonjour
je ne veux pas jouer le rabat-joie mais la série continue
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la plaque n'a toujours pas été remplacée !
Pièces jointes:

une plaque d'égout prés de du jardin de la ligue Arabe
Pièces jointes:

les antennes téléphonniques fleurissent sur les trottoirs aux mépris de la santé publique

quartier du palmier
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des dizaines de chiens errants sillonnent les rues par meutes .....heureusement qu'il n'y a pas la rage !!
Pièces jointes:

photo 2
Pièces jointes:

tiens des bourricots !!
Pièces jointes:

photo 2
ce ne sont pas les mêmes !
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pas de toilettes ?....la solution, une bouche d'égout ! ....et devant tout le monde !!
Pièces jointes:

une plaque sur le trottoir
Pièces jointes:

je ne veux pas noircir le tableau ou faire une certaine propagande anti-Casa mais les faits sont là !!!
et ces photos ont été prises par des Marocains de souche .Bravos à eux d'avoir le courage de montrer l'état de leur ville !

cette photo a été prise il ya deux jours .....ils ne sont pas en gréve mais seulement dépassés !
Pièces jointes:

«des Marocains de souche » MDr


www.lavieeco.com

Imane Trari. La Vie éco 2013-12-23

Economie

Casablanca : le marché des camions bennes à ordures échappera-t-il aux opérateurs locaux ?


Le nouveau cahier des charges de la gestion déléguée des déchets exige des spécifications qui, selon le Groupement du poids lourd, ne sont pas disponibles au Maroc. Les délégataires assurent que seule une partie des équipements sera importée.

camions dechets casablanca mMaroc.


Le nouveau cahier des charges pour la gestion déléguée des déchets à Casablanca a pris de court le Groupement du poids lourd et de la carrosserie (GPLC). Selon son président Adil Zaidi, faute de non-disponibilité sur le marché local du matériel exigé dans le cadre des nouveaux contrats de gestion, qui devraient entrer en vigueur le 1er mars 2014, les opérateurs nationaux du poids lourd ne pourront pas bénéficier de ce marché de taille. Pour précision, ce marché porte sur quelque 400 véhicules au prix unitaire de 1,6 MDH, dont 600 000 DH dédiés uniquement aux équipements. Autrement dit, «le budget d’investissement des sociétés de gestion déléguée de Casablanca est estimé à 640 millions de DH dans le cadre des nouveaux contrats», confie un opérateur.

Le GPLC manifeste son désaccord par rapport aux prescriptions relatives aux nouveaux véhicules de collecte, notamment l’exigence d’une motorisation Euro 5, et celles concernant les équipements des véhicules, à savoir les bennes tasseuses de 6 m2 et les caméras de recul. «On aurait souhaité que le Conseil de la ville se réunisse avec nous avant de concevoir ce cahier des charges afin de connaître la nature du matériel qui peut être fourni avec une valeur ajoutée marocaine», explique le président.

Le GPLC veut importer les équipements et les revendre aux délégataires

Cela dit, Adil Zaidi confirme qu’«une réunion du conseil du GPLC aura lieu d’ici la fin du mois. Lors de cette rencontre, nous allons essayer de trouver des solutions pour sauver la mise». Concrètement, le groupement envisage de négocier la possibilité d’importer les équipements pour les revendre aux sociétés de gestion déléguée moyennant une marge. «Si les délais sont respectés pour l’appel d’offres, nous aurons une période de 6 mois pour importer le matériel et répondre à la demande des délégataires», étaye M.Zaidi.

Interrogé à ce sujet, le top management d’une société de gestion déléguée de la place assure que la grande partie de l’investissement va bénéficier aux opérateurs nationaux. Selon lui, les véhicules Euro 5 sont disponibles chez les concessionnaires locaux (Renault, Scania, Auto Hall…). Concernant la partie équipement, sur laquelle le GPLC intervient, les opérateurs envisagent de s’approvisionner en partie sur le marché local et d’importer eux-mêmes les équipements non disponibles. Et pour cause, «nous ne sommes pas prêts à verser une commission, sachant que nous pouvons nous-mêmes importer ces équipements», déclare notre source.

Constat accablant !!
c'est bien les élus de la mairie qui sont en partie responsables de cette situation !

article daté d'octobre 2013

[www.albayane.press.ma]