RABAT .... photos ...suite no. 3.

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Pièces jointes:

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La café de la Renaissance que de souvenirs,

Moi, j'habitais (avec mes parents) l'appartement du 3éme balcon de l'immeuble à coté!

Merci de cette misva.



W.D



william Darmon

Coucher du soleil sur l'Atlantique,

vue des Oudayas

Rabat,

Vue sur la Chambre des Representants a partir d'un balcon de l'hotel Balima
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Minaret du Chellah
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Minaret a Sale,
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Medersa a Sale,
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Mosquee Ass Sounna,
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S. M. le roi Hassan II a Rabat
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Esplanade de la Tour Hassan,

Mausolee S.M.Mohammed V
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Bab Mrisa a Sale,
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L'Oued Bou Regreg, Rabat
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Rabat, le Bou Regreg, les barcasses, et les Oudayas.

Rabat, le fleuve et les Oudayas
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Cigogne a Rabat,

Rabat. Tour Hassan
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Rabat,Tour Hassan

Mausolee S.M Mohammed V et ses fils
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Cher Elie,

Je viens de me souvenir d'une petite "injure" que l'on faisait au Slaoui (habitant de Salé) :

- tous les Slaoui deviennent fous à partir de 16 h 00.

Celà correspondait, parait-il, à la fermeture des portails de la ville de Salé dans les 18 è et 19 è siècle. En effet, les Slaouis qui travaillaient en dehors de Salé, devaient courir pour renter chez eux à la fin de chaque journée avant la fermeture des portails.

Les rbatis disent toujours que les Slaouis sont fous pour les "narguer".

Avez-vous connus cette histoire dans les anées 50 ?

Amitiés.

Eva la Rbatiya.

Bonjour Eva,

mais bien sur que cette blague etait en vigueur durant ma jeunesse. D'ailleurs je pense en avoir parle dans un de mes premiers messages.
C'etait a la plage de Sale ou nous avions une cabine vers les annees 1956 et mes frangins y amenaient tous leurs copains et copines. Cette bande d'amis appelaient la cabine de la plage de Sale des Cohen "la cabine du Bon D.ieu", pourquoi? Tout simplement parce que la clef de notre cabine se balladait d'amis en amis car mes freres leur confiait cette cle et ainsi elle passait de main en main. Si bien qu'un matin d'ete, mon ami intime et voisin Albert Rato m'avait demande si on pouvait aller a la plage de Sale, j'avais dit que si puisque il n'y avait pas grand chose a faire au quartier ( nous etions tres jeunes). Bon il m'a demande d'avancer et il allait me rejoindre plus tard. A l'epoque un gamin de 9-10 ans pouvait aller de la rue du capitaine Petitjean jusqu'a la plage de Sale sans crainte. Les barcasses n'existaient pas car il y avait un pont pour pietons pose sur des barques et la traversee etait facile. Un jour il y eut une grande crue du Bou Regreg avec grosses vagues et le pont a ete emporte, et les autorites ne l'ont jamais remplace, peut etre pour creer de l'emploi aux propritaires de barcasses.
Bref je demande la clef de la cabine a ma mere qui me repond que mon frere Jacques l'avait donne a des amis qui allaient a la plage tous les jours et donc ils devraient y etre. Ni une, ni deux je prends mon maillot et j'y vais, en esperant que la cabine etait ouverte. Au bout d'une heure de marche a peu pres,de chez moi a la rue de Bordeaux, Boulevard Joffre jusqu'au bout. Tourner a gauche, descendre la route jusqua la rive du fleuve, traverser le pont, marcher sur le sable jusqu'au petit bois, suivre les anciens rails de chemin de fer ensevelis sous le sable, traverser le bois, atteindre la plage et les cafes et a gauche pas loin des rochers en face des Oudayas nous avions notre cabine tous les etes.
J'arrive a la cabine, il y avait plein de jeunes gens , filles et garcons que je ne connaissais pas et timidement je m'approche de la porte. La ils m'arretent et me demandent d'un ton autoritaire " eh le mome,qu'est-ce que tu veux, allez dehors..J'etais assez timide et d'un ton pas tres sur, je leur avais dit s'il etait possible que je me change et puisse mettre mon maillot de bain. Non mais..qu'ils me repondent? Alors j'ai pris mon courage a deux mains et leur ai dit que j'etais le frere de Jacques et que la cabine appartenait a mon pere. Ils m'ont fait une fleur et m'ont permis l'acces de la cabine ainsi qu' a mon ami Rato qui me rejoigna plus tard.Je pense que lorsque j'avais raconte cette histoire a mon pere le soir apres son retour de travail, il n'etait pas content et avait dit a mes grands freres que la cabine ,il l'avait achete tout d'abord pour les membres de la famille!

Enfin toujours est-il qu'il y avait parmi les amis de mes freres quelques Slaouis et losqu'il y avait trop de monde a la cabine, a 16 h precises, on attendait que les Slaouis fassent des blagues et tout de suite en guise d'applaudissements on leur disait " ca y est il 4 h, l'heure de la deconne , c'est pas votre faute mais vous deraillez alors, houp a la maison dare dare..Et il fallait les voir, tous rouges...ils n'appreciaient pas, mais bien sur c'etait pour se marrer. De toutes facons ils etaient reconnus pour etre" bassel", tous, toujours a dire des conneries..

Oh Eva c'etait l'epoque.. et vraiment personne ne se fachait vraiment. Aujourd'hui on n'oserait pas bien sur, mais en 1957-58, c'etait autre chose,

amities ,

elie