Bonjour et Hag Samea'h , Hanoucca 5766,
Vvoici quelques informations glanees ca et la pour bien celebrer Hanoucca cette annee.
Guide de Hannoucah 5766
du Dimanche soir 25 décembre 2005 au Lundi après midi 2 Janvier 2006.
A partir d'une brochure du
CENTRE COMMUNAUTAIRE DE NEUILLY Beth 'Habad-Lubavitch
21, rue Louis Philippe à Neuilly sur Seine
Tél. : 01 46 24 70 70 - Fax : 01 46 24 43 45
[
www.loubavitch-neuilly.com]
Un organisme sous l'égide du Bureau européen du Rabbi de Lubavitch
Machia'h arrive ! Soyons prêts à l'accueillir !
L'allumage
La Ménorah doit avoir huit branches ou supports disposés en ligne droite et de la même hauteur. Il y a aussi un emplacement pour le Chamache - le "serviteur" - qui sert à allumer les autres flammes, et qui est décalé par rapport à elles.
Il est préférable d'utiliser de l'huile d'olive pour les lumières de la Ménorah afin de souligner le rôle que celle-ci joua dans le miracle de 'Hanouccah, mais des bougies conviennent également. Une coutume répandue est d'utiliser une bougie de cire d'abeille pour le Chamache.
Une Ménorah électrique ne peut pas être utilisée pour s'acquitter du devoir d'allumer les lumières de 'Hanouccah.
Pour le nombre de bougies à allumer et l'ordre de l'allumage,
On allume les lumières de 'Hanouccah avec la flamme du Chamache plutôt qu'avec une allumette. Le premier soir de 'Hanouccah, on allume une flamme à l'extrémité droite de la Ménorah. Chacune des nuits suivantes, on ajoute une bougie à gauche de celles allumées précédemment. On allume d'abord la nouvelle bougie, suivie de celle immédiatement à sa droite et ainsi de suite. On reproduit ce schéma chaque jour jusqu'à ce que, le huitième soir, les huit bougies brûlent ensemble.
On allume les lumières au coucher du soleil ou à la tombée de la nuit, selon les coutumes. Dans tous les cas, les bougies devront continuer à brûler pendant une demi-heure après la tombée de la nuit.
Le Chamache ayant été allumé au préalable, avant d'allumer les bougies de Hannoucah, récitez les bénédictions appropriées et, après l'allumage, récitez le "Hanérote Halalou".
Bénédictions de l'allumage:
Chaque soir:
Baroukh Ata Ado-naï Elo-hénou melekh haolam acher kidechanou bemitsvotav vetsivanou lehadlik ner 'hannoucah.
Baroukh Ata Ado-naï elo-hénou melekh haolam ché-assa nissim la-avoténou bayamim hahem bizman hazé.
Cette bénédiction ne sera dite que lors du premier allumage:
Baroukh Ata Ado-naï elo-hénou melekh haolam chee’heyanou vekiyemanou vehiguianou lizmane hazé.
Il est d'usage que tous les membres de la famille soient présents lors de l'allumage des bougies de 'Hanouccah.
Pour diffuser le miracle de 'Hanouccah, on allume les bougies devant une fenêtre donnant sur la rue ou mieux sur le pas de la porte.
Le vendredi après-midi, on allume les lumières de 'Hanouccah avant les bougies de Chabbat. Les bougies de Hannoucah devront donc être allumées quelques minutes avant 16h40, et les bougies de Chabbat avant 16h43. (Heures pour Paris!)
Depuis l'allumage de ces dernières jusqu'à la sortie de Chabbat (et la récitation de la Havdala), la Ménorah ne doit pas être rallumée, déplacée ni préparée. Après la sortie de Chabbat (18 heures) et la Havdala, on allume les lumières du septième soir de Hannoucah, samedi soir.
Quelques citations:
"Les lumières de 'Hanouccah nous rappellent que l'illumination commence chez soi, en ajoutant de la lumière de la Torah et des Mitsvot dans sa vie quotidienne, de même que le nombre des bougies de 'Hanouccah que nous allumons croît jour après jour. Mais bien que l'éclairage commence dans le foyer, il ne s'arrête pas là. La nature de la lumière est telle que lorsque quelqu'un allume un luminaire pour ses propres besoins, cela profite à tous ceux qui l'entourent. Ainsi les lumières de 'Hanouccah sont-elles destinées à illuminer "l'extérieur", en référence au devoir d'apporter la lumière à ceux qui, pour une raison ou pour une autre, errent encore dans l'obscurité." (Le Rabbi de Lubavitch)
"La fête de 'Hanouccah fut établie pour commémorer la victoire sur les Grecs, cependant l'intervention divine fut moins visible lors de la victoire militaire. Ainsi, à 'Hanouccah, met-on en avant le miracle des lumières de la Ménorah, pour montrer clairement que tous les événements liés à cette fête furent de vrais miracles accomplis par D-ieu." (Rabbi Yéhouda Loew – le Maharal – de Prague, 16ème siècle)
"Les mots du verset "Des ténèbres couvraient la face de l'abîme" (Genèse I, 2) se rapportent à la Grèce, qui assombrit le visage d'Israël. En conséquence D-ieu commanda "Que la lumière soit" (verset 3) – la lumière de la Rédemption Messianique." (Le Zohar, 2ème siècle)
"Pendant 'Hanouccah – terme qui signifie également "éducation" –, 36 bougies sont allumées au total. Ceci vient nous "éduquer" et nous préparer à la Rédemption ultime, lorsque la "lumière cachée" qui prévalait durant les 36 premières heures suivant la création d'Adam sera à nouveau dévoilée dans toute sa gloire. C'est cette même lumière ("car la Mitsva est une lampe et la Torah, une lumière" [Proverbes VI, 23]) que les Grecs cherchèrent à éteindre." (Rabbi Eliézer de Worms, 12ème siècle)
La Ménorah du Rambam:
Un croquis de la main de Maïmonide datant du 12ème siècle indiquant les particularités de la Ménorah du Temple. Dans ce dessin, les sept branches de la Ménorah s'étendent en diagonale, en lignes droites, plutôt qu'en arcs de cercle.
L'histoire:
En 164 avant l'ère vulgaire, Antiochus IV acquit la domination des territoires syriens de l'empire Grec, territoires qui incluaient la Terre d'Israël. Antiochus qui était un tyran d'une exceptionnelle cruauté, entrepris de forcer tous les peuples de son empire à adopter les mœurs et coutumes de la civilisation grecque. Son but en cela était de les amener à une totale soumission à sa loi.
Une à une, les nations de l'Antiquité troquèrent leurs idoles contre celles du panthéon grec. La "conversion" à la culture grecque – l'hellénisme – n'impliquait pas seulement l'acceptation des dieux païens, mais aussi celle de la philosophie grecque. La pensée grecque était caractérisée par la foi en l'éternelle fiabilité de la raison humaine et l'idéal de l'esthétique comme une fin en soi. L'esprit humain, avec sa logique, et le corps humain, avec la perfection potentielle de ses formes, étaient les objets de l'idéal hellénistique.
Au regard de la loi grecque, la Torah en tant qu'œuvre de grande sagesse et d'une grande beauté – en tant que littérature, philosophie, histoire ou morale – pouvait être certes admirée, mais non pas considérée sacrée.
Les Juifs qui sympathisèrent avec la mouvance helléniste gagnèrent pouvoir et honneurs, les dirigeants grecs les élevant aux plus hautes fonctions du gouvernement juif et de la vie religieuse. Cette élite puissante était composée de Juifs qui prirent des noms grecs, adoptèrent un accoutrement grec et une pensée grecque et qui se prosternaient devant des idoles grecques qui représentaient l'antithèse de leur propre foi.
Cependant, dans les maquis et les campagnes, le peuple demeura fidèle à la Torah. Furieux, Antiochus envoya ses soldats pour éradiquer ces pratiques "démodées" et obstinées. Des mesures sévères furent adoptées pour faire disparaître la religion juive. Les décrets grecs interdirent l'étude de la Torah et les enfants juifs jouaient à la toupie pour masquer leur étude à l'approche des patrouilles grecques. Nombre de martyrs juifs défièrent la prohibition de Mitsvot telles que la Brith Mila et le Chabbat, souvent au prix de la torture et de la mort. Parmi ces actes d'héroïsme figurent ceux de 'Hanna et de ses sept fils qui préférèrent périr plutôt que de se prosterner devant une idole grecque, et ceux du vieux prêtre Eliézer qui fut exécuté pour avoir refusé de manger de la nourriture non-cachère.
Ce fut alors que dans la ville de Modiin, le vieux Cohen Matitiahou et ses cinq fils commencèrent la rébellion qui conduisit à l'expulsion de toute l'armée grecque. Ils se faisaient appeler les Maccabis.
"Maccabi" rassemble les initiales des mots du verset : Mi Kamokha Baeilim Hachem, "Qui est comme Toi parmi les forts, Ô Eternel !"
La petite armée, avec un courage et une foi exemplaires, se battit contre la formidable puissance de l'arsenal grec et finit par l'emporter. Une courageuse héroïne, Yéhoudit, a aidé à assurer la victoire en tuant Holopherne, un cruel général grec. En lui donnant du fromage salé, puis du vin fort pour épancher sa soif, elle le fit sombrer dans un profond sommeil. Elle s'empara alors de son épée et le tua. Ses soldats s'enfuirent dans la confusion et la panique.
Les Maccabis se tournèrent alors vers le centre de la vie juive, le Saint Temple à Jérusalem. Lorsqu'ils entrèrent dans le Beth Hamikdache pour restaurer ce qui avait été pillé et saccagé, les Maccabis cherchèrent de l'huile sacrée pour allumer la Ménorah, un des devoirs primordiaux du service quotidien du Temple. Une recherche minutieuse ne permit de mettre à jour qu'une petite fiole d'huile qui n'avait pas été profanée par les soldats grecs. L'huile qu'elle contenait (quelques 2 litres) ne pouvait servir à allumer les sept lampes de la Ménorah qu'une seule journée. Miraculeusement, l'huile brûla pendant huit jours, jusqu'à ce qu'une nouvelle huile soit produite.
La Ménorah que nous allumons rappelle la Ménorah à sept branches du Temple, magnifiquement taillée dans un seul bloc d'or. Notre Ménorah – la 'Hanoukiah – a huit branches, plus un neuvième emplacement pour le Chamache.
Nos sages soulignent l'importance de faire connaître le miracle de 'Hanouccah, c'est pourquoi nous allumons la Ménorah là où tous peuvent la voir. Souvent, des Ménorah sont placées bien en évidence dans des lieux publics à cet effet.
La Ménorah est un symbole de libération, non seulement d'un tyran d'une autre époque mais aussi d'une obscurité spirituelle qui n'est pas limitée aux temps anciens. Une petite fiole d'huile, à l'instar de la petite étincelle de judaïsme dans chaque âme juive, suffit à éclairer la voie vers un renouveau total de la vie juive.
Les forces de l'assimilation, comme jadis, ne peuvent éteindre la lumière de la Torah.
A l'époque du Temple, les flammes de la Ménorah diffusaient une lumière sainte au monde entier.
A la différence de la Ménorah du Temple qui comprenait sept flammes, celle que nous allumons aujourd'hui à 'Hanouccah en comprend huit. De plus, la Ménorah du Temple était placée à l'intérieur de ce dernier, tandis que la Ménorah de 'Hanouccah doit être placée "sur le seuil extérieur de la porte", ou devant une fenêtre bien visible de la rue.
La Ménorah
Les sept flammes de la Ménorah font référence à la perfection telle qu'elle se décline dans l'ordre naturel, illustrée par les sept jours de la semaine et les sept attributs de la nature humaine: Au sein de la très diversifiée communauté des humains, certains brillent par leur 'Hessed (amour, bonté), d'autres par leur Guevourah (rigueur, crainte de D-ieu); d'autres encore personnifieront Tiferet (harmonie, compassion), Netsa'h (ambition), Hod (humilité, dévotion), Yessod (communication) ou Malkhout (royauté, réceptivité).
La Ménorah du Temple fut ciselée à partir d'un seul bloc d'or, à l’instar des âmes qui proviennent toutes d'une seule et même source. Les flammes étaient tournées vers le centre de la Ménorah, tout comme les âmes restent orientées vers leur unique source, aspirant toutes au même but ultime. Toutes sont pareillement "une parcelle du divin d'En-Haut", chacune avec sa propre personnalité.
A l'époque du Saint Temple, quand la Divinité était dévoilée, les sept lampes constituaient une illumination suffisante.
Toutefois, les lumières de 'Hanouccah qui repoussent l'obscurité de l'exil doivent transcender les limites de l'ordre de la nature. Une telle lumière est produite par les huit bougies que nous allumons à 'Hanouccah. Car le chiffre huit désigne une lumière qui transcende toute limite.
L'Huile
L'huile symbolise l'essence d'une chose. Elle est distincte et séparée, pourtant elle infiltre tout ce qui l'entoure : l'huile flottera à la surface de tous les autres liquides, mais, alors que les autres liquides restent en place une fois répandus, l'huile, comme l'âme, pénètre tout, s'infiltre au plus profond de tout. En souillant l'huile sacrée de la Ménorah, les Grecs tentèrent de détruire l'essence de l'âme juive.
La Mèche
Une mèche sans huile ne produit qu'une faible lumière. Une vie sans Torah et Mitsvot – bien que brûlant du désir de se lier à D-ieu – est incapable d'entretenir sa flamme. Elle peut éprouver d'intenses moments d'extase spirituelle, mais, manquant de l'huile essentielle de la substance du divin, elle s'éteint bien vite, ne réussissant pas à amener une lumière durable dans le monde. Mais lorsque la mèche est trempée dans l'huile puis allumée, elle se fait le vecteur de cette huile et la transforme en une lumière régulée et stable.
Les Flammes
Les lumières de 'Hanouccah sont sacrées. Nous n'avons pas le droit d'en faire un quelconque usage, autre que les regarder. Ainsi affirmons-nous la suprématie de la lumière divine sur nos capacités limitées.
L'effort de la vie est de canaliser la lumière du jour pour qu'elle illumine la nuit : nous nous efforçons de cultiver tout ce qui est bon et divin, et de diriger ces ressources positives pour surmonter et transformer les aspects négatifs du "coté obscur" de la création. Ce processus était symbolisé par l'allumage de la Ménorah du Temple : allumée avant la fin du jour est placée dans le Sanctuaire, la Ménorah irradiait son éclat divin par delà les murs du Temple vers le monde obscur au dehors.
Il y a des fois où l'obscurité envahit le Temple comme une marée noire submergeant un phare, éteignant la Ménorah et souillant son huile sainte. Des circonstances où nous ne pouvons plus puiser dans le jour pour éclairer la nuit.
Dans des moments pareils, nous devons chercher la "petite fiole d'huile pure" là où elle se cache, l'essence de la création qui est intacte et inaltérable. Nous devons dépasser les dimensions apparentes du "jour" et de la "nuit" afin de dévoiler la particularité originelle de la lumière et des ténèbres.
Placée en un endroit d'où elle peut être vue de la rue, la Ménorah de 'Hanouccah nous enseigne que nous devons diffuser la lumière de la Torah à tout notre entourage.
Allumée après la tombée de la nuit, la Ménorah de 'Hanouccah nous rappelle que même dans nos moments les plus sombres, la lumière de la connaissance peut briller intensément; alors la délivrance et le Machia'h seront à notre portée si nous décidons d’allumer aujourd’hui ne serait ce qu'une autre petite flamme.
Le Chant: Maoz Tsour.
Chant traditionnel de Hannoucah dans certaines communautés.
Maoz tsour yéchouati
Lé'ha naé léchabéa'h
Tikone beit téfilati
Véchame toda nézabéa'h
Lé-ète ta'hine matbéa'h
Mivtsar ham'nabéa'h
Az egmor béchir mizmor
'Hanoucat hamizbéa'h Rocher de ma délivrance
Dire Ta louange est un délice.
Restaure ma maison de prière
Et nous y offrirons des actions de grâce.
Lorsque Tu prépareras la victoire
Sur Tes ennemis aux abois
J'achèverai par un chant de louange
L'inauguration de l'Autel.
Les beignets
Pour commémorer le miracle qui est arrivé avec de l'huile, il est de coutume de manger des aliments frits dans de l'huile. Les grands standards sont les 'Latkes' (beignets de pommes de terre) et les 'Soufganiot' (beignets sucrés). Des mets lactés, comme des Latkes au fromage, sont également consommés en souvenir des actions héroïques de Yéhoudit.
Parmi les plats qui ont le plus de succès, voici la fameuse recette des Latkes aux pommes de terre.
5 grandes pommes de terre épluchées
1grand oignon
4 œufs
1/3 de verre de farine de matsa
1 cuiller à café de sel
une pincée de poivre
1/3 de verre d'huile pour friture
Râpez les pommes de terre et l'oignon avec la râpe fine du robot, ou dans un mixer avec un peu d'eau. Ajoutez les œufs et mélangez. Ajoutez ensuite la farine de matsa et le reste des ingrédients et mélangez bien le tout. Faites chaffer l'huile dans une poêle et faites-y frire le mélange, une cuiller à la fois. Lorsque le premier côté est doré, retournez les Latkes.
Ingrédients:
500 g de farine
3 cuillèrées à soupe de sucre
2 Cuillèrées à soupe d'huile
1 carré de levure de bière
3 verres à moutarde de bière, jus de fruit
Dans une terrine, verser la farine. Ajouter le sucre et les jaunes d'oeuf, puis délayer le liquide et la levure de bière jusqu'à ce que celà forme une pâte nappant. Ajouter l'huile, incorporer les blancs d'oeuf battus en neige. Verser les cuillères de pâte dans de l'huile chaude mais non fumante. Faire dorer les beignets, les égoutter dans une passoire, saupoudrer de sucre semoule et servir sur une serviette de papier absorbant. Bonne fête.
Des cadeaux de Hannoucah?
Il est de coutume à 'Hanouccah de donner aux enfants le Déméi 'Hanouccah, un peu d'argent de poche. Cette tradition augmente grandement la joie des enfants et leur participation à l'esprit de la fête. En outre, cela procure une occasion d'encourager les enfants à toujours s'améliorer (dans l'assiduité à l'étude, dans les bonnes actions, etc.). A cet effet on n'omet pas de leur rappeler de verser la dîme (Maasser) de ce qu'ils auront reçu durant la fête.
Le jeu
Les Grecs avaient décrété que l'étude de la Torah serait interdite et constituait un crime passible de mort. Mais les enfants juifs continuèrent à étudier en secret et, à l'approche des patrouilles grecques, faisaient semblant de jouer à la toupie. D'où l'usage des enfants de de jouer à la toupie les soirs de Hannoucah.
La toupie nous rappelle également que tout ce qui s'est passé à cette époque est mû par la main invisible de D.ieu, (la main a quitté l'objet que nous voyons tourner).
Sur chacune des quatre facettes de la toupie de 'Hanouccah est inscrit une lettre hébraïque : "Noun", "Guimel", "Hé", "Chin". Ces lettres renvoient à la phrase "Ness Gadol Haya Cham – Un grand miracle est arrivé là-bas."
Mise à jour le 20 Novembre 2005
Aharon Altabé
www.milah.fr
Pièces jointes: