College des orangers a Rabat

Voiçi une photo des "3 mousquetaires" du Collège des Orangers et du Stade marocain, prise il y a quelques années déjà: Philippe Salémi, Yves Million et Yves Charles DOminique. NOus avons été au Stade Marocain athlétisme ensembe, fait notre première ensemble au collège, notre terminale ensemble à Gouraud, notre professorat d'EPS toujours ensemble à l'ENSEPS de Paris, sommes revenus ensemble en coopération à Rabat en 1966. Philippe a quitté Rabat en 1972, Yves CD en juillet 1993 et moi-même en juillet 1994. Nous n'avons jamais perdu le contact et nous nous sommes revus plusieurs fois, dont la dernière à Dijon en 2007. C'est beau l'amitié.
Bonne journée
Yves Million

Quelques anecdotes concernant le professeur de français Monsieur Petit. Dans les petites classes, il se faisait plus ou moins chahuter, car trop fort et trop rêveur pour ces classes. Par contre, à partir de la seconde, il était très intéressant. DOnc voilà les anecdotes:

- En 4e, lors d'un contrôle de français, toute la classe avait les livres sur les genoux (même le fils d'une prof que je fus). A un moment donné, le prof se lève brusquement en allant vers un élève qu'il avait pris sur le fait. Il y eut dans la classe un remue-ménage pour ranger les livres. Le copain s'était mis à pleurer en disant: "je ne suis pas le seul". Et voilà le prof vérifiant tous les casiers et bien entendu, il ne trouva rien. " Vous êtes le seul voleur dans cette classe" dit-il au copain, qui bien entendu fût puni. Nous n'étions pas trop fiers.

- Lors des récitations, il se mettait souvent à rêver et nous pouvions raconter n'importe quoi. Par contre, il ne fallait pas s'arrêter de parler pour faire "la musique".Des fois cela marchait; d'autres fois, il disait: "je n'ai pas très bien entendu cette partie" et vlan, on se faisait piéger. Pour remédier à cela, les bons copains du premier rang mettaient en grosses lettres sur des feuilles la récitation, ce qui aidait bien ceux qui ne savaient rien.

- En seconde, il disait souvent lorsqu'il travaillait à son bureau: "Nom d'une racine", ce qui nous faisait rire. Souvent aussi les élèves des autres classes passaient en frappant sur notre porte, ce qui mettait en rage le prof. Un jour,juste après les coups donnés par des élèves sur notre porte, nous entedîmes frapper et un élève rentra. le prof se précipita sur lui et lui mis une claque retentissante. Stupeur de l'élève qui mis sa main sur la joue brûlante et dit "Et Monsieur que se passe-t-il, je suis nouveau". Excuses du prof, tout confus. Cet élève arrivait du lycée Gouraud. IL s'était fait renvoyé. En seconde par contre ses cours de littérature étaient très intéressants. C'était un érudit qui animait dans les cinémas de Rabat (Royal ou Marignan) les discussions après des films à thèmes. Il était aussi mélomane. Comme quoi, il fallait être plus vieux pour comprendre ce prof.

YVES ,

Tu as oublier quelques défauts:

Sa façon de marcher bien droite ,on dirait qu'il avait un baton dans le dos 'pour etre poli )

Son pouce droit etait sous le reversde son veston et les 4 doigts sur le revers et ...en avant la musique ! une deux ,une deux !!!!

De temps en temps il relevait sa petite meche et march ait en regardant droit devant .

Inutile de raconter ce qu'il a passé avec nous ( les crapeaux ,les boules puantes ,les bzzz !!toc ,les mouches ect ect )


A PART CA C'ETAIT UN BON PROF .

A+
LOULOU BENACCOUN

Ciao Tutti,
Dans la revue des prof du Collège, je ne pense qu'on ait parlé du prof. d'histoire/géo, Mr De la Rochegonde. Lui m'a fait aimé ces matières tant et si bien que jai rafflé à plusieurs reprise les prix d'excellence ou d'honneur (peut-être aussi parce que mes petits copains de classe n'avaient pas trop envie de bosser, qui sait !!).
Ni de M. Rey, un super prof d'Espagnol qui était apprécié et respecté par tous les élèves, au contraire de M. Petit.
Bien sûr, no préférés restaient nos prof de Gym, mais j'en reparlerai une autre fois...
A presto amici. Philippe SALEMI.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/11/2008 05:15 par clementine.

Salut Philippe

Concernant De La Rochegonde, effectivement c'était un bon prof d'histoire-géo. Seulement, il en a eu assez de l'enseignement et s'est tourné vers la Misson Culturelle à l'étranger. Il était devenu Conseiller Culturel. Quant à Rey, notre prof d'Espagnol qui était excellent, il tripotait sans arrêt sa "queue" en ayant la main dans la poche. Il ne portait pas de slip et avait toujours des tâches jaunes sur celui-ci. Le père Comet notre prof de maths, ne portait jamais de chaussettes et de cravates, car ancien saharien, jusqu'au jour où il fût obligé de la faire par le directeur. Spécialiste des corrections de compositions durant les cours, lorsque nous faisions un devoir. Il ne passait pas 20 secondes par feuilles, regardant simplement les résultats et non pas aussi la démarche. Tronchon, le prof de physique et chimie, excellent prof, dont le fils faisait aussi de l'athlétisme à nos débuts. Nous aimions faire nos cours de physique et chimie au Lycée Omar Khayam, à cause des filles. Lorsque nous faisions nos cross durant les compositions d'EPS, Géron nous faisait faire le grand tour du collège, en passant devant la salle de permanence au grand mécontentement du surveilant Ignatiev. Un jour, il nous avait bloqué en sortant. Moi, devant j'avais eu le temps de passer, quant au second, il l'avait fait rentrer en perm, foutant en l'air le contrôle du copain. Mme Chatiron, la prof de musique.: durant les compositions, nous sortions nos livres que nous mettions sur les genoux. A un moment donné, j'ai levé la tête. Elle était entre les 2 rangées en train de me fixer sévèrement. Aussi sec, je rentrais mon livre. Elle était cool avec nous, car il aurait fallu punir toute la classe. Pour les plus anciens, le censeur que nous appelions "Scoffo", spécialiste des coups de pieds au "cul".

He! Les copains. C'est le vide. Plus personne n'écrit sur le site du collège. Vous travaillez trop ou vous n'avez plus de souvenirs! Ah! Ah! Ah!
Une anecdote concernant notre conseil de révision (1960). Tous les jeunes français, âgés de 18 ans devaient passer le conseil de révision (en groupe) devant un docteur désigné par les autorités françaises, pour savoir si nous étions aptes au service militaire. j'étais encore au collège pour avoir échoué à mon premier bac et donc je refaisais mon année. Nous étions une vingtaine le samedi matin et comme la coutume le veut, nous allions écumer les lycées de jeunes filles (nous avions oublié que nous étions dans un pays indépendant). Heureusement, la police a été cool avec nous. Juste avant qu'elle nous suive, nous étions allés au Lycée lalla Aîcha, embrasser dans les classes les filles, au grand mécontentement des profs. Escortés ensuite par une voiture de police, nous étions allés au Lycée Omar Khayam, dont la directrice était Mme Tonchon, femme de notre prof de physique et chimie,... et où nous allions faire nos cours avec lui. Lui rigolait, mais pas elle qui voulait appeler la police. Son mari l'avait calmée (je ne comprends encore comment la police avait pu nous laisser faire). Nous étions rentrés dans les classes, jusqu'au moment où un copain (Huron) cria: "Yves vient vite par içi". En arrivant, c'était la classe de Mme Lonchal, prof d'anglais et où se trouvait au premier rang, celle que j'aimais et qui allait devenir ma femme. Bises et hop nous nous volatisions, car la petite Mme Lonchal, toute peinturlurée (comme une poupée), nous hurlait dessus. Nous avions été la dernière promotion à faire cela. L'année suivante les jeunes furent convoqués les uns après les autres et à des jours différents. Le lendemain dimanche, je battais le record de France junior du saut à la perche.

Nous avions représenté le collège des Orangers aux championnats de France scolaire cadets au MANS. Notre équipe se composait ainsi: Lajous (l'aîné) au 80 m, Hassaîne en longueur, Martinez en hauteur, Donkers au poids, Sempéré au 1000m et moi, comme il n'y avait pas la perche, j'étais remplaçant. Nous avions été premier dans toutes les épreuves avant le 1000m, épreuve où nous étions les plus faibles. Comme celles-ci étaient calculées en fonction de la table Letessier, nous avions perdu beaucoup trop de points au 1000 m couru en 3 minutes par Sempéré (avec une main dans le plâtre), alors que les adversaires couraient en 2'35. Nous avions terminé 2e par équipes. Dommage d'être passé si près d'un titre. S'il y avait eu la perche, nous aurions été sacrés champion de France, car je mettais 40 cm dans la vue au meilleur des autres équipes, qui s'était vanté de la performance qu'il faisait à la perche et que s'il y avait eu la perche, son équipe aurait été championne de France. Quand il a su les miennes et qui j'étais, il était devenu d'un seul coup plus modeste.

Nous étions a Mans, dans un hôtel avec des chambres individuelles ou par 2. Martinez et Hassaîne, dans la même chambre, s'amusaient à tirer au lance-pierre, tard dans la nuit, contre les vitres des immeubles en face. Je ne vous dis le foin que cela fit. Tous réveillés par le gérant de l'hôtel pour rechercher les coupables. Le responsable de notre groupe (Inspecteur d'EPS), avait dû payer les dégâts, savon en plus pour nous.

Merville a écrit:
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> Salut Philippe
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> Concernant De La Rochegonde, effectivement c'était
> un bon prof d'histoire-géo. Seulement, il en a eu
> assez de l'enseignement et s'est tourné vers la
> Misson Culturelle à l'étranger. Il était devenu
> Conseiller Culturel. Quant à Rey, notre prof
> d'Espagnol qui était excellent, il tripotait sans
> arrêt sa "queue" en ayant la main dans la poche.
> Il ne portait pas de slip et avait toujours des
> tâches jaunes sur celui-ci. Le père Comet notre
> prof de maths, ne portait jamais de chaussettes et
> de cravates, car ancien saharien, jusqu'au jour où
> il fût obligé de la faire par le directeur.
> Spécialiste des corrections de compositions durant
> les cours, lorsque nous faisions un devoir. Il ne
> passait pas 20 secondes par feuilles, regardant
> simplement les résultats et non pas aussi la
> démarche. Tronchon, le prof de physique et chimie,
> excellent prof, dont le fils faisait aussi de
> l'athlétisme à nos débuts. Nous aimions faire nos
> cours de physique et chimie au Lycée Omar Khayam,
> à cause des filles. Lorsque nous faisions nos
> cross durant les compositions d'EPS, Géron nous
> faisait faire le grand tour du collège, en passant
> devant la salle de permanence au grand
> mécontentement du surveilant Ignatiev. Un jour, il
> nous avait bloqué en sortant. Moi, devant j'avais
> eu le temps de passer, quant au second, il l'avait
> fait rentrer en perm, foutant en l'air le contrôle
> du copain. Mme Chatiron, la prof de musique.:
> durant les compositions, nous sortions nos livres
> que nous mettions sur les genoux. A un moment
> donné, j'ai levé la tête. Elle était entre les 2
> rangées en train de me fixer sévèrement. Aussi
> sec, je rentrais mon livre. Elle était cool avec
> nous, car il aurait fallu punir toute la classe.
> Pour les plus anciens, le censeur que nous
> appelions "Scoffo", spécialiste des coups de pieds
> au "cul".

bonjour MERVILLEIGNATIEV A PERDU SA FILLE DE 40 ANS LA SEMAINE DERNIERE

LAURA

Bonjour Mimi!!
Je retourne, j'espere que ce soir on m'arange l'ordi pour me permetre de revenir comme il faut.
As tu le coordonees d'Ignatiew!!
A bientot Raphy

bonjour raphy9

COMMENT CA VA! ca fait une belle lurette que je ne te vois plus sur ordi,,,je pensais que tu etais fache franchement,,pour IGNATIEF, je vais telephoner a ma soeur de cannes pour avoir les coordonnees , mais je sais qu il habite chatenay malabry;;ne t inquietes pas
je l aurais;;;mes amities..LAURA

raphybonsoir
bienvenue a notre cher ami sur daf shuli



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/11/2008 05:15 par clementine.

Bonjour Laura

Je ne te connais pas, mais je te remercie de ton message concernant la fille d'Ignatiev. Ignatiev était devenu un bon copain, lorsque j'étais revenu à Rabat, en 1966, en tant que coopérant prof d'EPS, comme Philippe Salémi et Yves Charles Dominique. Nous avons joué tous ensemble au Volley-Ball en club à Rabat, d'abord en 2e division, puis en 1ère division. J'en ai gardé un très bon souvenir. Ignatiev a d'abord été mon surveillant au collège, avant de devenir mon équipier au volley-ball. C'est une tragédie que de perdre son "enfant". Je n'ai pas son contact, mais je vois que tu peux l'avoir.
Encore merci
Yves

Qui se souviens du "parcours du combattant" ou "parcours Hébert" dans les cours d'EPS, sur notre stade du collège? Il fallait courir 300m, grimper à la corde, redescendre par un poteau en se laissant glisser, passer à plat ventre en s'aidant des coudes et des jambes sous un espace de moins d'1 m (comme des échelles renversées), passer des murs "dans la foulée", monter sur une sorte d'échelle de rondins, se renverser sur une échelle suédoise, traverser une fosse etc. Il fallait avoir du souffle, de la résistance et de la force. Combien de copains ont coincé, crevés déjà en arrivant au grimper de corde. Cet entraînement m'a bien servi, lorsque j'ai fait ma préparation militaire supérieure 2e partie à Mourmelon? J'avais rattrapé le coureur parti 1 mn avant moi et battu le record de l'épreuve. Les militaires furent estomaqués, quand je leur avais dit que j'avais appris à faire cela dans mes cours d'EPS à Rabat.

Ciao à tous,
Moi je me souviens bien du parcours Hébert .... même que, quand j'étais en 3°, je ne le faisais pas souvent !!!
Dès la sortie des vestiaires, notre prof de gym, Michel Géron, me prenait à part et m'amenait dans la fosse, là où il y avait les barres parallèles ancrées au sol. Pendant que les autres se faisaient les 3 tours, nous deux on faisait de la gym, des équilibres etc ... puis assez souvent, il me confiait l'encadrement d'un groupe d'élèves (comme un petit prof), pour faire de la gym ou de l'Athlé. Ce que beaucoup de savent pas, je livre un scoop, c'est que avant d'être un athlète, j'étais surtout un gym et que je le suis resté bien après ma "carrière" de hurdler...jusqu'à l'âge de 40/45 ans..
Je vous raconterai cela un autre jour. A bientôt. Salemi Philippe.

laura1501 a écrit:
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> bonjour raphy9
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> COMMENT CA VA! ca fait une belle lurette que je ne
> te vois plus sur ordi,,,je pensais que tu etais
> fache franchement,,pour IGNATIEF, je vais
> telephoner a ma soeur de cannes pour avoir les
> coordonnees , mais je sais qu il habite chatenay
> malabry;;ne t inquietes pas
> je l aurais;;;mes amities..LAURA


raphy
va voir sur message prive,,,,tu as le no de telephone
chabatr chalom,,,,laora

Salut Elie,

Je suis de très près les discussions, mais je crois qu'il est temps que je participe activement à ce site. Super les photos, cela me rappelle des souvenirs inoubliables, mais moi aussi j'ai des photos à vous montrer, l'equipe de L'OM cadets champion du Maroc en 60
Tu retrouveras accroupis de gauche à droite :
Dahan Daniel ('mon frère, également joueur de foot de l'alliance de rabat)Jean marc Alfonsi,Emile Dahan(Moi même)Le gardien ?, et lalanne
Debout de gauche à doite :
Tahiri tahar, Moktar,Oustric, Dumont Bernard, Pichon, ??, Naas

La rivalité SM-OM demeure toujours ! mais sympa quand même
D'autres photos suivront
A +

Salut Emile,

j'ai repondu a ton message prive et tu ne saurais mon impatience a recevoir toutes ces photos! Depeche toi cher ami! Nous etions Olympique Marocain et tout notre Lycee l'a ete pendant son entiere existence. Il est donc primordial que les photos sur notre periode puissent arriver ici!

De toutes facons, connaissant ton caractere perseverant et toujours trouvant debouches aux succes - c'est vrai qu'Emile a toujours ete victorieux ,humble, modeste, mais tres fort, d'ailleurs beaucoup admiraient sa force de caractere et son habilete - tu trouveras donc un moyen de poster ces photos uniques!

A bientot tres cher ami et au plaisir de te lire de nouveau,

elie

Nous étions en moderne, mais en 4e, puis en 3e, nous devions faire un petit séjour aux ateliers. Je ne sais pas si à toutes les époques cela a été pareil? En 4e, c'était le travail du bois. Travail intéressant, car nous fabriquions des objets. Par contre, en 3e, c'était le travail du fer. Comme on allait à l'atelier qu'une fois par semaine, la pièce rouillait et la fois suivante, il fallait limer à nouveau. Et hop, les mains pleines d'ampoules. Nous avions eu l'opportunité d'aller faire à la place du dessin industriel. Je m'étais dépéché d'y aller. Je ne pensais pas que ce serait si dur, car c'était aussi bien de la géométrie dans l'espace, que des maths pour dessiner les pièces demandées à l'échelle. Et dire qu'en première, certains copains, tout en étant en moderne, avaient une partie de leur temps aménagé et consacré au travail technique pour passer leur bac technique, comme un copain qui s'appelait Mauger et dont le père était chef d'atelier chez Renault. Un grand bravo à tous ceux-là.

Bonjour Yves!!

Chez nous c'etait a partir de la 6eme, la premiere annee c'etait la menuiserie et l'electricite et en 5eme c'etait la forge et l'ajustage.
J'me rappelle le prof de menuiserie Liazidi, qui pour nous montrer comment ponsser le bois a rate et s'est ponce les doigts et la il devait se faire hospitaliser pour qq semaines. A bientot Raphy

Pour tous ceux qui ont connu ma mère Mme Million, prof de sciences naturelles. Cette photo a été prise le jour de son anniversaire: 94 ans. Elle a maintenant 94 ans et 4 mois.
Amicalement
Yves M
Pièces jointes: