Les 400 coups : les betises qu'on faisait quand on etait petits

salut a tous ,
je vais ici exprimer mon opinion ,car je vous ecoute parler depuis quelques temps et je me dis que la nostalgie va se nicher meme dans les conneries que l'on as fait etant jeune .comme disait une participante a ce forum,nous n'avions ,ni game boys,ni ordi,ni X box,ni MP3,ni toutes ces chose qui ont tendance a innibiler la creativité et l'imagination chez nos jeunes.Comme nous n'avions rien de tous cela notre esprit n'ete par formaté a la civilisation de consommation ,on se trouvé dans l'obligation, sans avoir d'autre choix, de créer nos propre espaces de jeu (qui frolait de delire ,j'en conviens) mais qu'est que c'est bon le délire !
et qu'est que je vois 40 a 50, ans plus tard ,toujours cette meme immagination ,toujours cette meme vivacité d'esprit,toujours cette meme propension a la deconnade ? je crois que l'on ne peut rien regreter ,et que peut etre il faudrais tout simplement y revenir. pour ma part je me suis abstenu de raconter a mes enfants toutes les conneries que j'ai pu faire ,mais croyais moi ma mére s'en est bien chargé,et si vous me le demandé avec beaucoup de gentillesse j'en ais quelques savoureuse a metre sur ce forum ? demandez et vous recevrez
jean-pierre .

les promesses apellent des actes mon ami dar dar (beida)
FRANCOIS

donc a la demande generale
voici la premiere des conneries que j'ai faite et ça a commencé de bonne heure ,moi je ne m'en souviens pas mais ce sont les anciens de ma famille qui la raconte et je suis forcé de les croire ,vous aussi d'ailleurs :
donc je suis né en 1943 et en 1944 mon pére etant a la guerre avait quelques fois des permissions et il venais en tenue militaire, de ce fait a peine agé de 1ans 1/2 je prenais tous les militaires pour mon pére et je me suis dans la tete de suivre mon pére ,
le premier soldat qui est passé je l'ai suivis en partant de chez moi rue de l'aviation française ,et j'ais marché ,marché , et encore marché ,jusqu'a me trouvé pres du derb-khalef ,et subitement ma mére et ma grand mére se sont aperçu de ma disparition et on commencé a me cherché partout,commiseriat,municipaux ,enfin l'alerte a ete donné ,j'avais disparu,comment ,pourquoi ,ete t'est ce possible,qu'un gamin d'1an 1/2 disparaisse comme ça ,jusqu'a la police militaire americaine qui a ete solicité ,finalement il m'on retrouvé en pleine ville sauf que ,...........quand j'ais quitter la maison ,ma mere m'avait mis sur le pot et ne n'avais donc sur moi que ma veste de pyjama ....et c'est tout!
et quand on m'a retrouvé javais forcement le cul,.............mais aussi la zigounette a l'air !!!!
belle aventure n'est ce pas
la suite au prochain numero
PS: je vous jure que cette histoire est tout ce qu'il y as de plus vrai
salut tous Jean Pierre

Chers amis blagueurs, je me rends compte que notre génération se distingue par les coups montés et quel soin nous mettions à les réaliser !!! C'était notre pase temps favori sans compter les surnoms que chacun avait à telle enseigne que souvent on oubliait même le vrai nom des gens!!! Particulièrement à Larache où chacun avait le sien. Cela venait du fait que dans une même famille, il y avait 4 ou 5 cousins quui avaient le même prénom, celui du grand-père . Donc pour les différencier il y avait Amran el chato, Amran el gordo, Amran el flaco, amran el chemcham ( le Bègue) ...
Moi j'avais un cousin de 4 ans notre aîné qui s'était fait virer de toutes le écoles de Larache par sa conduite, mais qui était un excellent élève. Quand on se voyait, il nous faisait faire les 400 coups avec mes frères, et nous on jubilait. Certains me reviennent : Du haut de la terrasse , on guettait les passants et on leur balançait des seaux d'eau tout en sse planquant bien sur ! on attachait des porte feuille à un fil de pêche, invisible, et quand le passant se baissait pour l'attrapper, on relevait le fil et le porte feuille s'envolait sous l'oeil ahuri du passsant ; On tèlèphonait à des gens et on leur diait être le voisin d'un membre de leur famille et qu'il arrivait par la CTM à la place d'Espagne à une heure précise qu'il fallait aller le chercher avec une voiture car il arrivait chargé, à l'époque les voitures étaient rares et on se mettait en quatre pour s'en procurer une, imaginez la suite ... Il y avait aussi les fausses demandes en mariage où on prenait un complice qui faisait l'entremetteur. A l'école, les bulles puantes dans la classe et il faisait passer le chouchou pour le péteur de service .
Je suis sûre qu'il se reconnaîtra, il s'appelle Carlos et maintenant il a 60 ans et ses coups ont grandi avec lui !!
Un exemple : actuellement il habite Paris et nous avec mes frères on réveillonnait à Aix-en-Provence ; Il nous appelle à minuit et nous annonce qu'au dernier moment il avait envie de passer la soirée avec nous mais qu'il voulait nous faire la surprise. Seulement voilà le train a eu du retard et il est enfin arrivé en gare de Marseille et le pauvre n'a pas trouvé de taxi pour Aix et il est avec des clochards et des sans abri à la gare, mort de faim et de froid, mais que l'armée du salut lui a donné un bol de soupe et qu'il nous attend. Aix est à 30 km, aller retour 60 km . "Gardez-moi un peu de nourriture ( nous étions chez des amis ) et venez vite, vous vous rendez compte du révellon que je passe ? et tout ça parce que j'avais envie d'être avec vous !! On etait prêt à partir en se faisant mille "salam alek" pour savoir qui d'entre nous ( mon mari ou un de mes frères se faisait la route alors qu'on avait un peu bu et que les flics t'attendent pour te faire souffler dans le ballon !!! Finalement, il nous rappelle mort de rire et nous souhaite une bonne année de Paris, bien au chaud chez lui !!
La prochaine fois je vous en raconterais d'autres pas piquées des vers de mon cher cousin Carlos avec son frère Mochi qui est un drôle lui auissi.

Sonia

nous habitions casa rue de camiran c est à dire la rue qui va de la gare casa voyageur et qui vers la place des quinquonces la nouvelle médina et nous avions des cousins qui avaient une fermes et produisaient des tomates alors je ne vous dis pas les cageots de tomates qu il y avait chez nous et comme nous ne les mangions pas toutes elle finissaent par pourrir et notre passe temps favoris mon cousin et moi montions sur le terrase et attendions le TAC qui passait devant chez nous fenetres grande ouvertes ....... devinez la suite!!!!!!!!!!!

en parlant de chat
c'était en 1947 mes parents étaient partie en Algérie suit au déces d'une cousine et je fus confiés aux bons soin de ma grand mère paternelle qui vivait chez nous. mon oncle et ma tante habitaient également une partie de la maison.
ouvrant la grande armoire qui se trouvait sous un grand hangard je vis un ramequin avec quelque chose de rouge qui me semblait etre de la confiture
je grimpais tant bien que mal les trois étagères de l armoire et mis la main libre dans le ramequin goulument je la portait a ma bouche !!!!!!
HORREUR c'était du piment que mon père préparait et je peux vous dire que l'harrisa à coté vous aurait parue un excellent dessert , je hurlais le feu à la bouche et malheureusement pour lui mon chat eu la malencontreuse idée de passer a ce moment là , je me saisi de lui et lui en badigeonna la bouche
les radars n'existant pas je n ai pu controler sa vitesse ni son démarrage digne d'une formule 1 et je parti en pleurant me réfugier chez ma tante , me voyant dans cet état elle me demanda ce qu'il m'étais arrivé,je lui répondis alors " c'est mémé qui m'a fait ca , ma pauvre grand mère a pris une engueulade injustifiée et moi une bonne fessée justifiée

Au sujet du sujet de 400 coups,celle qu'on faisait a cette école
c'est qu'il y avait un prof de technologie un jeune de 22-23 ans qui était la béte noire de tous,d'abord il était trés timide,ensuite il bégayait beaucoup,on ne comprenait rien du tout et entendait trés mal,
on s'est donné le mot de mimer de la bouche sans élever la voix,il était furieux trés furieux.




Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/01/2006 07:14 par Dafouineuse.
Pièces jointes:

ET LA PEINTURE SUR LA CHAISE DU MAITRE D'ECOLE.
RAFI

Nous ce n'était pas de la peinture que l'on mettais mais de l'encre et quand on on avait c'était de l'encre de chine , BONJOUR LE CUL NOIR EN RECRE

nous on avait un prof d'anglais MR BENHAMOU quand il nous mettait des mauvaises notes on lui foutait du poil a gratter
quand il montait dans son aronde il n'arretait pas de gratter ses fesses ,on le regardait du coin de la rue
daniella

Daniella a écrit:
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> nous on avait un prof d'anglais MR BENHAMOU quand
> il nous mettait des mauvaises notes on lui
> foutait du poil a gratter
> quand il montait dans son aronde il n'arretait pas
> de gratter ses fesses ,on le regardait du coin de
> la rue
> daniella


Et les boules puantes qu'on lançait dans la classe juste avant qu'il n'arrive, et les bruits bzzbzzbzz, il cherchait d'où ca venait et quand il allait à droite, c'était la gauche qui reprenait et vice versa, et on commencait la chanson de Mirza. Qui s'en souvient
ninette

ninette
il est 22h10 samedi soir je suis assise devant l'ordi jean-pierre regarde le match de hockey(sport national) je suis entrain de m'eclater de rire suite aux boules puantes,je me souviens tres bien.
demain je passe la journée avec raphael et laurent (mes petits -fils)
ils sont là pour le week-end de toronto
alors je t'appellerais propablement lundi à l'heure du dejeuner ,heure de chez toi
je t'embrasse
irene

lorsqu'on habitait l'immeuble MODOLONI a rabat place du jour et nuit,
c'était en 1961,notre logement se trouvait au dessus d'un restaurant russe " le volga " le couple de russe ne parlait pas un mot de français, a deux,ils pesaient au moins 300 kg et ils avaient un fils
lui pesait au plus 100 kg a 14 ou 15 ans,c'était la béte noire du quartier , a chaque fois qu'il était,ou qu'il arrivait sous l'immeuble,
ma soeur et moi on courait vite et on lui jetait un seau d'eau par dessus la fenétre et on se cachait sous le lit de nos parents.
Aussitot les parents du jeune montaient pour nous crier,mais on était bien caché
et ma mère qui essayait de nous faire sortir de sous le lit avec le balai.on a fait le coup au moins 10 fois jusqu'au déménagement vers
l'AGDAL.D'ailleurs ce jeune russe,je l'ai découvert sur une photo de classe que élie cohen a mis sur le site,on ne peux pas se tromper,c'est le plus gros.
j'en ai encore des tas?a bientot

Daniella a écrit:
-------------------------------------------------------
> ninette
> il est 22h10 samedi soir je suis assise devant
> l'ordi jean-pierre regarde le match de
> hockey(sport national) je suis entrain de
> m'eclater de rire suite aux boules puantes,je me
> souviens tres bien.
> demain je passe la journée avec raphael et laurent
> (mes petits -fils)
> ils sont là pour le week-end de toronto
> alors je t'appellerais propablement lundi à
> l'heure du dejeuner ,heure de chez toi
> je t'embrasse
> irene


Bonsoir Irène
c'est dimanche 19 h 30 en France. Je lis ton message. Malheureusement tu ne peux pas m'appeler à l'heure du déjeuner, je suis à mon travail, je reste déjeuner sur place. Mais ne t'inquiète pas je t'appellerai. Tu rentres à quelle heure le soir.
J'ai eu sur MSN Mary-Anne Ettedgui et Chelly Corcos, qui m'ont envoyé des photos. Il faut que tu puisses m'en envoyer aussi sur MSN
Je ferai de même.
Bisous
Ninette

le 15 Janvier 2006

De : Cosy
A tous les dafinois qui ont fait les 400 coups :

Moi, j'en ai une bonne à vous raconter. Vous vous rappelez de l'époque des buvards ? Nous en faisions la collection étant jeunes. Et bien, quand le prof était tourné et occupé à écrire au tableau, nous, nous måchions les buvards jusqu'à ce qu'ils deviennent mous et nous les lancions sur le tableau. Quel choc pour le prof!De vrais molards qui lui tombaient tout droit du ciel ! Oui, nous en avions de l'imagination. Je vous laisse imaginer la suite.....
Bonne et Heureuse Année à tous.

incroyable ,je lis tous les 400coups et je me marre toute seule cà aussi je m'en souviens des buvards .je ne sais pas si nos jeunes font cà aujourd'hui .non je ne pense pas ils n'utilisent pas les buvards
daniella

c'est ca vos coups !?, mais vous etes bien sages .. en voila un coup bien
musulman et il est le plus soft !?
ca s'appelle l khouniza un fruit d'un arbre sauvage qui ressemble au feves on en extrait les semenses et on les ecrasant sous le bureau de la maitresse ca arrete le cours definitivement parce que ca degage une puanteur si intense ... je ne peut pas la decrire mais imaginez l'odeur multiplié par cent que degagent une vache et un ane lorsqu'ils petent simultanement ....
le retard de l'alphabitisation des marocains est du en partie a
l'khouniza !