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Qui a dit que tu fantasmais???? Quant au "touriste", je ne pense pas qu'il soit forcément benêt, dépourvu de clairvoyance et de sensibilité. C'est vrai que notre époque, avide de simplification, aime à en faire un personnage quelque peu idiot et prédateur . J''ai, personnellement eu la chance, d'en rencontrer de nombreux qui se comportaient beaucoup mieux que certains expatriepar Gigiboy - LE MAROC
Héroïque, c'était de l'humour, bien évidemment. J'espère qu'il a encore droit de cité sur ce forum...Mais c'est de ma faute, un brusque accès de flemme m'a empêché de mettre les guillemets. Mille excuses si j'ai été mal compris. Non, la mendicité plus ou moins " folklorique " et surtout très épisodique des rares clochards des grandes villes avant les années 80 n'a abspar Gigiboy - LE MAROC
Content d'être arrivé à Béni bien après Suchet qui semble avoir vécu une époque plus héroïque. En effet j'ai eu la chance de pouvoir me balader abondamment dans les montagnes et les déserts sans connaître l'agressivité des enfants mais seulement une euphorie joyeuse voire débordante. Quant aux "coupeurs de routes", ils appartenaient aux récits de anciens qui d'ailleurs avpar Gigiboy - LE MAROC
Oui, vieux problème mais qui va nettement en s' accentuant. Nous avons connu l'époque où les enfants se précipitaient plus ou moins spontanément devant les touristes pour réclamer stylos, bonbons ou petites pièces. Maintenant certains parents ont bien compris tout le profit qu'ils pouvaient tirer de leurs progénitures. Lors de nos derniers séjours, nous avions été surpris de voir apar Gigiboy - LE MAROC
Belle photo et beau commentaire. Apparemment, nous n'avons pas que le Tadla qui nous réunit puisque, si j'ai bien compris tu arpentes aussi les berges du Rhône et de la Saône. J'ignorais les richesses marocaines de la bibliothèque de la Part-Dieu. Merci d'avoir entrouvert cette porte.par Gigiboy - LE MAROC
Pluies parfois violentes, voire dévastatrices et chaleurs encore soutenues se succèdent. Bref, c'est l'automne des régions méditerranéennes, comme nous l'apprenions, naguère, à l'école .par Gigiboy - LE MAROC
Bien évidemment. Ces articles de Média 24 ne minimisent pas la sécheresse, le rappel de ces délestages inhabituels explique seulement pourquoi le Bin est plus affecté et a plus de peine à se remplir que les autres barrages. En ce moment c'est le déluge à Béni.par Gigiboy - LE MAROC
MEDIA 24 dans des des numéros précédents par exemple celui du 22 janvier, nous expliquait que les niveaux alarmants de Bin el Ouidane n'étaient pas que le résultat des épisodes sévères de sécheresse mais aussi du transfert abondant des réserves vers d'autres régions comme celle d'El Kelaa et plus abondamment cet été , celle de Marrakech. Colère, bien sûr, des agriculteurs de la plapar Gigiboy - LE MAROC
Ah oui! Les marchands de javel! Dur, dur, dans le petit matin, après les aboiements et autres sons intempestifs de la nuit, quand un ersatz de somnolence se profile enfin...par Gigiboy - LE MAROC
Ainsi va le Maroc. Relire, entre autres, Pierre Loti...par Gigiboy - LE MAROC
Vidéo instructive d'El Mustapha. Vers la 7ème minute on vous montre les subtilités du franchissement du rond-point avec feux. C'est utile si vous debarquez au Maroc., cela vous évitera une prune!!!par Gigiboy - LE MAROC
Bonne nouvelle: bourbier qui s'accroche aux pans des djellabahs et lagunaire flaques d'eau dans les rues de Beni; regardez la dernière vidéo de Bouzid El Mustapha sur les récentes précipitations.par Gigiboy - LE MAROC
Très belle et précieuse photo... Quant à cette dilapidation des bijoux elle s'explique aussi par le désir de "modernité" des gens de la campagne. Aux bijoux en argent, souvent fabriqués localement, on préférait les bijoux en or , de facture plus industrielle qui ruisselaient dans les vitrines des bijoutiers. Bref, ça "faisait un peu plouc". C'est pour les mêmespar Gigiboy - LE MAROC
Lors des grandes sécheresses passées, fin des années 70 , début des années 80, par exemple,il n'était pas question de vendre les bêtes. Personne n'en voulait, bien sûr, puisqu'on ne pouvait pas les nourrir. Sur le marché il y avait pléthore et leur vente ne rapportait plus rien du tout. Alors ces animaux , ceux qu'on ne pouvait manger, étaient abandonnés dans la nature. Ainsi danspar Gigiboy - LE MAROC
Eh oui! Le Maroc n'est pas l'Ecosse...Et la plaine du Tadla n'est pas le Gharb...mais il n'est jamais trop tard pour découvrir la lune☺!par Gigiboy - LE MAROC
Erreur: je voulais dire bien sûr les victimes des avortements clandestins (une des causes défendues par Aicha Chenna).par Gigiboy - LE MAROC
Je crains que les Aicha Chenna soient nombreuses. Hélas!par Gigiboy - LE MAROC
A Béni les coups de feu entendus ces dernières années pour éliminer les chiens errants ont cessé . Depuis 2 ans environ , la "créature du diable" a désormais "droit de cité" (c'est le cas de le dire!). Je n'ai pas entendu parler de ces projets de regroupements et/ou de dissémination (histoire de fous, en effet). Victoire des "animalistes"? Les chiens vopar Gigiboy - LE MAROC
Merci Thierry de nous donner des nouvelles du bled. Comme Mona Lisa, ce bar défie l'éternité et attend patiemment le retour de nos jeunes années, cette lointaine époque où le pessimisme n'était pas de mise et l'avenir était forcément radieux. Ce retour au bled est, étant données les hausses de tarifs annoncées par les chantres de l'Apocalypse qui saturent désormais nos ondes, à epar Gigiboy - LE MAROC
Henri 4: grandeur et décadence. ..Souvenirs de savoureuses haltes gastronomiques à la fin des années 70. Maintenant, on y vient passer les nombreuses soirées de désoeuvrement pour étancher sa soif devant des alignements de cannettes. Le ton monte au fil des heures. Il y a 3 ou 4 ans nous nous y étions arrêtés pour taquiner la nostalgie. Attablés dehors devant quelque lamentable Fpar Gigiboy - LE MAROC
"En 1978....on était passionnés de musique et de cannabis" ......ou l'art de la litotepar Gigiboy - LE MAROC
Qui remplace l'éphémère Saint-Étienne - Fès.par Gigiboy - LE MAROC
/Sa ..deuxième ..vie/....."Il l'aura passé à courir après des papiers". C'est, hélas, toujours le sport n*1. Des journées entières à attendre, en général vainement, un document, une photocopie, un coup de tampon, une signature. Pas de progrès sur ce plan- là, comme m'a dit ce printemps un ancien élève " avec le temps ça se peaufine".par Gigiboy - LE MAROC
Il y eut une période (tout debut des années 80?) où le "dépôt "de Beni fut fermé et pendant qqs semaines les Mellalis d'origine ou de circonstance durent se ravitailler à Kasba Tadla. Était-ce au Ten 11? Quant aux débris de bouteilles vertes il faut monter au "tir aux pigeons" qui surplombe sluperbement la plaine du Tadla. On est sans doute là en présence de lapar Gigiboy - LE MAROC
Le pont portugais, seul lieu tadlaoui que je fréquentais...Etrange cette rampe pavée que moi non plus je n'avais jamais vue. Merci aux débroussailleurs ...par Gigiboy - LE MAROC
Belle photo qui m'incite à visiter sérieusement Kasba Tadla lors de mon prochain séjour. Je l'avais inexplicablement ignorée jusqu'à maintenant.par Gigiboy - LE MAROC
Effectivement, c'est bizarre. Les tarifs se seraient ils envolés?par Gigiboy - LE MAROC
Magnifiques souvenirs aussi de l'Ayachi, imposant Miko blanc, qui se détache sur l'azur. Content de voir que les touristes reviennent. En mars les cars étaient encore absents devant l'hôtel de Paris à Beni et bien rares sur Jemaa el Fna.par Gigiboy - LE MAROC
Zeida , chapelle Sixtine de la brochette et de la kefta. Étape obligée des routiers, routards et autres gens bien nés. Atmosphère, bien sûr, enfumée mais chaleureuse sur les trottoirs. Fumet des grillades et gaz d'é chappement des grands taxis prennent definitivement possession de la rue principale, les hygiénistes passent leur chemin, bismillah! Bref, du grand Maroc!par Gigiboy - LE MAROC