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La triple bab sur la photo avec une inscription peut permettre d'identifier le lieu.par cigalou - LE MAROC
Bonjour, Personnellement je vois écrit en majuscules "TRANSPORTS JOUBERT". A l'évidence il s'agit d'un modeste moyen de transport urbain actionné par deux mulets ou chevaux. Casablanca ? j'ai de gros doutes. Le message de doudi est très intéressant.par cigalou - LE MAROC
Le garçonnet à l'oreille attentive se trouve au centre.par cigalou - LE MAROC
Belle photographie La plupart des élèves regardent le(la) photographe, d'autres sont subjugués par l'animateur et un garçonné est indifférent car une petite fille lui chuchote quelques mots doux à l'oreille .par cigalou - LE MAROC
Bonjour, En mai 1949 Sa Majesté Sidi Mohamed ben Youssef a effectué un séjour d'un mois dans la région de Fez/Meknes. Comme on le voit sur les belles photographies transmises par Abdellatif, que je salue, il a visité l'Hôpital COCARD de FEZ, dont le nom est intimement associé au docteur Léon Cristiani, adulé par la communauté musulmane de FEZ et des alentours, notamment SEFROU.par cigalou - LE MAROC
A Rabat le comité de "la soupe populaire israëlite" organisait en fin d'année un grand bal annuel.par cigalou - LE MAROC
En 1940 un local paroissial du quartier populaire du MAARIF à CASABLANCA est aménagée en salle de CINEMA dénommée "FAMILLIA". Tout en se récréant les clients contribuent à une oeuvre de bienfaisance dénommée "la soupe populaire pour enfants".par cigalou - LE MAROC
A CASABLANCA en 1945 Monsieur Albert LEVY, représentant de la communauté juive lance " la soupe populaire israëlite" avec le soutien de la municipalité et l'aide de Monsieur El Maleh responsable du comité de l'Aide à l'enfance malheureuse. Parmi les opérations entreprises, par exemple, une distribution de "couscous" à plus d'un millier d'indigents israëlites, surtopar cigalou - LE MAROC
Un dernier et très beau sourire féminin dans le Mellah de Sefrou.par cigalou - LE MAROC
Encore des sourires dans la rue principale du Mellah de SEFROUpar cigalou - LE MAROC
Franchement cette photographie est humainement magnifique. Ils sont là, pauvres, curieux, et toujours souriants. C'est magique.par cigalou - LE MAROC
Bonjour, Un Dafinaute a ouvert un sujet intitulé "La soupe populaire" à Casablanca dans la rubrique "Darkoum" consacrée aux messages personnels. Le sujet, de mon point de vue, est intéressant et mérite d'être abordé et discuté dans cette rubrique consacrée à l'Histoire du Maroc, en mettant, si possible, l'accent sur les "soupes populaires israëlites".par cigalou - LE MAROC
Sur la dernière photographie on voit l'inscription "SOUPE POPULAIRE-Direction-" 15 Rue Colbert. A cette adresse du 15 rue Colbert à CASABLANCA se trouvait un bureau de l'architecte Joseph SURAQUI.par cigalou - DARKOUM
Pour INFORMATION : Quelques membres des anciennes familles juives d'EL AIOUN: COHEN Aaron; COHEN David, Abraham; COHEN Rahamin; COHEN Samuel; COHEN Moïse dit "SBAÏ"; BENGUIGUI Judas; BENGUIGUI Moïse; BENSADOUN; CHOUKROUN Chaloum;par cigalou - DARKOUM
J'ai retrouvé la trace de ce tragique accident de la route qui a eu lieu à SEFROU. Ce fut le 16 août 1943 . C'était bien un camion mais il ne s'agissait pas de militaires . Ce camion transportait du bois et dessus avaient pris place 17 "voyageurs" . Dans une descente le camion s'est emballé et a capoté. Bilan : 5 morts et 12 blessés .par cigalou - LE MAROC
Bonjour à tous, Concernant les accidents de la route à Sefrou et ses environs il faut que je relise mes notes de lecture. J'ai en mémoire celui d'un camion transportant des militaires qui est sorti de la route dans une descente occasionnant des dizaines de morts et blessés. Pour en revenir aux fêtes des CERISES il ne faut pas oublier que celle de 1951 n'a pas eu lieu pour cause de deupar cigalou - LE MAROC
C'est une plaque posée en novembre 1952 dans la cour de l'école franco-musulmane à la mémoire de Mohamed ben Si AHMED mort au combat en Indochine. Il avait commencé ses études dans une école coranique puis à l'école franco-musulmane et enfin à l'école d'apprentissage professionnel. Finalement il s'est engagé dans un régiment de Tirailleurs à Meknes. Son père Si AHMED bel Hadjpar cigalou - LE MAROC
Concernant ma question sur la plaque commémorative apposée dans la grand cour de l'école franco-musulmane de SEFROU je donne une indication: ancien élève de l'école musulmane fils d'un membre de la commission municipale et assesseur au tribunal du Pacha et neveu d'un Moqqadem à Sefrou.par cigalou - LE MAROC
Ce sont deux filles de FAURE, patron de l'hôtel restaurant des CERISES et une fille de CASANOVA, patron de l'hôtel LA FRENAIE à SEFROU.par cigalou - LE MAROC
J'ignore si les anciens locaux de l'école musulmane de SEFROU et notamment sa cour existent encore. Si c'est le cas il serait intéressant de savoir si une plaque commémorative apposée en 1952 existe toujours .par cigalou - LE MAROC
La jolie ville de SEFROU était également connue pour ces magnifiques ROSES . Mais l'histoire a surtout retenu les CERISES; d'ailleurs la vie de SEFROU était rythmée par les cerises , miss cerisette, fête des cerises, club bouliste des cerises, hôtel- restaurant des cerises , évidemment à la fête annuelle on chantait le "TEMPS DES CERISES" . En 1952 ce fut la neuvièmepar cigalou - LE MAROC
Super PUB de la limonade gazeuse de la marque "ESTRELLA" aux cerises de SEFROU des établissements Hadj MOUSSA, 18 rue de Pologne à FES. La maison HADJ MOUSSA était spécialisée dans les eaux et limonades gazeuses mais également dans les bières, les vins et les liqueurs.par cigalou - LE MAROC
Concernant la fameuse fête des cerises de SEFROU je me suis souvent posé la question de son existence entre 1940 et 1945. En fait il semble bien que du fait de la guerre les festivités ont cessé et que c'est en juin 1946 que cela a repris avec l'élection de miss CERISETTE, en l'occurrence mademoiselle NOURRISSAT, fille du dynamique receveur des PTT de SEFROU .par cigalou - LE MAROC
Bonjour, Suite à l'inondation dramatique de 1950 à SEFROU un article du "PETIT MAROCAIN" explique que 1200 habitants se sont retrouvés sans abri et sans ressources. Beaucoup de morts, parfois découverts plusieurs jours après la catastrophe tels ceux de deux jeunes femmes israëlites au "quartier SEBAG". J'ai évoqué cela car c'est la première fois que j'en ai entendpar cigalou - LE MAROC
Bonsoir, Dans les temps anciens l'orthographe des noms des rues et même des patronymes était souvent approximatif; dans les actes on écrivait ce que l'on entendait . Exemple : El ZENKA el FOUQUIA . A ma connaissance dans la rue El ANED il y avait DAR DAHI AZOULAY où était domicilié TOBALI Isaac ben raphaël ABITBOL . J'ai cité, à tort, la rue El Bestna car TOBALI Elie y avait unpar cigalou - LE MAROC
En 1950 suite à l'inondation meurtrière de SEFROU deux corps de femmes israëlites ont été retrouvés au quartier SEBAG .par cigalou - LE MAROC
Bonjour, Oui j'ai entendu parler d'un incident grave commis par des goumiers marocains à l'encontre de juifs à SEFROU. Il me semble l'avoir évoqué sur DAFINA. J'avais même communiqué certaines anciennes paroles du chant des goumiers. En ce qui concerne la tolérance envers les juifs au Maroc il y a eu des hauts et des bas jusqu'au début du XXème siècle. Y compris à SEFROU. Relapar cigalou - LE MAROC
Description de SEFROU par le pacha SI BEKKAI en NOVEMBRE 1951 : " Mosquées, églises, temples, synagogues. Toutes les croyances y sont tolérées et respectées "par cigalou - LE MAROC
Bonjour, Oui on reconnait bien les structures en bois érigées au dessus du pont du Mellah de SEFROU. C'est à ce niveau que Salomon BENHAMOU dit "Debdoubi", famille peut-être ou probablement originaire de DEBDOU( où vivait une importante communauté juive), était propriétaire de la "Boutique Salomon Debdoubi ". Pour information Salomon Debdoubi(Benhamou) étaitpar cigalou - LE MAROC