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Conf?rence Interparlementaire d'Ottawa sur la lutte contre l'antis?mitisme 08-11-2010

Envoyé par cohenelie 
Décès de Jack Layton

Mise à jour le mardi 23 août 2011 à 8 h 41 HAE .Radio Canada.ca

Le chef du Nouveau Parti démocratique (NPD), Jack Layton, est décédé tôt ce matin à l'âge de 61 ans.
Il est mort chez lui à 4 h 45, entouré de ses proches, lit-on dans un communiqué du NPD.
Peu de temps avant sa mort, Jack Layton a écrit une lettre empreinte d'optimisme aux Canadiens et aux membres de son parti.

« Mes amis, l'amour est cent fois meilleur que la haine. L'espoir est meilleur que la peur. L'optimisme est meilleur que le désespoir. Alors, aimons, gardons espoir et restons optimistes. Et nous changerons le monde », a-t-il conclu son ultime message.

Les condoléances affluent après l'annonce de la mort de Jack Layton.
M. Layton a dû se retirer fin juillet de ses fonctions de chef du NPD pour combattre un nouveau cancer, dont il n'a pas précisé la nature.

[www.radio-canada.ca]

Photo: Jack Layton chef du parti NDP du Canada décédé Lundi matin à l'aurore"

JACK LAYTON 1950-2011

Pièces jointes:
new-democrats-leader-jack-layton-speaks-during-the-canadian-jewish-congress-90th-anniversary-plenary-assembly-in-toronto-may-31-2009, décédé 1950-2011.jpg
Re: Conf?rence Interparlementaire d'Ottawa sur la lutte contre l'antis?mitisme 08-11-2010
10 novembre 2011, 14:52
Canada Gets Tough on Anti-Semitism !

Le Canada prend une position des plus sévères vis a vis de l'Antisémitisme moderne mondial !

Le Premier Ministre du Canada a signé ce protocole afin d'établir sur la scène internationale, précisément devant l'attitude inerte des Nations Unies, la politique que son gouvernement tiendra officiellement contre toutes ces formes d'Antisémitisme telles définies dans ce Protocole !


The government of Canada took an historic step yesterday by signing the Ottawa Protocol to Combat Anti-Semitism. By doing so, it recognized anti-Semitism as a pernicious evil and a global threat against the Jewish people, the State of Israel and free, democratic countries everywhere. As Prime Minister Stephen Harper has noted, "Those who would hate and destroy the Jewish people would ultimately hate and destroy the rest of us as well."

The protocol is a declaration that hatred of this nature will not be tolerated in this country. It sets out an action plan for supporting initiatives that combat anti-Semitism and provides a framework for other nations to follow.
It also sets out a vibrant definition of anti-Semitism which, for the first time in history, links anti-Semitism to the denial of the right Jewish people have to their ancestral home land -- the State of Israel. This, in fact, is what sets post-World War Two anti-Semitism apart from its historic roots. Today's anti-Semitism is all about denial: denial of the legitimacy of Zionism as a Jewish movement to reclaim the land of Israel; denial of a Jewish history in connection to the holy land and, in particular, the centrality of Jerusalem to the Jewish people; denial of the Holocaust (while at the same time accusing Jews of Nazism); and denial of Jews to live free of anti-Semitism, hate and intolerance.

In announcing the Protocols, Foreign Minister John Baird has expressed his government's unequivocal support for the State of Israel. In referring to this week's turmoil at the United Nations and the Palestinian threat to unilaterally declare a state, Baird said, "Canada will not stand behind Israel at the United Nations, we will stand right beside it. It is never a bad thing to do the right thing."
According to Baird, more and more countries are refusing to participate in the UN conference dubbed "Durban III" -- otherwise known as an anti-Semitic hate fest which began as a human rights forum in South Africa in 2001; the forum ultimately degenerated into an anti-Semitic slinging match in which repressive Arab and African countries blamed all the problems facing their own countries and the world on Israel. The governments of France, New Zealand and Poland (today) joined Canada and 10 other western nations this week by declaring they will not take part.

Unquestionably, the Government of Canada's stance on Israel is based on the principle of standing by your friends -- especially when they are democracies and advocates for human rights. Most Jewish leaders would agree that Israel is indeed Canada's greatest ally in the fight against hate and intolerance.

But the fight against hatred and anti-Semitism must be won here in Canada as well. The Ottawa Protocol is mostly the result of a report published this summer by a Canadian Parliamentary Coalition to Combat Anti-Semitism which was comprised of leading Canadian politicians who volunteered their time to probe the increasing and alarming tide of anti-Semitism in Canada.

In a letter accompanying the report, Chairs of the Inquiry Panel and the Steering Committee Mario Silva and Scott Reid wrote, "The Inquiry Panel's conclusion, unfortunately, is that the scourge of anti-Semitism is a growing threat
in Canada, especially on the campuses of our universities." The report cites numerous examples of anti-Semitism
on various campuses including the infamous incident in 2009 when Jewish students at York University were chased and barricaded themselves in the Hillel lounge while a mob outside taunted them with anti-Semitic slurs. The list of examples is quite long and disturbing.

Universities should take note of the report and the signing of the Ottawa Protocols. They should put an immediate end to hateful and fallacious events like Israeli Apartheid Week; they should state unequivocally that freedom of speech should not be abused to provide a cover for anti-Semitism; they should ensure that Jewish students feel welcome on campus and that their learning environment should be freed from anti-Israel occurrences and finally, universities must become accountable for allowing their private property to be venues for hateful conduct among students.

The Ottawa Protocol to Combat Anti-Semitism is a template for every Canadian to consider. But it is especially a document of significance for universities that have allowed themselves to become vehicles of hatred and complicit in its promotion. As my friend, Professor Irwin Cotler said last night at the Ottawa signing ceremony, anti-Semitism
is not only the longest known form of hatred in the history of humanity -- it is the only form of hatred that is truly global.

Every person of conscience should take note of the Ottawa Protocols and never forget the lessons of the Holocaust when the world was silent.


Traduction en français suivra..
Pièces jointes:
stephen-harper, premier ministre du Canada.jpg
Re: Conf?rence Interparlementaire d'Ottawa sur la lutte contre l'antis?mitisme 08-11-2010
11 novembre 2011, 11:26
Discours – Notes en vue d’une allocution de l’honorable Jason Kenney, C.P., député, ministre de la Citoyenneté, de l’Immigration et du Multiculturalisme

À l’occasion de la : " signature du Protocole d’Ottawa contre l’Antisémitisme "

Ottawa (Ontario), le 19 septembre 2011

Bonsoir

Je suis ici ce soir avec mon collègue, l’honorable John Baird, afin de souligner une étape importante qui a été franchie dans la lutte contre l’antisémitisme.

Bien que le Canada soit généralement tolérant et pacifique, il ne peut faire abstraction de l’augmentation de cette forme plus que pernicieuse du racisme qu’est l’antisémitisme.

Des actes de vandalisme et des graffitis ont profané les synagogues et les centres communautaires juifs. Même nos campus universitaires sont la scène d’actes d’intimidation antisémites.

Les Juifs ne représentent qu’environ un pour cent de la population canadienne; toutefois, ils sont la principale cible de crimes haineux. En effet, près des deux tiers des crimes haineux visent ce groupe religieux.

Si nous relâchions notre vigilance et que nous refusions d’admettre que les actes antisémites sont de plus en plus courants et de déployer des efforts pour les combattre, ce serait aussi pire que de fermer les yeux sur ce fléau.

Lorsque nous sommes témoins d’actes de racisme, d’intolérance et de préjudice, nous devons prendre position. Je suis fier d’affirmer que le Canada est devenu un chef de file de la lutte contre l’antisémitisme à l’échelle mondiale.

C’est le Canada qui comptait le plus grand nombre de représentants à l’occasion de la première conférence de la Coalition interparlementaire de lutte contre l’antisémitisme, qui s’est tenue à Londres, en 2009. Par ailleurs, c’est à Ottawa que s’est tenue la deuxième conférence, l’automne dernier.

Les parlementaires présents ont adopté à l’unanimité le Protocole d’Ottawa contre l’antisémitisme. En le signant aujourd’hui, nous prouvons que le gouvernement du Canada l’appuie et qu’il est résolu à atteindre les objectifs qui y sont associés.

Le Protocole incite notamment les dirigeants de groupes confessionnels à prendre l’engagement consistant à lutter contre toutes les formes de haine et de discrimination, y compris contre l’antisémitisme.

Le Protocole incite les gouvernements à établir un groupe de travail international chargé de reconnaître et de surveiller la présence d’actes haineux sur Internet, il exprime des préoccupations quant à l’antisémitisme sur les campus des universités et il encourage l’adoption de solutions locales de surveillance et l’échange de pratiques exemplaires.

En outre, le Protocole invite les gouvernements à réitérer leur engagement à l’égard de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide des Nations Unies (1948) ainsi que leur volonté d’assurer son application. L’Holocauste, l’un des pires crimes contre l’humanité de l’histoire, a changé fondamentalement la façon dont le monde entier considère et traite les actes de génocide.

Tel qu’il est énoncé dans la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide : « pour libérer l'humanité d'un fléau aussi odieux, la coopération internationale est nécessaire. »

Le Protocole d’Ottawa représente une étape importante de la stratégie globale visant à mobiliser la communauté internationale pour lutter contre l’antisémitisme à l’échelle mondiale. Notamment, le gouvernement est membre du Groupe de travail pour la coopération en matière de sensibilisation, de commémoration et de recherche au sujet de l’Holocauste.

Dans le but de sensibiliser les générations de Canadiens et de Canadiennes futures à l’Holocauste et aux répercussions de la xénophobie, nous avons établi un partenariat avec le B’nai Brith Canada afin d’investir dans le Groupe de travail pour la coopération en matière de sensibilisation, de commémoration et de recherche au sujet de l’Holocauste.

Le Groupe de travail rassemble des érudits, des spécialistes du droit, des éducateurs, des personnes qui ont survécu à l’Holocauste et des représentants du secteur communautaire, qui travaillent à la sensibilisation et à la recherche au sujet de l’Holocauste.

Apprendre des erreurs commises par le passé, c’est nous assurer que nous ne commettons pas de nouveau ces erreurs. Mais nous devons continuer de faire preuve de vigilance.

Dans l’Allemagne nazie, les Juifs étaient dépouillés de leur citoyenneté, de leurs droits naturels, et leur droit d’existence même était contesté. De l’ère moderne, il y a ceux qui tentent de retirer à l’État d’Israël son droit de faire partie de la communauté internationale, de limiter son droit d’existence et de s’en prendre à ses droits naturels en tant qu’État membre de la société internationale.

Mesdames et Messieurs, il est inquiétant de constater la nouvelle acceptation du dénigrement d’Israël et des Juifs dans le monde entier. Bien qu’on ne puisse considérer comme antisémites les critiques exprimées à l’égard d’Israël, si les critiques ont pour effet de condamner sélectivement le seul État hébreu et de considérer que ce dernier n’a pas le droit d’exister, un environnement haineux peut en découler.

Ce jeudi, le Canada prendra une fois de plus position sur la scène mondiale en ce qui a trait à la lutte contre l’antisémitisme lorsqu’il refusera de participer au 10e anniversaire de l’adoption de la Déclaration et du Programme d’action de Durban, aussi appelée Durban III.

Je suis fier d’affirmer que le Canada a été le premier pays à se retirer de la Conférence d’examen de Durban des Nations Unies – Durban II. Le Canada a refusé de participer à un processus clairement entaché qui ne permettrait pas de lutter contre les réels problèmes liés au racisme.

Ce refus de participer était fondé sur nos préoccupations à l’égard des événements qui s’étaient produits à l’occasion de la première conférence de Durban, au cours de laquelle il y avait eu des expressions d’antisémitisme, notamment la distribution de copies des Protocoles des Sages de Sion et l’affichage de symboles explicitement antisémites.

La position de principe adoptée par le Canada s’est avérée justifiée lorsque M. Mahmoud Ahmadinejad, président iranien, s’est servi de la deuxième conférence de Durban pour répandre haine et intolérance, de même que lorsque les États?Unis et plusieurs pays de l’Union européenne ont décidé de boycotter la conférence.

Le Canada est résolu à lutter contre le racisme. Il ne peut donc pas favoriser un programme d’action qui vise en réalité à promouvoir le racisme et l’antisémitisme plutôt qu’à le combattre.

Mesdames et Messieurs, le Canada est fier de sa tradition de défense des droits de la personne et de lutte contre la haine et la discrimination. Aujourd’hui, il poursuit sa tradition en signant le Protocole d’Ottawa contre l’antisémitisme. Ce faisant, nous affirmons notre engagement en regard de la lutte contre les actes antisémites, tant au Canada qu’à l’échelle mondiale et nous confirmons notre rôle de chef de file dans la lutte mondiale contre l’antisémitisme.

Merci.


[www.cic.gc.ca]
Pièces jointes:
canada map , canada 2ème plus grand pays au monde.jpg
Re: Conf?rence Interparlementaire d'Ottawa sur la lutte contre l'antis?mitisme 08-11-2010
12 novembre 2011, 01:31
Im Memoriam : Histoire oubliée d’un bateau, le S.S. St. Louis !

Les réfugiés juifs


Dans les années 1930, le Canada a fermé ses portes à tous les immigrants. Malgré cette interdiction, le Canada appliquait, depuis la fin de la Première Guerre mondiale, une politique d’immigration fondée sur la race, dictée par les stéréotypes définissant le type d’immigrants qui profiterait le plus au pays. Au bas de la liste figuraient les Chinois, les Japonais et les juifs. On estimait que les colons juifs étaient indésirables parce qu’ils voulaient vivre à la ville, alors que le Canada voulait attirer des gens pour cultiver et peupler les régions rurales.

C’est le premier ministre Mackenzie King qui a assumé la responsabilité de la politique d’immigration du Canada pendant toutes les années 1920 et la Deuxième Guerre mondiale. Son ministère de l’Immigration, dirigé par Frederick Blair, se vantait de pouvoir tenir les immigrants juifs loin du Canada. Même si la situation catastrophique des juifs dans l’Allemagne nazie devenait de plus en plus évidente, Blair refusait d’admettre les réfugiés juifs, invoquant qu’il ne voulait pas que le Canada devienne « un dépotoir pour 800 000 réfugiés juifs ».

Vers la fin des années 1930, le Canada a eu deux occasions d’aider les juifs d’Europe. La première s’est présentée en juillet 1938, lors de la conférence tenue à Évian, en France, et convoquée par le président américain Franklin D. Roosevelt. Trente et un pays y étaient représentés, dont la Grande-Bretagne qui a accepté l’invitation à condition que la question palestinienne ne soit pas abordée. La conférence était convoquée en raison de l’annexion de l’Autriche par l’Allemagne nazie et du sort de 200 000 réfugiés juifs. Myron C. Taylor a déclaré dans son discours d’ouverture : « […] Le temps est venu pour les gouvernements […] d’agir, et d’agir vite ». Le Canada a rétorqué qu’il était intéressé à n’accueillir que des fermiers, et il fermait ainsi la porte à la grande majorité des juifs autrichiens et allemands.

Des 31 pays présents, le seul disposé à aider était la République dominicaine, qui a offert des concessions particulières aux exilés autrichiens et allemands. Juste après la conférence, ce pays a consenti à accueillir de 50 000 à 100 000 réfugiés. Malheureusement, à peine 5 000 d’entre eux ont atteint ses côtes avant que n’éclate la Deuxième Guerre mondiale. Les 30 autres pays représentés à la conférence, y compris le Canada, ont refusé de venir en aide aux juifs d’Europe.

Hitler a interprété ce geste comme un signe que personne ne voulait des juifs. « À Évian, a-t-il déclaré, le mythe de la puissance et de l’influence des juifs dans le monde a volé en éclats. » La non-intervention du reste du monde constituait un pas de plus vers la « solution finale ». La Conférence d’Évian a confirmé aux juifs ce qu’ils soupçonnaient déjà : ils étaient vraiment laissés à eux-mêmes. Le reste du monde se taisait. Mackenzie King a déclaré : « En 1938, le Canada était peut-être plus menacé par l’admission de réfugiés que par Hitler lui-même. »18 Le 15 mai 1939, le paquebot de luxe S.S. St. Louis quittait le port de Hambourg, en Allemagne. Il transportait 907 passagers juifs qui avaient appartenu à la haute classe de la société allemande avant d’être dépouillés de tous leurs biens par le gouvernement nazi. Comme ils étaient toutefois munis de visas d’entrée cubains, le St. Louis s’est dirigé vers La Havane.

Une fois à destination, les passagers ont cependant été refoulés car le gouvernement cubain refusait de reconnaître la validité des visas. La quête d’un refuge commençait. L’Argentine, l’Uruguay, le Paraguay et Panama ont été pressentis, mais tous ont refusé d’accueillir le navire. En deux jours, tous les pays d’Amérique du Sud avaient rejeté la demande d’asile des passagers juifs du S.S. St. Louis. Pendant que le navire se dirigeait vers le nord, les États-Unis l’ont fait suivre par un vaisseau de guerre pour s’assurer qu’il ne pénètre pas dans les eaux américaines.

Lorsque le premier ministre Mackenzie King a entendu parler des mésaventures du S.S. St. Louis, il accompagnait le roi et la reine de Grande-Bretagne à Washington dans leur tournée américaine. Il a commenté les événements en déclarant qu’il était « catégoriquement opposé à l’admission des passagers du St. Louis ». De son côté, le ministre de l’Immigration Frederick Blair a affirmé que ces réfugiés n’étaient pas admissibles en vertu des lois sur l’immigration et que de toute façon, le Canada en avait déjà trop fait pour les juifs; « […] si ces juifs étaient admis (au Canada), ils seraient probablement suivis d’autres bateaux. Aucun pays ne peut ouvrir ses portes assez grand pour accueillir les centaines de milliers de juifs qui veulent quitter l’Europe; il y a des limites à tout. »
Re: Conf?rence Interparlementaire d'Ottawa sur la lutte contre l'antis?mitisme 08-11-2010
12 novembre 2011, 01:35
Conclusion:

Le Canada représentait son dernier espoir, mais incapable de régler les différends politiques internes, le gouvernement canadien refusa de
donner asile aux passagers. Contraints de retourner vers l'Europe, la plupart des passagers périrent dans des pays qui passèrent bientôt sous occupation nazie.

Le gouvernement canadien n'a jamais présenté d'excuses officielles pour le refoulement du St. Louis.
Mais ce coast-to-coast pays ne peut pas accueillir toute la misere du monde, non ? smiling smiley
aller, je prefere enfoncer le clou




Re: Conf?rence Interparlementaire d'Ottawa sur la lutte contre l'antis?mitisme 08-11-2010
13 novembre 2011, 09:31
Bonjour à tous

C'est bon d'avoir l'avis et les opinions de nos membres ici à Dafina, on se fait une idée du pouls sur la question qui nous menace à tous , surtout nous juifs !

Enfin je voudrai vous dire que c'est bon le débat, on apprend toujours de bonnes choses..

Deux optiques, deux opinions, la haine et la bonté, le noir et le blanc, verre moitié vide ou moitié plein, bref le débat c'est ça !

Je vais être occupé pour quelque temps et donc mes réponses viendront un peu tard.

Entretemps je vous salue à tous et vous souhaite une bonne et agréable semaine

Elie Cohen, montréal
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