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REUNIONS PHOTOS RARES DOCUMENTS TRAG?DIES HISTOIRES INCIDENTS ET ANECDOTES DES ANCIENS DE ARZILA ET TETOUAN

REUNIONS PHOTOS RARES DOCUMENTS TRAGÉDIES HISTOIRES INCIDENTS ET ANECDOTES DES ANCIENS DE ARZILA ET TETOUAN

Samuel je viens de trouver des photos de Arzila et Tetouan, ici je placerai si D. veut les reunions avec les juifs d'Arzila et de Tetouan, si tu as des photos de ta maman places les ici.
bisous Soly


Samuel cette carte postale a ete envoyee de Casablanca a tonton Ayouch a Arcila le 12 aout 1951, tonton Ayouch avait une drogerie a l'avenue d'Allemagne tu te souviens?
regardes la carte on lit protectorat espagnol.

collection Soly Anidjar




La rabbanite Rachel Bengio Anidjar cousine a Samuel avec ses 2 filles, et au milieu une ancienne amie de Arcila.
un des fils de Rachel est un rabbin Rabbi Amran Anidjar et vit au Venezuela a Caracas, une des filles a Rachel, sur la photo est mariee a un fils du rabbin Rabbi Saadia Trouzman de Jerusalem.

photo Soly Anidjar


TRES BELLES PHOTOS
OUI SOLY LES PHOTOS SONT TRES BELLES ET LA CARTE POSTALE QUE TU AS ENVOYEZ A TON ONCLE AYOUCH LE PERE DE MIMI
JE LES AI CONNUS QUAND ILS SONT ARRIVER DE LARACHE .LA DROGUERIE ETAIT DANS LA PLACE PRINCIPALE DE ARCILA ET JUSTE EN FACE DU MAGASIN ELLE FAISAIT ESCALE LE CAR DE LA VALENCIANA ET LES VOYAGEURS QUI VENAIENT DE LE KZAR ET LARACHE DESCENDAIENT DEVANT LA DROGUERIE .MIMI SA FILLE ELLE ETAIT A L'ECOLE ET AVEC MOI EN CLASSE .ET TOUS CA PENDANT LE PROTECTORAT ESPAGNOLE .
VOILA UNE BELLE EPOQUE QU'ON A LAISSER EN ARRIERE .
ET DANS LA PHOTO DU BAS C'EST BIEN MA COUSINE LA RABBANITE BENGIO ANIDJAR RACHEL EN COMPAGNIE DE SES DEUX FILLES ET SA BELLE SOEUR CAMILA ANIDJAR ET POUR LE FILS DE LA RABBANITE IL EST RABBIN AU MEXIC ET NON A VENEZUELA .
CHABBAT CHALOM A TA MERE ET A TOI SOLY
Sur la photo Menahem Soussana frere de tonton Ayouch il est le grand-pere a mon beau-frere menahem soussana , le mari a ma soeur Michelle avec sa niece Rahma Soussana qui a 14 ans le jour de la henna avec kessoua el kbira Arcila1920, les filles se mariaient a l'age de 14-15 ans.

collection Soly Anidjar





Tétouan: le Tsadik Rabbi Itshak Benwalid




notre Samuel Bengio a Ashdod a la soiree des anciens de Larache-Alcazarquivir-Tanger-Tetouan et Arcila

POUR LES TZADIKIMS
A ARCILA C'EST RIBBI YEOUDI BENGIO
A ELZAR KEBIR C'EST RIBBI YEHOUDA JABALI
A LARACHE C'EST RIBBI YEHOUDA HANASSI
A TETOUAN C'EST RIBBI ITZHAK BENWALID / RIBBI HAIM BIBAS
A OUEZAN C'EST RIBBI AMRAN BEN DIWANE
A TANGER ET SOUK EL ARBA Y A PAS A MA CONNAISSANCE

ET POUR LES MARIAGES TU AS RAISON QUE LES JEUNES FILLES SE MARIEE TRES JEUNES . MA MERE Z" L" C'EST MARIEE A L'AGE DE 16 ANS AVEC MON PERE A L'AGE DE 26 ANS ( 10 ANS DE DIFFERANCE ) C'ETAIT UNA COUTUME AU MAROC QU'ENTRE MARIS ET FEMMES IL Y AVAIENT UN EDIFFERENCE D'AGE DE 10 / 20 / ET MEME 30
VOILA UN TOUR D'HORIZON EN ZONE ESPAGNOLE ET A BIENTOT
Tonton Ayouch Soussana mari de ma tata Sultana Anidjar soeur a papa a Arcila 1950 ou ils habitaient







Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/02/2012 08:06 par LA HIJA DEL MAR Y DEL SOL.
cette photo c'est tia Ano Anidjar-Anidjar a Arcila en 1930, epouse du frere a mon grand-pere paternel , Ruben Anidjar president de la communaute juive de Arcila, et maman a Pepe (Yossef) Anidjar le docteur, directeur de la session de gynécologie de l'hopital de Beer-Sheva



Le frere de tia Ano, Samuel Anidjar cousin a mon papa et beau-frere a mon grand oncle tio Ruben Anidjar, c'est le premier Anidjar qui est alle vivre en Amazonie en 1900, et c'est sa descendance les Anidjar d'Amazonie a Belen do Para, Manaus et Iquito.



Arcila annees 40, tonton Ayouch avec un un agent de la guardia civil espagnol musulman (los regulares)et un policier marocain musulman a droite

, regardez la table et les chaises du cafe.







Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/02/2012 08:24 par LA HIJA DEL MAR Y DEL SOL.
L'époque de mes grands-parents (aux alentours des années 1924), un jeune homme apercevant une jeune fille qui lui plaisait, sans même l'aborder ni lui adresser la parole, envoyait quelqu'un voir les parents de cette jeune fille afin de lui demander sa main.

Si les parents acceptaient, le jeune homme se présentait alors et commençait à fréquenter la jeune fille. Il avait la possibilité de lui parler, mais toujours en compagnie d'une personne et toujours chez les parents de la fille. Même lors des sorties, ils étaient accompagnés : jamais on ne les laissait seuls.

Parfois les parents refusaient de donner leur fille en mariage au jeune homme en prétextant que le garçon n'était pas assez bien pour leur fille .

Si tout allait bien, on arrivait aux fiançailles. Une grande fête était organisée avec les parents des 2 familles,où la fiancée recevait sa bague de fiançailles. Dès lors, ils pouvaient se tenir par la main, s'embrasser à peine, sortir ensemble, mais toujours en compagnie du père ou de la mère, ou encore d'un autre parent.

Les fiançailles pouvaient durer très longtemps (parfois jusqu'à cinq ans) car tant que le garçon n'avait de logement pour créer son foyer, il ne pouvait se marier. Pour l'aménagement du logis, c'était le jeune homme aussi qui devait tout acheter: table, chaises, buffet, ... La jeune fille apportait la chambre à coucher que ses parents lui offraient.et un grand trousseau.

Il arrivait que durant cette longue période, le garçon ou la fille (voire même les parents) change d'avis. Les fiançailles étaient alors rompues.mais si la ketouba etait deja preparee, il falait lui payer la ketouba a la fille.

Le mariage

Une fois les fiancés prêts, on fixait une date pour le mariage et les préparatifs commençaient
les filles d'honneurs ,la robe de mariee,la corbeille,le bouquet de fleurs de lys,le costume du hatan, la synagogue, la houpa,les dragees.........

Les témoins, eux aussi, aussi étaient choisis avec soin.
la robe était longue, blanche avec un long voile. Elle portait à la main un bouquet de fleurs blanches et, pour celle qui le désirait, une couronne de fleurs blanches sur la tête. La demoiselle d'honneur devait forcément être en blanc
On ne louait pas de salle pour la réception. Elle se faisait chez les parents, apres le 7 berakhot a la synagogue.

il y avait des faire-part et des cartons d'invitation. Chez les gens plus modestes, les parents des futurs mariés ou les fiancés eux-mêmes se rendaient personnellement aux domiciles des personnes pour les inviter à la noce.ou ils louaient un aarad.

Après la cérémonie, on recevait parents et amis. Il y avait le déjeuner de noces avec le plat americain:
2pastelitos frits,litria,une grande cuisse de poulet, 2 tranches de saucissonet un bout de mhamar.

les maries , rentraient chez eux ,et le matin a'lasbah la maman du marie venait avec les sfenjs, et les you you you you,les jeunes maries etaient invites pendant 7 jours,chez tous les parents.

Avec le temps, ces choses ont quelques peu évolué. A l'époque de mes parents (en 1949), le garçon et la fille se fréquentaient en cachette, sans que les parents soient au courant jusqu'au jour où la fille demande au garçon de se rendre chez ses parents afin de faire leur connaissance. Si le garçon avait de bonnes intentions, il se présentait alors chez les parents de la fille et leur demandait sa main.
Pour mes parents c'etait different, maman connaissait papa car ils etaient voisins.

La jeune fille restait tout de même sous la surveillance des parents.

Soly Anidjar


SOLY LA TU M'A BOUCHER UN TROU
TU M'A FAIT FAIRE UNE MARCHE ARRIERE DE 60 ANS ET ME REVEILLER AVEC TOUS CES SOUVENIRS DES GENS QUE J'AI CONNUE ETANT GOSSE J'AVAIS 6 A 8 ANS PAR RAPPORT AUX PHOTOS QUE TU A MONTRE .
YAHASRA SEGNOR AYOUCH CHUCHANA (ASIN LE LLAMAVAN ) EN COMPAGNIE DU CHEF DE LA POLICE ET UN POLICIER SIMPLE .
A L'EPOQUE C'ETAIT LA POLICE ESPAGNOLE ( DES CATHOLIQUES ) QUI METTAIT DE L'ORDRE DANS LA VILLE ET ILS AVAIENT AUSSI
DES MUSULMANS POLICIERS SOUS GRADEES .LA GUARDA CIVIL ILS AVAIENT DES CHAPEAUX DIFFERENTS ROND DEVANT ET PLAT DERRIERE DES CARAVINIERS AUSSI DES LEGIONAIRES ET LES MILITAIRES ( A PART LES PECHEURS ESPAGNOLE )
( la almadrava )
POUR TA TANTA HANNO LA FEMME DU PRESIDENT DE ARCILA RUBEN ANIDJAR ELLE ETAIT LA CHAMPIONE DE TOUTE SORTE DES GATEAUX ELLE ETAIT TRES RENOMEE SON FILS PEPE A FAIT SES ETUDES DE DOCTORAT EN ESPAGNE .
ET TOUS CE QUE TU AS DIT SUR LES FILLES D'ARCILA ET LEUR FREQUENTATION C'EST VRAIE .TU AS OUBLIE UN PETIT DETAIL C'EST QUE LE LENDEMAIN DU MARIAGE LA MERE DE LA MARIE REUNISSAIT SES VOISINS ET LA MERE DU MARI A ALLER VOIR LES MARIES AVEC UNE SINIA AVEC DES BEIGNES DU LAIT DES DATES .ET LA MARIE DEVAIT MONTRER LES DRAPS (TACHEE DE SANG ) DE LA SOIREE DES NOCES .
VOILA ENCORE UN TOUR D'HORIZON DANS LA VILLE D'ARCILA DES ANNEES 1950 . CHABBAT CHALOM
Il était une fois il y a un siècle au nord du Maroc dans une petite ville qui avait pour nom Arcila aujourd'hui (Azilal) vivaient deux tribus, la tribu des Anidjar et la tribu des Bengio.

Ces deux-là s'entendaient comme chiens et chats, ils avaient leur propre synagogue, leur communauté, pendant des années ils faisaient bande a part, les enfants n'allaient pas a la même école, les familles Anidjar et les familles Bengio sont la majorité des juifs de cette petite ville, comme c'est malheureux de voir 2 voisins juifs se haïr.

Un jour un rabbin de la ville décide de se mêler il réuni un comité pour le problème et la solution.

Le rabbin supplie d'arrêter cette dispute, une sorte de contrat aurait donc été conclu entre les 2 tribus, depuis cet instant que les filles Bengio épouses les garçons Anidjar et que les filles Anidjar épouses les garçons Bengio, dans ma familles vous trouverez Sol Anidjar la soeur a mon grand-père Avraham Anidjar a épousé rebbi Judi le rabbin de Arcila (Azilal), il y a 70 ans, mon cousin le docteur Josef Anidjar a épousé Estrella Bengio en 1964, en échange de quelques sacrifices et d'un grand respect les Bengio et les Anidjar vivent dans la paix et le bonheur ensemble.

Merci au rabbin qui aurait accordé aux membres des 2 tribus la pleine jouissance.

Érase una vez hace un siglo al norte de Marruecos en una pequeña ciudad que tenía por nombre Arcila hoy (Azilal) vivían dos tribus, la tribu de los Anidjar y la tribu de los Bengio. Estos dos se llevaban como perros y gatos, tenían su propia sinagoga, su comunidad, durante años hacían banda a parte, los niños no iban a la misma escuela, las familias Anidjar y las familias Bengio son la mayoría de los judíos de esta pequeña ciudad, como duele ver a 2 vecinos judíos odiarse. Un día un rabino de la ciudad decide mezclarse reunido un Comité para el problema y la solución. El rabino suplica de parar este conflicto, una clase de contrato que pues se habría concluido entre las 2 tribus, desde este momento que las muchachas Bengio se casen con los muchachos Anidjar y las muchachas Anidjar se casen los muchachos Bengio, en mis familias encontrarán a Sol Anidjar la hermana de mi abuelo Avraham Anidjar se casó con rebbi Judi el rabino de Arcila (Azilal), hace 70 años, mi primo el doctor Josef Anidjar se casó con Estrella Bengio en 1964, a cambio de algunos sacrificios y d' un gran respeto los Bengio y los Anidjar viven en la paz y la felicidad juntos.
Gracias al rabino que habría concedido a los miembros de las 2 tribus el pleno gozo


Samuel Bengio et ses cousins tous de Arcila



photo Soly Anidjar


Cette merveilleuse femme a cousu la robe de la KESSOUA KBIRA que je porte, elle en a fait plusieurs, elle nous a quitte il y a un an et demi environ, elle est de Tetouan, elle s'appelait Rachel Benzaquen, elle a fils docteur a Manaus en Amazonie.
paix a son ame.






1925 La Guerre du Rif, sur la plaine a cote du rio Martin, pas loin de Tetouan.

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