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Villes,villages,vallees,cascades,montagnes,forets,parcs du Maroc

Villes,villages,vallees,cascades,montagnes,forets,parcs du Maroc
28 décembre 2005, 02:15



Agadir-La capitale du Souss, connue par sa plage de sable fin, par la douceur de son climat idéal, par ses 300 jours de soleil par an. Ville commerçante, artisanale et touristique, possédant un équipement hôtelier de première classe. Agadir, c'est la gaieté, la joie et le plaisir de se bronzer au cours de toute l'année. Elle est aussi le parfait endroit pour les amateurs de pêche qu'on peut pratique soit sur les bords du littoral, soit en bateaux.Agadir n'apparaît dans l'histoire qu'au 16ème siècle, cette ville qui n'était qu'un simple petit poste de pêche qu'un portugais nommé : JADA de SEQUEIA avait construit à l'époque. En 1505, le roi Manuel de Portugal, devina la valeur de ce petit poste, l'acheta et le transforma en forteresse en lui accordant un nouveau nom : "Santa Cruz du cap de Gué" (sainte croix du cap de Ghir) Le 29 Février 1960 a 23 H 47 mn la ville d'Agadir a été presque détruite à 100 pour 100 après le violent séisme.



Marrakech-Ville du Maroc, au pied de l'Atlas, comptant près de 640 000 habitants (Marrakchis). Marrakech, qui a donné son nom au Maroc, a été fondée en 1062 par Youssef IbnTachfin, issu des Almoravides.
Dans le passé le Maroc était connu en orient sous le nom de Marrakech, cette appelation est d'ailleurs toujours en cours en Iran, le nom Maroc provient lui même de la déformation de la pronciation espagnole de Marrakech : Marruecos.



Ouarzazate-Ouarzazate (en berbère « sans bruit ») est une ville au sud du Maroc, située à la rencontre des vallées du Drâa (issue du Haut-Atlas), du Dadès et du Ziz ainsi qu'à 500 km environ de la capitale marocaine, Rabat. Fondée en 1928 par la puissance coloniale française, elle a longtemps été une ville de garnison avant de se tourner, au moment de l'indépendance, vers le tourisme. Elle est en particulier l'un des sites marocains les plus prisés par les réalisateurs de cinéma.



Casablanca-Casablanca (dar beïda en marocain dialectal) est une ville du Maroc, située sur la côte Atlantique à environ 100 km au sud de Rabat. Ses 3,5 millions d'habitants (Casablancais - en arabe bidaoui ) font d'elle la plus grande ville du pays et du Maghreb ainsi que la cinquième d'Afrique.Elle doit son nom (maison blanche) aux Portugais qui fondèrent la ville en 1515. Ceux-ci avaient détruit la ville d'Anfa, située au même endroit, quelques années plus tôt. Mais il restait, au-dessus des ruines, une maison blanchie à la chaux qui servait de repère aux marins portugais ; d'où le nom de Casa Branca, hispanisé ensuite en Casablanca. Les Portugais quittèrent l'endroit en 1755 suite aux attaques des troupes musulmanes de plus en plus fréquentes. Au XIXe siècle, la population augmenta énormément en parallèle avec l'accroissement du trafic maritime. Elle fut un port stratégique durant la Seconde Guerre mondiale durant laquelle elle accueillit le sommet anglo-américain de 1943.



Essaouira (Mogador)Essaouira, anciennement appelée Mogador, est une ville portuaire du Maroc sur la côte atlantique comptant environ 30 000 habitants ,les Souiris.Mogador, jadis ville portuaire portugaise, est aujourd’hui connu sous le nom d’Essaouira.Les îles Purpuraires, qui font face à la ville d'Essaouira, constituent depuis les temps anciens une étape sur la route des navigateurs phéniciens, carthaginois et grecs.

Au Ier siècle avant J.C., le Roi de Mauritanie Juba II y favorise l'installation de ses marins et le développement de l'industrie des salaisons et de la pourpre.
Cette couleur, dont se parent alors les empereurs romains, est fabriquée à partir des murex, mollusques très abondants dans les fonds marins. Cette industrie assurera la renommée de ces îles jusqu'à la fin de l'empire romain.

Au Moyen âge, les avantages de la baie d'Amogdoul n'échappent pas aux marins qui y trouvent un abri.

Au début du XVI ème siècle, sous le règne du roi Manuel le Grand, les Portugais y construisent une place forte, le Castello Real, qui ne résistera que peu de temps aux assauts répétés des tribus. Quelques vestiges de cette forteresse subsistent encore dans le port actuel. Ils transforment Amogdoul en Mogadouro, qui deviendra ensuite Mogador
La médina d'Essaouira, construite un peu plus tard, présentera les même caractères d'urbanisme moderne et "géométrique".


Le Sultan mande alors des Juifs de tout le pays pour leur confier le négoce de la ville, fait venir des artisans de Fès, Salé et Marrakech et installe le gouverneur, les administrateurs, les consuls et les courtiers dans la kasbah.

La fortune ne tarde pas. Le Sultan a tôt fait de transformer sa jeune cité en une capitale rayonnante



Meknes-Meknes (Miknâs en arabe) et (Mekines en haketia)est une ville du Maroc qui tire son nom du berbère Meknassa du nom de la tribu fondatrice de la ville. Elle est le chef-lieu de la région administrative de Meknès-Tafilalt, au centre du pays. La ville est située à 140 km à l'est de Rabat et à 60 km au sud-ouest de Fès. Meknès est située à une altitude de 500m, sur le plateau de Saïs, entre le moyen-Atlas au sud et les collines pré-rifaines au nord ; ledit plateau s'étend sur une superficie de 4560 kilomètres carrés. La ville est traversée par l'oued Boufekrane, qui sépare la vieille ville de la ville moderne. Son bassin versant est le Sebou (Fleuve du Maroc, né dans le Moyen Atlas, qui rejoint l'Atlantique : 458 Km) La population de la ville de Meknès est estimée actuellement à 485 000 habitants environ. Les jeunes de moins de 25 ans représentent 60% de la population. La langue officielle est l’arabe et le francais.La population de la région de Meknès appartenait à des tribus berbères qui se nomment eux-mêmes Imazighen; ce qui signifie ‘’hommes libres‘’. Leur langue est le dialecte berbère qui circule jusqu'à nos jours notamment dans les chaînes montagneuses de l’Atlas, malgré le passage de plusieurs dynasties qui ont régné le Maroc durant plus de 13 siècles. L'hitoire de Meknès semble remonter à la création d'une bourgade rurale non fortifiée au VIIIe siècle. L'installation au Xe siècle d'une tribu berbère, les Meknassa, qui établissent leur campement au nord de l'oued Boufekrane, donne son nom à la ville.



Fès-Fès ou Fez ( [fas], en arabe, (Fes en anglais) est la troisième grande ville de Maroc, après Casablanca et Rabat, avec une population de 940 000 habitants (Fassis). C'est l'une des quatre « villes impériales » (avec Marrakech, Meknès et Rabat). Elle est souvent considérée comme le centre spirituel du Maroc. La vieille ville, un exemple modèle d'une ville orientale, est placée sous la protection de l'UNESCO. Le bleu profond de ses céramiques est un des symboles caractéristiques de Fès. Selon une légende, le nom de la ville viendrait de la découverte d'une pioche (arabe: [fas], pioche) à l'emplacement des premières fondations.
789 5 février
Idriss Ier fonde le Maroc
L'imam, chef de la tribu berbère des Awraba, se fait reconnaître comme roi par les Berbères et rejette l'autorité du calife de Bagdad. Il prend le nom d'Idrîss Ier et fonde la ville de Fès. Idrîss Ier se proclame comme étant un descendant direct d'Ali, neveu et gendre du prophète Mahomet. Il sera le premier de la dynastie des Idrissides à l'Ouest du Maghreb. Idrîss Ier mourra assassiné après trois ans de règne laissant la place à son jeune fils Idrîss II.
1912 30 mars
Le Maroc devient protectorat français
La signature du traité de Fès instaure l'installation d'un protectorat français au Maroc. Le sultan Moulay Hafiz s'engage à ne conclure aucune alliance avec un autre pays que la France et à ne contracter aucun emprunt auprès d'une autre puissance. De son côté la France promet de respecter le sultan et la religion musulmane. Les pouvoirs du gouvernement français au Maroc seront détenus par un commissaire général de la République. Le général Lyautey doit remplir cette fonction.



Rabat-Rabat est la capitale du Maroc depuis 1912 . Elle est située sur le littoral Atlantique du pays, sur la rive gauche de l'embouchure du Bou Regreg, en face de la ville de Salé. Elle compte 717 000 habitants (2001), un peu moins de 2 millions pour l'agglomération (soit 7,6% de la population marocaine totale).
Des peuplements sont attestés sur le site de Rabat depuis l'Antiquité. La ville à proprement parler est fondée en 1150 par le sultan almohade 'Abd al-Mumin, qui fait édifier une citadelle (future Kasbah des Oudaïa), une mosquée et une résidence. C'est alors ce qu'on appelle un ribat, une forteresse. Le nom actuel vient de Ribat Al Fath, « le camp de la victoire ». C'est le petit-fils d'al-Mumin, Ya'qub al-Mansur, qui agrandit et complète la ville, lui donnant notamment des murailles. Par la suite, la ville sert de base aux expéditions almohades en Andalousie. Elle entre dans une période de déclin après 1253, quand les Almoravides choisissent Fès comme capitale. En 1609, suite au décret d'expulsion de Philippe II, des milliers de Morisques trouvent refuge dans la ville. Une période de croissance commence pour la ville, sous la dynastie des Alaouides. En 1912, Lyautey fait de Rabat la capitale du protectorat du Maroc et le siège du résident général. En 1956, lors de l'indépendance du Maroc, la ville reste capitale.



Tanger-Tanger (en arabe Tanja), est une ville du nord du Maroc, chef-lieu de la province de Tanger.Tanger (en espagnol).Tanger est adossée aux contreforts du Rif et se situe dans l'une des nombreuses baies du détroit de Gibraltar. Sa population est estimée à 350 000 habitants dans la ville et 80 juifs environ,même et à environ 600 000 avec les zones périurbainesTanger fut un comptoir phénicien puis carthaginois puis romain avant d'être envahie par les Vandales, recupéré par Justinien Ier puis conquis par les Arabes, en 707. En 1471, elle tomba aux mains des Portugais, puis offerte à Charles II d'Angleterre à titre de dot pour son épouse Catherine de Braganza. Les Anglais abandonnèrent la ville aux Marocains en 1684 à la suite d'incessantes attaques du sultan Moulay Ismail En 1905, l'empereur allemand Guillaume II y fit une déclaration en faveur de l'indépendance du Maroc appelé « discours de Tanger ». Il eut pour conséquence la conférence d'Algésiras en 1906 qui plaça alors le Maroc sous tutelle européenne tout en accordant à la France des droits spéciaux. La zone de Tanger fut déclarée zone internationale et un protocole fut signé en 1925 entre le Royaume-Uni, la France et l'Espagne, garantissant une sécurité permanente. Dès 1929, le contrôle policier fut confié à l'Espagne et un corps législatif international fut constitué pour gouverner le territoire. L'Espagne, profitant de la défaite française en 1940, occupa la ville jusqu'en 1945. Le statut international de la région de Tanger fut aboli en 1956, lorsque fut proclamée l'indépendance du Maroc.



Larache--Très belle petite ville tranquille, Larache est un lieu où il fait bon vivre. Chose rare au Maroc, la ville n’est pas encore envahie par les touristes. villes ou sont nes mes parents et grands-parents maternels et paternels.
Entre Rabat et Tanger, c'est une ville étape qui vous reposera du remue-ménage de ces grandes villes. Atmosphère relaxante, pas de bousculade touristique, bon esprit des habitants, toujours disponibles pour discuter ou vous conseiller mais laissant le vacancier en paix. L'été, des touristes émigrés marocains, qui viennent de différents pays d'Europe, offrant une grande diversité culturelle (Angleterre, France, Espagne, Portugal, Belgique...).

Marquée par les invasions espagnoles et arabes successives, Larache possède une architecture qui diffère d'un quartier à l'autre : la configuration de la ville ancienne est de type arabe, tandis que les habitations de la ville moderne adoptent le style andalou, couleurs blanches et ciel azur. La place de la Libération qui s'appelait "place d'Espagne" avant l'indépendance, la Fontaine Antigua, le fort construit par les portugais pour enfermer les prisonniers de la bataille des trois rois. Larache fut fondée en 800 et occupée par les portugais durant le XVIe Siècle avant de devenir un refuge pour les corsaires. Elle fut espagnole en 1610 et reprise par le Sultan en 1689, puis à nouveau espagnole de 1912 (traité de Fes) à 1956. Deux forteresses dominaient le Nord et le Sud. L'ancien fort Kebibat devenu hôpital et le fort de la Cigogne face à la mer. De Tanger à Larache, la route côtière est très belle. La route traverse des vallées agricoles très humides et une grande forêt d’eucalyptus qui embaument surtout lorsqu’il fait chaud. À l'entrée de Larache, vente de fossiles et de pierres. Larache est un petit port de pêche au bord de l'océan Atlantique, situé à 70km au sud de Tanger, dans le nord du Maroc, à l'embouchure du Loukos, fleuve aux nombreux méandres délimitant des marais salants et formant un bras de mer.

La ville, très ancienne, est construite sur une des rives du bras de mer. Elle vit de la pêche, de ses conserveries et d'un peu de tourisme. C'est aussi un centre administratif de cette province du Nord.Visitons un peu Larache :

L'endroit le plus animé est situé autour de la.place centrale ou place de la Libération de style arabo-andalou, bordée de nombreux cafés en terrasses.
Sur cette place, la porte Bab el Khemis délimite l'une des entrées dans l'ancienne médina.
A l'intérieur de l'ancienne médina,

le souk de la Kisaria,
le marché aux légumes installé en permanence,
les dédales de ruelles qui descendent jusqu'au port,
les passages, les maisons aux portes colorées...
Dans le centre, l'architecture andalouse est souvent présente, et dans ce style vous pourrez admirer le marché couvert La plage, située sur l'autre rive du fleuve, est accessible soit à pied (300m de la place centrale) avec traversée en barque, je l'ai traversee plusieur fois avec mes parents lorsque nous y allions en vacances,soit en voiture ou en bus (la ouaoua)en contournant le fleuve (4km).Il y a deux plages délimitées par une jetée : l'une avec vagues (pour les bodyboarders!) qui s'étend très loin, et l'autre, plus proche du bras de mer, plus calme, parfaite pour nager.
Une pinède est à 500m de la place centrale et s'étend sur des kms le long de l'océan.
D'autres forêts de pins, eucalyptus ou chênes liège sont à proximité de Larache,En descendant les ruelles de l'ancienne médina, on arrive au port..
On peut le visiter et assister aux criées : celle du soir pour les poissons blancs (merlans,...) et celle du matin pour les poissons bleus (sardines,...).Vous pourrez visiter les ruines de l'ancienne cité romaine Lixus, située à 4km en direction de la plage. Lixus est construite sur une colline qui domine toute la vallée et offre une vue superbe sur les méandres du fleuve et les marais salants.

Avis aux amateurs d'archéologie qui y trouveront un théâtre, une acropole, des temples, un amphithéâtre, des thermes avec une mosaïque et sur le bas de la colline, une centaine de bassins qui servaient d'usine de salaisons et montre l'importance de ce site... à visiter au coucher du soleil
Jean Genet(1910/1986) qui a vecu a Larache
la Duchesse de Guise a vecu a Larache
1-Larache c est le jardin des Hesperides,
2-el balcon del atlantico,
3-La plaza de espagna(la place de la Liberation),avec ses arcades rondes colores (yacov bendayan de larache a gagne un jour a la loterie c'est lui qui a fabrique avec l'argent gagne les arcades de la fameuse plaza de espana.)
l'oncle a ma mere , le frere a ma grand-mere, Youdah Benquessus avait un grand magasin (la bencedora)a cote de son magasin , il y avait l'agence de voyage la Valenciana, des autobus qui reliaient toute la zone espagnole.
4-la otra banda
5-el teatro espagna ,
6- hotel riad, maison de la duchesse de Guize.
Larache ,c est aussi
7-Jean-Genet(1910-1986), qui est enterre a Larache.
8-Les usines de salaisons, 10 ateliers et 147 bassins, la plus importante de tout le maroc, dans la ville basse pas loin de l ouedLoukous.
9- la plaza de abastos ( el mercado de abastos).
10- cinema avenida.cinema Ideal
11-hotel espana.
12-la kisaria
A Larache il reste qu un juif.
Les habitants se sont des Larachense, en arabe ont dit des laarachis.
La legende dit qu a Larache au jardin des Hesperides de la mythologie greque, des nymphes gardaientle jardin.
Larache se trouve sur l ocean atlantique son port est a l embouchure du fleuve Loukous.
Rabby Youssef Hagalili le tsadick de Larache est enterre au socco chico, .



Le site archéologique de Cromlech M'Zora
A 20km au nord de Larache, sur la commune de Sidi El Yamani, se dresse un grand tertre funéraire du néolithique (2000 ans avant JC) encerclé par 167 monolithes
(genre de dolmens).
Ce site permet aussi d'admirer la campagne vallonnée du rif et un village typique aux chemins bordés de cactus.



AlcazarquivirKSAR EL KEBIR (Alcazarquivir)est une petite ville qui se situe au nord du maroc,tout pres de Larache à 129 KM de Tanger et 154 KM de Rabat,
elle compte presque 20 milles habitants. L'exode rurale s'est accentuée dans les 3 derniers décennies à cause de la pauvreté et la secheresse."La grande citadelle" constitue après Rabat, une étape importante de la route des Almohades. Les textes médiévaux attribuent l'urbanisation et la fortification de Ksar el Kébir (anciennement connue sous les noms de Ksar Ketama, Ksar Sanhaja etc..), aux califes almohades.
De tous temps, Ksar el Kebir a accueilli érudits, mystiques, réfugiés d'Al-Andalus et de l'Algarve. Ibn Ghalib, originaire de Silves, s'y installe et y fait venir plusieurs disciples d'Ibn al-Arif, grand mystique d'Alméria. À sa mort (entre 1177 et 1183), Ibn Ghalib est déclaré Saint-Patron de la ville; Fatima al-Andalusiyya, autre mystique originaire de l'Algarve, est considérée comme la seconde sainte de Ksar el Kebir.

Après la reconquête chrétienne, les habitants de Santarem, Evora, Alcacer de Sal et Silves y trouvent refuge. Au XIIème siècle, elle se voit attribuée son nom actuel par le Roi Almohade, Yacoub El Mansour, qui la fit entourer de grandes murailles.Par la suite arriveraient des Juifs expulsés par les rois catholiques, en formant une communauté que et ils allaient tous prier sur la tombent du tsadik rebby Yehuda Zabali enterre pres des cimetieres,En 1578, la bataille des Trois Rois se déroule tout près de la ville; les Arabes repoussent les Portugais débarqués à Asilah.

Dès le XVIIème siècle, la ville est l'enjeu de luttes d'influence entre sultans. Au XIXème siècle, la guerre civile éclate et précipite le déclin de Ksar El Kébir. L'événement historique le plus supérieur est été en 1578, dans laquelle a échappé la bataille des trois rois au bord de la rivière Makhazen, entre le roi Sebastián du Portugal avec le roi détrôné du Maroc Mohamed le negro, contre Abd le Malek qui commandait les insurgés marocains, sont intervenus des Portugais, les Espagnols, des Allemands et des Italiens, en mourant les trois rois et en étant la fin des tentatives du Portugal de conquérir le royaume(règne) du Maroc.
1578 4 août
Bataille des Trois Rois à Ksar el-Kébir
Le roi du Portugal Sébastien Ier, allié au roi d'Espagne Philippe II, tente de renverser le sultan du Maroc Abd al-Malik. Lors de l'affrontement à Ksar el-Kébir (Maroc), les 40 000 cavaliers du sultan anéantissent les troupes portugaises. Abd al-Malik et le jeune roi Sébastien, qui ne rêvait que de croisade contre les Infidèles, sont tués dans la bataille. Philippe II prendra possession du Portugal, tandis que le frère du sultan, Ahmed al-Mansour, montera sur le trône marocain



Tetouan- Capitale du Nord de Maroc, Tetouan est une ville accueillante, mélange de cultures et de couleurs, qui s'étale au bord de la Méditerranée.

Les origines de la ville se perdent dans la nuit des temps, les objets extraits des fouilles datent du IIIème siècle avant notre ère et proviennnent de la ville antique de Tamuda. Les Phéniciens quant à eux établirent en leur temps un comptoir à l'embouchure de l'Oued Martil.
C'est en 1307 que le sultan Mérinide Abou Thabet fit construire la ville fortifiée de Tetouan. Le but avoué de ce sultan était d'y construire une base avancée susceptible de récupérer Sebta.
Peuplée de soldats, la ville devint rapidement un nid de redoutables corsaires. Face à leurs incessantes attaques, les Espagnoles débarquèrent à Tetouan et la détruisirent en représailles.

En 1492, la chute de Grenade chasse du Sud de l'Espagne des milliers d'émigrés Musulmans qui s'installérent sur les ruines de la ville: elle renaît alors de ses cendres et connaît un essort fastueux.
Sous le régne de Moulay Ismaïl au XVIIIème siècle, Tetouan connaït un nouveau développement économique dû à ses nombreux échanges avec l'occident
Le style hispano-mauresque prend ici toute sa dimension, notamment dans les quartiers d'habitation où les grilles en fer forgé des fenêtres donnent toute leur expression à ces èpaisses façades immculées. Martil, situé à 10 kilomètres à l'est de Tetouan est un agréable port de pêche.
Sa proximité de la ville de tetouan, ainsi que son cachet, font de Martil une station balnéaire fort agréable.L'histoire de Tétouan est une histoire qui a connu plusieurs phases différentes, c'est à dire, des époques de splendeur, ainsi que d'autres de décadence historique. La période romaine a connu la fondation d'une ville, Tamouda et le site de Tétouan est mentionné dans les sources dès le XIème siècle. L'histoire de l'actuelle ville de Tétouan commence à la fin du XVème siècle avec sa reconstruction par le Grenadin Sidi Ali Al-Mandari dont le nom à la fois historique et mythique est devenu le symbole de la ville. La reconstruction de Tétouan est une conséquence de l'Inquisition et de la politique de la reconquête chrétienne d'Al-Andalus menée par les rois Catholiques Ferdinand et Isabelle. A la fin du XVème et au début du XVIème siècle, Tétouan fut reconstruite par des andalous pour repousser la menace militaire ibérique au Maroc, pays divisé en une multiplicité d'entités politiques indépendantes dans l'absence de tout pouvoir central. L'impact culturel andalou se fait sentir dans son architecture, style de vie, art, etc. Il faut constater le mélange des caractéristiques militaires avec les caractéristiques citadines dans l'architecture. Celle-ci reflète la volonté de développer une vie urbaine sophistiquée tout en la défendant de toute menace extérieure
1926 27 mai
La fin de la guerre du Rif
Les campagnes menées dans le Rif marocain par les Espagnols et les Français entre 1921 et 1926 contre les tribus révoltés prennent fin. Confronté à des forces supérieures en nombre et en armement, Abd el-Krim, le chef de la résistance marocaine, est acculé à la reddition. Le Rif ne sera pacifié de façon définitive que l'année suivante. Le Maroc obtiendra son indépendance en 1956.



Arzilah-Située dans le Nord du Maroc, à une quarantaine de kilomètresde Tanger, Asilah fut d'abord une ville carthaginoise, puis romaine. En 1471, elle connut une importante invasion, qui marqua son histoire : près de 500 vaisseaux et 30.000 soldats portugais venirent la conquérir, pour qu'elle devienne enfin leur comptoir commercial stratégique et important. Asilah fut construite au XV siècle par les Portugais, puis tomba aux mains des Espagnols, jusqu'à sa libération en 1589 par le Sultan Saâdien Ahmed El Mansour. Plus tard, les Espagnols ont repris sa possession à nouveau, puis elle fut cette fois-ci libérée par Moulay Ismaîl en 1691. Son bombardement par l'armée autrichienne en 1829 a permis l'installation et la mise en place d'un protectorat espagnol jusqu'en 1956,le frere a mon grand-pere,Ruben Anidjar etait le president de la communaute juive de la ville de Arzilah,le nom des juifs de Arzilah se sont les Anidjar et les Bengio .



Ouezane



Beni-Melal-



Azrou-Azou, dont le nom signifie le rocher en berbère, est une petite station estivale à 1200 m d'altitude. Elle est située au croisement des routes qui partent de Meknes et de Fès vers le sud. Les maisons sont construites en pisé et couvertes de tuiles rondes prs de la vieille Kasb de la fin du XVIIè siecle. Au Marché du vendredi, mais surtout à la coopérative artisanale, on trouve des tapis berbères de belle qualité, des poteries et des objets en bois de cèdre. Azrou reçoit au printemps la foire aux moutons.



Environ de Azrou-Au sud-ouest, la route passant par Ain-Leuh ( Souk pittoresque le lundi et jeudi ), et traversant la foret de cèdres, mène aux sources de Oum-er-Rbia. 40 km après Ain-Leuh, ces sources du plus grand fleuve du Maroc sont accessibles à pied (10 min). Au pied de la falaise surgissent des sources vauclusiennes dans lesquelles on verra de nombreuses truites. En poursuivant vers le sud jusqu'a Khenifra, la route traverse une foret de chenes et de cèdres; on y rencontre parfois des singes.

* Au sud-est, par la route de Midelt, puis par une piste sur la gauche à 8 km, on accède au célèbre cèdre Gouraud, haut de 40 m. Ce cèdre de l'Atlas porte le nom d'un colonel français qui fut Résident général en 1917. Les cèdres sont admirables pour leur forme large et conique. On vous proposera ici des ammonites ou des pierres semi-précieuses. Continuez la piste et tournez vers le Michliffen; petite station de ski à 2000 m d'alt., trés fréquentée en hiver. Continuez vers le nord-est pour parvenir à Ifrane en passant par Tizi n'Tretten.

*Au nord-ouest, sur la route de Meknes, au belvédère d'Ito arretez vous pour admirer le panorama grandiose sur la vallé du Tigrigra.



BerkaneBerkane est une ville du nord-est du Maroc dans la région d thrifa, limitée par la Méditerranée au nord, l'Oued Kiss (frontière maroco-algérienne) et la préfecture d'Oujda à l'est, la province de Nador à l'ouest et la province de Taourirt au sud. Cette commune fait partie de la wilaya d'Oujda. Berkane est désignée comme étant la capitale des agrumes du Maroc oriental.La superficie totale de la province est de 1985 km².



BerrechidLa ville de Berrechid est une municipalité dans la province de Settat. Elle appartient à la région Chaouia Ouardigha. Cette ville a été construite par la famille Errachid en 1805, afin de contrôler les échanges commerciaux. En 1920, la majorité des constructions se sont installés autour de la cité administrative française, qui porte maintenant le nom "Place ELISTIKLALE ". Au début de l'année 1970, des unités industrielles ont crée une zone industrielle sur une superficie de 120 Hectares. A partir de 1980, la ville a connu une évolution démographique et l'urbanisation a cru à cause de la présence d'une zone industrielle importante, ce qui a évolué l'économie et le commerce dans la ville.



BoujdourBoujdour était à l’origine un village de pêcheurs implanté autour du phare. Dès 1976 , cette cité a commencé d’affirmer un caractère urbain, appuyé sur une croissance démographique et sur son nouveau port. Emergée du désert, Boujdour est devenue le chef-lieu de la province,plus bas que Laayoun.



Dakhla-Le Sahara . . . Son histoire se confond avec celle de l'humanité. Univers minéral qui féconda autrefois tout un continent, préservant en son sein des richesses longtemps insoupçonnées. Immensité de sable et de rocaille, de mirages et d'oasis, restant pour toujours le territoire de nos rêves et de nos évasions. Et tout au Sud, à l'embouchure du Rio de Oro, Dakhla qui abrite son port de pêche sportive dans la plus jolie baie du Sahara méridional.



El Jadida(Mazagan)-El Jadida , au bord de l'océan, à 100km au sud de Casablanca, est un tranquille petit port de pêche, célèbre pour son architecture militaire portugaise : ruelles tortueuses, remparts imposants. A visiter la cité portugaise et sa superbe Citerne,Au début du XVIème siècle, des navigateurs portugais débarquèrent sur la côte marocaine au sud d'Azemmour. Ils élevèrent un château fort autour duquel la cité, nommée Mazagan, se développa. Les Portugais, chassés d'Azemmour et d'Agadir, affluèrent dans la ville qui fut fortifiée dès 1542.Les remparts, élevés par les Portugais, étaient dotés de 5 bastions, dont quatre furent rebâtis après le siège destructeur de 1769: - bastion du Saint-Esprit: il domine ce qu'il reste des fossés de l'ancien château fort: un bassin communiquant avec la mer. - bastion de l'Ange: il offre une vue panoramique sur la cité et sur la Porte de la Mer - bastion Saint-Antoine (protégeait le sud de la cité). - bastion Saint-Sébastien (protégeait le sud de la cité). A l'intérieur de l'enceinte, se dressent des maisons, d'influence portugaise, ornées de pilastres et de balcons en ferronnerie. A côté de l'Eglise de l'Assomption, aujourd'hui désaffectée, s'élève une mosquée dont le minaret a été bâti sur des ruines d'une tour de guet à cinq pans.



Oujda-Sixième ville du Maroc, située près de la ville de Berkane, Oujda fut fondée par Ziri Ibn Attia, chef Zenete de la tribu de Maghraoua vers 994 au centre de la plaine des Angads. Et demeura pendant 80 ans le siège de la dynastie de son fondateur, elle passa ensuite au pouvoir des Elmourabitines (nom transformé par les Latins en Almoravides) puis à celui des Elmouahidines (Almohades) qui élevèrent une nouvelle fortification.
Après la destruction de la ville en 1271 par le Sultan Abou Yaacoub Elmarini (Mérinide), son fils Abou Youssef entreprit la relève en 1325, reconstruisant ainsi une Kasbah, un Palais, une Mosquée, des bains et enfin réussit à lui donner une certaine prospérité. La légende dit qu'elle est la ville de 360 portes qui s'étendait de l'ouest de Tairet aux rives d'Isly, avec une infinité de quartiers dont on retrouve toujours les restes.



Safi-Safi est une ville portuaire du Maroc, comptant prés de 290 000 habitants. Ancien port sardinier, Safi a du mal à se reconvertir dans l'industrie. La principale usine de la ville (Maroc Phosphore) produit de l'acide phosphorique à partir de phosphates, principale richesse du pays. Safi est également connue pour ses potiers, artisans transformant la glaise en ustensiles agrémentant les foyers marocains. Sous l'empire ottoman, Safi faisait partie des Échelles, villes ouvertes aux Occidentaux.



Salé-Salé est une ville marocaine située à l'embouchure du Bou Regreg, en face de Rabat. Fondée au XIe siècle, la ville de Salé connut un véritable développement à l'époque des Almohades(XIIe siècle) et Mérinides (du XIVe siècle), du fait de sa position stratégique sur la voie terrestre : Fès/Marrakech et grâce à son port, centre d’échanges entre l’Europe et le Maroc. Au XVIIe siècle, l’arrivée des réfugiés musulmans d’Espagne donna un nouveau souffle à la cité et créa une rivalité avec la ville toute voisine de Rabat. L’activité commerciale de Salé durant le XVIIIe siècle lui permit d’étendre son influence dans le pays jusque dans des régions très éloignées. A cette époque, Salé fut célèbre surtout par son intense activité maritime. Avec le XIXe siècle s’annonce la fin du rôle commerciale prépondérant dont jouissait la ville, et Salé s’enferma sur elle-même et demeura au cours du XIXe siècle et pendant l’époque du protectorat français un haut lieu de culture et de la vie religieuse.



Sefrou-La ville de Sefrou se situe à 28 km au sud-est de Fès sur la route principale N°20, au pieds du moyen Atlas à 850 m d’altitude en moyenne,on la nommait la Jerusalem du maroc.Les cerises de Sefrou et leur fête sont renommées dans tout le Royaume du Maroc et ce, depuis 1920. .. Plusieurs organismes veillent et participent à l'organisation de la fête des cerises au début du mois de Juin de chaque année La fête des cerises n'est pas seulement une activité culturelle mais c'est une occasion pour exposer et vendre les différentes sortes des cerises cultivées dans l'oasis de Sefrou et ses environs. La fête dure 3 jours .



Settat-Le territoire de la Province dispose d'importantes réserves aquifères.
Eaux souterraines:
La province renferme 4 grandes nappes phréatiques qui sont:
Nappe de Berrechid,
Nappe de Khemisset Chaouia,
Nappe de Krakra,
Nappe de Settat.
La Province de Settat faisait jadis partie du grand territoire compris entre l'Oued Bou Regreg et l'Oum Rbiä et dénommée Tamesna ou "Terre plate.Ses habitants d'origine berbère, les berghwatas étaient issus de la puissante confédération des Masmouda qui "constituaient le fond le plus ancien et le plus nombreux des populations de tamasna,En choisissant de construire la Kasbah sur le site vallonné de Settat, Moulay Ismaïl allait déclencher le processus d'urbanisation de ce site. En effet l'édification de la Kasbah a apporté ordre et sécurité aussi bien aux voyageurs qu'aux habitants et favorisé les implantations humaines de ses abords. Bien plus, en y installant le premier Caïd de cette région qui dépendait auparavant de Caïd Doukkali et Rahmani, Moulay Ismaïl va officialiser Settat comme chef lieu de cette région.

Devenue entité administrative au début du 18ème siècle, la ville de Settat, de part de sa situation stratégique en tant que passage incontournable, entre le Sud et le Nord. Et grâce à la richesse des sols de son arrière pays, elle a prospéré et constitué durant les 18ème et 19ème siècles un important centre de négoce des produits agricoles, attirant des populations fort entreprenantes. Ce fut le cas des Marocains de confession juive qui s'y installèrent en masse au 19ème siècle construisant leur propre quartier, le Mellah, aux abords de la Kasbah.Ce développement a été perturbé au début du siècle durant la période de la siba et par la colonisation à laquelle s'opposèrent farouchement les tribus de la Chaouia ralliées à Moulay Hafid. Sous le protectorat français, la ville de Settat a connu un développement urbain sans précédent, en témoigne le boom démographique qu'elle connu de 1913 à 1925 et renoué ainsi avec son passé commercial. Cette prospérité a duré jusqu'au début des années cinquante où sous l'effet du développement de Casablanca, des voies de communication et des moyens de transports, la ville de Settat ainsi que d'autres agglomérations la région sont entrées dans une période de semi-léthargie.C'est pour lutter contre ce 'désert' crée par l'essor de Casablanca et par l'aliénation spatiale héritée du colonialisme que les pouvoirs publics ont décidé de la création de la Province de Settat en 1967.



Azemmour
Le nom d’Azemmour est lié à celui de Moulay Bouchaïb, le saint patron qui a vécu à la fin du règne des Almoravides et qui mourut en 1166.
C’est d’ailleurs la première image qui surgit après le virage, après un tournant brusque, le fleuve vous prend à la gorge dans une sensation de beauté éternelle. D’un bleu foncé, le fleuve rappelle le passé maritime de la ville. Ce fleuve magnifique représente l’âme de la ville comme le décrit Zimmermann dans Villes et paysages du Maroc: « C'est la ville toute entière qui apparaît périlleusement accrochée dans un désordre pittoresque d'une blancheur exquise à l'oeil, sur le faîte de la falaise abrupte dont les eaux rouges du fleuve baignent le pied».Le paysage est magnifique, la ville qui se réveille se secoue d’une torpeur qui n’existe nulle part ailleurs. Malgré une animation précoce, les gens n’ont pas vraiment l’air de se presser.
Cette impression d’un temps qui a suspendu son vol est beaucoup plus présente à l’intérieur des murailles. Ici, les senteurs du henné mêlées au parfum du coriandre rappellent un passé glorieux. La médina ne diffère guère de celles des autres villes anciennes. L’arôme de la menthe est un irrésistible appel à la convivialité ; une petite échoppe transformée en café rassemble quelques vieux. L’étranger a sa place, on se bouscule pour assouvir sa curiosité et connaître en retour les raisons de sa visite.
Azemmour qui avait fait baver les Portugais et qui avait finalement été adopté par ces derniers. il y a aussi a Azamour l’histoire de ce fameux marin à qui on a consacré pas moins de six sites internet qui racontent son épopée.
L’histoire date de 1513. Mis aux fers, lors de l'occupation du port marocain d'Azemmour par les Portugais, Saïd ben Haddou a été vendu à Cadix à un capitaine espagnol.
et surtout la tombe de Rebbi avraham Moulenes,




Mohammedia ancienne Fédala de l'époque du protectorat. Ce nom actuel de la ville forgé à partir de celui du roi Muhammad (Mohammed) V, restaurateur de l'Indépendance marocaine, indique le caractère moderne de cette cité.
Mohammedia, qui compte 145 000 habitants, est avant tout une importante place industrielle, le premier port pétrolier du pays.
Installée sur la côte atlantique, à 30 kilomètres au nord de Casablanca, la ville se situe en effet entre Casablanca et Rabat.





Volubilis-Volubilis est une ville antique romaine située sur les bords de Oued Khoumane, rivière de la banlieue de Meknès (Maroc), non loin de la ville sainte de Moulay Idris Zerhoun où repose Idrîs Ier.
Le nom de Volubilis du site serait dû à l'abondance de la plante. Le nom berbère de la ville est Walili, Oualili, ou Walila (arabe :[walila]) qui désigne la fleur de liseron. La ville vivait du commerce de l'huile d'olive. On retrouve dans les ruines de nombreux pressoirs à huile.



Ifrane



A deux pas de l'Espagne, c'est un autre monde qui s'ouvre à vous.
Ici, nulle demi-mesure : des plateaux arides s'ouvrant soudain sur de miraculeuses oasis où le vert tendre du blé en herbe joue avec celui, plus soutenu, des palmiers, succèdent aux massifs escarpés formant des paysages grandioses, sans cesse renouvelés, et aux plaines fertiles où le moindre arpent est cultivé avec soin.
L'immensité des espaces solitaires contraste avec la cohue des médinas, ces ruches où une foule affairée se croise dans un mélange incessant d'odeurs, de couleurs et de bruits.
Héritages d'une civilisation raffinée, les somptueux palais des cités impériales alternent avec les rudes kasbahs berbères qui semblent se fondre dans la terre dont elles sont issues. Des villes blanches et bleues comme Essaouira l'océane ou encore Asilah, rivalisent avec les cités ocres de l'intérieur, tandis que Tanger tente d'oublier sa légende et que Casablanca assume - son choix de modernité. Le Maroc attire aussi bien ceux qui répondent à la fascination du désert que les amoureux de la mer et du vent, rivés à ses côtes spectaculaires, ou encore les skieurs et les randonneurs du Haut-Atlas. Pour tous, pourvu qu'ils sachent oublier leurs repères et aller à la rencontre, d'un peuple attachant, un séjour au Maroc a toutes chances d'être inoubliable Les sommets de l'Atlas et les remparts de Marrakech, les kasbahs de terre et l'immensité du désert, les somptueuses médersas de Fès, les médinas et leurs souks animés... Images fortes d'une culture à la fois rude et raffinée que, de cités impériales en humbles ksour, je vous invite aujourd'hui à les découvrir...



S O L Y

Re: Villes,villages,vallees,cascades,montagnes,forets,parcs du Maroc
28 décembre 2005, 02:17
Chers amis nous allons faire un voyage dans tout le Maroc du Nord au Sud,de L'Est a l'Ouest,d'abord on doit connaitre les noms des villes,je ne connaissais pas le nom de toutes les villes,j'ai recu le guide vert Maroc,et c'est grace a lui,que je sais ou est placee chaque ville,d'apres la carte,
je possede aussi,des milliers de photos de tout le Maroc que mes amis et famille m'ont envoye .je vous les mettrais a fur et a mesure




Chaque ville a son charme,chaque ville a son monument,chaque ville a sa couleur,chaque ville a sa statue,chaque ville a sa facon de parler,facon de s'habiller,facon de prier,facon de cuisiner.
Vous trouverez,a
Casablanca:l'horlogue des services Municipaux
la statue dU Marechal Lyautey
les piscines
Bab-Marrakech
Rebbi Liao
Mogador:la Squala
les pecheurs
les oiseaux
le Tombeau de rabbi Haim Pinto le grand Tsadik
Tanger l'internacionnale
le socco chico
le socco grande
Larache et sa plaza de espagna avec les Arcades
le jardin des Hesperides
la calle real
socco chico
socco de abastos
et tous les souvenirs et d'histoires que m'ont racontes mes parents et grands-parents nes dans jolie petite ville tranquille.
Marrakech la rouge avec son Jaama-El_Fna
avec ses riads
avec ses touristes
avec son festival cinema
avec les jadins de Majorelle
Mazagan avec ses Citernes Portuguaises
et son charme
Azzemour et son Tsadik Rabbi Abraham Moul El Ness
ou on allait peleriner avec toute la famille
tous les ans pour la hilloula
Ifrane et son lion ses chalets la petite Suisse Marocaine....


S O L Y

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28 décembre 2005, 02:19
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soly
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28 décembre 2005, 02:20
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28 décembre 2005, 02:21
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28 décembre 2005, 02:22
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28 décembre 2005, 02:23
photos de casablanca 4
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28 décembre 2005, 02:25
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28 décembre 2005, 02:26
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28 décembre 2005, 02:28
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28 décembre 2005, 02:29
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28 décembre 2005, 02:30
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28 décembre 2005, 02:33
toutes ses photos sont recentes,novembre et decembre 2005
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28 décembre 2005, 02:36
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28 décembre 2005, 02:38
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28 décembre 2005, 02:39
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28 décembre 2005, 02:40
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28 décembre 2005, 02:42
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28 décembre 2005, 02:43
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