MAZAGAN, EL JADIDA : souvenirs,retrouvailles et album photos

Emmanuel, comme c'est la fin de Pessah, l'Équipe Dafina
fait le ménage (merci), regarde plus haut page 34 les photos que j'ai scanner
aujourd'hui - ould-kabla

SALUT Mme; puglisé tu te rappelle du lycée abouchouaib addokali quand tu été enceinte et tu viens chez nous au secrétariat j'étais avec melle jacquelin abicidan et tu veux toujours manger du mandarine tu étais très charmante avec ton survet moi c'est melle bestani drissia à l'époque maintenant je suis retraite avec mon mari aussi retraite et j'ai 5 enfants la plus grande ingénieur le petit enseigne encore a mohamadia ou est tu maintenant mme publisé passe le bonjour à jacqueline j'ai vu votre photo mon émail _ mamidrissia@hotmail.com

Sortie de la Mimouna dans les annees 50.


Pièces jointes:

Mme Sol Elbaz la maman de notre fameux peintre Mazaganais Andre Elbaz en compagnie de quelques amies dans les annees 50 a Mazagan.
Pièces jointes:

Bonjour,

Je m'appelle Marcel Cohen
J'etais eleve au lycee de mazagan dans les annees 58-63
Section classique.
Je me souviens bien de mes profs :
-Planas :Francais-Latin (terrible dame)
-Janol :Math
-Mouton ciences

etc...
J'habite en Israel -Rishon le tsion

Bye







Modifié 2 fois. Dernière modification le 23/04/2007 07:39 par Dafouineuse.

J'étais également à cette époque au Collège de mazagan. Peux-tu te décrire un peu plus car je n'ai connu qu'une fille au nom de Marcelle COHEN (famille MITATIA)- Met une photo - AZ

bonjour mme puglisé c'est bestani drissia on m'a dit que vous habitez toujours jdida moi je suis à fès ma famille est toujours à jdida l'usine de mensuisere de mon père est fermé depuis la mort de mon père il est situé tout à coté de benezha mon père qui était connu par son nom al maalam hassan

Hilloula Aout 1960.
Pièces jointes:

mon cher anidavid

la photo de aout 1960 ce n'est pas une hilloula mais la soiree de

henne de ma belle soeur la fille de yossef elbaz z"l

ofek2

Bonsoir Clementine la Fassia,
Tout va bien, il neige plus à Montréal et enfin le Printemps est là,
avec beaucoup de Joie et de SANTÉ.

Pièces jointes:

Monsieur Simon Bensimon vient de mourir à Strasbourg
à l'age de 89 ans, ses obsèques ont lieu aujourd'hui
pendant les festivités de Lag Baomer, c'est pour dire
l'importance de cet homme, le Tout puissant sait ce
qu'il fait, toutes mes sinçères condoléance à la famille.
Emile Ohayon

Pour rendre Hommage à Monsieur Simon Bensimhon
mon Directeur de l'Alliance Israélite de Mazagan,
(ce modeste certificat et je suggère à chacun de mettre le sien)



Pièces jointes:

Tout bon Mazaganais qui se respect
a lu son livre " Les pages oubliés sur Mazagan "



Pièces jointes:

...salam cher emilio...je me joins a toi pour rendre hommage a l ame de ton directeur d ecole monsieur bensimon...qu allah l eternel l acceuil parmi ses elus...amitiés...kaki...
Pièces jointes:

A LA MEMOIRE DE MR. SIMON BENSIMHON.

YEHI ZIKHRO BARUKH.
QUE SA MEMOIRE SOIT BENIE.
Pièces jointes:

mon cher kaki

Pièces jointes:

Judah Bensimon (benj) avec Monsieur Simon Bensimhon z'l. à Strasbourg

Pièces jointes:

une classe de Monsieur Bensimhon Simon z'l.

Pièces jointes:

Expéditeur: ODESSA
A: MESSAGE DEPLACE
Date: 13/05/07 19:56


Auteur : JONQUILLE

N'étant pas une habituée d'internet, je viens seulement de prendre connaissance de votre message du 30 novembre 2004 dans lequel vous avez la gentillesse de me citer.
Je suis en effet Madame Assédo, née Lahiany et non Nahmany, institutrice à l'école de l'A.I.U. de Mazagan, maintenant El Jadida, depuis l'Indépendance du Maroc.
Le site de Mazagan a été assez bien décrit par les différents correspondants de Dafina; j'y ajouterai quelques informations et, plus tard, quelques cartes postales anciennes datant de la première moitié du 19e siècle.
Le récit de vos souvenirs, cher Maxims, me rappellent les miens, déjà si lointains. Je me revois dans mes premières années de jeune institutrice (1941-1942), nommée à l'école de l'Alliance Israëlite de Mazagan. J'ai enseigné au cours préparatoire (classe à côté de la menuiserie). Je me rappelle même des noms de plusieurs de mes petits élèves : André Elbaz, Emile Obadia, Henri Assédo, Haziza ... Je me permets de supposer que vous êtes de cette promotion; pourriez-vous me le confirmer...?
Quant aux familles dont vous parlez, je me souviens de certaines d'entre elles comme, par exemple, Mesdames Pilo et Abitbol. Je retiens le nom de votre chère grand-mère Zahra qui vous remettait le chocolat offert par le prêtre, et dégusté par le petit-fils (enfin, pas le prêtre...)
J'ai lu votre texte avec beaucoup d'intérêt mais ce qui m'a le plus profondément émue, c'est le beau passage où vous parlez de la synagogue Nahon, de votre cher père et du mien "z.l."
Je vous remercie de parler de mon père avec autant de respect que d'admiration; oui, mon père, sensible de nature, pleurait à certains paragraphes émouvant de la prière; il faisait l'office avec beaucoup de conviction, priait de tout son coeur et de toute son âme, surtout quand il invoquait, en tant que "Chaliah Tsibour", l'Eternel pour le pardon, non seulement pour lui mais pour tous les fidèles qu'il représentait.
Mon père s'intéressait beaucoup à la synagogue; souvent, en arrivant à la maison, le chabbat, il nous parlait du déroulement de la prière, des évènements qui y avaient lieu, des fêtes : mariages, Bar Misva, des beaux pyoutims de votre vénéré père.
A la description du Mellah - citerne portugaise, synagogues, maison du grand saint Rabbi Yahia Assouline -, je trouve qu'on ne peut pas paler du Mellah sans penser au brave et bon Docteur Rodriguez qui habitait la rue portant son nom et qui soignait gratuitement ceux qui ne pouvaient pas payer; où rencontre-t-on des personnes pareilles.
Maintenant, je revois un peu la ville : je me rappelle de la place Brudo avec son horloge en face du Cinéma Dufour, de la magnifique plage réputée pour son sable fin et doré, son beau casino, et qui attirait en été de nombreux touristes affluant de partout.
Des fêtes, des bals, donnés à l'occasion de la Reine de beauté, égayaient la ville et donnaient un cachet spécial à Mazagan - "le Deauville marocain", ainsi qu'on l'a appelée.
Je me souviens de l'entrée du Mellah avec sa grande arcade qui m'impressionnait. A la droite de cettre arcade étaient installés des ferblantiers qui fabriquaient des petits objets : théières et casseroles qui plaisaient aux bonnes mamans. En face de ces artisans, se touvaient des magasins d'épices d'où s'exhaleient des parfums de muscade mêlés à ceux de la cannelle et du safran.
Je revois la rue du Commandant Bolleli, la rue des bijoutiers, l'avenue du Commandant Lachaize (qui porte un autre nom maintenant); elle menait à l'école de l'A.I.U.; à droite de l'école, habitaient des familles honorables comme les Hammou et les Znaty. L'avenue se prolongeait jusqu'au Château Buisson. On ne peut oublier les parcs avec leurs jets d'eau rafraîchissant, les quartiers, Ben Driss, la rue Bensimon; les rues étaient parées de part et d'autre de majestueux palmiers.
Tout cela me fait penser à de belle et nombreuses années écoulées et passées rapidement.
Mon dieu! que de souvenirs, que de nostalgie! Le passé est toujours embelli, n'est-ce pas?
Actuellement, mon époux, également ancien membre de l'enseignement, et moi-même, sommes à la retraite, après avoir exercé dans différentes villes du Maroc - Mazagan,, Tiznit, Oued Zem, Casablanca - puis, en dernier lieu, hors du Maroc.
Barouch Hashem, nous avons des enfants et des petits-enfants et passons une retraite paisible - ad 120.
Salutations chaleureuses à Maxims et chalom à tous les correspondants de Dafina.

mes chers mazaganais

juste apres le dece de mon pere moyal nessim z"l le 25-05-20007 pendent

la chiv3a j'ai trouve cette photo de la cinquieme classe a l'ecole de

l'alliance israelite de mazagan ou mon oncle avner moyal z"l le 8em

de gauche a la droite a la rangee du bas.je vous laisse mes chers

mazaganais de ce reconnaitre, peux etre quelqu,un de la famille et

aussi reconnaitre le nom de l'instituteur

ofek2 moyal mardoche
Pièces jointes: