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Les plus belles voix des années 50par the great pretender - CULTURE
si je m'en souviens ! on chantait : les oeufs battus, la poele à frire et l'omelette... et Ciao ciao bambino, come prima, d'où viens-tu gitan, l'histoire d'un amour, itsy bitsi bikini, que sera sera, volare, love in porto fino, tu n'as pas très bon caractère, etc etc... et après ce fut l'époque de Johnny avec Viens danser le twist !par the great pretender - CULTURE
Soly merci pour les paroles de Mustapha. La chanson est sortie en 1960 j'étais en 6° (et toi aussi, je crois) C'est vrai qu'elle a fait fureur.Je me revois la chanter sur le Bd Mers Sultan,en revenant du Petit lycée.par the great pretender - CULTURE
Tire l'aiguille a été écrit par Eddie Marnay,Emil Stern,et Eddie Barclay y a ajouté sa signature.Chanson inspirée du folklore yiddish, elle a été créée par Renée Lebas.Cette merveilleuse chanteuse a aussi chanté Garde l'Espérance adaptation de la Tikva. Tire, tire, tire l'aiguille ma fille Demain, demain tu te maries mon amie Tire, tire, tire, l'aiguille ma fille Ta robe doit êtrepar the great pretender - CULTURE
Béni soit celui qui a préservé du désespoir un coeur d'enfant !par the great pretender - DIVERS
Castel, lis le sujet, au lieu de dire des conneries !par the great pretender - DIVERS
All Africa, 16 mai 2004 La journée avait débuté lentement. Un premier bus arrive aux environs de 09h00 devant La Casa de Espana, trouvant un comité d'accueil plutôt restreint avec des drapeaux et des couleurs. L'ambiance ressemble fortement à celle des jours qui ont suivi le 16 mai 2003, à la différence près que les séquelles des ignobles attentats de ce triste soir ont disparu et qupar the great pretender - DIVERS
Georges Brassens, Maman, maman, en faisant cette chanson, Maman, maman, je redeviens petit garçon, Alors je suis sage en classe Et, pour te faire plaisir, J'obtiens les meilleures places, Ton désir. Maman, maman, je préfère à mes jeux fous, Maman, maman, demeurer sur tes genoux, Et, sans un mot dire, entendre tes refrains charmants, Maman, maman, maman, maman. Papa, papa, en faisant cettepar the great pretender - DIVERS
Encore une fois je me laisse aller à faire des étoiles trop grandes. Van Goghpar the great pretender - DIVERS
Quand elle arrivait par l'escalier de bois sonore, elle frôlait les feuilles d'une branche basse. La branche tremble encore. Léon-Paul Fargue.par the great pretender - DIVERS
"Longtemps, je me suis couché de bonne heure" Marcel Proust, Du côté de chez Swannpar the great pretender - DIVERS
3)Quant à l'amour narcissique, il en faut comme tu dis, un minimum... heureusement... l'Amour vient nous transfigurer...par the great pretender - DIVERS
Merci Charly d'aborder la question en expert. Voilà un sujet sur lequel on aime s'étendre. Pour ma part, j'aimerais illustrer 1) l'amour-don tel que le conçoit Chichportiche dans sa lettre aux Dafinautes :par the great pretender - DIVERS
personnellement, je préfère : "JE T'AIME, DONC JE SUIS" de Great Pretender chacun ses références...par the great pretender - DIVERS
Printemps Le vent calmé, les fleurs tombent encore. aphorisme zenpar the great pretender - DIVERS
Hiver Neige qui tombais sur nous deux es-tu la même cette année? Matsuo Bashô, 1644-1694par the great pretender - DIVERS
Automne Telle la main droite d'une sage-femme, la feuille d'érable en automne. Samboku, 17ème sièclepar the great pretender - DIVERS
Eté Sous la pluie d'été raccourcissent les pattes du héron. Matsuo Bashô 1644-1694par the great pretender - DIVERS
Haïkus, poèmes courts japonais Printemps Sous un voile de lune ombre de fleur ombre de femme ! Soseki Natsume 1867-1916par the great pretender - DIVERS
Cette nuit à partir de quatre heures Théâtre Magique -seulement pour les fous- L'entrée coûte la raison.par the great pretender - DIVERS
ce n'était vraiment pas mon but. Bon, j'abrège. Message modifié (04-07-2004 18:53)par the great pretender - DIVERS