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14/01/02

Vous pouvez maintenant consulter Dafina.net en anglais a https://www.dafina.net/homeenglish.htm 


14/01/02

Bonjour

je suis sandra et je recherche la recette de ces fameux gateaux que l'on trouve que dans certaine epicerie
je ne sais pas non plus comment ils s'appelent, mais ils sont tres gras avec du feuilletage et comme des amandes et un melange de miel au milieu.
merci beaucoup si vous pouvez me renseigner

sanisa [sanisa@wanadoo.fr


14/01/02

NOMS DES JUIFS DU MAROC

Wahnich , Ouahnich 

EW631@aol.com 


14/01/02

Recherche Genealogique

Je recherche toutes informations sur les familles Assayag, Assaraf, Hadida, Ben-Shitrit et Laredo pour completer mon arbre familial, poste a www.geocities.com/michelassayag/  Merci de m'envoyer ces informations a michel@teracross.com 

Michel Assay, Jerusalem, Israel


14/01/02

THE SCENT OF ORANGE BLOSSOMS

Bonjour:

Nous sommes auteures d'un livre de cuisine sur la cuiisine juive marocaine, intitule The Scent of Orange Blossoms: Sephardic Cusine from Morocco (Ten Speed Press, Berkeley, CA).

Ii est en anglais, pour le marche americain. Vous pouvez le voir sur Amazon.com. ou sur mon site, www.kittymorse.com (ex-beidaouia)

Ma co-auteure, Danielle Mamane, vit a Fez.

Kitty Morse

kitty morse [kmorse@adnc.com


14/01/02

Si je vous dis Akash ? (info # 010801/2)

Par Stéphane Juffa @ Metula News Agency

« Akash » c’est le nom du missile de pointe de l’armée indienne. Il fait partie intégrante du système de défense « Rajendra », que l’Inde a établi le long de sa frontière avec le Pakistan. Là où ces informations deviennent vraiment intéressantes, c’est lorsqu’on veut bien les replacer dans le bras de fer global, qui se joue ces jours entre les nations occidentales responsables et les pays influencés par l’Islam politique et par le panarabisme. Cette analyse devenant pointue et même cruciale, lorsqu’on considère que le Pakistan est une puissance nucléaire.

Le Pakistan est un pays islamique et politiquement instable du tiers monde qui possède l’arme atomique, ainsi que les fusées pour s’en servir. Cette constatation était suffisamment préoccupante, pour précipiter les Indiens et les Israéliens, ceux-ci dans les bras de ceux-là. Même si pendant de longues années, l’unique lien positif qui unissait les deux nations, se cristallisait autour de la personne du chef d’orchestre indien de génie, Zubin Metha. Le Maître Metha a été nommé chef d’orchestre principal à vie de l’Orchestre philharmonique d’Israël et tant son talent que son courage durant les moments les plus difficiles de l’État hébreu, en ont fait une des personnes les plus appréciées à Tel Aviv.

Cette fois, c’est une autre sorte de musique qui a rapproché les deux États et la partition qu’ils jouent ensemble n’a rien d’un concert philharmonique. Au plan tactique, l’Inde avait besoin d’un bouclier anti-missiles, pour éloigner les Pakistanais de la tentation d’une attaque nucléaire surprise. La chose étant d’autant plus cruciale, qu’une telle attaque suffirait à rayer de la carte la moitié de la population indienne, qui se trouve concentrée dans trois conurbations principales. Or les missiles balistiques de la première génération, de conception russo-coréenne, dont dispose le Pakistan suffisaient à entretenir cette terrible menace. L’Inde n’avait absolument aucun moyen de défense à opposer à une éventuelle première frappe de son voisin occidental. La seule puissance qui dispose d’un système anti missile opérationnel, capable de détecter et d’intercepter des fusées balistiques, c’est Israël. Israël a en effet développé le système appelé « Pin vert » pour faire face aux menaces des missiles Scud iraquiens, syriens et iraniens. Ce sont les États-Unis qui ont financé les deux tiers du programme, se réservant le privilège d’utiliser la technologie israélienne afin de produire leurs propres équipements.

Côté israélien, l’intérêt d’une collaboration avec l’Inde était double. D’une part il donnait l’occasion de déployer le Pin vert en situation opérationnelle, ce qui, pour un nouveau système et une technologie révolutionnaire, pourrait s’avérer prédominant au moment où Israël ou un de ses alliés occidentaux en aurait besoin. D’autre part, cette collaboration dote les Israéliens et les Américains, qui ont donné leur bénédiction à la coopération indo-israélienne, d’un promontoire avancé, permettant de suivre à la trace les développements stratégiques qui pourraient se dérouler à Islamabad.

L’autre aspect de la coopération indo-israélienne s’inscrit dans l’optique de la lutte contre le terrorisme islamique. Outre le fait que ce terrorisme s’est largement internationalisé et qu’il vise tous les régimes non-islamiques du globe, il existe de nombreux caractères communs entre Yasser Arafat et le Président pakistanais Pervez Musharraf. Tous deux se singularisent par un double discours politique comprenant les mêmes éléments contradictoires Tous deux tenant des propos anesthésiants et rassurants par rapport à l’Occident, alors qu’ils ont instrumentalisé l’arme du terrorisme comme moyen militaire. Autre point commun des deux leaders, la différence qu’ils s’évertuent à proclamer entre les mouvements de libération nationaux (du Cachemire et de Palestine) et leur condamnation théâtrale du terrorisme. Sauf que dans les deux cas, les organisations terroristes sont créditées de finalités révolutionnaires justifiables par Arafat et Musharraf (et Védrine), ce qui contribue à leur offrir une immunité politique et à permettre de continuer de les utiliser.

Dans les deux cas, l’irresponsabilité des responsables politiques pakistanais et palestinien et leur jusqu’au-boutisme  met l’équilibre du monde en danger. Leur postulat territorial s’établit sur le principe du « Wakf », des territoires colonisés par l’Islam dans le passé, qu’il est « impossible » de re-céder à d’autres nations jusqu’à la fin des temps. C’est ce mélange explosif de relativité politique et de vision religieuse qui rend impossible la solution des deux conflits et qui entretient perpétuellement les foyers incendiaires entre l’islam et ses voisins d’autres croyances. Sauf, encore une fois, que dans les cas de l’Inde et du Pakistan, les deux protagonistes sont des puissances nucléaires et que le danger d’un conflit prend ainsi des proportions apocalyptiques.

C’est donc sur ces bases, que les Israéliens encadrent l’appareil indien de lutte anti terroriste et que, d’autre part, ils ont intégré Pin vert dans le système Rajendra ou le système Rajendra dans Pin vert, ce qui ne fait pas une grande différence. Ce qui est significatif, comme l’a révélé notre excellent confrère « The Hindu », c’est que le système de protection israélien est entièrement déployé aux abords de la frontière pakistanaise. Il est déterminant, en cela qu’il dote l’armée indienne de la capacité inestimable de « la deuxième frappe » en cas d’agression nucléaire pakistanaise. En effet, si le Pakistan se mettait en tête de lancer ses ogives sur l’Inde, les experts occidentaux s’accordent à penser, que les Arrow (fusées anti missiles) israéliens, intercepteront tout ou partie des bombes atomiques pakistanaises et permettront aux Indiens de lancer une contre-attaque, dont l’ampleur et la nature seraient en rapport avec les dégâts causés. Ce qui est important, ça n’est pas tant la résultante militaire en cas d’attaque réelle, mais c’est surtout l’effet dissuasif que procure à l’Inde le privilège de la deuxième frappe, lors des négociations en cours avec le Pakistan. Le Président Musharraf étant contraint de garder constamment à l’esprit, qu’une attaque nucléaire lancée par son pays pourrait se solder par un fiasco total et que le Pakistan se trouverait alors, les culottes baissées, devant l’armée indienne, largement supérieure en hommes et en moyens militaires.

A la Ména, nous n’envisageons pas sérieusement, que dans l’équilibre actuel des choses, le Pakistan se lance dans une agression nucléaire contre son voisin indien. Nous sommes plutôt préoccupés par l’instabilité du régime de Pervez Musharraf et par l’influence énorme des tenants de l’islam conquérant dans son pays. Le grand problème du monde, dans sa gestion de la question musulmane, c’est qu’il a affaire à un principe dogmatique vivide et que ce principe ne s’entend pas sans la conquête des autres nations. L’islam sans l’élément de conquête et de suprématie n’est plus l’islam et c’est cet axiome simple, que je propose aux sceptiques d’envisager. Je me contente d’affirmer, comme corollaire explicatif à cette proposition, que si les tentatives des Palestiniens de s’emparer des terres d’un autre peuple et celles des Pakistanais de conquérir le Cachemire cessaient, les Indiens et les Israéliens ne tireraient, instantanément, plus un seul coup de fusil.

Ce qui inquiète encore M. Shimon Pérès, c’est la dotation de l’Iran en armes non-conventionnelles et nucléaires. Et il a bien raison, M. Pérès, de s’inquiéter ! Selon les évaluations conservatrices dont nous disposons à Métula, l’Iran possédera certainement l’arme nucléaire en 2005 et il dispose déjà des missiles coréens, capables de les propulser à 1300 kilomètres de distance. Je crains l’intelligence maléfique des Ayatollahs de Téhéran. Ils sont à mon avis capables de feindre la coopération avec l’Occident pendant ces quelques années qui leur manquent et de lui poser, par la suite, un problème stratégique insurmontable. Le fond de commerce de l’Iran, c’est l’extension planétaire de l’islam et il vaudrait mieux ne jamais l’oublier, même si cette perspective devait mettre en demeure les analystes occidentaux d’échafauder des contre-stratégies douloureuses et coûteuses. Le Vice-ministre iranien des affaires étrangères, M. Sadek Kharazi, a déclaré hier qu’il suffira bientôt d’une seule bombe atomique pour éradiquer Israël. Il a ajouté que l’implication israélienne dans le sous continent indien (aux côtés de l’Inde) représentait un grand danger pour tous les États islamiques. En cela, il a parfaitement raison, l’aide technologique qu’Israël peut fournir aux victimes de l’expansion islamique est de nature à la ralentir !

Pour la stopper, il faudra que l’Occident se mobilise dans son entièreté et qu’il réponde à l’analyse de M. Pérès de façon responsable. Ce qui nous fait froid dans le dos, sous les neiges de Métula, c’est que le Monde, Libération, l’Huma et l’Obs stigmatisent, en se moquant, l’initiative de sensibilisation à la menace iranienne, dont se fend Shimon Pérès. Ils croient peut-être que cette menace n’est pas réelle ? Ou qu’elle ne regarde qu’Israël ? Ou encore, ces grands analystes sont-ils persuadés des intentions pacifiques des Ayatollahs ? Moi, pour ne rien vous cacher, je tremble à l’idée qu’un régime qui a exécuté 4.000 personnes accusées d’homosexualité depuis 1979, va très bientôt disposer de la bombe atomique ! L’éloignement géographique, la paresse intellectuelle et l’ignorance des faits engendrent peut-être l’apparence de la sécurité ; toutefois ils n’ont jamais fait l’économie de la compréhension et il n’ont jamais vraiment mis les fats à l’abri des menaces.         


14/01/02
Sujet: bouskila

je recherche 2 amis ( des jumeaux) Jacky et David Bouskila
Elkaim David

 

14/01/02

dans la liste des noms il manque SERERO ET ENCAOUA

Djdudu3@aol.com 


 

        

 

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Repas traditionel du chabbat, ce mets a base de ble, pois chiches et viande etait cuit toute la nuit dans un four ferme a basse temperature. Le mot vient de l'Arabe dafina/adafina qui veut dire "couvert, etouffe".

 

 


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