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02/12/02

Je ne trouve pas le nom Shriqui

Maurice Shriqui


02/12/02

Ce site est ouvert pour toutes les communautés sans distinctions aucunes.vive la paix


02/12/02

Après le massacre de Mombasa



La bêtise humaine donnait une idée de l’infini; aujourd’hui, l’ignominie aussi. J’en tiens pour preuve Radio France International (RFI) qui a présenté le massacre de Mombasa comme une « atteinte aux intérêts israéliens ».

Cette scandaleuse expression traduit bien tous les tics du journaliste (non, il n’y a pas de faute d’orthographe). Pour son auteur, point de sentiment d’horreur à l’égard des massacrés, Israéliens ou Kenyans. Pas même de compassion. Par contre, le dérapage le plus antisémite puisque le journaliste évoque les « intérêts » donc … l’avidité, la cupidité, en un mot le sempiternel dénigrement du Juif par …sa recherche de l’argent.

Penser que RFI est censé représenter la France dans le monde et que les autorités diplomatiques ne se privent pas d’intervenir dans cette station de radio ! Que sera alors la future chaîne d’informations (un CNN à la française) qu’ambitionne Jacques Chirac ?

Et dire que, lors de sa rencontre avec Ariel Sharon à Paris, le président français avait osé citer comme source de ses informations, les …..médias. C’est à en … pleurer !

Michel Grinberg


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02/12/02

RABBI HAIM LOUK

I would like to know why Rabbi Haim Louk is not shown under the list of musicians in the "Jewish Moroccan Music" section.
Please reply.
Thanks,
Dan Louk


02/12/02

UN NOUVEAU NOM 

Bensmihen - Bensmihan

Lison Bensmihen


02/12/02

UN NOUVEAU NOM 

Hamou : De l’arabe Ham quit veut dire Chaleur

Yahel Hamou


02/12/02

Sept mensonges sur Jénine 

Dr David Tsangen/ paru dans le journal Maariv le 8 novembre 2002
Traduit de l'hébreu par Nicole Baranes - Israël, pour "Etoile-liante"


David Tsangen a assisté à la projection du film “Jénine Jénine” et est revenu choqué.


J’ai vu le film “ Jénine Jénine” de Mohammed Bakri dans un forum restreint avec la directrice de la cinémathèque de Jérusalem Lia Van Leer et quelques journalistes.

Au terme de la projection privée de ce film, j’ai réagi et ai dénoncé les mensonges un par un ainsi que le manque d’exactitude.

Une des participantes est intervenue avec colère “Si vous n’acceptez pas les faits de ce film, apparemment vous ne comprenez rien et comment est-il possible que vous soyez un médecin?”

Durant un court instant, j’oubliais que je me trouvais à Jénine au mois d’avril dernier. Je servais alors en tant que médecin de la division régionale et cette honorable spectatrice se nourrissait tout au plus de rumeurs.

Bakri tisse en même temps des mensonges et des demi vérités avec une main d’expert telle qu’il est très difficile de ne pas se laisser séduire par l’image déformée qu’il produit.

Je n’ai pas réussi à convaincre la direction de la cinémathèque d’annuler la projection. On m’a dit que les images des maisons détruites étaient authentiques, c’est pourquoi il y a une part de vérité dans le film et puis de toute façon le film sera projeté dans le monde entier.

J’ai été invité a la première du film a Jérusalem et j’y ai participé afin d’exposer ma position.

Voici quelques points que j’ai voulu présenter au public.

1) Le directeur de l’hôpital de Jénine, Docteur Abou Ralli affirme dans le film que l’aile ouest de l’hôpital a été bombardée et détruite et que Tsahal (l‘armée israélienne) a intentionnellement touché l’alimentation en eau et électricité de l’hôpital.
Non seulement il n’existe pas mais il n’a jamais existé d’aile ouest de l’hôpital. Et de toute manière aucune partie de l’hôpital n’a été bombardée et encore moins été la cible de tirs.
Les soldats de Tsahal ont justement veillé à ne pas pénétrer dans cette zone bien qu’elle servait d’abri à des terroristes recherchés.
Nous avons fait en sorte que l’hôpital ne manque pas d’eau, d’électricité et d’oxygène pendant tout le temps des combats. Nous avons même aidé à l’installation d’un générateur d’urgence lorsque le système électrique de la ville fut détérioré. Bakri lui même apparaît dans le film dans les couloirs entretenus et propres de l’hôpital mais pas dans le secteur soi-disant bombardé. Je lui ai demandé s’il avait visité l’aile ouest de l’hôpital. Au début il m’a répondu que non et tout de suite après il s’est repris: “attendez, vous souvenez vous de la vitre qui s’est brisée dans le film? Elle vient de là-bas.”
Il est important de préciser qu’Abou Ralli fait office de source autorisée en ce qui concerne le fondement de la thèse du massacre.
Au début de l’opération il avait été interviewé à la station de télévision “Al Jazira” et avait fait état de “milliers de morts”.

2) Un autre extrait impressionnant du film rapporte l’interview d’un habitant de Jénine âgé de 75 ans qui pleure amèrement et raconte qu’il a été extrait de son lit en pleine nuit, qu’on lui a tiré dans la main, et qu’après n’avoir pas réussi à obéir aux ordres des soldats lui intimant de se lever, a été blessé à son pied par balle.
J'ai rencontré cette vieille personne. On me l’a amené après l’opération de désinfection d’une des maisons du Hamas dans le camp des réfugiés. Il était en effet légèrement blessé à la main et souffrait d’une égratignure à son pied qui ne provenait en aucun cas d’un tir de balle. Les soldats de Tsahal l’ont transporté à un poste protégé et sûr pour s’occuper de ses blessures et il a été soigné en partie par moi. Un des médecins militaires a diagnostiqué chez lui une insuffisance cardiaque.
Nous avons tout de suite proposé de le transporter à l’hôpital d’Emek Afula. Il a demandé à être pris en charge à hôpital de Jénine pour la raison qu’il ne connaissait pas bien l’hébreu. Après que l’hôpital de Jénine ait refusé de le prendre, nous l’avons transporté à Afula. Il est resté trois jours dans le service interne de hôpital pour des soins relatifs à son problème cardiaque et une anémie dont il souffrait suite à une autre maladie chronique.

3) Une autre personne interviewée dans le film fait mention d’un bébé qu’une balle de fusil a atteint à la poitrine, a traversé son corps et a laissé un trou dans son dos.
Toujours d’après le film, le bébé est décédé suite à l’empêchement des soldats à le transporter à hôpital.
Le corps d’un tel bébé n’a jamais été trouvé. De plus, si une telle blessure s’était produite, il est évident qu’elle aurait été mortelle et par conséquent son transport à hôpital n’aurait pas sauvé sa vie.
Quel est le nom de ce bébé? Ou a disparu son corps?

4) Cette même personne interviewée rapporte aussi qu’avec son doigt il a ouvert un conduit d’air dans le cou chez un enfant blessé lui permettant de respirer.
De nouveau fabulation absolue: ce type d’action est impossible a l’aide d’un doigt.
Ce même “témoin” raconte que des tanks ont écrasé des gens vivants, allant et venant sur les corps jusqu’à compression totale. Pur et simple mensonge!

5) Le film fait mention de fosses communes que Tsahal a creusés aux morts palestiniens.
Toutes les instances internationales qui ont enquêté a ce sujet sont d’accord pour affirmer qu’à Jénine il y a eu 52 morts palestiniens et que tous les corps ont été remis aux palestiniens afin d’être enterrés.
Bakri ne se donne pas la peine de montrer l’emplacement des dites fosses.

6) Le film prétend que des avions israéliens ont bombardé la ville.
C’est faux. Afin d’empêcher au maximum des victimes civiles, l’armée s’est servie d’hélicoptères au tir précis.

7) Bakri n’était pas présent à Jénine au moment de l’opération “Mur de Protection”. Il est arrivé à Jénine seulement deux semaines après la fin de opération.
Dans les photographies qu’il a prises, il montre un terrain détruit du centre de la ville de telle manière qu’il semble beaucoup plus grand que ce qu’il n’est en réalité. De plus on ne voit pas les photos des shahids et les slogans du Djihad qui remplissaient les murs au moment de opération.
Le film fait encore et toujours une manipulation des images de tanks qui ont été photographiés dans d’autres endroits et les racole de façon artificielle à des photos d’enfants palestiniens.
De façon générale il s’agit d’une manipulation grossière même si elle est bien faite.

A la fin de la projection du film des centaines de spectateurs ont applaudi longuement Bakri et le monteur du film. Bakri s’est tourné vers l’auditoire et a demandé s’il y avait des questions. Je me suis présenté, je suis monté sur l’estrade et j’ai commencé à recenser de façon systématique les mensonges et les inexactitudes du film.
Au départ il y avait des murmures dans le public et puis ont commencé des insultes. On me traita d’assassin, de criminel de guerre etc.…
Je n’avais pas encore terminé d’exposer le deuxième point qu’une personne de l’auditoire est montée sur l’estrade. Elle était très agressive et a essayé de m’arracher le microphone de la main. J’ai décidé de ne pas céder à la violence; je l’ai laissé prendre le microphone et suis descendu de l’estrade. J’étais surpris de constater qu’une faible poignée de gens se sont élevés contre cette atteinte au droit à la parole et à la liberté d’expression.

J’étais choqué de voir que le public n’était pas prêt à écouter les faits rapportés par une personne qui était présente au moment de l’opération.

J’ai eu de la difficulté en tant qu’homme et du mal en tant que médecin d’entendre cette insulte “assassin” de la part de gens de mon peuple.

J’ai dit que je n’ai assassiné personne mais les appels se sont enflammés et une haine indescriptible fut dirigée contre moi.

Une sensation dure m’accompagne et ne me quitte pas depuis. Je ne regrette pas d’être venu à la cinémathèque ce même soir.

Je suis convaincu qu’il y a eu des gens qui m’ont entendu et à qui j’ai changé le sentiment par rapport aux “faits” contenus dans le film.

Je suis sûr qu’il y a eu d’autres gens qui étaient consternés du manque de tolérance qu’a montré le public et malgré cela il m’est dur de constater qu’ils étaient une minorité silencieuse.

Permettez moi d’exprimer ce que je n’ai pas réussi a dire ce même soir a ces personnes insufflées de haine.

Je suis fier d’avoir fait partie des forces excellentes et morales qui ont opéré à Jénine; des soldats en service et des réservistes plein de motivation et d’esprit de combat qui sont allés détruire l’infrastructure du terrorisme dans son fief.

De Jénine sont sortis beaucoup de kamikazes qui ont tué dans les rues de nos villes: des hommes des femmes et des enfants.

Je suis fier que nous ayons été là-bas et que nous ayons combattu. Je suis fier aussi de notre conduite morale tout au long des combats. Le camp n’a pas été bombardé par les avions pour empêcher la tuerie de civils innocents. Nous n’avons pas utilisé non plus l’artillerie bien que connaissant les zones exactes du camp où se barricadaient les terroristes.

Les soldats se sont battus contre les terroristes et uniquement contre eux.

Précédant la démolition d’une maison de laquelle provenaient des tirs dirigés contre nos soldats, nous lancions plusieurs avertissements et donnions aux terroristes la possibilité de sortir indemne.

L’équipe médicale a porté de l’aide à tous les blessés même s’ils portaient des tatouages du Hamas sur les mains.

A aucun moment n’a été empêché le secours médical.

Ce combat a la fois héroïque et moral nous a fait payer un prix très cher car nous avons perdu parmi les meilleurs de nos combattants!

Nous qui étions là-bas, ceux qui sont tombés au combat, leurs familles et Tsahal ne méritons pas que Mohammed Bakri incite le monde au meurtre et la haine.


02/12/02

Où puis-je me procurer de l'extrait de fleur d'oranger ?
A l'occasion d'un voyage au Maroc, j'avais pu en ramener.

yvette.niaf@wanadoo.fr 


02/12/02

bonjour,
pouvez vous nous faire conaitre la recette de la chalat de fes.
avec nos remerciement et a vous lire.ou comment voir les recette dans votre page de dafina

lsaga@prodigy.net.mx 


02/12/02

1200 JUIFS, ESPAGNOLS, GITANS SAUVES DE LA MORT (1940-1944) : FR3 MARDI 3 DECEMBRE. SERIE " LA CASE DE L'ONCLE DOC " - LA MATERNITE D'ELNE-PERPIGNAN. Une Institutrice de 25 ans, Bénévole Suisse, sauve 600 Mamans et leurs 600 Bébés. Maternité proche des camps de concentration français où Elisabeth EIDENBENZ (Médaille des Justes parmi les Nations) sauve 1200 êtres humains… Information : CDJC (Mémorial Juif) : 01 42 77 44 72 (matin) Mail : contact@memorial-cdjc.org = Communiqué de Wladimir Zandt, sauvé grâce à Elisabeth EIDENBENZ, Journaliste, Editeur, Professeur d'Université Paris. Bénévole : Protection de l'Enfance et des Droits de l'Homme. (Europe et USA : Universités, Lycées, Associations). POUR LES LYCEENS, ETUDIANTS, ASSOCIATIONS : son Livre-Web de 40 pages avec photos et archives : www.europeanracism.com  + Email pour une réunion avec les jeunes : wladimir.zandt@europeanracism.com 


02/12/02

CAT 2002 ANNOUNCES LAUNCH OF ANTI-TERRORIST ORGANIZATION & WEBSITE


WESTON, Fla…Stepping forward to actively thwart terrorism, the Coalition Against Terrorism (CAT 2002) announces the launch of its organization and website. According to its director, Jerry Bass, “This organization is dedicated to the memory of a young woman, Adi Shiran, one of many innocents, whose lives were savagely cut short by the decades long campaign of terrorism to destroy the State of Israel. Since 9/11, the threat of terrorism now haunts everyone, anywhere in the world, at anytime.”

Vowing not to remain helpless in the face of terrorism, CAT 2002 is a non-profit organization that has been created to do whatever it takes to make this a safer world for everyone – our children, our families and the world family. Aimed not only at the individual suicide bombers who are responsible for countless atrocities against innocents, CAT 2002 is targeting those terrorist organizations whose activities are funded by a secret network of terrorist cells, sovereign nations, international UN organizations and Islamic “charities” – all fronts in a worldwide terrorist campaign. CAT2002 believes that the time is now for all members of this terrorist network to be held accountable under U.S. and international law. In order to do this, CAT 2002, an organization based in Weston, Fla., needs your support in bringing this terrorist infrastructure to justice. To find out how you can become involved or to learn more about CAT 2002, e-mail them at info@cat2002.org or visit their website at:

https://www.cat2002.org 


 

        

 

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Repas traditionel du chabbat, ce mets a base de ble, pois chiches et viande etait cuit toute la nuit dans un four ferme a basse temperature. Le mot vient de l'Arabe dafina/adafina qui veut dire "couvert, etouffe".

 

 


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