02/06/03
- Sujet: reponse a meiguira
ecrivez moi a mon adresse
j ai certeinement des renseignements a vous donner merci robert
rbittoun@hotmail.com
02/06/03
- Sujet: les juifs marocains
je suis un jeune marocain musulman , j'étais vraiment surpris je l'étais vraiment quand j'ai lu sur l'histoire des juifs au maroc et le grand role qu'ils ont joué dans l'histoire et la culture marocaine , j'admire ce grand role , en meme je crois que nous avons de sensibiliser les gens et surtout les marocains , leur dire la verité , il faut écrire il faut parler , les juifs au maroc aident les gens , aident le commerce et l'economie marocains
je vous passe un grand bonjour et je vous dis que le maroc sera votre pays pour toujours et nous sommes tous contre l'ignorance le terrorisme
karim
paradise_angel20@yahoo.fr
02/06/03
- Sujet: ben-shabat familly
to mister abraham D.ben-shabat as you can see
my name is ben-shabat to, maybe we are familly
my fathers name habib(emile) ben-shabat is
origine from essouira y dont no about my grandfather it well be a plaisir to change
information about the name if you are interested
my mail milob@zahav.net.il best regards
salomon (sani)benshabat.
02/06/03
J'ai été fortement ébranlé et choqué par ce qui s'est passé. Je me sens solidaire à la communauté juive marocaine, il touche ce que l'histoire a tissé entre nos communautés depuis des siécles. Je ne veux pas que des barbus détruisent ces liens. Je ne tiens pas à ce qui est un amalgame entre musulmans et intégrisme, en tant que casablancais franco-marocain musulman.
J'experime toute mes condoléances à tous les marocains et surtout à la communauté juive
Najib EL RHARBI
02/06/03
ici un site de mazagan pour les juifs jdidi
https://www.rusibis.com/
encore un radio de music marocain https://141.149.174.27:8000/listen.pls
et encore pour les juifs casablancais quelques chansons de rap casablancais en marocain https://membres.lycos.fr/omarovski/music/
02/06/03
- Sujet: ATTENTAT DE CASABLANCA
D ORIGINE DE CASA VIVANT EN FRANCE J AI ETE CHOQUE ET MEURTRI CONCERNANT L ATTENTAT DE MA VILLE CHERIE DONT J AI PASSE MA PLUS BELLE JEUNESSE ET DONT ENCORE AUJOURDH UI J EN GARDE UN SOUVENIR INOUBLIABLE. JE ME LIE AVEC TOUTES LES PERSONNES RESIDANT AU MAROC POUR CONDANER CET ATTENTAT.QUE CELA NE SE REPRODUISE PLUS A JAMAIS. AMEN.
ALBERT
02/06/03
Incendie d'une épicerie cachère - Créteil
Le 28 mai 2003 vers minuit un incendie a eu lieu dans une épicerie cachère, du centre commercial Kennedy à Créteil, dénommée HYPER ZOL..
[...]
Rappelons que précédemment un salle de classe de l'école Ozar Hatorah a été incendiée, et que des membres de la communauté son régulièrement victimes d'agressions.
02/06/03
- Sujet: amis marocains de tout le maroc nous sommes avec vous
tout d'abord merci pour ce site qui permet a tous les marocains du monde entier a rester en contact.
je suis d'origine marocaine je vi en israel mais ma sympatie et mon estime pour le maroc est immense.
nous avons suivis avec beaucoup de peine les attentats a la television oui nous voyons le maroc en israel par les cables et la parabole.
il y a environ un million plus ou moins de marocains en israel et de ce pays qui nous a vu naitre je suis moi meme de casablanca ( et j'en suis fiere)nous gardons le folklore, la culture, l'art les couleurs le style les traditions la langue et sachez que il y a plus de 50% a la kneset qui sont marocains il y a des diplomates des docteurs des avocats des ingenieurs .....bref nous formons une tres grande famille la famille des marocains nous avons nos restaurants nos epices notre fete nationale marocaine la mimouna le lendemain du 7 eme jour de paques juive.
nous fetons le mariage marocain la henna un jour avant le mariage juif.
et tout ca c'est grace a vous marocains musulmants qui nous avez permis de garder nos coutumes et nos traditions pendant 500 ans.
c'est vous qui nous avez accueilli lorsque l'inquisition et c'est avec vous que nous avons vecu pendant tout ce temps et on ne peut pas oublier votre gentillesse vos rois
mohamed v et ensuite hassan II
qui nous ont traiter en freres
il y a a ashdod une ville d'israel un palais royal, identique a celui du roi a marrakhech.
et le palais s'appele la mamouni et le roi hassan II a envoye 600 ouvriers et ingenieurs du maroc pour diriger la construction et voila encore un simbol de fraternite.
et pendant une semaine lorsque notre charmant roi hassan II est mort dans ce palais de la mimounia a ashdod au centre d'israel il y avait le drapeau marocain en berne et il y avait un livre d'or pour que tout les marocains d'israel viennent partager leur sincere douleur,
le jour de l'annee de la mort de notre charmant roi hassan II israel a sorti un timbre a la memoire du plus grand ami d'israel il etait tres ami avec simon peres.
et chers amis marocains esperons que jamais vous ne soyez dans le besoin .
mais sachez aussi que si vous avez besoin de quoi que ce soit tous les juifs du monde seront la a vous servir ,
on oubliera jamais nos moments de voisinage parfaits.
j'embrasse par la meme ocasion une petite marocaine de paris AJIGLEILA.
amicalment votre
SOLY ANIDJAR
soly_anidjar@yahoo.fr
02/06/03
À l'ESSEC, grande école de commerce de Paris, une exposition-manifestation où le responsable du Jihad islamique de Jénine est traité en « martyr »
Lorsque la prestigieuse École Supérieure des Sciences Économiques et Commerciales (ESSEC) ouvre ses portes à Paris, mercredi 21 mai, ses étudiants découvrent une exposition de photographies intitulée « Les nouvelles portes de Jérusalem - Apartheid Isreal ». Sur les panneaux de l'exposition, on apprend que « l'emprisonnement et la torture sont des constantes de la politique israélienne » et que les Palestiniens subissent un « sociocide »… Récit.
+++
Article complet : https://www.proche-orient.info/xjournal_pol_rep.php3?id_article=13270
02/06/03
La guerre de Syrie n’aura pas lieu (info # 013005/3 [analyse]
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
La campagne d’Irak, ainsi que la décision du Président Bush d’instaurer un ordre nouveau au Moyen-Orient, ont pour effet de créer un immense et véritable chambardement dans le statu quo qui prévalait dans la région depuis de nombreuses années. Ca n’est pas seulement à l’établissement d’un nouvel ordre stratégique que nous assistons mais également à une nouvelle donne des paramètres économiques de base pour les pays de notre zone. Et cette fois-ci, l’amplitude des changements est telle, qu’elle a le pouvoir, à elle seule, de condamner des régimes à l’engloutissement autant que d’en propulser d’autres vers l'espérance d’améliorations majeures.
Lorsque les émissaires américains frappèrent à la porte de la dictature alaouite de Syrie, deux jours après le terme de la campagne d’Irak, ce fut d’abord afin de menacer le Président Assad d’une action militaire imminente, dans le cas où il ne transférerait pas – sans conditions – tous les dignitaires du régime déchu de Saddam Hussein auxquels il avait procuré un abri. L’ultimatum US porta ses fruits, puisque Damas est toujours en train de remettre tous ces réfugiés à la CIA, selon un agenda convenu entre les parties. A ce titre, la Ména se permet d’affirmer que c’est presque tous les chefs du régime irakien qui au moment de l’ultimatum avaient déjà bénéficié de l’hospitalité de Béchar El-Assad, ce qui explique qu’à chaque fois que l’Administration US annonce la capture d’une nouvelle carte à jouer, elle ne peut donner aucun détail sur les conditions de ladite capture. En fait, à part deux exceptions qui nous sont connues de personnalités réellement appréhendées en Irak, toutes ont été livrées, pieds et poings liés, aux services américains par nos voisins du Nord-est. Et les livraisons se poursuivent sans anicroches.
Le second volet des exigences de Washington concerne le Liban, la fin de l’instrumentalisation par Damas des organisations terroristes en tant qu’outils politiques, ainsi qu’un changement d’attitude radical à propos des perspectives de paix arabo-israéliennes et de la pacification de la région en général.
Autant l’affirmer tout de suite, la Syrie, mais aussi l’Iran, sont en voie d’obtempération stricte du diktat de la Maison Blanche. Ce qui permet au général Michel Aoun, dernier dirigeant légitime du Liban indépendant, d’assurer, après la Ména, que l’évacuation de son pays par les forces de Damas est proche et qu’elle est inéluctable. Sur le terrain aussi, devant nos fenêtres, on assiste aux actes préparatifs du déploiement de l’armée libanaise à notre frontière. Cette semaine, par exemple, l’Iran et la Syrie ont fait retirer à leurs supplétifs islamistes du Hezbollah toutes les armes lourdes de la bande frontalière. Il s’agissait de mortiers à portée moyenne ainsi que de missiles terre-terre qui auraient pu atteindre les banlieues nord de Haifa.
Après le gel complet des activités des organisations terroristes basées à Damas, ce repli indique que Assad fera ce que les USA exigent de lui afin de se soustraire à l’épreuve de force qu’il avait imprudemment initiée avec le Président Bush.
Pour comprendre ce revirement, qui selon les sommations venues d’outre-Atlantique doit être totalement implémenté à la mi-août, il faut réaliser que ce que nous envisagions avant la guerre d’Irak, et qui prenait alors des allures de science-fiction, est devenu une réalité incontournable. Nous disions, rappelez-vous, qu’une fois l’Irak aux mains des Américains, la Syrie et l’Iran se retrouveraient géographiquement et économiquement isolés, au point que de nouvelles actions militaires s’avéreraient inutiles pour réformer leurs systèmes de gouvernements et pour achever ainsi le dépeçage des centres moyen-orientaux du fameux Axe du mal.
Et bien c’est fait. Cette prospective s’est réalisée. Le régime syrien, déjà en faillite économique avant la guerre, dépendait à hauteur de 50% de ses revenus de la contrebande d’armes et de pétrole avec Saddam Hussein pour assurer sa subsistance. Aujourd’hui, le pipeline amenant le pétrole de Babylonie à Lattaquié ne transpire plus la moindre goutte d’or noir. Dans le même temps, les ingénieurs américains, jordaniens et israéliens s’empressent à établir les plans de la variante de ce long conduit, qui fera transiter le naphte précieux par le port de Haïfa.
Dans ces conditions, pendant que l’Administration US accentue – et avec le même bonheur – ses pressions sur Téhéran, elle se trouve dans une situation de force inimaginable pour dialoguer avec la dictature syrienne. Vous aurez déjà saisi, ô lecteurs d’exception, que la survie dudit régime ne dépend pas de sanctions à venir que les Etats-Unis pourraient décréter au milieu de l’été mais d’un allègement urgent des sanctions engendrées de facto par la libération de l’Irak. En d’autres termes, nous avons là l’explication de l’imploration faite cette semaine par Farouk A-Shara, le ministre syrien des affaires étrangères, pour que son pays ainsi que le Liban soient intégrés à la feuille de route israélo-palestinienne. La même explication vaut pour la prière de Béchar El-Assad – rejetée par la Maison Blanche – de participer au sommet arabo-américain d’Egypte, même si cela aurait pu l’obliger à y côtoyer Ariel Sharon (le premier ministre israélien a refusé de participer à ce sommet, ne désirant pas renforcer le rôle de la diplomatie cairote lors des phases initiales de la Road Map). En Crète, lors de la réunion des pays riverains de la Méditerranéenne qui s’est tenue cette semaine, pour la première fois, les ministres syriens et libanais n’ont pas quitté la salle lorsque Silvan Shalom a prononcé son discours.
J’espère que cette petite étude permettra aux lecteurs de la Ména de saisir également la portée de la déclaration du Président Bush, d’il y a trois semaines, dans laquelle il parlait de la création d’une sorte de marché commun moyen-oriental et d’un allègement drastique des conditions de commerce avec les Etats-Unis pour les Etats qui y adhéreront. A l’époque et dans leur ignorance des données stratégiques de notre région, de nombreux commentateurs avaient publié des articles demandant ce que venait faire cette déclaration à caractère économique dans le chaos qui semblait régner dans notre partie du monde. La raison de cette intervention est pourtant limpide. Sans l’établissement d’un plan économique mitoyen de la Road Map, associé très rapidement à un programme de création de nouvelles économies, le régime syrien ne passera pas l’année et d’autres le suivront à la trappe à faible distance.
Hier, les Premiers ministres Mahmoud Abbas et Ariel Sharon ont qualifié leur entretien "d’excellent". En langage diplomatique, cela signifie que tous les objectifs de cette rencontre ont été atteints. Au temps pour la quasi-totalité de nos collègues, qui condamnaient dans l’œuf les chances de la Road Map et d’Abou-Mazen, qualifiant de fiasco complet les discussions initiales entre les deux hommes.
Et re-chapeau (nous allons finir par rester décoiffés, ce sera plus simple !) à Sami El-Soudi, qui était le SEUL analyste à dépeindre la première rencontre comme un franc succès et à annoncer l’existence d’une feuille de route parallèle connaissant une mise en chantier galopante. La semaine à venir va voir la réunion tripartite, en Jordanie, entre Abbas, Bush et Sharon. Hier, l’ambassadeur du Royaume Hachémite aux Etats-Unis annonçait la couleur en indiquant à Mahmoud Abbas que le temps était venu de désarmer le Djihad et le Hamas, ce qui laisse planer de lourds augures sur l’avenir du terrorisme palestinien.
Attendez-vous à entendre des choses surprenantes à Akaba. Ce sommet a été très bien préparé.