INFOS D'ISRAEL 6

Ce qui est le plus outrageant, c’est l’absence d’outrage (info # 012604/10) [Analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency

« Soixante-cinq ans après la Shoah, ce qui est le plus outrageant, c’est l’absence d’outrage ». De toutes les phrases prononcées au cours des dernières semaines, au cours d’une période où les journées de souvenir et de commémoration ont été nombreuses, en Israël et ailleurs dans le monde pour le peuple juif et ses amis, c’est celle qui m’a semblé la plus marquante et significative.

S’il y a quelque chose de profondément révoltant dans l’indifférence planétaire, c’est qu’elle est davantage une complicité inavouée qu’une indifférence.

Que soixante-cinq ans après la Shoah, un chef d’Etat puisse passer de propos négationnistes concernant la Shoah à des propos antisémites génocidaires, sans que cela ne suscite une indignation planétaire unanime, montre que, comme le dit la vieille phrase, la bête immonde n’est pas morte et continue, au contraire à vivre, sous diverses formes sur les cinq continents.

Que ce même chef d’Etat puisse avancer vers l‘arme nucléaire sans que cela ne suscite une mobilisation générale, ainsi qu’une inquiétude immense dans tous les pays démocratiques, montre que le consentement au pire n’a pas disparu et est, au contraire, aussi vif aujourd’hui qu’il l’était en 1938, au temps où Chamberlain et Daladier signèrent avec Adolf Hitler les accords de Munich.

Nous vivons une ère de veulerie où l’on peut, sans peine, distinguer ce qui se prépare et se fomente, et où une forme de consensus général fait qu’on n’en parle pas, ou très peu.

Si vous évoquez Ahmadinejad, le chef d’Etat dont il est question plus haut, en France ou ailleurs en Europe, on vous dira volontiers qu’il n’est pas fréquentable ; on prononcera des mots de réprobation morale, à la rigueur, puis on vous parlera de sanctions que l’ONU votera peut-être.

Si vous en parlez aux Etats-Unis, dans les grandes villes universitaires rongées par le politiquement correct, ce sera la même chose. Seuls les milieux conservateurs américains s’inquiètent et tentent de tirer le signal d’alarme, mais ils ne sont pas au pouvoir, et l’administration Obama, elle, est très politiquement correcte.

En Europe, il n’y a pas de conservateurs à l’américaine, et ceux qui s’inquiètent sont donc très rares, vraiment très rares.

Pour défendre Israël aujourd’hui, c’est une réalité qu’il faut regarder en face, il n’y a qu’Israël. Attendre quoi que ce soit d’un dirigeant européen quel qu’il soit, même un geste d’amitié minime, est déjà beaucoup trop attendre.

Entre un petit Etat, qu’un ambassadeur de France à Londres, qui devint ensuite épingleur de la Légion d’Honneur, il y a quelques années, avait qualifié de « Petit Etat de merde » et l’Iran, ses ressources pétrolières et sa capacité de nuisance, l’Europe a choisi ; comme elle a choisi, plus généralement, le monde musulman plutôt que le seul Etat juif sur terre.

La position des Européens, depuis des décennies, est celle du paillasson. Le relativisme ambiant a détruit toute forme de repère éthique. On s’alarme ici ou là de l’installation d’intégristes islamiques sur le sol européen, mais on pratique l’aveuglement volontaire vis-à-vis de ces mêmes intégristes dans le monde musulman.

Et si les intégristes veulent s’en prendre à l’Etat hébreu, on dira volontiers que cela se passe ailleurs et ne « nous regarde pas ». On sera même prêt à placer Israël dans la position de bouc émissaire et à suggérer que, si Israël faisait des efforts, on s’entendrait sans problème avec l’ensemble du monde musulman, intégristes compris, pourvu qu’ils ne pratiquent l’intégrisme que chez eux.

Si Israël allait jusqu’à faire l’effort de ne plus exister, on serait sans doute soulagé et, comme me l’a dit un voisin voici peu, « s’il faut acheter un voile à nos filles et qu’on nous laisse tranquille, ce n’est pas une si grande concession ».

Jusqu’à la fin de 2008, on pouvait attendre du gouvernement américain non pas un geste d’amitié minime, mais des actes d’amitié réelle. Avec l’occupant actuel de la Maison Blanche, mieux vaut s’attendre à une hostilité forcenée, que des membres Démocrates du Congrès pourront tenter, sporadiquement, de tempérer un peu.

La position du paillasson à l’européenne attire Obama, qui est depuis longtemps, comme ses conseillers, comme d’autres Démocrates au Congrès, un adepte du relativisme et un partisan de l’aveuglement volontaire le plus furieux.

Obama a tout fait, strictement tout, depuis des mois, pour placer lui-même Israël en position de bouc émissaire et adopter des suggestions concernant Israël, qui ressemblent aux suggestions européennes.

Et en ce qui concerne le voile, ses positions sont claires : il est le premier Président de l’histoire des Etats-Unis à avoir installé une femme voilée à proximité du bureau ovale : Dalia Mogahed, responsable des « Affaires religieuses », dont on ne peut ignorer les vues sur lesdites affaires.

Si vous observez le voile de Dalia Mogahed, vous verrez qu’il est strict et porté comme le portent ceux que Robert Spencer appelle les « soldats de l’islam ».


Dalia Mogahed
Tsar des "Affaires religieuses",
pas de la République Islamique d’Iran,
mais des Etats-Unis d’Amérique.
Obama a du même coup tranché dans la polémique du port du voile... à la Maison Blanche

Pour défendre Israël aujourd’hui, disais-je, il n’y a qu’Israël. C’est une réalité, mais c’est une réalité, dirai-je, qui fait toute la différence.

Au temps des accords de Munich, au temps de la Shoah, il n’y avait pas d’Etat de la nation juive, et les Juifs se retrouvaient sans défense, sans refuge et sans armes. Israël possède, quant à lui, tous les moyens de se défendre et de dissuader ses ennemis de l’attaquer ; il constitue bien davantage qu’un refuge, et il dispose d’armes efficaces, à la pointe de la technologie.

L’indifférence planétaire est révoltante, mais ceux qui ont étudié l’antisémitisme savent que c’est la plus vieille et la plus tenace des haines. Le consentement au pire est répugnant, mais ceux qui connaissent l’histoire, savent qu’il n’y a rien de plus commun, dans l’espèce humaine, que l’accoutumance au pire. Rien de nouveau sous le soleil noir de la lucidité.

L’attitude de l’Europe est logique et conforme à ce qu’est l’Europe désormais : un continent en déclin, vieillissant, crépusculaire, qui voudrait encore avoir l’air de compter, mais qui, en dehors d’Europe, a cessé de faire illusion.

L’attitude de l’administration Obama est, elle-même, logique et conforme à ce que sont Obama et les membres de son administration : le plus beau des islamo-gauchistes du monde ne peut donner que ce qu’il a dans ses idées viciées. Rien de surprenant.

Ce qui est nouveau depuis soixante-deux ans est l’existence d’Israël. Ce qui est surprenant pour les ennemis d’Israël, c’est le dynamisme et la force d’Israël, qui, malgré le contexte, n’incitent pas du tout au pessimisme.

J’ajouterai ce que j’ai déjà écrit plusieurs fois : l‘administration américaine actuelle est une anomalie qui trahit tous les idéaux des pères fondateurs. Cette anomalie peut faire des dégâts, certes, mais je doute qu’elle puisse durer très longtemps.

Dans les tea parties, réunions organisées dans tout le pays pour réclamer le retour aux valeurs qui ont fait des Etats-Unis, l’amitié pour Israël et le peuple juif emplit toute l’atmosphère.

Les chrétiens évangéliques se mobilisent aux fins de soutenir Israël dans toute l’Union, eux aussi. Ce dimanche 25 avril dernier, une grande manifestation de soutien à Israël a été organisée à New York, à l’appel de plus de vingt associations. D’autres manifestations se préparent.

Que ce soit au moment où un vaste élan en faveur d’Israël se dessine aux Etats-Unis, que des intellectuels juifs européens décident de lancer un appel (J Call), qui recèle toutes les tonalités qu’on pouvait trouver chez Daladier et Chamberlain, à Munich, en 1938, n’est pas une anomalie du tout. Je le dis avec tristesse : ce sont des intellectuels juifs, mais, ajouterai-je, ce sont aussi des intellectuels européens. Ils ressemblent à l’Europe telle qu’elle est. Hélas.

un jeune palestinien de 17 ans s est rendu a la police de afula vers 2 heures du matin en expliquant qu il avait ete envoye pour tuer des juifs. muni d un couteau il a explique qu il en etait incappable et qu il craignait de rentrer chez lui.



a gaza la guerre psychologique digne des pires nazis continue.. hammas a mis au point un film montrant Noam shalit dans 20 ans venant chercher le cercueil de son fils Guilad......


c est le genre d info que vous ne lirez pas ailleurs....

Marylou,

tu peux nous en dire plus sur ce film ? Pourquoi est-ce que les chaînes de télé israéliennes l'ont diffusé ? Ce genre d'horreur, ça devrait aller à la poubelle direct.

Je pense SURFEUSE que c'est en remerciement à Israël d'avoir soigné la fille d'un terroriste du hamaSS que ces chiens criminels ont réalisé ce clip montant le père de Guilad Shalit venu récupérer le cercueil de son fils; ce qui montre au monde entier l'esprit inculte de ces criminels.

Marylou,

Ce clip du hamas a été raconté sur i-télé (chaine d'information française continue par satellite), mais je ne pense pas que cela ait touché particulièrement les français.

et voici le lien de cet horrible film !
à vous de juger.
Elisabeth



NDLR Des sauvages....
Le Hamas a publié dimanche un dessin animé mettant en scène le jeune soldat franco-israélien Gilad Shalit, prisonnier des islamistes à Gaza depuis près de quatre ans. L’animation, d’une durée de 3 minutes, prévient que Shalit pourrait subir le même sort qu’un autre soldat israélien Ron Arad, disparu en 1986 au sud du Liban, dont l’Etat hébreu est sans nouvelles. Le dessin animé du Hamas se termine par l’arrivée du cercueil de Shalit à la frontière entre Gaza et Israël.

*Lire la suite de l’article directement sur www.slate.fr (http://www.slate.fr/story/20377/le-hamas-diffuse-un-dessin-anime-sur-le-soldat-shalit)*Accéder au site www.desinfos.com (http://www.desinfos.com/)

[www.slate.fr]

si le lien n'est pas actif, le copier et l'inserer sur google ou votre moteur de recherche.
E

C'est absolument abject , mais que pouvions nous attendre de cette association

de terroristes? Ces ennemis de la démocratie sont cohérents avec leur idéologie

barbare et dénuée de toute humanité .

Que l'on m'explique la stratégie "boîteuse"d'ISRAEL .

Voici quelques jours ils libèrent un haut responsable terroriste du hamas , sans contrepartie

aucune qui aurait pu influer sur la libération de notre cher soldat , nonobstant cela,

ils sauvent la vie du ministre terroriste du hamas (ministre de l'intérieur), pendant

que notre cher GUILAD croupit dans les geôles de gaza , sans avoir pu bénéficier

d'une visite de la croix rouge qui ne s'indigne pas du traîtement inhumain infligé à

notre cher soldat ,( imaginons la réaction de cette même croix rouge indigne

si le cas était inversé) pendant qu'en ISRAEL les terroristes sanguinaires qui sont

emprisonnés dans nos prisons 5 étoiles bénéficient de tout le confort , notre ETAT

pousse l'indécence jusqu'à leur permettre de suivre des études (si au moins , cela

les humanisait , passe encore , ils sont irrécupérables) , et tout cela , aux frais du

contribuable ISRAELIEN, j'en suis AHURIE .

ISRAEL est dans l'erreur , vouloir "amadouer" le diable est ressenti comme une

faiblesse.

Il ne faut pas qu'ISRAEL traîte ces terroristes à l'européenne, on voit bien l'état

de délabrement de toute l'europe qui, INEXORABLEMENT VA ÊTRE HAPPéE

PAR l'islam

rectification :


lire : ils sauvent la vie de la fille du ministre de l'intérieur du hamas !

Je REFUSE de regarder ça ! Et je ne comprends toujours pas pourquoi les chaînes de télé israéliennes diffusent la propagande du hamaSS. Parce que cette horreur, c'est de la propagande, de la cruauté à l'état pur et une humiliation. Il ne passera pas sur mon moniteur.

milles excuses Surfeuse !
on peut demander à Jero de supprimer la video. et de remettre les horaires de chaque message (à la française de 0H à 24.00)

Bonne journée et bonne semaine.
E

No need to apologize, Lison! Je voulais juste expliquer mon point de vue. Certaines personnes veulent voir la vidéo, elles ont le droit. Il y a 2 façons de voir la chose.

Les Egyptiens ont toujours eu le culte de la mort; personnellement, j'ai choisi la vie. Ce n'est pas pour rien que je ramasse du petit bois en ce moment.

ahmad tibbi parlementaire arabe de la knesseth contraint par la force de quitter la tribune pour non respect des regles. le sujet etait : " la visite faite par les parlementaires israeliens arabes en lybie" visite lors de laquelle ils ont deploye leur langue fourchue devant le dictateur lybien, l 'innondant de louanges et de compliments et se prosternant devant ce malde mental de kadafi... c etait ridicule et grotesque .
rentre en israel ils exploitent a nouveau la democratie pour nous insulter en direct.

regardez plutot cet echange ou tibi refusant d obtemperer est descendu de force/
c est en hebreu mais ca vaut la peine meme si vous ne comprenez pas tout.

[www.ynet.co.il]

Que D. me préserve de mes amis , mes ennemis , je m'en occupe !
(d'actualité hélas , plus que jamais)



<<
Le 3 mai prochain, sera organisée, à Bruxelles, une soirée destinée au lancement de J-Call, « l’appel à la raison des juifs européens ». Y participeront des gens qui s’égarent gravement, et qui s’apprêtent à occuper la position des « idiots utiles ». S’ils persistent, je devrai considérer qu’il s’agit d’idiots utiles consentants et sachant ce qu’ils font.

De quoi s’agit-il ? Sous prétexte d’un appel à la « paix », de déstabiliser le gouvernement d’Israël, et, dans un moment où Israël est l’objet de pressions sans précédents exercées non plus seulement par l’Union Européenne, mais par l’administration la plus anti-israélienne que les Etats-Unis aient connu depuis 1948, d’ajouter aux pressions existantes celles de juifs européens se prétendant « amis d’Israël », mais se comportant étrangement, et, au delà, de diviser ceux qui soutiennent Israël, et de semer la confusion.

Au centre de cet appel, il y a un texte, qui relève de bien davantage que l’aveuglement volontaire et qui fait penser au morceau de papier que Chamberlain a brandi à son retour de Münich, en 1938, en parlant de « paix dans l’honneur » : six semaines avant la « nuit de cristal ».

Derrière cet appel, il y a une organisation américaine qui se prétend être une « nouvelle organisation juive de soutien à Israël », et qu’Alan Dershowitz, qui a soutenu Obama avant de découvrir qu’il avait affaire à un imposteur, a appelé, à juste titre, « le lobby anti-israélien ».

Je regrette profondément de voir figurer, parmi les noms des signataires de l’appel, des gens pour qui j’ai, a priori, de l’estime. Je veux penser qu’ils ont été trompés, qu’ils s’en apercevront vite, et cesseront de cautionner ce qui ne peut l’être par des gens estimables.

Je ne peux, en tout cas, rester silencieux vis-à-vis de ce que je considère comme une action néfaste et perverse en un moment particulièrement mal choisi. Je reviendrai sur le vrai visage de J Street, qui doit être mis au jour.

J’ajouterai ici seulement quelques points, qui constituent une réponse au texte :

- Israël fait partie de l’identité de tous les êtres humains qui discernent ce que le peuple juif et le judaïsme ont apporté à la civilisation. L’avenir et la sécurité d’Israël devraient et doivent concerner tous les êtres humains attachés à la démocratie, aux droits humains, à la liberté et à la dignité.

- l’existence d’Israël est mise en danger non pas par les actions d’Israël et de son gouvernement, qui se contente d’assurer la sécurité du peuple israélien et le fait de manière strictement défensive, mais par la haine sans répit que lui vouent des ennemis imprégnés de racisme, d’esprit totalitaire et de volontés exterminationnistes.

Ce danger se trouve renforcé par tous ceux qui, plutôt que de dénoncer les discours islamo-fascistes du gouvernement iranien, du Hezbollah, du Hamas et, le plus souvent, des dirigeants de l’Autorité Palestinienne, passent rapidement sur ces discours pour se joindre au chœur de ceux qui condamnent arbitrairement Israël et son gouvernement.

L’existence d’Israël se trouve particulièrement mise en danger lorsque des « amis » d’Israël reprennent le mot d’ « occupation » : arrive-t-il à ces « amis » de se demander pourquoi ils sont contre l’épuration ethnique partout ailleurs sur terre, mais en faveur de l’épuration ethnique dès lors qu’il s’agit des terres « palestiniennes » qui, semble-t-il, sont « occupées » dès lors que des juifs entendent y vivre (et sans doute libres lorsqu’elles sont pures de toute présence juive).

- l’avenir d’Israël passe par une paix qui remplirait des conditions permettant une paix véritable. Une paix n’est pas possible avec des organisations terroristes qui prônent la destruction et la « lutte armée », et non la coexistence pacifique.

Elle n’est pas possible avec des gens qui honorent des assassins tels Dahlia Moghrabi et les appellent non pas assassins, mais « martyrs ». Elle n’est pas possible avec l’éducation que reçoivent les enfants de Gaza sous la coupe du Hamas, et les enfants relevant de l’Autorité Palestinienne. Le slogan « deux Etats pour deux peuples » est vide de sens et digne de ceux élaborés autrefois par la propagande stalinienne : ce qui manque dans ce slogan est la nature des Etats en question et les aspirations des peuples en question, auxquelles contribuent, outre l‘éducation, les réseaux d’information.

Un Etat démocratique à côté d’un Etat voyou nouvellement créé, cela ne crée pas la paix, mais la guerre sous un autre nom. Un peuple voulant la paix à côté d’un peuple à qui on inculque une haine antisémite sanguinaire et à qui on accorde des aides financières sans exiger que cesse l’inculcation, cela ne crée par la paix non plus.

- L’avenir d’Israël passe par le fait que des gens qui se prétendent « amis d’Israël » cessent de colporter des mensonges démographiques (les juifs ne risquent pas d’être minoritaires dans leur propre pays, sauf si on reprend les statistiques palestiniennes, qui sont aussi fiables que ceux des plans quinquennaux soviétiques et si on accepte un « droit au retour » qui, lui-même repose sur des bases aussi fausses qu’un plan quinquennal soviétique), et cessent de stigmatiser Israël comme le font de vulgaires antisémites en parlant de « déshonneur israélien », mais jamais du déshonneur que constitue le fait pour les dirigeants du « deuxième peuple » de pratiquer sans cesse le double discours, l’incitation et l’exaltation de la violence, et le recours massif à la corruption et à des pratiques dictatoriales.

- une paix véritable implique non pas une « pression » exercée sur « deux parties », mais que les conditions d’une paix véritable soient remplies.

Etablir une équivalence entre un gouvernement démocratique et un peuple qui veut la paix véritable, d’un côté, et d’un autre côté un gouvernement voyou et un peuple incité à la haine et au meurtre équivaut à ignorer volontairement qu’un gouvernement voyou et un peuple incité à la haine et au meurtre ne sont susceptible de céder à aucune pression, sauf si on leur fait comprendre les conséquences de leur attitude, et à vouloir exercer des pressions sur le gouvernement démocratique et le peuple qui veut la paix véritable aux fins d’espérer vainement apaiser la partie adverse et de permettre à celle-ci d’avancer vers ses fins criminelles.

- un « règlement raisonnable » n’est possible qu’avec des gens raisonnables : reconduire des fanatiques assoiffés de sang à la raison ne peut se faire rapidement, et implique, en préalable, de montrer qu’on ne cède rien au fanatisme et à la soif de sang des fanatiques.

Ce qui peut reprendre rapidement si on cède au fanatisme et à la soif de sang des fanatiques, ce ne peut être que le bain de sang : ce qu’aucun gouvernement israélien, aucun citoyen israélien, aucun véritable ami d’Israël, ne pourrait concevoir comme un « règlement raisonnable ».

- respecter la souveraineté du peuple israélien implique de le laisser effectivement exercer sa souveraineté, et non pas de tenter, de manière méprisante et condescendante, de lui suggérer que ce sont des intellectuels de gauche européen qui, depuis leur bibliothèque et leur bureau, vont concevoir la « bonne décision ».

Penser que des intellectuels de la gauche européenne bien pensante savent mieux que le gouvernement d’Israël ce que sont les « intérêts véritables d’Israël » excède le mépris et la condescendance, et atteint le degré suprême de la cuistrerie. Israël est une société démocratique et doit être traité comme une société démocratique. Israël est un état de Droit, et doit être traité comme tel.

- la survie d’Israël ne dépend pas de la création d’un Etat confié à l’Autorité Palestinienne et au Hamas, mais de la défaite de l’islam radical et d’un retour à la vérité historique et politique. Un Etat palestinien existe déjà et s’appelle la Jordanie.

Un deuxième Etat palestinien ne serait souverain et viable que s’il reposait, au préalable, sur un changement de régime dans l’ensemble des territoires régis par des arabes Palestiniens.

Dans les conditions actuelles, il ne serait ni souverain ni viable, mais soumis à l’islam radical, et base d’attaques terroristes et d’actes de guerre, selon un modèle qui existe déjà, Gaza. Qui veut créer un deuxième Gaza autour de Ramallah ?

- de vrais amis d’Israël ne peuvent ignorer ni l’islam radical, ni la vérité historique et politique. Ils ne peuvent ignorer ce qui s’est passé et se passe encore à Gaza. Ils ne peuvent passer sous silence ce qu’incarne le Hamas et la menace très concrète que l’Iran fait peser sur l’ensemble de la région.

Il est consternant de voir qu’en une période difficile, Israël doit faire face non seulement à des ennemis déclarés, à de faux amis tels que les gouvernements européens et la présente administration américaine, mais aussi à d’autres faux amis qui avancent sous le masque de l’appartenance au monde juif pour se livrer à des manœuvres qui les disqualifient moralement.

Il importe plus que jamais que les vrais amis d’Israël se fassent entendre, rétablissent la vérité historique et politique, et expliquent ce qu’est réellement la société israélienne, ce qu’est vraiment la menace islamiste radicale, que l’amitié pour Israël implique un respect pour la démocratie et l’état de Droit israéliens, et qu’une amitié pour les populations arabes palestiniennes impliquerait d’emblée de dire que l’incitation et l’exaltation de la violence , ainsi que les pratiques dictatoriales, sont, tout autant que le terrorisme, absolument inacceptables.

Guy Millière

Décès d'un rabbin, ex-ministre d'Arafat
AFP
02/05/2010 |
Le rabbin antisioniste Moshé Hirsch, qui fut ministre de Yasser Arafat, est décédé aujourd'hui à Jérusalem à l'âge de 79 ans, des suites d'une longue maladie, a-t-on appris auprès de ses proches.

Né en 1931 à New York, le rabbin Hirsh était le gendre de Katzenel Bogen, le fondateur du mouvement "Neturei Karta" ("Gardiens de la cité", un groupe juif ultra-orthodoxe et antisioniste.

Moshé Hirsh, qui vivait dans le fief juif orthodoxe de Méa Shéarim à Jérusalem, était devenu l'un des dirigeants de ce groupe ultra-minoritaire en 1974 après la mort du rabbin Amram Blau. Proche de l'ex-chef palestinien Yasser Arafat, il avait été nommé par ce dernier "ministre des Affaires juives" de son premier gouvernement en 1995. Hirsh, qui qualifiait le dirigeant palestinien de "frère et ami", soutenait la cause palestinienne, jugeant que l'Etat d'Israël - considéré comme une hérésie" par ses partisans - devait être carrément détruit.

Ce maudit avait au moins le courage de montrer son vrai visage,contrairement à ceux qui battent leur coulpe sur la poitrine des Israeliens.Arafat qui avait la nostalgie du regime de Vichy,avait copié la meilleure decision,je commissariat general aux questions juives.

Et voilà, back on track :

Processus de paix: Israël et les Palestiniens s'apprêtent à reprendre langue

[www.google.com]

De Charly WEGMAN et Philippe AGRET (AFP) – Il y a 6 heures

JERUSALEM — Israëliens et Palestiniens se préparent à la reprise de leurs difficiles négociations de paix, suspendues depuis la dernière guerre de Gaza fin 2008, mais au niveau de discussions indirectes seulement, tant les deux camps se défient l'un de l'autre.

"Nous étions d'emblée favorables à des discussions de paix sans préalables. L'objectif est de commencer dans les jours à venir, au plus tard la semaine prochaine", a déclaré à la radio publique le vice-ministre israélien des Affaires étrangères Danny Ayalon.

"C'est un développement positif. Les Arabes aussi veulent sortir de l'impasse", a-t-il ajouté, au lendemain du feu vert donné par le comité de suivi du processus de paix de la Ligue arabe à ces pourparlers indirects, dits "de proximité", sous l'égide des Etats-Unis.

"Les problèmes sont loin d'être réglés. Mais, du moins, les négociations vont commencer", s'est félicité le chef de l'Etat hébreu Shimon Peres à la radio publique.

Dans une interview au journal palestinien Al-Ayyam, le président palestinien Mahmoud Abbas a précisé que ces négociations allaient "durer quatre mois".

"Nous sommes prêts à coopérer avec les Etats-Unis pour que les négociations avancent. Nous n'avons pas de divergences avec l'administration américaine. Nous avons des divergences avec le gouvernement israélien", a souligné M. Abbas, actuellement à l'étranger.

Quant au Premier ministre Benjamin Netanyahu, il se rend lundi en Egypte pour demander au président Hosni Moubarak de presser le président Abbas "d'aller de l'avant", selon un dirigeant israélien cité par le quotidien Maariv.

Le principal médiateur entre les deux parties, l'émissaire américain pour le Proche-Orient George Mitchell, est attendu dans la région "pour des discussions vers la fin de la semaine", selon le secrétariat d'Etat américain.

M. Mitchell doit rencontrer le président Abbas vendredi à Ramallah (Cisjordanie), a dit dimanche à l'AFP le négociateur palestinien Saëb Erakat.

Le comité exécutif de l'OLP doit se réunir le lendemain pour donner son aval à la reprise des discussions, a précisé M. Erakat.

Israéliens et Palestiniens ont cessé de discuter fin 2008, lors de l'offensive israélienne à Gaza contre le mouvement islamiste palestinien Hamas. La dernière tentative de dialogue, en mars, a échoué en raison de l'annonce d'un projet controversé de construire 1.600 nouveaux logements dans un quartier juif de Jérusalem-Est annexée.

Selon le quotidien populaire israélien Yédiot Aharonot, les pourparlers indirects --sous forme de navettes par M. Mitchell entre Jérusalem, Ramallah et Washington-- "devraient aboutir dans quelques semaines à des réunions triangulaires".

Ils porteraient sur les questions clefs comme le tracé des frontières, le statut de Jérusalem, le sort des colonies juives ou le droit au retour des réfugiés palestiniens, selon les médias.

M. Netanyahu avait accepté à contre-coeur l'an dernier l'idée d'un Etat palestinien indépendant, et son cabinet a ordonné en novembre un gel provisoire et limité de la construction dans les implantations de Cisjordanie qui s'achève le 26 septembre.

En revanche, Israël se refuse à stopper la colonisation à Jérusalem-Est, dont l'annexion par Israël en 1967 n'est pas reconnue par la communauté internationale.

"Sur le terrain, on n'empêchera pas la vie de continuer, car c'est une question de principe, voire de morale, qui est en jeu", a répété dimanche M. Ayalon, un faucon du gouvernement.

D'après les médias israéliens, M. Netanyahu aurait cependant promis aux Américains des gestes envers M. Abbas, notamment le transfert sous son contrôle sécuritaire de nouveaux secteurs en Cisjordanie, la levée de barrages routiers et l'élargissement de prisonniers palestiniens.

M. Netanyahu s'est imposé la semaine dernière comme chef incontesté du Likoud (droite), en barrant la route au courant ultranationaliste pro-colonisation du parti lors d'un vote du comité central.

Ce faisant, il s'est assuré une marge de manoeuvre qui pourraient lui permettre de faire quelques concessions aux Palestiniens, selon certains commentateurs israéliens.

Comment l'ONU organise le mensonge ...

et déclare officiellement, par la bouche du président de séance, que les contestataires seront bannis,


et leurs propos retirés des minutes officielles des réunions ...


Le brillant discours , clair et incontestable du délégué ISRAELIEN à l'onu , a fait l'objet d'une censure

immonde par le président de séance, qui a même évité de prononcer le mot ISRAÊL.

l'onu est CE "MACHIN" INUTILE QUI N'A éVITé AUCUN CONFLIT .

L'ONU : BULLSHIT !!!

L'UNIQUE CONFLIT QUE CE MACHIN SE COMPLAIT à ATTISER , C'EST CONTRE ISRAEL.

Et les "réfugiés" palestiniens les plus RICHEMENT ENTRETENUS DU MONDE , ne sont intégrés nulle part,

il y a eu des millions de réfugiés qui se sont intégrés ........ PARCE QUE L'ONU NE S'EST PAS OCCUPé D'EUX !!!

Pour SAUVER LA PAIX DANS LE MONDE - FERMER CE MACHIN !


[www.hosem.org.il]

Tel-Aviv: l'ultra-orthodoxie critiquée
AFP
03/05/2010 |
Le maire de Tel-Aviv Ron Huldaï a suscité aujourd'hui une vague de protestations des milieux ultra-orthodoxes juifs pour avoir accusé leur système d'enseignement d'entretenir "l'ignorance". "L'Etat d'Israël finance et développe des secteurs entiers qui se séparent du reste de la population, entretenant l'ignorance et dont la proportion s'accroît de façon effrayante chaque année", a déploré hier Ron Huldaï lors d'une conférence sur l'éducation.

L'édile s'est indigné du fait que l'Etat n'avait quasiment pas de droit de regard sur le programme d'enseignement des écoles primaires ultra-orthodoxes où étudient plus du quart des élèves juifs. "Dans ces écoles, on se refuse d'enseigner des matières que tout pays normal inclut dans ses programmes comme l'instruction civique et les sciences", a poursuivi le maire de la métropole israélienne.

Mais des députés et la presse ultra-orthodoxes ont accusé le maire d'"incitation à la haine raciale" contre la religion juive. Le chef du parti ultra-orthodoxe séfarade Shass, le ministre de l'Intérieur Elie Yishaï, a jugé ces propos "inadmissibles", estimant qu'ils "relevaient de la haine de la Torah", dans une interview à la radio publique.

L'éducation, l'armée et l'emploi font en Israël l'objet de controverses vives et récurrentes entre laïcs et religieux.

sans toi, Rali, on ne saurait rien sur notre pays !!!

E

merci Lison