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CROYANCES POPULAIRES, RITUELS, TALISMANS, REUNIONS, PHOTOS RARES, ANECDOTES, HISTOIRES VRAIES DES JUIFS DE LARACHE, ALCAZARQUIVIR ET TANGER

CROYANCES POPULAIRES, RITUELS, TALISMANS, REUNIONS, PHOTOS RARES, ANECDOTES, HISTOIRES VRAIES DES JUIFS DE LARACHE, ALCAZARQUIVIR ET TANGER

Plusieurs croyances superstitieuses qui se retrouvent dans la communauté juive marocaine dans le monde entier, proviennent d'une culture entre juifs et musulmans au Maroc, depuis des siecles.

Les croyances populaires dont nous avons herite est le mauvais oeil, la présence de jnounes (los de embacho) l'influence des esprits (la mala pata): les Djnoun (mezikim et chedim en hébreu), ou les voisins d'en-bas comme disait mama Sol ma grand-mère, sont des forces invisibles qui nous font peur car on a grandi avec cette croyance.

Pour s'en protéger, on porte des amulettes, la main de Fatma ( la khamsa) , une médaille avec un papier écrit par un rabbin, les pèlerinages sur les tombes des tsadikimes, pour implorer leur protection, la mezouza sur l'entrée de la porte, le couteau avec le livre de Psaumes (thilimes) et le sel du Omer sous notre oreiller, les croyances sont inombrables chaque fois je vous mettrais ce que l'ont m'a appris a la maison, je suis née a Casablanca mais j'ai vécu a la mode Larache étant mes parents et grands-parents de Larache.

Soly Anidjar






Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/02/2012 03:01 par LA HIJA DEL MAR Y DEL SOL.
la kouajada c'est l'omelette marocaine en haketia.


on la fais tout le temps, a pessah, a ticha be av, pour un aperitif, pour une hiloula, pour une reception et autre.



6 pommes de terres moyennes,epluchees
1 carotte,epluchee
une poignee de petit pois
faire bouillira feu fort 30 minutes.


lorsque les pommes de terre ont cuit
ecrasez les 6 pommes de terres
dans un grand bol,battres 10 oeufs
ajoutez
1 c a cafe de sel
les petit pois
la carotte coupes en petits carres
1/2 c a cafe de harkom
1/4 de c a cafe de poivre blanc
et quelques branches de persil,coupes tres fins
melangez tout


dans une poele teflon versez un peu d'huile,lorsque l'huile est chaude verse,le melange.


l'omelette doit cuire sur le gaz a feu doux.( Ou simplement dans un moule au four)


lorsqu'elle a cuit d'un cote il faut la retourner,pour qu'elle cuise de l'autre cote si elle cuit sur le gaz.


regardez comme elle a de la y'yba














photo et preparation Soly Anidjar

Parmi mes photos, j'ai trouvé des photos rares, de ma famille et amis à Tanger, Larache et Alcazarquivir, qui ont entre 50 jusqu'a 100 ans, peut-être vous trouverez votre cousin, votre papa, votre maman, les voisins, votre quartier.

La carte d'invitation du mariage a ma cousine

collection Soly Anidjar




L'histoire des Juifs du Maroc espagnol, a été profondément liée à l'histoire d'Espagne, même malheurs et même guerres.
En 1492, sont arrivés au Maroc, les Juifs espagnols expulsés par les Rois Catholiques et par la suite ceux qui fuyaient le Portugal. Ils ont été nommés les Megorashim, dans cet exil forcé certains ont subi des grandes pénalités, la mort par faim, par vol, d'autres ont été vendus comme esclaves ou assassinés atrocement et cruellement. Plusieurs sont retournés vivre en Espagne pour ne pas a avoir à supporter ces souffrances et se sont convertis au christianisme, appelés les "Marranos" ( qui veut dire porcs lui-même dérivé de l'arabe muharram signifiant « rituellement interdit) ou maranâ' thâ qui signifie le seigneur est venu en l'araméen (l'araméen est la langue de la torah) , ils continuèrent à pratiquer leur religion en secret. Au Portugal, ils ont été traditionnellement désignés sous le nom de nouveaux chrétiens ou crypto-juifs. les autres sont partis en revanche en Italie, en Turquie ou Israël et en Hollande. La population native juive qui se trouvait au nord du Maroc appelée les Toshavim, n'ont pas aimes ces Juifs de Castille de Tolede,de Cordoba... les Toshavim ont ressentis la présence des Megorashim comme une concurrence, les lois des un avec les coutumes des autres, les Megorashim se trouvaient a Tanger, Tétouan, Larache, Arcila, Alcazarquivir et Meknès, ma famille est arrivée de la ville d'Andujar province de Jaén directement à Meknès ou elle a vécu pendant un siècle ensuite tous les Anidjar se sont installe a Arcila une petite ville portuaire entre Larache et Tanger, ensuite ils sont partis vers Tanger, Tétouan et Larache.



Soly Anidjar


réunion des commerçants et artisans des entreprises d'Alcazarquivir le 8 fevrier 1954.

sur la photo de droite a gauche:
1-x
2-x
3- Ruben Cohen
4- Jacob Benchimol
5- David Medina de la fereteria.
6- Mochito El Ancri del cafe de Mochito
7- Isaque Benchimol de los transportes
8-Youdah Haim Melloul
9- Haim Benchimol
10- Moshito Elbaz
11-x
12-Elias Melloul
13-Jacob Medina
14- Mose Benchimol
15- mon cousin Levy Cohen proprietaire du cimena d'ete a Alcazarquivir, son pere tio Samuel Cohen etait le proprietaire de la rahba.
16- Semtov Cohen
17-Isaque Amsellem le mari a Celia Abitbol.
les personnes assises sont des chretiens et musulmans eux aussi commercants.



Larache ville magique ou sont nés mes parents, grands-parents, arrières grands-parents.



8-9-1911. Don Alfonso Gallego, comme courrier du Tsar novelesco, informe au "Monsieur de la montagne" “señor de la montaña” el Cherif Raisuni, l'entrée des forces espagnoles à Larache sur le bateau “Cataluña”.

17-11-20. le Haut Commandement de l'Armée considère comme finies les opérations militaires dans la Région de Larache, pour assister aux fêtes organisées pour cet événement le général Don José Valera Églises;se déplace et arrive à Larache.

15-10-21. premier vol commercial espagnol, Sevilla-Larache. Le billet de l'aventure coûtait environ 125 Ptas depuis Auámara.


24.1-1926.Arrivée à Larache de l'infante Dª Luisa d'Orléans, laquelle est reçue avec de grands honneurs militaires.


1931. Don Emilio Zapico Zarraluqui, fait de grands travaux à Larache.

1-1-1943. après un silence de quatre années de presse locale dans notre ville, Abate Bussoni est autorisé à éditer “ElAvisador de Larache”, qui avait pour nom el“Diario Larache”et, une autre revue “Bisemanrio LARACHE”.

1947. On chantait “La casita de papel”, quand on a fondé l'U.D.Las Navas qui a tant influencé sur la popularité du quartier. En 1951 on l'a proclamé Champion du Maroc et "exemplaire pour le sport" il lui a été accordé la Médaille d'Honneur de la Fédération Hispano-Marroquí de Football. Alors, un alignement habituel du Larache, C.F.ete formé par Serra ; Facundo-Lama-Abderrahman ; Castillo-Macías ; Et Vázquez-Emilín-Torres-Casas et Marronniers.
Mes grands-parents Maternels Moise et Sol Amsellem ainsi que ma maman Mimi Amsellem (la rubia) quittent définitivement Larache et s'installent à Casablanca.

1948 Mon papa Jacoby Anidjar quitte Larache est vient s'installer à Casablanca pour épouser maman:

10-4-56. Visite officielle de S.M. Mohamed V à Larache.

1957. Le Cinéma Coliseo Maria Cristina ouvre ses portes et on peut voir “Y Dios creó à la mujer”, de Brigitte Bardot.

1960. La Municipalité, a pour maire Sid Abdelkrim Ahmed l'Uazir, il achète le premier camion pour le ramassage d'ordures, un Hotchkins moderne. Dans les roches du Balcon, Don Germán Nuñez, pêche un mérou de 25 kilos.

1961 .26 février Mort de S.M. Mohamed V. Le 21 avril mort de la Sra. Duquesa de Guisa, cette charmante Duchesse qui a tant fait pour Larache pendant 50 ans. Le 15 juillet est nomme Président de la sel ,et pharmacien Don José Cordero Reviriego.Le 31 juillet mort du journaliste Abate Bussoni,

Je l'ai visité, plusieurs fois pendant mon enfance, les frères à Mama Sol ma grand-mère maternelle nous recevaient à bras ouvert chaque fois que j'arrivais avec mes parents par la C.T.M.
Très belle petite ville tranquille, Larache était un lieu où il faisait bon vivre. Cette ville ou les quelques touristes qui arrivaient chaque années étaient des anciens de Larache, qui habitaient Casa, Rabat, ou Port Lyautey.
Larache était la ville étape entre les grandes villes. Atmosphère relaxante, jamais de bousculade touristique, les habitants, (ma famille) toujours disponibles pour nous héberger, à bras ouvert, les habitants ne se réveillaient jamais avant 9 h.
Marquée par tant d'invasions successives, Larache possède une architecture qui diffère d'un quartier à l'autre : la ville ancienne est de style oriental, la ville moderne de style andalou, ces couleurs turquoise et blanc, la Fuente Antigua, el Castillo, construit par les portugais pour enfermer les prisonniers de la bataille des trois rois.
Larache fut fondée en l'an 800 et occupée par les portugais durant le XVIe Siècle avant de devenir un refuge pour les corsaires.
Elle fut espagnole en 1610 et reprise par le Sultan en 1689, puis à nouveau espagnole de 1912 (traité de Fès) à 1956.


Deux forteresses dominaient le Nord et le Sud. L'ancien fort Kebibat devenu hôpital et le fort de la Cigogne face à la mer.
situé à 70km au sud de Tanger, dans le nord du Maroc, en (zone espagnole) à l'embouchure du Loukos, fleuve aux nombreux méandres délimitant des marais salants et formant un bras de mer, à Larache on parlait 4 langues: l'arabe dialectal arabo-espagnol, l'espagnol, le haketia et le français; ceux qui était à l'École de l'alliance israélite, étudiaient le français et l'espagnol, mes parents ont étudiés à l'École Youdah Alevy, l'école était a la marine près de la douane a Larache (l'école s'appelait Escuela hispano hebrea avant d'être l'École Youdah Alevy), les études étaient également en français, maman a étudié à l'École maternelle des sœurs avant d'aller à l'École Youdah Alevy.
A Larache juifs, gitans, musulmans et chrétiens, ont cohabites, en partageant tout, les joies les tristesses, leur marmite de soupe de hrira avec les musulmans le ramadan, las terrîtes (moufletas) avec les juifs la mimona, et la dinde de noche vieja le 24 décembre. Les fêtes juives étaient célébrées, dans une atmosphère de judaïsme, de joie et gaieté, sauf bien sur le ticha be av.
A pourim, la joie, les chansons les et les gâteaux, les jeux de carte au casino.
Larache, ou ont habités tant de juifs ainsi que la famille à papa et la famille à maman, les synagogues, calle duquessa De Guisa, le pont sur le Fleuve Lukus, las comparsas, le jardin des hespéridés, (le jardin des D., d'après la Mythologie Grecque, la légende dit que les arbres donnaient des pommes d'or, censées rendre celui qui en mangeaient immortels)
Le port de Larache et son fameux thon, pour rires les gens de Larache avaient inventés une chanson, qui disaient, (se sont les enfants de mes arrières petits enfants, que dans ce port vont travaillés).
Ca vaut la peine de faire un détour et de visiter la vieille médina, et accéder à elle, par la calle Mohamed V, à l'extrémité de cette rue, se trouve le siège de la libération, centre de la ville, où se joignent la médina et la ville coloniale. La vieille ville en forme triangulaire, se prolonge entre le château de Kelibach, de la cigüeña et du port, aujourd'hui très peuplée et mal conservée, ayant besoin de restauration.
À droite de l'Alcaicería se trouve la porte de la Alcazaba du XV éme siècle, avec sa source, continuant vers l'est, on passe par la petite place et la mosquée de Anwar à côté d'elle la maison d'Abd el Krim De Bacuri; on quitte la médina, par la plazza Del Makhzen, vieux patio d'arme situé à côté du palais Alcazar, une vue splendide on voit l'estuaire la colline du rio Loukous.
En entrant par la porte de la libération on croise la jolie porte de Bab El Barra et de la Médina, accédant à une très jolie place, l'Alcaicera, ou au zoco chico, au-dessus de la grande mosquée, vers la gauche l'école du zoco Chico à côté de la rue de l'hôpital, qui nous porte au château de San Antonio, construit au XVI ème siècle.
Les immeubles "coloniales" de la plazza de la Libération et l'avenida Mohamed V, avec la iglesia Del Pilar y el mercado de style néo arabe, le fameux balcon Del Atlantico, qui domine l'Océan,
l'ancienne comandancia , la Torre Del reloj, el Castillo de la Cigüeña, el jardín Publico de las Hespérides; la petite tour juive du XV eme siècle, le cimetière de Lalla Menana, patronne de Larache, la calle real, ou a grandi ma mère, las navas ou a grandi mon père, les chatitos de anis del mono et de anis machaquito, les tapas qui n'en finissent pas dans tous les bars et cafés, pour une bière ou un cognac on vous amène une dizaine d'assiette de tapas, les autobus de La Valenciana, La C.T.M., La Escanuela, La Ouaoua (on l'appelait Ouaoua a cause du klaxon qui faisait ouaoua). La avenida de las Palmeras, la maison Del Raisuni, la escuela francesa, la Alianza Israelita, los almacenes de "pulido",le bar La Marquesina, La Zamorana, la rue chinguiti, le tailleur sastreria del Chato, le magasin la tienda de Pesetia, tonton Amran Levy (cordonnier) Zapatero remendon, Pepe el Indio, le bar de Perico, le bar Central, le bar Canaletas, le bar Matias, le bar tropical, un bar qui s'appelait "el Pozzo "tenue par une belle espagnole, la pharmacie des Amsellem, cousins à papa Moise Amsellem mon grand-père maternel; le journal de Larache "El Chivato", Abate Busoni, la place d' Espagne avec ses Arcades et ses magasins, ou tonton Léon Benquessus le frère à Mama Sol (ma grand-mère maternelle avait son magasin, El Younque), le mercado de abastos, la ghrissa, le club Union espagnole, le théâtre espagnol , le cinéma Avenida, le cinéma Idéal qui appartenait à Salomon Amar (Amarito) le cousin germain à Mama Sol ma grand-mère, les équipes de foot, la otra banda qu'on traversait sur une petite barque, les larachenses étaient orgueilleux de leur Larache, de leur football, ou papa était le masseur d'une des équipes, a la fin des années 40. Les américains qui travaillaient dans la base américaine de Port-Lyautey venaient passer les dimanches à Larache début années 50, A Larache il y a un fort construit par les portugais pour enfermer les prisonniers de la bataille des trois rois. Larache fut fondée en 800 et occupée par les portugais durant le XVIe Siècle avant de devenir un refuge pour les corsaires. Elle fut espagnole en 1610 et reprise par le Sultan en 1689, puis à nouveau espagnole de 1912 (traité de Fès) à 1956. Deux forteresses dominaient le Nord et le Sud. L'ancien fort Kebibat devenu hôpital et le fort de la Cigogne face à la mer. De Tanger à Larache, la route côtière est très belle. La route traverse des vallées agricoles très humides et une grande forêt d’eucalyptus qui embaument surtout lorsqu’il fait chaud. À l'entrée de Larache, vente de fossiles et de pierres. Larache est un petit port de pêche au bord de l'océan Atlantique, situé à 70km au sud de Tanger, dans le nord du Maroc, à l'embouchure du Loukos, fleuve aux nombreux méandres délimitant des marais salants et formant un bras de mer. Moi la petite fille de Casablanca qui parlait le français, je me mettais tout de suite à parler l'espagnol, notre espagnol, le haketia.
En entrant par la porte de la libération on croise la jolie porte de Bab El Barra et de la Medina, accédant à une tres jolie place, la Alcaicera, ou au zoco,chico , au-dessus de la grande mosquee , vers la gauche l'ecole du zoco chico à côté de la rue de l'hôpital ,qui nous porte au château de San Antonio, construit au XVI eme siecle.
les immeubles "coloniales" de la plaza de la Liberación et l'avenida Mohamed V, avec la iglesia del Pilar y el mercado de style neo árabe, le fameux balcón Del Atlantico, qui domine l'Ocean, l'ancienne comandancia , la torre del reloj, el castillo de la Cigüeña, el jardín Publico de las Hespérides; la petite tour juive du XV eme siecle,le cimetiere de Lalla Menana, patrone de Larache, la calle real,ou a grandi ma mere,las navas ou a grandi mon pere,les chatitos de anis del mono et de anis machaquito.les autobus de La Valenciana,La C.T.M.,La Escanuela,La Ouaoua,on l'appelait Ouaoua a cause du clakson qui faisait ouaoua.
La duchesse de guise,
l'institutrice de toutes les générations: dona Camila Chocron-Elkharat,que j'ai eu le plaisir d'aller visiter chez elle a Haifa sur le mont Carmel,le 18 juillet 2005.
Ulzurrun :le grand photographe ,
le général Meziane,selomito el electricista,selomito ragones,les directeurs d'ecole : Miguel Matamala, et monsieur ferreres, le consul almand : Rechawsen,
la plaza de espana,avec ses Arcades et ses magasins, ou tito Leon Benquessus avait son magasin, El yunque, el mercado de abastos, la ghrissa, la union espanola, el teatro espanol, el cine Avenida, el cine Ideal, la union espanola, les equipes de foot, la otra banda qu'on traversait sur une petite barque, les larachenses, étaient orgueilleux de leur Larache, de leur football, ou papa était le massagiste fin des années 40. Moi la petite fille de Casablanca qui parlait le français, je me mettais tout de suite à parler l'espagnol, notre espagnol, le haketia.
Mon arrière grand-père Ruben Benquessus, le papa a mama Sol ma grand-mère maternelle, 6 ème génération de cohanim, (qui ont péchés donc dechu), un cohen, qui se marie avec une divorcée, ou une femme mariée, doit changer son nom de famille, je sais que les Benquessous, et les Abecassis, sont des Cohen répudiés
Papa Ruben Benquessous est ne a Larache en 1864, et il est décédé en 1939 a l'âge de 75 ans a Larache il était très riche,
il a épouse mama Simha Matitia née en 1886 a larache et décédée en 1942 a Larache a l'âge de 56 ans,d'une grave maladie de l'estomac, en laissant 2 enfants adulte et célibataire, Fortuna, et Messod, sous la tutelle de ma grand-mère mama Sol leur grande soeur.


voici mon arriere grand-pere papa Reuben Benquessous, le papa de ma grand-mere maternelle mama Sol Benquessous-Amsellem, il etait un des plus riche de Larache, il etait proprietaire de tout le quartier las casas del hebreo, il etait juge, d'origine espagnole avec une protection allemande, il avait des magasins de the et epices a Larache importation de l'Inde.

Papa Ruben Benquessous est ne a Larache en 1864, et il est décédé en 1939 a l'âge de 75 ans a Larache, il mesurait 1 metre 92.







Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/02/2012 08:48 par LA HIJA DEL MAR Y DEL SOL.
Le délice de mon enfance et celui de mes enfants et petits-enfants! le pain perdu
une recette de ma grand-mère, a Larache a cause de la vilaine guerre de Franco les juifs ne jettaient jamais leur pain, il servait a faire du pain perdu,
Ingrédients :

12 tranches de pain légerement rassis
250 ml de lait froid
1 sachet de sucre vanille
3 oeufs
huile pour la friture.
miel



Mélanger dans un bol les oeufs entiers et le lait, Mélanger au fouet, Tremper les tranches de pain sec dans le mélange oeufs+lait. Le pain doit etre imprégné de lait mais pas completement ramolli, Faire dorer les tranches de pain perdu dans une poêle huilée, dégustez chaud avec du miel qui vous coule entre vos doigts.
Astuces
Essuyez la poêle (teflon) et huilez avec un coton entre chaque service, cela évitera d'avoir un pain perdu carbonisé.
Pour la cuisson, laissez dorer le pain.








photos Soly Anidjar



Comme je disais on ne jetait jamais le pain au Maroc, Ce que j'aimais aussi beaucoup était ce couscous a base de mie de pain, l'évaporée.

L'EMFOUAR en judeo-arabe , ALKOCHOR en haketiajudeo-espagnol.
recette de ma grand-mère.
tu prends du pain un peu rassis , dans un couscoussier tu mets de l'eau a bouillir dans la marmite du bas et en haut dans le trou-trou tu émiette la mie légèrement humide, tu verses dans un grand plat, dans un grand bol tu verses de l'huile d'olive, de l'ail écrase, du sel et de la harissa maison, tu remues bien, tu verses sur le pain évaporée, ayma quel régal!


Je vous raconterais de quelle facon les juifs de Larache pleuraient Sol Hatchouel, Lalla Solika de Tanger, enterree a Fez, je suis moi meme Sol, ma grand-mere maternelle a ete nommee sur Sol la tsadika Lalla Solika, j'ai plusieurs chants sur elle, une piece de theatre a ete ecrite aussi a Larache sur Sol la juive de Tanger.
Soly Anidjar


La agada a mon papa elle a 180 ans elle est en judeo-espagnol elle vient de Larache.



photo rare de la banque commerciale du Maroc a Tanger annee 50
photo Soly Anidjar




collection Soly Anidjar

de retour de la synagogue Larache 1950, mariage a ma cousine, on voit ici la famille le jour du shabat hatan, sabad del novio en haketia


1930 mon oncle David Anidjar frere a papa, vient de se marier a Larache avec une fille de Alcazarquivir Estrella Slassy.
se sont les parents a mon cousin Shanghai Charles Anidjar.



collection Soly Anidjar Larache devant le magasin a mon grand-pere paternel Avraham Anidjar






Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/02/2012 04:59 par LA HIJA DEL MAR Y DEL SOL.
Toujours devant son magasin, mon grand-pere paternel papa Avraham Anidjar paix a son ame
es enfants de gauche a droite
mon papa cheri 3 ans Jacoby Anidjar paix a son ame
tita Sultana 9 ans elle vit a Ashdod
tonton Isaac 6 ans paix a son ame, les freres a mon papa



photo prise en 1925 a Larache





Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/02/2012 05:14 par LA HIJA DEL MAR Y DEL SOL.
Assis avec le pull rouge Salvador Hazzan le celebre infirmier de l'hopital Benchimol a Tanger, l'hopital a ete detruit il y a 2 ans,
ici sur la photo a l'hopital Benchimol en 1950 a Tanger avec le celebre doctor Many.




entree de l'hopital YAHASRA
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